Euh, c'était lui où l'électricité faisait un drôle d'effet à la jeune femme ? Elle semblait malade, et même si elle tentait de le dissimuler, ça sautait aux yeux exercés à chercher le moindre petit détail que possédait Gabriel. Un peu plus et il aurait peut être soutenu la jeune femme, mais Gabriel n'était pas homme à faire preuve de compassion vis à vis de cela même qui l'avaient menacé il n'y avait pas dix minutes. Oui, ça lui restait un peu en travers de la gorge, même si il avait tout fait pour les rendre triviales ! C'était tout sauf trivial....et il se demandait dans quelle mesure elle allait pour réparer cette ânerie, car oui, ces paroles stupides étaient ânerie ! Et une âneire indigeste pour Gabriel qui plus est.
Passant du coq à l'âne, on avait l'impression qu'elle cherchait désormais à l'émouvoir en parlant de la perte de l'homme de sa vie et cetera et cetera....mais voilà, Gabriel ne connaissait pas cela, il ne comprenait pas vraiment, pour lui, cela tournait encore au proverbe une de perdue, dix de retrouvées ! Voyez dans quel système on ne peut plus arrêté il s'était placé ! Et un système qui, non content d'être obsolète, était aussi complètement faux ! Enfin bref...
Elle revint devant lui pour parler de ce qui allait lui arriver, la fatigue de la jeune femme au travers du changement e position dans le fauteuil ne lui échappa pas le moins du monde, en même temps, c'était très facilement rep^érable, elle ne cherchait plus à avoir un air un tant soit peu digne, ne serait-ce que par son maintient. Elle s'était contenté de se mettre comme lui, à l'aise, au moins ils étaient sur la même longueur d'onde désormais. Concernant ce qui allait se passer, hum, c'était compliqué, mais d'abord, clarifions certains points.
« Je ne dis pas pouvoir comprendre ce que vous ressentez, ne l'ayant jamais vécu, les rares personnes importantes de ma vie étant en vie, mais dans tous les cas, sachez juste une chose, si je ne comprends pas, je compatis, mais comprenez nous, il est dur d'avaler qu'un de nos collègues puisse disparaître et que nous soyons incapables de le retrouver.... »
Il avait dit cela pour la forme tout simplement, car il ne pensait pas un traître mot de tout cela, ou presque, euh, ou presque ? Oui, ou presque...mais là n'est pas vraiment le sujet, il avait évoqué cela, comme pour la p^réparer en l'adoucissant à la suite. C'était le même principe que pour la vaseline en somme....
« Après, pour ce qui va se passer, coimme je vous l'ai dit, je n'ai cru au début que ce n'était qu'une erreur que je voulais rectifié et déjà vous avez tenté de me prendre pour un pigeon alors que je suis un poulet, avant de finir par mez menacer, et l'un dans l'autre, j'avoue que je digère assez mal. Enfin bon, je n'ai aucne envie de vous envoyer en garde à vue, ce serait une perte de temps, pour vous comme pour moi ! Alors je pense que je peux passer outre l'une des deux infractions, mais pas deux. Il ne sera pas dit que je ne fais pas mon travail. Surtout que je suis là en étant de service....choisissez exactement ce que vous préférez, c'est mon cadeau pour les condoléances, car je me suis montré honnête avec vous, les chances de le retrouver sont infinitésimales, de le retrouver en vie j'entends ! »
Elle aurait de toute manière une infraction sur le dos.Euh, c'était lui où l'électricité faisait un drôle d'effet à la jeune femme ? Elle semblait malade, et même si elle tentait de le dissimuler, ça sautait aux yeux exercés à chercher le moindre petit détail que possédait Gabriel. Un peu plus et il aurait peut être soutenu la jeune femme, mais Gabriel n'était pas homme à faire preuve de compassion vis à vis de cela même qui l'avaient menacé il n'y avait pas dix minutes. Oui, ça lui restait un peu en travers de la gorge, même si il avait tout fait pour les rendre triviales ! C'était tout sauf trivial....et il se demandait dans quelle mesure elle allait pour réparer cette ânerie, car oui, ces paroles stupides étaient ânerie ! Et une âneire indigeste pour Gabriel qui plus est.
Passant du coq à l'âne, on avait l'impression qu'elle cherchait désormais à l'émouvoir en parlant de la perte de l'homme de sa vie et cetera et cetera....mais voilà, Gabriel ne connaissait pas cela, il ne comprenait pas vraiment, pour lui, cela tournait encore au proverbe une de perdue, dix de retrouvées ! Voyez dans quel système on ne peut plus arrêté il s'était placé ! Et un système qui, non content d'être obsolète, était aussi complètement faux ! Enfin bref...
Elle revint devant lui pour parler de ce qui allait lui arriver, la fatigue de la jeune femme au travers du changement e position dans le fauteuil ne lui échappa pas le moins du monde, en même temps, c'était très facilement rep^érable, elle ne cherchait plus à avoir un air un tant soit peu digne, ne serait-ce que par son maintient. Elle s'était contenté de se mettre comme lui, à l'aise, au moins ils étaient sur la même longueur d'onde désormais. Concernant ce qui allait se passer, hum, c'était compliqué, mais d'abord, clarifions certains points.
« Je ne dis pas pouvoir comprendre ce que vous ressentez, ne l'ayant jamais vécu, les rares personnes importantes de ma vie étant en vie, mais dans tous les cas, sachez juste une chose, si je ne comprends pas, je compatis, mais comprenez nous, il est dur d'avaler qu'un de nos collègues puisse disparaître et que nous soyons incapables de le retrouver.... »
Il avait dit cela pour la forme tout simplement, car il ne pensait pas un traître mot de tout cela, ou presque, euh, ou presque ? Oui, ou presque...mais là n'est pas vraiment le sujet, il avait évoqué cela, comme pour la p^réparer en l'adoucissant à la suite. C'était le même principe que pour la vaseline en somme....
« Après, pour ce qui va se passer, coimme je vous l'ai dit, je n'ai cru au début que ce n'était qu'une erreur que je voulais rectifié et déjà vous avez tenté de me prendre pour un pigeon alors que je suis un poulet, avant de finir par mez menacer, et l'un dans l'autre, j'avoue que je digère assez mal. Enfin bon, je n'ai aucne envie de vous envoyer en garde à vue, ce serait une perte de temps, pour vous comme pour moi ! Alors je pense que je peux passer outre l'une des deux infractions, mais pas deux. Il ne sera pas dit que je ne fais pas mon travail. Surtout que je suis là en étant de service....choisissez exactement ce que vous préférez, c'est mon cadeau pour les condoléances, car je me suis montré honnête avec vous, les chances de le retrouver sont infinitésimales, de le retrouver en vie j'entends ! »
Elle aurait de toute manière une infraction sur le dos.