Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

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Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 15 lundi 11 janvier 2021, 21:11:40

Et si c’était quelqu’un d’autre qui entrait dans la réserve ?

Une tornade blonde entre alors en furie et son regard s’illumine dès qu’elle voit l’effet incroyable que quelques photos ont eu sur l’expression de son petit visage d’ange. Il est dévasté. Il va la dévaster. Kara le provoque volontairement d’un air taquin.

« On dit bonjour quand on est poli. »

Il lui saute littéralement dessus et la jeune femme est déjà submergée par une vague de désir, qui se libère après la légère appréhension d’attendre seule ici en entendant passer dans le couloir. Toute la crainte d’être surprise à moitié nue dans cette réserve s’envole d’un coup pour laisser pleinement la place à une chaleur bouillante qui brûle ses joues et sa peau nue monte en température.

Ses mains passent sur ses côtes qu’elle raille déjà de ses ongles, remontant immédiatement sur ses omoplates en lui rendant son baiser avec une ardeur démente. C’est immédiatement suffoquant, directement brutal et sans filtre. Elle le veut tout de suite, comment fait-il pour être aussi attirant ? C’est pas humain…

En accompagnant sa descente pour allonger son dos sur n’importe quelle surface qui pourra la soutenir, même si c’est sacrément froid, Kara grogne en venant l’aider à retirer sa ceinture avec empressement.

« Alors viens, viens, ils n’attendent que toi. »

Elle a déjà la gorge sèche mais son regard pétille d’une malice scandaleuse lorsqu’il se dépêche de frotter son membre impatient et gonflé entre ses seins. Ses mains les soulèvent et les compressent pour accentuer le mouvement et l’accompagner plus fort.

Plus fort, toujours plus fort.
Elle ne sait pas où elle va s’arrêter.
Elle n’a pas envie d’y réfléchir, parce qu’y penser serait resonger au contexte, au licenciement, à la vraie vie.

Non, proposer à Kaito chaque jour un lieu, une situation, une position et une contrainte supplémentaire, ça c’était le pied. Evasion garantie. Pas d’avant, pas d’après. Pas de problème. Pas de conséquence. Juste du plaisir.

« Oh, putain ! »

Son visage se crispe sous une décharge électrique quand les mains de l’Etudiant rejoignent sa poitrine, elle le sent frémir sur son thorax, et pose à son tour ses doigts entre les siens. C’est vrai qu’il est préférable de rester discrets ici, mais elle se sent un peu plus en sécurité que dans le métro face à tous ces gens, pourtant, il n’y a qu’une porte, non verrouillée, entre eux et un couloir bondé.

Les mouvements de bassin du petit Kaito sont rudes, elle louche en voyant comme il est humide, se contracte d’excitation et l’une de ses mains délaisse la sienne pour empoigner son sexe martyrisé sur le point d’exploser.

Impossible de calmer le jeu maintenant, c’est trop tard ; Kara quitte sa propre poitrine pour retirer son jean, en se tortillant et en sifflant un juron au vu du peu de latitude qu’elle a dans cette posture pour réussir à le virer. Quand il est à mi-cuisse, ne pouvant le faire glisser plus loin, elle s’attaque à son string qu’elle roule à son tour aussi bas que possible.

« Hé hé, attends Trésor, j’en peux plus, viens me la mettre, j’ai trop envie. »

C’était touchant, parce qu’elle est presque suppliante, mais son regard est celui d’un fauve, assurément. Le contraste saisissant ne s’arrête pas là, puisqu’elle relève sa main jusqu’à la bouche de son petit Etudiant préféré pour qu’il suce son index un moment, avant qu’elle ne le glisse entre ses cuisses pour venir se caresser en l’aguichant.

« Viens, si non, je m’en occupe toute seule. »



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 16 mardi 12 janvier 2021, 16:32:22

"Non! Pas toute seule!"

Il met un instant à descendre d'un étage tout en laissant un sillon collant sur la peau de son ventre. Il s'arrange pour la faire basculer sur le côté et replie ses jambes vers le haut. En position fœtale, Kara doit se tortiller si elle veut le regarder. Kaito prend plaisir à reculer pour la laisser dans l'expectative et s'amuse à la caresser comme elle avait commencé à le faire. Elle est aussi excitée que lui et totalement réceptive. Un doigt ça passe, deux doigts, pas de contraintes, trois, aussi ? Bien, le jeu n'en faut pas la chandelle aussi Kaito, sans prendre de pincettes, s'allonge sur elle pour la pénétrer aussi loin que possible. Il ne s'arrête que bloquer par le corps de Kara qui fait obstacle. Le jeune homme manœuvre pour changer d'angle et une fois en position optimale, la ramone longuement, lentement, se délectant de la tendre chaleur qu'elle diffuse autour de lui. Elle l'a chauffé, il va faire de même. Sa position à elle n'est pas des plus confortables et il en rajoute une dose en immobilisant son bras disponible derrière son dos. Ainsi offerte, elle ne peut que subir cette pénétration destinée à aiguiser son envie d'en avoir plus.

Le ventre de Kaito se frotte contre le fessier rebondi et le jeune homme a une vue parfaite de son sexe qui entre et sort du corps de Kara. C'est grisant d'avoir sa petite amie à disposition pour extérioriser toutes ses pulsions dévorantes. Il est temps d'y aller plus fort. Kaito accélère sans contraintes et les petites fesses blanches de Kara tressautent sous les assauts plus vifs. Elle se débat mais il affirme sa prise et la restreint plus encore. Il se penche sur elle, peau contre peau et entame une furieuse session de "j'te prend comme je veux".

Depuis qu'ils se sont rencontrés, le corps de Kara est le réceptacle de tous les fantasmes de Kaito mais aussi l'objet d'une exploration continuelle et hautement bénéfique au développement sexuel du jeune homme. Jusqu'à présent, elle n'a jamais rien refusé et s'est même lancée dans certaines expériences qui les ont surpris tous les deux. Aussi Kaito se permet-il certains commentaires ou réflexions qui il le sait, l'exciteront plus que la blesseront.

Il termine de la retourner sur le ventre, toujours logé entre elle et calme le jeu physique pour taper dans le psychologique. il ondule lentement sur elle et lui susurre à l'oreille des insanités qui ne collent pas habituellement avec son langage. il lui dit combien elle est "bonne", combien il aime la "baiser", comme son petit "cul" l'excite et comme il a envie de "gicler" sur elle. Le tout ponctué de petits coups de langues précis et de mordillements de la nuque et des oreilles. Se retenant d'une main, il lui caresse les seins et définit les zones érogènes qu'elle affectionne.


"J'adorerai que quelqu'un entre et te voit dans cet état....."

 Sans bien entendu tous les problèmes que ça engendrerait. La pensée d'être observé anima un sentiment étrange en lui, aussi fort que d'imaginer Kara prise entre deux hommes. UUhhh Kaito se demanda sous le coup s'il était bien dans sa tête. A trop regarder des pornos, il devait devenir malade.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 17 mardi 12 janvier 2021, 21:35:14

Oh merde, Kaito, mais qu’est-ce qu’il est vulgaire… Obscène, en réalité, elle le trouve obscène et tellement vicieux, voyant parfaitement clair dans son jeu, alors qu’il la plaque, la place, se positionne, la bloque… Il a beau avoir l’air d’un ange, à cet instant, son regard exprime quelque chose de parfaitement immoral et pervers.

En quelques gestes simples et efficaces, il la soumet et elle adore ça. Oh oui, il a l’air de savoir désormais parfaitement ce qui la fait décoller, et vite en plus. C’est spontané et elle se consume d’un coup. Son corps est déjà moite, et il la pénètre avec une facilité déconcertante tant elle est excitée par la situation.

Quoi qu’elle propose, il est partant, et lorsqu’elle ne propose pas, il est ambitieux. Est-ce que tous les gamins de 19 ans sont comme lui ? Non, elle ne pense jamais à son âge. Depuis plusieurs jours, elle ne pense à rien d’autre que son corps, sa gueule d’ange, ses mains aventureuses, ses lèvres taquines, et cette queue ! Elle doit avouer qu’il est imaginatif et n’a pas froid aux yeux, c’est divin ! Elle n’aurait jamais cru avoir envie aller aussi loin dans ses divers fantasmes, elle n’avait même pas conscience que tout ça aurait pu l’exciter autant.

Mais il la baisait sur un chariot dans une réserve en lui bloquant le bras, son épaule lui tirait suffisamment pour avoir légèrement mal. Et elle aimait. Elle était en feu. Kaito coulissait avec une lenteur qui la transcendait désormais, et savait la mordre, la lécher ou l’embrasser pile aux bons moments. Qu’il était doué, bordel, qu’il était doué ! Elle serra les cuisses de plaisir en gémissant.

Mais sa phrase alors la perturbe, elle tourne la tête et les yeux comme elle peut pour s’en plaindre et a soudainement un flash. L’espace d’une seconde, elle a imaginé en effet qu’ils se faisaient surprendre, qu’elle avait honte, mais… Merde. Qu’est-ce que ça veut dire d’elle ?

« Ah ouais ? Tu voudrais qu’on nous mate ? »

Sa respiration haletante est saccadée et elle doit faire une pause pour soupirer lentement, dans un calme apparent. Pourtant, d’un coup, Kara donne un coup de rein et le pousse en arrière, profitant qu’il soit déséquilibré pour se redresser et s’éloigner en sentant son sexe glisser hors d’elle. Elle regrette presque, se mord la lèvre, mais se retourne pour lui faire face et passe ses bras autour de son cou en fanfaronnant d’une voix mielleuse.

« Kaito veut qu’on le voit baiser hein ? Tu rêves que ce soit une camarade de classe, ou une vieille cantinière ? Ou alors tu veux qu’on m’observe en train de me faire prendre sur le campus ? »

Merde, c’était vulgaire ce qu’elle disait, et pourtant, quand elle les prononçait, les mots l’excitaient d’une manière inattendue. Cette fois, elle ne se sent pas ivre d’excitation, pas comme dans le métro ou pire, dans le cinéma… non, elle a parfaitement conscience de ce qu’elle fait. C’est tellement… bizarre.

L’une de ses mains délaisse son cou et vient empoigner son membre poisseux qui pulse dans sa paume, dans un mouvement de va et vient rapide. Sa langue vient lécher sa petite bouche d’Etudiant jadis si sage, elle a l’impression d’à nouveau être affamée. La jeune femme le lâche alors, se hisse sur la pointe des pieds pour s’asseoir à peine sur le chariot, et tire son sexe vers elle, faisant glisser son gland entre ses lèvres.

« Peut-être que c’est déjà le cas… » Elle murmure, un sourire carnassier aux lèvres. « Peut-être qu’on nous regarde par la serrure… »



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 18 mercredi 13 janvier 2021, 09:42:19

Elle le refroidit en sept mots mais rattrape aussitôt le coche en l'engageant sur le même ton. Ouf! L'espace d'un instant, Kaito voyait la situation dégénéré mais non, ça allait. Il essaya d'afficher son visage le plus angélique et alors qu'elle l'attirait de nouveau en elle, il fit mine de réfléchir, tout illuminé. Une poussée l'emmena heurter de son bassin celui de Kara. Il était tellement loin en elle que s'il s'enfonçait plus, il pourrait tenter de passer le col de l'utérus. Son sexe était ce que son corps n'était pas, une machine de guerre.

"Et bien ... en toute franchise, je veux tout faire, tout tester avec toi. Je veux que rien ne nous arrête. Tu déclenches chez moi un désir de fou et j'ai envie de le partager. J'ai la tête pleine de trucs dingues et la nuit je me réveille en sueur parce que je rêve de scènes qu'on ne voit que dans des films de ..."

Aie! Il est allé trop loin, il aurait dû s'arrêter avant. Il ne voulait pas qu'elle pense qu'elle soit on défouloir sexuel.

"En fait, je t'aime tellement que parfois j'en perd mes moyens."

Ne parle pas, ne parle pas. Il écrase sa bouche contre la sienne et en même temps qu'il la pénètre, il lui dévore les lèvres avec passion et l'embrasse fusionnellement. Oh oui il adorerait qu'on les regarde baiser, il adorerait partager cette passion folle avec d'autres. Dans ses songes, il avait déjà mit Kara dans toutes les situations possibles et imaginables et elle acceptait toujours.

Il reprit ses va et vient lentement, très lentement, profitant de chaque millimètres brûlants de son vagin exquis. Il lui embrassait les épaules, la base du coup, mordillait son menton, glissait sa langue dans sa bouche, pétrissait sa poitrine à pleines mains. Ils étaient innarêtables. Plus grand qu'elle, chacun de ses mouvements la hissait sur la pointe des pieds, la comblait entièrement. En prenant appui sur la table, il arrivait même à la soulever, l'empalant indécemment.

Quand il est presque à bout, il en veut encore. Il se retire d'elle et la retourne contre la table, y écrasant sa poitrine alors qu'il la pénètre comme un animal. Bien lourd sur elle, il ramène ses bras dans son dos et la défonce pour arriver au point ultime. La phase câline passée , il ne se retient pas pour la prendre comme un sauvage, fort, très fort. La table grince sur ses pieds et les casseroles tremblent. Devant lui, sous lui, sa Belle encaisse, les épaules creusées en arrière, sa tignasse défaite, la peau de son dos luisante. Quelle vision de bonheur. Kaito exulte et dans un dernier élan animal, il pousse le plus loin possible en  elle et se retire juste à temps pour éjaculer sur son dos en longues giclées tièdes.

Reprenant ses esprits, il ne sait même pas si elle lui a parlé ou comment elle a vécut cette domination exemplaire.

Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 19 mercredi 13 janvier 2021, 15:52:09

Tout faire ? Tout tester ? Kara se sent pousser des ailes quand elle voit le visage si mignon d’un Kaito totalement pervers lui lancer de telle énormités franches, surtout quand il parle beaucoup, elle adore. Et blablabla, oh, oui, parle encore Trésor. Sa voix la rend folle. Ses petits yeux en amandes se plissent de désir en regardant sa bouche bouger, ses petites dents blanches, sa langue qu’elle aperçoit… Il est fascinant de candeur, quand on le regarde sans le son. Enfin, si l’on met de côté sa queue qui la pilonne avec acharnement.

Kara a bien noté qu’il s’est interrompu en parle des films porno, et se garde bien de le lui faire remarquer. Un jour ils en discuteront, sans doute, peut-être. Elle ne sait pas. Elle ne veut pas y penser. Pas maintenant. D’ailleurs, finalement, ce sujet semble bien plus intéressant dès qu’elle l’entend prononcer des mots à bannir.

Elle écarquille les yeux. Elle a dû mal percevoir, il s’est trompé. Vite, il fallait qu’il la ferme, et dans le même élan que lui, elle se contracte pour l’embrasser brutalement. Ah ouais, il s’enflamme et parle de manière inacceptable ? Kara le mord et attrape ses cheveux pour le lui faire, sans doute, regretter. Pourtant, elle oublie rapidement cet incident, qui n’en était un que pour elle, tant leur étreinte est puissante, intense. Fusionnelle. Tout est facile avec lui. Tout est fluide, tout est instinctif. Elle dérive avec lui, enserrant son bassin de ses cuisses avec toute la force possible, ses râles se brisent contre sa peau en sueur. Encore. Encore.

Kaito semble lui-même partir sur la même pente, alors qu’elle se fait retourner comme une crêpe d’un claquement de doigts. Son corps n’a cependant pas le temps de regretter le départ de cette hampe en lui, que déjà il la pénètre de nouveau, son poids contre son dos la compresse contre le chariot. Elle a presque mal, sent des courbatures, la torsion chaotique de ses bras dans le dos, la tension de ses omoplates, et sans doute des bleus sur les os de son bassin qui cognent de temps en temps. Il pèse lourd finalement, il est loin au fond d’elle, il y va fort, il est puissant.

« Oui oui oui, Kaito, encore mon ange, encore ! »

C’est si fort et bestial, que Kara se laisse submerger sans crier gare, sans l’avoir vu venir, et serre les dents en se contractant sentant alors le sexe vibrant de son petit Etudiant qui cogne au fond, pour ressortir vite avant de se répandre sur ses reins.

« Hhhhmmm… »

Elle tremble, incapable de parler, bougeant légèrement les épaules pour rappeler à son cher Kaito qu’il la tient encore fermement, et récupérer l’usage de ses bras en roulant le dos pour espérer dissiper les douleurs. Totalement en sueur, et passablement dégoulinante, elle tire son sac à main en se contorsionnant et en sort des mouchoirs, qu’elle lui tend en essayant de ne pas trop bouger.

« Aller, hop, nettoyage petit Kaito ! »

Bordel, elle l’adore. En se remettant de ses émotions, elle se met à rire. Kara se sent si bien avec lui. C’est possible, ça, sur le long terme ?



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 20 jeudi 14 janvier 2021, 14:15:33

Leur relation montait crescendo. L'un après l'autre, Kaito et Kara se surprenaient en  se projetant dans des situations piquantes et même périlleuses. D'un joli petit couple qui vient de se rencontrer, ils avaient déjà passé la barre d'une liberté sexuelle débridée. Kaito essayait toujours plus osé, plus interdit. Kara ne refusait rien et prenait plaisir et l'exciter sans limites aucunes.

Curieusement pour la saison, il pleuvait cet après midi là, et après avoir déjeuner ensemble chez Kara, ils avaient regardé un documentaire à la télévision, pelotonnés sous un plaid usé. Ensuite, Kaito avait dû, à partir de l'ordinateur de l'appartement, téléchargé des documents qu'il avait à réviser pour l'université. Installé à un bout de canapé, il étudiait tandis que Kara, à l'autre bout, lisait un magazine, adossée à l'accoudoir, les jambes étendues jusqu'aux cuisses de l'étudiant.. Elle était en culotte et portait ce t-shirt informe qu'elle affectionnait. La pluie tapait contre les carreaux et une certaine torpeur s'installait. Kaito secoua la tête pour chasser ce léger voile de fatigue et se leva préparer du thé. Du coin cuisine, il regardait sa tendre et belle et comme toujours, un pincement au ventre lui rappela comme elle était désirable. Ils avaient fait l'amour la nuit même, très tendrement, et une partie de Kaito se révoltait devant tant de douceur. Il avait en tête quelque chose de plus pimenté. Il abandonna l'idée de faire du thé et tout en fredonnant un air quelconque, il entassa quelques livres sur la table de basse à hauteur de  Kara. Puis il cala son smartphone à l'horizontale, et lança l'enregistrement vidéo.

Toujours en fredonnant et sans se presser, il se dévêtit et vint se placer derrière ses épaules, et après avoir mit sa main sous le petit menton de son égérie, il la cabra en arrière sur l'accoudoir. Sans un mot, il tapota du gland sur les lèvres de la jeune femme avant de forcer ses mâchoires et de se loger en elle jusqu'à la glotte. D'une tape, il écarta ses mains et tira la jeune femme par les aisselles pour l'étirer plus encore hors du canapé. La position était idéale et il lui prit la bouche comme il en avait envie. Fort et sans fioritures. Plus grand qu'elle, il maitrisa sa surprise et ne lui laissa d'autre choix que d'accepter son sort, enviable ou pas. Il avait son idée sur ce sujet là.

Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 21 jeudi 14 janvier 2021, 20:58:51

C’était très bizarre, mais passer du temps avec Kaito était sympa.
Il était vraiment facile à vivre, il fallait l’avouer. Au début, elle avait essayé, vraiment, de ne le voir que lorsqu’elle avait envie de lui. Mais rapidement, elle se rendit compte qu’il était tout le temps collé chez elle. Kara savait qu’il vaudrait mieux ne pas trop l’habituer, mais rester seule dans son appartement la déprimait, et ce mec était un rayon de soleil. Et ses baisers étaient les meilleurs antidépresseurs de la terre.

Dans les phases calmes, elle avait tendance à comater. Se sentir molle, sans but réel. Elle ne trouvait d’intérêt qu’à leur partie de sexe de plus en plus extravagantes. Dépasser ses limites semblait facile avec Kaito : ce qu’il proposait était excitant, et il réagissait au quart de tour dès qu’elle le regardait. Il suffisait d’un regard pour s’enflammer mutuelle, une situation anodine, un mot prononcé, à peine. Elle avait du mal à le laisser prendre sa douche, à ne pas le surprendre quand il étudiait, à ne pas fondre sur lui quand il laçait ses chaussures, quand il mangeait, à ne pas lui sauter dessus quand il faisait la vaisselle, qu’il s’habillait, aussi, à le laisser dormir. Sa présence dans son lit était perturbante. Pour tout un tas de raisons.

Pour tout dire, elle somnolait presque dans son canapé.
Le temps passait lentement, en dehors du sexe. Elle lisait sans grand intérêt un magazine de jeux, mais ses pensées étaient happées par son petit Etudiant. Elle se souvenait de ses caresses tendres de la nuit, et elle évita de soupirer comme une midinette à cette pensée.

Quand il se leva, elle leva légèrement le nez, voyant sa direction.

« Tu fais du thé ? » Demanda-t-elle machinalement, en posant ses yeux sur son jean et suivant ses fesses du regard une seconde, avant de reporter son attention, un léger sourire aux lèvres, sur l’article qu’elle lisait.

Rien d’anormal à l’entendre fredonner, il agissait ainsi souvent, elle ne remarqua aucun changement avant de sentir sa présence derrière elle. Kara allait lever les yeux quand elle sentit la main de l’Etudiant passer dans son cou, pour lui relever le visage, fermement, la faisant lâcher immédiatement son journal. C’était le signal de départ, son corps démarra plus vite que son cerveau. Les battements de cœur s’accélérant, elle entrouvrit les lèvres sous son gland lisse et chaud, ses pupilles s’arrondissant dès qu’il vint pénétrer sa bouche sans douceur.

Elle eut le temps de prendre une profonde inspiration par le nez et ouvrit au maximum sa gorge, mais suffoqua tout de même, un peu dans un bruit guttural. Son corps se contracta, mettant du temps à s’habituer à l’invasion brutale, le temps de trouver la bonne position à sa nuque. Une partie d’elle voulait protester, sa main vint agripper sa cuisse qu’elle pinça en représailles, mais l’autre glissait contre sa fesse pour accompagner ses mouvements vifs et profonds.

Kara était persuadée qu’elle allait étouffer. L’impression de domination du Petit Kaito était implacable, cette fois, elle avait beau pouvoir bouger, un faux mouvement lui garantissait une impression horrible de haut-le-cœur.

Ses yeux roulèrent sur le côté et elle aperçut alors le portable et surtout le petit rond rouge. Sa gorge se serra sur le membre qui l’écartait et l’écrasa davantage, et une seconde, elle manqua bien trop d’air. Pourtant, lorsqu’elle sentit un frisson d’excitation faire vibrer l’intérieur de ses cuisses, Kara grogna ce qui aurait dû être un gémissement, trop encombrée par cette queue qui la pilonnait. Il avait l’air déchaîné. Elle attendait un répit pour se venger.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 22 samedi 16 janvier 2021, 08:29:53

Kaito utilisa la première minute pour donner tout son aspect à cette nouvelle session de baise. Il la voulait perverse et sale. Que Kara ne lui refuse jamais rien développait chez lui cette idée que tout était possible sans restriction. Il voulait tout essayer et à chaque fois, repoussait les limites de leur relation. Il se réveillait la nuit en sueur, l'esprit envahit par des rêves torrides, toujours plus osés.

Kaito baissa les yeux. Kara était tendue. Les veines de son cou gonflaient sous l'afflux sanguin que provoquait sa position. HAN! Il se ficha au fond de sa gorge, forçant d'un coup toutes les résistances. Le corps de Kara s'arc bouta sur le canapé et Kaito se pencha pour la forcer plus encore. Il saisit ses hanches pour la verrouiller brutalement tandis qu'il marquait sa possession en roulant du bassin. Son sexe déformait le cou de la jeune femme et s'en était hypnotisant de le voir bouger en elle, gonflé sous la peau fine de son cou. Il se retira d'elle un instant qu'elle reprenne ses esprits et quand elle voulut parler, il s'engouffra en elle plus durement encore. Elle eut un haut le coeur terrible et un geyser de bave gluante gicla autour dusexe de l'étudiant. C'est ce qu'il voulait. En faire son objet de plaisir. Encore une fois, il se retira. Elle haletait.


"Tu es parfaite ma chérie. Continue comme ça."

Il l'appelait chérie pour la première fois et l'intonation qu'il donna était aussi significative que prometteuse. Il se cala à nouveau.

"OUVRE BIEN LA BOUCHE!" Il se surprit lui-même.

Il était temps de commencer vraiment ce qu'il avait envie de faire. La ravager. Les cinq minutes qui suivirent furent une succession de facefuck intense, d'éructations, de hoquets baveux, d'avalanches de saliveet d'autres trucs tout aussi gluants et d'une destruction progressive de l'état de Kara. Be my slut, be my whore! Tout un tas de commentaires traversaient l'esprit de l'étudiant déchainé. Elle pouvait aimer, ne pas aimer, en vouloir plus, prier pour cesser, il ne lui laissait pas le choix. Il lui baisait la bouche sournoisement.

Le point d'orgue, l'apogée de cette séance inédite fut quand elle eut la possibilité, quelques secondes, de pouvoir reprendre son souffle. La bouche grande ouverte, les yeux dans le vague, elle essaya de se redresser. Kaito la bloqua en s'agenouillant sur l'accoudoir, la tête de la jeune femme renversée entre ses cuisses. Il se fraya un chemin dans sa bouche béante en prenant soin de vriller du bassin pour écarter, pour pousser et malmener les parois de cette gorge offerte. Il se rua, d'un rythme violent, endiablé pour terminer ce qu'il avait commencé. Jamais il ne fut aussi dur, Kara passait un moment qu'elle n'oublierait jamais. Il jouit comme un fou et se déversa au fond de sa gorge, secoué par des spasmes brutaux. Il s'écrasait conte le petit visage d'habitude si mignon mais là, bouleversé, ruiné par le stupre. Il giclait encore quand il se retira d'elle et qu'importe, de toute manière quand il la regarda, il constata l'ampleur des dégâts. Son visage baignait dans une mare de jus qui goutait au sol. Elle était couverte de miasmes. Des siens, de ceux de Kaito. Le jeune homme se vit dans une de ces productions allemandes dégueulasses où les filles ne représentaient rien d'autre que sacs à foutre.

Etait-ce de la perversité mal placée ou un désir violent d'explorer toutes ses capacités et celles de Kara?

Il fit un pas en arrière avant de saisir son smart phone, toujours orienté vers elle. Kara se trémoussa pour reprendre sa position initiale, le magazine était tout chiffonné. Kaito, en prenant bien soin de cadrer la vidéo en cours d'enregistrement vint s'agenouiller su dessus de son ventre. A l'écran , il ne garda que son sexe qu'il masturbait devant le visage ruiné de sa belle. Il n'attendit pas qu'elle se prépare et lui envoya à la face les dernières giclées qu'il put extirper de son corps comblé. Le sperme s'écrasa en trainées qui finirent de combler les derniers espaces non souillés de sa peau.
Kaito cessa l'enregistrement.


"Merci...."

Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 23 samedi 16 janvier 2021, 13:52:49

C’était une véritable torture, et totalement inédit. Dans cette position, le cou plié en deux elle pouvait ingurgiter totalement le sexe de Kaito jusqu’à presser son nez contre ses bourses. Les bruits que cela produisait étaient immondes, les gargouillis de sa gorge l’excitaient au plus haut point, c’en était effrayant, tant c’était obscène, et toujours sur la sellette.

Kara avait l’impression de s’étouffer à chaque mouvement, et sa main sur sa cuisse demandait d’une petite tape, parfois, qu’il se retire, le temps pour elle de reprendre son souffle, totalement surexcitée. Comment pouvait-on autan aimer d’être envahie avec autant de brutalité, la pénétration profonde toujours à la limite la laissant tout autant frustrée qu’anxieuse. C’était puissant, totalement nouveau. Kaito lui avait déjà baisé la bouche avec rage, mais jamais ainsi, et surtout… Elle tourna les yeux vers son téléphone, une vague de frissons la contractant.

Quand il se retirait, elle n’avait d’autre choix de cracher le trop plein de salive, son mascara coulait sous ses yeux, et elle avait à peine le temps de se reprendre qu’il s’enfonçait toujours plus loin, lui ordonnant même d’ouvrir bien grand la bouche. Il était parfait. Elle le détesta une seconde, avant écarter bien grand la mâchoire pour le dévorer, le boire jusqu’à la lie en arquant le dos et serrant les cuisses.

Totalement soumise entre ses jambes, elle sursauta douloureusement lorsqu’il jouit au fond de sa gorge, ses mains se plaquant sur les cuisses de son petit Etudiant déchaîné, comme si elle espérait retenir ses spasmes dangereux qui menaçaient de la faire vomir. C’était tellement fort et tellement puissant, d’avoir à choisir entre déglutir ou respirer, qu’elle avait l’impression de tourner de l’œil.

Lorsqu’il libéra sa bouche, elle se mit à tousser et chercher désespérément de l’air en suffoquant, fermant les yeux sous les jets qui s’écrasaient sur sa peau luisante, suintante de salive, de sueur, de sperme. Ses cils étaient collés entre eux quand elle battit des paupières pour tenter de voir Kaito se reculer un peu, toujours en quête d’oxygène, une main sur sa gorge et la seconde sous sa poitrine qui se levait à un rythme chaotique irrégulier. Elle avait mal à la mâchoire, et estimait ne pas pouvoir parler.

Louchant sur cette queue qu’il continuait de presser pour en faire couler les dernières giclées, elle sursauta en les recevant par surprise, dégoulinante. D’un geste rendu lent par l’effort et l’incroyable sensation d’être une poupée de chiffon ravagée, Kara leva la main pour récupérer un filet qui pendait à son menton, et du pouce, le glisser entre ses lèvres. Elle se sentait vide, stone, hors de son corps. Cette fois, cela avait été vraiment hard. La confiance aveugle qu’elle faisait désormais à Kaito l’entraînait sur une pente de plus en plus borderline. Et la jeune femme avait peur de se poser la question de ce que cela voulait dire d’elle. Qui elle était. Ce qu’elle était.

Ses petits yeux en amande se levèrent jusqu’au regard clair de l’Etudiant alors qu’il coupait la vidéo, et elle avala sa salive, entre autres, difficilement, la bouche ouverte.

« Est-ce que tu m’aimes ? »

C’était sorti tout seul, trop vite, elle n’y avait même pas songé avant. Hébétée par ses propres mots, elle laissait tous ces fluides goutter sur ses seins et ses cuisses, assise devant lui dans une position misérable.



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 24 dimanche 17 janvier 2021, 12:41:35

"Est-ce que tu m'aimes?"

Est-ce que l'amour était quelque chose d'aussi violent que ces quelques mots tout simples? Kaito eut l'impression d'être submergé par une fournaise brûlante. Confronté pour la première fois à la seule chose qu'il redoutait au sujet de Kara, il faillit perdre pied avant de se raccrocher à l'image de la jeune femme qu'il avait en face de lui. Elle était couverte de sperme, son haleine sentait le foutre, elle était ravagée comme jamais et ... elle était trop belle, elle était tout à lui, elle était l'unique raison de son nouveau bonheur. A ses côtés, il se sentait transporté, vivant, loin de sa triste solitude. Dès leur rencontre, le lendemain plus précisément, il s'était posé cette question non sans grande honte. Kara était sa première "vraie" fois avec une femme et il s'emballait peut être un peu vite. D'autant plus que les conditions de cette rencontre avaient été très particulières, sous fond d'alcool et de stress. Est-ce que je l'aime, il connaissait la réponse. Mais aimait-il son corps seulement? Aimait-il avant tout leurs séances sexe qui se débauchaient de plus en plus? Non, il aimait tout d'elle. Il aimait quand à elle l'accueillait dans l'encadrement de la porte de son appartement. Il adorait quand elle se lovait contre lui sur le canapé quand ils regardaient un film. Il ne se lassait pas de l'écouter parler de tout et de rien, d'écouter la mélodie de sa voix le suivre où qu'il soit. L'évidence faite mais jamais dite, jamais suggérée ni avouée. Pourquoi maintenant? Pourquoi comme ça? Y avait-il été trop fort? Non, il avait bien senti qu'elle avait joué le jeu et même demandé, à sa manière, à ce qu'il continue. Kaito et Kara s'accordaient parfaitement, ils étaient fait l'un pour l'autre. Une énergie nouvelle accompagnait ce constat et le jeune homme rayonna, sûr de lui, quand il répondit.

"Je t'aime, oh oui je t'aime!"

Il la serra fort contre lui, tout simplement et s'abandonna à la sensation nouvelle d'une liberté de dire les choses comme il les ressentait.

"Je t'aime Kara."

Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 25 dimanche 17 janvier 2021, 13:46:13

LE JOUR OÙ TOUT CHANGEA


La parfaite petite vie d'amoureux transis. Ils se voient presque tous les jours, font l'amour, sortent ensemble, mangent ensemble. Kara vient le chercher à l'université ou le rejoint au club le soir, là ils baisent une fois rentrés chez elle.

Ce scénario représente globalement l'ensemble de leurs activités quand ils se retrouvent et n'est pas prêt de changer. Quand Kaito est chez lui, il ne pense qu'a Kara. Ses notes à l'université en ont pris un coup d'ailleurs et il essaye quand même de péniblement remonter la pente. Ses parents l'assaillent de questions et il évite au maximum de leur répondre.

Le soir dans sa chambre, il a pris l'habitude de coucher ses envies et ses fantasmes sur papier. Il est des choses qu'il ne peut pas demander à Kara, pas encore du moins. Il aimerait aller beaucoup plus loin, il veut aller beaucoup plus loin. Baignant dans l'univers du porno, il se dit que partager leur ébats sur le net pourrait être cool, visage flouté bien sûr.

Ce soir là, Kaito est justement seul dans sa chambre. Kara et lui étant fatigués du dernier marathon sexuel , ils s'étaient accordés pour prendre une vraie soirée de repos. Il en avait profité pour écrire ces dernières envies sur son carnet quand il s'était aperçu qu'il était vraiment tard. Il arracha donc de son recueil les deux pages qu'il venait de griffonner et les rangea dans son sac de cours. Il pourrait terminer demain au bahut.

En effet, le lendemain, c'est ce qu'il fit, et au moment où il se lançait dans la rédaction de détails torrides, un responsable vint leur annoncer que le professeur qu'ils attendaient serait absent. Génial! Plus de cours pour la journée, un petit message à Kara "J'arrive! Prof absent" . Vite vite il rangea ses affaires et se précipita chez elle. Elle l'accueillit comme toujours avec passion. Ils s'embrassèrent longuement avant qu'il jette son sac dans un coin.


"Je prends une petite douche et je suis tout à toi!!"


Il ne remarqua pas que son sac s'était ouvert et que deux feuilles en avaient glissées. La première barrée de grands traits rouges, la deuxième au contenu plus succinct. Sûrement des notes de cours.


Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 26 dimanche 17 janvier 2021, 23:16:40

Kara avait hâte que son petit Etudiant rentre, d’autant qu’il allait revenir plus vite que prévu, et ça, c’était une vraie bonne nouvelle ! Mais cela voulait aussi dire qu’elle avait peu de temps pour s’habiller, comme elle s’était levée vers 13h du matin, elle était évidemment encore dans ce t-shirt informe qu’elle avait volé à Kaito, et en petite culotte.

Mais dans un excellent timing, il était arrivé chez elle quand elle finissait d’enfiler sa robe, et lui sauta au cou dès qu’il mit un pied dans l’appartement. Elle avait royalement évité le sujet des sentiments depuis ce petit dérapage dont elle était à l’origine, et Kara s’efforçait de ne penser à Kaito qu’en des termes lubriques. Dès qu’elle se sentait un peu trop attendrie par son petit minois, une attention adorable, elle avait décidé de toujours lui sauter dessus, et de le baiser pour paralyser tout sentiment trop mièvre. Ça marchait assez bien. D’autant que, lorsqu’elle ne prenait pas le contrôle des opérations, l’Etudiant était audacieux et terriblement obscène. Ce qui aidait beaucoup à éviter de trop être sensible au pouvoir incroyable que ce petit Blond avait sur son cœur.

En l’embrassant à pleine bouche, elle avait déjà glissé une main sous la ceinture de son jean, mais il avait sans doute besoin d’un peu d’air, comme il revenait de cours… A regret, elle se laissa respirer, et le suivit des yeux lorsqu’il prit la direction de sa salle de bain.

« Fais vite, je t’ai attendue trop longtemps. »

Elle adorait cette façon qu’il avait de garder ses yeux dans les siens quand il changeait de pièce, de commencer à se dévêtir, comme s’il la tentait à chaque fois. Il lui fallait juste un regard et … Kara allait lui courir après, le plaquer contre le carrelage froid, lui arracher son boxer et le dévorer comme un fauve se jette sur sa proie… Mais son regard fut attiré par son sac béant.

Rah, les jeunes de maintenant ! Pourtant, elle le savait, Kaito était soigneux, elle ne lui ferait donc pas de réflexion désobligeante, d’autant que son appartement était particulièrement en bordel depuis… bref, depuis quelques semaines.
Elle s’accroupit pour récupère les feuilles de cours qui en étaient tombé, et son regard fut capté par son prénom, instinctivement. Hein ? Ses cours parlaient d’elle ?

En fronçant les sourcils, plus attentive, elle resta ainsi et parcourut le premier document des yeux, attirée par la grosse croix rouge. Et écarquilla les yeux, vérifiant machinalement que l’écrivain de ces petites notes était bien enfermé dans sa salle de bain. Kaito avait écrit des … un genre de scénario la mettant en scène ? Rapidement, elle passa à la seconde feuille, tout aussi évocatrice. C’était comme des scripts de porno, elle prit le temps de relire le premier, puis l’autre, plusieurs fois.

Merde, elle ressentait clairement un début d’excitation brûler l’intérieur de ses cuisses, mais. La première note la mettait clairement en scène comme si elle était quoi ? Une pute ? Est-ce qu’elle parlait vraiment comme ça des fois, ou il avait surtout couché sur le papier ses fantasmes ? Ou… Elle cilla. Peut-être que tout ce qu’ils avaient fait ensemble, il l’avait déjà écrit avant sur des petits carnets, et qu’il reproduisait un scénario à chaque fois ?

Kara se laissa tomber sur les fesses pour réfléchir. Cela ne ressemblait pas à Kaito de trop suivre un schéma si précis, et puis elle avait confiance en lui… Il fallait qu’elle sache.

Se relevant d’un bond, elle traversa la pièce, notes en main, pour ouvrir la porte de la salle de bain et poser ses yeux sur la silhouette de son corps, derrière le rideau de douche. Même si elle voulait râler, au fond d’elle, et des explications, voir la découpe de son buste et ses bras levés pour se savonner le visage, ou les cheveux, peu importe, l’attendrie un peu. Comment un mec aussi mignon et gentil pouvait-il être un si gros pervers ?

« Kaito, c’est quoi ça ? »

Demanda-t-elle alors, lisant un passage choisi.

« Elle attaque sont strip de haut en bas et joue parfaitement son rôle de salope ? » La jeune femme change de page. « Fellation, 1 300 yens pour deux minutes, facefuck, 2 000 yens pour deux minutes. Putain, y a des gens qui payent pour voir ça ? Mais c’est gratuit sur les sites de… Bon, Kaito, c’est quoi ? »



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 27 lundi 18 janvier 2021, 21:18:40

Du temps avec Kara. Il voulait toujours plus de temps avec Kara. Ca devenait vital. Comme à l'accoutumée, dès qu'il la voyait, son monde changeait, s'aérait de tout les petits soucis du quotidien. Il se régénérait à son contact et plus elle se donnait, plus ses besoins à lui augmentaient. Quand elle avait ouvert la porte, il s'était fait violence pour ne lui donner, et lui prendre, qu'un énooorme baiser. Le métro était bondé et humide, il avait eu chaud et ne voulait pas partager ses miasmes suburbains avec elle. La douche lui faisait un bien fou, l'eau chaude le calmait et lui permettait de réfléchir tout en frictionnant sa peau. En plus, il utiliserait la serviette de Kara pour se sécher, son odeur l'enivrait.

"Kaito, c'est quoi ça?"

"Hein? Kaito c'est quoi ... quoi?"

Il finit de se rincer les cheveux et passa la tête hors du rideau de douche.

"Que dis-t....."

Kara énumérait comme on lit une liste de courses les pensées qu'il avait couchées sur le papier. Il eut l'impression que son monde s'effondrait et se revit enfant, grondé par sa mère. Son teint pâle vira au rouge et ce n'est pas l'eau chaude qui coulait encore qui lui fit monter des poussées de chaleur. Son cerveau tournait en clafoutis et son regard passait des feuilles qu'elle tenait à la forme de ses lèvres toujours posées sur un point d'interrogation.

"C'est..." Sa voix s'étrangla sous l'émotion, c'était horrible. Elle le prenait pour un pervers, un mec pas net, un gros vicieux malade. Il était trop tard pour rattraper le mal qui était à l'œuvre. Elle était blessée, devait se sentir trahie, utilisée. L'horreur absolue! Jamais plus il ne pourrait la regarder dans les yeux.  Il aurait trop peur d'y lire du mépris ou pire encore du désintéressement. Enfin ça ne risquait pas d'arriver, elle allait le mettre dehors comme un malpropre. Kaito se sentit misérable, nu derrière son rideau de douche, pathétique devant la vérité qui éclatait, qui trahissait la confiance de Kara. Il allait la perdre et tout s'écroulerait.

Résigné, il coupa l'eau, passa une serviette autour de sa taille et sortit de la douche, tout penaud face à elle.


"J'ai ... c'est ..." Il ne servait à rien de mentir.

"Tu m'obsèdes, je ne pense qu'à toi, j'ai besoin de te voir, te t'entendre, de te toucher. Je rêve de toi, je fantasme de toi, j'ai des envies de toi. Mon désir et insatiable et plus nous sommes ensemble, plus je veux repousser nos limites. J'ai beaucoup d'autres feuilles comme celles-là. Quand je rêve de toi, au matin, j'écris ce que j'ai vécu. Quand une idée me passe par la tête, je l'écris, je te vois, je nous vois dans des situations intenses, irréalisables. La nuit, ca me réveille et j'en ai mal de désir. Tu peux tout être mais tu Une pour moi. Je t'aime."

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 28 mardi 19 janvier 2021, 00:00:31

Kara eut un mouvement de menton comme si elle chassait un insecte invisible, dès qu’elle eu bien en vue le corps nu de son petit Etudiant, s’enroulant dans une serviette, la mine déconfite. Elle essayait de ne pas fixer les gouttes d’eau qui ruisselaient sur sa peau, la vapeur qui l’entourait, ses cheveux blonds qui collaient à son front et la couleur de sa bouche qui paraissait l’appeler. Il était trop mignon, trop attirant, et trop attendrissant comme ça, tout penaud, il ressemblait à un petit chiot qui vient de faire une bêtise… Comment réussir à lui en vouloir ? Et est-ce qu’elle était en colère, déjà ?

Assurément, elle avait été piquée au vif, ne comprenant pas pourquoi Kaito écrivait des choses aussi vulgaires les mettant en scène alors que… Ben il l’avait elle, elle était disponible et leur relation était de plus en plus osées. Dans ce cas, pourquoi prendre la peine de rédiger puisqu’il n’avait qu’à lui sauter dessus pour réaliser ses désirs ? De prime abord, Kara était dépassée et les explications vinrent d’un coup, Kaito semblait abattu, les épaules basses, le regard implorant…

« Je. »

Elle le laissa pourtant parler, sentant son cœur se serrer en constatant comme il avait l’air coupable. Sa voix elle-même semblait d’abord morne, puis reprit une vigueur désespérée.

Et ce qu’il lui dit la troubla. Ouvrant la bouche sous le flot des paroles, et l’impact qu’elles avaient sur elle, Kara déglutit et à mesure qu’il s’expliquait, c’était elle qui devenait blême. Merde, sa franchise la désarçonnait totalement, ils n’avaient jamais parlé de tout ça, et pire, la jeune femme évitait ses sujets de conversation qui la paniquaient. Mais là… trop tard, Kaito venait de tout balancer.

Il fantasmait sur elle ? C’était tellement flatteur… Tellement inespéré, en réalité. Elle n’avait pas l’impression qu’elle puisse réellement faire fantasmer quelqu’un, même si leur relation était fusionnelle, et qu’elle avait parfaitement analyser qu’il suffisait qu’elle l’embrasse, ou juste le regarde, pour l’enflammer.

Mais cette fois, c’était verbalisé. Elle en avait le souffle coupé, t’autant qu’il avait dit ces quelques petits mots très effrayants. Souvent, ils réclamaient une réponse à l’identique, et elle se sentait incapable de les prononcer.

« C’est… » La tension entre eux deux était palpable, mais elle choisit délibérément de la briser, en écartant les bras pour l’enlacer. Le voir aussi mal n’était pas supportable. « J’aurais jamais cru qu’on puisse rêver de moi. » Elle eut un petit rire, qui détendit fatalement l’atmosphère.

« Je tiens à toi, Kaito. » C’était le max qu’elle puisse lui dire, du moins, à jeun ou loin de l’état de transe après leurs séances de sexe. Un sourire tira ses lèvres alors qu’elle y songeait, et elle enfouis son visage dans son cou en se hissant sur la pointe des pieds.

« Tu as envie de mises en scène ? » Avec une voix amusée, espiègle mais chaude, elle souffla contre sa peau, remontant lentement jusqu’à son oreille.

« Je suis mauvaise actrice, tu sais, mais avec toi, je crois que je peux tout faire. » Elle venait de chuchoter tout doucement son nez recevant les gouttes d’eau de ses mèches trempées qui gouttaient. Elle le frotta contre sa joue en ronronnant. « Tu crois que j’arriverai à jouer les salopes ? Hein, Kaito ? C’est ce que tu veux ? Que je marche à quatre pattes vers toi comme une panthère, et que je m’acharne sur ta queue ? »

Kara était déjà excitée. Leur altercation avait eu un effet dévastateur sur elle. Elle avait eu peur d’avoir été trompée, flouée, trahie. Et de constater qu’il n’en était rien renforçait sa confiance, l’affection et le terrible désir qu’elle avait pour lui. Un désir dévorant. De plus en plus grand. Quand il la regardait, elle pouvait tout faire, tout être. Elle s’y connaissait en jeux de rôle sur sa console, elle voulait lui en mettre plein la vue. Sa bouche s’ouvrit pour laisser passer sa langue et lécher le lobe de son oreille, en venant le mordiller, doucement, puis plus fort, pour le faire couiner.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 29 jeudi 21 janvier 2021, 09:37:36

Un aveu, elle lui faisait un aveu. Bien qu'elle rit, Kara avouait un mal-être, une frustration. Kaito explosait de bonheur et de joie en vivant la réaction immédiate de sa chérie. Il avait douté pour rien, aurait dû lui parler plus tôt et faire abstraction de son caractère pour se confier en toute franchise. Un verrou s'ouvrait dans leur relation, un boulevard d'émotions, de sentiments l'assaillit. Il voulait pleurer, de joie, de bonheur, de soulagement, de stress dissipé. Et Kara riait, l'enlaçait et se repaissait de sa peau. Il avait fallu cet épisode malheureux pour que les choses soient dites, et même si la jeune femme se montrait plus réservée dans sa déclaration, Kaito trouvait que c'était déjà bien assez.

Taquine, elle l'alluma dans le sens qu'il avait toujours voulu. Il hocha la tête. Oh oui, il avait envie de mises en scène, de franchir un palier de plus dans leurs jeux sexuels. Et c'est ce qu'elle faisait. Elle le branchait vulgairement et les mots qui passaient ses lèvres soufflaient un air de vérité. Elle lui pinca l'oreille en le mordillant et il lâcha un petit cri de surprise.


"Salope!" Aucun filtre ne viendrait plus jamais empêcher leur relation. Kaito se répéta.

"Salope! Je sais ce que tu veux." Oublié le petit moment malheureux qu'ils venaient de passer.

"Que je te baise comme une chienne!"


Il la retourne et la plaque contre le mur. Sous sa serviette qu'il retire, il est déjà raide comme un piquet. Il colle son sexe entre les fesses de Kara, pressant contre sa culotte. Il grogne. Il en faut si peu pour qu'il s'enflamme. Il glisse ses mains sous le t-shirt trop grand qu'elle porte et lui emprisonne les seins fermement. Il bouge contre elle, s'excitant mutuellement. Quand il a assez profité de sa poitrine, il glisse une main par derrière, entre ses cuisses, et baisse la culotte pour exposer ses accès intimes. Il la veut. Son pouce encore humide s'enfonce sans ménagement dans ses fesses tandis que son index et son majeur disparaissent dans sa chatte déjà trempée. Question démarrage, elle n'est pas la dernière. Kaito crochète ses doigts dans les orifices de Kara et s'engage à explorer chaque millimètres de ses intimités. Un long moment passe. Les gestes de Kaito sont plus secs, plus incisifs, il s'enfonce loin en elle, change de doigts, en met plus, les deux petits dans le cul, les trois autres dans son vagin. La paroi fine de la salle de bain tremble sous la poussée du corps de Kara. Chez elle, elle ne se retient jamais. Ses gémissement syncopés résonnent sur le carrelage dans la petite pièce. Quand il la sent vraiment gigoter, il la tire de deux pas en arrière et la plie en deux, les bras en extension contre la paroi, les jambes bien écartées.

"Tu bouges pas!"

Kaito s'agenouille derrière elle et vient goulument lécher sa chatte. Il la bouffe salement et rapidement, la salive qu'il étale goutte et  s'étire en longs fils jusqu'au sol. Elle a passé le stade du plaisir et tremble en ayant la plus grande difficulté à rester dans cette position.

"Tu bouges pas!!"

Kaito a très envie de ... il insère un doigt entre ses lèvres, envahissant à nouveau le vagin de la jeune femme, puis un deuxième, rapidement rejoint par deux autres. Kaito resserre ses doigts en cône et la prend comme s'il la baisait, avant d'y ajouter le pouce. Il marque une pause. Le vagin de Kara est dilaté autour de lui. Il continue son invasion jusqu'à ce que ses dernières phalanges passent non sans difficulté l'accès au jardin secret.



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