Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

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Kara Desco

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    Description
    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^
La musique était super forte et les sièges vibraient.

La peau de Kaito avait un goût salé, alors qu’elle faisait remonter sa langue le long de son cou, laissant un sillon de salive léger former une belle ligne qui épousait sa jugulaire.

A l’écran, les couleurs défilaient rapidement à un rythme éblouissant à vous donner mal au crâne.

Ses dents vinrent mordiller le lobe de son oreille, son nez frottant le cartilage fin suivant les mouvements brouillons de son visage qui s’enfonçait dans son cou. Sa respiration était hachée et couverte par des bruits synthétiques de lasers, d’explosions, ou de n’importe quoi d’autre.

La salle était petite, les sièges assez vieux et grinçaient, inconfortables en réalité. Ils étaient engoncés entre deux accoudoirs au velours dépassé.

Sa main était froide, malgré tous les efforts qu’elle avait pu faire et les caresses enflammées sur son torse par-dessus son t-shirt, à cause de cette foutue climatisation, lorsqu’elle effleurait le nombril de l’Etudiant pour descendre ses doigts sous sa ceinture en les tortillant.

La bataille spatiale était épique, vraisemblablement, mais lorsqu’elle perçu le début de ce qui ressemblait à une protestation ou un gémissement, Kara plaqua sa main libre sur la bouche du Petit Kaito en collant ses lèvres contre son oreille.

« Chhhh… Regarde l’écran. »

Elle garda sa paume sur sa bouche pendant que l’autre avait enfin réussi à passer et la ceinture, et l’élastique de son boxer, respirant toujours aussi fortement contre son lobe avec une ardeur décuplée par la nécessité d’être discrets.

Kaito occupait toutes ses pensées depuis deux jours.
Elle s’était retenue de lui envoyer des sms, par dignité, sans doute.
Et elle avait trouvé un moyen infaillible pour fuir sa vie, pour oublier, pour s’évader très loin. Non, pas l’alcool, l’alcool coûte cher, et la peau de Kaito, elle, est disponible partout. Même au cinéma, en pleine journée, pendant que tout le monde travaille ou est à l’école, et que la salle est vide.

Ses doigts semblèrent trouver ce qu’ils cherchaient au vu du soupir rauque qu’elle souffla par les narines, et vinrent enserrer son sexe déjà plein de vigueur.

« Hé bah… le film te plait, hein… » Ronronna Kara doucement, glissant sa main lentement dans son pantalon dans un mouvement de va et vient.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 1 jeudi 07 janvier 2021, 21:49:31

Après l'épisode du métro, la salle de cinéma tenait plus de l'hôtel de luxe que de la petite animation de quartier. Personne à cette heure de la journée, l'obscurité seulement perturbée par les éclats de l'écran, un fauteuil plus confortable qu'une banquette en skai et par contre, Kara, en mode vampire assoiffé. Ces deux derniers jours, Kaito avait remarqué la manière qu'elle avait eu de lui tourner autour comme un fauve devant un bout de viande inaccessible. Il était même surpris qu'elle ne l'ai pas entreprit plus tôt.

Lui, de son côté, avait surtout fait acte de présence, être présent pour elle et l'accompagner dans cette épreuve difficile qu'était un licenciement. Ils n'en n'avaient que très peu parlé et lui même s'était surtout concentré sur de petits gestes d'attention qui prouvaient tout son attachement à la jeune femme. Les cours pouvant être suivis en ligne, sa présence à l'université n'était pas obligatoire et pour son boulot au club, ce n'était que deux à trois fois par semaine le soir.

Rapidement, Kara avait demandé à sortir marcher un peu et au final ils avaient déjà arpenté une sacrée partie du quartier où elle vivait. Cette proximité avec Kara était une toute nouvelle expérience pour l'étudiant. Flirter, parler avec une fille plus de dix minutes, sortir en se tenant la main ... Il était peut être un peu maladroit parfois mais elle ne relevait jamais rien, haussant juste un sourcil "presque" moqueur.

Le cinéma duquel ils avaient poussé les portes n'était qu'à deux rues de chez elle et il repassait l'épisode II de la saga starwars. Pas le meilleur ... mais ça leur changerait les idées.

Kara avait tenu ... presque vingt minutes avant de lui grimper dessus. Ca avait commencé par une main sur sa cuisse, par une épaule contre la sienne avant un assaut franc de sa bouche sur son cou. Quand les doigts fins se saisirent de son sexe, il voulut lui rendre la pareille mais elle l'en empêcha très clairement. Il essaya de parler mais en fut également censuré par une main inquisitrice. Kaito essaya même de glisser ses doigts entre les cuisses de Kara mais non, pas moyen! Et bien mademoiselle ? C'était excitant, exaltant. Il suivit les vas et viens en appuyant le mouvement de son bassin. Un gémissement s'échappa de ses lèvres closes. Plus fort s'il te plait Kara!

Le jeune homme s'agrippa aux accoudoirs et jeta sa tête en arrière, s'arc boutant contre le dossier. Son sexe le brulait et quitte à avoir quelque chose à prendre, il s'offrit comme fourreau les doigts de Kara à baiser.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 2 jeudi 07 janvier 2021, 22:32:02

Kaito était très mignon.
C’était ce qui lui venait à l’esprit quand elle pensait à lui, à chaque fois.
Elle s’en fichait, du film. Déjà, parce qu’elle avait vu la saga trop de fois pour réussir à s’enthousiasmer pour cet épisode, et ensuite parce qu’elle n’aimait pas la science-fiction. N’importe quel navet aurait fait l’affaire, elle voulait être avec lui. Quand elle enfouissant son visage entier dans le creux de son cou, le monde disparaissait et les sons étaient psychédéliques. Il était beaucoup plus efficace qu’une drogue pour elle.

Passer vingt minutes juste à côté de lui, sans bouger, c’était suffisant. Assez pour qu’elle tente une seconde de se persuader qu’ils allaient regarder le film sagement et que peut-être, après le ciné, elle pourrait lui demander de monter chez elle. Le temps d’un battement de cœur, elle avait abandonné l’idée et lui avait sauté dessus.

Maintenant, sa main pressait son sexe dur qui pulsait contre sa paume, l’enserrant plus fort de ses doigts, trop compressés par les couches de tissus, et la position. Mais sans être sûre d’en avoir conscience, la situation augmentait son excitation. Devoir se coller à lui dans une position inconfortable, avoir mal au bras contre l’accoudoir, se tordre un peu pour atteindre son cou, grignoter sa mâchoire en inspirant profondément le parfum de sa peau… L’ivresse l’envahissait, chauffant ses joues, l’intérieur de ses cuisses, ses lèvres brûlantes.

Incapable de se retenir malgré le lieu, dans un état second, ses mouvements s’accentuèrent et gagnèrent en intensité, embrassant avec un appétit de forcené sa joue à la limite des doigts qui barraient toujours sa bouche. Son gémissement passa la barrière difficilement, mais parvint à ses oreilles, et elle pressa sa main sur son visage pour le tordre légèrement.

« Tais-toi, trésor, tais-toi. »

Grogna-t-elle en relevant le nez assez pour le regarder dans les yeux, des yeux de fauve qui brillaient dans la pénombre stroboscopique de la guerre colorées en arrière-plan. En vérité, les sons de Kaito la rendaient folle, et elle préférait éviter de l’entendre couiner, de peur de vraiment ne plus rien contrôler.

Pour l’y inciter, elle retourna coller sa bouche à son oreille pour susurrer d’une voix chaude.

« Je vais descendre te sucer, mon ange, si je t’entends, j’arrête. »

Elle estimait que cela suffirait à le motiver, et sentit immédiatement contre sa main sa queue palpiter, lui arrachant un sourire carnassier qui avait luit dans l’obscurité. Délicatement, elle retira un à un ses doigts sur sa bouche, tout doucement, en l’observant avec attention. En récompense, et surtout parce qu’elle n’en pouvait plus, Kara vint l’embrasser goulument, son ardeur ne faisant qu’augmenter la pression de sa main comprimée sous le boxer.

En se décrochant de lui dans un bruit de succion, sa langue passa sur ses lèvres, et elle lui adressa un petit clin d’œil complice.

Avant de se pencher totalement pour venir se battre avec la ceinture, boutons, braguette, élastique. Une banalité qu’elle était étonnée de réussir à franchir sans trop lutter, en tirant une certaine gloire. Et une confiance accrue pour diriger sa hampe dressée et brûlante entre ses lèvres. Elle aurait bien aimé faire monter le plaisir, l’aguicher un peu, sembler maîtresse de la situation… Mais elle était trop impatiente, trop assoiffée, trop excitée.

Alors qu’elle englobait sa virilité avec empressement, ses mains arrangeaient comme elles pouvaient, et à l’aveugle, l’inconfort de ce jean qui frottait contre ses joues, ouvert à la hâte.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 3 vendredi 08 janvier 2021, 17:17:02

Ca, c'était un commentaire de salope. Kaito le pensa très fort mais comme commandé, il ne dit rien. Cette facette  de la personnalité de Kara le fascinait. Autant elle pouvait être réservée ou distante, autant comme à présent, elle diffusait une énergie sexuelle possessive à la limite de la vulgarité. Et il adorait cet état. On était en plein dans un manga de cul où Kara-sama décidait de lui appliquer un thérapie sociale plutôt sympa.

Bien sûr (pour l'instant), il n'oserait pas lui donner un petit diminutif bien senti mais quand une fois encore, elle vint lui glisser une insanité à l'oreille, il voulut lui répondre de la même manière. Il l'aurait bien appelé petite cochonne, salope, ou d'autres trucs dans le genre pour jouer et pimenter la séance un peu plus. Est-ce qu'elle apprécierait? Peut être pas à ce stade.

Il gémit encore en se raidissant quand il sentit les lèvres de la jeune femme se refermer autour de son sexe. Bon sang, cette bouche le rendait fou! D'un geste brusque, il resserra ses doigts sur la nuque de la jeune femme, prêt à appuyer mais comme elle le voulait, il se contint dans un effort énorme pour retirer sa main et la laisser faire.

Il haletait, soufflait. La fellation était divine, outrageante. Deux fois, il faillit éjaculer et eut un mal fou à se retenir. Il en tremblait sur son fauteuil. Kaito fermait les yeux en fronçant les sourcils. Il écarta ses jambes pour laisser un passage plus évident. Merde! Plus fort salope! Euuuh Kara!

Quand la fiction devient réalité ......

Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 4 vendredi 08 janvier 2021, 18:45:38

Le goût de son sexe sur sa langue lui avait manqué, et le sentir pulser et pousser ses lèvres comme le faire glisser contre son palais avait un effet démentiel sur elle. Il y avait quelque chose d’instinctif qui s’éveillait en elle lorsqu’elle le regardait, alors qu’on aurait pu croire que ce type de désir puisse naître en admirant un homme d’âge plus mûr.

A vrai dire, à ses oreilles les bruits vifs de frottement de ses mains et de succion avaient éclipser les sabre-lasers et les autres conneries de ce film lamentable. Et plus elle l’enfonçait loin, plus elle avait ce petit doute qui l’excitait au plus haut point. Est-ce qu’elle va l’entendre ? Est-ce qu’il va tenir ? La tension dans les jambes de l’Etudiant était palpable, au point que Kara agrippa sa cuisse pour essayer d’obtenir un meilleur angle.

Mais en réalité, les mouvements qui semblaient être dominateurs et assurés ne reflétaient que la perte de contrôle, petit à petit, succombant aux pulsations puissantes contre sa langue, aspirant avec fièvre son sexe avec l’incroyable conviction qu’elle voulait le dévorer. Mais vraiment. Est-ce que c’était possible qu’il y ait une alchimie assez puissante entre eux pour qu’elle pète un plomb ? Déjà, se tripoter au cinéma lui semblait la limite raisonnable…

Alors, sa tête qui montait et descendait vivement en écrasant son nez contre son aine, ça, c’était vraiment déviant. Ils pouvaient être surpris, facilement en plus vu qu’on pouvait se douter qu’un couple seul dans une petite salle en pleine journée en profiterait sans doute. Le projectionniste pouvait-il les voir d’ici ?

Elle sentait Kaito se crisper, et plus il avait l’air de se retenir, de parler ou de jouir, plus cela jouait sur une sorte de corde sensible chez elle. C’était pervers. Kara avait du mal à maîtriser cela : quelque chose la poussait à continuer, à empoigner avec fermeté sa queue, à le sucer plus fort, à lever l’autre main jusqu’à son visage pour lui enfoncer l’index dans la bouche.

Il serait plus courtois d’arrêter maintenant, plutôt qu’encore torturé le supplicié ? Kara souffla longuement dans un dernier va et vient profond qui la laissa frémissante, avant de se décrocher de son sexe dans un bruit obscène. En raclant ses lèvres avec ses dents, tout en se redressant, elle serpenta jusqu’à sa bouche, en retira son doigt, et l’embrassa en gémissant, comme si enfin elle se le permettait.

« Bordel, Kaito, t’es vraiment un gentil garçon. »

C’était si mignon.
Elle craquait.
Et tout ça en réussissant à se retenir de lui gicler dans la gorge. C’était assez stylé pour qu’elle le félicite, elle-même plutôt admirative. Ce qu’elle venait de dire c’était un compliment, hein. Même si dans la situation, cela aurait pu avoir une toute autre consonnance…

Elle avait envie de lui. Lentement, elle releva sa robe et poussa juste ce qu’il fallait le mince tissu de sa culotte, se levant pour venir s’asseoir sur lui. Lui exposant son dos, appuyée sur le dossier de la rangée devant eux, elle dirigea d’une main son membre visqueux de salive pour descendre doucement, tout doucement, et se faire empaler complètement, se mordant la lèvre.



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 5 samedi 09 janvier 2021, 10:53:02

Elle savait y faire et mieux encore, Kaito voyait bien qu'elle se délectait de cette fellation inopinée. La scène lui fit penser une fois encore à l'anime "Stringendo angel" où l'héroïne est une affamée de sexe et passe son temps à genoux devant le jeune étudiant. Si Kara prenait cette direction là, ce n'est pas lui qui l'en empêcherait. Elle lui écarta les cuisses un peu plus pour l'engloutir plus facilement. Elle y allait vraiment fort cette fois-ci. Il aurait adoré avoir un miroir pour la regarder faire, c'était déjà fascinant de voir la tête de la jeune femme plonger et remonter d'entre ses jambes en écoutant les bruits de succions accompagnant sa pipe. Encore une fois il faillit exploser, se retint à grand peine même quand elle détourna son attention en lui donnant son doigt à sucer.

"MMMMfffffff" Il mordit doucement pour exprimer sa frustration et son désir.

Une dernière fois, elle l'aspira longuement pour le relâcher sans discrétion aucune. Heureusement qu'il n'y avait personne. Les bruits qu'elle faisaient étaient plus qu'explicits. Elle l'embrassa lui rendant son propre goût ... qu'il aima. Bon sang, qu'il avait envie de la toucher!

Kara avait de la suite dans les idées. Toujours dans son lead, elle ne mit pas longtemps à venir sur lui pour se l'enfoncer à sa guise. Quand elle le prit totalement et fut assisse sur ses cuisses, Kaito se pencha en avant pour poser son front contre le dos de son égérie. Il avait la tête en feu. Pas que la tête d'ailleurs. Une violente convulsion le tendit et en serrant les dents à se les briser, il se répandit en elle, d'un coup, sans prévenir, vaincu par le petit volcan qui s'agitait sur lui.

L'éjaculation fut énorme, il avait dû lui remplir le ventre puisque out se suite, dès qu'elle bougea, du sperme coula de son vagin brulant. Il haletait, tout pantelant, épuisé de s'être autant retenu.

Toujours dur en elle, il souffla contre le dos de Kara. Mais qu'elle le laisse faire! Il se rejeta en arrière contre le dossier mou et poussa son bassin vers le haut pour inciter sa compagne à y aller.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 6 samedi 09 janvier 2021, 15:41:18

Les pulsations en elle la raidirent d’un coup et elle dut agripper d’une main le dossier du fauteuil de devant, et venir mordre l’autre pour éviter de trop piaffer de plaisir. Savoir que le Petit Kaito était arrivé au bout de sa résistance et n’avait pu faire autrement que se lâcher l’emplissait d’un sentiment puissant de délectation, de confiance, de plénitude.

Kara sentait ses entrailles en feu et elle se savait dégoulinante, mais un petit coup de rein de la part de Kaito la fit tressauter.

Ragaillardie, elle sortie de sa demi-transe pour ricaner et se dandina sur son sexe avec malice, le souffle de Kaito contre sa nuque lui donnant des sueurs froides. Il était si dur encore en elle ! Avec un regain d’énergie, son corps ondula de nouveau, reculant son dos jusqu’à se coller à lui, et venir plutôt prendre appui sur les accoudoirs en serrant les mains de l’Etudiant, imposant de langoureux et profonds mouvements.

Plus lente, mais aussi plus intense, Kara soupira comme une bienheureuse en posant son crâne contre Kaito, portant l’une des mains du jeune homme jusqu’à sa bouche pour l’embrasser, puis sucer son pouce avec passion.

Elle se sentait bien, elle avait oublié tout le reste du monde et ses problèmes, elle voulait qu’il reste en elle pour toujours. En fermant les yeux de plaisir, la jeune femme gémissait légèrement, consciente de la nécessité de rester discrète, mais incapable de se taire totalement lorsqu’elle faisait danser ses hanches contre ses cuisses.

Et puisqu’ils n’avaient jamais réellement parler de leurs expériences passées, Kara ne s’imaginait pas à quel point toute leur relation était nouvelle pour le petit Etudiant. Elle préférait sans doute l’ignorer et éviter de se poser la question pour le moment.

Dans un bref sursaut conscient, Kara ouvrit les yeux et se releva lentement les cuisses poisseuses, avant de se tourner pour se jeter sur sa bouche. Ses lèvres n’étaient pas assez accessibles dans la position précédente, elle ne pouvait pas s’en passer autant de temps. Debout, penchée sur lui, la jupe encore relevée au-dessus des fesses, Kara avait totalement oublié le film. Ses bras enlacèrent son cou comme une amoureuse trop collante.

« T’es pire qu’une drogue… »

Murmura-t-elle contre son menton en le mordillant.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 7 samedi 09 janvier 2021, 17:56:25

Un autre jour, un autre moment.



Depuis l'épisode du cinéma, Kaito remarquait que Kara se faisait plus entreprenante. Pas entreprenante comme on pourrait l'entendre mais de manière plus subtile. Un regard en biais, un effleurement volontaire, une pose provocante. La jeune femme libérait une sensualité qui mettaient les nerfs et la résistance de Kaito à fleur de peau.

Du coup il s'était mit à faire la même chose, peut être moins à l'aise que sa petite amie mais quand même, à sa manière à lui. L'effet ne fut pas celui attendu car Kara se débina à chaque fois en jouant l'effarouchée. Elle jouait. D'accord! On allait donc jouer. Kaito cessa ses manigances et attendit le moment propice pour lui rendre la monnaie de sa pièce.

Celui-ci se présenta un matin alors que les deux tourtereaux étaient sortis se promener un parc. La ballade avait été très agréable et ils avaient pu arpenter les allées désertes en profitant d'un bon air frais. Kara portait alors une jupe courte et Kaito avait eu ses petites fesses sous le nez durant tout le parcours. Ils étaient revenus en métro et durant le trajet, la rame s'tait arrêtée sur les voies, un arrêt mineur avait annoncé le machiniste. Seulement, l'arrêt mineur s'était éternisé et comme à l'accoutumée, les rames étant pleines, la tension était vite montée d'un cran. Kaito avait réussit à se glisser dans un coin du wagon et y avait tiré Kara qu'il gardait contre lui, un bras autour de sa taille. Une secousse fit trembler le wagon et plusieurs voyageurs crièrent d'effroi. Un mouvement s'ensuivit et Kaito se retourna brusquement, entrainant Kara pour la protéger d'un coup éventuel. Néanmoins, la situation se calma très vite et ils furent coincés dans cette position. Contre le dos de Kaito, des gens s'amoncelaient. Kara, elle, était emboitée dans le jeune homme et ses fesses frottaient contre son entrejambe. il était difficile de rester debout. L'étudiant réussit quand même à attraper deux poignées sur une barre en hauteur et les fit coulisser au dessus d'eux.


"Accroche toi à ça!"

De toute manière, elle n'avait pas le choix sinon ils risquaient de tomber. Une fois qu'elle eut les mains en l'air, Kaito ne perdit pas de temps et remonta discrètement la jupe serrée. Son corps faisant écran, il sourit au reflet de Kara dans la vitre avant de lui faire un clin d'œil. Le fantasme du métro ... une référence du hentai! Le jeune homme glissa une main entre eux pour caresser les fesses exposées.

"Chhhuuut ! Je t'interdis de lâcher les poignées!"


En bataillant un peu, il écarta l'élastique de la culotte et passa un doigt dans la raie des fesses, directement contre l'anneau de chair qui se contracta à son toucher. Kaito plongea son nez dans les cheveux de Kara et inhala profondément. Puis tout comme elle, quelques jours avant, il se délecta de la peau e son cou et du lobe de son oreille, le mordillant et le tirant tendrement.

"Tu te rappelles la dernière fois? Nous deux, dans le métro?"

Sa main libre passa devant elle et investit l'entrecuisse de la jeune femme. Une nouvelle secousse fit crier les mêmes voyageurs et du coup, provoqua l'appui de Kaito sur sa compagne. Une résistance céda .... son majeur fut aspiré tandis que devant, il crocheta sa main sur la chair tendre d'une cuisse découverte.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 8 samedi 09 janvier 2021, 19:50:27

Est-ce qu’elle se rappelait la dernière fois où ils avaient été aussi collés dans le métro, tous les deux ?
« O… oui. »



Elle n’avait pas beaucoup de place dans cet espace étriqué et il fallait avouer qu’au début de l’incident, Kara n’avait pas été très à l’aise. Et l’attitude de l’Etudiant l’avait fait craquer, un peu, voyant comme il se plaçait habilement pour lui éviter d’être trop secouée, un vrai gentleman. Au début, au moins, elle n’y avait vu que du feu, levant les bras pour s’accrocher aux poignées en songeant qu’il était assez agréable de pouvoir compter sur quelqu’un, se reposer sur le Gentil Kaito…

Mais une fois sa prise bien agrippée, elle croisa nettement son regard dans la vitre alors qu’elle sentait le tissu de sa jupe se lever pour découvrir ses fesses. Elle écarquilla les yeux en observant Kaito, ne pouvant s’empêcher de silencieusement lui adresser un petit sourire entre le défi et la menace. Son clin d’œil l’acheva. Il allait le faire. Quel enfoiré. La caresse de sa main confirma ses intentions lubriques et Kara frémit contre son dos.

Son tendre petit Etudiant souffla si près de son oreille son instruction qu’elle crut défaillir avant même de sentir son doigt entre ses fesses, son geste la choqua autant qu’elle l’électrisa, immédiatement, et elle serra fort les poignées comme pour se souvenir de l’interdiction de les lâcher.

A son reflet, elle adressa un regard presque agressif, plissant les yeux comme pour lui signifier qu’il ne perdait rien pour attendre, et finalement, même si elle mourrait d’envie de lui dire qu’elle n’avait rien à faire de ses ordres, de se retourner pour l’embrasser, l’excitation de se retrouver contrainte, serrée, et d’être pourtant libre de ses mouvements de mains la mettait dans un état de transe quasi-instantané.

Elle était prisonnière de ses ardeurs et voir son image floue face à elle, alors qu’elle voyait ses lèvres bouger venir chatouiller son oreille, associé au souffle brûlant et cette voix… Oh, cette voix…

Est-ce qu’elle se rappelait la dernière fois où ils avaient été aussi collés dans le métro, tous les deux ?
« O… oui. »  Articula Kara, se rendant compte que sa gorge était devenue sèche, se contractant en sentant qu’il ne voulait pas garder son autre main sage très longtemps. A nouveau, tout la wagon tangua et elle sursauta certes, mais ce n’était pas la conséquence de l’indicent du métro non. Le sentir s’enfoncer en elle lui arracha un couinement qu’elle retint du mieux possible, fermant les yeux et fronçant les sourcils avec contrition.

Pourtant, se concentrer pour se tenir aux poignées, faire attention à garder l’équilibre, réussir à paraître normale au milieu de tous ces gens serrés, la morsure sur le lobe de son oreille, oh, bordel, ses deux mains sous sa jupe… L’amalgame la rendait tremblante comme une débutante, la jointure de ses doigts blanchit alors qu’elle les serrait si fort sur le plastique usé.

 « Tu te venges, hein ? » Chuchota-t-elle, le visage exprimant l’émoi profond qu’il lui procurait si facilement. « Avoue. »



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 9 samedi 09 janvier 2021, 22:18:08

Kaito prit tout son temps pour lui répondre, et plus encore. Du but de son nez, il suivit la ligne de la mâchoire de Kara jusqu'à revenir à son cou gracile.
Il chuchota tout comme elle, conscient que de toute manière, seule la jeune femme l'entendrait. Dans le wagon, autour d'eux, les usagers des transports baignaient dans leur jus en attendant que la panne ou l'incident technique qui les ralentissait soit résolu.


"Mais bien sûr que je me venge. Tu ne crois pas que j'allai laisser passer une occasion pareille. Je te découvre un peu plus chaque jour et ... je commence à connaitre tes faiblesses."

Pour confirmer ses dires, il releva le poignet et par là même, pénétra ses fesses plus profondément.

"Et bien Kara? Vous êtes bien réceptive ... ou alors peut être devrais-je te tutoyer comme..."

Il grogna sourdement dans son oreille.


"C'est comme ça que t'aimes être prise hein?"

Son ton hargneux contrastait avec sa politesse précédente. Il jouait sur les deux tableaux testant sa petite amie. A la douceur de sa voix s'accompagnaient des gestes doux et lents, à sa rudesse, des poussées beaucoup plus fermes et répétitives.

'Mais aussi peut être joues tu la comédie pour en avoir plus?"

Sans difficulté, il introduisit un second doigt dans l'anus de Kara et aussitôt il la doigta fermement , en rythme, sans s'arrêter. Un homme derrière lui le bouscula en s'excusant. Kaito crocheta ses doigts et se retourna à demi, présentant le profil de Kara.

"C'est pas grave, vous inquiétez pas, on est tous les uns dans les autres de toute façon, faut juste prendre son mal en patience."

L'homme approuva et leur souhaita une bonne journée.

"Tu as bien profité de cette pause?"


Kaito embrasse Kara sur la nuque.

"Tu n'as pas idée de ce que j'ai envie de te faire."

Avec Kara, plus de timidité. Le jeune homme est passé au delà de cette barrière naturelle et n'a plus de limites. En tout cas, plus depuis l'épisode du cinéma. Il bat des doigts dans l'anus ouvert.

"Je suis sûr que tu pourrais en prendre plus ... Il te suffirait juste de demander."

Pas jalouse, son autre main s'active à la caresser par devant sans toutefois s'introduire en elle. L'exclusivité de l'action est anale. Kaito se veut incisif, il ondule lui même contre sa partenaire, la force à tirer sur la poignées, à se dresser sur la pointe des pieds sous peine d'être plus infiltrée.


"Je pourrai te ... prendre ici, devant tout le monde ..."

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 10 dimanche 10 janvier 2021, 00:06:19

Elle restait suspendue au mouvement des lèvres fantomatiques de la vitre sale en attendant qu’il parle. Le timbre de sa voix était immoral. Il faisait preuve d’une telle assurance, elle lui explosait au visage et la transcendait.

Comment c’était possible d’être aussi cute quelques minutes avant et d’être un vrai démon en un battement de cils ? Elle se contracta à chaque mouvement, tanguant un peu en se laissant aller un instant au plaisir qui léchait désormais ses cuisses et remontait dans son ventre.

Il la vouvoyait.
Quel enfoiré.
Kara se mordit la lèvre en baissant la tête, comme si elle voulait éviter de lui offrir le plaisir de cette vision, mais la situation la rendait dingue. La tension dans ses bras s’accentua alors qu’elle se hissait comme elle pouvait pour avoir une quelconque incidence sur ses mouvements de main, en sentant la sueur perler à son front. Sans doute toute cette promiscuité… Rien à voir avec cette voix qui résonne dans son crâne, et le souffle contre son oreille. Le souffle contre son oreille.

« Bordel. »

Elle a à peine ouvert la bouche, pestant entre ses dents en roulant les yeux quand il demande si elle aime être prise ainsi. Et si quelqu’un les voyait ? Un sursaut fait resserrer ses cuisses, elle a du mal à lui répondre, et essaye de garder la face, en vain.

« Bien sûr… que je joue la comédie. »

Elle n’y croit même pas elle-même, c’est un délice, elle le sent bouger en elle avec obscénité et son corps derrière elle la bloque suffisamment pour qu’elle se sente compressée. Un second doigt. Kara fixe le visage flou de Kaito sur la paroi vitrée, sa poitrine se soulevant plus vite d’un coup. Le rythme devient plus intense, l’équilibre lui manque, elle sent la répercussion de l’homme qui vient de bousculer l’Etudiant jusqu’au fond d’elle. Il faut se retenir de piauler.

Et l’entendre parler à cet inconnu poli alors qu’il est en train de la prendre devant tout le monde l’exalte d’un coup. Il cause comme si de rien n’était, il contrôle sa voix, il contrôle ses mouvements, il contrôle même son cul. Du coin de l’œil, si elle se concentre, elle voit une partie de son visage s’approcher et elle évite de se coller un torticolis en reprenant sa place docilement. Kaito écrase sa bouche brûlante sur sa nuque, elle a une décharge électrique qui lui vrille le dos, et se cambre d’un coup, assumant le mouvement profond de sa main entre ses fesses.

Plus ? Oui ! Plus ! Non.
Elle avait déjà du mal à garder le silence, elle avait l’impression que tout le monde était parfaitement au courant de ce qu’ils faisaient. Ses jambes tremblaient de plaisir et elle se sentait humide, assez pour tremper ses sous-vêtements.

« N… Non, tu ne pourrais pas… » Souffla-t-elle, essayant de tourner le visage assez pour être plus discrète, mais ses muscles étaient trop tendus pour qu’elle y parvienne. « On va nous entendre. »

Elle dut s’interrompre pour refouler un gémissement, il se déchaînait sous sa jupe, et ses cuisses s’écartèrent pour contredire ce qu’elle venait de prononcer. Ses bras étaient douloureux tellement ils trimaient pour faire passer toute sa frustration sur les poignées. Il était diabolique.

« K… Kaito. Je peux pas me retenir moi. » Balbutia Kara, geignarde, comme si elle se plaignait ou le mettait en garde. Pourtant, ses fesses contre son bras et son entre-jambe ondulaient avec insistance, et ses yeux en amande ne lâchaient plus le reflet du si mignon petit Etudiant aux yeux de fauve, désormais. Elle déglutit. Il allait la bouffer.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 11 dimanche 10 janvier 2021, 10:24:50

"Oui je sais bien que tu ne peux pas te retenir. Ta démonstration prouve bien que tu aimes ce qui t'arrives non? Ah! Ne lâche pas les poignées j'ai dit! Tu aimes être prise sauvagement, braver les interdits, t'offrir sans pudeur réelle et ..." Encore une fois Kaito susurre à son oreille "te faire sodomiser par ton petit copain à la vue de tous. Petite perverse!"

Le troisième doigt dut forcer un peu plus pour rejoindre les deux premiers. Une fois bien installé à l'intérieur de l'étroit canal, Kaito se plut à les écarter pour élargir cet accès intime. Il ondulait contre Kara mais ce n'était rien à côté de la tempête qui la secouait, elle. Quand il décida de passer à une étape supérieure, l'étudiant abandonna l'entrecuisse trempé pour venir plaquer sa main contre la gorge de la jeune femme. Il la verrouilla et inclina sa tête contre son torse en extension. L'invasion anale fut plus sèche, plus abrupte, aussi bien en profondeur qu'en largeur. Seules les dernières phalanges retenaient une intrusion totale.

L'anal, Kaito avait lu que ou c'était tout bon, ou alors que ca ne passait pas du tout, il n'y avait pas de juste milieu. Depuis longtemps, ça avait été l'un de ses fantasmes les plus obsessionnels et sa première fois avec Kara avait été sensationnelle. Elle était totalement réceptive et secrètement, Kaito espérait bien que cela devienne récurrent dans leur relation. Cet aspect de la personnalité de l'étudiant ne le perturbait pas plus que ça. En revanche il fallait qu'il soit en totale confiance avec sa partenaire pour que ça aille. C'était le cas avec Kara, il se sentait pousser des ailes et repoussait ses limites (voulait repousser ses limites).

Il comprima légèrement plus le cou de la jeune femme en même temps qu'il affirmait un mouvement de piston dans ses fesses. Il y allait dur, elle encaissait bien.

Autour d'eux, un courant d'air frais circula indiquant le redémarrage des moteurs. Une secousse amorça l'avancée e la rame. Kaito supporta le poids de ses voisins le temps qu'ils se rétablissent. Le mouvement impacta directement la profondeur de la pénétration et il ajouta sournoisement son petit doigt dans l'orifice malmené. C'était beaucoup, il ne ferait pas plus cette fois-ci. Ses doigts étaient compressés, il les crocheta à nouveau avant de continuer à bouger en elle.


"Tu te rends compte que tu vas jouir sans que je me sois occupé de ta ... copine?"

Il augmenta encore le rythme jusqu'à ce que son avant-bras le brûle, et jusqu'à ce quelle vienne et inonde ses jambes.

Leur station approchait.


"C'était une vengeance ou une partie de plaisir, d'après toi?"

Lui même n'avait pas jouit bien qu'il soit resté dur comme un chêne tout le long de son petit jeu. Ce n'était pas grave, il se rattraperait à la maison. Il retourna Kara, contemplant l'ampleur des dégâts avant de l'embrasser tendrement et de la serrer dans ses bras.

Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 12 dimanche 10 janvier 2021, 14:00:32

Dès qu’il parle, c’est un déferlement de plaisir qui décuple ses sensations. Kara se mord la lèvre avec le plus de force possible, c’est une vraie torture de devoir s’imposer de garder les mains sur les poignées, il a senti lui-même qu’elle allait craquer et les retirer, mais ce rappel à l’ordre la force à obéir.

« Chhhhh… pas… pas si fort… » Elle avait l’impression qu’il hurlait tant il était collé à elle, et que toute la rame les écoutait. Tout ce qui venait de lui était amplifié par ses sens en transe. Elle ne pourrait pas tenir, elle lui avait dit, pourquoi il n’écoutait pas ? Oh, Kaito, c’est trop bon.

Kara piaffe au passage d’un doigt supplémentaire, fermant un œil avec appréhension, et mettant du temps à apprécier, avant de s’y habituer et de pincer les lèvres pour supporter la submersion énorme d’un vague de plaisir qui la fait tanguer maladroitement, ses bras fatiguent à force de la retenir.

Le coup de grâce vint sans doute de la poigne sur son cou qui lui coupe le souffle, l’obligeant à écarquiller les yeux, une seconde terrifiée par la sensation puis immédiatement déchaînée, son cerveau vrille.

Elle ne se rend même pas compte du changement d’ambiance dans le wagon, elle ne peut pas faire autre chose que penser à ces doigts, nombreux, qui la pénètrent sans ménagement. Elle se posera plus tard les questions adaptées sur cette pratique, elle verrait plus tard, elle allait exploser. Quand il hurle à nouveau, pour elle, à son oreille, c’en est trop, son corps se tend, elle serre les cuisses avec force, se contracte, se retient.

Elle a une seconde pour lâcher l’une des poignées de plastique qu’elle fourre contre sa bouche pour la mordre et s’empêcher de gémir fort, trop fort. Le son est mal retenu, tous ses traits se tendent et ses entrailles en feu se convulsent dans un chaos inexplicable.

Haletante, les membres tremblants, elle se laisse tomber en avant pour faire cogner son front sur la vitre, avant que Kaito ne vienne à son secours et ne la tourne face à lui. Elle a des paillettes qui volent quand elle ouvre les yeux et l’observe avec un sourire béat. Qu’est-ce qu’il est beau.

Dans cet état second de bonheur, elle est capable de lui dire toutes les conneries de la terre. Alors elle puise dans le peu de lucidité qui lui reste pour lui sourire et l’embrasser comme pour le remercier pour ce moment si particulier.

« Pourquoi ça pourrait pas être les deux… ? »



Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 13 dimanche 10 janvier 2021, 22:09:37

oOo

Il pleut.

Kara a les cheveux trempés et son t-shirt blanc aux imprimés criards à l’effigie d’un jeu en ligne un peu dépassé devient transparent. C’est pourquoi elle presse le pas pour aller se mettre à l’abri et entrer dans le premier bâtiment du campus qu’elle trouve à sa portée. C’est visiblement le réfectoire, parce qu’il y a placardé partout des menus et des tarifs divers. Des petites annonces, aussi. C’est vide à onze heures. Plus pour longtemps.

Au fond du couloir, elle entend les bruits de plats métalliques qu’on trimbale, le service se prépare. Kara grelotte mais persévère, actionne la poignée de toutes les portes sur son chemin jusqu’à en trouver une ouverte. Sortant son smartphone, elle prend en photo l’écriteau qui indique « réserve A16 » et s’y engouffre après avoir vérifié qu’elle n’était pas habitée…

C’est une petite pièce, où sont entreposés des ustensiles, des marmites, de grands plats carrés. Oh, tout est bien étiqueté. Kara pince les lèvres d’impatience, avant de retirer son t-shirt, et lève bien haut son téléphone portable. L’angle est avantageux, certes, mais le cliché de sa poitrine nue au milieu du métal bien catalogué est assez sexy. Elle en prend plusieurs, allant jusqu'à montrer le bas de son visage, sa bouche entrouverte, sa main entre ses seins.

Elle envoie alors la photo de la porte de la réserve à son petit Etudiant, qu’elle sait être en cours non loin.

Citer
Devine où je suis ?

Elle sait qu’il est mieux d’attendre pour parfaire son effet dramatique, mais ne peut s’empêcher de lui envoyer tout de suite après ses nudes, en sautillant comme une gamine qui commet une bêtise délicieuse. Merde, et s’il ne vient pas ? Elle frissonne. Il va venir, c’est sûr. Il ne va pas pouvoir résister. Quand la poignée de la porte tourne, son cœur se met à battre à tout rompre...



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 14 lundi 11 janvier 2021, 19:34:27

Emergence du Japon comme puissance technologique au XXe siècle. Développez les aspects de la transition entre un système féodal et un néo-capitalisme déguisé. PPPFFFF! Quel sujet barbant! Deux heures pour pondre une dissertation sur un thème ultra classique. Kaito pense déjà à l'après-cours et à  la journée qu'il a promis de passer avec Kara bien qu'il travaille au club le soir-même. Il n'a pas envie de se creuser les méninges et commence tout de suite à rédiger une introduction bateau quand son smartphone vibre dans sa poche. En temps normal, il ne s'en serait pas occupé mais sa petite aventure avec Kara le pousse jours après jours sur une pente qu'il apprend à affectionner. De consulter le message qu'il vient de recevoir lui donne l'impression d'enfreindre une règle sacrée. C'en est excitant au possible.

Discrètement, sous le panneau de sa table de travail, il déverrouille son écran et ouvre la discussion en cours avec sa miss qui est bien gentille de lui envoyer un coucou en classe. Kaito se liquéfie aussitôt et glisse sur sa chaise en cachant l'écran à ses voisins. C'est pas vrai !!


"Un problème Mr Nakajima?" demande le professeur de sa chaire.

"Euh non non désolé." répond t'il en se redressant.

Il laisse passer une minute pour regarder encore une fois la photo qu'elle lui a envoyé. Un chef d'œuvre de provocation, elle veut le faire mariner dans son jus et elle va réussir. Topless, en jean, ultra sexy posant comme un modèle au milieu de ...casseroles? Noooooooooooooooon!!!! Elle n'a pas le droit! Kaito connait cet endroit, il y a travaillé pour la fête de l'université de l'année dernière. Les cuisinières avaient besoin d'aide et il s'était porté volontaire pour ranger les cuisines. Kara n'a quand même pas osé faire ça? Faut croire que si! Le petit rituel qui s'est instauré entre eux prend de l'ampleur et Kaito ne compte ni se débiner ni laisser Kara prendre de l'avance dans leur relation. Là, elle a quand même fait fort. Cochonne!

La fin de la séance est interminable et le torchon que produit Kaito est une honte nationale. A la sonnerie, c'est dans un état d'excitation avancé qu'il se rue hors de la salle en bousculant même un camarade de classe qui n'en revient pas : Kaito qui court!

Le self est en effervescence. L'étudiant que tout le monde connait pour être calme et tranquille passe par dessus le comptoir de service et se précipite dans les dépendances des cuisines sous l'œil médusé d'une vieille femme qui passe la serpillère. Les jeunes d'aujourd'hui sont fous. C'est quelle porte déjà? Celle-là! Kaito l'arrache presque de ses gonds en l'ouvrant à la volée.

Kara est là, dans la même tenue, lui souriant effrontément.


"Salope! J't'adore! T'es toute à moi!"

C'est sorti tout seul, brut de décoffrage. Il claque la porte derrière lui, fait trois pas et enlace sa chérie pour lui rouler un patin titanesque. Il la tient fermement, la dominant de sa taille et la pressant contre lui. Il lui pelote les seins sans vergogne.

"J'ai pensé qu'à eux pendant deux heures, j'en ai mal à ...."


Kaito la couche sur le dos sur un chariot bas roulant, bataille avec sa ceinture et son futal après avoir viré ses chaussures. Il se place au dessus d'elle et glisse son sexe entre les seins de sa petite amie. Il se courbe en deux pour la serrer à demie contre lui et s'évertue à prendre l'objet de cette provocation. Il est dur, il est humide, il l'imprègne dès qu'il la touche. C'est dingue de la prendre comme ça alors qu'il a dix minutes, il était assis en classe. il n'est pas tendre et ramone contre la peau douce de la jeune femme qui n'a pas l'air de vouloir calmer la situation.




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