Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

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Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 30 jeudi 21 janvier 2021, 22:59:18

Dès qu’il l’insulte, sa bouche, son sourire, s’ouvre en grand, surprise elle-même par la vulgarité dont il fait preuve immédiatement, immédiatement réceptif, immédiatement excité, immédiatement fou. Elle le voit bien dans son regard, il vient de vriller et de passer du côté obscur ! Bordel, ce qu’elle aime ce regard ! Ce regard veut dire qu’ils vont déranger si fort les voisins, qu’ils vont franchir des limites, qu’ils vont oublier tout ce qui se trouve autour d’eux. Un nouveau shoot !

« Ha ! Des paroles, des paroles… »

Elle rit, elle rit sans se retenir à son oreille en se sentant elle-même partir en une seconde, se dandinant déjà d’impatience, sachant qu’il ne va pas résister longtemps avant d’agir. Gentil Kaito ! Il la retourne, elle voit au sol la serviette tomber, frémit en sautillant presque sur la pointe des pieds. Rah, ce grognement la rend dingue, elle écarte les jambes en se cambrant pour onduler sans douceur contre ce sexe qu’il colle contre ses fesses.

C’est trop bon, c’est déjà trop bon, et dès qu’il empoigne ses seins, c’est déjà l’explosion de ses couinements et de ses râles. Il sait. Il sait combien elle aime ça, il la manipule avec talent ! Quel enfoiré. Elle se mord la lèvre, lâche un juron, soupire brusquement.

« Putain. »

Rah, ses doigts, cette sensation qui l’envahit directement, la sensation d’être prise et comblée partout, comme il l’aime la pénétrer, sans ménagement, la faisant transpirer et frémir à chaque insertion d’un doigt supplémentaire. Son bassin semble avoir pris son indépendance, il bouge en rythme sans se soucier du reste de son corps, et Kara gémit de plus belle.

Il la fait se pencher davantage, elle se plie bien en deux, se cambre encore, se dandinant de droite à gauche en se déhanchant pour l’aguicher. Pas bouger. Facile à dire… Elle se contracte pour tenter de se maîtriser, de ne pas profiter qu’il s’est éloigné pour se tourner et lui sauter dessus. Mais sa langue l’en dissuade immédiatement !

« Rah. »

Elle serre les dents en soupirant bruyamment, pardon les voisins, mais sa langue la rend folle, ses jambes tremblent tellement il la dévore férocement, les bruits qu’il fait sont tellement obscènes, s’en est terriblement excitant. Une vague de plaisir lui jaillit au visage, elle sent ses pommettes se mettre à chauffer d’un coup, la sueur rouler sur ses tempes et ses bras frémissent en s’agrippant. C’est trop bon, c’est trop bon, elle a du mal à se tenir debout et ses genoux fournissent un gros effort pour la supporter.

Une nouvelle injonction. Ne pas bouger, il est mignon lui, comment elle est censée rester de marbre après ça ? Kara allait lui rétorquer qu’elle ne pouvait pas rester immobile, peut-être même le supplier de recommencer, quand elle sent de nouveau sa main se coller entre ses lèvres intimes, la faisant gigoter de plaisir, un doigt, puis deux, la jeune femme ronronne et pousse de nouvelles vocalises. Etrangement, la tension est différente, elle sent que Kaito prépare quelque chose, elle tourne les yeux pour le regarder par-dessus son épaule, et voit une lueur sadique dans son regard bleu…

La réponse lui vient peu de temps après, trois, quatre doigts. Elle ferme les yeux et fronce les sourcils mais elle est tellement excitée qu’il peut bouger et la prendre sauvagement, il y ava fort, Kara croasse et piaule en se consumant, les mains bien écartées sur la paroi, mais glissantes, elle s’y retient davantage, s’arc-boute en frémissant.

Une seconde, elle a un hoquet qui la rend silencieuse, le temps de se rendre compte que son pouce vient de passer. Elle déglutit, tourne de nouveau ses petits yeux en amandes vers lui. Il y a de l’appréhension, dans les iris claires, mais un fort sentiment de confiance suspend les éventuelles craintes. Elle s’était dit que ça ne passerait pas. Ça passe. Sa respiration s’adoucit un instant, le temps de se détendre, de se rassurer, et finalement… de s’étonner d’y trouver du plaisir.
Alors, lentement, en haussant un sourcil complice, Kara hoche la tête, et esquisse un sourire provoquant.

« Défonce-moi, Kaito Nakajima. »

Elle s'habitue, son corps s'habitue. Ses chairs s'écartent, s'adaptent, elle n'y croit pas vraiment elle-même. Qu'est-ce que c'est bon de dépasser ses limites avec lui.



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 31 samedi 23 janvier 2021, 10:22:48

La sensation est étrange, bien plus différente que ce qu'il peut ressentir quand il la prend normalement. Kara reprend pied, tentant sûrement de s'adapter à cette nouvelle situation. Kaito regarde l'anneau de chair comprimer son poignet tandis que sa main plonge dans un amas charnel chaud et doux. C'est excitant, du bout des doigts, il peut explorer le moindre recoin, deviner le moindre aspect de l'intimité de Kara. Il imprime une rotation du poignet pour faire le tour de cette antre qui l'accueille. Resserrer le poing ne pose pas de problème, seul passer le goulet étroit du vagin l'était mais Kara était tellement trempée ....

"Défonce-moi, Kaito Nakajima." Elle l'électrise. Elle l'allume.

Il ne lui répond pas et commence à pomper dans sa chatte. Sans aller trop loin, juste pour l'habituer, elle, et lui faire découvrir cette nouvelle perversité, à lui. Ses mouvements émettent des chuintements visqueux alors qu'un fluide blanchâtre coule le long de son avant bras. Kara est vibrante. Elle gémit sans discontinuer, se tord, tremble sur ses jambes et se crispe de plaisir. Kaito y va plus fort, plus loin. Le vagin de la jeune femme l'accompagne à chaque retrait en étirant sa masse rosâtre à l'extérieur avant de se rétablir à nouveau quand il pousse dedans. Le poing ferme, il accélère, la maltraite, cherche à aller plus au fond. Ca ne glisse pas si bien que ça. Il retire sa main de la chatte béante et étale les fluides de Kara sur son avant bras. Son retour est intrusif, brutal, il se tient debout derrière elle et lui ramone la chatte vigoureusement. Elle encaisse la moitié de son avant-bras.

"Putain, t'es trop chaude, une vraie chienne!"

Il se lâche Kaito ... Il attrape sa salope par le cou et la cambre tandis qu'il s'acharne tant qu'elle peut supporter. Encore un peu ... il ne sait pas dans quoi il tape ni ce qui l'enserre mais son poing heurte quelque chose de résistant. Il trouve un passage, serre ses doigts en pointe, se fraye un chemin... Il est au bout, par ce conduit là en tout cas. Il donne de brefs à coup. Kara est dans un autre monde.
« Modifié: samedi 06 mars 2021, 19:54:20 par Kaito Nakajima »

Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 32 samedi 23 janvier 2021, 21:46:48

Peu à peu les sourcils froncés de Kara reprirent leur position habituelle lorsqu’ils jouaient, à mesure que l’appréhension s’éloignait, rassurée par l’étonnante capacité du corps à s’adapter, et à en tirer un plaisir terriblement différent. La sensation d’être pleine, complète, totalement prise, était effarante.

Petit à petit, ses gémissements changent, la transe la gagne vite, trop vite, cette impression implacable et gigantesque la plombe, la shoote, elle semble partir loin, alors que son corps bouge tremble, ses tressautements spasmodiques font vibrer ses vocalises continues. Plus il s’enflamme et paraît la pénétrer davantage, plus Kara se mord la lèvre, de plus en plus fort, c’est incomparable.

L’impression de néant lorsqu’il retire sa main la laisse pantelante, mais c’est sans compter son retour brusque. C’est ainsi qu’elle le reconnaît… Kaito se déchaîne encore, elle encaisse, étrangement, elle en avait été surprise, mais désormais elle n’a plus la capacité de réfléchir. C’est trop. C’est énorme. Ses mains glissent comme si elle perdait l’équilibre sous la prise ferme, elle a du mal à penser à respirer tant elle couine.

C’est pire encore lorsqu’il parle, se lâche, la traite de chienne. Comme avant, quand il l’avait qualifiée de salope. La jeune femme avait eu, une seconde, envie de lui répondre, elle balbutia, n’arriva pas à mettre les mots en place, la main tapait profondément, tellement, tellement profondément… Kara défaillait, chancelante en accusant les coups, et le plaisir monte invariablement. Elle le sent, puissant, étrange, et d’instinct, au risque de sombrer en avant, ses doigts viennent se ficher entre ses cuisses et se plaquer sur son clitoris, la faisant piauler d’une voix rauque.

« K… Kaito. Je. NNnnnnniiiiii… Kaito, continue ! »

C’est tellement soudain qu’elle perd l’équilibre, son front cogne contre la paroi de la salle de bain et elle doit quitter ses caresses pour se retenir et ne pas se faire mal. Elle hurle, brièvement, sa voix tremble de manière continue longuement, elle perd la raison.

Ses cuisses enduites dégoulinent, son corps entier se contactant dans un chaos général qu’elle ne tente même pas de contrôler, mais ses jambes refusent de la supporter plus longtemps. La tête lui tourne.

« A… Attends, jvais. Jvais me. Casser. La gueule… »



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 33 jeudi 28 janvier 2021, 21:49:44

Non il n’attend pas. Kaito ne veut pas attendre. L’état de Kara le transporte dans un état second. De tous leurs jeux, c’est la première fois qu’elle réagit de cette manière. Elle semble fondre, se noyer dans un océan de plaisir alors que l’acte en lui-même est terriblement sournois. Le poing de Kaito s’abat sans relâche en elle. Elle va tomber ? Kaito l’y incite et elle s’effondre à genoux alors qu’il la soutient en  passant un bras sur sa poitrine. Le cul en l’air, tassée contre la paroi, elle encaisse comme jamais. Son vagin distendu est comme une ventouse autour de l’avant-bras de l’étudiant qui ne lui laisse aucun répit. Il veut qu’elle vienne comme ça, fistée à l’extrême. Elle s’expose sans le vouloir. Kaito s’humidifie le pouce et l’enfonce dans l’anus de la jeune femme, aussi loin que possible, synchronisant dans les deux orifices ses mouvements secs.

"Puuutain, t’es troooop bonne !!"

Il pèse sur elle, utilise son poids pour qu’elle subisse toute la vulgarité de cette situation excitante. Plus fort, putain ouais, il y va plus fort ! Elle va venir ! Il se déplace sur le côté pour voir son visage défait. Son érection se plaque contre les hanches de Kara, parce qu’il bande comme un âne tant il est excité. Quand elle explose dans un ouragan d’émotions, il la suit de près et se vide sur son dos en longues giclées épaisses avant de s’affaler contre elle. Dans son vagin, c’est l’hécatombe, l’amorce d’une nouvelle ère de débauche et de perversités qui pointe à l’horizon. Elle a jouit tellement fort qu’elle lui a fait mal au bras en se tordant. Les deux amants restent l’un contre l’autre un long moment avant que Kaito se retire d’elle, libérant au passage des flots de fluides corporels. Il s’assoit contre le mur, elle ne bouge pas, détruite sur le sol, le cul en l’air, le visage tourné vers lui. Il voudrait l’embrasser, lui dire des mots gentils mais l’incongruité de la situation le retient. Non pas maintenant, ils n’ont pas fait l’amour, il l’a prise comme une chienne et elle a aimé ça. La soupape de sécurité liée au karma naturel du jeune homme s’efface. Entre eux, rien ne sera plus comme les derniers temps qu’ils ont passé ensemble. Le petit cap mignon qu’ils suivaient a disparu. Oh bien sûr, Kaito est chaque jour plus amoureux de Kara et il lui voue une dévotion sans faille. Mais la ligne de la correction est franchie. Il va falloir qu’ils tiennent le coup. Il pense tout haut.

"Les règles ont changé Kara. Tout vient de changer en fait. On ne va pas faire semblant de cacher ce qu’on aime faire. T’es ma salope et à chaque fois que j’en aurai envie, je te baiserai comme une chienne. Et moi, je suis tout ce que tu veux et je suis tout à toi. Appelles moi comme il te fait plaisir, je m’en satisferai vraiment."

Il se penche pour lui embrasser une épaule avant de dégager de son visage une mèche rebelle qui couvre ses jolis yeux en amande. C’est là qu’il s’aperçoit qu’il est toujours aussi dur. Kaito s’agenouille à côté d’elle et l’observe. Ses petites fesses en l’air pointent encore comme si elles demandaient à être prises. Sa respiration est plus contrôlée, elle se remet de son orgasme monumental. Oh qu’il a trop envie de lui faire un câlin ! Mais non, au lieu de cela, Kaito se masturbe en la matant. Il se masturbe jusqu’à ce que son propre plaisir vienne encore une fois et il éjacule sur le minois de sa douce, recouvrant le profil de foutre chaud, jusqu’à la dernière goutte. Wahou ! Kaito termine en se frottant le gland dans les fins cheveux soyeux avant de se rasseoir et se ressaisir.

"Je peux aller terminer de prendre ma douche maintenant ?"

C’est dit sans aucune méchanceté, juste pour marquer l’instauration de leur nouvelle relation. Il se dépêche et une fois qu’il a terminé, laisse couler l’eau chaude pour y accompagner sa belle.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 34 vendredi 29 janvier 2021, 11:51:01

« Continuer ta douche. »

Kara avait la tête qui tournait.
Elle se sentait dévastée.
Détruite.
Et totalement épanouie.

Elle avait franchi un cap, une limite, une barrière. Pas de retour en arrière. Elle regardait Kaito comme jamais elle ne l’avait vu auparavant. Il était grand, viril, assuré. Il était pervers et dominateur. Quelque chose chez lui imposait la soumission, la volonté profonde de lui être totalement acquise, d’être à lui, d’être sa chose, d’être sa … sa salope. Il voulait de la mise en scène, des jeux de rôles, il voulait faire d’elle ce qu’il voulait, toujours plus.

Et elle voulait être à lui.
D’un geste lent qui lui demandait des efforts, Kara essuya une trainée blanche qui coulait sur son arcade sourcilière, avant de l’amener à ses lèvres et de l’avaler en le fixant. Ses yeux étaient vides, mais fixes, fermes, ancrés sur lui.

Se relever réclame qu’elle puise dans ses dernières forces, elle grimace et couine en se mettant debout. Son corps accuse le coup. Mais alors que Kaito ressort de la douche, elle lui attrape le poignet. Fermement. Ils allaient se croiser, elle a son épaule contre la sienne, et les yeux toujours posés sur les siens.

« Reste là. »

La jeune femme passe dans son dos, frémissant encore après cette colossale décharge d’endorphine, les jambes peu assurées, mais se colle à lui. Il est chaud, il est encore mouillé, il est propre. Sa peau sent bon lorsqu’elle remonte le bout de son nez le long de sa colonne vertébrale, plaquant sa poitrine et glissant ses mains, de l’autre côté, sur son torse qui dégouline.

En silence, égoïstement, Kara se repait de son corps d’où s’élève la vapeur, insensible à l’eau qui coule toujours dans la douche, ses paumes se plaquent et serpentent sur son ventre, ses côtes, ses pectoraux. Elle reprend possession de lui, tendrement cette fois, le fait sien sans ajouter davantage de sensualité que ses simples caresses. Comme si elle avait besoin de cet instant pour rééquilibrer la balance. Comme lorsqu’elle lui avait demandé s’il l’aimait… Elle en a besoin. Un vieux reste de trouille monumentale, la peur d’être trahie, abandonnée.

Son souffle chaud chatouille ses omoplates, et elle colle son front contre lui, puis son oreille. Elle entend son cœur, il bat moins vite que tout à l’heure… Et Kara sourit d’un air entendu, pour elle seule.

« Ce soir, on va faire ce que tu as écrit. » Son doigt désigne la note, le scénario 1 qui traine lamentablement, chiffonné, sur le carrelage à quelques pas. « Et tu vas m’aider à choisir mes vêtements de chaudasse. Hein, Trésor ? »

Ses mains se détachent de son buste, elle s’éloigne de son dos, recule dans la douche, s’enfonce sous l’eau chaude sans le lâcher des yeux. Bon Dieu, qu’il est beau, de dos.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 35 mardi 02 février 2021, 18:08:04

La fin de cet épisode s’était terminée en apothéose. Peu de paroles avaient été échangées et les mots qu’ils avaient employés signifiaient bien plus que leur sens réel. Les gestes avaient soutenu la vérité qui s’imposait et bien au-delà des apparences corporelles établies, s’instaurait une relation, un lien fort maintenu par un cordon nécessaire : le sexe. L’intensité des excès auxquels ils s’étaient adonnés définissait une nouvelle ère de plaisir et de perversité qu’ils acceptaient tous les deux, sciemment. Kaito aimait utiliser le corps de Kara pour animer ses fantasmes les plus osés, et la jeune femme s’offrait sans retenue avec dans le regard une étincelle aussi malicieuse que l’attitude qu’elle adoptait.

Cet après-midi là, Kaito fut prêt bien avant elle. Une fois sa douche prise, il s’était employé à l’aider à ranger son appartement le temps qu’elle récupère, ce qui fut plus long que prévu. Ils rirent des courbatures qui vinrent peiner la démarche de Kara et l’étudiant redevenu un modèle d’amoureux transi lui massa les cuisses et couvrit ses fesses de baisers. Ils avaient défroissé les scénarios de Kaito qui reposaient bien à plat sur la table du salon. Le garçon y jetait des coups d’œil, anticipant les suites à venir. Kara lui avait promis bien des choses et tout allait très vite dans son esprit. Des jeux se mettaient en place, des intrigues sexuelles s’imposaient tandis que des scripts passionnés prenaient forme. La vie n’était pas un jeu mais leur vie le devenait, pour leur plus grand plaisir.

Ils avaient ensuite fait le tour de la garde-robe de Kara pour constater qu’en matière de provocation, elle était assez sobre. Ils décidèrent donc de sortir faire quelques emplettes pour alimenter leurs futures expériences. Kaito mena Kara dans un quartier qu’il connaissait bien, son quartier de prédilection en fait où s’alignaient les boutiques réservées à une clientèle adulte. Il passa sous silence qu’il s’y rendait assez fréquemment mais n’aurait pas menti s’il elle lui avait demandé. Il se sentait bien et marchait gaiement aux côtés de sa chérie. Il n’aurait même pas rougi s’il avait capté les regards qu’on aurait pu leur lancer. Les couples qui faisaient les vitrines dans ce coin attiraient forcement l’attention des échangistes, libertins et autres profiteurs qui trainaient par là en quête de sensations.

Ils firent le choix d’entrer dans une boutique de vêtements à la devanture explicite. Le magasin s’étendait sur une grande surface et toutes les gammes de fringues et d’accessoires y étaient représentées. Les trois vendeuses qui les accueillirent les mirent aussitôt à l’aise. L’ambiance était marrante et les filles plaisantaient sur tous les sujets, pas timides pour deux sous. Elles s’allumaient entre elles et force fut pour Kaito et Kara de faire de même à un moment. La technique commerciale était maitrisée, les clients détendus, les achats pouvaient commencer. Sans trop savoir ce qu’il cherchait, Kaito fit le tour des rayons avant de décider de se raccrocher à ses repères habituels : ses vidéos d’animations hentai. Les tenues d’étudiantes lui faisaient de l’effet, les jupes à carreaux beaucoup trop courtes avec des petits tops échancrés noués sous la poitrine. A cela, rajouter des mocassins en cuir à lanières avec des chaussettes blanches montant sous le genou et le cosplay était parfait. Toutes les couleurs étaient disponibles, les styles aussi. Pour les jeux plus poussés, le choix était inimaginable. Chaudasse … salope, chienne … Kara ! Mini-jupes de cuir, hauts transparents, tops volontairement déchirés, bas résilles et cuissardes hautes à talons, il aimait tout et imaginait la jeune femme se plaire à les porter. Le rayon maquillage présentait des modèles outrageusement grimés aux bouches sur-dessinées et aux yeux cernés de noir intense. Colliers et serres-poignets en cuir, sex-toys en tout genre, plugs anal monstrueux, son panier se remplissait à toute vitesse. Ca allait coûter cher mais il avait quelques petites réserves. Il alla voir Kara qui elle aussi explorait le magasin et lui présenta les articles qu’il avait remarqué, avant de s’intéresser à ce qu’elle avait sélectionné.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 36 mercredi 03 février 2021, 19:12:49

Il aurait été étonnant que Kaito ne fonce pas à l’évocation de la réalisation de l’un de ses scénarios érotiques. Kara elle-même se sentait émoustillée rien que de l’envisager. C’était hallucinant, cette fougue communicative qu’il avait, qu’il savait doser parfaitement pour qu’elle le suive dans ses délires, et qu’elle ne se contente pas seulement de les subir sagement. Elle voulait être moteur, elle voulait s’imposer également. Après avoir été autant éprouvée par le cran au-dessus de leurs jeux sexuels débridés, la jeune femme avait envie, et besoin, de mieux contrôler la situation. Et cela tombait bien, puisque son petit Etudiant pervers rêvait de la mettre en scène, dans des rôles où elle se montrait dominante.

Mais avant cela, elle avait été plutôt désarçonnée par le contre-coup de leur session vraiment très hard, et leur relation tendre, tactile et taquine de retour au calme contrastait tellement avec les instants pornographiques précédents. Cet équilibre lui allait parfaitement. Lorsqu’il était avec elle, Kara ne se posait plus si souvent la question de savoir s’ils étaient un vrai couple, si c’était sérieux, si c’était problématique…

C’était plutôt naturel, logique, instinctif. Et elle aimait tout autant son mignon petit Etudiant, que son alter-égo sans limite et obscène.

Mais Kara n’aurait jamais cru, cependant, avoir à aller un jour dans cette rue, qu’elle connaissait de nom, puisqu’il revenait assez souvent dans certaines communautés où elle traînait sur le web. Enlaçant les doigts du jeune homme, elle avait d’abord eu un réflexe de fuite, assez idiote certes, mais la présence enthousiaste de Kaito la rassura immédiatement, et… se faire mater par des étrangers dans cette rue sembla même légèrement l’encourager. Ces regards-là, ils ne cachaient clairement pas leurs intentions, ils étaient là pour ça… C’était déroutant. Cependant, elle ne fut pas mécontente d’entrer dans une boutique, ne sachant pas exactement comment se comporter.

Alors, oui, c’était sans doute la première fois qu’elle entrait dans ce type de magasin. D’un naturel discret, mais pas forcément prude, elle n’avait jamais eu l’occasion, c’est tout. Et en général, internet était sa porte d’entrer sur le monde, après tout ! Les vendeuses étaient extrêmement clichées, mais elles savaient mettre à l’aise… Encouragée par leur attitude, la jeune femme se sentit même entraînée par leurs gestes familiers entre elles, et devint bien plus tactile avec son petit Etudiant. Lui, il avait l’air comme un poisson dans l’eau… C’était fascinant de le voir évoluer dans les rayons, marcher avec assurance, son petit minois et ses yeux bleus attentifs.

Elle l’observa un moment déambuler analysant ce qu’il regardait, se sentant troublée par l’idée même d’être en train de préparer leur séance du soir. La préparation devenait aussi intéressante que l’acte en lui-même, elle se rendit compte qu’elle se trouvait excitée, immobile dans un rayonnage plein d’accessoires en latex de toutes les couleurs.

Lorsqu’il revint vers elle, Kara avait eu le temps de s’intéresser à quelques articles, mais son retour la tira de sa réflexion, face à deux shorts en cuir. Les leva les deux petits morceaux luisants sous ses yeux.

« Celui-là a une fermeture éclair ultra bien placée, mais celui-ci des porte-jarretelles vraiment, vraiment sexy. Dis-moi lequel tu préfères. »

L’avoir tout proche d’elle, soudainement, la fit frissonner. Merde. Un coup d’œil à son panier la fit sourire d’un air malicieux, et elle se pencha vers son contenu.

« Hm, voyons voyons… Alors, petit Kaito, tu veux me voir habillée en… » Elle tira une tenue d’écolière et ricana.  « Roh, quel cliché ! » Mais malgré ses mots, le regard clair de la jeune femme n’exprimait aucun reproche, bien au contraire. Elle vint discrètement glisser sa paume sur sa cuisse, et remonta d’un coup entre ses jambes, fermement.

« Si je mets ça, tu joueras mon professeur. Hein ? »

Elle ronronna presque, éclata de rire, et vint faire claquer un baiser à la commissure de ses lèvres, avant de se reculer, relâchant la bosse sous son jean, et saisissant alors plusieurs bodys, une robe ultra-courte avec de nombreuses parties en résille transparente, marchant un peu en sautillant presque.

« Je vais essayer les shorts, ça va t’aider à choisir. »

Kara se tourna légèrement, lui adressa un clin d’œil, et se dirigea en suivant les panneaux indiquant « cabines » jusqu’à ce qu’une vendeuse la rejoigne, et avec un regard brûlant, lui ouvre une petite porte de cabine individuelle, étrangement spacieuse. Tout était fait pour être à l’aise, c’était loin de ce qu’elle imaginait sur ce genre de boutique…



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 37 mardi 23 février 2021, 19:07:11

L'image de Kara en short de cuir et porte jarretelles attendant le passage d'un homme dans une ruelle chaude de la cité traversa l'esprit de Kaito.

"Celui-là" désigna t'il sans hésiter une seconde.

L'instant d'après, taquine, elle le chopait fermement entre ses doigts le faisant immédiatement gémir d'envie.


"Je ... je ne jouerai pas! Je t'éduquerai!"

Il hocha la tête et accompagna Kara vers les cabines d'essayage en lorgnant sur ce qu'elle avait choisi.

"Oui oui, j'ai hâte de te voir porter tout ça!"

Une vendeuse les rejoignit et invita Kara à s'isoler pour passer les effets choisis, puis montra à Kaito une toute petite cabine, juste à côté de la première, où il pouvait patienter. Une chaise était à disposition et il ne se priva pas de s'asseoir pour faire le tour de ses choix. Emballé par ce qu'il avait dans son panier, son imagination galopait déjà, éditant des scénarios tous plus épicés les uns que les autres. Imaginer Kara portant ces tenues, jouant avec ces toys et se donnant à lui vulgairement le faisait frémir d'avance. Tous leurs petits jeux découlaient jusqu'à présent du hasard et de déclenchements brusques initiés par l'envie brutale de l'un ou de l'autre de forniquer et de profiter du corps pleinement disponible de sa moitié. Ce qu'ils s'apprêtaient à jouer à partir de maintenant relevait plus d'une planification ordonnée et d'une acceptation de ces actes comme inhérents à leur mode de vie. Le sexe prenait de plus en plus de place entre eux depuis quelques temps et à chaque fois, ils franchissaient une étape dans le développement de leur fantasmes et désirs réciproques. Il n'y avait pour Kaito rien de mal en cela. Kara était sa première vraie relation et il ne se posait pas vraiment la question de savoir si ce qu'ils faisaient était normal ou pas.

Quand elle l'appela la première fois, il réagit au quart de tour et se précipita voir ce qu'il en était. Effectivement, le short en cuir qui lui plaisait était un appel à la luxure. Elle le portait divinement bien et ses petites fesses bombées étaient superbement mises en valeur.


"J'adore ..."

Il se colla à elle et lui roula un patin baveux en frottant sa main entre ses cuisses, de manière exagérée, outrancière, indécente, avant de reculer en se mordant les lèvres et le regard plein de promesses.

"C'était ta tenue la plus correcte je crois?"

Il referma la porte et rejoint sa cabine, attendant le prochain appel. C'est en s'asseyant qu'il remarqua dans le paroi un trou d'une dizaine de centimètres de diamètre et cerclé de caoutchouc. Il ne l'avait pas remarqué la première fois, un néon de la cabine étant grillé. Noooonn ! Comme dans ces vidéos où des filles simulent des rencontres dans des toilettes publiques .... Kaito sourit, ce pourrait être une occasion de plus de tester un délire sexuel fantasque. Il ferma le loquet de sa cabine et pouffant presque, baissa son jean et son caleçon avant d'introduire son sexe déjà préparé par Kara dans le trou de la paroi.





Daisuke est le genre d'homme qui n'attire pas les femmes. Ventripotent, chauve, désagréable et vulgaire, une dentition ravagée par l'abus d'aliments ou trop sucrés ou trop salés. Sa vie se limite à son appartement crasseux et à des promenades quotidiennes dans les rues chaudes de Seikusu. Personne ne fait attention à lui et personne ne l'intéresse. Il vit de l'argent que lui verse l'état japonais et dépense la quasi totalité de cet argent dans les sex-shops ou en louant les services de prostituées.

Ce jour-là, il erre, comme à son habitude, dans une rue où s'alignent les boutiques pour adultes. Il n'a plus grand chose en poche et pense à retourner mater un porno chez lui quand il remarque ce joli couple entrer dans un magasin. Le gosse a l'air jeune et la fille à tout les critères d'une vraie salope. Les critères selon Daisuke bien sûr, pour lui, toutes les femmes sont des salopes. A travers la baie vitrée, il les observe jusqu'au moment où la fille rejoint les cabines d'essayage. Un mauvais rictus barre son visage boutonneux, il connait bien cet établissement et son propriétaire tordu. Daisuke pousse la porte et entre, provoquant une grimace de dégoût des vendeuses qui le connaisse. Il jette quelques billets sur le comptoir, récupère des lingettes qu'on lui tend et se dirige vers les cabines d'essayages qu'il dépasse pour pousser une porte et entrer dans une pièce où contre une paroi sont disposés des box séparés par des planches de contreplaqué tout simple. A chaque box, un trou. Le plus à gauche correspond à la cabine où est entrée la fille, c'est la seule cabine où il y a deux trous, placés chacun sur une paroi perpendiculaire à l'autre. De temps en temps, une salope loue la cabine pour quelques heures ... Il ne rate jamais ces occasions là. Les deux trous sont à peine séparés d'une soixantaine de centimètres, si la fille se met face à l'angle de la cabine, elle peut s'amuser des deux côtés. Daisuke s'affaire à retirer son pantalon de jogging et son slip miteux avant de nettoyer soigneusement son sexe avec une lingette, puis une autre. Il est fier de son appendice, long et volumineux, c'est la seule chose qu'il entretient avec passion. Espérant une bonne surprise, il glisse sa verge dans le trou en se collant à la paroi et attend avec appréhension le dénouement de la situation.



Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 38 jeudi 25 février 2021, 12:05:23

En retirant ses vêtements, de plus en plus à l’aise dans cet endroit, Kara repensait sans le vouloir à cette petite phrase prononcée par Kaito… La tenue d’écolière et la perspective qu’il l’éduque faisait naître dans son esprit des images qui lui chauffaient les reins, la faisant rêvasser une seconde, ayant même, un instant, une envie brutale de prendre quelques minutes pour elle, toute seule, en sachant son petit Etudiant non loin, excitée à l’idée qu’il l’entendrait peut-être… Surement, à vrai dire, elle était sûre qu’il était juste à côté, qu’il attendait fébrilement, lui aussi très impatient.

Mais l’enthousiasme prenait le dessus, elle avait envie de lui exposer ce corps qu’il adorait, dans des tenues plus osées… Il avait envie de plus, toujours plus, avec elle, et Kara était prête à dépasser ses limites ou du moins de les définir, ne les connaissant absolument pas. Quand il la regardait, la jeune femme oubliait ses complexes et les conventions, c’était son alcool à elle, ultra puissant, et elle trouvait ça d’ailleurs assez étrange de ressentir autant d’affection pour lui, et d’avoir envie d’être tout ce qu’il voudrait en matière de sexe et ses dérives. Dans son esprit, c’était l’un, ou l’autre, d’habitude, enfin, surtout parce qu’elle fuyait farouchement le premier cas.

Mais avec le petit Kaito, tout passait. Facilement. Enfin… façon de parler. Elle l’appela et à voir la vitesse avec laquelle il avait rappliqué, l’Etudiant était aussi désireux qu’elle ne découvrir quels seraient leurs prochains atours pour cette soirée spéciale. Il adorait, Kara se colla à lui en serrant ses cuisses sur sa main qui venait flatter son entre-jambe avec vulgarité, pour l’agacer, le titiller, et profiter encore plus de son contact brut. Bordel, son regard, celui-là, la rendait dingue, elle avala cette salive à l’excès avec difficulté, la tension montait entre eux, c’était plaisant…

« J’ai hâte que t’arrache tout ça. Aller, dehors, si non… » Souffla-t-elle en passant les yeux sur ses lèvres qu’il mordillait. Cette gueule d’ange était à croquer, et d’un coup, elle se sentait vraiment d’humeur à le chauffer comme cette salope qu’il avait décrit dans les pages de son petit carnet secret.

Il repart et Kara prend un moment pour se regarder dans la glace… c’est fou, elle se sent vraiment sexy. Avec un large sourire, pour elle seule, elle se penche pour retirer le short et tombe nez à nez avec un morceau de chair qu’elle reconnaissait. Son rire éclata dans la cabine, sans doute audible de l’autre côté… Merde, elle n’avait pas remarqué ce trou avant et visiblement, son petit Etudiant, lui, en profite ! C’est même pire qu’être voyeur, à ce tarif, quoi qu’il doive se concentrer sur d’autres sens et qu’il doit espérer, évidemment, qu’elle l’ait aperçu.

« Quel coquin… » Sa voix est suave, moins hilare désormais que la situation l’excite, en petite culotte, seule dans une cabine avec le sexe dur de son amant qui dépasse. Taquine, elle le fait patienter un peu, avant d’effleurer l’embout chaud, du bout de l’index seulement, à en oublier immédiatement la raison première de sa présence dans la cabine d’essayage. Ce jeu lui plait, même si se priver de voir Kaito réagir à ses stimulations la frustre un peu. Ses doigts s’amusent, le frôlent et alternent la douceur et des contacts plus pressés. Ça l’excite, elle a des sueurs froides, toute seule.

Mais son œil louche sur autre chose, un mouvement, un bruit. En tournant les yeux sur le côté, la jeune femme constate, d’abord avec effroi, qu’un autre sexe s’est glissé à travers le mur fin de la cabine. Merde. Ses lèvres se pincent, confuses, et peut-être aussi pour s’empêcher de rire nerveusement…

Qu’était-elle censée faire, c’est dégueux non ? C’est qui ce type ? Un moment, elle délaisse le membre de son petit Etudiant pour réfléchir en espérant ne pas paniquer, réalisant comme la situation est incongrue, bizarre, peut-être même anormale… En se raclant la gorge, Kara fronce alors les sourcils et change de main, reprend des caresses plus appuyées, pour tenter de se remettre dans le bain, empoigne la queue de Kaito et approche sa main de l’autre…

Elle s’arrête dans son mouvement.
Non, dégueux, elle ne le connait pas ce gars, c’est peut-être un vieux pervers, elle éprouve une sorte d’appréhension massive dans le ventre à se dire qu’elle n’a pas vu son visage. Et pire, si c’était quelqu’un qu’elle connaissait ? Kara sursaute place son index et son pouce et s’approche de ce gland inconnu… avant de donner une pichenette. Mais il ne bouge pas, et elle insiste un peu, le poussant avec deux doigts, n’ayant pas du tout l’effet escompté. Ca semble… plutôt l’exciter. Après tout, ce genre de personnes, adeptes de cette pratique-là, apprécient sans doute autant être repoussé que masturbé par celles et ceux qui sont de l’autre côté ? Est-ce que juste le contact lui a plu ? Peut-être qu’en lui dinant un peu ce qu’il veut, il s’en irait… Non. Non ! Kara secoue la tête.

« Hé. Monsieur. Vire-moi ça d’ici, gros pervers ! »

Non mais ! En quelques pas, elle s’éloigne avec une grimace, quelque soit la taille de l’engin, c’est comme les photos de pénis non désirées, elle a envie de baffer l’expéditeur ! Regagnant l’emplacement où se trouve toujours une partie de Kaito, en fixant pourtant cette autre trique inconnue, une moue tord son visage… Rah, quel con lui !

« Viens voir, Kaito, j’ai un truc à te montrer. »

Dès que son amoureux entre, elle le chope par le col, le fait entrer totalement, et ferme la porte derrière lui, se plaçant dans son dos. Son bras se tend vers le trou.

« Non, mais regarde. Regarde ! Y a un type qu’a mis sa bite là ! J’te jure ! »
« Modifié: jeudi 25 février 2021, 12:23:08 par Kara Desco »



Kaito Nakajima

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 39 samedi 27 mars 2021, 11:07:16

Le rire cristallin de Kara résonna comme l'avènement d'une consécration. De l'autre côté de la fine paroi, Kaito frétillait comme un gosse dans l'attente d'ouvrir un cadeau tant attendu. Il entendit faiblement sa compagne murmurer quelque chose qu'il ne comprit pas mais prit cela pour un encouragement et pressa tant qu'il put contre l'anneau de caoutchouc pour indiquer l'état de son désir. Il se doutait bien que de toute manière, Kara se laisserait tenter, leurs petits jeux allant toujours plus crescendo, et quand elle l'effleura, il gémit si fort qu'il se fit peur lui-même. Se mordant la lèvre, il attendit la suite, ne sachant ce qu'elle choisirait de faire en premier. Elle s'amusait, il en était sûr, elle le faisait flamber. Le front collé à la cabine, il lâcha un "s'il te plait" transi d'envie.

Ca y est, elle commence. De douces pressions et caresses, Kara passa à un mouvement plus régulier et appuyé, mesurant toute la longueur du désir de son amant. Kaito soufflait d'émotions, un rien l'aurait fait venir tellement c'était excitant. Il imaginait déjà la suite des évènements, osant laisser son esprit espérer des choses beaucoup plus intenses qu'une masturbation de passage. Inconsciemment, il associait Kara à tous ses fantasmes sans même se demander si ces déviances étaient acceptables. Le lien qui les unissait se renforçait de jour en jour et ils se complétaient tellement bien que leur relation paraissait être le fruit de la libération d'une furie sexuelle trop longtemps retenue. Mais ... rien d'autre ne vint ... hormis une exclamation qui le fait sursauter d'effroi.


"Hé. Monsieur. Vire-moi ça d’ici, gros pervers !"

L'incompréhension est totale. Que signifie ce revirement. Tout penaud, Kaito se retire du trou et l'effet de la surprise est immédiat. Il perd toute contenance et rigidité et remballe son appareil, rouge de confusion.

"Viens voir, Kaito, j’ai un truc à te montrer."

L'ordre de Kara claque comme un coup de fouet. Docile et s'attendant à subir les foudres de la jeune femme, l'étudiant sort de sa cabine pour la rejoindre dans l'autre. Un coup d'œil lui assure que les vendeuses ne sont pas à proximité et bredouillant un mot pour avertir qu'il va entrer, il pousse la porte, tout mortifié. Kara se tient dos à lui mais se retourne brusquement, l'attrape par le col et le tire dans la cabine sans aucune douceur, l'accueil est beaucoup moins agréable que le précédent. Se calant derrière lui, elle pointe un index accusateur vers la paroi opposée.

"Non, mais regarde. Regarde ! Y a un type qu’a mis sa bite là ! J’te jure!"

Intérieurement, Kaito prie tous les dieux du monde qu'il ne s'agisse en fait que de ça, et pas d'un quelconque grief à son encontre. Du coup, il est pris d'un rire nerveux, lui, le preux héros, interposé entre sa dame et l'objet du crime. L'espace d'un instant, il pense sortir une pique marrante, mais l'aspect outré de Kara le ramène à une réalité beaucoup moins propre.

"Hé non mais ça va pas! C'est quoi cette connerie? Dégage toi ou j'appelle quelqu'un!"



De l'autre côté de la paroi, Daisuke grogne d'irritation. La réaction de la fille n'est pas celle qu'il attendait. Même si le contact bref de ses doigts l'excitait malgré ce premier refus, le fait qu'elle appelle l'autre idiot à la rescousse reste désagréable et susceptible de lui apporter des ennuis. Maintenant, il estime être dans son bon droit après tout.

"J'ai payé pour ça!" coasse t'il de sa voix nasillarde.



A cette évocation, Kaito balbutie un "quoi?" surpris. Il s'attendait à tout sauf à ça. Pourtant aucun avertissement n'était inscrit nulle part lui semblait-il. Avait-il manqué cette information? C'était presque embarrassant. Maintenant qu'il y pensait, effectivement, s'il y avait ces trous à ces emplacements, c'était bien pour quelque chose. Kaito tiqua. Ils n'avaient pas besoin d'ennuis de ce genre avec la direction d'un magasin pour adulte, c'était embarrassant. Cependant, hors de question que sa Kara s'adonne à ça! Pas dans ces conditions en tout cas! Cette dernière pensée le surprit ... et si ... Mais non, plus tard, un jour, peut être.

"Hey toi! Tu ... Vire ta queue! On est pas là pour ça."

"J'ai payé" répéta la voix désagréable.

Le gros sexe se retira de l'orifice et un froissement de tissu leur indiqua que l'homme bougeait. Un gros œil brillant de désir et luisant sous une paupière lourde et flasque apparut à la place.

"J'ai payé, j'en veux pour mon fric!"

Retirée la verge érigée face à lui, il est plus simple pour Kaito de réfléchir.

"Moi, j'en ai pas vu la couleur de ton fric!" Ca sort cash et presque instinctivement. En l'état, Kaito pense qu'inciter le type à payer va le faire fuir mais non, au lieu de ça le type introduit un billet de 5000 yens qui tombe dans leur cabine.

"J'veux mater, j'veux qu'elle te suce! Sinon moi aussi j'appelle quelqu'un!"

Une exhibition? C'est ce qu'il veut? En soi, c'est beaucoup moins grave qu'au début et puis ... et puis ... Mi-figue mi-raisin, l'étudiant se retourne vers Kara et chuchote.

"Je crois qu'on a un admirateur ... Qu'est-ce que tu en penses?"




Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 40 mercredi 31 mars 2021, 15:32:52

Kara était encore sous le choc. Elle avait essayé de se convaincre que tout allait bien, et qu’elle n’avait peut-être qu’à ignorer cet homme derrière, là, qui avait fait passer son sexe par le hublot mais… C’était plus fort qu’elle, elle n’arriverait pas à passer outre. La présence de Kaito la rassurait, et avait l’avantage de ne pas la laisser seule décisionnaire sur ce qu’il convenait de faire. A vrai dire, elle-même aurait surement appelé quelqu’un, ou juste hurlé comme une pauvre fille en détresse, ce qui aurait été fortement déplacé, même dans un lieu hors norme comme celui-ci. Et précisément, elle n’en maîtrisait pas les codes… D’un coup, la jeune femme se demanda si elle n’avait pas fait une erreur en entrant dans cette boutique. C’est vrai, quoi, est-ce qu’elle voulait vraiment cette situation étrange ? Glauque, même.

Pire, le pervers inconnu, même lorsque Kaito prit sa défense, n’en démordait pas. Il avait un sacré culot ! Mais… l’argument du paiement la fit frémir. Quoi ? Il avait vraiment acheté une sorte de service sexuel affreux, basé sur l’hypothèse d’un contact avec n’importe qui pouvant se trouver derrière une paroi ? Cette pratique lui fit froid dans le dos… Il s’exposait à un hasard qui la troublait, bien qu’elle estime que la sensation d’être caressé par des inconnus puisse être un fantasme répandu. Elle ne pouvait détacher son regard de ce petit œil lubrique qui les fixait.

Kara sursauta lorsqu’elle entendit Kaito argumenter avec lui, cillant vivement. Il était fort peu à propos de discuter avec ce type, et puis cela ne les concernait pas ! Qu’il aille foutre sa bite dans un autre trou en plastoc, et qu’ils les laissent tranquilles… Cependant, les choses prirent un tournant inattendu. Plutôt que râler et s’en aller, le Pervers de l’autre côté venait de balancer un billet par l’ouverture, replaçant aussitôt son œil, un œil brillant et avide, qui lui donna un frisson assez effroyable. Il venait vraiment de leur donner du fric pour qu’elle suce Kaito, juste pour… mater ?

Depuis qu’ils avaient entrepris leurs petits jeux à droite et à gauche, dans certains lieux publics, il fallait avouer que Kara y avait songé plusieurs fois : et si on nous voyait. C’était une situation excitante, parce qu’ils maîtrisaient en général l’endroit où ils se trouvaient, suffisamment pour que cela soit excitant, avec une très faible part de hasard, à vrai dire. Et puis, ce n’était pas tant se faire admirer qui était piquant, mais la possibilité de se faire surprendre, juste un peu… Et bien qu’elle ne le désire pas vraiment.

L’intervention de ce Pervers la laissait dans un état mal à l’aise. Elle s’était montrée très assurée ces derniers temps, avec son petit Etudiant, vivant pleinement leur évolution et repoussant les limites. Est-ce qu’elle n’avait pas fait une erreur ?

« Euh… »

Elle tentait de temporiser, de réfléchir, mais le contexte avait fait disparaître tout désir chez elle. Il fallait qu’elle se concentre un peu, mais le temps leur manquait. En tout état de cause, ils n’avaient pas la possibilité de refuser. Son regard se ficha dans celui de son amant, peu sûre d’elle, en pinçant les lèvres.

« J’ai pas envie qu’il fasse un scandale. » Murmura-t-elle à son tour, consciente qu’elle allait devoir prendre sur elle. Petit à petit, en prenant la main de Kaito et en enlaçant ses doigts, pour se donner du courage, Kara inspirait plus profondément ; assez pour faire le vide, retrouver un peu de sérénité. Il suffisait de le sucer, juste une fellation … N’était-ce pas ce qu’elle avait l’intention de faire quelques minutes avant ? Après tout, sans l’interruption de ce tocard, elle aurait été très excitée à l’idée d’offrir à son petit Etudiant un moment érotique dans cette cabine. N’était-ce pas le lieu idéal ?

Sa bouche vint se coller à la sienne, l’embrassant autant pour lui répondre, que pour y puiser ce qu’il fallait pour évacuer les idées négatives, les craintes, les malaises. Ce n’était pas encore ça, mais elle réussissait à se détendre. Les baisers de Kaito savaient attiser son désir, c’était presqu’immédiat, elle le savait, aussi comptait-elle là-dessus pour se motiver.

Se détachant de lui, la jeune femme lui tourna le dos, s’accroupit face au petit hublot au contour de plastique, pour regarder l’œil avec une sorte de ferme intention de le menacer. C’était sans doute risible, mais Kara avait reprit du poil de la bête.

« Juste une pipe, et pas plus. Après tu t’en vas, et tu nous laisses tranquille. »

N’attendant aucune réponse, puisqu’elle n’estimait pas qu’il s’agisse d’une question, elle se redressa alors et revint vers son petit ange blond, esquissant un léger sourire, encourageante. Evidemment, lui, n’avait pas semblé si dégoûté que cela… qui était le plus pervers, lui, ou ce gros porc de l’autre côté ? Elle pencha la tête, lui adressa un clin destiné surtout à elle, pour se mettre dans l’ambiance.

« Tu me dis si ça ne va pas, d’accord. Tu me dis si on arrête. D’accord. Tu me dis si je lui crève l’œil, d’accord. »

D’un hochement de tête, elle appuya ses mots, puisqu’ils n’avaient jamais rien fait tous les deux qu’ils ne désiraient pas vraiment. Cela lui semblait trop important… Et dans un baiser, de nouveau, s’abandonna pour raviver la flamme dans ses reins, sa langue valsant avec la sienne jusqu’à y mêler trop de salive pour qu’ils restent silencieux. La chaleur la fit respirer bien plus fort, la cabine s’estompait légèrement autour d’eux. Suffisamment pour qu’elle glisse ses mains sur le ventre du jeune homme, avant de soulever son t-shirt, et commencer à retirer cette ceinture qui l’agaçait toujours.

Faisant beaucoup plus attention à ses gestes, à sa posture, Kara se rendit compte qu’elle tentait d’être cambrée, sexy, du moins, elle s’attachait à montrer une image contrôlée d’elle-même. C’était rarement le cas d’ordinaire lorsqu’ils s’étreignait… Mais tout en continuant de l’embrasser dans d’obscènes sonorités, l’une de ses mains réussit enfin à faire céder la ceinture, et se glissa sous l’élastique de son boxer. Cherchant à se concentrer sur la respiration de Kaito plutôt que sur celle de l’Inconnu, elle descendit sa main jusqu’à se saisir du sexe de l’Etudiant en retenant un gémissement. Sa peau chaude et tendue la fit sourire contre sa bouche, avant qu’elle n’entreprenne des mouvements de moins en moins tendre, coincée dans son jean.

Kara avait besoin d’un petit coup de boost, elle sentait qu’elle était sur un fil, et qu’au moindre doute, elle perdrait ses moyens. Sa voix s’éleva à peine. « Tu aimes, mon Ange ? »



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 41 dimanche 06 juin 2021, 08:33:44

Autant l'espace d'un instant, Kaito avait trouvé la situation excitante, il fallait l'avouer, autant l'incongruité de leur position le dérangea. Il n'aimait pas être forcé à faire ce qu'il ne voulait pas. Et en plus, Kara y était mêlée. L'évolution de leur relation s'était faite avec beaucoup de passion et d'engagement mais il y avait toujours la recherche de l'accord de l''autre dans chacun de leur jeu. Il ne leur était pas nécessaire de parler, parfois un regard, un geste, suffisait, mais l'accord était établi. Tous deux s'aventuraient chaque jour dans une liaison où la nouveauté, l'aventure et l'attrait sexuel prenait une place importante et Kaito savait qu'un jour, ils franchiraient la limite d'une relation conventionnelle même si passionnée. Il savait qu'il s'essaieraient à des jeux en public, en club particulier plus fréquemment. Leurs expériences dans ce domaine les avaient emballé, c'était vrai. Mais que tous deux soient presque pris en otage par un type dont ils ne savaient rien et apparemment était un porc, édifiait chez lui un blocage tenace. Légèrement crispé e moins enclin à la discussion, il s'apprêtait à rembarrer le pervers quand Kara, derrière lui, murmura qu'éviter un scandale serait préférable. Oui, bien sûr, bien évidemment. Ils avaient le choix mais pas vraiment. La contrainte était bien réelle. L'esclandre que le gros porc pourrait provoquer leur serait surement défavorable et ils n'avaient pas besoin de ça. Malgré tout, il sentit sa chérie se détendre, glisser ses doigts entre les siens. Par ce petit geste, elle le rasséréna.

Quand elle l'embrassa, comme toujours, son contact l'électrisa et il eut faim immédiatement, faim d'elle, de ses baisers et tous les plaisirs qu'elle savait si bien prodiguer. La douceur de ses lèvres effaça les réticences de son étudiant et il lui répondit de la même manière, appuyant d'un léger grondement avide leur contact physique. Quelque part en lui, l'horloge sexuelle démarra et il allait se saisir plus fermement de Kara quand elle s'accroupit face au trou. Kaito crut défaillir, croyant un instant qu'elle allait demander à sucer le type mais ouf, non, elle posait les règles et Kaito entendit l'Autre grogner son assentiment. Kara revint à lui et souffla son principe de ... jeu. Il acquiesça qu'elle l'embrassait déjà et laissait ses mains explorer son ventre. Il tressaillit à son contact mais se perdit très vite dans les succions de leurs baisers. Kara y allait fort et jouait de sa salive pour ajouter à leur étreinte l'aspect sonore qui augurait quelque chose de cochon. Bien entendu, il s'en réjouit et y participa de la même manière. Ils se bécotaient outrageusement et l'un après l'autre, bruyamment, aspirèrent leur salive pour ne pas en mettre partout.

Quand elle s'attaqua à se ceinture, il lui comprima les seins. Quand la boucle sauta, il lui étrilla les tétons. Et quand elle glissa la main dans son pantalon, il plongea dans son cou pour s'adonner à une délicieuse dégustation de peau parfumée. Alors qu'il la dévorait autant qu'elle le branlait, il vit leur reflet dans le miroir de la cabine. Ils étaient beaux, jeunes et sévèrement excitant. L'Autre derrière sa paroi en aurait pour son argent. La cambrure exagérée de Kara eut pour effet de décupler l'envie du jeune homme qui se retint follement de ne pas la retourner pour la prendre par derrière Manu militari.


"Tu aimes, mon ange?"

C'était la question de trop. Il n'avait pas besoin de plus pour s'immerger psychologiquement dans un océan de perversi....... de bonheur. Quand elle lui posait ce genre de question, la voix de Kara diffusait toujours une anxiété bienveillante, usait d'une intonation subtile promettant mille choses s'il répondait positivement. Elle l'avait déjà fait jouir juste en lui parlant, de manière plus directe, parfois un peu obscène mais toujours avec ce timbre presque guttural. Rhhhhhaaaaa! Trop craquante!

Il abandonna un sein rond et glissa sa main lentement vers le cou de sa chérie. Du bout de l'index, il tapota la glotte exposée avant de contourner l'obstacle pour venir verrouiller la nuque. Il posa son front contre le sien. Il se sentait brulant et du pouce pressa contre la peau tendre de Kara à la recherche d'un muscle à travailler. Elle était faible quand il s'adonnait à ces petits plaisirs et il en profitait tout son soûl.


"Si j'aime? Il n'y a pas une chose de toi que je ne n'aime pas."


Il n'était pas nécessaire de dire plus, c'aurait été superflu et combien même, il pulsait tellement fort, d'envie, entre ses doigts que si elle continuait ainsi, elle découvrirait vite, trop vite, l'effet qu'elle lui procurait. Les caresses de Kara étaient divines et il ne demandait qu'à s'échapper de son jean pour libérer cette pression contenue. Kaito rentra le bassin  et prit Kara par les épaules pour l'adosser à la paroi, pas sèchement mais fermement. Un court instant, il chercha le regard de sa Belle, il en avait besoin, c'était la clé magique qui ouvrirait la porte du plaisir tout en grand. Et c'est ainsi, leurs prunelles calées qu'il pressa vers le bas et qu'il la fit s'accroupir sur ses talons, les jambes écartées. Le jean de Kaito suivit le mouvement et son sexe érigé jaillit devant le visage de Kara. Son amant la prit par la mâchoire, pleinement et toujours en la fixant, fit glisser son sexe sur les lèvres entrouvertes. Il capta son souffle chaud et suinta d'envie, lubrifiant les lippes colorées. Il se porta ensuite sur les pommettes, dévia sur les joues et revint par le menton pour ensuite imprimer un petit sillon brillant le long de la gorge offerte tandis qu'il explorait cette parcelle qu'il allait bientôt investir. Il tentait de se contrôler mais avait un mal fou à ne pas sombrer dans un précipice où la bouche de Kara et son sexe ne feraient plus qu'un. Il voulait profiter d'elle et il ne se lassait jamais de sonder les courbes graciles de ce visage adoré.

Collant son front à la paroi, il souffla, à bout, et désireux, violemment désireux, pressa son gland contre les lèvres pulpeuses de sa Kara.


Kara Desco

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Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 42 dimanche 20 juin 2021, 18:46:22

C’est tout ce qu’il lui fallait pour lâcher prise suffisamment. Savoir que quelques mots pouvaient ainsi mettre son petit Ange blond dans tous ses états déteignait sur son excitation, grimpant en flèche dès qu’il ferra sa nuque. Il savait combien elle en était friande, et ce que cela lui provoquait, les décharges électriques le long de la colonne vertébrale la faisant trembler, la figeant. Dans ces instants, Kaito prenait un contrôle qui la désarçonnait toujours, lui le petit Etudiant qui paraissait si naïf, si pur… Il n’en était rien, elle était bien placée pour le savoir. C’était ce contraste qu’elle aimait chez lui. Oh oui. Elle adorait cela.

Sa paume plaquée contre son sexe était moite et les pulsations battaient sur ses doigts. Tout en écoutant le souffle de cette voix rendue plus rauque par la situation, Kara pinça les lèvres pour se laisser envahir par les mots délicieux de son petit ami. Il savait la rassurer, et un instant, elle expira lentement l’air qu’elle retenait sans s’en rendre compte. Ses mains s’étaient interrompues, mais reprirent vite, ragaillardie par les propos encourageants et amoureux. Contrainte alors, sa main se dégagea du jean et ce boxer bien trop serré désormais, sans aucun regret malgré l’attrait de la peau tendue sur le bout de ses doigts… Elle savait. La Commerciale résista une seconde, à peine, esquissa un sourire complice, autant pour endosser plus aisément son rôle, garder encore leur bulle protectrice où ils s’enfermaient. La pression sur ses épaules fut actionnée par l’échange de leurs regards où la confiance absolue pouvait se lire.

S’accroupissant à ses pieds, Kara prit grand soin de ne jamais tourner les yeux vers ce trou indiscret où l’horrible porc en voulait pour son argent. Elle ne voulait plus penser à lui, à la sensation étrange d’être épiée, aux deux paires d’yeux sur elle, les jambes écartées à laissant à hauteur appréciable du sexe qui venait de la faire loucher. Au geste impulsif de Kaito, la jeune femme lâcha un hoquet la faisant sauter, un gémissement étouffé tant relever le regard vers lui l’excitait. Les muscles de ses cuisses se contractèrent sous la piqûre du désir, s’accentuant davantage dès que le tison érigé brûla sa joue. L’instant sembla s’étirer, la laissant dans cette immobile stature soumise, les yeux coincés dans l’azur de ceux de l’Etudiant comme on se voue à un Saint, dans une posture d’adoration.

Le parcours de cette queue suintante laissait la trace de son passage sur son petit visage pâle, lui arrachant un sourire en coin, en ajoutant des rides expressives au coin de ses yeux, alors qu’elle retenait tout mouvement. Ce n’était pas des plus aisés ; chaque seconde à devoir rester immobile à se faire aguicher par son amant passait lentement, la torturait, et l’électrisait… Pourtant, comme on se laisse brûler par le soleil malgré tout, elle tenait bon, baissant le regard pour lorgner sur l’objet de toutes ses attentions, sentant la tension de Kaito. Autour d’eux, plus rien n’existait, et Kara se mordit la lèvre en sentant le gland torride dessiner un sillon humide le long de sa mâchoire, avant de fermer les paupières.

Sa bouche s’entrouvrit, trop peu pour permettre à la tige gonflée de glisser correctement entre elles, l’obligeant à forcer pour s’y insérer, mais d’un mouvement de tête, la Commerciale se refusa à sa délivrance. Une seconde, elle l’entendit souffler par les narines, s’impatienter, renâcler et elle le devinait même qui serrait les dents… C’était bon de le pousser à bout, mais elle était elle-même trop peu patiente pour continuer sur cette voie. Alors, lentement, sa langue vint à la rencontre de sa peau déjà luisante, lécha l’embout avec retenue, qu’elle ne put contenir bien longtemps. Ses bras se relevèrent pour pouvoir empoigner ses petites fesses musclées, frissonner en laissant la bouche fondre de nouveau sur sa proie, sans égard pour un quelconque romantisme.

Ce geste parut donner le signal à Kaito, leurs corps se répondant à merveille et se connaissant désormais suffisamment bien pour réagir aux gestes, allusions comme portes enfoncées, et la Commerciale sentit une poussée faire butter son sexe contre son palais, lui arrachant un hoquet surpris, étirant ses lèvres sur ce visage déformé pour sourire comme elle pouvait, ainsi encombrée. Le fessier de son Ange se contractait sous les impulsions qu’il donnait, elle savait qu’il ne tiendrait pas longtemps avant de venir se saisir de ses cheveux. La tension était toujours aussi palpable, mais ils avaient désormais de quoi se repaître, tant sa bouche coulissait sur la chair veinée. La situation semblait excitée l’Etudiant à l’extrême, et si elle n’était pas à l’aise, le savoir fou de désir était toujours totalement communicatif. Kara soufflait fortement par le nez à chaque coup de rein, les provoquant en enfonçant ses ongles dans la peau.

Rapidement, les sonorités timides laissèrent la place à d’obscène succions imprécises, et des gémissements étouffés, presque étranglés.



Kaito Nakajima

Humain(e)

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 43 lundi 21 juin 2021, 18:24:47

Il était rare que l'un ou l'autre n'offrent pas, pour la forme, une petite résistance rituelle marquant le début de leurs ébats. Kara ouvrit donc le bal et les quelques secondes qu'elle prit pour le faire patienter terminèrent de porter Kaito à un état de liquéfaction avancé. Comme toujours, il tremblait, frétillait, et soufflait de ne plus pouvoir attendre de profiter d'elle ... et de sa bouche. La bouche de Kara, c'était souvent le début de leurs jeux et maintes fois, il s'y était répandu sans avoir pu passer à la suite. Il y était bien, pouvait s'y satisfaire de longs moments et de toutes les manières qui soient. Elle ne rechignait jamais et bien qu'il ne lui ai jamais posé la question, il la suspectait de véritablement aimé ça. Elle était une suceuse hors pair et bien qu'elle eut eu du mal au début, elle pouvait à présent l'avaler en entier sans préparatifs. Ils variaient leurs plaisirs passant d'une petite fellation coquine au coin du canapé en regardant un film, à lui baiser la gueule de la plus sale des façons. Et c'est précisément ce qui se profilait étant donné la manière dont elle lui avait agrippé les fesses pour imposer son rythme au jeune homme.

Son sexe vint s'écraser contre le palais de Kara, sans pouvoir s'enfoncer plus loin. C'était déjà brûlant. La mâchoire de la jeune femme ne s'écarta pas suffisamment, il se douta que c'était voulu, et ses dents raclèrent le long de son membre, l'irritant douloureusement. Il adorait ça! En réponse, il se fraya un passage plus profondément, en une succession de mouvements rapides destinés à détourner l'attention de sa Belle, puis sans prévenir, et tandis que les doigts de Kara serraient ses fesses, il se rua sur la luette qu'il tassa pour investir la gorge tant désirée. Ce ne fut pas propre et les quelques secondes qu'il passa à se caler dans ce goulet furent ponctuer d'éructations étouffées et baveuses de sa partenaire. Il savait ce qu'elle pouvait endurer et ils ne faisaient que commencer. Sans se retirer, il glissa ses doigts dans les fins cheveux de sa chérie et vint fermement saisir l'arrière de sa tête. Ainsi prise, il la força plus encore contre lui, écrasant son nez contre son ventre et son menton en butée sur ses attributs surchargés. Il joua a la tourmenter en maltraitant ce joli visage contre lui, la tordit, pressant et pressant de toutes ses forces avant de se retirer d'elle, laissant se répandre des torrents de salive. Un coup d'œil le rassura quand à la dévastation qu'il venait de commettre. A la seconde inspiration de Kara, il la reprit à nouveau, guidant sa queue dans cette gorge déjà bien abusée et martela comme un fou, le plus loin possible, offrant à l'immonde spectateur le show tant attendu. Comme prévu, l'élan les emportaient et le spectacle qu'ils offraient aurait fait fuir n'importe quel amateur d'érotisme élégant.

Kara glissa et se retrouva assise, les fesses dans la mare de salive qu'elle avait produite. La queue de Kaito s'était échappée de sa gorge, bien malgré lui. Ils respiraient aussi fort l'un que l'autre et s'observaient comme des gladiateurs dans une arène. Elle le contemplait, il la dominait.


"Ouvre la bouche, tire la langue!" aboya t'il!

Kaito fit un pas en avant et fléchit les jambes pour venir à nouveau s'emboîter dans ce coffre au trésor humide. Cette deuxième partie fut aussi hard que la première. Le jeune homme tenait Kara et par la gorge, ses pouces épousant les maxillaires, et par la nuque. C'est fou le plaisir qu'il pouvait éprouver à la prendre comme ça. L'instinct de prédation qui s'éveillait en lui quand il la côtoyait devenait de plus en plus probant, semaines après semaines. Il se demandait parfois si c'était normal, ce besoin d'ardeur virile, si c'était nécessaire d'être aussi cru. Mais ses pensées disparaissaient dès qu'elle lui lançait ce regard qui signifiait tout. il en était de même pour elle. Rares étaient les fois où les câlins restaient tout simplement des câlins. Kara était un volcan en perpétuelle évolution et elle n'aimait rien de mieux qu'une action râpeuse et intense. Il ne s'en plaignait pas non plus.
Le haut-le-cœur violent qu'elle eut quand le gland de l'étudiant écarta son œsophage de manière disproportionné le ramena à l'instant présent. Elle bavait massivement, son maquillage était un lointain souvenir et ses yeux humides trahissaient la dureté de l'exercice.


"Tu as faim?"




Daisuke avait décroché le gros lot. D'abord frustré par le comportement agressif du couple, il se satisfaisait à présent de la scène qui se déroulait devant lui. Avec son langage limité, il décrirait le show comme une pute se faisant déboiter la gueule par un bâtard. C'est le genre de scénario qu'il recherchait tous les soirs sur le net en tapant les mots clés pute, salope, violence. Il avait déjà classé la brunette dans les deux premières catégories et il espérait que ça irait plus loin encore. Son oeil vitreux luisait d'une malfaisance extrême et ca faisait déjà un moment qu'il se paluchait en les matant. Pour son premier orgasme, il se releva et introduisit à nouveau son sexe dans le trou de la paroi. Il éructa un couinement de coyote blessé et lâcha trois jets de sperme gras et épais qui s'écrasèrent comme une pomme pourrie à côté de la fille.

"Sale pute!"

C'est par ces mots qu'il salua la prestation avant de glisser un nouveau billet, à la somme moins conséquente que l'autre par l'orifice souillé.

"Suce le plus fort!"

Kara Desco

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    Description
    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse [PV Kaito]

Réponse 44 samedi 10 juillet 2021, 16:51:52

Kaito était un garçon gentil, si gentil et doux. En apparence. Le contraste saisissant entre ce joli visage d’ange et la brutalité perverse dont il faisait preuve quand ils faisaient l’amour la rendait dingue. Il était sale, et sauvage, et personne ne pouvait s’en douter en le voyant sagement marcher dans la rue. Ce paradoxe l’excitait quand ils se baladaient, parce qu’elle déambulait à côté d’un petit Etudiant mignon, et qu’il était le pire des salopards en privé. Et quand il donnait des ordres, après l’avoir martyrisée sans ménagement, à ce moment-là, Kara l’aimait plus que tout.

Sans réfléchir, totalement trempée et dégoulinante de salive, misérable et pourtant si puissante, la Commerciale s’exécutait, ouvrait grand la bouche à sentir ses mâchoires meurtries par le traitement qu’il venait de lui infliger, la gorge endolorie encore, sursauta d’être à nouveau étouffée. Kaito semblait surexcité, inarrêtable et conquérant, mais les regards qu’ils échangeaient étaient sans équivoque quant à leur confiance et silencieusement, malgré tout ce que pouvait souligner leurs ébats violentes, il s’assurait qu’elle pouvait encaisser.

C’était toujours une surprise pour elle… toujours étrange de réussir à aller plus loin avec lui, et pourtant, quelque chose lui disait qu’elle pourrait tout tenter avec son petit Etudiant. Ils étaient faits pour s’entendre, s’alliaient à merveille, s’écoutaient et se poussaient l’un l’autre. Kara sentit un haut le cœur la soulever et ses prunelles s’élargirent sous la force de l’intrusion, la tête totalement maintenue, d’une force implacable, par les mains du jeune homme. Comment définir la sensation d’être ainsi contrainte avec puissance ? Kara se sentait bloquée, prisonnière et pourtant, cette situation décuplait son désir. Son entière frustration devenait une source étrange de plaisir, elle regrettait simplement de n’avoir aucune liberté pour gémir.

L’étranglement lui fit monter les larmes aux yeux, et elle profita qu’il lui pose une question, que sa queue glisse sans ménagement hors de sa bouche pour reprendre une énorme goulée d’air, toussant et s’étouffant en lui répondant. Pourtant, ses yeux brillaient, le cou plié en deux pour le regarder dans les yeux, ce petit visage d’ange qui la surplombait, si charismatique.

Les mots du Pervers de l’autre côté de la paroi lui arrivèrent aux oreilles à cet instant, brisant cet instant si intense, et la forçant à tourner le regard vers ce trou où elle voyait à nouveau ce sexe dégueulasse qui suintait du jet qu’il venait de lâcher. Un réflexe instinctif la fit vouloir se décaler, mais elle avait les fesses par terre et fort heureusement, elle était trop loin pour que la semence l’atteigne. L’étreinte de Kaito sur sa mâchoire s’affermit, il devait avoir senti qu’elle risquait de revenir trop vite à la réalité, et ce simple geste la força à ignorer ce gros Porc, tout comme les mots qu’il prononça ensuite.

Elle se força à ne pas porter attention au billet qui venait de voleter près d’eux, le pouce de l’Etudiant caressa la commissure de ses lèvres, dans un geste pour pourrait être romantique, mais la pression dans son doigt la rappelait presque à l’ordre ; La Commerciale frissonna de désir, releva son regard clair sur son amant bien au-dessus d’elle, tira la langue en le fixant droit dans les yeux. Elle avait souvent cette expression de défis vis-à-vis de lui, pour le provoquer, parce qu’elle savait que ça marchait. Elle savait qu’il ne pouvait pas résister, et qu’il n’en pouvait plus. Kara écarta sa frange collée à son front, pencha la tête légèrement et sa main finit par se poser sur l’une des siennes, accentuant les mots qui suivaient.

« J’ai faim mon Ange, et je veux que tu viennes dans ma bouche. »

A peine avait-elle terminé sa phrase, d’une petite voix pourtant assurée, la jeune femme ouvrit de nouveau grand la bouche en fixant le sexe luisant de son Etudiant. Elle devrait surement attendre qu’il impulse le mouvement, mais ce n’était pas la plus docile, et surtout pas la plus patiente, alors Kara cala sa main libre contre la peau brûlante de sa tige pulsante pour l’attirer à elle. Et comme il s'enfonçait en se plaquant contre son palais, cette même main se leva légèrement pour venir offrir au spectateur son majeur bien haut.




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