A peine eut-elle le temps d’admirer son travail que la soubrette se retrouva plaqué contre le lit par sa maîtresse. Elle se laissa faire lorsque sa maîtresse lui enfila les menottes en cuir, appréciant le doux mélange de douceur et de fermeté dont faisait preuve Tinuviel. Les lèvres de l’elfe rouge s’approchèrent de l’oreille d’Arillé, la mordillant sensuellement, ce qui n’arrangerait pas l’état d’excitation dans lequel se trouvait Arillé. Puis sans crier gare, Tinuviel s’éloigna de sa soumise la laissant dans cette position peu avantageuse. Tournant légèrement la tête pour épier sa maîtresse, Arillé la vit devant elle, armée d’une cravache. Posant délicatement le morceau de cuir contre son visage, l’elfe rouge se mit à tendrement lui caresser le visage.
« Regarde-toi… J’ai essayé de faire de toi une belle maid, une charmante servante. Mais au fond, je pense que ce qui t’intéresse c’est uniquement la luxure. Je suis sûre que tu ne rêves que d’être prise, là sur le lit n’est-ce pas ?
- Oui Maîtresse... » répondit-elle dans une voix mêlée de honte et d’excitation.
Ne pouvant s’empêcher de se mordiller la lèvre inférieure, Arillé observait du coin de l’œil les actions de sa maîtresse. Au fond d’elle, Arillé espérait que la porte de la chambre allait s’ouvrir, non pas pour qu’on puisse la sauver, mais pour que les femmes de Tinuviel puissent voir à quel point la nouvelle résidente n’était qu’une salope délurée qui méritait de connaître sa place. Elle fantasma dans sa tête tout un scénario pervers, imaginant que tour à tour le harem entier passerait voir les deux elfes : Arillé attachées dans diverses positions, punie pour plusieurs raisons et réduite au rang de vulgaire sac à foutre.
Elle fut sorti de cette rêverie par un coup sec sur les fesses. Ne pouvant s’empêcher de gémir de plaisir, elle se senti un peu idiote d’avoir si tôt montré un signe de faiblesse. Tinuviel lui annonça qu’il ne s’agissait que d’un avant goût de sa punition. Dix coups de cravaches ? Elle avait connu bien pire. Soufflant un doux « Merci Maîtresse », la punition débuta. Un premier coup s’abattit sur les fesses rebondies de l’elfe. Machinalement, elle resserra ses jambes et se mise sur la pointe des pieds, relevant encore plus ses fesses. Avant que Tinuviel ne donne un second coup, un mot sorti de la bouche de la soubrette : « Un ». Sensuellement, après chaque coup reçu sur ses fesses, Arillé comptait. Usant de son qu’on lui avait appris durant son dressage, elle essayait d’exciter d’avantage sa maîtresse, gémissant régulièrement quand il ne s’agissait pas un petit cri de douleur bien audible, ou remuant doucement son postérieur comme pour l’inviter à frapper encore plus fort.
De son point de vue, Tinuviel voyait le postérieur de sa belle devenir de plus en plus rouge. Elle pouvait facilement deviner l’excitation dans laquelle était la petite chienne qui était devant elle. L’intérieur des cuisses luisant de désir.
« Merci… Maîtresse. » dit-elle une fois la punition terminée. « Pitié Maîtresse, pardonnez cette sale petite pute d’avoir eut de si vilaines pensées. » Arillé se mordillait la lèvre inférieure d’excitation, lançant un regard langoureux à sa maîtresse, l'invitant à continuer dans la débauche.