Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Arillé le jeudi 07 janvier 2016, 00:07:31
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Le marché de Nexus était une place qui était noire de monde du matin au crépuscule, pour peu que l’on ait une bourse bien remplie, on pouvait tout s’offrir, tout avait un prix et tout le monde, nobles comme petites gens se rassemblaient pour commercer. Légumes, charrettes, armes, œuvres d’art, biens de contrebande, vêtements, bonbons multicolores, tout ici avait un prix. Mais ce qui faisait la réputation de ce marché était les ventes d’esclaves. Il y en avait pour tous les gouts, et pour se démarquer, il fallait proposer des biens d’exception. C’était le cas du harem « La Rose Pourpre», établissement d’exception qui avait la réputation de vendre les femmes les plus belles de Terra. La gérante de cet établissement, madame Sachère était justement en train de présenter ses produits. Cette femme ayant près de la quarantaine avait une certaine prestance, par sa manière de parler et de se mouvoir.
« Et si vous voulez bien me suivre madame Lastrim, voici une autre esclave qui pourrait éventuellement vous convenir. »
Arillé eu le cœur qui se mit à battre la chamade. Elle prit une grande inspiration en surveillant la porte du boudoir dans lequel elle était exposée. C’était une pièce richement décorée, comme le reste du harem. Un véritable palais qui montrait que les affaires allaient pour le mieux dans cet établissement. A l’intérieur se trouvait deux fauteuils qui faisaient face à une banquette, séparés par une table basse et Arillé, nue à l’exception d’un collier et d’un maquillage très léger. Soudain la porte s’ouvrit et l’esclave offrit son plus beau sourire après avoir tressailli, attendant que les deux femmes s’approchent et s’installent pour les saluer par un doux.
« Bonjour maîtresses »
Sans se faire prier Arillé rampa jusqu’aux pieds de Tinuviel et les embrassa avant d’embrasser ceux de Sachère sans interruption.
« Je vous prierai de m’excuser si jamais vous éprouvez une gêne à voir une elfe, je comprendrai parfaitement. »
Elle fit signe à Arillé d’arrêter et celle-ci se redressa, restant à genoux. Son regard était fixé sur Tinuviel, et elle ne pouvait s’empêcher de lui sourire. Elle était à la fois intriguée de voir une autre elfe pour la première fois de sa vie et captivée par sa beauté, encore quelques instant et elle allait tomber amoureuse devant cette acheteuse potentiel au physique divin.
« Vous comprendrez, de par ses origines qui la rendent immortelle, que son prix est plus élevé que nos autres esclaves. Mais je dois avouer qu’elle est l’une de nos plus belles pièces. Bien entendu vous pouvez l’examiner de plus près. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Arillé se redressa doucement avec grâce et se mit devant Tinuviel, qui pouvait l’examiner sous toutes les coutures, sans aucune restriction (dans la limite du raisonnable).
« Je me permets d’ajouter qu’elle est toujours vierge, mais nous l’avons éduqué pour combler le moindre de vos désirs, comme le reste de nos pensionnaires. »
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Elfe rouge avait été convié à une vente exceptionnelle organisée par le harem de la rose pourpre. Elle avait déjà entendue parler de cet établissement et c’était donc décidé à aller faire un tour dans cette vente au enchère dans l’espoir de trouver une ou un amant supplémentaire.
Elle rencontra ainsi la tenancière des lieux, discutant avec elle durant de très longues minutes de ses gouts, ses envies, ses besoins. La femme lui présenta de nombreuses esclaves, plus magnifiques les unes que les autres mais à chaque fois, le déclic ne se faisait pas. Elfe rouge commençait à désespérer quand on lui proposa une dernière esclave qui pourrait lui convenir, elle espéra à cet instant qu’on lui ait gardé le meilleur pour la fin. Et c’était le cas.
Devant elle, se trouvait une magnifique créature, une elfe aux cheveux blond comme les blés. Une divine créature que au visage fin et au yeux saphir. L’elfe rouge avait clairement le coup de cœur pour cette belle demoiselle et la voir ainsi lui lécher les pieds la mettait autant mal à l’aise que déchainée en elle des envies de possession.
Lorsqu’on lui demanda si voir une consœur comme cela la gênait, elle eut juste un petit sourire avant de dire tranquillement.
-Je sais parfaitement que les elfes sont prisés pour leur beauté et leur éternité. J’ai eu le temps de me faire à cette idée même si celle-ci ne me plait pas vraiment.
Lorsqu’on l’invita à le faire, l’elfe rouge se mit à inspecter la demoiselle, passant lentement ses doigts sur son corps comme pour s’assurer l’absence de trace de coup, de dents manquante, bref de vis cachée… Une simple vérification de routine. Et d’ailleurs pendant ce temps, elle en profita pour poser à sa future acquisition une petite question.
- Alors, comment t’appelles-tu ma belle ?
Elle hocha lentement la tête avant de se tourner vers la tenancière des lieux, lui répondant simplement.
-Oui, et puisque nous sommes sur le sujet à combien l’évalueriez-vous ? Je reconnais qu’elle est charmante et que la veux pour mon harem, à condition encore une fois que le prix ne soit pas exagéré.
Désormais, il n’y avait plus qu’a attendre et a espérer que la tenancière ne soit pas trop gourmande. Ce serait si dommage de passer à côté d’une telle perle.
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Arillé était en train d’être passée au peigne fin par Tinuviel. C’était un acte presque obligatoire qui permettait d’éviter les mauvaises surprises en arrivant chez soi. Malheureusement pour Tinuviel, elle n’avait aucune imperfection qui aurait pu faire baisser son prix. Sa peau de pêche avait certe déjà connu le fouet, mais aucune cicatrice ne venait gâcher la vue de ses courbes. Le moment le plus dérangeant pour l’esclave fut quand l’elfe rouge se mit à examiner ses dents. La sensation de se faire examiner la bouche par une inconnue était toujours étrange et une fois fini, Arillé regardait Tinuviel avec des yeux étonnés avant de reprendre l’air qu’elle avait avec son léger sourire.
Pendant qu’elle sentait les doigts délicats de Tinuviel parcourir sa peau, elle ne put s’empêcher de frissonner.
« C-Cette esclave s’appelle Arillé, Maîtresse. Si ce nom déplaît maîtresse, cette esclave serait très heureuse d’avoir un nouveau nom. »
L’elfe eu pour réponse un hochement de tête et Tinuviel se désintéressa d’elle avant de demander le prix à débourser pour Arillé. Sachère prit ses aises sur son fauteuil esquissant un sourire.
« Avant tout, laissez-moi vous offrir un rafraichissement. Mon thé habituel Arillé et tout ce que souhaitera notre invitée. »
Arillé s’inclina et quitta la pièce sans faire un bruit. Sachère dévisagea Tinuviel d’un regard perçant, elle était en train d’analyser l’elfe rouge de son regard perçant. Après quelques secondes dans un silence paradoxalement lourd, elle se redressa de son fauteuil et se mit à errer dans la pièce en prenant la parole.
« Vous vous doutez que le prix pour obtenir cette esclave est élevé. Vous êtes quelqu’un d’intelligente, c’est indéniable. C’est l’une des deux raisons pour laquelle je vous ai invité à cette vente. L’autre étant bien évidemment le contenu de votre capital. Nous formons peu d’esclaves, mais nous élevons les meilleures, croyez moi. »
Elle s’arrêta dans sa marche et se retourna vers Tinuviel, la fixant dans le plus grand des calmes.
« Je me dois de vous prévenir, vous n’êtes pas la seule cliente avec qui j’ai pris rendez-vous aujourd’hui. C’est pour ça que son prix n’est pas négociable. 35 000 pièces d’or. Et par acte commerciale pour votre premier achat je baisse son prix à 34 500. C’est notre pièce la plus prestigieuse. Etes-vous intéressé par mon offre ? »
Suite à ça, Arillé entra dans le boudoir, un plateau en argent dans les mains, servant les boissons aux deux femmes. Une fois le thé servit dans les théières, l’esclave resta immobile tenant encore son plateau par la paume de sa main, toujours dans sa tenue d’Eve.
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L’elfe rouge écouta la jeune femme en continuant son inspection, les dents étaient rarement un moment agréable mais il était nécessaire pour l’elfe rouge de s’en occupé. En effet, s’il était possible de camoufler des traces de coup, un esclave sous nourris, ou carencé avait forcement des traces au niveau des dents. Or ce n’était pas le cas de la jeune femme. Elfe s’arrêta donc, lui caressant lentement la joue en lui disant tranquillement.
-Je te remercie Arillé.
La tenancière envoya ensuite l’esclave lui chercher un thé, alors que l’elfe s’absentait, la tenancière analysait l’elfe rouge qui se laissa faire. Elle eut un petit sourire avant de s’assoir tranquillement attendant que la femme lui fasse son offre. Elle connaissait par cœur les discours des esclavagistes et savait que de toute manière, il y avait toujours une marge de négociation possible.
Tinuviel prit donc un siège, souriant légèrement en écoutant l’offre. Celle-ci lui semblait raisonnable. Elle n’avait donc aucune raison de refuser, pourtant elle savait que si elle ne négociait pas ne serais ce que un peu, la prochaine fois, on la prendrait pour une imbécile. L’elfe rouge réfléchit quelques instants en disant.
-Prestigieuse oui, elle a de nombreuses qualités j’en conviens mais je connais aussi la valeur d’une esclave.
Elle eut un petit sourire en disant tranquillement.
-Mais je suis sûre que nous pouvons trouver un compromis acceptable pour nous deux. Disons… 32 000 et à ce prix j’ai le droit à ses effets personnels ainsi qu’a une tenue acceptable.
Elfe rouge savait qu’en générale, les esclaves avaient des objets personnels, pouvant être vendu à leur propriétaire, parfois, le lot valait la dépense, parfois moins. Mais en général les esclaves étaient heureux de récupérer leurs quelques possessions, souvent liés à des souvenirs.
Quant à la tenue, il s’agit d’une règle indispensable que chaque esclavagiste devait obligatoirement fournir. Mais l’elfe ne se contenterait pas d’un simple bout de chiffon, non, elle voudrait quelque chose d’un peu plus classe.
Il restait maintenant à voir la réaction de la femme, mais l’elfe était à peu près sure que celle-ci chercherait à négocier encore un peu, après tout, c’était la coutume. Il ne restait plus qu’a attendre la contre-offre puis à accepter celle-ci.
De toute manière l’elfe rouge avait prévu que cela se déroule ainsi. Elle n’aurait sans doute pas mit beaucoup plus mais l’œuvre était raisonnable donc elle n’avait pas vraiment besoin de faire durer les négociations.
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Sachère reposa doucement sa tasse de thé sur sa soucoupe en esquissant un sourire. Heureusement qu'elle venait de préciser que le prix n'était pas négociable. Une fois les mains libres, elle entremêla ses doigts et inspecta Arillé de haut en bas avant de reporter son regard sur Tinuviel.
"En ce qui concerne votre offre, je dois avouer qu'elle est juste. C'est un peu moins que son prix, mais c'est effectivement sa valeur marchande. Cependant, mon offre comprenait ses effets personnels, vêtements, et ce que nous tolérions. A savoir... Arillé, ta cantine.
- Oui maîtresse."
L'esclave déposa son plateau sur la table basse et se dépêcha d'attraper une petite malle en bois qu'elle rapporta. Elle souleva le couvercle de la cantine et tendit une feuille à Sachère qui l'attrapa. C'était le registre des effets personnels des esclaves, tout ce qui était écrit sur cette feuille devait impérativement se trouver dans la cantine, ce qui permettait d'éviter les vols ou d'avoir de la contrebande. Tout manquement à cette règle pouvait amener à une punition, ce qui motivait Arillé à être ordonnée dans ses affaires. Quand Sachère énonçait un bien de l'esclave, celle-ci le sortait de sa malle et l'exposait avec fierté.
"Voyons-voir... Trois ensembles: tenue de soirée, tenue de désir et tenue quotidienne. Tu peux enfiler celle-ci si tu le souhaites. Le tout estimé à 300 pièces d'or."
La tenue de soirée consistait en une robe en soie, relativement sobre, mais qui permettait d'emmener ses esclaves dans des lieux distingués, une paire de talons aiguilles, des sous-vêtements et des bas avec porte-jarretelle pour rester "désirable", celle de désir était une sorte de tenue de danseuse du ventre, décorée avec des métaux et pierres précieuses et qui ne cachait pratiquement rien, sans pourtant faire vulgaire. Et enfin, Arillé enfila sa tenue de tous les jours, une toge blanche en lin, qui s'arrêtait à mi-cuisse, avec une paire de spartiate en cuir.
"Des bijoux, à savoir un brassard en or, trois paire de boucles d'oreilles en or, or blanc, et argent, trois bracelets, pour aller avec ses oreilles, un pendentif sertis d'un saphir et d'éclats de diamants ainsi que de deux paires de piercings à seins. Le tout estimé à 2500 pièces d'or. Et enfin ses affaires personnelles à savoir, maquillage, brosse à cheveux, un savon, une... Une poupée en chiffon nommée "Awaen"..."
Arillé avait entre ses mains une poupée d'elfe faite de chutes et qui avait beaucoup vécue. Vu la taille et l'état de la poupée on pouvait se douter que c'était le jouet d'Arillé lorsqu'elle était petite. L'elfe avait du mal à cacher son sourire avec sa poupée entre les mains, ce qui fit lever les yeux au ciel de Sachère, qui repris aussitôt sa lecture.
"Une harpe et une boite de peinture. Estimé à 200 pièces d'or. Ce qui nous fait un total de 3000 pièces d'or, plus le prix d'Arillé 35 000, moins mon acte commercial soit un total de 34 500 pièces d'or. Et concernant la tenue "acceptable" elle est offerte avec l'esclave, à savoir ce qu'elle porte. Et je vous rappelle que le prix n'est pas négociable. J'essaye de me faire des clients régulier, pas de les arnaquer." dit elle en souriant.
Elle reprit sa tasse de thé et souffla dessus avant de reprendre une gorgée. Elle avait été claire et n'allait pas baisser son prix. Certes, le prix pouvait paraitre exorbitant, mais on parlait d'une esclave qui allait rester belle jusqu'à la fin des temps, et qui pouvait être léguer en héritage. Il fallait voir ça comme un investissement sur le très long terme.
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Elfe rouge eut un petit sourire, en générale il y avait toujours une petite fenêtre de négociation. Pourtant, cette fois ci, il semblerait que ce ne serait pas le cas. Et bien soit, si jamais la femme ne voulait pas négocier, ce n’était pas bien grave.
Elfe rouge eut un léger sourire avant d’analyser les biens que possédait la demoiselle, faisant ainsi le calcule rapide de ce que les objets pouvaient bien valoir. Elle en arriva à peu près à la même conclusion que la tenancière ce qui la fit hocher la tête avant de sourire.
-Bien, je pense que avec ces éléments en tête, votre offre me semble acceptable.
Elle eut un petit sourire avant de sortir finalement un parchemin qu’elle brula d’un geste de la main, faisant ainsi apparaitre un coffre. L’elfe rouge sortie finalement la clé et eut un petit sourire avant de sortir la somme en lingot de platine. Il était clair que si l’elfe rouge était exigeante, elle en avait les moyens. En effet le harem avait depuis quelques temps une activité des plus florissantes et cela pouvait s’expliquer par les rapprochements qu’avait faits l’elfe avec certaines personnes particulièrement influentes.
Une fois la somme rassemblée, l’elfe rouge ferma le coffre et le re téléporta avec un sortilège du même type avant de déposer les lingots devant la tenancière. Elle la regarda droit dans les yeux avant de lui dire.
-Je vous laisse faire le compte, une erreur est toujours possible bien que j’ai recompté la somme plusieurs fois afin d’éviter tous malentendus
Elle réfléchit quelques instants avant de regarder la jeune femme, celle-ci dans quelques instants seraient à elle. Et à ce titre il lui faudrait sans doute lui expliquer les quelques règles du harem. Mais ce n’était pas vraiment cela qui travaillait l’elfe rouge. Non, elle avait l’impression de connaitre ce visage. Elle se faisait peut être, voir surement des idées, mais elle préféra tout de même prendre les choses en main.
-Il y a tout de même une question que je me pose. De quelle origine vient-elle ? J’ai vécu quelques siècles sur Terra et son visage, a quelque chose qui m’est familier. Or je m’en voudrais de prendre comme esclave une de mes consœurs surtout si celle-ci est issue d’une noble famille.
Il était claire que l’elfe rouge n’avait pas spécialement envie de se mettre à dos plus de la moitié de la population elfique de terra. Avoir une esclave elfe, était une chose, mais une noble… Non, elle avait beau être pyromancienne elle ne jouerait pas avec ce type de feu.
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Sachère observa l'elfe faire apparaitre son coffre, et se mit à compter les le nombre de lingots que déposa Tinuviel. Une fois la somme déposée sur la table basse, la tenancière attrapa un contrat de vente. A l'aide d'une plume et d'un encrier, elle compléta quelques informations de celui-ci avant de laisser l'Elfe le signer. Pendant qu'elle était occupée avec le contrat:
"Cela m'étonnerait qu'elle est du sang noble. Nous l'avons acheté lorsqu'elle fut sevrée. Sa mère était une esclave." dit-elle en faisant tourner lentement sa main de façon distraite. "La seul possibilité pour qu'elle ait un tant soit peu du sang noble serait qu'elle soit une bâtarde... Vous n'avez rien à craindre pour ce qui est d'éventuelles représailles. Et en vingt ans de services, elle ne nous a posé aucun problème, je doute que cela change avec vous."
Elle reposa sa tasse vide dans sa soucoupe et se releva, tendant sa main à l'elfe affichant un large sourire. Elle s'était fait une fortune en vendant une esclave, il y avait de quoi être heureuse. Cette journée s'annonçait bien visiblement. Surtout qu'elle avait d'autres clients qui avaient eux aussi prit rendez-vous pour acheter des esclaves.
"Vous souhaitez-que je vous l'emballe?" dit-elle en plaisantant. A ses yeux, Arillé n'était pas un être vivant. Tout au plus un jouet. Elle raccompagna les deux femmes jusqu'à la sortie. Arillé tenant dans ses bras la cantine qui contenait les maigres affaires que possédait l'esclave. Sachère avait profité du trajet pour attacher une laisse au collier de l'elfe qui pendait, n'attendant que d'être prise.
"Au plaisir de vous revoir madame Lastrim. Si vous avez un quelconque problème avec votre esclave, n'hésitez surtout pas à revenir vers nous."
Enfin dehors. Arillé fixait sa maîtresse en continue, sauf lorsque celle-ci la regardait, auquel cas elle avait le regard fuyant. Après quelques instant d'hésitation...
"Qu-... M-Maîtresse... Que D-... Que peut faire cette esclave pour vous servir?"
Arillé était nerveuse et ne savait visiblement pas sur quel pied danser.
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L’elfe rouge fut légèrement rassurée, au moins, elle ne risquait pas de problème avec d’autre citée elfique, mais d’un autre côté, elle était légèrement déçus. En effet c’était en partie grâce à l’achat de noble qu’elle avait réussit à faire que son harem ne devienne ce qu’il était aujourd’hui.
Elle soupira légèrement avant de partir, ne tenant pas compte de la remarque de cette femme. L’esclavage n’était pas une chose qui lui plaisait. Elle prit donc doucement la main d’Arillé avant de la guider vers la sortie.
Une fois sortie, L’elfe rouge détacha la laisse du collier, avant de caresser lentement la joue de la petite elfe lui disant d’une voix rassurante.
-Calme toi, je ne vais pas te manger tu sais. Tu veux vraiment m’être agréable Arillé. Alors appelle-moi Tinuviel s’il te plait, ce sera un bon début.
L’elfe rouge eut un petit sourire avant de passer lentement sur l’épaule de la jeune femme, lui souriant doucement. Il était temps de la guider vers une petite auberge proche car celle-ci avait à discuter.
Le voyage dura quelques minutes avant que l’elfe rouge ne trouve son établissement. Depuis qu’elle achetait des esclaves, c’était un point obligatoire de passage. D’ailleurs, elle connaissait si bien la propriétaire que celle-ci était devenue une amie… très intime. Mais la n’était pas la question.
Lorsque l’elfe rouge entra dans l’établissement, elle lanca un petit signe de la main au personnelle avant de s’assoir dans un coin reculé de la salle attendant que la demoiselle ne vienne par elle-même prendre place à ses coté. L’elfe rouge l’invita d’ailleurs à s’assoir à ses côtés. Souriant doucement avant de lui dire tranquillement.
-Bien, Arillé, je vais être honnête avec toi. Si jamais tu restes à mes côtés, je veux que cela soit ton choix. Donc, voici ce que je te propose, tu peux partir, je te ferrais des papier de citoyenneté Nexussienne et tu seras libre de mener la vie que tu souhaites..
Elle eut un petit sourire avant d’attendre lentement que la demoiselle ait eu le temps de digérer cette information avant de continuer et de lui dire tranquillement.
-Ou alors, tu peux rester avec moi. Et alors je t’expliquerais les règles de mon harem. Elles ne sont pas très nombreuses et je pense que tu t’y ferras vite. Mais je veux être sure que tu les acceptes de ton propre chef.
Il ne restait donc plus qu’à attendre son choix.
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Arillé suivait sa nouvelle propriétaire dans le dédale de rues que composait Nexus, tenant toujours à bout de bras sa cantine qui commençait à être un peu lourde. Elle essayait de trouver des techniques pour porter ses affaires, soulager ses bras, et ne pas avoir l'air ridicule. Elle en fut soulagé d'arriver devant cette auberge qui ne payait pas de mine de l'extérieur. Une auberge, qui une fois à l'intérieur, avait un certain charme, il fallait le reconnaitre. Arillé suivait toujours Tinuviel, cette dernière n'ayant pas formulé d'ordre, elle se devait donc de la suivre. Elle déposa sa cantine à coté de la table en essayant de camoufler son soupire de soulagement. Si elle avait été seule, elle se serait étiré les bras, ce qu'elle ne fit pas.
"Bien, Arillé, je vais être honnête avec toi. Si jamais tu restes à mes côtés, je veux que cela soit ton choix. Donc, voici ce que je te propose, tu peux partir, je te ferrais des papier de citoyenneté Nexussienne et tu seras libre de mener la vie que tu souhaites..."
Les yeux de l'elfe s'écarquillèrent. Elle aurait dépensé une fortune conséquente pour ensuite lui proposer la liberté? Ca semblait louche aux yeux de la blondinette. Était-ce une sorte de test vicieux? Il valait mieux rester sur ses gardes. De plus, que ferait-elle une fois libre? Elle qui n'avait connue que cette vie. Si c'était pour être libre, mais obligée de vendre son corps dans un bordel miteux pour une miche de pain et de se faire finalement égorger par un malade...
"Ou alors, tu peux rester avec moi. Et alors je t’expliquerais les règles de mon harem. Elles ne sont pas très nombreuses et je pense que tu t’y ferras vite. Mais je veux être sure que tu les acceptes de ton propre chef."
"- Est-ce que cette esclave pourrait avoir connaissance des règles de votre harem maî-... Tinuviel?
Elle déglutit, elle n'était vraiment pas à l'aise. Elle n'arrivait pas à savoir si sa nouvelle maîtresse était sincère ou si c'était un bête test de loyauté. Il lui fallait du temps pour mieux la comprendre et un peu mieux cerner son comportement. Après analyse, ce qu'elle venait de dire pouvait lui laisser croire qu'elle était favorable. En fait, elle voulait uniquement s'assurer qu'elle n'allait pas faire une erreur.
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Elfe rouge soupira légèrement, apparemment il y avait beaucoup à faire avant que la petite elfe se comporte comme elle le voulait, c’est-à-dire de manière plus naturelle. Elfe rouge sourit légèrement avant d’attendre que la jeune femme lui pose la question. Il semblait naturelle que la jeune femme se pose ce genre de question. Elfe rouge hocha lentement la tête avant de lui dire simplement.
-Il y a trois règles. La première c’est que tu es libre de partir lorsque tu le souhaite. La seconde c’est que tu es libre de profiter de qui tu veux tant que celle-ci est consentante et enfin la troisième et la plus importante : le harem est ta famille, il est la pour toi et tu es la pour lui.
Elfe rouge eut un petit sourire avant de rajouter.
- Bien sur, chacun doit aider comme il le peut afin de faire en sorte que le harem fonctionne. Je ne sais pas ce que tu sais faire ou pas. Mais nous verrons cela plus tard. Une fois que tu auras prit tes marques.
Elle eut un grand sourire avant de regarde la jeune femme. Elle pouvait voir dans ses yeux une certaine forme de malaise. Elle eut un petit sourire avant de lui dire tranquillement.
-Ecoute moi Arille, il ne s’agit pas d’un quelconque test. Ce que je recherche est une partenaire, une compagne, une épouse. Je ne souhaite pas une simple esclave.
Elle eut un petit sourire avant de terminer.
-Me concernant, tu peux me voir comme une mère, une épouse, parfois une maitresse, tout dépendra de ce que tu recherches.
L’elfe rouge venait de poser les bases de cette future relation, il ne restait donc plus qu’à attendre ce que la jeune femme devant elle avait à dire, s’il y avait des questions. Et en fonction elle prendrait le temps de lui répondre.
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Arillé écoutait attentivement l'elfe rouge. Les explications qu'elle venait de donner l'avait autant rassuré qu'intrigué. Que voulait-elle vraiment dire? Cherchait-elle littéralement une épouse ou était-ce juste une métaphore. Arillé avait beau avoir été formé à servir dans de multiples domaines, allant de celui d'artiste à celui de "Marie-couche-toi-là", mais elle n'était pas préparée à ça. Il faut la comprendre la pauvre, elle vient à peine de changer de vie, qu'une sublime elfe lui propose d'être libre, et de l'épouser. Elle passa une nouvelle fois son regard dans l'auberge. Il n'y avait pas grand monde, tant mieux.
"Cette esclave sera toujours libre de partir après si elle ne se plait pas dans votre harem? Et quand maî-... Je veux... heu, cette esclave veut dire, quand irons-nous?"
Elle relança une nouvelle fois son regard dans l'auberge.
"Cette esclave ne comprend pas ce que vous voulez dire par "épouse" et "mère", et quand vous dites "maîtresse", doit-elle continuer de vous appeler maîtresse?"
Pour elle, l'appeler maîtresse était plus simple, elle lui devait beaucoup. Elle était gentille, très gentille. Trop. Bien que méfiante, elle faisait tout son possible pour ne pas le montrer, quand elle le voulait, elle était assez douée pour cacher ses émotions.
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Elfe rouge eut un petit sourire en écoutant la jeune femme, elle commençait à prendre lentement ses marques, bien qu’il restait encore de nombreuses choses à lui montrer. Elle eut un petit sourire commandant quelques choses pour Arillé et pour elle-même.
Elle au bout de quelques gorgées, elle répondit tranquillement à sa petite esclave.
-Oui, tu es libre de partir quand tu voudras. Je te l’ai dit Arillé, je veux que tu sois à mes coté par choix. Donc si tu ne te plais à mes côtés, nous te trouverons une autre vie.
L’elfe ne serait pas la première à avoir était reclassée par l’elfe rouge. En échange, elle demanderait de rendre la pareille le jour venue. Mais pour l’instant ce n’était pas la question. Elle eut un petit sourire avant de lui dire tranquillement.
-Je pensais attendre quelques heures ici, le temps que tu te reposes un peu, mais si tu te sens prête, alors nous pouvons y aller tout de suite. Par contre, je te demanderais s’il te plait et si tu t’en sens capable d’utiliser le JE. Cela me met un peu… Mal à l’aise vois-tu. Mais bon, continue de m’appeler maitresse si tu le souhaite. Tu comprendras le reste plus tard, tu verras.
Elfe rouge réfléchit quelques instants avant de se demander comment la jeune femme vivrait l’expérience de la téléportation jusqu’à son domaine. Normalement, celle-ci avait déjà de l’expérience dans la vie en collectivité avec son précédent harem. Toutefois, elle était quand même un peu anxieuse et elle espérait donc que tout se passe bien. Elle ne voulait pas qu’Arillé se sente mal à l’aise ou pire encore qu’elle ne s’intègre pas au harem. Jusqu’à preuve du contraire, il n’y avait aucune raison pour que cela n’arrive mais bon. Enfin, si la jeune femme était prête à y aller l’elfe rouge sortirait l’un de ses parchemins de téléportation qui créerait un portail les conduisant toute deux dans la principale salle du harem.
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Arillé bu un peu de son verre. C'était du vin, et elle n'était pas habituée à ce breuvage qui lui brûla la gorge. La sensation était plutôt désagréable et elle avait du mal à comprendre comment les gens libres faisaient pour abuser de ceci. Elle prit sur elle même pour tenter de camoufler la toux qui lui chatouillait la gorge. C'en était presque écœurant. Elle ne toucha plus à son verre, mais remercia quand même sa maîtresse, après tout, elle s'était montrée si gentille avec elle qu'elle se sentait mal de refuser ce qui apparaissait comme son premier vrai cadeau. Oh bien sûr, elle trouvait ça toujours étrange de voir une femme aussi belle, riche et puissante la traiter comme son égale.
"Cof... Hum... Comme vous désirez, je vais faire comme il vous plait." dit-elle en affichant un sourire sincère. Elle replaça une mèche derrière son oreille et réajusta sa toge blanche qui lui arrivait mi cuisse, laissant apparaître ses fines jambes. Elle jeta à nouveau un oeil au contenu de son verre et reporta son attention sur Tinuviel.
"Cela ne vous dérange pas si je continue de vous vouvoyer? Vous m'avez offert... Tellement en si peu de temps. C'est ça qui continue de me troubler. Je pense que je suis prête à rejoindre votre demeure."
En revanche, la téléportation allait être encore plus perturbante pour l'elfe. Elle savait qu'elle avait affaire à une magicienne. Mais ne se doutait pas qu'elles allaient partir de façon aussi subite. On disait que la téléportation était quelque chose qui donnait le mal des transports. Arillé était à la fois nerveuse et impatiente de quitter cette maudite ville et de pouvoir vivre paisiblement auprès de quelqu'un qui lui semblait être réellement l'incarnation du bien, et de la douceur. Comme une mère aimante ou l'incarnation d'une divinité portée sur la famille et la protection des plus faibles.
Elle joua un peu avec une de ses mèches libres avant de la replacer derrière son oreille pointue.
"Et peu importe la tache que vous me confirez, je serai heureuse de l'accomplir. Je ne sais pas quoi faire pour vous remercier. Est-ce qu'il y a d'autres elfes dans votre harem? J'aimerai en connaître plus sur mon peuple. Et si vous voulez savoir ce dont je suis capable, je possède des compétences artistiques, de linguistes, culinaires, de réception si vous avez des invités et d'autres plus lascives."
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Elfe rouge observa quelques temps la demoiselle, il semblait que l’alcool n’était pas à son gout. Au, elle n’allait pas s’en plaindre mais c’était une chose qu’elle retenait pour la suite. Elle eut un petit sourire alors que la demoiselle acceptez enfin de parler d’une manière plus… normale ? Enfin, qui la dérangeait moins. Elle hocha cependant la tête avant de lui répondre tranquillement.
-Si tu souhaites me vouvoyez, je n’y vois pas d’inconvénient. Après tout, tu fais déjà des efforts pour me faire plaisir.
Elfe rouge hocha lentement la tête, souriant légèrement à la remarque de la jeune femme. Elle voulait rencontrer son peuple ? C’était une bonne chose, mais il existait de très nombreux types d’elfes. Enfin, la jeune femme aurait le temps de le découvrir en temps et en heure. Elle eut un petit sourire avant de dire à la jeune femme.
- Oui, il y a en effet d’autres elfes. Déjà mes deux filles, enfin, si elles n’ont pas encore décidé de l’éclipser pour parcourir le vaste monde mais elles sont des demies elfes. Pour le reste, il y a aussi une autre de mes amantes qui elle est une elfe des bois. Mais tu pourras en rencontrer d’autres qui ne font qu’escale chez moi.
Elle caressa lentement la joue d’Arillé, souriant tendrement avant de lui dire.
-Alors, le harem sera heureux de compter sur toi. Nous avons toujours besoin de personne pour nous aider et je pense qu’on peut te faire confiance.
Elle se rapprocha lentement des lèvres de la jeune elfe avant d’y déposer un baiser puis de lui susurrer dans le creux de l’oreille.
-Quant au reste de tes compétences, je serais heureuse de les essayer personnellement ma belle.
Elle eut un petit sourire avant de se retirer, souriant légèrement à elfe avant de lui dire.
-Nous y allons quand tu voudras.
Des que la jeune femme serait prête, elfe rouge sortirait son parchemin de téléportation et les deux elfes seraient directement dans la salle principale du harem, la salle commune.
-
Arillé écarquilla les yeux lorsque Tinuviel l'embrassa sur les lèvres. Elle ne s'attendait pas à ça et eu un air un peu bête pendant quelques secondes avant de devenir aussi rouge que la tenue de sa maîtresse. Son état ne s'améliora pas lorsque l'elfe lui souffla ces mots à l'oreille:
"Quant au reste de tes compétences, je serais heureuse de les essayer personnellement ma belle."
Au moins, Arillé avait une idée des activités auquel elle allait participer et mettre en place ses formations. En ajouta à cela la beauté de Tinuviel et le fait qu'elle soit une femme, l'esclave était passée de méfiante à impatiente de partir.
"Nous y allons quand tu voudras.
-Je suis prête maîtresse! Je suis impatiente de voir votre demeure!"
Pour montrer son impatience, elle se leva et vida son verre de vin rouge d'une traite avant de se rendre compte de son erreur et d'être prise d'une grosse quinte de toux. Elle se rassit aussitôt et se calma après quelques instant, les larmes aux yeux. Après avoir rassuré sa maîtresse qu'elle allait bien, elle se releva, plus doucement cette fois ci, et attrapa sa cantine. Tinuviel pendant ce temps prit son parchemin de téléportation et incanta pendant une courte durée avant de disparaitre dans un flash lumineux en compagnie de son esclave. Les deux femmes venaient d'apparaitre dans ce qui semblait être la pièce principale du harem de Tinuviel. Après cette expérience Arillé se senti bizarre. Le mal de la téléportation. Les symptômes étaient les suivants: vertiges, nausées, fatigue passagère, et pour les cas plus dramatiques, il pouvait y avoir la perte d'un doigt voir d'un membre. L'elfe était fort heureusement toujours entière, mais elle se sentait patraque. Au moins, elle était redevenue blanche.
Elle se laissa tomber sur l'une des chaises, reprenant doucement ses esprits. Sa vision était encore troublée mais elle distinguait les décorations de la salle, très riches. Des dorures à foison et quelques drapés fins aux fenêtres pour couper du vent. Avec le temps elle distingua les quelques plantes tombantes aux fenêtres qui donnaient une touche de fraicheur dans cette pièce. Elle remarqua qu'elles n'étaient pas seules dans cette salle qui semblait servir de réfectoire. Elle en comptait trois, une qui semblait être couverte de poil d'une couleur inhabituelle. Elle avait aussi deux oreilles de canidés et une queue mais ressemblait à une sorte de renarde. A coté d'elle, une autre femme, moins poilue mais qui semblait aussi avoir des oreilles et une queue touffue, blonds comme ses cheveux. En face de ces deux terranides, se trouvait quelque chose qui ressemblait à une elfe, bien que le bas de son corps était celui d'un cheval. Toutes les trois regardaient les deux elfes et quand Arillé le remarqua elle se releva d'un coup, tenant toujours sa cantine dans ses mains. Elle commençait à se sentir un peu mieux et s'inclina en direction des trois femmes qui visiblement étaient en train de profiter de leur déjeuner.
-
L’arrivée au harem se produisit sans réel problème. Le sort se déroula comme d’habitude parfaitement et l’elfe rouge et sa nouvelle acquisition n’eurent aucune difficulté à arrivé entières. Cependant, il semblait que sa petite Arillé, souffre du mal des téléportations. Cela n’était guère étonnant, il fallait un certain temps pour que le cerveau rétablisse l’équilibre entre le déplacement et le fait que le corps lui restait statistique.
Elfe rouge la supporta quelques instants, attendant que le malaise ne parte. L’important était juste de retenir la demoiselle jusqu’à ce que celle-ci s’assit quelques instants afin de récupérer. Elfe rouge resta à ses côtés, s’assurant qu’elle allait bien.
Dans la salle, le silence se fut. Les trois demoiselles qui discutait jusqu’à présent entre elle, attendait un signe de l’elfe rouge. Puis, lorsque Arillé se releva finalement l’elfe rouge eut un petit sourire, caressant lentement la chevelure blonde de l’elfe avant de lui dire.
-Arillé, je te présente Krystal (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=925060).
La furry renarde à poil bleu eut un petit sourire avant de lui dire.
-Salut.
-Lorna (http://simg4.gelbooru.com//samples/29/c9/sample_29c953d460a82c506c4ce1f3856a2d5d.jpg?1432324).
La demoiselle fit une élégante révérence, relevant légèrement sa robe avant de lui dire.
-Enchantée.
-Et enfin Kella (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1182251).
La centauresse lui fit un petit signe de la main alors que l’elfe rouge continuait son explication.
-N’hésite pas à aller les voir, si tu as besoin d’aide. Je sais qu’il est parfois difficile de s’intégrer à un nouveau lieu, mais n’hésite pas à aller les voir si tu as besoin d’aide d’accord ?
Elfe rouge se tourna ensuite vers les trois demoiselles, avant de s’avancer, et de les embrasser l’une après l’autre. Passant d’ailleurs un peu plus de temps avec Lorna. Elle eut un petit sourire avant de dire.
-Bonjour mes amours.
Elle se retira ensuite avant de retourner auprès de l’elfe alors que ses amantes reprenait lentement leur conversation. Elle eut un petit sourire avant de lui dire lentement.
- Bien, si tu va mieux on va te trouver une chambre d’accord. Tu pourras y déposer tes affaires et nous prendrons aussi un peu le temps de discuter toutes les deux, car je suppose que tu as de nombreuses questions ?
Elle eut un petit sourire avant de guider la jeune femme jusqu’à sa chambre, croissant d’ailleurs au passage quelques unes autres de ses amantes. Il n’y avait pas que des terranides, mais un mélange hétéroclite de race, notamment, ange, démon, slime, drow… Et il ne s’était passé que quelques minutes avant que l’elfe rouge ne s’arrête devant une chambre et ne l’ouvre. La chambre était assez spartiate, un lit, une petit étagère, un bureau et rien de plus. Elfe rouge eut un petit sourire, en disant.
-Elle est vide pour l’instant mais tu auras tout le loisir de la décorer à ton gout. D’accord ?
-
Arillé s'inclina en direction des trois femmes qui étaient dans la salle et Tinuviel se mit à les embrasser une à une. Elle remarqua qu'elle semblait avoir une préférence pour celle qui se nommait Lorna. Etait-elle une de ses favorites? Ou avait-elle une place particulière dans le harem? Dans tous les cas, Arillé n'allait pas être son égale. Ca la décevait un peu mais elle n'allait pas changer les règles. Avec un peu de chance, elle allait peut-être elle aussi être considérée comme une de ses favorites.
"C'est un plaisir de vous rencontrer." dit-elle en souriant.
Elle se remit droite et replaça une de ses mèches derrière son oreille. Sa cantine en main, elle suivit Tinuviel dans les couloirs du harem. Visiblement, les résidentes étaient variées et elle cru même apercevoir une drow. L'esclavage existait dans les royaumes drow, et Arillé avait entendu qu'ils pratiquaient divers sacrifices. Elle en conclue qu'elle devait être sacrifier et que Tinuviel, dans sa grande bonté l'avait sauvé. Plus elle y repensait, plus elle appréciait cette femme. Quand elle en aurait l'occasion, elle lui offrirait un cadeau. Elles arrivèrent finalement devant une porte, puis entrèrent. La chambre était sobre, voir spartiate.
"Elle est vite pour l’instant mais tu auras tout le loisir de la décorer à ton gout. D’accord ? "
Aussitôt, elle se mit à imaginer ce a quoi pouvait ressembler sa chambre. Peut-être dans le style du harem. Quelque chose qui rappellerait ses origines. Mais elle avait une invité, et allait remettre à plus tard ses projets de décoratrice d'intérieur. Elle déposa sa cantine au pied du lit et s'assit dessus.
"J'ai en effet quelques questions. Hum... Qu'est ce que le harem attend de moi? Enfin... Je veux dire, quelles seront mes taches quotidienne? Et je veux dire, qu'attendez-vous de moi?"
Elle écouta attentivement la réponse qu'avait à lui donner Tinuviel, acquiesçant ses dires, se permettant même de lui sourire. Une fois qu'elle eut finit, Arillé s'agita sur ses fesses pour se repositionner convenablement. Elle inspira un long moment avant d'ouvrir la bouche:
"Et maîtresse, je ne suis pas sotte. Je sais que je suis avant tout une esclave formée dans les plaisirs charnels, et j'aurai aimé savoir quand souhaiteriez vous découvrir mes talents?"
Elle était au moins entrée dans le vif du sujet, ce qu'on ne pouvait pas tellement lui reprocher. Peu importe les dorures ou autres subterfuges, elle savait qu'elle était comme une prostituée, sauf qu'on ne la payait pas après avoir atteint le septième ciel.
-
Elfe rouge s’assit tranquillement sur le lit laissant le temps à sa nouvelle concubine de faire le point sur la chambre et sur la situation. Elle alla donc s’installer à côté de la jeune femme et lorsque celle-ci lui demanda finalement quelles tâches lui seraient attribués, l’elfe rouge prit quelques secondes pour lui répondre avant de lui dire simplement.
-Hum. Je pense que de l’aide en cuisine serait bienvenue. Je crois me souvenir que tu as des compétences dans le domaine et je dois reconnaitre que ma cuisinière a de plus en plus de mal à faire assez de plat pour tous le monde.
Elle eut un petit sourire avant de lui dire tranquillement.
-Après nous pouvons toujours essayer de trouver des tâches qui te correspondent mieux Arillé. Tout depends de ce que tu aimes faire ou pas. Dans tous les cas, il s’agira toujours de donner un coup de main pour que notre maison fonctionne.
Vient ensuite la grande question. A ce moment elfe rouge se rapprocha légèrement de la petite elfe, avant de la prendre lentement dans les bras et de passer lentement sa main dans sa douce chevelure. Elle eut un léger sourire avant de déposer un baiser sur sa joue et de lui dire.
- Quand tu le voudras. Je te l’ai dit, si tu veux rester avec nous ce sera ton choix. Et le choix de te donner ou non sera ton choix aussi. Je n’oblige personnes à avoir de relation sexuelle, que ce soit avec moi ou avec d’autres. Après, certaine de mes épouses comme Lorna, sont monogames. D’autres polygames, d’autre Libertines. Mais toutes sont libres de refuser et si c’est le cas, alors personne ne les forcera a quoi que ce soit tant qu’il est sous mon toit.
Elle déposa ainsi un baiser sur la joue de la jeune elfe avant de dire simplement.
- Mais si un jour tu le souhaite, je partagerai ma couche avec toi avec plaisir Arillé.
-
Arillé laissa Tinuviel l'embrasser sur la joue plusieurs fois. Étonnamment, elle n'avait pas compris l'Elfe Rouge, non pas qu'elle n'avait rien compris au discours de la belle, mais elle ne l'entendait pas. En fait elle était concentré sur ses lèvres pour une autre raison. Délicatement, elle posa sa main sur celle de Tinuviel dans un mouvement timide et s’approcha doucement de sa maîtresse. Avant de subitement l'embrasser tendrement en déposant ses lèvres contre les siennes. Sa manière à elle de dire "Je suis prête maîtresse." Ou peut-être une déclaration d'amour. Le message était aussi trouble que l'esprit de la jeune elfe qui continuait d'embrasser tendrement Tinuviel, perdant sa main dans la chevelure dorée de sa maîtresse. Elle avait les lèvres sucrées, un gout qui hypnotisait Arillé vu la passion avec laquelle elle l'embrassait. Elle se permit même de poser son autre main sur les hanches de sa belle.
Puis elle ouvrit grand les yeux, réalisant ce qu'elle venait de faire.
"Je suis désolée maîtresse... Je... Je ne voulais pas...v- faire ceci... je ne recommencerai plus... Promis."
Elle s'éloigna jusqu'à atteindre le bout du lit. Elle ne craignait pas la punition de Tinuviel, mais elle craignait l'avoir déçue.
"Je comprendrai si vous décidez de me punir pour mon comportement... Je.. heu... J'aurai du vous demander... Avant de..., elle soupira longuement et prit une grande inspiration avant de sortir dans un flot ininterrompu, J'accepterai toutes punition dont vous, ma maîtresse, jugerez bon de me faire subir."
Ca semblait un peu trop surfait, comme si elle essayait de lui faire comprendre quelque chose. Regrettait-elle d'avoir agit aussi vite? Peut-être. Regrettait-elle de l'avoir embrassé? Vu la fougue avec laquelle elle l'avait embrassé, non. La testerait-elle? Peut être. Lui aurait-elle désobéit? Si oui, pourquoi? Serait-elle tout simplement masochiste? Probable. Elle l'appelait maîtresse par choix, pas par obligation, comme si elle aimait la nommer ainsi, la rendre supérieure à elle. Maintenant, est-ce que Tinuviel avait compris? C'était une autre question.
-
Alors que l’elfe rouge continuait ses explications, sa nouvelle acquisition se jeta sur ses lèvres jouant avec sa langue. Le baiser était tendre, mais fougueux, passionné, ce baiser était délicieux presque autant que le gout des lèvres de sa nouvelle acquisition. Elfe rouge répondit donc à se baiser avec la même intensité avant que Arillé ne se retire.
Elle eut un petit sourire en écoutant les excuses de la jeune femme. Elle ne voyait pas pourquoi celle-ci s’excusait, les règles du harem avait était assez claire et elfe rouge était plutôt heureuse de voir que sa petite esclave était particulièrement attachée à elle.
Elle eut un petit sourire alors que la pauvre petite elfe continuait à réclamer un châtiment. Elfe rouge eut un léger sourire, se rapprochant lentement d’aller, la regardant droit dans les yeux, faisant lentement monter la tension.
-En générale, je ne punis pas mes chéries, sauf si c’est qu’elle veuille. Or, je pense que c’est le cas.
Elle attrapa lentement le visage d’Arillé, lui caressant lentement la joue, avant de l’embrasser lentement, lui caressant doucement la joue avant de lui lécher légèrement les lèvres. Elle devait encore songer à une punition pour la petite elfe et elle avait une petite idée pour cela.
-Si tu veux être pardonnée ma chérie. Il va falloir être une gentille fille, enlève mes botes et embrasse mes pieds. Je considère que ce sera une bonne punition pour commencer.
Il s’agissait pour l’elfe rouge d’avoir une mesure étalon. Pour l’elfe rouge, il était claire que la demoiselle était soumise. Elle avait besoin de savoir ce qui plaisait à la demoiselle. Après tout, la soumission était un jeu d’une certaine manière. Si l 'elfe rouge devait être une maitresse, elle ne le faisait qu’avec l’autorisation de sa soumise.
Elle eut un petit sourire attendant de voir comment Arillé allait réagir. En fonction, elle augmenterait le degré des futures punitions ou pas ou elle changerait de registre, parfois, il fallait des punitions plus tactile et peut être moins cérébrale.
-
Tinuviel n'était pas fachée, elle était même d'humeur joueuse. Après avoir embrassé sa "chérie" une nouvelle fois, Baiser auquel Arillé avait répondu avec toute la tendresse qu'elle éprouvait pour sa maîtresse, Tinuviel lui annonça sa punition.
"Si tu veux être pardonnée ma chérie. Il va falloir être une gentille fille, enlève mes botes et embrasse mes pieds. Je considère que ce sera une bonne punition pour commencer.
-Oui maîtresse." répondit-elle sobrement.
Doucement, elle quitta le lit sur lequel elle était assis et s'agenouilla devant Tinuviel qui menait le rapport de force. Elle saisit délicatement la botte gauche de l'elfe rouge et défit les attaches de celle-ci, le souffle lourd par l'excitation du moment. Elle sembla hésiter un léger instant avant de faire glisser le pied de Tinuviel hors de sa botte, puis une fois libre, elle embrassa doucement le pied de sa maîtresse et le reposa sur le sol, et fit de même avec la jambe droite de l'Elfe Rouge. Les pieds de sa maîtresse enfin nus, Arillé se pencha vers eux et se mit à les embrasser à tour de rôle, prenant même la liberté de passer sa langue sur les orteils de sa maîtresse et d'embrasser ceux-ci un à un. Arillé était excitée, par sa position humiliante, ce que Tinuviel pouvait aisément remarquer sans regarder le visage de la soumise. Elle avait un souffle toujours plus chaud et toujours plus court et continuait d'embrasser les pieds de Tinuviel dans une dévotion presque religieuse. A cet instant, Arillé considérait Tinuviel comme l'être qu'elle devait servir, satisfaire et combler le moindre de ses désirs.
D'ordinaire, Arillé ne se laissait pas soumettre aussi facilement avec les anciennes partenaires qu'elle eut dans le harem où elle était. Elle préférait connaître un peu plus la personne avec laquelle elle avait affaire avant de faire quoique ce soit, mais Tinuviel avait une sorte d'aura qui exerçait sur l'elfe et qui lui donnait pleinement confiance. Peut-être était-ce juste sur le moment, ou peut-être deviendrait-elle fidèle, dévouée corps et âme et prête à donner sa vie. Mais pour l'heure, l'esclave avait une autre priorité et elle continuerait ainsi de lui embrasser les pieds jusqu'à ce que sa maîtresse lui donne une autre injonction.
-
Elfe rouge eut un léger sourire avant de laisser faire la jeune femme, trouvant le petit jeu particulièrement appréciable. Elle pouvait voir sur le visage de la jeune femme toute l’excitation qu’elle ressentait en ce moment. Il était clair que la demoiselle aimait ce type de relation et cela ne dérangeait pas l’elfe rouge, au contraire.
Oui, l’elfe rouge avait clairement un problème avec l’esclavage mais si la jeune femme se donnait d’elle-même, alors elle n’avait aucune raison de refuser. Elle lassa donc la jeune femme lécher chacun de ses pieds, les embrasser, gouter à chaque centimètre carré de sa peau en lui disant.
-tu es vraiment une petite salope Arillé, je peux voir d’ici comme cela t’excite de lécher mes pieds. Leve toi.
Elfe rouge attendit que la jeune femme se relève. Elle voulait la voir droit dans les yeux pour le prochain ordre qu’elle allait lui donner. Elle eut un petit sourire avant de lui dire doucement.
-Enlève ta tenue et montre moi comme tu aimes lécher les pieds de ta maitresse. Montre-moi comment tu mouilles en léchant les pieds de ta maitresse. Si je suis satisfaite, je pourrais te combler te ma présence. Tu vois, ta maitresse aime aussi récompenser les bonnes filles…
Elle eut un léger sourire avant d’aller lentement caresser son intimité, récoltant ainsi une bonne dose de cyprine. Elle eut un petit sourire jouant un peu avec les restes du liquide en lui disant doucement.
-Tu mouille beaucoup Arillé.. Je ta maitresse doit te faire de l’effet. Bien voyons voir quel gout tu as ma petite chérie.
Elle passa lentement ses doigts dans sa bouche, les léchant lentement comme pour provoquer la demoiselle. Elle le faisait clairement mais il s’agissait aussi de gouter la demoiselle. Elle devait reconnaitre qu’elle était délicieuse. Oui, elfe rouge avait quelques attitudes de succube. Mais ayant passé plusieurs dizaines d’années en formation là bas, cela pouvait se comprendre non ?
-Pas mal… tu as bon gout. Ta maitresse est satisfaite. Comme je te l’ai dit, tu va avoir le droit a une récompense. Alors je te laisse choisir : est ce que tu veux que ta maitresse te caresse avec ses pieds. Ou tu préfères qu’elle joue avec ta poitrine de sa langue. Et quand ta maitresse te donneras ta récompense, tu lui diras ce que tu aime ou pas dans le sexe.
Elle savait que la demoiselle même si elle était vierge avait tout de même un peu d’expérience. Elle voulait donc en savoir un peu plus sur ses préférences. Cela pourrait être une bonne récompense.
-
Arillé se releva doucement, les joues roses. Elle était fébrile et visiblement, se retrouver à l'état de soumise durant un jeu de perversion lui plaisait énormément. Sous ordre de Tinuviel, elle fit glisser sa tunique en défaisant sa manche et la ceinture qu'elle avait à la taille, dévoilant son corps nu. Le sexe de l'elfe était luisant d'excitation. Elle frissonna de désir en voyant la main de sa maîtresse approcher de sa fente intime et imberbe et sentir les doigts de l'elfe rouge la firent soupirer de plaisir, confirmant son statut de "petite salope". Se retrouver nue devant sa maîtresse ne la dérangeait pas, après tout, elle avait rencontré Tinuviel en ne portant que son collier d'esclave, comme c'était le cas maintenant. Au contraire, ça l'excitait encore plus de se sentir comme n'étant qu'un vulgaire objet de divertissement, un jouet.
Tinuviel goutta finalement sa cyprine, léchant doucement ses doigts pour la faire languir. Sa maîtresse semblait satisfaite et repris sa pose initiale.
"Pas mal… tu as bon gout. Ta maitresse est satisfaite. Comme je te l’ai dit, tu va avoir le droit a une récompense. Alors je te laisse choisir : est ce que tu veux que ta maitresse te caresse avec ses pieds. Ou tu préfères qu’elle joue avec ta poitrine de sa langue. Et quand ta maitresse te donneras ta récompense, tu lui diras ce que tu aime ou pas dans le sexe.
-Je... Heu... C-cette esclave ne voudrait pas que sa m-maîtresse salisse sa langue s-sur le corps d'une p-petite salope. Maîtresse"
Arillé avait envie de découvrir de nouvelles sensations auprès de Tinuviel. Sa maîtresse se laissa tomber sur le lit lascivement, et commença a caresser le corps de l'esclave du bout des pieds. Une de ses jambes caressait et s'appuyait sur sa poitrine, son autre jambe, elle, effleurait son sexe. Après quelques secondes pour se remettre de ses émotions:
"C-cette esclave aime l-les femmes. Elle aaaah... dore se sentir dommmh Oui... Dominée et humiliée quand elle... hmmpf... Sert sa maîtresse. Elle aime quand sa maîtresse la puniiiit!"
Comme pour illustrer ceci, Tinuviel venait de coincer le téton de l'esclave entre ses orteils, faisant ressortir le labret en or qui l'ornait.Arillé était en train de fondre, et eut un long gémissement, luttant pour ne pas s’adonner au plaisir, ce qui n’était pas aisé puisque l’autre pied de sa maîtresse frottait son sexe détrempé.
"Maîtresse... Merci de vous occuper de cette esclave... Maîtresse..!"
Elle était pitoyable dans cet état. Délicieusement pitoyable.
-
Elfe rouge s’amusa quelques temps observant lentement le corps de la demoiselle. Elle était clairement trempée à l’idée de jouer les esclaves et l’elfe rouge n’allait pas la décevoir. Il ne s’écoula que quelques minutes avant que la demoiselle soit totalement à sa merci, l’elfe rouge caressant son corps comme sans répit pendant que l’elfe rouge lui racontait ses fantasmes.
La scène pouvait semblait irréaliste et pourtant la petite elfe était bien en train de se faire légèrement torturer par l’elfe rouge, bien que la blonde semblait en redemander.
Au final, elfe rouge arrêta finalement son petit jeu, avant de tirer lentement Arillé par les cheveux, la trainant lentement jusqu’à ses pieds avant de la regarder et de lui dire lentement alors que son pied caresser lentement la joue de la demoiselle.
-Tu es à moi Arillé. Tu es ma chose, ma catin.
Elle continua lentement à caresser sa joue de son pied avant de lui dire lentement.
-Je pourrais m’habituer à te traiter comme cela ma petite catin.
Pour l’instant, l’elfe rouge s’amusait, torturant parfois la poitrine de la pauvre elfe de ses pieds, il était claire qu’elle prenait plaisir à la jouer à la dominante avec la petite elfe. Toutefois, il ne s’agissait pour l’instant que d’un jeu. Ce rapport de soumission et de domination prendrait fin à la fin de leur petit jeu. Toutefois, il était possible de voir quelque chose de plus important sur le long terme. Après tout, elle ne serait pas sa première esclave consentante. Mais l’elfe rouge prenait toujours le temps de cadrer les choses lorsque c’était le cas. Il s’agissait d’un véritable engagement et il valait mieux en discuter avant cela. Du moins c’était la position de l’elfe rouge sur le sujet.
En attendant l’elfe rouge décida qu’il était temps de passer à la suite. Elle eut un grand sourire avant de dire doucement.
- Déshabille-moi. Et ensuite tu me montreras tes compétences, je veux savoir si je dois te former pour me faire du bien ou si tes vendeurs ont fait un bon travail…
L’elfe rouge avait parfaitement confiance dans les compétences de la demoiselle. Mais il fallait tout de même vérifier qu’elle avait fait un bon investissement. Et puis, il lui semblait important que sa petite esclave lui montre ce qu’elle savait faire.
-
Arillé était au bord de l'orgasme. Elle tremblait de tout son être face à sa maîtresse qui continuait de la torturer en se contentant de lui caresser la joue. L'Elfe en voulait plus, elle s'imaginait déjà divers fantasmes auprès de Tinuviel, humiliants pour la plupart, où luxure et débauche régnaient, rivalisant de créativité avec le deuxième cercle de l'enfer. A croire si l'elfe n'était pas la réincarnation d'une succube.
"Déshabille-moi. Et ensuite tu me montreras tes compétences, je veux savoir si je dois te former pour me faire du bien ou si tes vendeurs ont fait un bon travail…
-Oui maîtresse."
Elle se releva donc, les cuisses inondés de cyprine et s'approcha de maîtresse pour la dénuder. Ses gestes étaient minutieux, comme s'il s'agissait d'une déesse à satisfaire. Elle fit donc glisser doucement les habits de la divinité et se pencha doucement vers elle, l'embrassant dans le cou. Une de ses mains effleura sa poitrine, l'autre prit la direction de son sexe et se mit à entreprendre de délicate caresses. Elle ne voulait pas brusquer les étapes et allait crescendo dans ses gestes.
"Vous êtes délicieuse maîtresse... Mes anciens maîtres ne vous arrivent pas à la cheville."
Elle avait sa tête contre sa poitrine, léchant, suçotant et embrassant ses seins. Elle appréciait la douceur et le gout de sa peau dans ces longues caresses. Doucement, sa tête glissait vers son ventre, traçant une ligne de baisers sur sa peau jusqu’à se loger entre ses cuisses et d'entamer des mouvements de langue sur et dans sa fente détrempée. Arillé était bien expérimentée. Son hymen avait beau être préservé, elle avait été entrainée à donner du plaisir, hommes comme femmes, ayant une préférence pour les activités pratiques sur ces dernières. Lapant ses lèvres intimes et suçotant son clitoris, l'elfe était en train de tester sa maîtresse, et de voir ce qu'elle appréciait. L'esclave savait comment sa maîtresse récompensait les "bonnes filles", mais elle avait envie de voir comment celle-ci s'occupait des vilaines catins.
Continuant ses habiles coups de langues et pétrissant délicatement la poitrine de Tinuviel de sa main gauche, Arillé avait fait glisser sa main vers son propre entre-jambe, pour se donner du plaisir sans autorisation. Elle faisait ça sans être particulièrement discrète, comme pour être prise sur le coup, et si sa maîtresse n'interviendrait pas, elle s'abandonnerait dans un orgasme en délaissant le superbe corps de l'elfe rouge. Après tout, c'était un jeu, et il fallait encore fixer les règles.
-
Elfe rouge laissait faire sa nouvelle acquisition, appréciant chaque des caresses sur son corps. Oui, la demoiselle savait y faire. Mais il y avait encore une bonne marge de progression pour que la demoiselle soit capable de la foudroyer de plaisir. Elle la laissa donc faire continuant de lui caresser la joue comme pour la récompenser avant de se rendre compte du petit manège de la demoiselle. Elle eut un petit sourire, ainsi, elle voulait jouer. Hum… pourquoi pas…
Elfe rouge prit lentement en main la queue de cheval de la blonde avant de tirer dessus d’un coup sec, lui remontant la tête pour la regarder droit dans les yeux. Elle se contenta de lui dire tranquillement.
-Je ne t’ai pas autorisée a prendre du plaisir. Tu es mon jouet Arillé. Et tu dois te comporter comme telle, me lécher la chatte jusqu’à ce que je jutte sur ta petite gueule d’ange…
Elfe rouge plaqua ensuite son visage contre son intimité, sourriant doucement en sentant de nouveau la langue de la demoiselle dans sa fleur.
-Ensuite, nous verrons, en général j’autorise mes esclaves a jouir… Mais toi, tu va devoir faire tes preuves ma catin…
Elfe rouge souriait légèrement, continuant à plaquer la tête de la jeune femme contre sa fente, avant de se diriger lentement sur les oreilles de la demoiselle, souriant doucement avant de lui dire.
-Je vais devoir augmenter un peu le défis… tu vas devoir me faire jouir, avant de jouir toi… Si tu réussis, alors je te promets un plaisir plus puissant que ce que tu ne peux imaginer. Mais si tu jouis… Alors, je te jure que tes petites fesses vont s’en souvenir
LE pied de l’elfe rouge se dirigea lentement vers son intimité frottant celle-ci lentement. Le jeu venait de commencer.
-
Arillé était sur le bord d'atteindre l'orgasme, lorsqu'elle sentit sa maîtresse la tirer par les cheveux. Elle émit un petit couinement en sentant cette main lui relever la tête. Prise sur le fait, elle fit des yeux de chienne battue, en vain. Tinuviel avait été claire, c'était elle qui devait prendre du bon temps, pas elle. Pendant que l'elfe rouge continuait son monologue, Arillé continuait de laper sa fente comme la chienne avide de sexe qu'elle était.
"Je vais devoir augmenter un peu le défis… tu vas devoir me faire jouir, avant de jouir toi… Si tu réussis, alors je te promets un plaisir plus puissant que ce que tu ne peux imaginer. Mais si tu jouis… Alors, je te jure que tes petites fesses vont s’en souvenir"
Oh ho... Ca ne sentait pas bon pour Arillé. Dans un espoir de ne pas jouir, l'elfe se mit à s'occuper de son entrejambe, s'aidant de ses mains pour caresser les lèvres intimes de l'elfe, de l'intérieur quelques fois.
Lécher sa chatte jusqu'à ce qu'elle jutte sur ma petite gueule d'ange, ne pas jouir, récompense. Penser à la récompense. répétait-elle sans cesse dans sa tête entre deux gémissements étouffés. Arillé était une nouvelle fois au bord de l'orgasme. Elle n'en pouvait plus. Tinuviel la caressait comme si elle connaissait ses points faibles. Malheureusement pour l'elfe s'en était trop. Elle s'abandonna au plaisir, mettant momentanément son cerveau sur pause. Elle étouffa comme elle put ses cris de plaisir sur la fleure de sa maîtresse. La pauvre esclave était prise de spasmes, se contractant dans diverses positions involontairement. Une fois rassasiée, Arillé redressa doucement la tête vers Tinuviel, l'air affolée.
"Pardon maîtresse, cette esclave ne voulait pas lui désobéir."
Et comme pour prouver sa bonne foi, elle se remit à laper Tinuviel.
"La chatte de la petite catin est très sensible! Elle n'a pas été touchée depuis longtemps! Pardon maîtresse! Pardon, pardon!"
Quelle comédienne, elle n'attendait que ça, une punition de la part de Tinuviel, or, il ne semblait pas y avoir le matériel nécessaire pour l'éduquer dans sa chambre, allait-elle se montrer créative? Après tout, n'était ce pas avant tout qu'un jeu?
-
Elfe rouge soupira. Ainsi, la demoiselle avait échouée, elle n’avait pas réussi à se retenir de jouir avant elle. Mais d’un autre côté, c’était extrêmement prévisible. Malgré tot, la petite esclave n’avait pratiquement aucune résistance, aucune expérience comparée à elle.
Elle eut un petit sourire avant de la regarder doucement et de lui dire, d’un ton froid. L’elfe rouge n’était pas en colère, elle ne semblait pas triste non plus. Non, elle était juste neutre et cela était peut être encore plus inquiétant pour la pauvre petite elfe.
Elle prit les cheveux de la demoiselle dans sa main, les tirants pour la trainer sur le lit. Elle regarda lentement la petite elfe, frottant son oreille, lui disant simplement.
-Il y a de multiple manière de punir quelqu’un Arillé. La douleur en est une…
Ce fut à cet instant que l’elfe frappa les fesses de son esclaves, elle ne put s’empêcher d’avoir un léger sourire trouvant ce petit cri excitant. Mais la punition n’était pas finie. Loin de là. Et elfe rouge était certaine qu’elle ne recommencerait pas dans le futur. Sa manière de faire n’était certes que peu conventionnel mais elle était extrêmement efficace.
Elfe rouge eut un petit sourire avant de continue, murmurant lentement aux oreilles de la pauvre elfe.
-Mais elle n’est pas la seule. J’en préfère une autre, plus intéressante.
Elfe rouge embrassa la demoiselle. Un baiser remplie d’amour, de passion, de tension sexuelle, mais surtout de magie rose. Ce baiser rallumerait le brasier au creux des cuisses de la demoiselle. Elfe rouge se retira, laissant sa pauvre petite soumise pantelante. Oui, elle était prête pour la suite.
Elfe rouge eut un petit sourire avant de tracer sur son corps un signe, une rune. Celle-ci ne tarda pas à s’illuminer. L’elfe rouge sembla satisfaite. Oui, désormais la jeune femme était totalement sous son emprise. Elle alla lentement la caresser, jouant avec sa poitrine, pinçant lentement ses tétons, frottant doucement ses fesses, avant de passer à des caresses de plus en plus osée. Au final, l’elfe rouge était littéralement entrain de dévorer l’intimité de sa petite soumise, lui offrant un cuni digne des plus grandes déesses. Etrange comme punition ? Pas vraiment car bientôt la rune entrerait en action, empêchant sa petite soumise de jouir. Oui, elle serait donc frustrée, stimulée au possible sans pour autant pouvoir jouir. Elle continuerait ainsi jusqu’à la fin du sort dans 5 minutes, les cinqs minutes les plus longues de la vie de la pauvre elfe.
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Arillé venait de subir un échec cuisant. Ce qui n'était pas pour lui déplaire, loin de là. Mais quelque chose la gênait. Non ce n'était pas d'avoir jouit avant Tinuviel ou de lui avoir désobéit, puisque c'était un jeu. Ce qui inquiétait l'esclave était le comportement de sa maîtresse qui avait une expression neutre, si ce n'est un léger sourire qu'elle essayait de dissimuler sous cet air glacial. Arillé gémit quand elle fut prise par les cheveux et tirée comme une traînée sur le lit. Tinuviel lui arracha un petit cri, plus de surprise que de douleur en lui donnant une fessée. Arillé se mordait les lèvres devant cette entrée, mais visiblement, Tinuviel avait une autre idée derrière la tête. Après un baiser particulier, l'elfe avait la chatte en feu, comme aurait-elle dit si elle n'était pas en train de couiner comme une nymphomane en train de languir.
Elle remarqua que l'elfe rouge passait son doigt sur son ventre comme pour dessiner quelque chose, qui s'illumina, la partie encore lucide de l'esprit de la blondinette lui indiquait que quelque chose allait se produire, et qu'elle n'allait surement pas apprécier. Elle ne connaissait rien de la magie, et voir sa maîtresse lui "lancer un sort", l'inquiétait. La magie était quelque chose d'effrayant, alors quand on ne connait absolument rien des arcanes, il y a de quoi être terrorisé. La peur s'emparait peu à peu d'elle, avant de sentir les caresses de Tinuviel. La luxure l'emporta sur ses émotions et elle se mit à gémir. Comme une demoiselle touchée pour la première fois par sa princesse charmante, Arillé était en train de s'abandonner une nouvelle fois aux plaisirs de la chair.
Lorsque sa maîtresse passa sa langue sur sa fleur, Arillé crut qu'elle allait jouir, mais étrangement, il n'en fut rien. Des coups de langue digne de l'une des divinités des plaisirs de la chaire. Mais toujours rien. Pas d'explosion, aucun orgasme à l'horizon. Soudain, Arillé eut une étincelle de lucidité et venait de comprendre, sa punition l’empêchait de jouir. Ha la pute! pensa l'elfe qui serrait les dents de frustration. Entre deux cris de plaisirs, elle se saisit d'un des oreillers et mordu à pleine dents dedans, de quoi essayer de faire disparaitre sa frustration. En vain malheureusement.
"Maî-maîtresse! Pi-pitié! Laissez moi jouir! Pitié! Je ne désooooooooooh ... Haaaaan! Plus jamais!"
La trotteuse venait à peine de faire un tour de cadran qu'elle suppliait déjà. Effectivement, rien à faire si ce n'est subir. Arillé avait tenté tout ce que son esprit embrumé lui avait suggéré, en vain. Et si elle tentait de se caresser elle même l'entrejambe ou de se dégager de l'étreinte de Tinuviel, elle était rappelé à l'ordre par sa maîtresse qui la remettait en place sans trop de problèmes. Puis, ce fut le moment de libération. Enfin, enfin cinq minutes. Un spasme prit Arillé qui se plia en deux avant d'asperger le visage de Tinuviel d'une importante quantité de cyprine. Puis, plus rien. Le noir total. La révélation comme quoi elle était une femme fontaine, ce qu'elle ignorait, était la dernière chose dont elle eut une image. Oh elle respirait encore, mais son cerveau était actuellement en Off. La décharge de dopamine que son cerveau venait de sécréter venait de la mettre K.O. mais tout ce que pouvait voir Tinuviel était sa catin, la langue pendante suite à l'orgasme de sa vie.
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L’elfe rouge observa satisfaite le résultat de sa punition. Elle était certaine après cela que sa petite esclave ne lui désobéirait plus. De plus, elle devait reconnaitre que les cris et les supplication de Arillé, ne la laissait pas de marbre. Oui, elle adorait entendre sa petite esclave la supllier, c’était très excitant pour elle.
Elfe rouge dut reconnaitre que l’orgasme de sa petite princesse l’étonna de par son intensité mais loin de s’en plaindre, elle se lécha juste les lèvres. Ainsi elle était une femme fontaine ? Cela s’annonçait donc intéressant. Mais il y avait pour l’instant plus important. Sa petite esclave était clairement dans un état ou elle avait besoin d’elle. Elfe rouge, alla doucement la couvrir avant d’aller chercher un verre d’eau pour son réveil tout en la gardant à l’œil. Une fois que ceci fut fait, elle alla à ses cotés, lui caressant doucement la tête.
-Ta maitresse est fière de toi Arillé. Tu as était une bonne fille en acceptant ta punition.
Elle embrassa doucement son esclave, deposant sur son front quelques baisers et continuait à la caresser. Il était important une fois la punition fini de lui montrer que son amour pour elle n’avait pas changé.Elle continuerait ainsi jusqu’à ce que sa petite esclave reprenne conscience, peu importe le temps que cela prendrait.
Une fois que sa pauvre petite soumise ouvrit les yeux, l’elfe rouge eut un petit sourire de soulagement. Elle continua à lui caresser la joue lui demandant.
-Tout va bien ma chérie ?
La priorité était de savoir si celle-ci allait bien ? Une fois que l’elfe rouge fut rassurée. Elle lui tendit le verre d’eau lui offrant de quoi boire. Il était probable que sa petite soumise meurt de soif.
-Bois mon cœur. Tu en as besoin au vu de la manière dont tu m’as trempée.
Elle rouge se permettait cette petit pique, cela lui avait plus, mais elle voulait voir sa petite soumise gênée. C’était qu’elle était si mignonne avec du rouge au joue. Mais l’elfe était curieuse de voir comment elle avait vécut cette première punition. Elle lui demanda donc ce que sa petite soumise en pensée.
-Alors mon cœur ? tu as aimé ta punition ? Tu préfèrerais peut être le fouet pour la prochaine fois ?
Cela était important pour l'elfe rouge de le savoir, car elle pourrait ainsi adapter ses punitions dans le futur.
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Arillé était dans le coaltar pendant que Tinuviel s'occupait d'elle. Elle avait eu subitement un gros coup de barre, et s'attendait à s'endormir d'une seconde à l'autre. Elle avait beau voir les actions de sa maitresse qu'elle ne comprenait rien de l'instant présent. Au bout de quelques minutes, elle repris pleinement ses moyens. Tinuviel était en train de lui caresser sa joue. Arillé balaya rapidement la pièce du regard avant de se focaliser sur l'elfe rouge qui continuait de caresser sa joue. Celle-ci s'assurait de savoir si elle allait bien, ce a quoi Arillé répondit par un petit hochement de tête. La scène avait quelque chose de maternelle entre Tinuviel qui se comportait comme une mère au chevet de sa progéniture malade, et Arillé qui agissait presque comme une enfant feignant la maladie pour ne pas aller à l'école.
Arillé se saisit du verre que Tinuviel lui tendit, prenant de petites gorgées.
"Bois mon cœur. Tu en as besoin au vu de la manière dont tu m'as trempée."
L'esclave manqua de s'étouffer. Elle était devenu plus rouge que la tenue écarlate de sa maîtresse. Par réflexe elle essaya de se camoufler, en reprenant une longue gorgée d'eau. Elle était à la fois gênée et honteuse d'avoir arrosé son amante avec autant de fougue. Certes, c'était incontrôlé, mais elle s'en voulait un peu. Visiblement, Tinuviel, elle n'en tenait pas rigueur. Ca avait même l'air de l'amuser.
"Alors mon cœur ? tu as aimé ta punition ? Tu préfèrerais peut être le fouet pour la prochaine fois ? "
Elle regarda un long moment Tinuviel, son verre toujours porté à sa bouche. Après s'être rendu compte qu'elle renversait plus d'eau sur ses draps qu'elle n'hydratait sa bouche, elle déposa le verre pratiquement vide sur la petite table de chevet qui se trouvait à coté. Arillé en profita pour tirer rapidement l'oreiller vers le haut et se réajusta pour ne plus être totalement allongée. Inconsciemment, elle avait tiré la couverture pour cacher sa poitrine.
"C'était... Intéressant comme punition." dit elle en souriant. "Mais je pense que me priver d'orgasme serait plus intéressant si c'était sur une période plus longue. Sans forcément me stimuler. Après pour ce qui est des futures punitions..."
Elle mordilla sa lèvre inférieur et eut machinalement le geste de replacer une de ses mèches derrière son oreilles, lâchant du même fait sa couverture. Il faut dire qu'elle avait quelques brides d'idées, mais ne s'était jamais posée la question. Pour elle c'était à sa maîtresse de décider des punitions en fonctions des fautes commises, peu importe ce qu'elle avait à endurer. Elle ne s'était pas vraiment penchée sur la question.
"Je dirai que j'aime être surprise. Pour ce qui est du fouet, je n'ai jamais pu y gouter dans l'optique de ce genre de jeu... Mais sinon, j'aimerai bien me sentir vraiment... Comment dire... Inférieur? Humiliée? Mais si v-... Tu as des fantasmes à réaliser sur une esclave... Je serai honorée d'y participé. "
Elle était un peu réservée et avait un peu honte d'avouer si tôt ses fantasmes. Mais qui sait, avec le temps, peut-être se dévoilerait elle un peu plus.
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Amante, amie, gardienne, protectrice, confidente et mère. Tel étaient les roles de l’elfe rouge envers ses épouses et désormais sa petite Arille en faisait partie. Ainsi, il était normale pour Tinuviel de prendre soin d’elle, de la protéger et de faire en sorte qu’elle se sente bien.
En attendant, la demoiselle semblait avoir apprécié sa punition même si cela semblait la gênait de parler de ses fantasmes, elle ne semblait avoir aucun problème pour s’occuper de ceux de sa maitresse. Elfe rouge eut un léger sourire avant de lui dire doucement.
-Ne soit pas impatiente ma petite Soumise, nous avons toute nos vies, c’est-à-dire l’éternité pour prendre mon pied avec toi ma petite Arillé. Par contre, je ne suis pas sure de pouvoir attendre aussi longtemps pour t’épouser.
Elle eut un petit sourire, lui caressant doucement la tête, avant de l’embrasser tendrement, laissant ses lèvres. Elle comptait bien les dévorer un peu cette nuit, mais pour l’heure, elle laissa à la jeune femme le temps de se reposer et de reprendre ses esprits. Oui, sa petite soumise avait bien mérité un peu de repos.
L’elfe rouge avait déjà des dizaines années pour humilier au mieux sa petite elfe mais a l’heure actuelle, elle ne pouvait pas lui faire cela. Pour l’instant, elle avait besoin de connaitre un peu mieux Arillé pour être sûre de ne pas la choquée. Oui, l’elfe avait été conditionnée mais cela ne l’empechait pas comme tout le monde d’avoir des limites. D’ailleurs, elle trouverait cela inquiétant si ce n’était pas le cas.
L’elfe rouge se posa lentement prêt de sa jeune esclave et la prit doucement dans les bras avant de s’allonger en sa compagnie. Elle sourit doucement en disant.
-En attendant ma petite Arillé, je suis heureuse de t’avoir acheter. J’espère que c’est ton cas aussi ma belle. Tu es heureuse de m’appartenir ?
-
Elle voulait donc l'épouser? Cette révélation glissée dans la conversation eut l'effet d'un coup de massue pour Arillé qui ne s'attendait pas à ce qu'elle passe du statut d'esclave bonne à n'être qu'un vide-couille à celui de femme mariée (pratiquement) libre aux yeux de la loi. Ça et une bonne baise... Tinuviel était toujours aussi douce avec elle. Elle alternait régulièrement entre baisers et caresses, témoignant de l'affection et de la tendresse que Tinuviel éprouvait pour elle. Doucement, Arillé enlaça Tinuviel, déposant sa tête dans le creux de son épaule. Derrière les diverses teintes des deux chevelures blondes, Arillé avait les yeux clos, et un sourire sincère, appréciant le moment présent. Après quelques secondes, Tinuviel brisa le silence qui venait de s'installer.
"En attendant ma petite Arillé, je suis heureuse de t’avoir acheter. J’espère que c’est ton cas aussi ma belle. Tu es heureuse de m’appartenir ?"
Elle releva la tête et regarda un instant sa maîtresse, essayant de dissimuler son sourire a peine perceptible. Elle se redressa et se positionna au dessus de Tinuviel. Elle attrapa les mains de sa maîtresse et entremêla ses doigts avec les siens. Pour unique réponse, Arillé l'embrassa avec toute la tendresse qu'elle éprouvait envers Tinuviel.
"De vous appartenir, comme esclave? Ou comme future femme? Maîtresse..."
Elle souffla ce dernier mot dans le creux de l'oreille de Tinuviel, avant de lui mordiller doucement le lobe de son oreille.
"Et tu veux que notre mariage soit comment? Somptueux et traditionnel comme ceux de nos peuple? Ou alors quelque chose de plus... érotique, presque exhibitionniste..."
Arillé n'osait pas l'avouer, mais une de ses "punition" favorite était de la priver de vêtement (partiellement ou non) et de l'emmener faire une promenade aux yeux de tous. En plus de l'exercer à marcher convenablement en laisse, le harem où elle était, s'attirait une clientèle curieuse. Car outre son collier d'esclave, et ses diverses menottes, attaches, et ceinture de chasteté (pour la protéger) Arillé devenait une femme-sandwich qui attirait une population lettrée (et donc riche) vers son harem dans des phrases plus ou moins crues. Sur le coup, elle détestait autant qu'elle adorait de se sentir épiée. Si bien qu'il lui ai arrivé une fois de faire une bêtise uniquement pour se faire punir. Malheureusement pour elle, elle fut uniquement contrainte à porter une ceinture de chasteté et à être constamment excitée pendant une semaine. Ce qui n'était pas pour déplaire la masochiste.
-
Elfe rouge continuait de la câliner doucement, appréciant ce petit moment de tendresse en compagnie de sa petite chérie. Le baiser lui tira un petit soupire de satisfaction avant que la petite esclave ne lui demande finalement quel serait son statut : Epouse ? ou Esclave ?
Pour l’elfe rouge les deux étaient complémentaires : la soumission n’a de valeur que si on la donne volontairement. Elle attendit donc quelques instants, alors que Arillé, lui demanda de quel nature serait leur futur mariage. Il semble certain que l’elfe partager ses sentiments et son envie.
Elle eut un petit sourire avant de finalement répondre, caressant tendrement la joue de sa belle, lui disant doucement.
-Les deux ma belle Arillé : Comme épouse et comme esclave. Comme épouse pour combler mon cœur et comme esclave pour t’occuper de mon corps.
Elle eut un léger sourire avant de lui dire doucement.
-Oui, cela te donnera le statut de femme libre, et si tu le souhaite tu pourras donc vivre ailleurs. Mais j’estime que la soumission est bien meilleure quand elle se donne sans aucune contrainte. Pas toi ma chérie ?
Elle eut un petit sourire avant de répondre tranquillement à la belle elfe.
-Hum, je dirais quelque chose entre les deux. Moi toi et mon harem. Une belle cérémonie dédiée à la fois à la beauté et à l’érotisme. J’ai même une idée de ce que pourrait être ta future tenue ma jolie. Je vois bien une longue robe blanche, dévoilant ta poitrine et ton intimité avec un joli collier de couleur blanc. Peut être quelques perles dans les cheveux… Mais surtout pas de lingerie dans ton cas…
Elle eut un petit sourire attendant de voir comment la demoiselle aller réagir à cette proposition, bien que selon elle, elle ne risquait pas de refuser une proposition de sa belle maitresse.
-
Arillé se mordillait la lèvre inférieur en imaginant leur mariage. Aussitôt elle rougit et ne pu s'empêcher de laisser un ricanement et machinalement, elle remit une mèche derrière son oreille. Elle voulait rester ici, dans cette chambre spartiate, avec Tinuviel jusqu'à la fin des temps. Malheureusement pour elle, c'était impossible, puisque l'elfe rouge avait de nombreuses épouses. De plus, si Arillé voulait rester ici, elle se devait d'aider au bon fonctionnement du harem. Ainsi, elle se releva et sauta du lit. Elle en profita aussitôt pour remettre ses habits, prenant le temps de réajuster sa tunique, sa coiffure et les divers accessoires de sa tenue. Son ventre se mit à lui faire ressentir la faim. Coucher avec une elfe aussi belle que Tinuviel, ça donnait faim à force! Elle se retourna vers l'elfe rouge:
"Et je te verrai bien dans une tenue dominatrice... Quelque chose avec du cuir... ou du latex. Surtout pour ne pas avoir à te changer pour notre nuit de noce..."
Elle avait le teint pivoine en annonçant ceci. Puis pour changer rapidement de sujet (et combler sa faim).
"Je crois qu'il est temps pour moi de me mettre en direction vers mon lieu de travail, non? Car tu as beau être la plus belle créature de Terra, ce serait bête de ne pas rencontrer tes autres épouses..."
Elles se mirent en direction du lieu de l'affectation d'Arillé. Épanouie, Arillé tenait la main de Tinuviel avec fierté. Lorsqu'elles croisaient une autre pensionnaire du harem, Arillé la saluait joyeusement par un sourire sincère et d'un hochement de tête amical.
-
Elfe rouge eut un petit sourire. Pourquoi pas après tout, il devait bien exister des tenue de ce genre. Au pire elle en créerait une elle-même afin d’avoir cela dans sa garde-robe.
Elle observa quelques instants Arillé avant de se lever à son tour et d’aller remettre son amure dragonique sur le dos. Au final, elle se dirigea en compagnie de la jeune femme vers la cuisine puisque le petit déjeuné venait de commencer.
La salle principale avait déjà reçue la première vague et il ne restait que quelques demoiselles en train de discuter joyeusement. L’arrivée de l’elfe et de Tinuviel eut comme seule effet de provoquer une montagne de baiser et de bonjour. Puis les demoiselles se tournèrent vers Arille, lui faisant un petit signe de la main, un petit geste de tête… Bref, une petite pensée pour lui souhaiter le bonjour et la bienvenue.
Elfe rouge eut un petit sourire avant de se tourner vers la demoiselle et de lui dire simplement.
-Je te conseille ma chérie, de manger un peu, de prendre un bon petit déjeuné même. Tu auras le temps de te trouver une occupation. Il y a toujours des choses à faire, ménage, cuisine, jardinage, entretient des chambres…
Elfe rouge eut un petit sourire avant de déposer un tendre baiser sur son front et de lui dire.
-Une tenue de soubrette t’irait particulièrement bien ? Tu ne penses pas ma chérie ?
Oui, il faudrait peut-être avant cela faire un tour par la penderie du harem afin que la demoiselle puisse changer de tenue. Pas que la tunique lui déplaisait, mais elle pensait vraiment qu’il était possible de lui trouver mieux.
-
Une marée de poils fondit droit sur les deux elfes. Une masse grouillante qui n'avait que pour unique but d'embrasser la maîtresse des lieux. Une sorte de chaos organisé se forma, toutes attendant sagement leur tour pour saluer de la manière dont elles le souhaiter pour saluer Tinuviel. Une fois terminé, elles se tournèrent vers Arillé, qui s'attendait à subir le même traitement. Elle fut saluée d'une manière plus calme, voir pudique; des petits signes, bonjours discrets et autres formes de salutations auquel Arillé répondit aussitôt, ne sachant bientôt plus où donner de la tête. Puis sagement, elles retournèrent à leurs occupations. Tinuviel lui suggéra de prendre un petit déjeuner, ce qu'elle fit avec un peu d'hésitation, ne sachant pas comment interagir avec ce beau monde. Timidement, elle réussit à obtenir un peu de nourriture, qu'elle englouti aussitôt. Une fois rassasiée, un autre dilemme s'imposa. Débarrasser ou non? Elle hésita un long moment avant de se décider et de rapporter ses couverts au mauvais endroit, ce qui fit pouffer de rire quelques résidentes, amusées par l'elfe effrayée par pas grand chose. Il n'y avait aucune moquerie, juste de l'amusement.
Une fois cette tache insurmontable terminée, Arillé se dirigea vers Tinuviel qui visiblement venait de terminer sa conversation avec l'une de ses femmes. Doucement elle déposa un tendre baiser sur son front et lui suggéra de changer de tenue, celle d'une soubrette. Arillé, pour faire bonne figure, et pour cacher son ignorance quant à ce que pouvait ressembler une tenue de maid.
"Ce... Ce serait une excellente idée."
Elle garda pour elle un Je crois... qui aurait été un brin révélateur. Sans attendre, Tinuviel la guida vers la penderie du harem, après tout elle ne connaissait pas encore le harem. Après quelques minutes de marches, elles arrivèrent devant la penderie. Là s'offrait devant elles une multitude de tenues et vêtements, pour certaines affriolantes. Sagement, Arillé attendit dans son coin que Tinuviel lui rapporte ce qui serait sa nouvelle tenue.
-
Elfe rouge la guida donc jusqu’à la penderie avant de chercher la tenue qui mettrait en valeur son délicieux corps. Le choix de l’elfe se porta donc sur une tenue de maid noir et blanche, assez courte mais ouvragée car couverte de dentelle. Cette tenue, elle avait fait venir de la Terre et elle devait reconnaitre que quelques une de ses amantes en été vêtue ce qui dénotait que l’elfe semblait avoir quelques… Préférence pour ce type de tenue.
Elle commença à déshabiller l’elfe avant finalement de l’embrasser, jouant avec ses fesses. Le baiser, l’elfe rouge le fit durer quelques instants, profitant du corps de la petite elfe. Elle eut un petit sourire, caressant légèrement son intimité avant de s’arrêter d’un coup.
Elfe rouge, ayant finalement assez joué avec sa nouvelle petite chose, l’habilla finalement, ne lui laissant aucun sous vêtement. Satisfaite, elle hocha lentement la tête avant de lui dire finalement.
-bien, je trouve que cette tenue te va particulièrement bien ma petite catin… En plus, cette tenue est assez courte pour que je n’ai qu’à la relever légèrement pour voir ton petit sexe de catin.
Elfe rouge l’embrassa une nouvelle fois avant de relever légèrement la tenue, passant sa main sous celle-ci pour la caresser encore un peu. Elfe savait qu’elle venait de transformer sa consœur en jouet. Elle en était pleinement consciente et cela ne la dérangeait nullement, car elle pouvait voir que c’était ce que la jeune blonde voulait. Elle avait besoin de quelqu’un de supérieur à elle pour la guider et la diriger et elle était devenue cette personne à l’instant où elle l’avait achetée.
-bien Arillée, je compte sur toi désormais pour être la meilleure soumise que possible. Et qui sait, tu pourrais peut être devenir… Une de mes favorites.
Elle eut un petit sourire avant de déposer un baiser sur son front. Un avant-gout peut être de ce qu’elle lui réservée.
-
Arillé avait enfin son nouvel uniforme, qui était plutôt simple. Une robe si courte que l'on pouvait pratiquement voir les fesses de l'elfe quand elle marchait, une coiffe noir avec de la dentelle blanche comme celle des maids, et des bas blancs, portant eux aussi de la dentelle. Et c'est à peu près tout. De quoi la rendre au gout de l'elfe rouge, qui, de la façon dont elle l'attouchait aimait beaucoup la tenue de son nouveau jouet.
"Bien, je trouve que cette tenue te va particulièrement bien ma petite catin… En plus, cette tenue est assez courte pour que je n’ai qu’à la relever légèrement pour voir ton petit sexe de catin."
Elle avait les joues roses, comme si se faire insulter l'excitait. Tinuviel s'approcha pour l'embrasser, baiser auquel Arillé répondit avec passion avant de se crisper en sentant les doigts de sa maîtresse caresser son entrejambe. A cet instant, elle n'espérait plus qu'une chose, que sa maîtresse ait une envie soudaine de jouer avec elle, et par "jouer", elle voulait dire la dominer. Docilement, elle se laissait entièrement faire, cachant comme elle le pouvait son excitation, ce qui semblait peine perdue.
"Bien Arillée, je compte sur toi désormais pour être la meilleure soumise que possible. Et qui sait, tu pourrais peut être devenir… Une de mes favorites."
A cet instant, Tinuviel sentit ses doigts s'humidifier légèrement à force de caresser sa fente. La sensation de se sentir impuissante dans une tenue provocante avait eu raison d'elle. Tinuviel voulait une catin obéissante? Elle allait avoir LA catin obéissante, en permanence en chaleur qui plus est. Sur le moment, elle était prête à donner sa vie par dévotion pour l'elfe rouge. Elle était comme hypnotisée et Arillé balbutia le souffle lourd:
"Ou-oui maîtresse, ce... Ce serait un honneur... Je ferai tout p-pour satisfaire vos désirs... M-Maîtresse"
-
Elfe rouge eut un petit sourire, il n'avait fallu que quelques caresses pour transformer Arillée en une catin mouillant sa culotte devant elle et cela ne lui déplaisait pas. La jeune elfe avait était bien dressée, cela était un fait mais pour tinuviel, elle était naturellement soumise. Cela ne faisait aucun doute possible et elfe rouge comptait bien profiter de cette dévotion. Elle s’arrêta donc, avant de plonger ses doigts maculés de cyprine dans la bouche de D'Arillé, soupirant doucement.
-Regarde toi petite catin, heureusement que tu ne portes pas de culotte, car sinon elle serait déjà trempée n’est-ce pas ?
Elfe rouge eut un petit sourire retirant ses doigts de la bouche de l’elfe, s’essuyant dans la belle chevelure de la blonde avant de dire doucement.
-Peut être que je devrais rajouter à ton uniforme un baillon ? Ainsi, je n’aurais pas à t’entendre couiner comme une chienne le jour où j’aurais envie de te remplir.
Elle était certaine que la jeune femme ne pourrait pas résister. Elle se mettrait à la supplier à un moment ou à un autre et si ce n’était pas assez, l’elfe rouge comptait bien lui donner le coup final.
Elle avait pour cela une méthode. Méthode qui ne laisserait sans doute pas de marbre la petite soumise qu’elle avait devant elle.
-Tu es une catin, mais tu pourrais devenir une bonne favorite… tu aurais l’occasion de prendre tes bains avec ta maitresse, de dormir à ses pieds, de la servir jusqu’à la fin des temps…Mais pour cela, il faudra bien obéir.
Elle lui caressa lentement la joue en disant doucement.
-Pour l’instant tu t’occuperas de ma chambre, tu nettoyeras les draps dans lesquels j’ai dormis et fait l’amour avec mes compagnes… Ce sera ton travail ici… Et si tu te débrouille bien, peut être que je te laisserai nous regarder.
-
Tinuviel utilisait sans aucune impunité Arillé pour "nettoyer" sa main, essuyant ses doigts plein de salive sur la chevelure blonde de l'elfe comme s'il s'agissait d'une vulgaire serpillière. Tinuviel avait envie de jouer avec Arillé, et par jouer, elle avait envie de la torturer. Mais cette fois ci elle allait la torturer psychologiquement. S'il était certain que l'elfe allait craquer tôt ou tard, elle semblait résister, pour l'instant. Cependant son excitation était toujours visible. L'idée de servir une personne aussi belle et aussi perverse que Tinuviel faisait mouiller Arillé et si sa maîtresse soulevait encore une fois sa minijupe de soubrette, elle remarquerait une nette différence en quelques secondes.
"Pour l’instant tu t’occuperas de ma chambre, tu nettoyeras les draps dans lesquels j’ai dormis et fait l’amour avec mes compagnes… Ce sera ton travail ici… Et si tu te débrouille bien, peut être que je te laisserai nous regarder. "
La mine presque joyeuse d'Arillé avait pratiquement disparue. Elle s'attendait à être frustrer mais pas de la sorte. Elle voyait venir gros comme une maison le fait que sa maîtresse s'amuse à l'exciter, puis de la délaisser dans le seul but de la frustrer. Prenant une grande inspiration pour se donner du courage, elle se risqua:
"Si telle est la volonté de Maîtresse."
Elle échangea un regard furtif pour voir la réaction de Tinuviel et fixa ses pieds par la suite.
"Maîtresse? Cette esclave doit-elle préparer la chambre de Maîtresse?"
-
Elfe rouge s’était attendu à ce que sa soumise se rebelle contre cette manière de faire mais il n’en était rien. La petite elfe l’accepta gentiment, ne tentant même pas de négocier son sort… Ce n’était pas bien grave pour elfe qui attendrait juste une autre occasion pour jouer avec elle. Cette occasion ne tarda pas à se présenter lorsque Arille lui demanda si elle devait s’occuper de sa chambre.
-Oui, j’aimerais que tu t’en occupe. Ce soir, je compte dormir seule avec toi. Mais pour cela il faudrait que les draps soient propres. Tu n’imagines pas comment une terranide peut être demandeuse en période de chaleur.
Oh oui, durant ce laps de temps les furrys étaient particulièrement gourmande ce qui expliquait pourquoi l’elfe changeait les draps tous les soirs au lit de deux ou trois fois par semaine. En attendant, elle attendit donc que Arillé change les draps et lorsque la croupe de l’elfe fut bien relevée, sa maitresse passa à l’attaque caressant ses délicieuses petites fesses bien rebondies. Elle les malaxa durant plusieurs secondes avant de laisser sa petite soumise finir sa tâche et de lui dire simplement.
-Hum, tes petites fesses sont parfaites ma chérie. J’espère juste que le fouet ne les abimera pas. Cela serait dommages…
Elle déposa ensuite un léger baiser dans le cou de sa soumise avant de sourire et de lui demander.
-Bien, quand tu auras fini de faire le lit… J’aimerais que tu me répondes ma petite Arille. De qu’elle manière va tu combler ta maitresse ce soir ?
Elle la mettait déjà en condition pour la tombée de la nuit. Il ne restait que quelques heures. Mais celles-ci risquaient d’être bien longue pour le nouveau jouet de tinuviel. Enfin, vu comme elle mouillée le sol, elle ne semblait pas si à plaindre que cela non ?
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Arillé retraversa donc le harem en compagnie de Tinuviel pour s'occuper de sa chambre. Cette dernière n'avait absolument rien à voir avec la chambre spartiate de la petite esclave. Elle était magnifiquement décorée, mais sentait aussi le fauve, les chaleurs des terranides expliqua Tinuviel. Sans se faire attendre, Arillé se mit à défaire les draps du lits, se penchant bien en avant, dévoilant au passage ses fesses. Tinuviel ne se fit pas attendre, et profita de cette opportunité pour s'attaquer aux fesses de l'elfe. Elle sursauta et étouffa sa réaction. Elle était encore excitée des caresses administrées par sa maîtresse un peu plus tôt et ne put s’empêcher de s'arrêter dans son travail pour profiter de cet instant. L'elfe rouge relâcha sa proie au bout de quelques secondes, laissant Arillé sans voix. Cette dernière repris sa tache.
"Bien, quand tu auras fini de faire le lit… J’aimerais que tu me répondes ma petite Arille. De qu’elle manière va tu combler ta maitresse ce soir ?"
Arillé se mordilla la lèvre et se retourna vers sa maîtresse et réajustant discrètement sa tenue pour mettre en valeur sa poitrine.
"Je ne sais pas si maîtresse sera comblée ce soir, avec une esclave aussi désobéissante... A moins que maîtresse ne soit comblée en utilisant le fouet sur les fesses de sa petite catin qui serait très heureuse de l'aider."
Sans prévenir, Arillé déposa ses lèvres sur celles de l'Elfe rouge avant de reprendre sa tache. Et elle ne se priva pas de faire languir Tinuviel en se penchant bien sur le lit pour dévoiler ses fesses, prétextant de remettre les draps, ou de "s'éventer" en tirant sur son décolleté feignant d'avoir une petite montée de chaleur. Pour Arillé, le jeu de la maîtresse et de l'esclave avait déjà plus ou moins commencé, et elle s'efforçait au pire de permettre à sa partenaire de se rincer l'oeil, au mieux de lui proposer plusieurs prétextes pour la punir. Après tout, elles étaient dans la chambre de la maîtresse de maison, et cela n'étonnerait absolument pas Arillé que celle-ci soit aussi fournies en accessoires et jouets qu'une boutique spécifique. Sinon, elle serait probablement emmenée dans une sorte de "salle de torture", puisque visiblement, Arillé n'était pas la première esclave du harem à avoir pour fantasme la soumission, et le bondage.
L'elfe finit enfin de faire le lit, ce qui prit plus de temps que prévu, bien entendu, mais il était fait, sans aucune pliure, si bien qu'on aurait cru qu'il était neuf, ou qu'il servait à accueillir une reine. Elle se retourna vers Tinuviel.
"Voilà Maîtresse, votre lit est prêt."
Dit elle sobrement.
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Elfe souriait légèrement du comportement de sa nouvelle esclave. Il était facile de voir que celle-ci essayait de la chauffer, cependant l’elfe rouge ne pouvait qu’apprécier la vue. Elle pendandant ce temps, prépara la suite sortant discrètement, une paire de menotte en cuir pour la jeune femme. Une fois que sa tâche fut finie, l’elfe rouge l’attrapa avant de les lui mettre. Elle eut un petit sourire avant de dire à sa charmante esclave.
-tu es une très, très vilaine esclave ma petite Arille, chauffer ta maitresse comme cela… tu crois que je ne l’ai pas remarquée ?
Elle lui mordillait lentement l’oreille, chose qui était sans doute à la limite entre plaisir et douleur. Les oreilles des elfes étaient par nature particulièrement sensibles, la moindre caresse pouvant être érogène, les morsures devant donc être bien dosées.
Elle s’arrêta finalement, avant d’aller chercher une badine, souriant légèrement avant de lui caresser le visage avec l’instrument.
- Regarde-toi… J’ai essayé de faire de toi une belle maid, une charmante servante. Mais au fond, je pense que ce qui t’intéresse c’est uniquement la luxure. Je suis sûre que tu ne rêves que d’être prise, la sur le lit n’est-ce pas ?
Elfe rouge continua à frotter sa cravache contre le visage de la jeune femme, lui faisant ainsi, sentir l’odeur de celle-ci, elle la retira finalement, avant de donner un petit coup sec sur les fesses de la jeune elfe. Il s’agit d’un avant-gout sur ce qu’il allait suivre.
- Je vais t’apprendre moi, a essayer de me chauffer comme cela. Tu gagnes 10 coups de cravaches, salle pute. Et estime-toi heureuse.
Elfe rouge était dans son rôle de maitresse sadique. Et elle releva lentement le tissue, commençant à donner les coups, sur les fesses nue de la pauvre petite elfe. Pauvre ? peut-être pas tellement que cela vu les gémissements qu’elle était en train d’émettre, il semblait bien que Arillée apprécie énormément ce qu’elle était en train de lui faire subir.
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A peine eut-elle le temps d’admirer son travail que la soubrette se retrouva plaqué contre le lit par sa maîtresse. Elle se laissa faire lorsque sa maîtresse lui enfila les menottes en cuir, appréciant le doux mélange de douceur et de fermeté dont faisait preuve Tinuviel. Les lèvres de l’elfe rouge s’approchèrent de l’oreille d’Arillé, la mordillant sensuellement, ce qui n’arrangerait pas l’état d’excitation dans lequel se trouvait Arillé. Puis sans crier gare, Tinuviel s’éloigna de sa soumise la laissant dans cette position peu avantageuse. Tournant légèrement la tête pour épier sa maîtresse, Arillé la vit devant elle, armée d’une cravache. Posant délicatement le morceau de cuir contre son visage, l’elfe rouge se mit à tendrement lui caresser le visage.
« Regarde-toi… J’ai essayé de faire de toi une belle maid, une charmante servante. Mais au fond, je pense que ce qui t’intéresse c’est uniquement la luxure. Je suis sûre que tu ne rêves que d’être prise, là sur le lit n’est-ce pas ?
- Oui Maîtresse... » répondit-elle dans une voix mêlée de honte et d’excitation.
Ne pouvant s’empêcher de se mordiller la lèvre inférieure, Arillé observait du coin de l’œil les actions de sa maîtresse. Au fond d’elle, Arillé espérait que la porte de la chambre allait s’ouvrir, non pas pour qu’on puisse la sauver, mais pour que les femmes de Tinuviel puissent voir à quel point la nouvelle résidente n’était qu’une salope délurée qui méritait de connaître sa place. Elle fantasma dans sa tête tout un scénario pervers, imaginant que tour à tour le harem entier passerait voir les deux elfes : Arillé attachées dans diverses positions, punie pour plusieurs raisons et réduite au rang de vulgaire sac à foutre.
Elle fut sorti de cette rêverie par un coup sec sur les fesses. Ne pouvant s’empêcher de gémir de plaisir, elle se senti un peu idiote d’avoir si tôt montré un signe de faiblesse. Tinuviel lui annonça qu’il ne s’agissait que d’un avant goût de sa punition. Dix coups de cravaches ? Elle avait connu bien pire. Soufflant un doux « Merci Maîtresse », la punition débuta. Un premier coup s’abattit sur les fesses rebondies de l’elfe. Machinalement, elle resserra ses jambes et se mise sur la pointe des pieds, relevant encore plus ses fesses. Avant que Tinuviel ne donne un second coup, un mot sorti de la bouche de la soubrette : « Un ». Sensuellement, après chaque coup reçu sur ses fesses, Arillé comptait. Usant de son qu’on lui avait appris durant son dressage, elle essayait d’exciter d’avantage sa maîtresse, gémissant régulièrement quand il ne s’agissait pas un petit cri de douleur bien audible, ou remuant doucement son postérieur comme pour l’inviter à frapper encore plus fort.
De son point de vue, Tinuviel voyait le postérieur de sa belle devenir de plus en plus rouge. Elle pouvait facilement deviner l’excitation dans laquelle était la petite chienne qui était devant elle. L’intérieur des cuisses luisant de désir.
« Merci… Maîtresse. » dit-elle une fois la punition terminée. « Pitié Maîtresse, pardonnez cette sale petite pute d’avoir eut de si vilaines pensées. » Arillé se mordillait la lèvre inférieure d’excitation, lançant un regard langoureux à sa maîtresse, l'invitant à continuer dans la débauche.
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Elfe rouge était satisfaite de voir sa soumise à ses pieds. Chaque coup sur ses fesses était une invitation et son postérieur désormais rouge ne lui donnait qu’une seule envie, le malaxer avec fermeté pour lui rappeler qu’ici, elle n’était qu’une esclave. Elle se rapprocha lentement, avant de lui embrasser le front et lui glisser à l’oreille
-Tu sais quoi ? tu es encore plus trempée que tout a l’heure… je crois que cette punition n’était pas assez forte pour toi.
Elle sourit et se met donc doucement en face de la jeune femme son intimité au niveau de son visage avant de s’assoir sur elle, son sexe sur sa petite gueule d’ange.
-Tu va me lécher, jusqu’à ce que ton visage soit couvert de mon jus. Tu me ferras jouir plusieurs fois avec comme seule récompense l’odeur et la sensation de ma cyprine sur ton visage…
Elle eut un petit sourire, frottant doucement son bassin sur son visage comme pour faire en sorte que la jeune femme comprenne que cela n’aillait pas assez vite à son gout. Cependant, sentant rapidement la langue de la jeune blonde sur son intimité, l’elfe se calma… enfin… presque… Elle avait un sourire machiavélique et ce qu’elle allait dire ne ferrait que confirmer la suite.
-Et une fois ceci fait, je te promènerai dans mon harem, nue, couverte de nos jus… Et je laisserai peut-être même mes autres femmes se servir de toi. Ne t’inquiète pas, je te prendrai ta virginité le jour de notre mariage sur l’hôtel… Mais ta bouche risque d’être remplie des jus de mes épouses…
Elle eut un petit sourire, lui frottant le sexe pendant ce temps… pas de quoi la faire jouir, mais il semblait que ce programme était entrain de faire fondre la petite elfe à ses pieds…
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Arillé était encore toute chose. Sentir cette cravache lui arracher des cris et des gémissements l’avait mise dans un état comparable à une pute des bas-fonds de Nexus, ce qui n’était pas au goût de sa Maîtresse. Cette dernière mit sa chose sur le dos. Toujours attachée et donc dans l’incapacité de se donner un quelconque plaisir, elle subissait les délicieux sévices que lui imposait l’Elfe Rouge. Ainsi elle se retrouva nez à lèvres avec l’entre-jambe de la dominatrice, cette dernière, comme pour l’humilier d’avantage, la marquait de sa cyprine avant de lui intimer l’ordre d’user sa langue.
Doucement Arillé embrassa le fruit gorgé de désir qui lui était présenté, vénérant le sexe de sa maîtresse comme s’il s’agissait de celui d’une divinité. Elle était sa servante, et ne vivait que pour honorer la déesse qui la chevauchait. Elle cherchait avant tout à prouver sa dévotion, tout en prenant son temps. Un peu trop au gout de sa Maîtresse qui la rappela à l’ordre en barbouillant sa figure de ses fluides intimes. Arillé se mit finalement au travail, léchant, lapant, aspirant et suçotant l’entrejambe de sa maîtresse. Elle y mettait tout son cœur à l’ouvrage, si bien que la blondinette était comblée. Bien sûr elle avait terriblement envie de ressentir du plaisir, sentir ne serait-ce que le bout des doigts de sa bien aimée effleurer à peine sa misérable chatte. Tinuviel avait d’autre projets, s’adonnant pour le moment à son propre plaisir, elle était en train d’écraser le visage de sa soumise, la faisait manquer d’air, mais pas assez pour la mettre en danger. Se redressant un peu, Tinuviel pouvait voir le maquillage d’Ariller couler sur sa figure, lui donnant un air de trainée, ce qui allait particulièrement bien au personnage.
Aussitôt elle se remit au travail, subissant les diverses tortures que pouvait lui infliger Tinuviel. Ce manège dura un petit moment, une éternité pour la pauvre soubrette, jusqu’à ce qu’elle arrive à faire en sorte que sa maîtresse d’abandonne à son plaisir. Barbouillant son visage une nouvelle fois, la pauvre petite chose avait encore la langue pendante et des yeux de chienne battue.
« Pitié Maîtresse, c-cette esclave n’en peut plus… P-Pourrait elle se… Se… faire d-du bien ? » Balbutia t’elle.
Afin de la « récompenser » (ou plutôt de la torturer un peu plus) Tinuviel exhaussa ses prières, frottant doucement la cravache contre son intimité, de quoi la faire frissonner d’avantage. Cependant, elle n’avait visiblement pas envie de lui faire plaisir. Si bien, que lorsqu’elle suppliait Tinuviel d’avoir l’autorisation de s’abandonner au plaisir, l’elfe rouge s’arrêtait tout simplement, savourant les gémissements plaintifs et les râles de sa salope. Tinuviel l’avait totalement sous son emprise pouvant la torturer à sa guise pour faire redescendre un peu la pression. Après tout, il s’agissait de sa période de bon temps, Arillé n’était qu’un jouet, elle se devait donc de tout faire pour lui faire plaisir. Ainsi continua t’elle à caresser et atteindre le septième ciel, laissant sa trainée dégoulinante être torturée. Peut-être d’avantage, car Tinuviel avait été très claire, elle était bien décidée à partager son nouveau jouet à ses compagnes. N’est-ce pas là une épouse formidable ?
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La langue de sa petite esclave était parfaite à cet instant, l’elfe rouge profitait donc des attentions de la jeune blonde, la poussant dans ses retranchements. Elle fini par jouir, la couvrant encore un peu plus de liquide. Elle eut un petit sourire avant de se lever de son visage, la stimulant encore puisque la jeune femme lui avait demandé de s’occuper d’elle. Elle la poussa plusieurs fois aux bords de la jouissance, mais la lui refusant à chaque fois.
Au final, elle se leva, observant sa petite maid dans un état d’excitation si violent, qu’elle était certaine que même sans la toucher, elle pourrait jouir. Mais ce n’était pas encore le moment. Elle prit doucement son collier, l’embrassant langoureusement avant ensuite de lui passer sa laisse. Elle la tenait comme cela, au bout de ce lien en cuir.
-Bien, je pense que tu es prête pour aller t’occuper de mes amantes…
Elle passa tout doucement la main sur son intimité, la trouvant trempée, ce qui lui tira un sourire. Oui, elle était prête pour la suite. Elfe rouge la fit donc se balader nue dans les couleurs du harem, avec comme seul vêtement un collier en cuir. Cela tira d’ailleurs quelques rires et réflexion à certaine de ses amantes. Après tout, l’elfe était actuellement qu’un animal que la maitresse des lieux, cela dit, l’ambiance dans le harem restait assez bon enfant, l’elfe n’était pas la première à avoir des fantasmes de soumission et à ce titre ce genre de spectacle arrivait souvent… Et parfois, comme ce fut le cas, une des épouses de l’elfe se permettait de donner une petite tape sur les fesses de la pauvre soumise. Cela dit cette fois ci, l’elfe alla plus loin dans la mise en scène.
-Les filles, cette vilaine petite chienne semble à un message pour vous.
Elle se tourna vers la petite chienne, souriant doucement.
-n’est ce pas ma belle. Aller va y dit leur…
Elle attendant de voir si celle-ci allait oui ou non plonger d’elle-même dans la luxure ou si elle devrait l’y plonger.
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Epuisée, tremblante, et dégoulinante de sueur, le délicieux calvaire d’Arillé était loin d’être fini. La laissant doucement reprendre ses esprits, Tinuviel parti chercher un nouvel accessoire: une laisse en cuir, assorti au collier et aux menottes de la soubrette. Etant encore dans le gaz, Arillé mit un petit moment avant de se rendre compte qu’elle était en train de se faire déshabiller. Nue, les poignets attachés dans le dos, et trainée en laisse, Tinuviel promenait tranquillement sa chienne dans les couloirs du Harem. Elles croisèrent plusieurs occupantes durant le trajet, certaines, amusées, pouffaient de rire en voyant l’elfe trainée ruisselante. D’autres ne se privèrent pas pour voler des caresses sur les fesses ou la poitrine exposée de l’elfe, quant elle ne lui donnaient pas des petites claques sur son postérieur encore rouge.
« A peine arrivée et déjà dans un tel état ? T-t-t, vilaine petite catin ! » Dit une des terranides aux oreilles de chat.
« On dirait une de ces putes qui rembourse ses clients après s’être fait baisé! » s’amusa une autre.
« Tu as une nouvelle chienne Tinuviel ? Coucou toi, coucou ! C’est qui la gentille fi-fille ? C’est qui la gentille fi-fille ? » disait-elle en ébouriffant les cheveux de l’elfe. Une étrange terranide qui, en plus d’avoir des marques tribales, avait les avant bras et le bas des jambes couvert de fourrure.
Elle suivit les deux elfes, comme si elle savait ce qui allait se passer. Enfin, elles arrivèrent vers ce qui semblait être un lieu commun aux autres filles qui pouvaient vaquer à leurs occupations. Tous les regards se portèrent vers la nouvelle arrivante qui s’agenouilla aux pieds de sa maîtresse. Arillé, avait les joues rouges et préférait observer le sol plutôt que de croiser les autres femmes du harem.
« Les filles, cette vilaine petite chienne semble avoir un message pour vous. »
Arillé releva doucement la tête vers l’elfe rouge, qui lui souriait.
« N’est ce pas ma belle ? Allez, vas-y dit leur. »
La pauvre exhibitionniste regarda une à une les différentes occupantes. Autant de phares braqués sur un lapin prit au piège. Il y avait 3 terranides, celle qui avait suivit les deux elfes, une portant une élégante robe noire, et une dernière aux attributs animaliers rose qui portait une armure rouge. Enfin, une drow avait fait son apparition, qui semblait mépriser tellement Arillé qu’elle ne la regardait même pas dans les yeux. Tout ce petit monde, varié en couleurs comme en formes semblait attendre ce qu’Arillé avait de si important à dire.
« M-M-Maîtresse veut qu-que la langue d-de cette vi-vilaine… Chienne… S’occupe de… »
Tinuviel fit comprendre à Arillé qu’elle devait recommencer dans un langage compréhensible et bien fort pour qu’on puisse l’entendre. Tétanisée par la peur, Arillé mit quelques secondes à trouver son courage avant de s’exprimer de façon à ce que tout le harem puisse l’entendre.
« Maîtresse veut que la langue de cette vilaine chienne s’occupe de procurer du plaisir à ses magnifiques amantes ! »
Après un petit moment de flottement, ayant potentiellement attiré d’autres amantes, les personnes qui étaient dans la salle se dépêchèrent de faire la queue pour profiter des talents linguistiques de l’elfe. La première était une Terranide nommée Fonfon, qui n’eut pas trop de mal à se débarrasser de son pagne. Les autres, à savoir Sherufanir, Mégane et Lyrinda attendaient patiemment leur tour, jetant des regards vers l’elfe à genoux.
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La maitresse du harem observait la scène devant elle avec un petit sourire satisfait. Il y avait quelque chose de profondément dégradant dans ce tableau ou une pauvre femme allait s’occuper de son harem. Arille après tout, n’avait qu’une seule et unique mission, faire jouir ses épouses, les combler. Elle poussait sans doute sa nouvelle esclave dans ses plus profonds retranchements mais elle estimait qu’elle en était capable Mieux encore, elle estimait que la jeune blonde y prendrait un pied fabuleux. Après tout, y avait-il une meilleure forme d’humiliation que d’être utilisée comme un sex toy vivant afin de combler son harem ? Honnêtement, elle en doutait, mais peut être qu’Arille lui ferrait une remarque après ce petit jeu.
Fonfon quant à elle semblait s’amusait comme une petite folle, sa queue battant légèrement derrière elle. Cela lui rappelait ses jeunes années. Une époque où elle s’occupait du dressage des esclaves pour en faire de bon jouet sexuel, cette époque était aujourd’hui révolue et elle aimait se qu’elle vivait ici, mais cela lui manquait un peu, ainsi, se retrouver dans cette situation enflammé sa libido.
Elle prit la tête de la jeune femme, plongeant dans sa main sa chevelure afin de la diriger fermement vers son intimité, la laissant lécher son sexe. La louve prenant appui sur les oreilles de la jeune femme pour la forcer à ne pas se retirer et à la lécher encore et encore…
-Tu sais petite chienne, autrefois, je dressais les femmes comme toi, j’en faisais de bon vide couille… Je les brisais… mais toi, je n en ai même pas besoin. Je peux voir que tu adore cela, tu adore être à genoux, a nous lécher…
Elle eut un petit rire, frottant la tête de la jeune femme comme elle l’aurait fait avec un animal de compagnie…
-Alors, lèche, va y… fait moi jouir sur ton visage de jeune pute… Et dépêche toi, car je ne suis pas la seule à avoir envie de couvrir ton visage de ma cyprine.
En effet, derrière elle, il y avait au moins deux autres femmes qui attendait leur tour. Et chacune avait une idée précise de ce qu’il allait se passer…
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[Désolé pour la réponse courte, manque d'inspiration :( ]
Avant d’avoir le temps de dire ouf, Arillé avait la tête collée contre l’entrejambe de la terranide. Comme pour marquer son territoire, celle qui se faisait appeler Fonfon, barbouilla le visage de l’elfe avec son sexe. A cet instant, elle lui appartenait. Elle n’était qu’un vulgaire sex-toy vivant qui devait satisfaire les épouses de sa maîtresse. Régulièrement Fonfon pressait le visage de l’elfe contre sa chatte, la laissant ainsi plusieurs secondes à suffoquer contre son sexe et ne la relâchant qu’une fois satisfaite. Etait-ce une vieille habitude quant à son passif de « dresseuse de vide couilles » ? Probablement. Ce genre de petites manies avait la vie dure et pouvait ressortir de temps en temps.
Arillé, elle ne s’en plaignait pas. Elle se sentait totalement impuissante face à cette terranide et avait lâché prise. Elle espérait par-dessus tout pouvoir ressentir le plaisir qu’elle procurait à cette femme qui lui était totalement inconnue, bien que cela n’était visiblement pas au programme. Elle prenait son mal en patience s’imaginant divers scénarios où elle finissait baisée comme la pire des chiennes, le corps marqué par les divers fluides des amantes du harem.
Après plusieurs minutes à subir les traitements d’Arillé, Fonfon monta dans les aigües. Elle atteignit l’orgasme et laissa la pauvre elfe dans un piteux état. L’esprit brumeux, Arillé avait du mal à suivre où elle en était… Et n’eut que quelques secondes de répits avant de subir les assauts d’une autre demoiselle sans savoir de qui il s’agissait. Sans se faire prier, elle se remit au travail, à la découverte d’une nouvelle saveur.