Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Warda avait encore son uniforme scolaire, fraichement sortie du lycée. Elle avait senti la journée passer lentement, n'ayant en tête tout du long que ce qu'elle s'appraitait à faire.

Se déplacer dans ce quartier restait cependant une épreuve pour elle. Par prudence, elle restait toujours dans les grandes avenues, ne s'aventurant jamais dans les petites ruelles. Ainsi, elle restait toujours entourée de monde...
Mais quel monde...
Entre les individus louches qui lui lançaient des regards intéressés, les prostituées qui venait l'aguicher comme si elle était une cliente, ou pire encore, les clients de ces dernières qui lui demandaient ses tarifs, ce genre de balade n'était pas des plus recommandées pour une lycéenne.

Le plus torturant pour Warda n'était pas les propositions elles-mêmes, car son for intérieur était réellement intéressé par celles-ci. Sa souffrance venait de sa façade de jeune fille modèle, qui l'empêchait d'accéder à une quelconque requète de ces individus, par malheur que des connaissances à elle la reconnaisse, et dévoile au lycée entier la petite garce qu'elle était réellement.

Mais heureusement pour elle, la providence avait sonné à sa porte dans ce même quartier, il y a de cela une semaine. Une voie d'assouvir ses pulsions sans que personne ne puisse remarquer quoi que ce soit de louche.
Et elle comptait bien remettre ça aujourd'hui même.

Son coeur s'accéléra légèrement à l'approche de l'entrée du métro. Exactement le même que celui où elle avait vécu cette aventure une semaine avant, jour pour jour. S'approchant des guichets d'entrée, elle parcoura la salle du regard pour chercher un policier... Mais pas n'importe lequel : celui qui était là 7 jours avant.

Elle se retint de sourire lorsqu'elle l'aperçut enfin. Lui ne l'avait pas encore remarquée. Elle attendit que son regard porte dans sa direction, puis avança vers les portes automatiques, feignant de ne pas l'avoir vue.

Se souvenant de ses moindres gestes de la fois précédente, elle attendit qu'une fille passa, puis se colla à elle au dernier moment, passant avec elle, sans payer.

Elle pria alors de toutes ses forces pour que ce même policier la remarqua de nouveau faire...

Gabriel avait du faire une connerie, encore une fois, en effet, pour la deuxième fois en moins d'un mois, il se retrouvait à surveiller une bouche de métro… putain de connerie… il regarda les moutons humains qui passaient en se suivant pour se rendre à la rame de étro et s'entasser dedans comme des sardines.. il cracha par terre… bordel, mais il avait fait quoi, comme connerie, encore ? IL n'avait rien fait !  Il était juste parti un court instant fumer un clopependant sa garde, ce n'était pas la mort, alors pourquoi on l'avait posté ici, à se faire chier en tournant en rond !

Il regarda le métro partir en attendant quelque chose… la dernière fois, il avait eu de la chance, il avait trouvé un sac à foutre pendant une bonne heure : une fraudeuse, et pucelle qui plus est, le déflorage avait été assez violent, pas vraiment doux, il avait pris son pied à plusieurs reprises avait bien jouis et l'avait laissée en plan dans une ruelle. Elle avait juste mérité cela… fallait pas tenter de frauder en passant sans payer…

Pour le reste, il fallait cesser de réfléchir et se dire qu'une opportunité du genre ne se reprochuirait pas desitôt, il le savait, il avait eu du pot sur pas mal de points lors de cette petite rencontre… il savait que cette fois, il devrait tourner en rond de bout en bout. Elle était plutôt mignonne… un peu comme celle qui était en train de tenter de frauder…

...En train de frauder...

… comme cette fille…

putain mais c'était elle, et elle recommençait !  Et sous ses yeux en plus !  Bon dieu, il ne croyait pas ça possible, si ce n'était pas une chance de cocu, ça !  IL la regarda un peu avant de se diriger vers elle, et, faisant comme si il ne la connaissait pas, il lui lança :

« Mademoiselle, police. Je viens de vous voir frauder, suivez moi, s'il vous plait…. »

IL sans vraiment attendre son accord, il la saisit par le bras, fermement. Isl pouvaient retourner dans la même ruelle , non? Oui, c'étatla meilleure chose à faire. Il souvrir la barrière et sortit de la station de métro en l'entrainant avec lui . IL ne lui laissa après tout pas vraiment le choix…

« A croire que t'as apprécié, petite chienne, pour refaire ça sous mon nez. Ou alors tu es vraiment stupide… au pire, on s'en fout, on va bien s'amuser... »

Il lui fit un clin d'oeil et lui mit uen tape sur le postérieur.

« J'avais jamais vu quelqu'un sucer aussi bien en étant vierge... »

I allait bien s'amuser...

Warda se laissa entrainer sans résistance par le policier, tête baissée, adoptant une mine sombre et terrifiée. Si sa peur était réelle – elle ne connaissait pas cet homme pour sa douceur – sa tristesse, elle, était purement fictive. Au contraire, elle ne pouvait s'empêcher de s'exciter à l'idée de retrouver l'état dans lequel elle avait fini une semaine avant.

Elle tenta toutefois de se calmer. ** Du calme… S’il se doute que je l’ai vraiment fait exprès, je suis foutue… Il doit penser que je fais ça par pure crainte. **

La claque sur sa fesse accentua son envie. Elle comprit que cet homme n’avait en rien perdu de son envie d’elle depuis leur dernière rencontre.

Elle garda la tête basse, tandis qu’elle se dirigeait vers sa punition. Elle reconnut le chemin emprunté… Oui, c’était exactement le même que la dernière fois ! Il l’emmenait précisément au même endroit. Ce qui la contraria tout de même : une ruelle, bien que désertée, lui avait fait craindre tout le long que quelqu’un puisse passer, la prendre en photo ou la filmer, ou pire encore. Bien que personne ne soit venu la dernière fois, elle ne sut se rassurer.

Ils marchaient tout deux le long de cette ruelle. Elle serait bientôt à l’endroit où avait été – en théorie – abusée. Elle tenta d’accentuer sa démarche de jeune fille effarouchée en suppliant ce flic corrompu, qui jubilait déjà de ce qu’il allait commettre :

Ecoutez monsieur… Je sais que je me suis mal comportée… Mais après tout ce que vous m’avez fait subir la dernière fois, je croyais que j’étais exemptée pour un moment… J’ai eu tort… Je vous demande pardon…

Sa voix se mit à trembler. Plus par excitation que par peur, mais ça joua en sa faveur dans son rôle.

S’il vous plait… Je vous promets de ne plus jamais, jamais recommencer… Je ferai n’importe quoi pour éviter… Elle marqua une pause, réalisant qu’elle n’était pas en mesure d’offrir plus que ce qu’elle s’apprêtait à se faire prendre. Enfin… Je… Je… Pitié… Ne me faites pas de mal…

Ils se stoppèrent. Le lieu d’arrivée était là. Elle frémit à l’idée de ce qui était sur le point d’arriver.

Elle ne montrait aucune résistance. Peut être qu'elle avait compris la dernière fois qu'elle n'avait rien à gagner à résister… il sourit à cette idée, et intérieurement, il jubilait ! IL jubilait car il en avait bien profité la dernièr fois, et cette fois-ci il allait davantage en profiter… son humiliation serait totale… pire encore, elle se rappellerait à jamais qu'elle n'était qu'une chienne, un vide couille ambulant…

Elle suppliait de ne pas lui faire de mal, arguant qu'elle avait déjà pris assez pour deux fois la dernière fois qu'il l'avait chopée en train de jouer les fraudeuses… même si elle reconnaissait son tort, cela ne changeait rien… en effet, il n'avait qu'une seule chose à répondre à cela : qu'elle la ferme, car jacter ne changerait rien… jamais rien… il regarda la jeune femme qui suppliait qu'il ne lui fasse pas de mal… pas de mal… il trouvait cette idée amusante…

« Si je me souviens bien, tu ne semblais pas malheureuse à la fin … tu en aurais presque redemandé... »

Le jeune homme la poussa devant lui dans la ruelle avec un peu de brusquerie… se retrouvant dans son dos. IL la poussa contre le mur de la ruelle et lui saisit un sein pour le malaxer avec force, lui pinçant sans réelle douceur le mamelon… puis il lui mit une nouvelle fessée, plus forte que la précédente avant de la lâcher.

« Alors écoute moi bien, tu te souviens de la dernière fois ? Et bien tu vas commencer par faire pareil que la dernière fois, seulement, cette fois, ne m'oblige pas à te la mettre dans bouche de force…, ne serait-ce que parce que ce serait douloureux… enfin, tu le sais très bien je suppose... »

IL eut un rire gras avant de lui retirer le haut jusqu'à exposer sa poitroine qu'il saisit à pleines mains pour la malaxer, la pétrir, comme s'il ne s'agissait qu'une miche de main en préparation dans les mains d'un boulanger un peu brut de décoffrage… il lui sourit…

« Bien sur, évite de faire trop de bruit, ce serait con que quelqu'un d'autre te voit en train de te faire troncher comme la petite putain que tu es, non ? »

Elle avala sa salive en se souvenant du début de la fois précédente : elle avait fait mine de résister… Et ce pervers lui avait bien fait payer… Elle ne voulait pas retenter l’expérience.

Toujours en se forçant à faire la moue, elle défit doucement la braguette de son agresseur. La verge qui en sortit fit défiler dans son esprit une série d’images et de sensations souvenues de la fois précédente. Elle se tenait à nouveau devant elle, dressée, n’attendant qu’elle… Warda avait pour ordre de la sucer, et elle se souvenait très bien des préférences de son agresseur en matière de fellation…

D’accord, je vais le faire… Tenta-t-elle d’articuler avec une pointe de dégout. Je vais le faire… Comme la dernière fois… S’il vous plait, ne me faites pas de mal… Je serais gentille…

Elle prit délicatement le dard du policier et en embrassa le gland du bout des lèvres. Une goutte de pré-sperme vint alors mouiller ses lèvres. ** Déjà ? La vache… Je l’excite pour de bon… **

Monsieur… Je… Je vais faire de mon mieux… Ne me faites pas mal comme la dernière fois, d’accord ? Vous n’en aurez pas besoin…

Elle tenta de plonger la verge dans sa bouche. Elle prit soin de ne pas la toucher avec ses dents, et de faire rouler sa langue autant qu’elle pouvait. C’est comme ça qu’elle obtenait les meilleurs résultats.
Mais malgré ses efforts, elle ne sut arriver à mettre en bouche plus de la moitié de la queue qui lui semblait si menaçante…
** Pourvu que ça lui suffise ! ** s’implora-t-elle.

Il sourit en la voyant s'exécuter… au moins, il fallait se rendre à l'évidence, pour une débutante, elle se démerdait comme une professionnelle de la pipe… même si elle n'avait pas vraiment encore le talent pour la gorge profonde… il devrait peut être lui apprendre, quitte à forcer un peu au début… après tout, il avait été son premier, non ? Petit sourire à cette pensée, alors qu'elle s'activait… lentement, tentant de faire de son mieux, enfin, c'était ce qu'elle disait, lui, il attendait des preuves assez solides à ce sujet… le temps qu'elle mettrait à lui faire inonder sa petite gueule de foutre en serait un très bon indicateur…

IL n'avait pour ainsi dire rien répondu quand elle s'était mise à geindre sur le fait d'être plus doux que la dernière fois… elle connaissait la réponse… tout cela ne ferait que dépendre d'elle, elle le savait sans doute fort bien… cela dépendrait de la manière qu'elle aurait de s'appliquer, de tous les traitements qu'elle ferait à sa queue bien dure, ou encore de tout ce qu'elle serait prête spontanément à faire pour lui plaire… oui, de nombreux facteurs entraient en compte et il n'avait pas besoin de les lui donner, elle les connaissait…

« Allons, allons, tu sais très bien, que tout dépend de toi... »

Il frémit de délice en sentant sa langue rouler le long de sa verge, en sentant la délicieuse sensation de succion autour de celle-ci, du mouvement de ses lèvres sur sa turgescence déjà pleine de désir et de plaisir… A partir du moment où il l'avait vue, il avait su qu'il allait en profiter, et la trainer jusque dans cette ruelle avait suffi à lui permettre d'imaginer pléthore de scénarios et d'idées… IL soupira d'aise avant de doucement venir lui caresser les cheveux d'une main, l'autre restant mollement à ses côtés, inactive…

« Brave fille… tu te débrouilles vachement bien.. tu suces comme si tu avais fait ça toute ta vie... »

Il lui caressa avec douceur la joue avant de rajouter, sur un ton doucereux qui ne devait pas être familier à la jeune fille, venant de lui…

« Mais j'en désire plus… allez, force toi un peu à la gober en entier, ma belle... »

Nausées, toussotements ? Impression d'étouffement ? Certes, c'était courant quand on avait pas l'habitude, mais il n'en avait cure, loin de lui l'idée de s'intéresser vraiment à elle… et si il le fallait il la lui enfoncerait de force dans la gorge en lui maintenant bien fermement la tête.

« Histoire de passer au niveau supérieur... »

Elle était à la fois rassurée et intimidée par les ordres du policier.

D’une part, sa promesse de ne lui faire mal que si elle n’y mettait pas du cœur la rassurait : elle était revenue ici volontairement, et avait bien plus d’expérience que ce que lui pensait. Ses douces caresses laissaient penser qu’elle semblait le satisfaire, ce qui était plutôt bon signe.

Toutefois, même dans ces conditions, il lui en demandait trop : rentrer cet organe en entier dans sa bouche serait surement une épreuve pour elle… Pourtant, sa mémoire lui rappela que son propriétaire était du genre à toujours obtenir ce qu’il voulait, de gré ou de force.

Elle se recula alors légèrement, ne laissant que le bout du gland suspendu à ses lèvres. Elle devait le faire, ou bien lui le ferait à sa place… Elle prit une grande inspiration, et plongea le sexe dressée contre elle au plus profond qu’elle le pouvait. Un puissant haut-le-cœur la fit rapidement ressortir, lui rappelant douloureusement la difficulté de la chose.

Elle cala ses mains contre les fesses de l’homme pour s’aider à se caler, reprit une inspiration et replongea ; plus doucement cette fois, tentant de trouver une position où elle ne serait pas écœurée.
Mais ce fut sans succès. Un nouveau haut-le-cœur vint la secouer sitôt qu’elle sentit quelque chose effleurer sa glotte. Elle parvint tout de même à s’accrocher quelques secondes, encouragée par les râles de plaisir du propriétaire de l’engin.

Mais sa nausée grandissante finit par avoir le dessus, et elle éjecta le dard de sa bouche, crachant une épaisse quantité de salive sur le trottoir. Elle toussa de longues secondes, avant de se retourner face au policier, la mine désolée :

Ecoutez… Je veux bien faire des efforts… Mais ce que vous me demandez là… C’est trop pour moi… Elle tenta de prendre une moue innocente et attendrissante avant de poursuivre : N’oubliez pas que je suis presque vierge…

Elle serra les poings, espérant de toutes ces forces qu’il allait lui pardonner cet imperfection de conduite, les pensées concentrées sur la sensation écœurante qu’elle venait de s’infliger.

**Ne me force pas à ça… Tout ce que tu veux, mais pas ça encore…**

Elle semblait hésitante… comme si elle ne savait pas ce qui se passerait si jamais elle n'essayait pas, pire, si jamais elle n'y arrivait pas ! Car  même si elle essayait, elle n'avait pas vraiment le droit à l'erreur à ce niveau là… en effet, il ne lui laisserait pas l'opportunité de décliner parce qu'elle n'y arrivait pas… et puis… sentir la gorge de débutante se contracter suite aux hauts le coeur, autour de sa verge… voilà qui n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire !

Elle sembla hésitante et peut être sentit-elle sa main légèrement se contracter sur sa tête, comme un rappel qu'elle avait intérêt à se magner le fion à tenter quelque chose et même à réussir… il sourit et regarda la jeune femme commencer à s'enfoncer le plus loin possible, sentant sa turgescence  entrer lentement dans sa bouche, plus loin que la dernière fois… avant vite de retirer celle-ci de sa bouche, secouée par un haut le coeur… pauvre petite choupinette… elle n'y arrivait pas ? Et bien qu'elle réessaye.

D'ailleurs il vit bien vite qu'elle ne semblait pas prête à abandonner, bien… c'était tout à son honneur. IL la sentit prendre une nouvelle inspiration pour retenter le coup. Elle resta un peu plus longtemps, sans pour autant terminer vraiment son acte avant de se plaindre, de se plaindre qu'elle n'était pas capable de le faire, que c'était trop pour elle…

Oui, elle avait raison, elle était presque vierge, et il avait décidéde lui mettre du kilomètre au compteur, quitte à) forcer un peu la chose, et en l'occurence, il n'avait apparemment pas le choix si elle refusait d'y mettre du sien… il eut une moue agacée et se baissa légèrement pour venir lui saisir les pointes de chair de son tore pour les tordre violemment… bien fait pour elle.

« Très bien, je vais le faire moi-même ! »

IL lui sourit, une lueur mauvaise dans le regarda alors qu'il lui saisissait lescheveux à pleine main pour lui maintenir la tête en place. Il approcha sa verge de son visage et frotta celle-ci, pleine de salive sur sa joue, son nez, son front, bref, tout son visage avant de la placer contre ses lèvres.

« Allez, ouvre où je te gifle ! »

Et dès qu'elle ouvrit la bouche, il enfonça sa masculinité au fond, aussi loin que possible, sans la moindre douceur ni la moindre compassion, soupirant de plaisir alors qu'il bloquait la position.

« Tu peux soulager la glotte en respirant par le nez… et tiens… tiens... »

Il compta jusqu'à dix avant de relâcher…

« Tu vois, ce n'est pas si dur ! Allez, réessaye ! »

Warda cracha de nouveau sa salive par terre, toussant péniblement, l'estomac noué par la verge qui venait de lui faire remonter son repas. L'odeur de sa propre salive qu'il avait étalé sur son visage n'aidait pas ses haut-le-cœur à diminuer.

Elle venait de subir une épreuve, et voilà qu'on lui en demandait plus... Encore... Elle commençait à regretter amèrement d'avoir voulu revenir ici. Elle avait surtout gardé un souvenir de son plaisir, et en avait oublié les exigences du policier.

Mais elle savait que quoi qu'elle ne fasse pas d'elle-même, elle y serait contrainte... **Ce sera forcément moins désagréable si j'y vais seule** Pensa-t-elle.

Elle posa donc ses lèvres sur la virilité dressée face à elle, et la laissa glisser vers son gosier. Elle tenta une manœuvre plus en douceur cette fois-ci, tentant de prendre une respiration entre chaque centimètre gagné. Les derniers furent particulièrement douloureux, mais glissèrent tout de même. Le contact final avec sa glotte restait toutefois insupportable, et son corps recula instinctivement pour éjecter l'organe de sa gorge.

Elle se rendit à l'évidence : elle ne pouvait y arriver seule.

Je suis désolée... Mon corps réagit tout seul... Si tu veux que je le fasse... Il va falloir me tenir.

**Allez, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, pense à ce que tu auras après** se dit-elle pour se rassurer, lorsqu'elle sentit les mains de l'homme se crisper sur son crâne et vit son sourire s'ouvrir à pleine dents lorsqu'il entendit cette phrase. Visiblement, il n'était pas contre l'idée.

Dès qu'elle se réaprocha de la verge, elle sentit une poussée sur sa tête qui la fit plonger contre le bas-ventre qui se trouvait en face d'elle. Instinctivement, son corps tenta de la faire reculer à la montée de bile qui venait, mais elle était maintenant fixée dans cette position.

Après quelques secondes de dégoûts pur, elle tenta de reprendre le contrôle, en suivant les conseils qu'elle venait de recevoir : elle pencha légèrement sa tête vers le haut, et tenta de respirer lentement par le nez. Les sensations de vomissement, bien que toujours présents, en était légèrement atténuées.

Prise au piège dans cette position, elle leva les yeux pour observer d'un air suppliant le visage de celui qui était actuellement en elle, et attendit...

Y avait pas que des avantages à être celui qui baisait une vierge ou une jeune fille à peine dépucelée : le fait de se savoir être le premier était foutrement jouissifi, mais à côté de cela elle avait un côté inexpérimenté qui était presque navrant… mais bon, avec une fille comme ça, il était prêt à oublier pour lui faire un peu comprendre ce qu'elle valait, ce qu'elle voulait, ce qu'elle méritait… elle était assez chienne, il le savait, et bientôt elle le serait totalement…

Il lui sourit alors qu'elle obéissait de nouveau à ses ordres, sans la moindre difficulté, sans la moindre hésitation, quoiqu'elle y aille plus lentement cette fois, peu à peu… comme si elle cherchait à s'habituer à ce contact. En même temps, peut être que pour quelqu'un de plus patient que lui, cela aurait pu être la bonne solution, mais Gabriel n'était pas la plus patient des hommes, aussi, il lui avait demandé de faire quelque chose et la voir essayer sans succès n'était pas pour lui plaire, aussi, quand elle renonça à le faire par elle-même, toutefois, il avait décidé de la manière de faire… il voyait déjà comment le lui faire comprendre…

« Soit... »

IL saisit la jeune femme par les cheveux, de part et d'autres de son visage et dès qu'elle approcha son vuisage de la turgescence, il la força à, d'une traite, aller tâter de sa glotte du gland. Putain ce que c'était bon… il la tint moment comme ça, sentant sa gorge se contracter autour de sa verge avant de finalement ressortir, ou du moins, reprendre un peu délan sans pour autant sortir complètement de sa bouche, et retourner frapper sa glotte de sa masculinité. Et il recommença encore, et encore, et encore…

C'est seulement après plusieurs coups de reins sans douceur aucune, non, pourquoi lui donner quelque chose qu'elle ne méritait pas ? Elle ne faisait pas d'effort… Aussi, il ne la laissa se reprendre qu'après cela. Et ce n'était pas fini. IL ne lui laissa que quelques instants avant de recommencer, pour plusieurs allers et retour brusques qui tapaient sur la glotte et faisaient claquer les bourses sur son menton. Et quand enfin il sortit se sa bouche, ce fut pour, dans un râle, jouir à même son visage, comme si son n'avait été rien de plus que cela : une cible pour l'éjaculation du policier…

« Putain, c'est bon, brave fille… tu vois, quand tu veux faire des efforts, ça se passe bien ! »

Il sourit et la redressa par l'épaule, sans la moindre douceur encore une fois, oui, la doucuer, elle n'en avait jamsi eu et n'en aurait jamais avec lui…

« Si ça te fait chier d'avoir du foutre bien chaud sur ton sage t'as qu'à l'essuyer avec ton haut ou le léche ! »

IL lui mit une claque sur les fesses.

« J'aurai du te baiser la bouche comme ça la dernière fois, aujourd'hui tu te serais mieux débrouillée ! »

La jeune fille toussait et respirait rapidement par la bouche, concentré sur son estomac qui semblait vouloir à tout prix provoquer une évacuation d'urgence. Les buttements contre sa glotte avait été insupportables : elle avait eu du mal à respirer, et dû recracher encore une belle quantité de salive sur le trottoir.

Elle gardait la tête baissée, préférant ne plus avoir à regarder le visage de l'homme qui venait de lui recouvrir le sien. Une petite larme se mélangea à la semence qu'elle avait sur les joues. En l'instant, elle regrettait amèrement d'être revenue le voir : il s'était montré encore bien plus violent et irrespectueux que la dernière fois.

Voilà qu'il lui suggérait de se nettoyer... A quoi bon ? Il allait surement la resalir très prochainement...

**ça va aller...** Tenta-t-elle de penser pour se rassurer. **Il a fini... Il a fini avec ma bouche... Il va passer au bon côté... Je vais pouvoir ressentir le plaisir, la pénétration, mon hymen qui se déchi...**

Elle se figea soudainement, comme tétanisée. Son hymen ! Ce flic l'avait déjà détruit, et elle avait oublié de le déchirer avant de venir ! Comment avait-elle pu oublier sa règle d'or : toujours se dépuceler soi-même si on va voir un amant déjà rencontré...

Le scénario catastrophe se déclencha dans sa tête : l'ignoble policier corrompu la pénétrant à nouveau, la faisant encore saigner... Il comprendrait alors son secret, et le révélerai au monde entier... Non, il avait l'air encore plus sadique que ça, il se servirait de son secret pour la faire chanter, et faire d'elle tout ce qu'il voudrait... Et quand il le voudrait... la simple mention de révéler sa vraie nature dans son lycée pourrait suffire à lui faire faire n'importe quoi... **Non, tout mais pas ça ! Pas devenir l'esclave de ce salaud !**

Elle tenta de trouver une solution... Lui demander de s'en arrêter là ? Autant demander à la pluie de s'arrêter... La seule solution était de se déchirer proprement avant qu'il entre... Mais pour ça, encore fallait-il s'absenter...

Ecoute... Tu veux bien me laisser seule un instant ? le temps de... De me nettoyer ? Je... Je te promet de revenir tout de suite...

Sa promesse était sincère, mais encore fallait-il que le policier y croie.

Il al regarda quelques instants. Elle connaissait la suite, n'est-ce pas ? Elle l'avait déjà vécue… il se souvenait quand il l'avait vraiment crue vierge, quand sa verge avait buté contre son hymen, et le second coup de rein qui l'avait déchiré sans la moindre douceur… non, il n'avait jamais été doux avec elle et elle le savait parfaitement… il sourit à cette idée et caressa un onstant l'idée que ça aurait été génial qu'elle  ait à nouveau son hymen pour le plaisir de la déflorer une deuxième fois…. Il eut un petit air, certes peut être un peu malsain, mais amusé sur le visage…

Il sourit et prit la jupe et de la tenue d'écolière de la jeune femme et la força à tomber au sol, bien vite la culotte de la jeune femme suivit quoiqu'il se passe maintenant, elle était toute nue. Il observa ses formes qu'il avait déjà eu entre les doigts la dernière fois… elle qui voulait s'absenter… ben voyons, il n'aurait manqué plus que cela… il lui avait offert deux moyens de se nettoyer, ses vêtements et ce qu'elle pouvait lécher… il ne lui laissrait aucune autre possibilité.

IL regarda la jeune femme alors qu'elle balbutiait sa demande et se contenta d'un petit geste de la tête, un geste négatif bien entendu… il n'avait pas besoin de plus pour manifester son désaccord. Puis, avec fougue, il la saisit par les hanches, la retournant pour la mettre dos à lui. Puis, il  appuya de sa main sur ses reins pour lui faire comprendre de se pencher en avant.. Vu tout le lubrifiaint qu'elle avait expulsé de sa gorge vers sa verge, ça allait rentrer comme dans du beurre… il sourit et se mit  en position, lui massant le fessier avec fermeté… avant d'avoir une idée…

« Hum… je me demande… tu es pucelle de cet endroit aussi ? »

IL tapota de sa verge son petit anneau rectal, sans y entrer pour autant, ce n'était pas son objectif, non, pour le moment, il allait la prendre de manière assez classique pour commencer…. Il  se recula légèrement pour commencer par glisser ses doigts le long de ses lèvres intimes… il faisait quelque chose qu'il n'avait pas fait la dernière fois :  il usa de ses pouvoirs avec précision pour envoyer une bonne décharge de plaisir dans son corps, puis une autre, et encore une autre. IL ne faisait pas cela par hasard… pour sa verge, il serait plus facile d'entrer dans son puit d'amour…

« Allez, hop, c'est partit, prends ça, tu m'en diras des nouvelles ! »

D'un coup brusque et fort, il s'enfonça en elle. Pas la moindre douceur, mais pas plus de violence que la dernière fois… aussi, il sentit une légère résistance… une résistance qui n'était pas sans rappeler le fait qu'il l'avait dépucelée… il se retira…. Et vit le sang sur sa verge…

« Putain, mais c'est quoi se bordel ? »

Les deux mains plaquées contre le mur, le corps penché et les fesses dévoilées, Elle n'avait pu s'empêcher de gémir lorsque des décharges de plaisir avaient secoué son sexe... Elle n'avait absolument aucune idée de leur provenance, mais en aurait bien redemandé... Si cet homme ne lui avait pas immédiatement après arraché un cri de douleur et de honte en la pénétrant, lui faisant ressentir le déchirement de sa paroi intime à nouveau. Son cri de surprise lorsqu'il ressortit en était la preuve : sa plus grande crainte était sur le point de se réaliser.

Toujours secouée par les vagues de plaisir, elle tenta de retrouver ses esprits pour trouver une solution.

Je... C'est... Tu... Oui, tu as remarqué... Tu n'as pas détruit la totalité de mon hymen la dernière fois, il en restait un morceau.

Etant donné la violence dont il avait fait preuve la dernière fois, c'était difficile à croire. Pourtant, elle refusait de se laisser dominer par un pervers dans son genre. Elle ne vit qu'une seule solution : lui faire croire qu'il n'avait plus rien à lui prendre.

Elle lâcha le mur pour poser ses mains sur le sol, à quatre pattes, et pencha autant qu'elle pouvait sa tête et le haut de son corps pour faire remonter son postérieur nu, en signe de soumission. Elle écarta également légèrement les cuisses, afin de mieux laisser entrevoir sa fente.

Allez... se força-t-elle à dire en serrant les dents. Je sais que t'en a envie... Alors n'hésite pas : baise-moi... Baise moi aussi fort que tu peux.

Elle serra les dents, présentant la douleur imminente, mais consciente du fait qu'elle ne devait surtout pas crier.

Il l'avait déflorée la semaine dernière… ça il s'en souvenait ! Il ne fallait pas être débile pour sentir un hymen se déchirer sous un coup de rein ! Il n'était pas stupide ! Il ne fallait le prendre pour un bœuf… il savait ce que ça faisait et vu comment il l'avait ramonée la dernière fois, c'était impossible, ce qu'elle lui avait dit ! Il  eut une moue agacée… non, son explication ne tenait pas la route !

Il lui mit une bonne fessée… avant de la pousser et de la choper par la chevelure., lui rabattant la tête en arrière. Il plongea ses yeux dans ceux de la jeune femme, ils exprimaient une sorte de colère sourde, une colère muette, qu'il n'exprimait pas des masses… parce que putain de bon dieu ! C'était quoi ce putain de bordel à la con ?

« Stop, stop ! Je vais te tirer comme une vraie chienne en manque ! Mais d'abord, tu vas m'expliquer ce que c'est que ce bordel !  Parce que vu comment je t'ai déboîté les reins la dernière fois, je l'aurai su si il en restait… tu me prends pour un con ? »

Il lui lâcha la tête et lui envoya une bonne gifle comme elle l'avait méritée pour se foutre de sa gueule ! On ne prenait pas Gabriel Valmy pour un jambon ! Il soupira et la lâcha avant de se tourner, lui montrant son dos. Il regarda au dehors de la ruelle, avant de refaire à nouveau face à la jeune femme…

« C'est simple, s'il le faut je te battrais, mais tu ne sortiras pas de cette ruelle sans un truc qui ressemble à quelque chose ! »

Il eut une moue assez malsaine… avant de lever la main comme pour la frapper, mais il ne termina pas son geste et cracha par terre, devant la jeune femme, de colère. Putain, ça l'emmerdait de ne pas savoir. Surtout qu'il avait l'impression d'avoir été complètement roulé en la matière…

« Ecoute, si tu me réponds comme il faut, je crois que je pourrai te faire une fleur : je te promets le plus grand orgasme que tu auras jamais si tu me dis toute la vérité…. Tu ne le regretteras jamais, je te le promets ! »

Il eut un sourire presque doux, surtout après tout ce qui s'était passé… mais au fond de ses yeux, on sentait la dureté d'un bloc de marbre...

Warda resta aplatit sur le sol, deux larmes coulant sur ses joues, l'une de douleur et l'autre de honte.

Baise-moi comme tu veux... Gémit-elle. Mais s'il te plait... Arrête de me frapper.

Elle savait qu'il ne plaisantait pas. Un orgasme la tentait, mais elle était bien plus attirée par l'envie de ne pas recevoir plus de coup. Son fessier avait rougie de la dernière fessée qu'elle venait de recevoir, mais elle se doutait que ce n'était rien comparé à ce qu'elle risquait de recevoir si elle s'acharnait à mentir.

Elle plaqua la tête contre le sol et ferma les yeux, renonçante. Elle venait tout juste d'échouer de protéger ce qui lui était le plus cher : son secret. Autant se dévoiler complétement si ça pouvait lui éviter de souffrir davantage.

D'accord... Ecoute, je... Je vais tout te dire. Elle marqua une pause, avala sa salive et reprit : Cela fait... Au moins la cinquième fois que quelqu'un me défleure... Mon hymen s'est toujours reconstitué le lendemain. J'ignore pourquoi... Je suis comme ça depuis ma naissance...

Une autre larme tomba. Elle priait de toutes ses forces pour que ce pervers qui aimait tant profiter d'elle n'en profite pas davantage.
A quatre pattes, corps penché, les fesses toujours dressées vers le haut en signe de soumission, elle supplia d'un ton juste audible :

Tu voulais me tirer comme une chienne ? Alors viens... Je suis à toi... Donne-moi cet orgasme...

Elle referma les yeux et attendit. Après lui avoir mentit, il allait sans doute lui faire sa fête... mais c'est en partie pour ça qu'elle était venue ici après tout.