Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

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Warda Ralixar

E.S.P.er

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    Elle est habituée à se faire dépuceler. Son hymen se régénère à chaque fois qu'il est détruit. Ce qui fait que chacun de ses amants est persuadé qu'il était le premier.

Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Réponse 30 mardi 02 septembre 2014, 00:17:28

Warda espérait de tout cœur recevoir une punition sur son tendre fessier. Au lieu de cela, elle fut retournée, pendue par les mains, et fut une première fois - sans doute la première d'une longue série - le jouet sexuel du policier. Elle attendait avec impatience de voir lequel de ses accessoires il allait utiliser sur elle. Contre toute attente, il ne se servit que de son doigt, qu'il appuya à divers endroits du ventre de sa jeune victime, lui infligeant à chaque pression une décharge électrique, la faisant sursauter de douleur et de surprise.

Elle ne réagit qu'à peine lorsqu'elle fut relâchée et frappée à son endroit favori, encore sous l'effet de la folle chose qu'elle venait de subir. Non pas que c'était fortement douloureux, non pas même qu'elle trouva l'expérience désagréable... Mais l'électricité venait de jaillir de nulle part.

Rapidement, son bourreau l'interrompit dans ses pensées, pour lui donner cette fois non pas la possibilité, mais l'ordre d'aller crier dehors. Elle trembla à cette idée. Mais que faire ? Le supplier du contraire ? Pas très utile... Elle fit quelque pas vers l'entrée, un bras plaqué contre sa poitrine, cachant tant bien que mal ses deux tétons, l'autre guidant sa main en coquille contre son sexe. Elle s'arrêta juste devant la porte, soudainement trop paralysée pour sortir.

Elle regarda derrière elle. Il était entré dans sa chambre. Si elle criait d'ici, il penserait surement qu'elle était sortie. Elle tourna la tête vers l'extérieur. Personne en vue. **Bon... C'est le moment ou jamais. Allez, je crie un bon coup, personne ne reconnaitra ma voix, personne ne saura que c'était moi...** tenta-t-elle de se rassurer.

Elle ferma les yeux, prit une bonne inspiration, tenta de faire le vide dans sa tête, puis, sans penser à rien... Entendit son maitre l'appeler à accourir dans sa chambre. Instinctivement, elle courut le rejoindre, toujours munie de son collier noir, marqué du surnom par lequel elle venait d'être conviée : "Pupute".

Elle vit la transformation qui venait d'être effectuée dans sa chambre : une barre horizontale sur le montant des pieds, lui affichant diverses images perverses dans son esprit, la faisant déglutir à l'idée qu'elle venait tout juste probablement d'avoir une vision d'avenir proche.

Elle pâlit soudainement, réalisant qu'en lui obéissant au plus vite, elle venait également de lui désobéir. Elle n'avait pas crié. La sentence risquait fort d'être plus sévères que d'habitude, et elle le savait.

Voulant éviter les blessures au visage à tout prix, elle fit quelques pas en avant, afin de dépasser son bourreau, et lui faire garder la vue de son dos dans son champ de vision. Elle espérait qu'ainsi, il serait plus tenté de passer ses nerfs sur la partie qu'elle appréciait le plus, même si la dernière tentative pour le tenter avait lamentablement échouée.

Pensant qu'il fallait trouver une explication à ces quelques pas, elle fit mine de s'intéresser à ses paroles et aux changements de son mobilier :

Oh maitre... Merci... Merci pour toute l'attention que vous m'offrez. Je suis prête à suivre vos ordres, et vos changements à imposer dans ma vie...


Elle avait prononcé ces derniers mots d'une voix presque inaudible. Son esprit était cette fois en train de supplier **Pas le visage... Pas le visage... Pitié pas le visage...**
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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Réponse 31 jeudi 04 septembre 2014, 20:24:02

Elle accourut en entendant son maître l'appeler, la siffler. Il ne dit rien qui vaille une punition, car même si elle n'avait pas exécuté l'ordre précédent, elle avait privilégié l'ordre immédiat, donc même s'il n'approuvait pas la manière dont tout cela s'était passé, il ne pouvait pas reprocher sa promptitude à venir rapidement en ces lieux… aussi, cela se passait de réelle punition...

La réaction qu'elle eut suite à l'arrivée dans la chambre le fit beaucoup sourire, elle sembla rester quelque peu hésitante et même, un peu, d'une certaine manière, pas choquée, mais troublée, comme si de multiples images lui passaient au travers de l'esprit, et cette idée plaisait à  Gabriel, il se disait qu'il serait sans doute capable d'outrepasser l'imagination de la jeune femme, qui pouvait sembler relativement prolifique, d'un certain point de vue. IL lui sourit et passa sa main sur son dos, la laissant errer sur sa croupe alors qu'il lui envoyait quelques coups de jus qui étaient parfaits pour la faire légèrement couiner de douleur… pas de quoi vraiment crier…

« Je me suis dit que si je t'accroche les chevilles à cette barre pour dormir, ton bassin sera suffisamment incliné pour que tu gardes un jouet en toi pendant que l'hymen se reconstruit… et comme ça, il ne tombera pas, que ce soit avec ou sans culotte... »

IL lui sourit et lui mit une petite tape sur le fessier, pas méchamment, juste pour jouer, avant de regarder la barre et de regarder la jeune femme, et il lui prit un sein entre ses doigts pour le malmener légèrement, pas de quoi, toujouts, fouetter un asticot, davantage plutôt, une manière de se montrer possessif avec le corps de la jeune femme. Elle était à lui…

« Ou je peux aussi t'y accrocher la tête et les bras, nuque sous la barre et poignets dessus, pendant que je te tire à en jouir par tous les trous... »

Il lui fit un clin d'oeil avant de réfléchir quelques instants avant de finalement aresser doucement la jolie chevelure de la jeune femme… il lui caressa ainsi aussi la joue…

« Demain, après le lycée, attends moi dans la ruelle ou je t'ai baisé la bouche à t'en abîmer la gmlotte. Nous avons quelques petites choses à faire tous les deux…. D'ici là…. Tu as peut être de opetites idées amusantes, avec tous les joujous que tu as vu… sache juste une chose... »

Il retourna dans le salon et revint avec un œuf vibrant., rose, de la taille d'un gros œuf de poule. C'était l'un des plus petits du lot, le plus gros ayant la taille d'un ballon de football américain, mais il savait qu'elle ne serait pas en mesure de le mettre de suite, ça demanderait du travail… de son autre main, il avait un œuf de la taille d'un œuf de caille, tout petit en somme..

« Le gros ira dans ton vagin et tiendra avec ton hymen, le petit ira dans ton cul, on les mettra ce soir et comme ça, demain, quand tu m'attendras, je te ferai vibrer pour que tu me rouves, plus ils vivreront, plus je serai près… c'est une bonne idée, non ? Tu en auras toujours un dans un de tes orifices pour que je te fasse vibrer quand je veux que tu viennes, ce sera notre signal secret... »

IL lui embrassa le front.

« Alors, des idées pour tout de suite ? »

Il lui flatta la cuisse.

Warda Ralixar

E.S.P.er

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    Elle est habituée à se faire dépuceler. Son hymen se régénère à chaque fois qu'il est détruit. Ce qui fait que chacun de ses amants est persuadé qu'il était le premier.

Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Réponse 32 samedi 20 septembre 2014, 21:38:31

Tandis que son nouveau maitre lui expliquait ce qui l’attendait, elle fut sans cesse touchée, effleurée, caressée, embrassée ou tapotée une partie du corps par celui-ci, ses mains ne pouvant rester en place. Elle se laissa faire, agréablement surprise qu’il ne lui en veuille pas de ne pas avoir crié ce qu’elle devait crier.

Elle rougissait alors qu’il lui montrait les œufs qu’elle allait devoir garder en elle. Maintenant qu’il se montrait plus doux dans son toucher et qu’il lui montrait ce qu’il attendait d’elle, elle sentait plus d’excitation monter en elle que de peur. Elle y réfléchissait, se demandant si son plan était au moins réalisable. Caller un objet dans son vagin pour que son hymen s’y fixe… Elle ne l’avait jamais tenté, mais c’était à essayer.

Elle hésita de longs instants lorsqu’on lui offrit le choix de la suite. Ce qu’elle souhaitait faire ? Une partie d’elle voulait se faire fesser, une autre dormir et ne plus rien faire d’autre pendant deux jours, une autre tester certains jouets qu’elle avait vu, une autre encore s’enfuir nue dans les rues pour sortir de cette soumission… Mais elle tint bon.

Après avoir pesé chaque envie, elle se dit qu’étant donné la dureté probable de la journée du lendemain, une préparation serait sans doute préférable. Elle répondit donc d’une voix toujours légèrement hésitante et tremblante :

Je pense… Vu ce que vous risquez de faire demain, je pense qu’il serait préférable que je sois assez frustrée… Alors pourquoi… Pourquoi ne pas juste tester vos œufs ?

Elle se posa à quatre pattes devant lui, la tête et le haut du corps couchés contre le sol, faisant bien ressortir son fessier exhibé en évidence.

Rentrez-les complétement… Tous les deux… Et surtout n’hésitez pas à…

Elle se coupa en plein milieu, surprise elle-même par ce qu’elle s’apprêtait à dire. Il allait sans doute lui faire très mal, mais elle se trouvait trop de justifications : **Il veut que je demande quelque chose de toutes façons. Et il doit bien se défouler sur quelque chose, alors pourquoi pas comme ça ? Et puis t’en a envie !**

Elle prit donc une grande inspiration avant de lui demander d’une voix ferme :

Maitre, je crois que j’ai une idée pour la suite. En fait j’en ai envie depuis un moment… Depuis que vous l’avez fait. Alors je me fiche de passer pour ce que vous voulez mais…

Elle déglutit péniblement avant de parvenir à se lancer en se penchant un peu plus :

Frappez-moi les fesses. Claquez-les. Je le v… Je veux dire, Pupute le veux.

Son cœur s’accéléra, anticipant l’imminent. Elle serra les dents et ferma les yeux, se préparant au pire.
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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Réponse 33 mercredi 01 octobre 2014, 11:12:17

Elle était attentive et écoutait bien ce qu'il lui expliquait… en même temps, il l'aurait frappée si elle n'avait pas écoutée, ça aurait été une bonne chose de la rappeler à l'ordre. Ça aurait été particulièrement nécessaire… mais là, ça ne l'était pas. Elle était volontaire, et elle semblait assez ravie de son nouvel état d'esclave sexuelle… vous voulez une preuve ? E fait qu'elle ne semblait pas particulièrement malheureuse… il lui sourit et lui caressa la joue alors qu'elle hésitait sur la suite…

Finalement, elle commença à parler, apparemment, elle avait décidé… il écouta en silence ses premiers propos… oui, le lendemain serait chargé en émotions fortes… surtout les idées qu'il avait en tête, et aucune n'était catholique…. Il sourit et opina du chef et la regarda se mettre à quatre pattes pour continuer à parler, pour parler de ses envies, ou plutôt, pour lui proposer quelque chose… il lui sourit et  lui claqua une seule fois le croupion avant même qu'elle parle de la frapper…

Il la regarda et  et écouta jusqu'au bout. Et quand elle eut terminé il lui caressa les fesses avant de la redresser en la saisissant par les cheveux sans la moindre forme de douceur alors qu'il venait malmener un de ses boutons de chair avec fermeté mais sans chercher à causer une trop grande douleur… il pinça tout juste avant de susurrer à l'oreille quelques mots :

« Si c'est ce que Pupute désire, qu'elle aille, à qiuatre pattes me cjercher ma cravache, et qu'elle revienne avec celle-ci entre les dents que je lui fasse comprendre ce qu'elle a réellement demandé... »

Il la lâcha et attendit qu'elle s'exécute, quitte à lui botter les fesses d'un coup de pied pour qu'elle s'en charge… elle allait adorer ça… il allait lui briser la cravache sur le postérieur sans la moindre hésitation… quoique non, il allait se retenir pour garder la cravache intacte… ce serait bête de l'abimer dès le premier jour. IL attendit qu'elle revienne pour, avant même qu'elle lâche son instrument.

« Allez, mets toi en position sur le lit, comme tout à l'heure, cul bien cambré que je puisse frapper à loisir ! »

Il lui fit un clin d'oeil avant de tapoter le lit de la main et de lui saisir la cravache et de lui flatter les flancs avec, histoire de la motiver un peu… il lui sourit et  attendit qu'elle soit prête pour donner un premier coup, pas trop fort, sur la fesse droite…

« Tu vas les compter à haute voix, et mieux encore tu vas réclamer le suivant entre chaque, et je veuix bien t'entendre… pour les deux œufs, tu auras la surprise du moment…. »

Il lui sourit et commença à lui battre le popotin à coups de cravache, mais pas que le popotin, non, mais aussi les cuisses et même l'intimité… et il allait particulièrement fort sur celle-ci… il alternait un peu au petit bonheur la chance jusqu'à ce que soudain, trouvant ses lèvres intimes assez rougies, il enfonce, brusquement, sans la moindre douceur le plus gros des œufs vibrants en elle, poussant de ses doigts pour que ça aille le plus loin possible… il se foichait de lui faire mal, mais ce n'était pas que cela soit douloureux, il se foutait juste de le savoir…

Il continua son manège jusqu'à cesser, il avait un peu mal au poignet et au bras alors que ses fesses étaient si rougies qu'il se demandait si elle allait pouvoir s'asseoir le lendemain…

« Allez, tiens toi bien les fesses écartées, j'enfonce l’autre œuf… »

Il appliua celui-ci contre son anneau rectal et commença à pousser, à forcer pour qu'il entre… car oui, il forçait, elle était bien serrée...

Warda Ralixar

E.S.P.er

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Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Réponse 34 samedi 18 octobre 2014, 14:35:53

Elle avait obéi scrupuleusement à tous ses ordres. Sans avoir eu aucun besoin de se faire pousser, elle était partit à quatre pattes vers le tas d'affaire, avait glissé la cravache dans sa bouche et était revenue avec elle entre les dents, ses lèvres dressée en sourire, heureuse qu'on obéisse à ses fantasmes.

La suite a rapidement tourné en cauchemar. A la seconde où l'objet a effleuré sa peau, elle a commencé à regretter de s'être installée comme ça, néanmoins décidée à dire ce qu'elle avait à dire.
Sans crier garde, le premier coup vint sur sa fesse, lui arrachant un cri mêlé de surprise et de douleur, et laissant une petite marque rouge à l'endroit où elle avait frappé. Une petite pause d'action se marqua, Warda commença par penser qu'elle était destinée à la laisser se préparer à la prochaine frappe, puis se souvint des règles et se dépêcha de s'exécuter :

Un ! Allez-y maitre, l'autre est jalouse.

Aussitôt, un autre coup vint, sur l'autre fesse. Warda parvint à garder son cri pour elle et ne laisser sortir qu'un gémissement.

Deux ! Continuez maitre, s'il vous plait !

Les coups s'enchainèrent, alternant une fesse, puis l'autre, et parfois une cuisse. Docilement, elle comptait haut et fort les coups, accompagnant chacun d'un gémissement et d'un encouragement. Pour une rare fois dans sa vie, elle se laissait complétement aller, ne montrant plus qu'elle-même, sans cacher son plaisir ou ses envies. La douleur était là, mais elle éprouvait aussi un grand plaisir à la fois physique et nerveux : la simple pensée qu'un homme était en train d'adorer utiliser son corps suffisait pour faire monter la chaleur en elle.

MMmmmh... Douze. Continuez maitre ! MMmmmh... Treize. C'est bon... MMmmmh... Quatorze. Pupute est heureuse. AIIIIE !

Brutalement, la cravache venait de fouetter son intimité, lui infligeant une brulure bien au-delà de ce qu'elle espérait. Voyant qu'elle criait beaucoup plus fort, il ne se mit à frapper rien d'autre.

AIE ! Seize. J'avais dit mes fesses ! AIE ! Dix-sept. Arrétez, ça brûle ! AIE ! Dix-huit. J'ai mal ! AIE ! Dix-neuf. Arrêtez... AIEUH ! Vingt. Pitié, stop...

Sa première larme coula lorsqu'elle prononça ce dernier mot. Mais ce cauchemar prit fin, pour laisser place à un autre : le premier œuf s'enfonça brutalement dans son intimité, attisant les brulures de ses parois, mais sans réelle difficulté. Puis elle sentit quelque chose se presser entre ses fesses. Elle tenta du mieux qu'elle pouvait de se détendre, mais après ce qu'elle venait de subir, tous ses muscles étaient contractés au maximum, ce qui empêcha l'insertion dans son orifice encore presque vierge.

La pression monta, mais elle avait l'impression qu'on forçait à même sa peau. Elle serra les dents, décidée à ne pas laisser paraitre sa souffrance cette fois-ci. Mais elle poussa malgré elle un gémissement, qui se transforma en cri, puis en hurlement au fur et à mesure que la pression et la douleur s'intensifiait. Alors qu'elle n'y croyait plus, son corps céda et l'œuf rentra d'un coup profondément en elle, en même temps que ses jambes lâchèrent et qu'elle s'affala à plat ventre sur le lit, immobile. Ses fesses et le haut de ses cuisses étaient devenus rouge vif.

Elle restait immobile, brisée. Elle sentait bien les deux masses en elle, mais était plus préoccupé par la brulure qui la lançait sur son intimité. Elle ne se sentait plus la force de bouger le moindre muscle, et n'avait plus qu'une envie : sombrer dans le sommeil. Alors qu'elle commençait lentement à s'y glisser, elle se força à prononcer, sans savoir très bien à qui elle s'adressait :

Pourquoi... J'avais le choix... J'ai choisis mon cul... Pourquoi... Pourquoi faire souffrir ma chatte... Pourquoi...
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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Réponse 35 jeudi 11 décembre 2014, 19:57:37

Elle avait crié d'arrêter car il lui faisait mal, car il ne lui frappait plus les fesses, mais aussi l'intimité, et quand à vingt, elle s'était effondrée, il déposa la cravache à côté d'elle, comme si elle pouvait admirer l'arme de son mal et de son malheur… il lui sourit, un rien doucereux… alors qu'il lui flattait le postérieur qu'il venait de forcer… elle avait fini par céder, mais il aurait pu l'abîmer de bien pire manière sans doute, après tout, ce n'était que de la taille d'un œuf de caille, il ne lui avait pas mis le poing dans le derrière, quoique cela pouvait encore arriver par la suite si elle se plaignait trop fort… il eut un reniflement méprisant alors qu'elle se plaignait une dernière fois, tombant de sommeil…

IL lui sourit, lui caressa les lèvres intimes  avant de la saisir par les mollete et lui attacher les chevilles en l'air comme prévu. Il lui sourit et se décida à sortit de la pièce, la laissant ainsi pour dormir, ui même allait s'en aller, il avait un peu de travail, il reviendrait le lendemain matin pour la détacher et examiner ses cuisses, voir si l'hymen s'était reconstitué durant la nuit ou pas… il sourit à cette idée et s'apprêta à sortir, ne se retenant que pour lui dire, sur un ton à la fois sec mais non dénué d'amusement :

« Parce que quoique tu veuilles, c'est moi qui décide, c'est une leçon à te rappeler… tu as eu, certes, ce que tu voulais, pupute, moi j'ai fait ce que je voulais… là est toute la beauté de la chose… allez, dors bien, tu as une rude journée demain... »

Il quitta les lieux sans la moindre attention supplémentaire pour elle…

*
*   *

Il ne revint que lendemain matin. Il ouvrit la porte sans sonner, ferma derrière lui et se dirigea vers la chambre où la jeune fille dormait encore profondément. Il ne put s'empêcher de rester un moment à la regarder dormir, si innocente… il commença par lui détacher les chevilles avant de lui ajuster collier et laisse :  instruments qu'elle devrait porter en rentrant ici tous les jours, puis il se défit de son pantalon et vint commencer à frotter sur son visage sa verge au repos…

« Allez, pupute, debout, tu as un petit déjeuner à venir prendre... »

IL lui mit de petites tapes sur la joue pour la réveiller.

« Allez, on émerge, je n'ai pas toute la journée !  Et la tienne est toute aussi chargée ! »


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