Sécurité zélée [PV Gabriel Valmy]

Pendant qu'il lui mettait torgnole sur torgnole fessée sur fessée Warda restait aplatie au sol en train de pleurer.. les femmes n'étaient  bonnes qu'à ça il fallait croire… tssssk… il en était quelque peu écœuré… il soupira et regarda la jeune femme au sol, à ses pieds… espèce de larve… pauvre petite merde insignifiante…. Incapable de résister à quoique ce soit et toujours en train de larmoyer en réclamant d'être traitée comme une chienne – mais avec d'autres mots, cela va sans dire.

ET fialement et avoua la raison… Gabriel vit rouge… cinq fois ? Elle l'avait mené en bateau la catin ! Il cracha par terre, de dépit… il était fait avoir !  Comme un bleu !  Putain de bordel de merde à la con… à, il était furax… non seulement elle l'avait bien baladé une première fois, mais en prime, elle avait espéré le balader une deuxième fois…. De rage il lui envoya un coup de pied au cul… elle réclamait encore après cela…

« Ta gueule salope ! »

Il lui mit une violente fessée avant de  la regarder, au sol… il était vert de rage, aussi, il n'avait plus aucune envie de prendre son pied, la fille, le large… il la regarda prostrée…. Et eut une idée, une idée qu'il trouva d'un seul coup intéressante… si intéressante qu'il se calma…

« Bon, bref, tant pis, je me suis fait avoir, mais dis moi, ma petite salope, tu sais ce que ça veut dire ? Ça veut dire que tu ne fais pas absolument tout ce que je te dis, je te promets deux choses !  La première, je dévoile ton secret à tout le monde…. »

Il fouilla rapidement ses affaires pour trouver ce qu'il cherchait :  un joli téléphone portable… elle devait avoir des numéros intéressants à qui le dévoiler, il était sur que beaucoup de monde serait intéressé… il le montra à la jeune femme et le planqua dans dans propre poche, comme pour lui montrer qu'il avait de quoi appliquer sa menace…

« Et pire, ej te promets de te vendre à un bordel d'où tu ne sortiras pas avant de onfondre ta bouffe et ton flotte avec le foutre que les clients te jetteront à la tronche à longueur de journée ! »

Il accompagna cette menace d'un coup de pied au derrière avant d'aller essyer sa semelle de chaussure sur la tête de la brune…

« C'est compris ? »

Il ne la baiserait pas tout de suite. D'abord il allait jouer, ses conneries lui avait coupé l'envie de la saillir comme une chienne, il allait plutôt agir comme les chats :  jouer avec la bouffe avant de la manger...

Elle resta au sol, pleurant et gémissant. Les coups qu'elle avait reçu sur les fesses et sur le visage la torturait, mais pas autant que l'idée que ce ne pouvait être que le début de ce qui l'attendait à présent.

Elle avait déjà imaginé à de nombreuses reprises ce que ferait un homme qui découvrirait son secret. Elle s'était toujours imaginée qu'il abuserait d'elle, la prendrait dans tous les sens, exigerait d'elle qu'elle revienne et fasse des choses abominables... Mais pas qu'il la frappe comme elle était en train de se faire frapper. Pourquoi s'acharnait-il d'ailleurs ? Elle était là, au sol, cul nu, offerte et soumise, ne résistant pas... C'était vraiment par pur plaisir de lui faire mal !

Mais à quoi bon résister de toutes façons... Son seul espoir était qu'il profite d'elle une bonne fois pour qu'elle puisse partir et l'oublier, mais cet espoir s'était décomposé à l'instant où il avait rangé son portable.

Tout ce qu'elle souhaitait en l'instant était qu'il arrête ses coups. Mais comment faire ? Le supplier n'était pas vraiment très utile. Il demandait à ce qu'elle lui obéisse... C'était déjà le cas, mais à présent elle devrait le faire jusqu'à ce qu'elle trouve une solution.

Toujours en larmes, sans ouvrir les yeux, elle sanglota :

C'est... C'est compris... J'obéirai... Je ferai ce que vous voudrez...

Tels étaient les mots qu'elle n'espérait ne jamais dire.

Bon, il avait peut être donné assez de coups comme ça pour le moment, non ? Il n'avait peut-être pas besoin d'en rajouter en la matière, et ce, même si ça le défoulait particulièrement bien, il ne pouvait pas espérer d'elle qu'elle les endure indéfiniment… il soupira et regarda la croupe offerte de la jeune femme qui s'abandonnait à lui, bon gré mal gré… il regarda alentour et soupira avant de finalement se relever et saisir les sous vêtements de la jolie brune.

« Bon, voilà comment ça va se passer, d'abord. On va aller faire quelques courses tous les deux, et ensuite…. Ensuite nous verrons…. »

Il lui caressa les fesses avant d'y mettre une douce fessée, enfin, elle semblait bien douce après le passage à tabac qu'il lui avait fait subir… puis il entra un doigt dans son intimité et caressa ses parois internes, de son autre main, il saisissait les sous-vêtements qui gisaient au sol et sans se gêner, il les lui fourra dans l'intimité, pour les garder bien au chaut et bien à l'humidité… il lui sourit en les bourrant bien au fond avant de lui lançer.

« Allez, rhabille toi, ma belle, tu vas pas te balader à poil…. Inutile de te faire un dessin :  pas de sous-vêtements, bien sur ! »

Il sourit et attendit, il attendit qu'elle ait fini pour lui saisir le faut et sortir un couteau. Il fit deux trous dans son haut pour venir y faire passer de force les pointes de chair. Ainsi, elle avait une jolie tenue avec deux tétines roses qui dépassaient… mignon, non ? Non. C'état juste une manière de l'humilier davantage, tout simplement…

« En route, et marche juste derrière moi, de deux pas, pas plus, pas moins... »

IL ne l'attendit pas pour commencer à marcher. Fort heureusement, il y avait un petit sex-shop à proximité et donc il put y aller assez vite, elle n'avait qu'à suivre, il marcha en silence, ne lui adressant pas la parole… à quoi bon, elle obéirait, non ? Arrivé devant les lieux, il sourit et lui dit, comme nouvel ordre.

« Assieds-toi sur tes talons, cuisses écartées et attends moi là. »

IL entra dans le magasin et n'en sortit qu'une bonne demi-heure plus tard, l'air satisfait, extatique, même, sur les lèvres… ila vait acheté tout une panoplie de gadget qui allaient rendre les choses bien plus amusantes, le tout, dans un joli sac plastique… il lui sourit et lui tendit la main pour qu'elle la prenne et qu'elle se relève.

« Alors, ça va ? Dis moi, tu vis seule ou chez tes parents ? Parce qu'il nous faudrait un coin tranquille pour continuer un peu notre programme... »

En disant cela, il avait une lueur lurique et malveillante dans le regard, comme si il préparait un coup particulièrement fumant...

Elle était mortifiée. Ses pires craintes étaient en train d'arriver. Elle n'était qu'un jouet entre les mains de ce pervers, prête à obéir au moindre de ses ordres contre son chantage.

Elle était là, à genoux, par terre, les mains croisées contre sa poitrine pour la cacher, et la tête baissée pour ne pas croiser le moindre regard. Mais cela ne l'avait pas empêcher d'entendre les réflexions et sifflements des passants sur sa position de soumise. Ayant quitté la ruelle déserte d'où ils venaient, ils étaient à présent dans une allée commerçante ou bien du monde circulait.

Tandis qu'elle était assise, elle ne souhaitait qu'une seule chose : que ce calvaire cesse. Mais lorsqu'il revint, et qu'elle dût se relever, elle regretta amèrement ce souhait. Elle resserra ses jambes et contracta son sexe lorsqu'elle se redressa, tentant au mieux de garder ses sous-vêtements en elle, encore horrifiée à l'idée qu'ils étaient entièrement dans son intimité.

Voilà qu'elle devait choisir une destination... Lui avouer qu'elle vivait seule ? Hors de question... Il pourrait alors revenir à n'importe qu'elle heure chez elle... Mieux vallait lui mentir.

Je suis... Interne au lycée... Je dors là-bas...

Elle garda le tête toujours baissée, incapable de supporter le moindre regard, et certainement pas de ce flic corrompu qui prenait un plaisir à l'humilier.

Gabriel semblait être comme un grand gamin, un gamin qui aurait fait l'acquisition d'un autre jouet, tout neuf et dont il découvrait toutes les fonctions cachées, en effet, il avait acheté bien des choses dans ce magasin et y avait dépensé une véritable petite fortune, mais ça valait le coup, non ? Oui, et si elle disait quoique ce soit, son petit jeu serait aors dévoilé… il était sur que des personnes seraient intéressées pour avoir le droit de la dépuceler à la chaîne. Et vu le genre de clients, elle n'apprécierait pas du tout… mais il était inutile de le redire, en effet, elle l'avait entendu et vu la manière dont elle avait agi par la suite, il ne doutait pas un seul instant qu'elle se plierait à ses ordres…

Cette idée le fit sourire alors qu'elle lui  répondait. Elle était interne au lycée ? Voilà qui ne lui plaisait pas des masses. Qui ne lui déplaisait pas particulièrement non plus… en effet, étant plus ou moins sorti avec une prof (non, il n'y avait rien de sentimental, juste de sacrées parties de baise, il le reconnaissait aisément), il y avait ses entrées désormais, donc cela ne poserait a priori aucun problème. Il lui sourit et lui mit une petite tape sur les fesses, une fessée qui pouvait paraître douce après qu'elle ait été passée à tabac plus tôt.

« Soit, allons y ! »

IL lui sourit, goguenarda avant de prendre dans le sac un joli collier noir, large de deux doigts peut être qu'il lui passa autour du cou. IL y avait un joli anneau qui servait à accrocher une laisse, il en avait acheté une aussi, mais cela attendrait qu'il n'y ait plus personne à proximité, histoire qu'elle s'y habitue…

« Et j'ai plein d'autres choses… des choses juste pour toi... »

IL sourit et  glissa sa main sous sa jupe pour vider l'intimité de la jeune femme de son contenu, le laissant sur le sol sans même chercher à le ramasser, ça n'avait qu'à rester là. Il lui montra deux petites choses qui étaient juste avant dans le sac :  il s'agissait de deux petites boules de geisha de couleur métallisée.

« Voilà, je vais mettre ça à la place, tu vas adorer ! »

Il sourit et sans douceur ni préavis, il les enfonça l'une après l'autre sans la moindre gêne… elles étaient froides, mais le mieux venaient du fait qu'elles s'entrechoquaient quand elle marchait, causant des ibrations redoutablement efficaces pour le plaisir… et le défi, sans sous-vêtements, c'était de réussir, malgré les muscles qui ne cessaient de se relacher à cause du plaisir, à les garder en elle…

« Et on est loin d'avoir fini, ma belle... »

IL lui saisit une des pointes de chair qui sortaient du Tee-shirt pour le tordre doucement.

« C'est le moment des remerciements, non ? »

Une petite larme sortit de l'un des yeux fermés de Warda, de douleur et de honte sur ce qu'elle était en train de subir. Elle gardait les jambes serrées, pour aider les boules de geisha à rester à leur place. Leur insertion avait été brutale, mais pas aussi brutale que ce qui lui risquait d'arriver si elle les laissait tomber.

Warda commençait à penser pouvoir prévoir les jeux de son bourreau : le but devait être de les garder à l'intérieur le plus longtemps possible, peu importe ce qui lui arriverait. Et elle serait probablement punie si elle les faisait sortir ou si elle jouissait sans son autorisation.

Attirés par le spectacle de cette lycéenne aux pointes de seins bien exposées et se faisant rentrer des objets entre les jambes, deux passants s'étaient arrêtés à cinq mètres et profitaient bras croisés pleinement du spectacle qui leur était offert. Warda était mortifié par-dessus tout à l'idée de croiser quelqu'un qu'elle connaissait, mais ce n'était pour le moment qu'une crainte.

Des remerciements maintenant. Elle avait envie de tout sauf d'y mettre du coeur. Sur l'instant, elle était prête à faire tout ce qui était en son pouvoir pour que son amant prenne le moins de plaisir possible. Le plus simple pour elle dans le cas présent étant encore de ne pas résister, et de ne rien improviser. Juste se contenter d'agir comme un automate. Ça lui plairait surement un moment, mais il allait bien finir par se lasser de quelque chose dont on pouvait prévoir les moindres mouvements... Du moins c'est ce qu'elle espérait.

Je vous remercie maitre se força-t-elle à articuler sur le ton le plus monotone possible. Je vous remercie pour ce que vous m'offrez. Merci.

Elle s'en arrêta là. Pourquoi insister après tout, il avait seulement demandé des remerciements, c'était chose faite.

Elle se tenait à présent immobile, en attente du prochain ordre à exécuter. Difficile d'ignorer les boules dans le bas de son ventre, elle allait surement devoir se déplacer les jambes serrées.

Gabriel eut un regard torve vis à vis de la larme qui apparaissait au coin de l’œil de la jeune femme. Comme c'était mignon… il sourit et lui tapota la tête avec plaisir avant de finalement lmui mettre une petite fessée, comme simple signe de félicitation. Il lui sourit et, alors qu'elle finissait de parler, il opina du chef.

« Bien, bien, mais la prochaine fois, mets y plus de coeur, je n'aime pas les chialeuses. Ça me donne envie de leur mettre des baffes encore plus qu'aux autres... »

Il sourit à cette idée avant de la pousser en avant sans ménagement pour l'inviter à avancer de manière ferme… avant de la prendre par le bras et la forcer à courir avec lui sur quelques dizaines de mètres, histoire de la forcer à les garder en elle malgré l'absence de culotte et le fait qu'en courant, on ne pouivait garder les cuisses fermées… C'était là tout le plaisir de ce jeu… enfin… plaisir… pour lui !

Il se stoppa au bout d'une petite cinquantaine de mètres pour se retourner vers elle et prendre la parole, sur un toncalme et presque doux mais où perlait une certaine forme d'excitation qui devait avoir un léger côté malsain.

« Bien sur quand on passera devant le surveillant au Lycée pour rejoindre l'internat, pas un mot, pas un cri, rien, sinon… oh et puis merde, j'aime pas rabacher. Tu sais ce que tu risques ! »

Il lui tapota la tête et se délesta de son manteau pour le lui poser sur les épaules. C'était juste histoire de donner le change, après tout, le lycée Mishima n'était pas loin… et une fois sur place… une fois sur place, il saurait où la trouver par la suite, à chaque fois qu'il voudrait. Bien sur, il ferait faire un double des clés, histoire de rendre les choses amusantes !

Il lui fit un clin d'oeil avant de la pousser devant lui jusqu'au lycée où il s'arrêta devant le surveillant, un air contrit sur le visage avant de finalement lui adresser la parole…

« Excusez-moi, cette jeune fille a été retrouvée dans une ruelle, et comme elle porte l'uniforme, j'ai supposé qu'elle devait être de l'internat, alors je l'ai amenée ici.n Elle n'a rien dit du tout deopuis que je l'ai trouvée et du coup, je me suis dit que vous pourriez me dire dans quelle chambre la laissée, ainsi que me donner une de ces petites fiches élèves pour contacter ses parents, ou de la famille pour qu'on vienne la chercher…. »

« Et bien… euh…. Cette fille ne vient pas de l'internat, j'en suis sur, j'en suis le surveillant, mais si vous voulez, je peux aller voir où elle vit pour que vous puissiez la ramener chez elle ! »[/b]

Gabriel opina du chef avec un léger sourire masqué et finalement il se tourna vers la jeune femme pendant que le surveillant allait chercher dans ses fiches.

« Pas à l'internat, hein… tu mériterais une belle paire de claques... »

Le regard de Warda n’était plus que vide et désespoir. Tout espoir venait de la quitter. Il allait bientôt savoir où elle habite, et pourrait revenir n'importe quel jour à n'importe quelle heure.

Elle sentit les boules de geisha qu'elle avait jusque-là tenu à faire rester en elle glisser doucement le long de ses parois intimes. Elle n'eut alors ni l'envie ni la force de les retenir davantage. A quoi bon ? Elle aurait de toutes façons finie par les faire tomber. Elle les entend tomber sur le sol, leur sortie en est un vrai soulagement. Tandis qu’elle les ramassait, elle devina qu'elle allait sans doute se faire punir à présent... Et alors ? Il n'avait pas vraiment besoin d'un prétexte pour ça.

A présent, elle attendit. Le surveillant allait revenir et tendre à son bourreau la dernière chose qu'elle tentait de cacher : son adresse. Elle mourrait d'envie de lui courir après, de le supplier de donner une fausse adresse, de s'offrir à lui pour le convaincre... Mais elle ne pouvait faire le moindre mouvement.

Elle vit le surveillant revenir, une petite fiche à la main, qu'il tendit au policier en lui disant :

Voilà sa fiche. Dessus vous avez tout : son adresse, son âge, sa situation familiale... Vous devriez pouvoir la ramener chez elle. J'en profite pour vous remercier de faire ce que vous faites : il y a beaucoup de gens sans scrupules qui aurait profité de l'occasion.

A ces mots, il ajouta un petit clin d'œil furtif à Warda, ce qui glaça son sang. Il venait de lui donner bien plus que demandé, et ce regard sur elle... Aurait-il compris ce qui était en train de se tramer ? Venait-il volontairement d'aider ce type à abuser d'elle ?

Impossible à savoir, elle et son futur amant venait de faire demi-tour et s'enfonçaient de nouveau dans la ville, en direction de chez elle. Tout en marchant, elle tenta de refaire le point sur la situation dans sa tête : elle allait maintenant servir de jouet sexuel, c'était inévitable. Et devrait recommencer chaque fois que l'envie prendrait ce salaud. Elle ne vit alors plus qu'un seul moyen de réduire sa peine : y prendre plaisir. Après tout, servir de jouet à un inconnu avait été assez souvent son fantasme. Elle aurait préféré y être amené par un faux secret, non pas par sa virginité éternelle, mais c'était trop tard pour choisir.

Elle continua sa marche en silence, en tentant de se focaliser sur du positif, sur le plaisir qu'elle pourrait tirer de cette séance et non la douleur et l'humiliation.

Gabriel entendit le bruit distinctif des deux petites boules de métal qui tombaient au sol et jeta un regard noir à Warda qui sembla comprendre ce que cela indiquait car elle les ramassa aussi sec, tant est si bien qu'au final, quand le surveillant revint, il n’eut rien à dire là dessus car il n'avait rien vu, au mieux eut-il un clin d'oeil, ce çà quoi le jeune homme répondit par un hochement de tête grave faisant office de remerciement en prenant la fiche et en tournant les talons aussi sec, entraînant la jeune femme avec lui.

Il regarda alentour et entraîna la jeune femme sur les traces de son appartement, d'un pas vif, presque trottant, obligeant la jeune femme à allonger les foulées. Il comptait bien arriver rapidement au lieu de vie de cette petite menteuse… elle venait de tenter pour la deuxième fois de se foutre de sa gueule et sans le pion, ce serai passé comme une lettre à la poste !

« Tu ne perds rien pour attendre, salope ingrate ! »

IL ne put s'empêcfher de se retourner pour lui mettre une bonne gifle, non sans s'essuyer la main sur elle juste après… elle allait prendre cher, si on utilisait le langage des jeunes, mais dans un langage plus classique, on aurait juste dit qu'elle allait prendre la trempe de sa vie !

« Et dire que je voulais t'offrir un peu de plaisir !  Espèce de garcde… vouloir me baiser deux fois de suite… et plus encore ! Ne pas m'obéir.. je te promets que je vais tellement te détruire tous les trous que tu ne pourras plus marcher, plus t'asseoir, et plus parler pendant des semaines, et estimes toi heureuse que je ne fasse pas pire ! »

Il continua à marcher ainsi, sans lui adresser la parole. Une fois arrivé à l'adresse indiqué, il lui indiqua la porte d'un signe de tête.

« Allez, va ouvrir et va te laver, ensuite attends moi dans ton salon comme devant le sexshop :  à genoux, cuisses écartées et mains sur la tête... »

Il entra à sa suite et subtilisa les clés une fois qu'elle eut ouvert, avant de disposer sur le sol, moults accessoires juste devant l'endroit où il supposait qu'elle allait s'installer une fois qu'elle aurait fait ce qu'il devrait. Il y avait là une jolie collection d'eoufs vibrants télécommandés, de plugs anal, de godes, tout était de tailles différentes, des petits objets discrets, aux objets exubérants et qu'il faudrait forcer pour faire rentrer… puis, il alla se déshabiller avant de s'en aller, non sans lui laisser un petit mot :

« avant de s'installer, pense à mettre le joli collier avec ton nouveau nom :  Pupute »

Il allait faire un double des clés au clés minutes du coin...

Sous sa douche chaude, Warda savourait chaque seconde de ce moment de détente. Elle sentait que bientôt, elle serait dans une situation parfaitement inverse.

Elle entendit la porte se claquer. Il devait être sortit. Probablement pour faire un double des clés et revenir quand il voudrait. Elle se mit à trembler. Elle était littéralement devenue l’esclave sexuelle de ce pervers. En la faisant chanter avec son secret, elle était prête à absolument n’importe quoi, et n’importe quand.

Elle se caressa la joue, qui était devenue rouge de par sa dernière gifle. Elle avait horreur de se faire frapper au visage. En revanche, ses frappes aux fesses, bien que douloureuses, n’avaient pas été sans lui avoir procuré un certain plaisir. Sur le chemin, elle avait tenté d’y repenser. Sa conclusion lui semblait de plus en plus évidente : se faire abuser et traitée comme une esclave avait depuis longtemps été son fantasme, elle allait maintenant pouvoir le réaliser.
Dans la rue, ou devant son école, elle était trop timide pour révéler sa vraie nature aux yeux de tous. En revanche, chez elle, dans sa demeure qu’elle avait faite insonorisée, elle pourrait plus aisément se lâcher.
Ce qu’elle détestait vraiment étaient les gifles. Pour s’en passer, le mieux était probablement de jouer le jeu de son partenaire à fond, ou alors de tenter au mieux de prendre des fessées à la place.

Elle coupa l’eau de sa douche, sortit de sa cabine et commença à se sécher, encore nerveuse de ce qui l’attendait. Elle essayait de se remettre dans l’état dans lequel elle avait commencé sa soirée : allant voir volontairement un pervers pour qu’il abuse d’elle et qu’elle y prenne du plaisir. La seule chose qui avait changé, c’est que l’homme avait vraiment du pouvoir sur elle… Mais est-ce que la situation avait vraiment changé pour elle ? Elle allait se faire violenter et violer, mais c’était bien ce qu’elle était venu chercher au final. Elle pouvait quand même passer une bonne soirée.

Elle remit ses vêtements et sortit de la salle de bain, pour y apercevoir le tas d’instruments, ainsi qu’un petit mot sur la table. Elle prit ce dernier, le lisant promptement, et ne put s’empêcher de sourire. A présent qu’elle eut droit de souffler un peu sous la douche, elle se sentait plus libre, plus détendue, elle commençait à aimer ce jeu.

Avant de s’agenouiller, elle ne se retint pas de jeter un œil à la pile de jouets dont elle ferait bientôt l’expérience. Certains la faisait sourire, d’autre l’intriguaient, ne comprenant pas leur fonctionnement. Certains le faisaient frémir, généralement via leur taille.

Elle hésita à aller chercher le tube de vaseline qu’elle cachait précieusement dans sa salle de bain… Mauvaise idée. Elle se ferait surement giflée pour ça. Autant ne plus le contrarier.

Elle s’assura qu’il avait bien pris les clés avant de sortir, puis ferma la porte à clé avec un double qu’elle gardait dans sa chambre. Ainsi, seul lui pouvait rentrer. Pas question de se faire surprendre par quelqu’un. Elle enfila alors son collier, qui s’ajustait merveilleusement bien à son cou.

Elle s’agenouilla enfin, et se mit en position, dos à la porte d’entrée et face au tas d’accessoires. Son regard continuait à aller successivement sur chacun d’eux, tentant d’y imaginer toutes les possibilités d’utilisations et les effets qu’il procurerait sur son corps. Elle se demandait quel allait être le commencement. Sans doute enlever ses vêtements… Mais comment ?

Elle grimaça à l’idée que sa tenue de lycéenne puisse être abimée. Mais il était certain qu’il ne la déshabillerait pas délicatement… Pourtant c’était sa seule tenue. Autant l’enlever tout de suite.
Elle se releva, retira son haut et sa jupe, laissant place à son corps nu, n’ayant remis aucun sous-vêtement depuis. Elle alla ranger soigneusement son uniforme dans sa chambre, puis entendit quelqu’un tenter d’ouvrir la porte.
Elle se précipita de nouveau sur le centre de son salon, et remis promptement ses mains sur la tête, sans oublier d’écarter les cuisses. Elle entendit le bruit de la clé tournant dans sa serrure, puis celle de la porte s’ouvrant lentement. Etant de dos à celle-ci, ce pouvait être théoriquement n’importe qui, mais seule elle et lui possédait cette clé après tout.

Pensant qu’il pouvait avoir mal pris le fait de retrouver cette porte fermée, mais ne voulant pas de nouvelle gifles, elle se pencha légèrement pour mettre en évidence ses fesses, laissant implicitement penser qu’elle préférait cette punition.

Gabriel profita pour faire quelques courses pendant qu'il faisait dupliquer la clé, certes, il avait du matériel sexuel, mais il avait besoind 'autres petites courses à faire, et donc, il prenait son temps pour faire quelques courses. D'autant qu'il se rendit compte, pendant qu'il faisait ses quelques courses, qu'il lui manquait un ou deux accessoires, aussi, il dut faire, au total, peut être cinq ou six boutiques pour trouver tout ce qu'il cherchait, et quand il revint à l'appartement de la jeune femme, il avait plusieurs sacs dans les bras.

Il les posa sur le sol pour sortir la clé et ouvrir la porte, machinalement, mais alors qu'il faisait deux tours pour ouvrir la porte, il se rendit compte d'une chose. Il n'avait pas verrouillé en partant… c'était étrange… s'était-elle fait la malle avant d'avoir eu l'occasion d'aller plus loin dans les jeux ? Aparemment pas, puisque quand il arriva elle était là, nue, dos à lui, fesses en avant comme une incitation. Il regarda la jeune femme et s'approcha en posant les sacs sur la table, sans fermer la porte. A la bonne hauteur, il était possible de la voir, nue ainsi, installée…

« Et me voilà ! »

IL passa devant elle avec l'un de ses achats. IL était passé dans un magasin de sport et avait trouvé là dedans une jolie cravache, bien souple, longue, et doucement, il caressa la joue de la jeune femme avec, suivant la courbe de sa joue, descendant dans son cou pour encore descendre et taquiner son mamelon gauche avec son extrémité avant de descendre et de frapper son intimité, une fois, pas trop fort cela-dit.

Il regarda la jeune femme et, utilisant toujours son instrument, il écarta ses cheveux pour apercevoir le collier où était marqué dans une petite plaque métallique fixée dessus :  « Pupute ». Il lui tapota la tête de la main doucement avant de lui tourner autour lentement, vérifiant si elle était bien propre… puis, sans prévenir, il lui mit un fort coup de cravache sur les fesses…

« Je n'aime pas les inititiatives… si j'ai laissé la porte non verrouillée, c'est comme ça ! Tu mériterais quand même que je te fasse dormir sur le pallier fesses en l'air… je ne suis pas sur que tu aimerais ça… alors rappelle toi, ne fais rien si je ne t'en donne pas l'ordre...»

Il lui sourit et lui caressa ensuite ses longs cheveux de jais, tout propres… et repira dedans, profitant de l'odeur de son shampooing. Il revint face à elle et enfin, il reprit la parole, prêt à donner de nouveaux ordres.

« Tu sais, je crois que tu aimeras beaucoup tout le temps qu'on va passer ensemble, mais avant, j'ai besoin de quelques réponses. D'abord, est-ce que ton hymen revient pendant la nuit ou vingt-quatre heures après le dernier rapport sexuel ? Et ensuite, j'ai une autre question, qui d'autre est susceptible de venir ici ? »

Il lui sourit et lui passa aux poignets des espèces de menottes en cuir, séparées l'une de l'autre et lui passa la même chose aux chevilles… à chacun de ces morceaux de cuir, il y avait un joli mousqueton… cela permettrait de l'attacher comme il le souhaiterait… Il lui fit un léger clin d'oeil et glissa ses mains entre ses fesses, caressant sa rosette anale doucement avant de poser une dernière question.

« Et dis moi, à quel point es-tu souple ? Et tourne toi vers moi quand je te parle... »

Il se détourna en attendant ses réponses pour aller vider les sacs sur la table. L'un d'eux contenait une grande longueur de chaîne, des maillons fins mais solide et une paire de barres métalliques qu'il était possible de fixer au mur. Un autre contenait une sorte de panier en mousse, pour grand chien… Il sorti du dernier sac quelque chose d'autre qu'il ne lui laissa pas le temps de voir avant qu'il ne se tourne vers elle.

« Ah et il y aurait une armoire que je puisse fermer à clef avec mes jouets dedans, que tu ne joues pas sans moi ! »

Elle n'avait pu s'empêcher de crier lorsque la cravache frappa ses fesses. Un cri mêlé de souffrance, de surprise et de plaisir. Elle soupira de soulagement à l'idée que ce coup aurait pu atterrir sur sa joue. Pas d'initiatives... Bien, elle n'en ferait plus.

Il la bombardait de questions à présent... Autant ne plus essayer de lui mentir. D'une, ça faisait mal, et de toutes façons, elle était attachée chez elle, prête à obéir au moindre de ses ordres, difficile de tomber plus bas.

Mon hymen... Commença-t-elle, Il se régénère... A chaque fois que je dors. Pendant mon sommeil. Mais personne ne devrait pouvoir venir ici, puisque la porte est fermée... Non ?

Elle tourna la tête vers l'entrée, constatant avec effroi que la porte était restée grande ouverte. Pire encore : sa position étant dans l'axe de l'entrée, n'importe qui passant devant pouvait la voir nue de dos.

Mais... Vous êtes fou ? Elle tenta péniblement de se calmer. C'était sans doute dans le seul but de la faire paniquer. Il fallait qu'elle se calme si elle voulait y échapper. Ecoutez... Je sais que je me suis mal conduite mais... Elle se courba à nouveau pour faire ressortir ses fesses, conscientes que ses paroles la faisait risquer une punition. Si trop de gens connaissent mon secret... Je serai obligé de déménager, et vous ne me reverrez plus... Ce n'est pas ce que vous voulez, pas vrai ?

La question suivante... Il s'intéressait sur son autre orifice. Là encore, autant lui dire la vérité.

Un seul garçon a tenté de me pénétrer par là... Et il n'est pas resté longtemps. Réalisant que la dernière fois qu'elle avait parlé de son expérience, elle lui avait menti, elle se pressa d'ajouter : C'est la vérité ! Je suis presque vierge par là... De toute façon, je n'ai plus aucune raison de vous mentir... Quant à mon sexe, il se referme chaque nuit donc... Il est aussi serré qu'au premier jour.

Elle sentit que ressasser ses expériences la faisait mouiller. Tant pis... Ou tant mieux, la suite n'en serait que moins douloureuse.

Par contre je n'ai rien qui ferme à clé chez moi... Désolée...

Elle mourrait d'envie de demander ce qui l'attendait, mais elle savait pertinemment que chaque question, en plus de rester sans réponse, risquerait de lui valoir un coup de cravache. Elle préféra donc se taire après cette dernière réponse.

Son petit cri était amusant, sous le coup de cravache, mais sincèrement, qui se souciait d'un cri dans Seikusu, aussi près du quartier de la Toussaint, c'était déjà étonnant que l'appart soit propre et rangé. C'était toujours préférable… mais c'était quand même assez miraculeux. Il lui sourit et regarda les jolies petites marques rougies sur son corps. Ça lui allait plutôt bien ! Il eut un air appréciateur avant qu'il ne se décide à faire quelque chose, et ce qu'il s’apprêtait à faire, c'était avant tout l'écouter… il venait d'avoir des idées… en effet, le fait que son hymen se régénère quand elle dort, il pouvait très bien imaginer de nouvelles manières de jouer… comme lui mettre un œuf vibrant le soir avant qu'elle ne s'endorme, et le lui laisser éteint, attendre que l'hymen se régénère dessous, et lendemain, petite promenade aux vibrations imprévisibles sans pouvoir se débarrasser de l’œuf grâce à l'hymen qui le maintenait…

Il lui caressa les cheveux alors qu'elle parlait de l'extérieur. Du fait que la porte était ouverte et donc qye tout le monde pourrait voir ce qui se passerait ici. Il lui donna un petit coup de cravache sur le derrière alors  pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas véritablement voie au chapitre… même si elle n'avait pas trop tort non plus, mais ça, il ne voulait pas non plus le reconnaître… il regarda la jeune femme et se contenta d'un sourire en coin comme si de rien n'était…

Pour le reste, il se doutait bien que la jeune femme avait encore des explications à donner et elle les donna… juste une fois, donc pas vierge du cul, même si elle n'avait pas l'habitude pour autant. Voilà qui était intéressant… cela voulait dire qu'il y aurait du travail à faire, mais le problème de la virginité des deux trous n'était pas le fait que ce soit bien serré, mais plutôt le fait d'être le premier ou pas… ça avait une saveur particulière d'avoir l’impression d'avoir amenée une personne sur la voie de la débauche en lui faisant faire le tout premier pas…. Mais qu'importe… il se contenta d'opiner du chef…

Il acquiesça aussi quand elle parla du fait qu'il n'y avait pas de placards qui se fermaient, ni rien qui se fermaient. C'était intéressant… il sourit et regarda la jeune femme alors qu'elle attendait en silence. La crainte de la badine sans doute, mais s'il ne pouvait plus frapper et humilier aussi par les coups, à quoi bon ? Il réfléchit un court instant avant de prendre la parole.

« Écoute moi bien, Pupute, voilà ce qui va se passer, si tu veux que la porte soit fermée, il va falloir que tu ailles sur la pallier et que tu cries que toi, Pupute, tu as de la chance car tu vas te faire défoncer par ton maître adoré jusqu'à plus pouvoir marcher. Et ensuite tu rentres en fermant la porte, alors à toi de voir si tu veux qu'on ferme la porten et toujours est-il que maintenant, on ne reparlera plus de ta petite particularité quand on pourrait être entendu... »

Il lui tapota la tête doucement avant de lui sourire et de prendre la parole, sur un ton doux en faisant glisser le caoutchouc de la craache sur son corps, l'introduisant même entre ses cuisses avant de lui embrasser le front… et lui caresser doucement la joue.

« Pour le reste, on verra ça plus tard, car je mle suis dit que j'allais avoir quelques  travaux à faire dans ton appartement… car je trouve qu'il y a quelques petites choses à modifier, comme par exemple... »

Il montra les deux barres… et s'en empara…

« J'aurai besoin que tu te mettes dos au mur, sur la pointe des pieds et bras tendus vers le haut pour que je puisse les fixer à la bonne hauteur, car c'est là où je t'attacherai quand j'en aurai envie... ainsi que quelques crochets à mettre au plafond... »

Il lui sourit et lui induqa le mur face à l'entrée…. Il trouvait cela bien plus intéressant…

« D'autant plus que j'ai acheté de la chaine pour ça, et mieux encore, j'ai aussi acheté quelques cadenas, au cas où… ah et j'aimerai qu'on aille refaire ta garde robe avec des tenues plus adaptées à ton nouveau statut, Pupute... »

Il frotta le bout de sa chaussure sur l'entresuisse de la jeune femme...

Warda poussa un nouveau crit, plus doux et moins aigu cette fois, lorsqu'un nouveau coup de cravache arriva sur ses fesses. Elle était littéralement en train d'y prendre goût. Un frisson de plaisir accompagnait chaque frappe. Elle avait presque envie de se remontrer insolente, juste pour ressentir le cuir sur sa peau, mais rien ne lui garantissait alors que ce n'était pas son visage qui serait la prochaine cible.

Elle écouta en silence son bourreau lui dicter sa volonté. Elle préféra encore laisser la porte ouverte... C'était prendre le risque que son voisinnage soit au courant de sa vraie nature, ou être absolument certaine que le dit-voisinnage sache précisément ce qui était en train de se passer chez elle.

Elle se releva péniblement, vétue uniquement de ses menottes et de son collier. Docilement et sans un mot, elle marcha lentement jusqu'au mur désigné. Elle se retourna et se calla dos au mur, les talons levés, et les bras tendus au maximum. Elle réalisa alors qu'elle allait se faire attacher face à sa porte, et que celle ci était grande ouverte... Ne pouvant supporter l'idée que quelqu'un passe et la reconnaisse, elle se retourna, cette fois les seins pressés contre le mur, fesses bombées, et appuya sa tête, ses bras toujours dressés vers le haut.

Elle n'était pas bien grande : Bras tendus, ses mains atteignaient péniblement les 2 mètres 20. Ne voyant rien de ce qui se passait derrière elle, elle commença à s'imaginer ce qui pourrait lui arriver avec cet attirail. Il allait l'attacher à une barre suspendue au-dessus du sol... Elle serait alors totalement à sa merci. Qu'allait-il faire ? La frapper encore ? Elle en mouillait d'avance. Ou bien utiliser un autre de ses gadgets ramenés ? Quelque chose de vibrant peut-être ? Ou tout simplement profiter d'elle avec son corps ? Elle qui était tremblantes il y a encore une heure, elle était maintenant impatiente de la suite.

Tandis qu'elle maintenant la pose pour qu'il puisse prendre les bonnes mesures, elle tenta d'analyser sa position : son visage et ses seins étaient contre le mur, son intimité accessible seulement par dessous... Seules ses fesses étaient exposées. **C'est le moment de mal se conduire** pensa-t-elle en se mordant la lèvre d'excitation.

Maitre... S'il vous plait, fermez la porte... Je ne veux pas que quelqu'un me voie comme ça... Vous comprenez, j'ai une réputation... Je suis censé être une fille bien élevée... Je ne pourrai pas continuer à vivre ici si les gens savaient... Pitié maitre, fermez la porte...

Elle remuait lentement le fessier dans un appel silencieux tout en disant ces mots, suppliants intérieurement **Frappe ce cul... Frappe ce cul... Allez frappe ce cul...**

Gabriel s'attendait à ce qu'elle gagne la porte pour dire ce qu'elle devait afin qu'il puisse la fermer, mais il ne la vit pas agir ainsi. IL la vit juste se lever et se caler dos au mur comme il le lui avait indiqué. Bien obéissante. Voilà qui était plaisant. Pupute était docile, peut être même un peu trop, mais pouvait-i le lui reprocher ? Certainement pas… il soupira et lui tapota la tête avant de faire une petite marque à l'aide d'un couteau au dessus de ses poignets, quelques centimètres tout juste, pour qu'elle soit obligée de reposer en partie sur ses bras et ses épaules, malgré le fait qu'elle toucherait le sol – ou le frôlerait -  avec la pointe de ses pieds.

Visant les chevilles ensuite, il prit deux marques, barre à la main, pour savoir où la fixer. Enfin, il regarda la jeune femme et la vit bouger. IL la vit protester contre le fait qu'elle serait  exposée si la porte restait ouverte., tout ça pour une réputation qu'elle devrait tenir… ben voyons… il ne dit rien et se dit que ce serait une bonne manière de lui faire comprendre ce qu'il voulait exactement. IL voulait qu'elle obéisse. Il ne la toucha pas mais revint avec une chaîne, des vis et une petite poulie qu'il fixa à raz le plafond pour ensuite tester celle-ci et s'y pendant. IL n'avait rien dit, rien fait, comme si il ne réagissait pas à sa désobéissance. Il descendit et alla prendre le rouleau de chaine dans le sac. Il y en avait plusieurs, de différentes tailles. IL en prit un d'un bon mètre cinquante de haut et le passa dans la poulie pour qu'il pende des deux côtés et sans ménagement, il lui prit les poignets et attacha  les mousquetons des poignets à la chaîne avant de tirer sur l'autre bout jusqu'à ce qu'elle décole du sol et utilisa un dernier mousqueton pour bloquer la chaine et la regarder ainsi pendue par les bras. IL avait un petit sourire satisfait sur son visage.

« Je ne voulait pas faire ça maintenant, mais comme ça, ça te fait une belle petite punition bien méritée… je t'avais dit dos au mur ! »

Et sa main partit pour lui gifler la poitrine sans la moindre hésitation. Il n'avait pas pour habitude de tolérer les incartades. Il approcha son bras de son intimité et posa son doigt sur son nombril pour y envoyer une petite décharge électrique. IL recommença à divers endroits de son ventre, mlentement, sans se presser. Il attendait un peu, jusqu'à ce qu'elle ait les bras un peu trop douloureux et ensuite il la ferait redescendre…

« Si tu veux que l'on ferme la porte, tu vas devoir y aller et crier ce que je t'ai dit de crier. Vu ? Mieux, ce n'est plus si tu veux fermer la porte, maintenant, tu vas y aller, mais avec un texte différent. Tu iras et crieras que pupute est contente car elle va avoir du foutre bien chaud pour le repas... »

Il sourit et la détacha lentement, pour qu'elle ne tombe pas avant de lui mettre un coup sur le fessier avec la chaîne. Pas trop fort cela dit et se désintéresse d'elle… il souriait alors qu'il fixait la petite tringle et si elle regardait un peu par dessus son épaule, elle pouvait pour que sur toute la longueur, elle était trouée comme si elle était faite pour accrocher diverses choses… puis, une fois cela fait, il regarda la seconde barre et regarda la jeune femme.

« Quand ce sera fait, tu viendras au pied, il y a quelques petites choses que l'on doit voir tous les deux, notamment sur comment tu vas vivre maintenant... »

IL y avait certaines règles qu'il voualit instaurer avec elle, histoire que tout roule bien, et si elle était sa chienne, il tiendrait à être obéi…

« Notamment sur le fait que si tu me déçois, tu dormiras attachée comme tout à l'heure... »

Il se détourna et la laissa faire ce qu'elle devait. IL se dirigea vers la chambre pour examiner le lit et fut ravi de voir que à la tête comme au pied, il y avait de jolis mointants assez haut, comme si il s'agissait d'un vieux lit deux places récupéré (même si il était encore en parfait état…). Il se contenta alors de fixer au sommet du montant des pieds la deuxième barre., laissant un interstice pour bien pouvoir jouer. Et, une fois les choses faites, il la siffla, il était dans la chambre et il attendait qu'elle réponde quand il la sifflait. Comme une chienne.

« Au pied,Pupute ! »