Cantonnée au simple rôle de spectatrice, Alice souffrait en silence. La frustration s’emparait de son corps, la rendant nerveuse, fébrile. Il lui était difficile d’agir, difficile de se retenir, difficile de ne pas s’écrouler sur place. Elle voyait Maîtresse Tinuviel et Samia continuer à s’embrasser… Deux délicieuses créatures, deux femmes superbes, qui ne cessaient de se faire des amours, de se caresser, de se toucher, de se frotter. Partout où Alice posait ses petits yeux bleus, tout n’était qu’un déballage de luxure, de vice et de plaisirs. Soupirant faiblement, elle se mordillait les lèvres, résistant à l’envie de sauter sur ces femmes. Non, elle resterait tout simplement fidèle aux instructions de Maîtresse Lastrim, et ce même si c’était dur. Plus le temps passait, et plus son corps était en manque, réclamant des caresses et des attentions qu’elle ne pouvait se prodiguer elle-même. Les minutes défilaient, suspendues aux lèvres des deux femmes. Tinuviel embrassait Samia, et finit par se pencher vers elle, le corps de la belle Terranide à la fourrure noire partant en arrière. Ceci permit à Tinuviel de poser ses lèvres sur les seins de Samia, les suçotant, et de déplacer sa main. Samia avait une généreuse poitrine, et son soutien-gorge rose, transparent, pendait sous les lèvres de Tinuviel. Tout ce spectacle de douceur, de lingerie, et de perversion, excitait chaudement la Princesse, qui était effectivement en train de mouiller abondamment. Que pouvait-elle faire d’autre ? Elle aimait ce spectacle, et sa gorge s’asséchait en les voyant ainsi.
Percevant son trouble, Talia la rejoignit alors. Nue, la belle Terranide musclée était bien décidée à retourner profiter de sa Maîtresse. Alice ferma les yeux, et répondit au baiser de la jeune femme, tendant ses mains pour caresser ses hanches douces et musclées. Contrairement à bien des humains, Alice ne nourrissait aucun préjugé quelconque envers les Terranides, et elle voyait Talia comme une amante, une esclave-femme de Tinuviel, bientôt au même titre qu’Alice. Sous l’effet de l’excitation, elle ne pouvait qu’anticiper ce mariage, sentant en elle des pensées embrumées… La soumission était une chose tellement délicieuse… Oh oui, qu’il était bon de se soumettre à cette belle femme, de suivre chacune des pulsions de Tinuviel ! Alice savourait chaque seconde de ce qu’elle était en train de vivre, voyant cela comme un véritable rêve éveillé, un moment où elle pouvait enfin laisser parler ce qu’elle était profondément… Une perverse masochiste. Elle sentit la joue de Talia glisser contre son corps, la caressant doucement, et la Terranide lui fit ensuite une proposition qui la fit cligner des yeux. S’occuper du verge de l’elfe rouge… Alice entrouvrit les lèvres, pensant initialement à une blague, mais Talia prit les devants.
Elle se mit devant les jambes de sa Maîtresse, et abaissa sa culotte, suffisamment pour dévoiler ce long membre turgescent, dur et tendu… Ce membre qui avait déjà pénétré Alice en long, en large, et en travers, et qui continuait à pulser, assoiffé. Elle vit Talia lécher ce membre avec sa langue, commençant une lente fellation. Alice déglutit, rouge.
*C’est si beau…*
Son corps se déplaça Presque de lui-même, et Alice se retrouva à son tour devant le corps de Maîtresse Tinuviel, observant cette belle verge dressée, ce mât pointant vers le ciel Relevant la tête, elle entreprit de le lécher à son tour, soupirant de plaisir, son corps contre Samia et Tinuviel Elle sentit alors contre son dos la longue queue poilue de Samia, qui se frotta à elle, s’enroulant autour de sa taille Les quatre femmes gémissaient et soupiraient de plaisir, et Tinuviel était clairement au cœur du trio, recevant toutes les attentions de ses belles et dévouées esclaves
« Hummm-hmmmm… »
Ne se reconnaissant plus, Alice continua à lécher ce sexe, le prenant parfois en bouche, le suçant, avant de le tendre à Talia, pour qu’elle-même puisse jouer avec. Parfois, probablement sous l’effet du plaisir, la longue queue de Samia se serrait autour de son corps, faisant soupirer la Princesse. Elle sentait le bout des poils de cette longue queue se rapprocher de son intimité, et, délicatement, Alice remuait un peu son bassin. Ne pas se masturber devenait de plus en plus difficile, et l’une de ses mains tendait de plus en plus à se rapprocher de ses cuisses en feu… Et, délicatement, elle glissa un doigt dans sa fente intime, et remua en elle, les joues rougies par le plaisir imminent qu’elle ressentait, ainsi que par la gêne de se caresser ainsi, publiquement, aux yeux d’autres personnes. C’était gênant, oui… Mais aussi très excitant !