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« Nous y voilà, Princesse. »
La silhouette sombre du Commandeur arrêta la course de son cheval devant la construction qui se dressait devant les deux cavaliers. Ils portaient des turbans et de longs vêtements les protégeant des tempêtes de sable, ainsi que de la chaleur accablante du soleil. Ils avaient fait route depuis maintenant plusieurs jours, traversant le désert, formant une petite compagnie de plusieurs gardes et de plusieurs Commandeurs, qui faisaient halte dans les auberges et les petits villages. Le harem de Tinuviel Lastrim était enfin en vue, et tous les autres membres de la suite de la Princesse se tenaient dans le plus proche village. Seulement Oberyn, un Commandeur, avait accompagné Alice jusqu’au harem. Il était un peu contre l’idée de laisser Alice seule en territoire inconnu, mais la Princesse lui avait assuré que l’elfe rouge ne lui ferait pas de mal. De plus, elle détenait toujours avec elle un pendentif en dimeritium, qui lui permettrait, non seulement de se défendre contre d’éventuelles attaques magiques, mais aussi d’alerter les Commandeurs à proximité, qui arriveraient en moins d’une heure.
Oberyn comptait de plus venir chaque jour vers Midi pour s’assurer que tout se passerait bien. Utilisant ses runes, il n’avait senti aucune émanation magique sombre émanant du harem, et estimait donc l’endroit fiable.
« Je vous remercie, Commandeur Oberyn.
- Je vous encourage à bien profiter de vos vacances, Princesse Alice. N’oubliez pas que nous patrouillerons, et que je tiens à avoir des nouvelles de vous.
- C’est entendu. »
Bien malgré elle, Alice ressentit une bouffée d’excitation, et éperonna Éclipse, qui dévala lentement la dune menant vers le bâtiment de pierre. Planté en plein milieu du désert, il ruisselait de la magie de Tinuviel Lastrim. Tinuviel était une femme qu’Alice connaissait personnellement, et même intimement, car elle l’avait rencontré, il y a de cela plusieurs mois, à Sylvandell*. L’elfe rouge lui avait fait forte impression, mais elle n’avait jamais vraiment eu le temps, non seulement de la revoir, mais aussi de la remercier. La remercier, en effet, car elle avait aidé sa femme, Sakura, et provisoirement hébergé la sœur de sa femme, soit la belle-sœur d’Alice, Ayano. Alice avait finalement réussi à obtenir un créneau d’une semaine pour aller la voir, et avait envoyé des corbeaux pour signaler à Tinuviel qu’elle comptait « personnellement » la voir pour l’entretenir de la situation de sa femme et de sa belle-sœur, pensant que Tinuviel voudrait se renseigner.
Naturellement, il s’agissait là d’un prétexte, dissimulant les véritables raisons de la Princesse. Elle savait que Tinuviel était une esclavagiste, qui entretenait des esclaves particulières, puisqu’elles étaient toutes mariées à elle. Or, Alice venait d’un pays où le mariage n’était pas une institution solide à Sylvandell en ce qui concernait la royauté. Il était fréquent qu’il n’y ait pas de Reine, ou, inversement, de Roi, durant une génération. Alice ne savait pas trop ce qui allait se passer, elle savait juste qu’elle avait envie d’être entre les bras de Tinuviel.
Oberyn n’était naturellement pas dupe, et connaissait plutôt bien la Princesse.
L’intéressée rejoignit les murs du harem, et délesta son cheval, puis entra. Tinuviel lui avait remis les clefs, et elle ouvrit la porte d’entrée, un élégant portail. Dès qu’elle entra, elle sentit immédiatement une belle différence de température, entre la température régnant à l’extérieur, élevée, et celle du harem, rafraîchie par la magie. Elle s’avança, Éclipse derrière elle, pénétrant dans une sorte de confortable hall avec des plantes, une fontaine. Il n’y avait visiblement personne, et elle en profita pour se dévêtir, ôtant sa longue robe du désert. Sous cette dernière, elle avait déjà affiché la couleur, puisqu’elle était en sous-vêtements. Elle portait en effet de longs gants blancs fins, une nuisette blanche découvrant l’ourlet de ses seins, et des collants blancs, ainsi que de longues bottes blanches en cuir. Elle s’avança un peu, et s’éclaircit la gorge.
« Ti... Tinuviel ?! C’est... Euh... C’est Alice ! Je suis arrivée ! »
La trahissant, son cœur battait lentement la chamade.
Depuis tout ce temps, elle se souvenait encore de la redoutable beauté elfique de Tinuviel !
* : Cf. RP « La belle elfe et le dragon (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=7735.0) ».
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Cela faisait déjà quelques jours que l’elfe rouge avait eut vent de l’arrivée prochaine d’Alice dans son domaine et cela lui faisait extrêmement plaisir. En effet, elle avait rencontré la jeune princesse lors d’une délicieuse aventure. Le hasard étant très étrange, elle avait ensuite accueillie dans son harem Sakura, une polymorphe mais également sa soeur. Hors cette même Sakura deviendrait plus tard la femme de cette jolie princesse. Oui, en y repensant cette coïncidence était bien étrange mais cela ne l’étonnait plus. Les choses se produisaient toujours pour une bonne raison et cette fois ci cela ne changerait pas.
L’elfe rouge était heureuse de d’avoir enfin des nouvelles de la princesse. Elle savait que la jeune femme était de part sa position extrêmement occupée et le fait qu’elle puisse prendre quelques jours de vacance était donc un événement dont elle profiterait. Elle était surtout curieuse d’avoir des nouvelles des deux femmes.
La venue de la jeune princesse de Sylvandell plongeait le harem dans une agitation assez disproportionnée. En effet l’elfe rouge avait fait en sorte que tout soit en ordre pour bien recevoir cette prestigieuse invitée. Elle avait donc demandé à ses amantes de faire un peu d’ordre et il y avait vraiment du travail. Cependant l’elfe, elle n’avait pas non plus prit ce temps pour se reposer. Elle avait prévue une petite surprise à son charmante invitée. Surprise qui avait fait tourner bien des têtes dans le harem. Tinuviel avait pour une fois choisie de quitter son armure en écaille de dragon au profit d’une tenue bien plus séduisante. Elle avait choisie une longue robe rouge laissant son dos nu, enfilé de légers escarpins et surtout avait placé une fleur d’orchidée dans sa longue chevelure argentée.
Pour une fois, l’elfe n’était plus une guerrière mais une véritable femme. Cela faisait ressortir chez elle une beauté différente, une beauté mystique.
Elle eut bientôt vent de l’arrivée de son invitée. L’elfe eut un léger sourire avant de dire à ses épouses de ne pas accueillir la princesse. Elle y irait elle-même afin de préserver son entrée.
Elle entra finalement dans la pièce ou se trouver la jeune princesse, l’observant quelques secondes avant de la prendre dans ses bras. La jolie princesse n’avait pas changé, elle était toujours aussi belle et la tenue dans laquelle elle se trouvait actuellement ne faisait que renforcer cette idée.
Elfe rouge prolongea quelques temps son étreinte avant de l’embrasser sur le front et de lui dire
-Bienvenue Alice. J’espère que ton voyage ne fut pas trop épuisant. J’ai fait préparer ta chambre si tu souhaite te reposer et la douche est libre si tu as besoin de prendre une douche….
Elle eut un petit clin d’œil avant de continuer.
-Non pas que je n’aime pas ce que je vois, cependant ce ne serait pas raisonnable vu le long chemin que tu viens de parcourir de t’épuiser encore plus. Mais comment vas-tu ma belle ? Et comment vont Sakura et sa petite sœur, j’espère que sa jeune femme n’a pas négligé son entrainement ?
Elfe en avait presque perdu de vue la charmante vision qui s’offrait à elle, cependant elle n’y pouvait rien, avoir des nouvelles de ses petites protégées étaient bien plus important à son avis qu’une partie de jambe en l’air.
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En sous-vêtements, Alice était dans une tenue relativement indécente. Éclipse portait sur ses côtes des sacs de voyage abritant les autres affaires de la Princesse. L’ancien cheval de guerre était habitué à porter de lourdes charges, et s’ébroua lentement. La Princesse évitait de trop s’avancer dans le harem, pensant qu’un cheval risquait de jurer dans les couloirs luxueux de l’établissement. Elle restait devant, nerveuse, excitée, sentant des frissons la traverser. La petite Princesse n’eut toutefois pas à attendre bien longtemps avant d’entendre des bruits de pas. En tournant la tête, restant près de son cheval, elle aperçut la silhouette élancée et féminine de Tinuviel, ce qui fit légèrement bondir son cœur dans sa poitrine. Un sourire éclaira le visage d’Alice, qui alla se ruer dans les bras de son amante, se frottant contre elle.
Naturellement, elle avait noté que Tinuviel portait une belle robe, mais, sur le coup, Alice ne savait pas quelle importance particulière ce choix vestimentaire revêtait. Elle pensait que c’était tout simplement un habit traditionnel, normal, pour l’elfe. À Sylvandell, elle portait une armure seyante et sexy, mais la Princesse s’était dit que ce choix venait tout simplement du fait qu’elle n’était pas chez elle, mais à l’étranger, soit dans un endroit potentiellement hostile. Cette robe lui allait en tout cas très bien, et, en l’enlaçant, Alice put remarquer que son dos était nué. Elle caressa brièvement sa peau, avant de sentir Tinuviel poser ses lèvres sur son front, la baisant.
« Bienvenue Alice. J’espère que ton voyage ne fut pas trop épuisant. J’ai fait préparer ta chambre si tu souhaite te reposer et la douche est libre si tu as besoin de prendre une douche…
- Merci... Je suis heureuse de te revoir... »
Les yeux d’Alice pétillaient joyeusement de bonheur, une sorte de douce expression de plaisir qui scintillait de son corps. Elle n’avait pas besoin de masquer le fait qu’elle était heureuse de revoir Tinuviel. Elle se moquait alors bien de prendre sa douche, elle voulait tout simplement rester contre le corps de son amie, de se presser contre elle. Alice n’ignorait pas que Tinuviel était une femme qui était mariée avec toutes ses esclaves, et qu’elle n’était assurément pas hostile à l’idée de faire d’Alice sa femme. La Princesse y réfléchissait depuis qu’elle avait entamé ce péril, en réalité. Elle ne savait pas quelle réponse apporter, hésitant entre bien des scénarios possibles. Au moins était-elle arrivée. En l’état, c’était l’information la plus importante à réunir. Son long voyage était terminé, et elle allait maintenant pouvoir se reposer... Ou pas.
Tinuviel poursuivit assez rapidement après la remarque de la Princesse, pour revenir sur la nécessité d’aller au lit :
« Non pas que je n’aime pas ce que je vois, cependant ce ne serait pas raisonnable vu le long chemin que tu viens de parcourir de t’épuiser encore plus. Mais comment vas-tu ma belle ? Et comment vont Sakura et sa petite sœur, j’espère que sa jeune femme n’a pas négligé son entrainement ? »
Alice esquissa un faible sourire, avant de répondre, du tac-au-tac :
« Est-il donc raisonnable de revenir te voir, Tinuviel ? »
Elle se défit de l’étreinte de Tinuviel, et se dirigea vers Éclipse, afin de défaire les sangles et les ceintures retenant ses bagages. Les deux sacs tombèrent lourdement sur le sol, et elle tapota sa belle bête, comme pour la féliciter d’avoir su la porter sans férir.
« Je me porte bien... Et rassure-toi, j’ai bien dormi ce matin. Le voyage fut long, en effet, et c’est pour ça que je me suis longuement reposée hier, afin d’être aussi fraîche que possible. Quant à ma femme, elle continue ses entraînements, tout à fait. Ceci la contraint parfois à voyager loin, pendant plusieurs semaines, mais je finis par m’y faire. Après tout, elle agit pour pouvoir mieux réussir à me défendre. »
Il semblait normal que Tinuviel daigne vouloir se renseigner sur ce qui était advenu de son ancienne esclave. Sakura avait eu un parcours assez atypique. Une ancienne Terrienne qui avait fini par devenir la femme d’une Princesse, on ne voyait pas ça tous les jours.
« Ayano travaille à l’école, et auprès d’une institutrice spécialisée. Elle est... Rapide. »
Un joli euphémisme. Ayano était une plaie, mais elle était touchante. Elle était aussi énergique que sa sœur, en somme. La Princesse reporta son attention sur Tinuviel.
« Quoiqu’il en soit, j’aimerais bien voir où tu envisages de me loger, ne serait-ce que pour y déposer mes affaires... Et il faudrait sans doute une écurie, ou quelque chose comme ça, afin qu’Éclipse puisse se reposer... »
La Princesse était partie du principe que Tinuviel, vivant en plein désert, devait bien avoir un local de ce genre.
Pour le reste, le cœur d’Alice continuait à battre la chamade, témoin silencieux du plaisir qu’elle ressentait à être ici.
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La princesse en tenue indécente ? Hum, cela ne semblait nullement gêner l’elfe rouge, au contraire. De toute manière il lui en faudrait bien plus pour la choquer, vu son statut de mage rouge et également son nombre d’amants. Enfin, pour l’instant le plus important était de chouchouter cette pauvre petite princesse. On pourrait trouver l’elfe rouge légèrement surprotectrice ce qui était sans doute vrai mais elle faisait toujours son possible pour que ses amantes se sentent bien.
Son invitée eut cependant une petite réflexion qui fit comprendre à l’elfe rouge qu’elle n’était pas en sucre. Elle s’était longuement reposée afin d’appréhender de la meilleur façon que possible le voyage à venir. Elle avait cependant raison sur un point : Il n’était jamais raisonnable de se rendre dans l’antre de Lastrim et celle-ci lui fit savoir.
-Tu sais bien que non, sinon tu ne serais pas venue Alice.
Elle lui fit un petit sourire avant de lui prendre la main. La petite princesse continua pour lui annoncer que Sakura continuait avec attention son entrainement, laissant la petite princesse seule. L’elfe ne dit rien mais écouta avec attention cette information. En effet, le fait de savoir cela l’attrista légèrement, elle qui avait du mal à quitter ses amantes plus de deux jours se demandait comment la jeune princesse pouvait vivre cela. L’elfe se fit donc la promesse de bien s’occuper de la petite princesse durant son séjour afin que celle-ci ne se sente plus seule.
- Rassure-toi Alice, je vais bien m’occuper de toi. Après tout, tu es mon invité n’est ce pas ? Cependant tu lui diras que je suis heureuse qu’elle ne néglige pas son entrainement. Elle a des capacités extra ordinaires et je pense sincèrement que tôt ou tard elle aura un impact sur ce monde, un impact important même.
Elle eut un autre sourire en écoutant la princesse parlait de Ayano. Ainsi ce petit démon allait bien. Elle se souvenait du chahut qu’elle avait mit au harem. Pourtant, elle lui manquait cette petite demoiselle. C’était peut être paradoxale mais c’était vrai, cette petite demoiselle toute chahuteuse qu’elle soit était quelqu’un de très attachant.
-Hum, alors le petit démon va bien. Tant mieux, j’avais peur qu’elle ne supporte pas la vie de château. Cependant elle semble s’y faire…
Elle fut coupée de ses réflexions par la jeune noble. Il était en effet temps de la débarrasser de ses affaires et de conduire sa monture à l’écurie. Elle avait donné les directives pour que l’on s’occupe de la monture de la princesse peu avant son arrivée ce qui lui laissait donc pleinement l’occasion de s’occuper de la jolie princesse. Elle la rassura donc à ce sujet avant de la guider vers sa chambre.
- Rassure-toi, ta monture va être prise en charge d’ici peu de temps. Je vais donc te montrer ta chambre. Cependant, je préfère être honnête avec toi, il s’agit d’une chambre d’invitée mais si elle n’est pas à ton gout tu peux toujours dormir dans la mienne avec moi.
La dernière phrase n’était peut être qu’une boutade mais difficile d’être sur avec l’elfe rouge. Tinuviel récupéra les bagages de la demoiselle de la main droite soupirant tout de même vu le poids de ceux-ci. Enfin, elle avait besoin de son autre main de toute manière.
Enfin, celle-ci profita du voyage jusqu’à la chambre de la princesse pour lui prodiguer quelques caresses discrètes, le plus souvent elle se contentait de frôler les hanches, parfois les fesses.
Elfe dut arrêter ces caresses afin d’ouvrir la porte de la chambre de la princesse. La pièce était assez grande bien que peu meublée. Il y avait un grand lit en son centre capable d’accueillir facilement deux ou trois personnes, une armoire et une coiffeuse. Il y avait également une petite fleur en pot rappelant une orchidée.
Elfe attendit que son invitée soit rentrée dans la chambre avant de fermer la porte derrière elles.
- Alors ma petite Alice, si tu me disais pourquoi tu as fait le déplacement jusque ici car pour être honnête avec toi, je doute que ce ne soit que pour me donner des nouvelles. Je me trompe ?
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Si Alice aurait pu lire dans les pensées de Tinuviel, elle l’aurait rassuré sur le fait qu’elle dormait rarement seule... À défaut, son esprit vagabonda plutôt sur Sakura et sur le « petit démon », expression qui, en réalité, définissait très bien Ayano. C’était le choix du Patriarche qui, en définitive, avait convaincu Alice d’épouser Sakura. Le Patriarche leur avait assuré que Sakura avait un rôle à jouer. Lequel, Alice l’ignorait, mais les Sylvandins prenaient ces informations très au sérieux. Tywill se demandait toujours en quoi cet impact pouvait bien consister. En attendant, Alice suivit Tinuviel. Elle l’attrapa par la main, avant de sentir les doigts de l’elfe rouge se promener sur son corps, caressant délicatement son corps... Ainsi que ses fesses. Malheureusement, Tinuviel choisit de ne pas s’attarder, sans doute pour exciter, et pour frustrer, la belle Princesse. Le cœur d’Alice battait lentement dans sa poitrine. Se mordillant les lèvres, la Princesse avançait lentement à travers les beaux couloirs du harem.
C’était la première fois qu’elle pénétrait dans un tel lieu, mais elle devait admettre que l’endroit était plutôt joli... Il transpirait la beauté, la volupté, et une sorte de charme érotique qui transparaissait à travers les murs. Dans ses vêtements courts, faits pour dormir, Alice s’avançait, montant des marches, suivant sa guide, tournant brièvement la tête pour loucher sur son superbe décolleté. Elle se pinçait ensuite les lèvres en rougissant toujours, délicatement. Elle n’était plus vierge depuis longtemps, mais la brave était toujours aussi sensible face à ce genre de sentiments.
Dans sa tête, elle se rappelait la proposition de l’elfe rouge : si la chambre ne lui plaisait pas, elle pouvait toujours dormir avec Tinuviel.
*En fait, songeait-elle, je crois qu’il y a beaucoup de chance pour que je passe du temps dans sa chambre...*
Les probabilités étaient plutôt fortes. Tinuviel ouvrit sa porte, et Alice pénétra dans une chambre assez agréable. Il y avait un grand lit, et la pièce présentait quelques meubles sommaires. La Princesse s’avança un peu, se rapprochant du lit. Les draps étaient faits en soie, et elle les caressa du bout des doigts, appréciant ce contact. C’était la texture de l’amour. Elle avait presque craint de trouver des draps en latex ou en cuir, comme certains harems le proposaient, mais Alice trouvait ça un peu trop excessif, presque vulgaire : la soie, c’était la matière noble. Délicieuse au toucher, glissant sur la peau, le genre de texture dans laquelle on aimait se fourrer, afin de ne plus en sortir, de s’y emmitoufler fermement avec son amant.
Elle tourna la tête en entendant Tinuviel fermer la porte, et lui sourit devant sa question :
« Alors ma petite Alice, si tu me disais pourquoi tu as fait le déplacement jusque ici car pour être honnête avec toi, je doute que ce ne soit que pour me donner des nouvelles. Je me trompe ? »
Ça lui semblait évident, mais elle soupçonna que Tinuviel voulait simplement jouer. Alice se pinça les lèvres, une petite moue pensive sur le visage, une lueur espiègle dans les yeux.
« Hum... S’il s’agissait juste de te donner des nouvelles, j’aurais pu envoyer un corbeau, plutôt que de me déplacer en personne, en effet... » reconnut-elle.
Elle posa un doigt sur ses lèvres, comme si elle réfléchissait, et en profita surtout pour caresser légèrement ses lèvres, délicatement entrouvertes. Elle savait, pour l’avoir expérimenté avec d’autres, que c’était un truc craquant. Tinuviel allait pouvoir constater que la femme qu’elle avait quitté à Sylvandell avait légèrement évolué depuis ces derniers temps. Cette espèce d’innocence puérile et de candide naïveté avaient mué en une sorte de naïveté assumée, de douce appréhension du sexe. Elle savait désormais comment interpréter certains gestes, et certaines attitudes. Il fallait dire qu’entre Cirillia, Melendil, une amie vampirique qui dirigeait tout un harem, et une femme terramorphique qui se transformait parfois en Lamia pour enrouler Alice dans une chaude queue visqueuse, la tête blonde avait évolué.
Alice s’assit lentement sur le lit, et se glissa en arrière, s’appuyant avec ses avant-bras, penchant son dos vers l’arrière. Sa nuisette se souleva lentement, se creusant à hauteur de ses seins. Elle croisa lentement les jambes, sa croix dragonique, en forme de croix chrétienne, ressortant de son torse.
« À ton avis, Tinuviel, pourquoi une femme aurait envie de se rendre dans un harem détenu par une elfe rouge aussi belle et talentueuse que toi ? »
La Princesse préférait y aller par petites touches, car elle n’était pas encore totalement fixée sur ce qu’elle voulait.
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L’elfe rouge était heureuse de retrouver la jeune princesse. Elle avait changée cette petite princesse mais cela n’était pas pour déplaire à l’elfe rouge qui la trouvait encore plus délicieuse qu’autrefois. Elle ne s’avait pas si c’était l’atmosphère du harem ou bien le fait que la princesse ait gagné en confiance mais dans tout les cas l’elfe rouge avait envie de s’enfoncer dans les draps de ce lit avec la jeune femme et de n’en sortir que le lendemain.
Il ne s’agissait pas forcement de passer une nuit endiablée mais juste être confortablement installée pour discuter en compagnie de cette demoiselle.
Elle eut un petit sourire, en contemplant la demoiselle se mordiller les lèvres, c’était extrêmement intéressant de voir cette évolution.
Elle eut un petit sourire avant de se rapprocher de la demoiselle, regardant la demoiselle droit dans ses yeux. La réputation du joyau de Sylvandell n’était clairement pas exagérée et l’elfe devait le reconnaitre, elle avait de plus en plus envie que la jeune femme la rejoigne. Elle connaissait cependant les impératifs de la demoiselle notamment le fait que celle-ci doivent à un moment ou un autre reprendre le contrôle de son royaume. Elle préféra chasser cette idée de sa tête, elle ne devait pas commencer à penser ajouter une épouse en plus à son harem, après tout la princesse n’était pas là pour cela.
D’ailleurs pourquoi était-elle ici ? Elle ne le savait toujours pas. La jeune princesse lui répondit par une autre question. Elle eut un petit sourire avant de se rapprocher encore plus, elle était maintenant à moins de quelques centimètres de la belle princesse, le regard de rubis de l’elfe rouge dans celui saphir de la jeune princesse.
- Pourquoi pourrais-tu être ici ? Hum, tu as plusieurs raisons possibles… Tu as envie de repos, loin des problèmes de la cours, loin des responsabilités ? Ou alors tu as besoin de chaleur humaine et tu sais qu’ici tu trouveras quelqu’un pour s’occuper de toi ? A moins que tu ne souhaite rejoindre mon harem comme je te l’ai proposé la dernière fois que nous nous sommes vu ?
Elle eut un petit rire à cette idée. Bon, d’accord, il s’agissait d’une petite provocation à l’encontre de la demoiselle mais si elle n’avait plus le droit de faire ce genre de blague et bien ou allait le monde ?
Elle s’éloigna finalement de la jeune princesse, luire laissant la possibilité de reprendre un peu d’air si celle-ci avait oublié de respirer à cause du regard de l’elfe rouge. Elle lui déclara ensuite
-Dans tout les cas ma belle sache que tu es la bienvenue ici mais tu le sais déjà non ?
Elle lui déposa un léger baiser sur le front, lui caressant doucement le dos tel un courant d’air. Elle ne voulait pas aller trop vite avec la jeune princesse mais d’un autre coté, elle avait envie de retrouver le corps de cette jeune femme. Elle se souvenait des instants qu’elle avait passer avec celle-ci et cela ne la dérangerait pas de recommencer.
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Les propositions de Tinuviel amusèrent Alice, qui sentit toutefois son cœur battre un peu plus rapidement quand elle se rapprocha d’elle. Son beau regard rouge ne lâchait pas les yeux bleus d’Alice, et cette dernière sentit son souffle s’accélérer, alors que l’elfe rouge se rapprochait. Tinuviel Lastrim... La belle et magnifique Tinuviel... En y repensant, Alice frissonna, et serra instinctivement ses jambes. Elle avait changé, depuis la dernière fois. La Princesse avait gagné en maturité, en indépendance. Elle n’était plus alors la jeune femme naïve et idiote qui venait de s’éveiller au monde, celle qui ne connaissait du reste du monde que ce qu’elle avait lu dans les livres. Alice frissonnait, et Tinuviel finit par l’embrasser tendrement sur le front, tout en restant près d’elle.
« Dans tout les cas ma belle sache que tu es la bienvenue ici mais tu le sais déjà non ? »
Alice lui sourit lentement, et attrapa alors l’une des mains de Tinuviel, afin d’y glisser sa tête. Sa joue caressa la paume de cette main, s’y frottant pendant quelques secondes, et elle y déposa ensuite un léger baiser.
« Oui... Oui, je le savais, Tinuviel... Mais ça fait toujours plaisir à entendre... »
La Princesse lui sourit alors, et, sans vraiment prévenir, releva ses jambes, et les enlaça autour du bassin de Tinuviel. Une « prise » que Cirillia lui avait apprise, en l’utilisant contre elle lors des entraînements. Alice se retrouvait sous le corps de Cirillia, les jambes de la chasseresse fermement enroulées autour d’elle. Ciri’ serrait alors, dans une position aussi sensuelle que meurtrière. En effet, selon la position des jambes, elle pouvait comprimer ses poumons. Alice se rappelait encore de la manière dont elle se tortillait, sous ses jambes en cuir, agrippant ces dernières, le souffle court, lui demandant de s’en aller. Ciri’ s’amusait à la narguer, lui tapotant le bout du nez, un sourire espiègle sur les lèvres, avant de desserrer sa prise... Et de lui faire l’amour, à sa manière. Cirillia lui avait ensuite appris à faire cette prise, et à essayer de la pratiquer sur elle. Ça n’avait pas été un franc succès, mais elle se débrouillait pas trop mal.
Ses jambes s’enlacèrent donc autour de la taille de Tinuviel, et elle la poussa, envoyant ainsi l’elfe s’allonger à côté d’elle, s’étalant le long du lit. La Princesse bondit alors sur elle, s’allongeant contre son corps, entremêlant leurs jambes. Son visage était proche du sien, et elle l’embrassa sur la nuque, avant de reprendre, l’un après l’autre, les possibilités émises par l’elfe rouge :
« Si je voulais du repos, je n’aurais pas fait un si long voyage pour venir jusqu’à toi... Et, en réalité, je doute fort de pouvoir me reposer chez toi... Ton harem n’est pas une auberge, Tinuviel. »
Si Alice avait besoin de repos, il lui suffisait de rester dans son lit, ou d’aller dans un autre endroit. Alice continuait à embrasser sa nuque, y frottant son nez, savourant ce corps magnifique, cette chaleur mélangée à une infinie douceur, la tendresse des elfes. On disait que leurs corps étaient façonnés dans la beauté de la Nature. Tinuviel était terriblement belle, et Alice remonta avec son nez, l’embrassant sur la joue, posant ses mains sur ses épaules, s’en servant comme appui, son visage se rapprochant de ses lèvres.
« Et j’ai plein de gens qui s’occupent de moi à Sylvandell... Je suis la Princesse, après tout. Cependant, je dois bien admettre que pouvoir profiter de tes caresses et de ton expertise est un fort élément dans la balance. Si je suis venue ici, Tinuviel, c’est parce que j’ai une proposition à te soumettre, une idée qui m’a longuement fait réfléchir... »
Elle l’embrassa sur les lèvres, s‘allongeant un peu plus contre elle. Le baiser se poursuivit pendant de nombreuses secondes, laissant ainsi le temps à Tinuviel de comprendre ce qu’Alice venait de dire, et de réfléchir à ce qu’elle pouvait lui proposer. En même temps, la Princesse lui montrait qu’elle savait se prendre en main. Elle rompit finalement le baiser, tout en restant proche d’elle, son nez glissant sur le sien, le titillant.
« J’ai beau être la Princesse de Sylvandell, je n’ai techniquement aucune obligation. Et mon père ne sera incapable de régner que d’ici quelques années... Mes seules obligations concrètes sont d’agir en tant qu’ambassadrice de mon pays, mon père n’étant malheureusement pas le plus diplomate des dirigeants. »
C’était à ce titre qu’elle avait récemment voyagé dans différents pays, comme Inferis*, ou Herzeleid**, dont elle conservait encore un assez mauvais souvenir.
« J’ai envie de profiter de mes années de jeunesse, Tinuviel, et, alors que je me demandais comment faire, je me suis rappelée tout le bien que tu m’avais procuré, ainsi que ta proposition... »
Elle l’embrassa dans le creux du cou, tendrement, remontant à nouveau, ses seins venant frotter contre ceux de Tinuviel. Elle lâcha alors, dans le creux de son oreille, ce fantasme qui la travaillait maintenant depuis quelques semaines :
« Je veux me marier avec toi, et devenir ton esclave. »
* : Cf. RP « Négociations (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=9608.0) »
** : Cf. RP « Pacte de non-agression (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=12603.0) »
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Tinuviel dut reconnaitre une chose, la prise que la jeune princesse effectua sur elle la surprit, elle ne s’attendait pas en effet à ce que la jeune femme employé ce genre de technique de cette manière mais cela ne dérangea tant pas que cela l’elfe rouge. Elle se laissa donc faire, lui caressant avec un petit sourire la joue pendant que la jeune femme déposait des quelques baisers sur sa nuque.
Elfe eut un petit sourire en écoutant la jolie, princesse. Elle avait raison, celle-ci ne pouvait pas être simplement ici pour de petites vacances et les caresses de la jeune demoiselle lui disaient qu’elle avait quelque chose d’autre en tête.
Elle accueilli cependant avec plaisir le baiser de la jeune femme, répondant à celui-ci avec douceur et tendresse.
Elle eut cependant un petit mouvement de surprise lorsque la jeune princesse lui expliqua qu’elle avait une proposition l’elfe l’écouta avec une attention renouvelée. Elle s’attendait à ce que la jeune femme lui propose une alliance commercial ou bien un service mais pas ce qui allait suivre.
Elle ne s’attendait pas à la déclaration de la jeune princesse. Alors comme cela cette délicieuse petite chose voulait devenir son esclave. C’était une chose qu’il ne fallait pas dire deux fois à l’elfe rouge. Elfe l’embrassa doucement et lui caressa doucement le visage un petit sourire aux lèvres. Elle se libéra de l’étreinte de la jeune femme avant de réfléchir doucement à cette proposition si peu orthodoxe. L’idée ne lui déplaisait bien sur pas mais il fallait tout de même prendre le temps d’en discuter avec elle.
Elle l’embrassa encore une fois lui mordillant doucement le cou au passage avant de lui dire doucement.
-Hum, je serais heureuse de t’avoir comme épouse mon petit joyau. Quand a faire de toi mon esclave je trouve l’idée extrêmement agréable.
Elle lui caressa doucement les lèvres dans un petit sourire complice. Elle lui caressa tendrement la nuque avant de lui dire doucement.
-Cependant, faire de toi ma petite chose ne pourra pas se faire à la va vite… Je veux savoir qu’est ce que tu veux dire par être un esclave. Tu veux devenir une petite chienne dont le seul but est de s’occuper de combler sa maitresse ou bien veux tu suivre la voie de la parfaite servante ?
Les voies de l’esclavages sont multiples et ont chacune leurs spécificités, c’était pour cela que l’elfe avait envie de savoir ce que la jeune princesse voulait dire par devenir son esclave. Ensuite et bien, il lui faudrait encore lui poser une ou deux questions mais elle savait comment se comporter.
-La deuxième question ma belle, concerne tes limites. Même si tu deviens mon esclave et ma compagne, il y a certaine chose que tu refuseras certainement de faire. Hors je dois les connaitre.
Certes cette question brisait le coté spontané de la demande de la jeune princesse mais c’était la manière dont l’elfe procédait. Il était facile de briser un esprit et d’en faire son esclave mais là, elle ne le pouvait pas sous peine de créer un véritable incident diplomatique.
Elle lui caressa doucement la joue avant de lui mordiller doucement l’oreille.
-Alors ma petite Alice répond à ta maitresse et dit lui quel type d’esclave tu veux devenir ?
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La proposition était étonnante, et la surprise de Tinuviel, bien que brève, n’échappa pas à Alice, qui retint un sourire, avant de frissonner de plaisir. Les deux femmes s’embrassèrent tendrement, s’enlaçant langoureusement, et Tinuviel ne tarda pas à lui répondre, tout en continuant à la câliner. Chacun de ses attouchements faisait frissonner la Princesse, qui restait contre elle, dans un cocon de douceur. Il était évident qu’elle avait longuement réfléchi à cette proposition, avant de la formuler. Alice était en effet déjà mariée... Cependant, le mariage, à Sylvandell, était relativement souple, surtout à l’égard des dirigeants. Techniquement, un Korvander était déjà marié à son royaume, et la conception du mariage était très spécifique. La polyandrie n’était pas exclue, et la Princesse n’avait trouvé aucun précédent interdisant de se marier à plusieurs reprises. Le mariage n’était rien de plus qu’une convention privée visant à rapprocher deux êtres, et qui, dans le cas de Sakura, lui avait permis de devenir une Princesse, et non plus une esclave. Bien sûr, Alice ne pouvait pas se marier autant de fois qu’elle le voudrait sans que cela ne créé un scandale, mais elle ne comptait pas, de toute manière, à ce que ses accointances avec Tinuviel soient connues. Si on apprenait que la Princesse était une esclave... Oh, bien sûr, Alice n’allait pas vraiment devenir une esclave, au sens classique du terme, ce n’était pas son intention, et elle comptait bien l’expliquer à Tinuviel.
Tandis que cette dernière lui caressait les lèvres, Alice, lentement, les léchait, les suçotant un peu, docile et soumise, avant de sentir Tinuviel lui embrasser le cou. Elle soupira, basculant sa tête en arrière, continuant à écouter sa future Maîtresse. Comme Alice s’y était attendue, Tinuviel n’avait nullement été hostile à l’idée d’être sa maîtresse. Le contraire aurait en réalité vraiment été étonnant, compte tenu de leurs antécédents respectifs.
« Alors ma petite Alice, réponds à ta maitresse et dit lui quel type d’esclave tu veux devenir ? »
Alice avait les joues légèrement rouges, et ne tarda guère à lui répondre :
« Vois-tu... Ou plutôt, voyez-vous, Maîtresse, j’ai beaucoup mûri depuis notre dernière rencontre... Je me suis rapprochée d’une amie, Mélinda Warren, qui est également une esclavagiste, et qui s’est chargée de mon instruction sexuelle. J’ai découvert bien des choses avec elle, et c’est grâce à ça que j’ai repensé à vous, Maîtresse, et à votre proposition. Les talents de Mélinda m’ont permis de réaliser que, bien que je sois une Princesse, destinée à gouverner et à régir un peuple, en mon for intérieur, dans mes relations privées, j’aime l’idée d’être soumise... »
La Princesse se mordilla les lèvres, reprenant son souffle. Elle était toujours collée à Tinuviel, et caressait ses hanches, restant blottie contre elle. Elle reprit son discours, continuant ses explications :
« Je ne pourrais jamais devenir votre femme perpétuelle, Maîtresse... Ma servitude ne sera que temporaire... Alors, il faudra que ce soit court et intense... Je vous l’ai dit, j’ai beaucoup appris, et je me suis endurcie... Ce que j’attends de vous, Maîtresse... »
Alice déglutit lentement, des rapprochant de l’oreille de l’elfe, afin de murmurer dans le creux de cette dernière :
« C’est que vous me traitiez comme votre bonne petite chienne, en me montrant tout votre art, que vous m’humiliez, me battiez, m’attachiez... Je veux ressentir les joies de la soumission sexuelle entre vos doigts, lécher vos pieds, baiser votre armure, et jouir en votre compagnie... »
Un programme alléchant, n’est-ce pas ?
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La demande de la jeune princesse était claire, elle voulait devenir une chienne, SA chienne. Si ce n’était que cela cette petite demoiselle ne serait pas déçus, cependant Alice manquait à son gout clairement d’ambition. L’elfe rouge avait une petite idée afin de rendre cela moins facile pour elle. Si elle voulait être une chienne, une petite soumise, il ne fallait pas qu’elle puisse croire qu’elle pourrait le faire comme le voudrait.
Elle lui caressa doucement la joue avant de lui caresser la nuque traçant un cercle autour du cou. Le geste était évidant, elle était entrain de lui montrer ce qu’elle allait bientôt lui faire.
Elfe lui mordilla doucement le cou avant de lui dire enfin.
-Tu as clairement du potentiel ma petite Alice et c’est pour cela que je vais faire de toi ma chienne, ma lécheuse, ma salope. Je révélerais ta vraie nature ma petite chérie. Tu en ressortiras sans doute légèrement différentes mais je suis sur qu’au fond tu ne veux que cela n’est ce pas ?
Elle lui lécha doucement le cou, planta doucement ses dents dans celui-ci, elle n’allait pas la mordre au sang… Pas encore cependant l’elfe rouge avait prévue une petite révélation à la jeune princesse.
- Si tu veux être ma chienne, ce ne sera pas par intermittence. Soit tu embrasse pleinement ton rôle… soit tu peux aller chercher quelqu’un d’autre ma belle.
Elle lui caressa doucement les fesses. Hum, ce petit cul était tout simplement délicieux et elle se ferrait un plaisir de le faire sien.
-Rassure toi Alice, je sais que tu as un pays à diriger ainsi qu’une femme… je ne te demanderais pas d’être ici 24h/24. Cependant je vais faire de chose. Je vais marquer ton corps d’une marque magique afin que tes futurs amants sachent à qui tu appartiens mais je vais surtout enchanter ton collier.
Elle eut un petit sourire. Elle n’allait pas lui dire à quoi servirait cet enchantement cependant il était fortement probable que la jeune princesse le trouve à son gout. Elle eut un petit sourire avant de la regarder droit dans les yeux.
- Alice, déshabille-toi. Montre-moi ton corps. Montre à ta maitresse la femme que tu es venue. Ton corps m’appartient après tout et je veux le voir. Je veux également tout savoir : Quelles expériences t’ont marqué en bien comme en mal? Qu’est ce que tu n’as jamais essayé? Et surtout combien d’amant tu as eu ?
Connaitre la princesse lui permettrait de mieux la dominer. Elle y allait pour l’instant en douceur mais bientôt la pauvre princesse se retrouverait à quatre pattes lui demandant l autorisation pour jouir.
L’elfe rouge avait déjà de nombreuses idées et la petite princesse en aurait sans doute pour ses attentes. Il ne restait plus qu’à voir comment celle-ci réagirait à cela ? Tenterait elle de négocier avec l’elfe rouge ou bien embrasserait elle son nouveau statut de petite chienne permanente ? Elle attendait de voir cela avec une certaine impatience.
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En réponse à sa demande, Tinuviel alla lui mordre le cou, faisant soupirer la Princesse. Les joues légèrement rouges, cette dernière soupira, frottant son nez contre le cou de l’elfe rouge, creusant son dos en sentant ses mains chaudes et fermes empoigner ses fesses, les caressant tendrement. Alice se mordilla les lèvres, sentant le plaisir monter rapidement, ainsi qu’une sorte de gêne et de nervosité. Tinuviel lui parlait, exposant ses conditions, faisant tiquer Alice à plusieurs reprises. Une marque ? Enchanter son collier ? Embrasser pleinement son rôle ? Alice ne savait pas trop comment interpréter ça, et ne répondit pas tout de suite, laissant l’elfe continuer ses attouchements. Tinuviel se contredisait elle-même, en lui disant qu’elle devrait pleinement assurer son rôle, que ce ne devait être par intermittence, tout en reconnaissant elle-même que la Princesse ne pourrait pas être là continuellement. Perturbée par cette marque de possessivité, Alice en fut également un peu refroidie, et se redressa lentement, se tenant à califourchon sur la femme.
« Hum... »
La Princesse réfléchit, et commença par ôter lentement sa nuisette, révélant la nudité de son corps, ses deux seins tendus vers elle, puis elle posa ses mains sur les épaules de Tinuviel.
« Ne commets pas l’erreur de croire que je suis une esclave comme une autre, Tinuviel. Je suis une Princesse. Si tel n’avait pas été le cas, j’aurais accepté sans rechigner l’essentiel de tes conditions, j’aurais accepté ces règles... Mais je ne peux pas le faire, en l’état actuel des choses. »
Dans sa petite tête, tout était clair. Alice savait qu’elle prenait de gros risques. Si on découvrait qu’elle s’amusait à aller voir une esclavagiste afin de se prendre pour une esclave, son règne serait terminé avant même d’avoir commencé. Elle était une Princesse, elle était appelée à diriger un pays, pas à être une esclave. C’était son destin, un choix décidé dès sa naissance, et sur lequel elle n’avait pas le choix. En un sens, elle était déjà l’esclave d’autre chose : son devoir, son pays, sa destinée. Sa liberté n’avait jamais été totale, et elle ne l’était jamais, quand, comme elle, on était appelé à un poste de décision. C’était là toute l’ironie du pouvoir : plus on en avait, et moins on était libre, si on voulait être un souverain exemplaire.
Elle se pencha à nouveau sur Tinuviel, et l’embrassa brièvement sur les lèvres, reprenant ses explications, imposant ses conditions :
« Je serais ton esclave, Tinuviel, je serais ta belle petite chienne, quand je le voudrais. Rassure-toi, tu auras amplement l’occasion de profiter de moi, mais je ne peux pas accepter que tu me marques, ou que tu désires enchanter mon collier... Tout comme je ne peux pas accepter de me soumettre à toi jusqu’à ma mort. Lorsque je serais Reine, je ne pourrais plus me permettre ce genre de choses. »
Alice parlait sur un ton calme, mais déterminé. Son doigt vingt glisser sur les lèvres de Tinuviel, remuant lentement dessus, en dessinant le contour. Elle adorait le corps de cette femme, elle adorait son talent, sa sensualité, mais elle savait aussi que Tinuviel était une femme possessive, et qu’elle devait trouver très alléchant l’idée de soumettre une Princesse.
« Crois-moi, Tinuviel, j’y ai bien réfléchi, et il n’y a pas cinquante manières de faire... Je serais à toi, lorsque ce sera possible, mais ce ne pourra être que par intermittence. Si ceci ne te convient pas, je le comprendrais, et nous nous en arrêterons là. »
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Disons que dans l’esprit de l’elfe rouge la marque et le collier n’aurait été visible que par elle, laissant ainsi la princesse comme étant sienne sans pour autant que ses sujets soient au courant. Cependant l’elfe rouge dans son excitation avait en effet négligé le fait que si un jour cela venait à être découvert, la petite princesse aurait de nombreux problèmes.
Elfe rouge se leva regardant la demoiselle droit dans les yeux. Elle n’avait plus envie de se montrer câline ou quoi que ce soit d’autre. Non, son regard était sérieux, presque transperçant et ce qu’elle était entrain de juger s’était la dévotion de la princesse.
L’elfe rouge comprit une chose, la petite princesse avait déjà un maitre : Son peuple. Elle ne serait jamais libre de se donner pleinement à elle et même si cela décevait la maitresse des lieux, elle le comprenait.
Elle eut un petit sourire avant de se rapprocher doucement de la regarde en douceur.
-En général personne n’accepte une esclave ayant déjà un autre maitre. Mais je vais faire une exception pour toi ma belle, même si cela veut dire que je vais devoir te partager avec ton devoir.
Elle eut un petit sourire avant de poser son doigt sur la tête de sa nouvelle soumise et lui dit doucement.
-Cependant ma petite Alice, je te demande en échange que tu viennes me voir de temps en temps. Je ne veux pas que lorsque tu auras pris le trône tu abandonne ta maitresse.
Elle lui caressa doucement les fesses, lui mettant une petite tape sur celles-ci afin de signer ce contrat. Après tout, ce s’était cela qui s’offrait à la jolie princesse. Une vie de luxure mais aussi de servitude. Elle eut un petit sourire avant de la prendre dans ses bras et de lui glisser à l’oreille.
- Bien maintenant que cette question est réglée, pourquoi ne pas montrer tes progrès à ta maitresse. Après tout, tu as du faire de nombreux progrès et j’ai envie de voir cela.
Elle eut un petit sourire, attendant de voir ce que la jeune femme avait apprise depuis tout ce temps. L’elfe rouge devait elle lui réapprendre et faire de cette petite princesse une bonne chienne ? Ou bien, celle-ci avait elle déjà tout ce dont elle avait besoin pour être une bonne petite soumise ? elfe rouge allait bientôt le savoir et honnêtement, elle était assez impatiente de voir cela.
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Il ne fallait pas croire qu’Alice n’avait pas réfléchi à la situation. Elle était effectivement entre deux chaises : d’un côté, elle appréciait beaucoup l’idée d’être soumise aux autres, surtout à de belles femmes autoritaires et expérimentées ; de l’autre, elle était destinée à gouverner un peuple. Deux situations qui étaient radicalement incompatibles entre elles. Si le peuple apprenait que leur Reine se faisait fouetter le cul par une elfe, les gens n’auraient plus confiance. C’était encore plus vrai à Sylvandell, qui était un royaume guerrier par excellence. Le souverain se devait d’être une personnalité charismatique et forte, afin de pouvoir s’imposer dans les négociations et les tensions diplomatiques. S’il était connu de tous que le souverain aimait marcher à quatre pattes avec un collier autour du cou, ledit souverain n’impressionnerait personne, et ceci impacterait sur l’intégralité du royaume. Alice avait donc sérieusement réfléchi, et, pendant des semaines, elle s’était dit qu’elle ne reverrait plus Tinuviel, que le risque était trop grand... Mais, la nuit, le souvenir de l’elfe rouge revenait la hanter de manière récurrente. Elle avait donc décidé de ne pas lutter contre ses aspirations profondes, mais, plutôt, de trouver un moyen de les encadrer. La jeune blonde partait du principe qu’il ne fallait pas se voiler la face, qu’il fallait accepter ce qu’on était, et de vivre avec ça. Elle aimait la soumission, elle aimait l’idée d’avoir un maître ou une maîtresse lors des ébats, elle aimait l’idée d’être guidée, mais, en même temps, elle accordait aussi une grande importance à ses fonctions royales.
Tinuviel accepta ça, tout en lui caressant les fesses. Elle la traitait comme une sorte d’objet, et Alice en ressentait de violents frissons de plaisir. Oh, comme elle aimait ça ! Ceux qui la connaissaient intimement, comme Cirillia, Melendil, ou encore Mélinda, savaient comment la Princesse fonctionnait, tout comme ils savaient qu’elle se refusait à afficher ça en public. Si on tentait, on risquait de voir la Princesse lourdement s’opposer, vous rappelant ainsi que la nature humaine était faite de paradoxes et de contradictions, et que rien n’était jamais clair ou simple.
« Cependant ma petite Alice, je te demande en échange que tu viennes me voir de temps en temps. Je ne veux pas que lorsque tu auras pris le trône, tu abandonnes ta maitresse. »
Posant ses mains sur les épaules de l’elfe, Alice hocha lentement la tête.
« Naturellement, je ne l’entendais pas autrement... répliqua-t-elle d’une voix quelque peu éreintée par le désir. Tu... Vous êtes un peu comme une drogue, Maîtresse. Si je reste trop longtemps sans profiter de votre expertise, je vais me languir de vous. »
Il y avait un peu de flatterie, mais aussi un certain fond de vérité. Certes, la vie sexuelle d’Alice n’était pas un long fleuve tranquille. Elle n’avait pas une montagne d’amants, mais, entre Melendil et Cirillia, elle était plutôt bien occupée... Sans compter ses visites régulières dans le manoir de Mélinda, qui étaient toujours l’occasion de profiter du lit de la vampire, ou encore les fois où sa femme dormait avec elle, Alice avait une vie plutôt bien remplie... Cependant, elle n’en avait pas oublié Tinuviel, et le charme des elfes. L’elfe rouge était très douée, et c’était bien cet élément qui faisait pencher la balance en sa faveur.
Alice restait contre elle, sentant Tinuviel la prendre dans ses bras, et elle posa ses mains sur ses épaules, sa bouche allant lécher sa nuque, embrassant tendrement sa belle peau. Visiblement satisfaite, la Maîtresse lui donna alors ses premiers ordres : montrer ses progrès... Si tant est qu’on puisse appeler ça un ordre, par sa généralité. Alice réfléchit un peu, étudiant la proposition. Quand Tinuviel l’avait rencontré, Alice était encore relativement naïve et insouciante. Si elle avait toujours, en elle, un fond de naïveté, elle savait aussi faire preuve d’une certaine lucidité. Elle réfléchit un peu, restant blottie contre le corps chaud et doux de Tinuviel, puis finit par trouver une idée... Elle allait faire sa provocatrice.
Elle mordilla alors la nuque de Tinuviel, tendrement, léchant sa peau, et l’embrassa remontant vers son oreille, en soupirant cette dernière.
« Hum... Maîtresse, je crois que vous risquez d’être surprise... »
Tout en parlant, elle fit descendre ses mains, et empoigna, à travers le tissu de la robe, chacun des seins de la femme, avant de la pousser d’un coup. Tinuviel se retrouva ainsi couchée sur le dos, avec Alice au-dessus d’elle, les cheveux de la Princesse descendant en cascade. Elle embrassa alors l’elfe sur les lèvres, un tendre baiser, tout en continuant à malaxer ses seins. Ce simple frottement de lèvres s’accentua assez rapidement. Mélinda lui avait appris à embrasser, en lui expliquant qu’un baiser, ce n’était pas qu’un simple frottement des lèvres. Il fallait aussi tenir compte d’autres facteurs, allant jusqu’au frottement du bout du nez à celui du menton. Il y avait le baiser « idiot », où on se contentait de plaquer les lèvres l’un contre l’autre, que Mélinda appelait aussi le baiser « bouche-à-bouche », et un autre baiser, le baiser « vrai », qui consistait à transmettre sa passion à sa partenaire. C’est ce genre de baiser qu’Alice fit.
Ses deux lèvres mordillèrent la lèvre inférieure de Tinuviel, tirant dessus, et elle releva alors sa lèvre supérieure, qui s’était alors glissée entre celles de Tinuviel, creusant ainsi un trou, par le biais duquel elle put enfouir sa langue. Elle avait les yeux clos, consacrée à sa tâche, soupirant faiblement, le corps parcouru d’agréables frissons, et, tandis qu’elle jouait avec la langue de sa Maîtresse, et glissait le long de ses dents, elle remuait lentement, très lentement, son visage, faisant frotter le bout de son nez contre celui de Tinuviel, le titillant. Ses mains, elles, continuaient à presser les seins de la femme, les pouces glissant sur les tétons, perceptibles à travers la robe.
Elle prenait les devants. Tinuviel pouvait estimer qu’Alice allait au-delà de ses attributions en tant qu’esclave, ou pas. L’un dans l’autre, tout conviendrait à la petite Princesse.
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Elfe rouge eut se sentit flatter par la petite remarque de sa nouvelle soumise. C’était toujours agréable ce genre de remarque, cependant elle n’était pas dupe et elle se doutait que la jeune femme avait sans doute utilisé cet argument afin de lui faire mieux accepter sa demande. Elle n’était qu’à moitié dupe mais finalement elle n’avait que peu de choix et celui-ci était sans doute le plus acceptable pour elles.
Elfe était curieuse de voir comment la jeune princesse allait répondre à sa demande. Elle l’observa, soupirant lorsque la petite princesse se décida à lui montrer ses talents. Il était certain que la demoiselle avait gagné en expertise, toutefois il en faudrait bien plus pour que cela ait un effet sur la dame rouge.
Elle ne s’attendait cependant pas à être le jouet de la princesse. Celle-ci maitrisait bien mieux les caresses et les baisers et l’elfe se dit qu’il lui faudrait sans doute renforcer ses nouvelles compétences.
Celle-ci s’attaqua ensuite à ses tétons, laissant l’elfe soupirer doucement. Il était peut être temps de montrer à cette petite princesse qu’elle attendait plus d’elle.
Elle plongea sa main dans la belle chevelure de la petite blonde avant de tirer son visage vers son intimité. Elle était encore habillée mais le message était claire, cette petite princesse n’était désormais là que pour son plaisir. Si elle se comportait bien, alors peut être l’elfe rouge se déciderait de la récompenser mais sinon, elle serait puni comme il se doit.
Elle observa la jeune femme, souriant doucement alors que sa main était encore dans sa chevelure, elle pourrait ainsi doser la fougue de la petite demoiselle si elle le voulait.
-Bien, il est certain que tu as fais des progrès mais montre moi que ce n’est pas que de l’esbroufe. Tu devrais facilement me faire jouir désormais n’est ce pas ?
Elle lui caressa doucement la joue avant de continue.
- Comporte-toi bien et tu seras récompensée. Mais oublie ta place princesse et je te jure que tes fesses te feront tellement souffrir qu’il te sera impossible de t’assoir pendant plusieurs jours. Et ce n’est pas la pire chose qu’il pourrait t’arriver.
A cette parole, l’elfe resserra sa poigne, tirant légèrement la tête de la princesse vers le sol. Elle devait reconnaitre qu’il était assez jouissif de lui faire subir ceci, oui elle pourrait très bien prendre gout à s’occuper cette pauvre petite princesse.
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Alice jouait avec le corps de Tinuviel, titillant sa Maîtresse, lui montrant de quoi elle était capable, tout en hésitant. Devait-elle la provoquer, ou jouer son jeu ? Tout dépendait de ce qu’elle recherchait... Tinuviel était une main de fer dans un gant de velours. Préférait-elle le velours, ou le fer ? La douleur, ou le plaisir ? Quand on parlait de sexe, Alice avait cru qu’ils étaient les deux facettes d’une même pièce : aux antipodes l’un de l’autre, mais en même temps indissociables. L’un ne pouvait aller sans l’autre, mais on pouvait donner priorité à l’un par rapport à l’autre. Le sexe, c’était ça, c’était cette faculté à transcender des sentiments opposés, à les rapprocher pour qu’ils fusionnent et ne fassent plus qu’un. Alice jouait avec les seins de sa Maîtresse, la titillant, et cette dernière, soudain, la tira par les cheveux.
« Ha ! »
La douleur irradia dans le corps d’Alice, une douleur exquise, qui ne la rebutait pas, mais qui, inexplicablement, l’attirait. Comment justifier cette attirance pour la douleur dans le sexe ? Était-ce commun à tous les êtres vivants ? Est-ce que ça venait d’elle ? Du sang de dragon bouillonnant dans ses veines ? La douce Princesse frissonna devant l’autorité inébranlable de l’elfe, qui amena son visage près de son intimité. Alice frissonna, alors que Tinuviel continuait à donner des ordres, d’une voix qui était à la fois autoritaire, dure, et délicieusement sensuelle. La Princesse en était toute émoustillée, et Tinuviel continua à appuyer sur sa tête, tout en lui imposant de nouvelles directives :
« Comporte-toi bien et tu seras récompensée. Mais oublie ta place princesse et je te jure que tes fesses te feront tellement souffrir qu’il te sera impossible de t’assoir pendant plusieurs jours. Et ce n’est pas la pire chose qu’il pourrait t’arriver. »
Alice frissonna. Encore une fois, ce dilemme... Ce choix cornélien qui s’offrait à elle. Obéir, ou résister, et ainsi se faire punir ? C’était presque à croire que l’elfe rouge voulait la pousser au crime ! Alice se mordilla les lèvres, tout en se rapprochant des belles jambes de l’elfe. Le fétichisme était une autre chose qu’elle avait progressivement appris avec Mélinda, comme une illustration de la soumission. Aucun plaisir sexuel à proprement parler, mais pourtant... Ah, que c’était bon ! On avait déjà léché les pieds d’Alice, mais elle aimait surtout être à l’inverse, sans pouvoir se l’expliquer... La soumission, cependant, pouvait-elle s’expliquer ? Chez Alice, elle répondait à des besoins inconscients, à des fantasmes et à des désirs enfouis dans son enfance. Les appréhender était très difficile, et elle ne cherchait plus à les comprendre, simplement à les accepter.
La Princesse pesait le pour et le contre, et finit par opter pour un acte de rébellion. Elle prenait des risques, mais, si elle avait traversé toute une partie de Terra pour rejoindre Tinuviel, c’était bien pour avoir une Maîtresse. Alice allait prendre des risques, mais c’était ça qu’elle voulait faire. Se pinçant donc les lèvres, elle releva la tête, dans la mesure du possible, et frotta sa tête contre la jambe de Tinuviel, enfonçant son nez contre sa peau, le long de sa cuisse, comme une docile petite chienne, avant de lui répondre :
« Pendant plusieurs jours ? Vous vous surestimez, Maîtresse... »
Elle l’annonça avec un sourire espiègle, un signe qu’elle était en train de jouer, et qu’elle voulait tout simplement offrir à Tinuviel un argument suffisant pour passer au choses sérieuses.
Il n’y avait plus qu’à espérer que l’elfe rouge mordrait à l’hameçon.
-
Elfe rouge eut un léger sourire à la réflexion d’Alice. Cette princesse était intelligente et elle savait comment faire pour atteindre son but. Cependant elfe n’était pas tombée de la dernière pluie. Si cette petite princesse pensait pouvoir la manipuler alors elle se trompait lourdement.
Elfe rouge la regarda, lui mettant une violente tape sur les délicates fesses de la princesse. Elle avait obtenue ce qu’elle souhaitait mais ce n’était pas l’unique chose que l’elfe lui donnerait.
-Ne crois pas Alice que je n’ai pas compris ton petit jeu.
Elle frappa encore une fois les fesses de la princesse, un petit sourire sur ses lèvres.
-Je sais que tu veux que je te punisse et tu es entrain de prend ton pied alors que je maltraite tes fesses.
Encore une tape sur les fesses de la jeune princesse. L’elfe ne se retenait pas et à chacune d’entre elle, la petite princesse sentirait sans doute une violente douleur chassée par une chaleur intense provoquée par les petits fantasmes de la princesse.
-Mais écoute-moi bien, petite Salope. Je te jure que si tu joue trop avec moi tu risque de te bruler sévèrement.
Elle eut un grand sourire, avant de matérialiser un fouet de flamme. Celui-ci n’était pas chaud dut moins pas assez pour provoquer une brulure mais la jeune princesse le sentirait passer c’était certain.
- Montre-moi tes fesses. Et je ne veux rien devant elles ou je double ta punition compris ? Tu mérite dix coups de fouet. Je te laisse les compter et je ne veux rien entendre d’autre ou ta punition recommencera jusqu’à ce que le compte soit bon.
L’elfe était sérieuse désormais. La jeune femme avait voulu jouer et il était temps qu’elle en comprenne les conséquences. Conséquences qui resteraient gravées dans ses chaires pendant de longues semaines. D’un autre coté elle avait était prévenue cette petite princesse non ?
-Aller, dépêche toi, je n’ai pas toute la journée…
-
Sa répartie, pleine d’ironie, récolta une gifle sévère sur son petit cul, ce qui fit gémir la Princesse. Il y avait de la douleur, certes, mais... Aussi autre chose. Quelque chose de plus intime, de plus... Différent. Comme quoi, un esclave ne devait pas savoir faire preuve d’ironie. Ceci étant dit, Alice provoquait délibérément Tinuviel, ce que sa Maîtresse sentait, réagissant en conséquence. Même Alice ne pouvait pas se l’expliquer. Comment pouvoir, en effet, justifier le fait d’aimer être battue par de belles femmes ? C’était contraire à la logique, contraire au fait que la douleur n’était pas agréable. Il n’y avait que la perversion humaine pour faire ça, pour se dire que, somme toute, le fait de souffrir pouvait, selon le contexte, être agréable. Alice était là, soumise devant cette femme, cette délicieuse elfe rouge, une esclavagiste, qui allait la battre... Loin de l’effrayer, cette perspective provoquait en elle une singulière exception. Était-elle à ce point une traînée ? Dans ce cas, elle se débrouillait pour dissimuler ça au commun des mortels ! Publiquement, Alice restait toujours la douce Princesse de Sylvandell, l’élégant « Joyau », pétri de naïveté et d’une espèce d’innocence enfantine. Il fallait savoir dissimuler ses cartes quand on était, comme elle, appelée à un poste de responsabilité. Elle avait confiance en Tinuviel pour ne pas divulguer ce genre de choses. L’elfe elle-même vivait recluse, dans le désert, probablement pour éviter d’avoir à se confronter avec les intrigues politiques du pouvoir.
Tinuviel se mit à parler, l’insultant en la giflant, et Alice couinait tendrement, serrant les poings sur le sol, à quatre pattes devant la femme.
« Haaa... Haaaaannn... »
Les coups continuaient à pleuvoir sur son fondement, claquant dans la pièce, montrant le talent certain de la Maîtresse. Alice se mordillait les lèvres en fermant les yeux, se sentant alors pleinement dans la peau de l’esclave soumise... Il ne manquait plus que les chaînes, le fouet, et le cuir pour parfaire cette situation.
« Mais écoute-moi bien, petite Salope. Je te jure que si tu joue trop avec moi tu risques de te brûler sévèrement.
- O-Oui, Maîtresse..., murmura la Salope en se mordillant les lèvres. Pa... Pardonnez-moi... »
Elle tourna lentement la tête vers la femme. Alice savait qu’il était toujours plus excitant quand la soumise venait à implorer la pitié de son maître... Ou, en l’occurrence, de sa Maîtresse. La réalité était qu’Alice était attirée par la soumission... On lui hurlait dessus depuis qu’elle était petite, alors, forcément, quand ça venait d’une voix douce et féminine, et non de la voix rauque et bourrue de son père, elle redevenait cette petite fille élégante et timide qui se cachait derrière les jupons de sa servante quand elle avait fait des bêtises. Peut-être que tout venait de là... Elle vit alors un fouet enflammé apparaître dans le creux de la main de Tinuviel, une arme hypnotique, répandant des flammèches tout le long de son pourtour. Alice se mordilla les lèvres en sentant un frisson la traverser.
Tinuviel parla alors sur un ton sec, en lui disant qu’elle allait la fouetter dix fois, et qu’elle voulait que ce soit Alice qui compte. L’intéressée se pinça à nouveau les lèvres, fixant les flammes, ébahie. Un fouet enflammé... Elle ne risquait pas de prendre feu ? Elle se convainquit que le fouet devait être magique, et que Tinuviel ne cherchait pas à la mutiler. Elle hocha lentement la tête, les joues rouges, puis bomba alors ses fesses, en serrant les poings, et en se mordillant les lèvres.
« Voi... Voilà, Maîtresse... » dit-elle, en sentant sa Maîtresse s’impatienter.
Elle ferma les yeux, attendant le premier coup. Elle se mordilla les lèvres, serrant les poings. Tout ça, c’était dingue...Elle allait se faire fouetter par un fouet enflammé ! La Princesse devait réagir, elle devait faire quelque chose ! Sa robe était relevée découvrant ainsi l’ourlet de ses fesses, et elle avait elle-même pris soin de retirer sa culotte. Plus aucun obstacle entre elle et le fouet, et elle pouvait entendre les chuchotements des flammes dansant dans l’air...
*SCHTAAAC !!*
Alice poussa un bref cri, un glapissement, quand le fouet de feu s’abattit sur ses fesses. Elle tressauta sur place, son buste bascula vers le sol, et elle se rétablit sur ses pieds. La douleur hurla en elle, et elle se pinçait les lèvres, tout en se rappelant l’ordre de Tinuviel. Soupirant faiblement, Alice entrouvrit les lèvres, et rouvrit la tête, poussant un hurlement, alors qu’elle avait l’impression que son cul était en feu :
« U... Un ! »
Elle soupira ensuite, se mordillant les lèvres. Tout son corps tremblait, mais la punition était évidemment loin d’être fini.
*SCHTAAAAC !!!*
Nouvel hurlement, alors qu’Alice redressa sa tête cette fois-ci. Le fouet lécha son corps, mais, même en partant, il laissait une arrière-douleur, celle des flammes, dansant sur la blessure qu’elle avait à hauteur des fesses.
« De... Deux !! »
*SCHTAAAAAC !!!*
Alice cracha par terre, en sentant ses bras remuer. Elle avait les jambes écartées, et on pouvait également voir quelques gouttes filer sur le sol, à hauteur de son basin. Sa respiration était haletante, précipitée, et elle avait le sentiment que des flammes sortaient de la fesse que Tinuviel était en train de fouetter à chaque coup, le fouet crachant et sifflant comme un serpent nocif.
« Trois !! »
Elle soupira à nouveau, rouvrant les yeux. Sa vision était floue, et tout son corps vibrait lentement.
*SCHTAAAAACCC !!*
Le fouet semblait plus violent à chaque coup, plus agressif, plus avide, et continuait à faire sursauter Alice, qui peinait à avaler sa salive. Les gouttes de mouille s’accumulaient sur le sol, filant de son jardin intime. Liquide délicieux, jus de toutes les saveurs, renfermant en son sein la naissance du monde.
« Qu-Quatre !! »
Sa voix était tremblotante, tandis qu’Alice commençait également, sans pouvoir se l’expliquer, à avoir mal aux seins. Ses bras avaient de plus en plus de mal à la porter, alors qu’elle sentait tout son corps en feu. Elle remuait les fesses de gauche à droite, afind e s’accommoder aux flammes qui restaient sur elle, mais qui, curieusement, ne brûlaient pas tout son corps, ni ne faisaient fondre sa chair. Elles laissaient juste une trace noircie zébrée de rouge, là où se trouvait son sang.
*SCHTAAC !!*
« Cinq !! »
Elle le dit plus rapidement cette fois. Sa respiration était toujours lourde, forte, mais Alice commençait à s’y habituer, accompagnant lentement le mouvement, en tentant de reprendre son souffle... Ce qui était vain. Elle était en train de ventiler à fond, la douleur écrasant tout, l’empêchant de penser à rien d’autre... Et, quand elle fermait les yeux, elle voyait le fouet danser devant ses yeux, glissant sur son corps, louvoyant tendrement pour l’enlacer dans ses bras enflammés.
C’était comme si elle avait envie de pleurer. Ses yeux étaient embués, et, si elle tentait d’écarter ses paupières, tout était flou, indistinct, tandis que sa salive coulait le long de ses lèvres, salissant son menton, filant entre ses mains appuyées sur le sol.
La parfaite chienne attendait encore de se faire battre.
*SCHTAAAC !!*
Les gouttes s’épaississaient sur la moquette de la chambre.
« S-Six !! »
*SCHTAAACCC !!*
« S-Sept, haaannn !! »
Elle soupirait, maintenant, et remuait ses fesses d’avant en arrière.
*SCHTAAAAC !!*
« Huit !! Huit, huit, huit, huuuuuiiiannnnn !! »
Elle cracha à nouveau de la salive, en sueur, larmes et salives se mélangeant. Elle avait mal, oui, mal comme si on la déchirait de l’intérieur, mais, aussi... Elle n’en pouvait plus, sentant le moment approcher, le point de chute, le moment où elle allait s’abandonner...
*SCHTAAAAC !!!*
Aucune réponse, si ce n’est un long soupir langoureux.
*SCHTTAAAACC !!*
« Ne-Neuf !! »
Ses bras tremblaient, aussi solides que des feuilles.
*SCHTAAACCC !!*
Le feu dansait autour d’elle, et Alice se revoyait la scène, s’imaginait son cul meurtri, s’imaginait attachée à des chaînes, en étant fouettée au milieu du dos par cette femme.
*SCHTAAAC !! SHTAC !!*
Et le bruit du fouet... Oh, ce bruit de claquement, ce délicieux bruit... Alice en tremblait sur place.
*SCHTTAAAACCC !!*
« D-dix... » murmura la Princesse.
Il suffisait de voir sous son corps pour constater qu’elle avait joui... Ses bras finirent par se dérober sous elle, et elle s’écroula sur le sol, se couchant sur le ventre, épuisée, tout le corps en ébullition. Elle continuait encore à dandiner des fesses, car son cul lui semblait toujours être en feu.
Paradoxalement, par-delà toute la douleur qu’elle ressentait, toute cette souffrance insoutenable, Alice était aussi terriblement excitée.
En réalité, elle avait adoré ça.
-
L’elfe eut un léger sourire. Elle devait admettre une chose, elle adorait voir sa petite princesse dans cette position, à quatre pattes attendant sa punition. Cette sensation fut encore exacerbée lorsque la petite esclave demanda sa pitié. Bien sur, elle aurait put lui donner mais, faire cela aurait à la fois brisée sa crédibilité en tant que maitresse mais également que ce n’était pas ce que cherchait Alice.
Elle appliqua donc sa sentence, observant avec délice le corps de la petite princesse se crisper sous chacun de ses coups.
Elle constata avec plaisir son fluide intime couler lentement contre ses cuisses jusqu’à former une véritable flaque.
Lorsque la jeune princesse s’écroula sur le sol, l’elfe rouge fit disparaitre son fouet avant de se rapprocher doucement d’alice et de s’assoir à coté d’elle. Elle prit délicatement la tête de la petite blonde et la posa sur sa cuisse avant de la caresser.
Oui, la punition était fini et l’elfe n’avait plus besoin d’être sadique jusqu’à la prochaine. Elle caressait donc la petite princesse le temps que celle-ci reprenne doucement ses esprits. Cependant elle n’allait pas terminer comme cela. Elle avait certes bien punie cette petite chienne mais celle-ci y avait trouvé un plaisir certain. Elle se devait donc de bien marquer le coup, c’était une punition après tout, pas une récompense.
-Et bien, je ne te savais pas si perverse, Jouir parce que ta maitresse te maltraite le cul. Je devrais peut être le faire plus souvent. Après tout, tu as l’air d’aimer cela vu comme tu as trempée mon sol.
Elle eut un petit sourire avant de lui mettre une petite tape sur les fesses. Elle savait cependant que vu le traitement qu’elle venait de subir, elle le sentirait passer mais peu importe. Elle avait ce privilège après tout.
-Bien, j’espère que tu as compris la leçon petite chienne. La prochaine fois, je te promets que ce sera pire donc reste une gentille petite soumise.
Une menace ? Non juste un avertissement pour que Alice comprenne que l’elfe rouge ne plaisantait pas. Elle n’aimait pas punir mais elle n’hésiterait pas avec la petite princesse à faire ce petit sacrifice.
-
Il n’y avait que le sexe qui pouvait vous amener à de tels extrêmes : vous faire aimer et détester la même chose. Tinuviel l’avait fouetté avec un fouet enflammé, maltraitant son cul, et Alice gisait sur le sol, tout le corps en souffrance, tout son être en ébullition. Cette souffrance, elle l’avait senti passer, mais, pour autant, malgré l’évidente douleur qu’elle avait ressenti, la belle blonde avait aussi ressenti autre chose... Une sorte de profond plaisir à chaque coup, le frisson qu’il y avait à se sentir dominée, à se sentir battue, et à être battue. Oui, elle avait clairement aimé ça. Elle avait même totalement adoré, et, maintenant que c’était terminé, elle se sentait patraque. Ses fesses lui faisaient atrocement mal, et, alors que Tinuviel se rapprochait, Alice sentit de nouveaux frissons la traverser. L’elfe rouge s’assit près d’elle, et Alice ne résista pas à ses mains venant saisir sa tête, et la poser sur ses cuisses. Elle frissonnait à nouveau, et posa ses mains sur les jambes de sa Maîtresse, les caressant. Tinuviel n’avait pas hésité. Elle l’avait fouetté. C’était cruel, mais aussi... Extrêmement pervers et délicieux. Alice continuait à frissonner, papillonnant des yeux, chassant ses larmes, entendant sa Maîtresse lui parler... L’elfe la gifla à nouveau, et, bien que la claque ne soit pas forte, Alice poussa un petit cri, se crispant contre le corps de la femme.
Tinuviel lui avoua qu’elle n’hésiterait pas à faire pire si jamais Alice continuait ainsi à contester son autorité. Et, bien qu’il soit tentant de jouer avec le feu, Alice ne pouvait pas s’y risquer pour le moment. Elle avait été battue, humiliée comme une chienne, mais elle ne voulait pas jouer les prolongations.
« O-Oui... »
Alice reprenait lentement son souffle, et remua un peu son corps.
« Je... Je suis désolée, Maîtresse... »
Plus de provocation cette fois, le cul d’Alice avait retenu la leçon. La Princesse était maintenant un brin plus docile, et posa ses lèvres sur la douce main chaude de Tinuviel. Elle baisa sa paume, sentant son cœur battre lentement dans sa poitrine, puis cessa de l’embrasser ici, pour ensuite poser ses lèvres sous l’ourlet de sa robe, embrassant directement la jambe de l’elfe. Alice recommença alors à parler, d’une voix marquée par un désir lancinant.
« Il... Il faudra souvent me punir ainsi, Maîtresse... Car ce n’est qu’ainsi que je deviendrais votre parfaite femme, ce qui est mon plus cher désir... Vous servir, vous obéir, vous aimer... »
Alice parlait évidemment sous le fruit de l’excitation, et elle continuait à embrasser la jambe de Tinuviel, descendant de plus en plus, en signe de profonde servitude. Ses fesses continuaient à gémir, comme une plaie béante, et elle se rapprocha ainsi du pied de l’elfe rouge, qu’elle se mit à baiser, sans aucune hésitation, et avec un plaisir évident.
« Apprenez-moi, Maîtresse, poursuivit alors Alice en relevant la tête, son regard croisant celui de Tinuviel. Apprenez-moi à être votre amante dévouée... »
-
L’elfe se laissa faire, la servitude de la petite princesse lui donnait un véritable plaisir et la voir comme cela, à ses pieds entrain de les lui lécher. Il n’y avait rien de plus agréable à son gout. Elle ne pouvait cependant pas s’empêcher d’imaginer la petite Alice avec un collier entrain de la supplier de la prendre comme une chienne. Oui, cela viendrait tôt ou tard.
Elle eut un léger sourire avant de prendre la chevelure de la jeune femme en main et de les lui tirer afin que la petite princesse puisse voir le visage de l’elfe rouge.
-Je t’apprendrais petite chienne. Je verrais de toi ma parfaite amante, ma parfaite petite chienne pour que tu puisse accomplir ce à quoi tu es destinée.
Elle eut un sourire avant de prendre le visage de la petite princesse entre ses doigts et de lui caresser doucement la joue de l’autre main. Elle pouvait sentir l’excitation de la petite princesse mais d’un autre coté, elle savait qu’attendre un peu ne pouvait lui faire que du bien. Elle se devait de lui apprendre la patience à cette petite princesse.
Elfe eut un petit sourire avant de lui dire doucement à cette pauvre petite.
-Bien, suis moi, nous allons au bain. Si tu te comporte bien, je m’occuperais de toi. Mais je veux d’abord sentir tes petites mains laver mon corps.
Elle eut un petit sourire, caressant lentement le dos de la jeune princesse, elle l’exciterait encore un petit peu et quoi de mieux pour cela que l’ambiance des bains. Des corps nue, de l’eau, des caresses… Oui, il n’y avait rien de mieux pour chauffer encore un peu plus cette jeune femme et laisser sortir sa véritable nature. Elle était curieuse de voir comment la pauvre petite princesse réagirait à cette invitation, ou plutôt à cette obligation.
Elle n’attendit cependant pas la petite princesse et se dirigea vers la salle de bain d’un pas lent pour que la jeune princesse puisse la suivre. Qu’elle profite pour l’instant car bientôt l’elfe rouge en ferrait une véritable chienne. Oui, c’était son objectif, transformer cette petite princesse en une chienne obéissante et compétente. Mais pour l’instant elle se concentrer sur une autre partie du dressage de la princesse. Une partie plus intéressante et plus plaisante pour elles deux.
-
La patience n’avait effectivement jamais été le fort de la Princesse, que ce soit d’un point de vue sexuel ou autre. Attendre, ce n’était tout simplement pas son trip’. Pour autant, elle avait parfois du attendre de longs moments, notamment lorsqu’elle se rendait au cœur de l’Empire pour rencontrer de hauts dignitaires impériaux. Ces derniers semblaient mettre un point d’honneur à faire poireauter aussi longtemps que possible leurs invités, même quand ils venaient de territoires éloignés. Des contacts au sein de la capitale avaient expliqué à Alice que c’était une manière de rappeler aux invités qui était le maître chez soi. En les faisant attendre, on leur montrait qu’ils n’étaient pas aussi prioritaires que ce qu’ils croyaient, et on se plaçait en position de force. La gestion du temps était une question de pouvoir. Si on ne faisait pas attendre des personnages puissants, les puissants, eux, s’amusaient à plier votre emploi du temps au vôtre, à vous rappeler qui vous étiez, et que ce n’était pas vous qui aviez le pouvoir en main. Ce n’était pas qu’une philosophie ashnardienne, mais quelque chose de classique. Tout ça pour dire qu’Alice n’adhérait pas vraiment à ce système.
Tinuviel, sa Maîtresse, aurait tout à fait pu lui faire l’amour en ce moment. Alice ne demandait que ça, surtout après avoir été fouettée. Le fouet de feu lui avait fait mal, très mal, mais, en même temps, les claquements du fouet l’avaient profondément excité, la galvanisant, attisant le feu qui brûlait en elle, qui lui dévorait ses intestins et son bas-ventre. La Maîtresse n’avait plus qu’à récolter les braises, mais, plutôt que de la soulager, elle soufflait dessus, la caressant, glissant ses beaux doigts doux et chauds sur son corps. La belle Princesse se laissait faire, rougissant à chacun des mots de l’elfe. Ils étaient autant d’humiliations et de provocations, des mots méchants, humiliants, mais ô combien exquis. Elle les savourait, ces mots, elle les avalait sans rechigner, s’en régalant, s’en délectant. « Parfaite petite chienne »... Dans sa tête, Alice s’imaginait à quatre pattes, une laisse autour du cou, une queue caudale sortant de ses fesses pour évoquer une chienne... Un fantasme pervers, qu’une Princesse sylvandine n’aurait jamais du ressentir, mais qui était bien là, et qui l’amenait à contracter ses jambes, et à frissonner.
Alice n’osait pas parler, se contentant de reprendre lentement son souffle, son cul lui faisant toujours mal :
« Bien, suis moi, nous allons au bain. Si tu te comportes bien, je m’occuperais de toi. Mais je veux d’abord sentir tes petites mains laver mon corps. »
Alice hocha la tête. Elle ignorait si elle devait y aller à quatre pattes ou non, mais, faute de précisions supplémentaires, et ne voulant pas faire preuve d’une excès de zèle qui aurait contrarié la Maîtresse, Alice se releva.
« Bien, Maîtresse » se contenta-t-elle de dire, acquiesçant à la demande de la femme.
Ses petites mains laver son corps... Alice en frissonnait, et suivit silencieusement sa Maîtresse. La salle de bains était une grande pièce agréable, et le bain en question était un confortable bassin. Alice observa la pièce, les joues rouges, déglutissant silencieusement. L’endroit était très agréable, respirant la volupté et la luxure.
Elle était prête à la servir, à suivre les ordres de sa Maîtresse dès qu’elle les prononcerait.
-
Elfe la guida doucement vers la salle de bain. Elle lui caressa tendrement la joue, avant de l’embrasser tendrement, lentement, juste pour faire monter un peu plus la chaleur dévorant la petite princesse. Sa langue jouant lentement avec celle de la petite princesse dans un baiser tendre et délicat.
Elle coupa finalement le baiser avant de lui glisser doucement à l’oreille.
-Ma petite Alice, je t’ai demandé de t’occuper de moi. Lave mon corps, montre-moi que ta maitresse et une déesse digne de ta vénération.
Elle eut un petit sourire avant d’enlever lentement son armure, dévoilant son corps à la petite princesse avant de se glisser dans l’eau. Elle eut un petit sourire avant de lui faire un signe de la main pour que la petite princesse puisse la rejoindre.
-Bien, prends une éponge et commence à me laver le dos. Vas-y lentement, délicatement, tu dois me montrer que ta maitresse et une déesse dont tu vénère chaque centimètre de peau.
Elfe rouge lui caressa lentement la joue avant de la laisser faire. Appréciant chaque caresse de la petite blonde. Oui, elle s’y prenait bien cette petite humaine. Bien sur, il y avait encore quelques points à améliorer et elfe lui fit remarquer.
-Plus lentement sur mon dos Alice, prend ton temps. Tu es peut être pressée que je m’occupe de toi et de ton petit corps, mais n’oublie pas qu’elle est ta priorité.
Une fois satisfaite, l’elfe rouge lui fit signe de s’arrêter. Elle eut un petit sourire avant de s’avancer lentement vers la petite princesse, lui caressant doucement la hanche. Oui, il était temps pour la petite princesse d’être libéré de cette pulsion qui la consumait depuis déjà trop longtemps.
Elfe rouge passa lentement ses doigts sur le corps de la petite princesse, jouant avec chacune de ses courbes, passant lentement sur ses reins, avant de remonter dans le dos.
Elle joua comme cela durant de multiples secondes avant finalement que l’elfe rouge ne se décide à caresser la poitrine de sa petite esclave.
-La soirée ne fait que commencer ma petite Alice. J’espère que tu es en forme car ce soir je vais faire de toi une femme comblée, ma petite chienne.
Elle lui caressa lentement le cou avant de lui mordiller l’oreille. Oui, elle allait passer une très bonne nuit en compagnie de la petite princesse.
-
Tinuviel l’embrassa, et Alice frissonna en sentant ce baiser. Elle ferma les yeux, et caressa les hanches de la femme, répondant délicatement au baiser de la Maîtresse. Tinuviel le rompit ensuite, et, après cet avant-goût alléchant, se déshabilla sous les yeux d’Alice. Cette dernière se mordilla les lèvres, rougissant de plaisir en voyant ce corps nu et délicieux, onctueux, magnifique... La beauté elfique dans toute sa splendeur. Alice loucha sur le beau fessier de Tinuviel, sur sa chute de reins, sur son dos, et sur ses longues jambes fuselées... Oh, qu’elle était belle ! Alice fondait sur place, papillonnant des yeux, et se rappela alors qu’elle avait une tâche à accomplir, et qu’elle ne pouvait pas simplement mater sa Maîtresse en sentant ses intestins se tortiller dans son ventre. Elle se déshabilla à son tour, finissant toute nue également, puis rejoignit le bassin.
L’eau était chaude, agréable, et de délicieuses odeurs en sortaient, formant un agréable cocon de chaleur. Alice s’y plongea. L’eau lui arriva à hauteur de la poitrine, et la Maîtresse lui ordonna de prendre une éponge. Elle prit le gant de toilette, et mit du savon dessus, à l’aide d’une bouteille de lotion, puis s’approcha. La Maîtresse lui offrait son dos, penchée vers l’avant, et elle se mit à le caresser, glissant dessus. Sa peau était infiniment douce, chaude et agréable, particulièrement confortable. C’était la belle peau d’une elfe qui prenait soin de son corps. Alice continuait à la frotter, remontant le long de ses hanches, glissant le long de sa colonne vertébrale. Maîtresse Tinuviel lui demanda alors d’y aller plus doucement, plus délicatement.
« D’a... D’accord, Maîtresse..., répondit-elle en rougissant. Pa... Pardonnez-moi. »
Elle se reprit, y allant plus délicatement. L’eau était agréable, et son corps était proche de celui de Tinuviel. Elle nettoya son dos, glissant près de ses fesses, devant résister à l’envie de les toucher, de les palper, de les lécher... Il lui suffisait juste de fermer les yeux pour s’imaginer en train de les malaxer, de les presser, de les embrasser, de remuer son nez contre ce délicieux petit cul. Ses rencontres avec Cirillia, Mélinda, ou Melendil, ou tout simplement avec Tinuviel, avaient déchaîné la passion d’Alice, déchaîné sa perversion. La Princesse n’était plus la Princesse de Sylvandell ici, elle était juste la « petite chienne » de Tinuviel, et sa future femme. Cette idée provoquait en Alice des sentiments contradictoires. Elle en était excitée, bien sûr, mais elle avait également un peu peur. Et si Tinuviel ne respectait pas ses engagements ? Et si elle voulait séquestrer Alice ? C’était un risque prévisible.
La Princesse continua à la nettoyer, balayant ses doutes, et Tinuviel se retourna ensuite. Son joli dos laissa place à son ventre, à sa poitrine, à son beau visage, et Alice rougit. Elle baissa le regard, en profitant pour observer le décolleté de Tinuviel. Elle avait de confortables seins, agréables et lourds, fermes, comme la jeune blonde les aimait. L’elfe rouge se rapprocha ensuite, et ses doigts glissèrent le long du corps d’Alice, la caressant de part en part. La jeune femme soupira, gémissant silencieusement, La Maîtresse attisait le feu qui bouillonnait entre ses cuisses, et Alice se contorsionnait, gémissant lentement. Quand elle fermait les yeux, elle revoyait le confortable fessier de Tinuviel. Que voulait la Maîtresse ? Alice brûlait d’envie d’aventurer ses mains sur son corps, mais elle se rappelait où était sa place. Au contact de l’eau, la blessure sur son postérieur l’avait piqué, avant de lentement se calmer, constituant un rappel permanent de ce dont Tinuviel était capable.
Les mains de l’elfe rouge finirent par remonter le long des hanches d’Alice, et elle lui palpa les seins, pressant ses tétons.
« Haaan !! » gémit Alice.
Elle posa ses mains sur les hanches de l’elfe rouge, et sa Maîtresse lui parla à nouveau, continuant à mener la danse :
« La soirée ne fait que commencer ma petite Alice. J’espère que tu es en forme car ce soir je vais faire de toi une femme comblée, ma petite chienne. »
Elle hocha lentement la tête, faisant glisser ses doigts. Ses deux mains étaient sous l’eau, et Tinuviel se blottit contre elle, mordillant son cou, ses dents glissant sur sa peau chaude et tendre.
« Maîtresse, haaa... Je suis... Toujours en forme pour... Pour vous... »
Ses mains s’avancèrent un peu, incapables de se retenir davantage, et elle palpa lentement les fesses de l’elfe rouge, les pressant tendrement, appuyant dessus.
Difficile de se méprendre sur ses intentions, maintenant.
-
Elfe rouge allait elle la séquestrer, l’enfermer dans son donjon jusqu’à la fin de sa vie ? Hum l’idée était très plaisante mais elle avait fait une promesse à cette petite princesse. Elle ne devait donc pas écouter ses pulsions de possession et se contenter de chaque seconde qu’elle passerait avec la petite princesse ce qu’elle comptait bien faire.
Elfe rouge pouvait sentir l’excitation de la petite princesse. Apparemment celle-ci n’était pas loin de son paroxysme et il suffisait de voir que sa petite Alice la suppliait presque pour pouvoir aller plus loin.
Elfe rouge fut confronté à un choix difficile. Attendre encore jusqu’à la chambre ou bien lui faire l’amour ici et maintenant ? Hum, il était probable que ni sa petite chienne, ni elle ne résiste trop longtemps à l’appel du plaisir.
Elfe rouge tira lentement la princesse contre son corps, se frottant lentement contre elle. Elle avait déjà envie de ce corps mais elle prend tout de même son temps. Son corps frotte lentement contre celui de la princesse sa poitrine durcie lentement alors que celle d’Alice est déjà aussi dire que de l’acier.
Elfe lui fit un léger sourire avant de lui faire un petit suçon autour du cou, la preuve que la jeune femme lui appartenait. Après tout, elle avait promis de ne pas la maintenir prisonnière, pas de ne pas jouer un petit peu.
Enfin, il était maintenant temps de sortir le grand jeu. Elfe eut un petit sourire avant de faire quelques baisers sur la poitrine de la jeune femme.
-Tu as bien travaillé ma petite Alice. Je te donne donc une petite récompense.
Elfe rouge continua lentement ses baisers, descendant doucement sur le ventre de la demoiselle, puis sur l’aine. Elle s’arrêta ensuite au niveau de ses lèvres, y déposant quelques baisers. Elle les accéléra avant finalement de glisser une langue inquisitrice dans les profondeurs de la princesse qui au vu de ses gémissements semblaient apprécier le traitement.
-
Comment ne pas être sous le charme de Tinuviel quand elle se pressait contre vous, son corps nu blotti contre le vôtre, dans un bassin chaud ? Alice frissonnait de toute part, et, comme sa Maîtresse continuait à la peloter, à l’embrasser, à la toucher, sans rien lui dire sur ses mains déplacées, Alice en continuait. Serrée contre elle, la Sylvandine pressait ses belles fesses. Tout le corps de Tinuviel était un délice, une ode au plaisir sexuel et à la beauté. Pourquoi diable Alice s’attardait-elle en particulier sur son postérieur, et non sur d’autres parties de son corps ? Elle n’aurait su le dire, les fantasmes ayant pour eux d’avoir leurs propres raisons. La Maîtresse continuait à la peloter, ses lèvres glissant sur sa douce peau, ses mains pétrissant ses seins, et, lentement, Tinuviel se mit à descendre.
Les mains d’Alice relâchèrent sa croupe, remontant le long de son dos, avant de se poser sur les cheveux de l’elfe rouge quand cette dernière, en descendant, atteignit sa fleur intime. Un frisson remonta le long du dos d’Alice. C’était sa « petite récompense », une récompense qui, pour l’heure, n’avait pas l’air si petite que ça. Le corps de Tinuviel était englouti dans l’eau, seule sa tête venant à dépasser. La Princesse pinça les lèvres, maintenant ses mains sur la chevelure argentée de l’elfe rouge, avant de la laisser enfoncer sa langue en elle. Elle commença par quelques baisers, juste pour tâter le terrain, et ce fut ensuite son appendice lingual qui s’enfonça en elle.
Alice se surprit à gémir, soupirant de plaisir, ses mains se crispant sur les cheveux de Tinuviel. Elle se pinça les lèvres, renversa sa tête en arrière, comme si le plaisir qui naissait en elle venait à la repousser, et elle serra ses doigts contre elle. La langue se mit à jouer en elle, aspergeant de l’eau et de la salive, mais recueillant, en retour, un léger dépôt intime. Sa fleur était en train de suinter ce délicieux produit, charpente de la vie, qui sortait lors de ce genre de moments. Sa cyprine jaillissait délicatement de son corps, heurtant les lèvres de l’elfe rouge, rebondissant contre ses lèvres, se déposant en elle. C’était un moment ô combien intime, ô combien plaisant, terriblement excitant.
« Haaa... Haannn... !! »
Tinuviel manipulait aussi bien la caresse que le fouet, et elle le montrait précisément en ce moment à l’intéressée. Alice savourait ce contact mielleux, se pinçant les lèvres, ses doigts jouant avec les cheveux de la femme. Comment ne pas nier que ce soit agréable ? Oui, Alice était comblée. Elle était venue ici pour ça, pour subir ce genre de choses, pour oublier, pendant un moment, les pressions de sa vie de Princesse, pour pouvoir s’abandonner entre les mains talentueuses et expertes d’une femme douée.
Alice se contentait de gémir, laissant à Tinuviel le soin de continuer ce petit, et fort plaisant, traitement.
-
Tinuviel eut un léger sourire avant d’aller embrasser sa petite Alice. Elle lui avait offert un instant de bonheur mais ce n’était que pour mieux resserrer sa prise sur la petite princesse. Elle eut un petit sourire avant de pousser la jeune princesse dans ses derniers retranchements. Oui, elle voulait la pousser à la limite de l’orgasme et pour ce faire n’hésite pas à donner le meilleur d’elle-même.
Bientôt la respiration de la petite princesse devient de plus en plus courte, se qui confirme que l’elfe était sur le bon chemin. Oui, elle voulait vraiment la pousser à bout et il était certain que cela ne tarderait pas.
Elfe rouge eut un sourire, léchant une dernière fois la petite princesse. Celle-ci était maintenant prête, au bord de la jouissance sans pour autant y avoir accès.
Elfe remonta finalement avant de faire un grand sourire se léchant lentement les lèvres. Elle eut un petit sourire avant de dire calmement.
-Tu as fait du joli travail ma petite Alice mais il va falloir plus si tu veux que ta maitresse t’accorde la jouissance.
Oui, l’elfe rouge était lentement entrain de renforcer sa position de dominante sur sa pauvre petite esclave. Elle eut un petit sourire avant de lui mordre doucement la lèvre et de lui dire.
- Ma petite alice si tu veux le reste, il va te falloir être très convaincante. J’ai envie de voir jusqu’à ou tu peux aller ma petite chérie pour pouvoir plaire à ta maitresse.
Elfe rouge l’embrassa lentement avant de lui glisser à l’oreille.
-Ma belle, met toi à quatre pattes et dit à ta maitresse quelle petite chienne tu es. Et alors peut être que je m’occuperai de toi Alice.
Tinuviel attendit quelques instants. La suite serait sans doute extrêmement intéressante. Si cette petite princesse avait envie de devenir une chienne, l’elfe rouge ferait en sorte que ce soit le cas.
-
La langue de Maîtresse Tinuviel en elle était un pur moment de plaisir. La Princesse, qui n’était ici rien de plus qu’une docile esclave sexuelle soumise au bon vouloir de sa belle Maîtresse, se laissait faire en savourant ce contact. Elle appréciait cette langue joueuse, elle appréciait le talent indéniable de l’elfe rouge dans la manière dont elle l’abordait, avec ce mélange savoureux de douceur et de fermeté. Tinuviel savait y faire. On disait que les elfes rouges étaient très proches des désirs naturels, de l’exotisme et de la sensualité. Alice ignorait si c’était là une légende ou la réalité, mais, face à une femme comme Tinuviel, elle penchait clairement pour la réalité. Tandis que l’elfe la léchait, Alice caressait ses beaux et longs cheveux soyeux. Elle était comblée, appréciant d’être la petite poupée docile de Maîtresse Tinuviel. Il y avait clairement quelque chose de jouissif à l’idée d’être ainsi soumise, de se laisser dicter, d’obéir sans se poser de plus amples questions. L’expliquer était difficile, mais, en un sens, Alice se sentait plus libre en faisant ça. C’était un réel paradoxe, mais elle ne voyait pas comment l’expliquer autrement : en se soumettant, elle n’avait plus à choisir, simplement à obéir, et à se laisser aller. En un sens, c’était une véritable libération.
Tinuviel continuait à lui parler, à lui dire qu’elle ne devrait pas se reposer sur ses lauriers. Malgré le plaisir qui explosait en elle, malgré les frémissements de son corps suite à ce cunnilingus, Alice avait toujours mal aux fesses. Le fouet enflammé de Tinuviel avait fait des ravages, mais aucune de ces indispositions ne l’empêcha de répondre au baiser de sa Maîtresse. Comme l’elfe rouge l’avait senti, Alice avait une furieuse envie de jouir. Sa peau était rouge sous l’effort et le désir, et elle ressentait ce désir dans ses entrailles, remontant en elle, ne demandant qu’à éclater au grand jour pour se laisser aller.
L’elfe rouge n’en avait pas fini avec elle, loin de là, et Alice sourit, sentant le plaisir gargouiller dans ses entrailles, quand elle lui proposa autre chose, lui donnant des ordres. Des ordres. La Princesse n’attendait que ça, et les ordres n’étaient pas difficiles à comprendre. Se mettre à quatre pattes, agir comme une espèce de chienne docile et assoiffée. Ça, Alice, pouvait le faire.
« Bien, Maîtresse... »
Elle se retourna donc, et s’avança un peu. L’eau lui arrivait à hauteur des cuisses. À quatre pattes dans l’eau, sa Maîtresse ne verrait pas grand-chose, mais, tant qu’Alice évitait de se noyer, elle n’en demandait pas plus. La Princesse plia donc les genoux, et obtempéra, se mettant à quatre pattes. Elle dut relever la tête pour éviter de plonger cette dernière dans l’eau, et remua son corps, disparaissant à moitié sous la surface du bassin.
« Hummm... Maîtresse... Que comptez-vous faire à votre petite chienne ? À quel point comptez-vous la maltraiter ? Alice est heureuse d’être votre chienne, Maîtresse... Elle peut faire la belle, si vous le souhaitez. »
C’était effrayant de voir à quel point il était facile d’incarner la parfaite petite soumise.
-
Alice était presque parfaite dans son rôle de petite chienne soumise. Oui, elle était obéissante, elle avait la posture mais il lui manquait encore quelques petits accessoires. Elfe rouge eut un petit sourire avant d’aller embrasser tendrement la princesse et de lui glisser quelques petits mots doux.
- Douce petite Alice, il te manque quelques accessoires pour être la chienne que tu es. Remonte sur le bord du bassin et attend moi. Je reviens dans quelques minutes.
Elfe déposa un léger baiser sur le front de la petite princesse avant de sortir du bassin, de se sécher d’un claquement de doigts et d’aller enfiler un peignoir. L’elfe rouge avait un grand sourire avant de s’absenter pendant plusieurs minutes. Oui, elle avait prévue une petite surprise pour sa future chienne.
L’elfe revient avec une boite dans les bras. Elle eut un petit sourire avant de lui caresser tendrement la joue.
-Brave fille, bien, il est maintenant temps pour toi d être une vraie petite chienne.
Elle retira de sa boite un plug avec au bout une queue. Un artefact qui une fois plongé dans l’anus du ou de la partenaire devenait une véritable queue. Autant dire que la jeune femme serait désormais une vraie chienne, sans compter que l’elfe avait dans son carton un serre terre avec des oreilles de chien fonctionnant du même principe.
Elfe rouge lécha doucement le plug puis son doigt avant de doigter légèrement l’anus de la petite princesse pour lui permettre de se détendre un peu.
- Tu aime que je doigte ton petit cul ma chienne ?
Elle eut un petit sourire avant de mettre le plug ainsi que le serre tête à sa chienne. Elle était désormais bien donc son rôle mais il lui manquait encore une ou deux petites choses. Elfe tira ensuite un beau collier et le passa autour du cou de la petite princesse. Sa petite chienne était maintenant prête.
-Bien désormais ma petite Alice, interdiction de parler. Il va falloir être une bonne chienne et communiquer comme tel : Un Wouaf pour Oui, deux pour Non. D’accord ?
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Sa Maîtresse ne faisait pas les choses à moitié, et habilla convenablement Alice, perfectionnant son rôle de chienne. Chacune des humiliations supplémentaires qu’Alice dut endurer, loin de la réfréner, ne contribuèrent qu’à l’exciter davantage. Sa Maîtresse revint, et lui mit sur le corps divers objets, commençant par un plug qui s’enfonça dans ses fesses. Alice soupira de plaisir, et sentit la magie agir. C’était un plug magique... Curieusement, l’image, incongrue, aurait pu la faire rire. Elle sentit la queue se coller à sa peau, devenir une excroissance de son propre corps. La Princesse ne sut pas quoi en dire, mais elle pouvait remuer la queue, sentant clairement cette dernière, comme une partie naturelle de son organisme. La Maîtresse lui mit ensuite sur la tête un serre-tête sur les oreilles, avec deux oreilles de chiens, et termina par un collier autour du cou, faisant soupirer Alice. À quatre pattes, elle ressemblait maintenant totalement à ce qu’elle était : la chienne docile et soumise de sa Maîtresse. C’était d’une perversion terrible... Et en même temps magnifiquement excitant, jouissif. Elle se mordilla les lèvres, sentant le plaisir remonter en elle, la traversant.
Des plaques rouges ornaient son corps, et ses seins lui faisaient mal. C’était un collier de chien, et elle soupira. Le plug lui faisait du bien, mais il était relativement gros. Elle devait remuer ses hanches d’avant en arrière, à plusieurs reprises,, afin que son corps accepte la présence de cette queue. Entre-temps, cette dernière remuait, caressant les jambes de Tinuviel, glissant le long de sa Maîtresse. Alice soupirait et haletait, mais elle avait bien compris ce que sa Maîtresse attendait d’elle.
La Princesse devait aboyer, ce qu’elle n’avait encore jamais fait. Elle prit son souffle, serrant ses poings, avec l’intime conviction que ses fesses allaient encore souffrir.
« Wo... Wouuuufff !! » s’exclama-t-elle.
Un aboiement pour « Oui », deux pour « Non ». Ce n’était pas difficile à comprendre. Alice tremblait lentement, se mordillant les lèvres, peinant à réfléchir. Elle était en train de mouiller, sa cyprine tombant sur le carrelage. Elle attendait la suite, sa queue de chienne se mettant à remuer à gauche et à droite. C’était humiliant... C’était excitant.
Alice, prise d’une inspiration subite, se retourna vers sa Maîtresse, et se pencha respectueusement. Sa langue sortit des tréfonds de sa bouche, et alla lécher sa jambe, remuant délicatement dessus, en signe de respect et de soumission. Ce faisant, elle était aussi en train de lui montrer combien elle aimait ça, agissant comme une chienne le ferait.
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Une chose était certaine, Alice était particulièrement convaincante dans son rôle de petite chienne soumise. Elle était d'ailleurs magnifique et l'elfe rouge devait se contrôler pour ne pas abuser d'elle sans aucune forme de retenue.
La pauvre petite chose avait cependant bien acquis les bases, bon l'aboiement devait encore être travaillé mais les coups de langue sur sa jambe contre ballancait sans problème ce petit point. Oui, elle était véritablement devenue sa petite chienne de compagnie et Tinuviel allait bien profiter de sa nouvelle petite chienne. Oui, la suite de la journée s’annonçait comme étant particulièrement excitante.
Elfe rouge caressa lentement la joue de sa petite chienne, jouant quelques secondes avec ses nouvelles oreilles pour que l'ancienne princesse se rende compte comme celles ci étaient sensible. Elle caressa lentement sa joue, avant d'aller doucement flatter son flanc. Elle pouvait maintenant voir sa chienne dans son intégralité, souriant d'ailleurs en voyant la flaque de mouille sous le bassin de sa belle petite soumise.
Elle eut un léger sourire avant de caresser délicatement le basin de la demoiselle, jouant lentement passant légèrement son doigt sur le pubis de sa petite chienne, elle aurait presque envie de la prendre ici, en levrette. Oui, ce serait extrêmement amusant, toutefois il y avait une autre possibilité.
L'elfe rouge eut un petit sourire avant de lui dire.
-Ma petite Chienne, que dirais tu d'aller faire une petite balade dans le harem ?
Oui, elle laissait le choix à Alice, en effet la petite princesse était ici sa chienne mais rien n'indiquait qu'elle accepterait de partager son secret avec d autres membres du harem. Si c'était le cas, alors l'elfe rouge partirait en balade avec sa petite chienne. Sinon, elle trouverait bien d'autre manière de jouer avec elle.
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À quatre pattes, la situation d’Alice était des plus incongrues. Elle avait un gode dans le cul, et elle venait d’aboyer... Elle aurait sans doute du se sentir humiliée et choquée du traitement qui lui était réservé, mais, en réalité, la Princesse était furieusement excitée. Tinuviel le vit rapidement en voyant à quel point la belle blonde mouillait sur le sol. L’elfe caressait son corps, commençant par frotter ses oreilles, faisant soupirer Alice. Les oreilles n’étaient pas que de simples accessoires, elle avait presque l’impression d’avoir affaire à de véritables appendices, perfectionnant son statut de petite chienne.
*Si Père me voyait...*
Dans cette position, Alice n’avait rien d’une petite Princesse, rien de la digne héritière du trône de Sylvandell. Elle n’était rien de plus qu’une esclave sexuelle en train de se faire dominer par une elfe rouge. C’était humiliant, dégradant, rabaissant... Et le pire était sans doute qu’Alice n’avait même pas honte de ce qu’elle ressentait. Elle se plaisait dans ce rôle de soumise. Alice ne pouvait pas prétendre le contraire. Tinuviel se glissa dans son dos, continuant à lui parler, à la narguer, et à la faire frissonner. Quand ses mains caressèrent son bassin, ses douces mains chaudes et tendres, Alice soupira, baissant la tête, en serrant les poings. Il n’était pas bien difficile d’imaginer la scène : elle à quatre pattes, devant cette femme belle et autoritaire, son objet sexuel, sa chienne. Il était amusant de constater combien ce mot lui revenait à l’esprit, rebondissant dans sa tête. Les tendres doigts de Maîtresse Tinuviel glissaient le long de son corps. En soi, il y avait quelque chose de profondément rabaissant à l’idée qu’on attirait quelqu’un uniquement par son physique, mais... C’était aussi, paradoxalement, très gratifiant.
Tinuviel se mit alors à parler, demandant à Alice si elle était d’accord pour se promener dans son harem. Alice écarquilla les sourcils, et se déplaça légèrement. Elle soupira, car chaque mouvement de son corps faisait se déplacer le gode qu’elle avait entre les fesses. Elle pouvait déplacer sa queue, ce qu’elle s’était amusée à faire quand sa Maîtresse était dans son dos. En effet, sa queue avait frotté les jambes de la femme, arrachant à Alice des couinements silencieux. Chaque déplacement de sa queue faisait tirer le gode qui permettait de la maintenir. C’était une chance que Mélinda l’ait si bien initié à la sodomie. Autrement, Alice aurait hurlé comme une folle. Après avoir réussi à se retourner, elle s’avança vers la femme, et, à nouveau, frotta sa tête contre sa jambe, avant de la lécher, sa bouche remontant du bas vers le haut, ses oreilles venant ensuite se frotter contre la peau douce et chaude de sa Maîtresse. La Princesse lécha ensuite un peu de son armure, sa langue glissant sur ce métal froid et sexy.
« Wo... Wouff !! aboya-t-elle en relevant la tête, de bas en haut. Wouf ! Wouf !! »
Difficile de communiquer quand on ne pouvait qu’aboyer et qu’on avait un gode dans le cul, mais Alice était en train de lui dire que se promener dans le harem ne la dérangeait pas. Ce serait humiliant et infamant, mais... Et bien, c’était pour ça qu’elle était ici, et, vu le point où elle en était, elle ne pouvait tout simplement pas prétendre chercher à conserver sa décence.
Elle voulait plonger encore loin dans la luxure, car elle ne s’était jamais sentie aussi libre qu’en ce moment, sans le regard scrutateur et réprobateur de son père.
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La situation était en effet des plus intéressante. La petite princesse était totalement à ses pieds et c'était le cas de le dire. Et la suite le serait encore plus si la petite blonde acceptait d'aller jusqu'au bout. Pour être honnête, l'elfe rouge n'y croyait pas vraiment et le message de sa petite chienne n'était pas forcement des plus clair. Pourtant, au vu de son langage corporel, la jeune femme semblait être des plus motivée pour cette petite balade. Il suffisait de voir les mouvements de tête d'Alice mais aussi, d'autres signes légèrement moins voyant.
Elfe rouge passa donc lentement sa main dans la chevelure de la demoiselle, avant d'aller lui caresser le visage.
-On va faire une petite ballade.
Elle prit la laisse avant de la passer au cou de la demoiselle. Il faudrait sans doute quelques temps pour que sa petite chienne apprenne à marcher correctement avec une laisse. En effet, elle devait à la fois adapter son allure mais également sa place. L'elfe rouge lui laissa donc le temps de se faire à cette nouvelle activité.
Il ne fallut que peu de temps pour que la petite princesse réussisse à bien se comporter. L'elfe rouge était assez fière d'elle. Il était donc maintenant temps pour elle de passer au plus dur.
Tinuviel fit donc faire le tour du harem à sa petite chienne. Elle ne lui épargna rien, la guidant dans les couloirs. Elle jubilé en ce moment, promenait Alice était une activité extrêmement amusante surtout qu'il était probable que tôt ou tard, la petite princesse ne tarde pas à rencontrer l'une de ses amantes.
Ce fut le cas peu de temps après. Heureusement pour elle, l'amante de l'elfe rouge ne se contenta que d'un petit sourire avant d'aller déposer un baiser sur les lèvres de sa maîtresse et une grattouille sur les oreilles de la demoiselle. Lorna, choquée ? Non, jamais , elle connaissait trop les fantasmes de sa maîtresse pour cela. Cependant elle ne pouvait pas s’empercher de plaindre un peu Alice. Oui, elle avait eut des démaillées avec la petite princesse mais cela était fini... Bien que, la voir comme cela était une petite revanche assez délicieuse.
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Ce qui arrivait dans la tête d’Alice était très difficile à comprendre, car il fallait rentrer dans la psyché de la jeune Princesse, et dans des pulsions contradictoires et paradoxales. Elle savait que la Princesse de Sylvandell ne pourrait jamais être à quatre pattes devant quelqu’un d’autre, mais, pour elle, ce n’était pas vraiment la Princesse qui était là. C’était comme si, en un sens, Alice avait abandonné son rôle de Princesse en pénétrant dans ce harem, pour devenir l’amante et esclave de Tinuviel Lastrim. Alice devait effectivement s’habituer au fait de marcher à quatre pattes, avec une laisse autour du cou, et un gode planté dans le cul. Sa queue poilue remuait derrière elle, et elle avait surtout du mal à avancer rapidement. Ses jambes étaient pliées, et elle avançait en traînant sur le sol, sentant le collier la serrer et la tirer vers l’avant. Fort heureusement, sa Maîtresse lui laissa le temps de s’y faire. De plus, et pour ne rien arranger, Alice ressentait aussi, entre ses cuisses, des pulsions qui la titillaient. Elle était en train de mouiller, et, en baissant la tête, elle constata qu’elle était un peu en train de salir le sol, sa mouille glissant le long de ses cuisses.
Pue à peu, elle s’y faisait, et suivit Maîtresse Tinuviel, gémissant en se promenant le long des riches couloirs de ce vaste harem. Elle grimpait lentement des marches, devant faire attention à la position de ses genoux. Marcher ainsi n’était vraiment pas facile, mais c’était terriblement excitant. En elle, Alice sentait des ondes de perversion traverser tout son corps, la faisant soupirer et gémir. C’était inexplicable... Et, plus elle avançait, et plus elle ressentait une autre envie, éventuellement liée au fait d’avoir un gode enfoncé dans son cul.
En marchant, elles finirent par arriver devant une vieille connaissance d’Alice : Lorna, l’une des amantes de Maîtresse Tinuviel. Les deux femmes s’embrassèrent, et Alice baissa la tête, se concentrant. Elle fit remuer sa queue de chienne de gauche à droite, et restait à quatre pattes, en sentant ses jambes trembler de plus en plus. Alice savait cependant ce qu’elle devait faire, et elle se rapprocha de Lorna, venant lécher ses pieds, sentant en retour la main de Lorna flatter sa tête, caressant sa nuque, glissant sur ses oreilles de chienne pointues, faisant frissonner encore Alice. La Princesse se releva ensuite, mouillant le sol... Mais elle avait aussi envie d’autre chose, ce qui l’amena à regarder Maîtresse Tinuviel avec des yeux brillants.
« Wooouuff !! Wouuufff !! »
Elle aurait tout à fait pu le dire, mais elle était interdite de parole... Normal, une chienne ne parlait pas. Et Alice tenait à respecter les règles du jeu. Lentement, elle remua son bassin en se dressant un peu sur ses pattes arrières, comme pour essayer de faire comprendre à Maîtresse Tinuviel ce qu’elle avait. Les deux femmes avaient beaucoup marché, et, en réalité, ce qu’avait Alice n’était pas bien difficile à comprendre.
Elle avait envie d’uriner.
-
L'elfe dut se séparer de sa belle renarde afin de s'occuper de sa petite chienne, cependant la petite claque sur le postérieur de la demoiselle lui faisant ainsi comprendre que ce soir sa présence était requise.
Elle caressa tendrement sa petite alice avant de se diriger vers les jardins afin que la demoiselle puisse satisfaire ses besoins. Cela n'avait pas échappée à l'elfe rouge et elle guida donc sa petite chienne, faisant attention à ne pas la faire trop attendre.
Les deux femmes furent dans les jardins quelques minutes plus tard et ici la demoiselle serait libre de répondre à l'appel de la nature. Pendant ce temps, l'elfe rouge en profitait pour discuter un peu avec la dryade chargée de la gestion des jardins.
-Ma petite Alice, je te laisse quelques minutes. Il faut que je discute des besoins du jardin avec la responsables des lieux. Fait ce que tu as à faire et après toi et moi nous irons dans ma chambre. Les petites chienne bien sages méritent des récompenses.
Elle déposa une petite fessée sur le doux postérieur de sa petite chienne avant de lui laisser quelques minutes. En effet, l'elfe rouge avait remarquée que ces derniers temps les stocks de produits frais du harem diminués de manière inquiétante. Il n'y avait pas de risque de famine pour l'instant mais il fallait tout de même régler rapidement ce problème. C'était pour cela que l'elfe rouge avait préféré s'absenter quelques minutes.
Elle revint cependant voir rapidement sa petite alice, toujours à quatre pattes dans son beau rôle de petit animal de compagnie. L'elfe rouge lui caressa lentement la joue avant de lui dire.
-On peut y aller ?
Elle caressa lentement l'arrière train de sa petite demoiselle avant de s'attaquer à sa queue, elle avait peut être put découvrir que la queue des terranides étaient particulièrement sensible ? Mais la Tinuviel dosait parfaitement ses caresses juste pour exciter un peu plus la petite blonde.
-
Alice, transformée en une chienne... Elle s’avançait le long des agréables jardins, en cherchant un endroit où pisser. Le faire en public, comme ça, sous les yeux scrutateurs de n’importe qui... Certes, elle n’était pas en plein milieu de sa ville, mais tout de même... C’était choquant ! Ses joues étaient rouges, et ce n’était pas que sous l’effet de la gêne qu’elle pouvait ressentir. Sa queue caudale continuait à lui triturer l’anus, l’amenant parfois à devoir creuser son dos pour mieux l’accompagner, pour la supporter davantage. Cependant, il fallait bien reconnaître qu’elle s’y faisait de plus en plus. Alice alla se faufiler derrière un buisson. Tinuviel ne la surveillait plus, et elle aurait pu se relever, mais elle restait fidèle aux ordres de cette dernière, sans pouvoir, encore une fois, réellement se l’expliquer. La soumission était vraiment une chose curieuse, mais ô combien excitante et délicieuse. Elle aimait se sentir comme ça, humiliée, rabaissée, dénigrée, sans pouvoir se l’expliquer. C’était... C’était comme un fantasme, et la première spécificité des fantasmes était leur absence d’explication logique.
Trouvant un buisson, la Princesse se dissimula derrière, regardant à gauche et à droite... Puis releva la jambe, et se mit à uriner, poussant sur place. Ses joues rougirent encore plus, elle se mit à serrer des dents, et laissa le jus filer de son corps. Une fois son affaire terminée, elle s’écarta rapidement, se sentant un peu mieux... Et toujours aussi troublée. Elle s’avançait le long des allées du jardin, avec sa laisse qui filait le long de son dos.
*Ah, si mon père me voyait !!*
Clairement, il n’en croirait pas ses yeux... Ou se dirait que sa petite Alice était vraiment le déchet qu’elle était. Incapable de se battre, incapable de savoir s’affirmer, il fallait bien qu’elle se complaise dans la soumission et l’humiliation, quitte à passer pour une chienne. Mais, pour Alice, ce n’était pas la Princesse de Sylvandell qui était en train d’être humiliée ici : c’était Alice. La Korvander, elle, était endormie dans son esprit, ne se réveillant que quand on avait besoin d’elle, et elle, elle ne supportait pas qu’on la rabaisse. Après tout, Alice avait tout de même pu imposer certaines conditions à Tinuviel. Elle ne lui était donc pas totalement soumise. Il fallait tout simplement voir ça plus comme un jeu passager que comme un véritable mode de vie. La jeune femme s’avançait le long des jardins, et vit ensuite sa Maîtresse se rapprocher.
Un frisson remonta immédiatement le long de son échine, et Tinuviel s’avança vers elle, lui demandant si elle était prête, en allant lui caresser ses fesses. Alice rougit et baissa la tête en serrant les deux. Des gouttes tombaient sur le sol, mais ce n’était pas de l’urine... Et, quand Tinuviel alla lui caresser sa queue caudale, Alice sentit le plaisir continuer à accroître, faisant trembler ses jambes, la mettant mal à l’aise.
« Nyyyyuuu... » soupira-t-elle.
Elle n’avait pas le droit de parler. Ça, elle s’en souvenait, mais le plaisir qui éclatait en elle était tellement fort que se retenir n’était pas simple.
« Wo... Wouuufff !! aboya-t-elle alors, acquiesçant à ce que sa Maîtresse voulait. Woouufff !! Wouuuffff !! »
Autrement dit, elle était prête à suivre sa Maîtresse, et continuait à laisser tomber sa cyprine sur le sol.
-
L'elfe rouge estimait désormais que sa petite chienne était en condition pour passer à la suite des événements. Elle s'était montrer des plus obéissante et au vu de la cyprine qui coulait lentement le long de ses cuisses, elle était terriblement excitée.
Elfe rouge la guida donc lentement vers sa chambre, profitant du trajet pour lui caresser doucement la joue ou le dos en fonction de ses envies. Elle aimait sentir la belle princesse à ses pieds, elle l'aurait d'ailleurs gardée près d'elle si jamais elle en avait eut la possibilité. Mais elle savait qu'elle avait gagnée une nouvelle amante et rien que cela la remplissait de joie.
Lorsqu'elle fut enfin dans sa chambre, elfe rouge ferma la porte derrière elle avant d'inviter Alice à prendre place sur le lit. Elle lui fit cependant une petite réflexion.
-Ne t'habitue pas trop à être sur mon lit ma petite alice, ta place est dans un panier à mes pieds, mais le temps que je t'en trouve un, tu dormiras avec moi.
Elle lui caressa lentement la joue avant de s’asseoir et se rapprocha d'elle.
-Tu sais Alice, j'ai conscience que tôt ou tard notre petit jeu devras s'arrêter, alors je compte bien profiter de toi encore un peu. Je veux te sentir près de moi, sentir tes caresses et tes baisers sur mon corps. Traite moi comme une reine Alice.
Elle lui caressa lentement la joue avant de l'embrasser doucement sur les lèvres. Un baiser assez chaste finalement lorsqu'on connaissait l'elfe rouge. Toutefois, celui ci voulait sans doute dire beaucoup plus qu'un simple baiser langoureux.
Elle caressa lentement les oreilles d'Alice avant de lui mordiller lentement le cou.
-Alors, qu'est ce que tu attends pour m’ôter cette armure, je suis sur que tu ne rêve que de cela depuis tout à l'heure. Je peux sentir ton excitation.
Elle eut un petit sourire attendant de voir la réaction de sa petite Alice.
-
La chienne continua à suivre sa Maîtresse. Tremblant sur ses membres, la Princesse était de plus en plus excitée... Aussi gênée qu’excitée, en fait. Elle s’affichait ainsi, à la vue de toutes les amantes de l’elfe rouge. C’était humiliant, profondément dégradant, mais il y avait aussi, là-dedans, dans ce spectacle de honte, quelque chose de profondément excitant, qui remontait depuis ses entrailles pour se diluer dans tout son corps. Elle suivit Tinuviel, se retrouvant dans la chambre de cette dernière. La respiration de la jeune femme blonde était lourde. Ses fesses continuaient à lui faire mal, et elle sentait que ça ne risquait pas de s’arranger, avec cette queue qu’elle avait dans son corps. Elle était surprise à chaque fois qu’elle sentait une femme caresser cette dernière. Sa queue réagissait, se redressant. La magie était à l’œuvre, puissante, efficace. Alice ne pouvait que la suivre, et se retrouva sur le lit de sa Maîtresse, les joues rouges.
Elle continuait à lui parler comme si elle était une chienne, en lui disant qu’elle dormirait bientôt dans un panier... Alice baissa la tête en se mordillant les lèvres. La jeune femme continuait à mouiller, peinant à se retenir... Avec ce truc qu’elle avait dans le cul, il fallait bien admettre que ce n’était pas simple ! La Maîtresse donnait ses ordres, de sa magnifique voix de velours, ses ordres étant clairement perçus par la Princesse soumise, la faisant soupirer. Elle ferma les yeux, et sentit alors la main de Tinuviel caresser son visage, la forçant à relever la tête. Les deux femmes partagèrent alors un tendre baiser. La femme déplaça ensuite sa bouche, et vint mordiller son cou.
« Haaa... » soupira la jeune femme.
Il fallait bien l’admettre : il y avait dans ce qu’elle vivait quelque chose de profondément jouissif. La soumission... Il avait fallu qu’Alice tombe sur Cirillia pour en découvrir les bienfaits. C’était une question de personnalité, d’éducation, de tempérament : Alice avait grandi recluse et muette, en pensant n’avoir aucune qualité, en pensant n’être qu’un déchet largué par son père, une bien piètre héritière en devenir. Sexuellement, ceci se transférait par une sorte de besoin compulsif et inconscient pour la soumission. Même maintenant, alors qu’elle savait qu’elle n’était pas dénuée de qualités, et qu’elle avait acquis une expérience sexuelle très confortable, elle continuait encore, inconsciemment, à avoir en elle cette Alice renfermée, humiliée par les brimades de son père. C’était presque une forme de schizophrénie, en un sens, car sa personnalité comprenait deux grands pôles qui se faisaient mutuellement face, se toisant du regard.
Tinuviel demanda alors à ce qu’Alice lui ôte son armure. Cette dernière cligna des yeux, et hocha la tête. Pour l’heure, elle ignorait si elle avait le droit de parler, et elle choisit donc de ne rien dire, et se pencha vers sa Maîtresse. Lui ôter son armure... Hey ! Plus facile à dire qu’à faire ! Elle n’avait absolument aucune idée de la manière dont cette armure se retirait, mais elle ne pouvait évidemment pas le dire ouvertement. Se mordillant les lèvres, Alice s’avança alors, et les posa sur le plastron de l’armure, tout en posant ses mains sur les hanches de la femme. Sa langue remplaça ensuite ses lèvres, et elle continua à se déplacer, embrassant le métal froid de cette armure dragonique, avant de déplacer ses mains dans le dos de la femme. Tinuviel était sûre qu’Alice voulait la déshabiller, mais ce n’était pas totalement exact. L’elfe était très belle dans cette armure aussi.
Dans le dos de Tinuviel, ses mains saisirent des espèces d’attaches, et elle commença à tirer dessus. L’armure s’ouvrit en deux, et tomba entre les deux femmes. Alice observa ensuite le torse de Tinuviel. Elle avait un corps parfait, elfique. Les elfes avaient en effet la réputation d’être l’un des plus beaux peuples qui soit... Elle se pencha vers elle, et embrassa son ventre, glissant sur son estomac, déposant une multitude de baisers, ses mains allant désormais s’appuyer sur les cuisses de Tinuviel.
« Hummm-hmmmm... »
À chaque soupir, Alice embrassait la peau nue de Tinuviel, allant ensuite la lécher, glissant le long de son corps.
Elle aurait pu faire ça pendant des heures !
-
L'elfe rouge laissa faire la jeune femme, sa petite soumise était extrêmement appliquée à la tache et sentir sa langue courir comme cela sur son corps la rendait toute chose. Elle pouvait sentir la dévorer sur son corps, elle pouvait sentir ses envies de soumission et surtout elle pouvait sentir l'envie de la jeune femme qui coulait lentement. Oui, avoir était élevée par une succube avait des avantages et ceci en faisait partie. Elle eut un léger sourire en pensant à la suite de ce qui allait se passer.
Tinuviel se leva, disant a sa petite chienne de ne pas bouger et de l'attendre le temps que celle ci revienne. Ce qui tarda d'ailleurs puisque l'elfe rouge prit une bonne dizaine de minute. Toutefois, lorsqu'elle fut de retour, ce n'était pas la même femme qui se trouvait devant la petite princesse. En effet, celle ci avait revêtue un corset en cuir ainsi que de longue cuissarde, son intimité couverte par un petit shorty. La couleur de la tenue était bien évidemment le rouge et l'elfe avait stresser sa chevelure en un chignon strict.
Elle s’avança lentement de la jeune princesse un grand sourire aux lèvres avant de lui susurrer lentement à l'oreille.
-On m'a dit qu'il y avait ici une gentille fille qui méritait d'être récompensée. J'espère juste que ma nouvelle tenue te plaît petite chienne.
Elle eut un petit sourire avant de prendre une grande lanière de cuir. Elfe rouge était rentrée dans son rôle désormais. Oui, elle avait envie de faire un petit plaisir à sa petite chérie et à elle aussi. Après tout, cela l'excitait également.
Elle, attacha la demoiselle lui attachant à la fois les mains ainsi que les jambes. Désormais sa petite chienne était complètement à sa merci et elle comptait bien en profiter un peu.
Elfe rouge se rapprocha lentement de la demoiselle, frottant légèrement ses doigts contre sa poitrine aussi dure que le roc. Il semblait que tout cela avait excitait sa petite servante bien plus qu'elle ne le pensait et la suite lui plairait sans doute plus encore. L'elfe rouge eut un léger sourire pervers avant de dire à haute voix.
-Tu sais, je peux sentir le nombre d'amants que tu as eut, je peux sentir combien ta chatte à reçue de coup de queue, combien ta langue à lécher de minou. Tu es une perverse Alice, Une SALOPE. Et je vais devoir te punir pour cela. Ta maitresse va devoir laver tous ces péchés, et te remplir de sa semence pour pouvoir te purifier.
Elle eut un grand sourire, se rapprochant de la jeune femme avant de lui dire.
-Mais avant cela petite chienne, dit a ta maîtresse combien tu as été une vilaine fille .
Oui, elfe rouge jouait un peu avec sa petite Alice, mais elle était sure que cela plairait à la jeune femme. Dans ses sous vêtements était désormais un membre qui prenait de plus en plus d'importance
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C’était un lent engrenage, une lente chute vers des plaisirs de plus en plus profonds. Alice retrouvait celle qu’elle était intérieurement, cette femme qui brûlait dans son corps et ne se réveillait qu’en de très courts moments. Elle ne pouvait plus se considérer comme une Princesse, mais comme ce qu’elle était : la chienne de sa Maîtresse. Elle ne se posait plus de questions sur la compatibilité entre ses désirs profonds et son souhait de gouverner, simplement sur le fait qu’elle aimait ça... Être l’esclave de sa Maîtresse, qu’elle l’humilie, qu’elle se moque d’elle... Et elle en voulait plus, toujours plus. Ainsi fonctionnait la nature humaine : quand les barrières sociales sautaient, quand les verrous se brisaient, et que l’irrépressible appel de la liberté se faisait sentir, il était comme un ouragan brisant toutes les digues et tout ce qu’on avait cru pouvoir poser pour retenir les lames de fond. Autrement dit, Alice était en train de sombrer dans ses désirs de plus en plus pervers, des désirs endormis en elle qui avaient été réveillés quand une sorceleuse renégate avait choisi de la violer, et de lui faire comprendre qu’elle était une femme mâture, et qu’elle ne comprenait pas le fonctionnement profond de son corps.
Elle embrassait donc la belle peau de l’elfe rouge, léchant surtout le creux entre ses seins, s’y enfouissant en remuant son bassin de gauche à droite, accompagnant les mouvements du plug planté dans ses fesses. Tinuviel finit alors par se retirer, sans rien dire, et Alice la regarda partir rapidement en clignant des yeux. Sa Maîtresse lui dit alors de l’attendre, et elle hocha la tête.
« D’accord, Maîtresse ! »
Alice resta sur place, en se mordillant les lèvres. Elle resta là, serrant ses poings sur les draps, et regarda autour d’elle, gémissant un peu. Sa queue caudale continuait à pilonner ses fesses, et elle remua sur place, perpétuellement soumise à une excitation sexuelle récurrente et violente. Cet harem n’était qu’une débauche continuelle de sexe, et c’était bien ce dont elle avait besoin. Oui, Alice savait qu’elle devait gérer Sylvandell, qu’elle avait des responsabilités... Mais est-ce qu’elle devait tout sacrifier pour autant ? Était-de ce sa faute si, fondamentalement, elle adorait être soumise ? Elle n’en montrait rien en public, et ne trouvait pas cela si paradoxale que ça. Les contraires s’attirent, et il suffisait, pour s’en convaincre, de voir le nombre de personnes homophobes qui étaient en réalité des homosexuels refusant de l’admettre. Dans le sexe, rien n’était jamais clair et simple, car tout fonctionnait à partir de sentiments qui, eux, n’avaient justement rien de rationnel. Le sexe était aux antipodes de la Raison. C’est en tout cas ce qu’elle pensait, et elle estimait qu’elle avait bien le droit de se faire plaisir, faisant suffisamment confiance à l’elfe rouge pour savoir qu’elle n’en parlerait à personne, et que ce qui se passerait dans ce harem resterait dans le harem. C’était cette clause de confidentialité qui la rassurait, Alice tenant tout de même (un peu) à sa réputation.
Assise sur le lit, elle se mordillait les lèvres. Le temps était long, et elle mouillait sur place. Cette attente, ce préliminaire... Il n’était pas de trop, il permettait de faire lentement monter la tension, et son imaginait s’emballait. Elle avait encore mal aux fesses à cause des coups de fouet de Tinuviel. L’elfe était une elfe rouge, appartenant à une catégorie d’elfes passionnés, et elle l’avait bien prouvé, se montrant aussi douce que violente, aussi perverse que sadique et cruelle. Tinuviel avait surtout bien senti qu’Alice n’était pas venue ici pour de la douceur, ou pour qu’on la traite comme une poupée de porcelaine. On la traitait depuis son enfance comme une fragile petite poupée, en mettant en avant sa beauté, en faisant d’elle une sorte de bien précieux mais fragile, qu’il faudrait mettre en vitrine. Elle était comme tout le monde : curieuse d’être de l’autre côté, de savoir ce qu’on ressentirait en étant humiliée. Elle ne pouvait malheureusement pas demander ça à ses gardes, même à ses proches amis, comme Melendil ou Mélinda. Tinuviel était un choix excellent, tout simplement.
*Ohlàlà, j’ai hâte, j’ai hâte, j’en frissonne de partout !*
C’était vrai… Et, alors qu’elle se faisait cette réflexion, elle entendit des bruits de pas. Se pinçant les lèvres, la Princesse tourna la tête... Et déglutit en voyant le nouvel attirail de sa Maîtresse. Un attirail beaucoup plus orienté sadomasochisme, avec tout ce qu’il fallait. Elle avait un élégant corset rouge en cuir moulant à la perfection ses formes et sa poitrine confortable, de longues cuissardes en cuir, et de longs gants, le tout en rouge, naturellement. Une parfaite allure de dominatrice, qui fit rougir Alice. La jeune femme n’osait pas parler, la gorge asséchée, jusqu’à ce que Maîtresse finisse par parler. Ce fut quand elle l’appela « petite chienne » qu’Alice sembla émerger. Elle hocha lentement la tête, de haut en bas, tout son corps sur tension.
« O-Ouii... Oui, Maîtresse. »
Elle déglutit lentement, et laissa Maîtresse Tinuviel s’approcher. Les rôles étaient parfaitement imprimés, et Alice était rouge comme une tomate. Elle mouillait sur place, et le plug dans ses fesses n’était maintenant qu’une valeur ajoutée de plaisir, tout son corps ne semblant plus être qu’un atome de plaisir. Comme pour l’exciter davantage, elle entreprit de l’attacher, à l’aide de lanières en cuir. Alice gémit en laissant la femme s’effectuer. Elle commença par lui attacher les bras avec une seule lanière, les attachant entre eux, puis ses jambes, faisant à chaque fois frissonner son corps. Chacun des contacts de sa Maîtresse sur sa peau était délicieux, et, en se retrouvant allongée, la Princesse gémit en basculant sa tête. Sa queue caudale venait de se replier contre elle-même, enfonçant davantage le bout de la queue dans son corps, la faisant remuer de gauche à droite.
La Princesse serra et desserra les poings, remuant lentement ses doigts. Elle était excitée, sous tension, et sentit Maîtresse Tinuviel se rapprocher d’elle, emplissant son espace. Sylvandell avait disparu, et elle n’était plus qu’une petite soumise en train de se faire plaisir. Les mains gantées de l’elfe caressèrent ses seins, les palpant. Sa poitrine étaient tendue, effectivement très dure, car Alice était en train de nager dans le bonheur, ses yeux transpirant de plaisir. Elle ne pouvait rationnellement se l’expliquer, elle ne pouvait que se contenter de le vivre. C’était si bon, si bon, si intense ! Le pire était que, techniquement parlant, Tinuviel n’avait encore rien fait... Du moins, dans cette séance-là. Elle écouta Tinuviel lui parler, tout en dardant son regard le long de son corps, et vit alors, très clairement, un membre pousser le long de son shorty, déformant ce dernier.
*Woow...*
Était-ce si surprenant que ça ? Non... Inattendu, oui, mais prévisible. Les femmes puissantes et dominatrices sur Terra étaient généralement membrées, comme Mélinda... Et comme Maîtresse Tinuviel. Néanmoins, Alice ne l’avait pas encore vu, et savoir que cette elfe était hermaphrodite était un peu comme la cerise sur le gâteau, achevant de la faire sombrer.
« Ouiii, Maîtresse, je... Je suis une très vilaine fille, une... Une grosse salope qui ne demande qu’à se faire défoncer et punir longuement par vous... Car je suis très vilaine... Très, très vilaine ! »
Elle soupira, son regard oscillant entre les cuisses de sa Maîtresse et son visage. La bosse tirait sur le sous-vêtement, redressant son sexe qui sortait de cette dernière. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, sentant le feu brûler entre ses cuisses.
« Oooh... Punissez-moi, Maîtresse... Foort... »
Alice soupirait chacun de ses mots, sa respiration s’emballant énormément.
-
L'elfe rouge était heureuse de voir le résultat que sa nouvelle tenue avait provoqué chez sa petite Alice. Le choix de l'elfe s'était fait naturellement, en sachant que la petite princesse était ici pour cela mais le résultat était à la hauteur de ses attentes, il suffisait de voir la réaction de la princesse, ses yeux transpiraient la luxure.
Elfe rouge joua quelques instant avec sa petite poitrine, vérifiant ainsi si la jeune femme était prête pour la suite. Oui, vu comment ses tétons étaient durs, il n'était pas difficile de dire que la demoiselle était prête à passer à l'étape suivante. Ca y était, la jeune princesse venait de découvrir que sa maîtresse lui avait préparer une petite surprise. Il suffisait de voir le regard de la jeune femme qui allait et venait entre son visage et son entre jambe.
L'elfe n'était pas une hermaphrodite véritable, elle venait d'utiliser la magie rose pour se doter d'un membre masculin. En effet, si elle aurait très bien put se contenter d'un gode ceinture, elle trouvait cela bien plus intéressant pour sa petite esclave que sa maîtresse soit doté d'un véritable membre. Elle pourrait grâce à cela pousser le jeu plus loin encore et l'humilier d'avantage. Oui, l'elfe avait déjà en tête un petit scénario auquel la petite princesse se livrerait de grès ou de force... Mais connaissant celle ci, elle risquait surtout de prendre son pied.
La jeune princesse lui avait dit ce qu'elle voulait entendre, il était donc temps de passer au chose sérieuse. Elle tira la jeune femme par la chevelure, faisant tout de même attention à ne pas trop abîmer son jouet, la mettant a genou sur le lit malgré les liens qui lui sert les jambes. L'elfe rouge plongea son regard dans celui de sa petite soumise, se léchant les lèvres.
-Hum, Je vais me faire un plaisir de te punir ma petite Alice. Je vais me faire un plaisir de faire de te remplir, mais avant cela ouvre la bouche.
L'elfe rouge ne lui laissa pas le choix exerçant une pression sur la mâchoire de la jeune femme afin de lui faire ouvrir/ Elle sourit légèrement avant de lui dire.
-Si jamais tu me mords, je te jure que tu auras de très gros problème d'accord ?
Elfe rouge savait que la petite princesse ne ferrait jamais cela, mais elle était dans son rôle. Elle était une dominante et cela faisait partie du jeux.
Elfe rouge continua de garder la petite bouche de la princesse bien ouverte pour elle. Elle tira ensuite son membre, le dévoilant ainsi à la petite princesse.
L'elfe rouge n'était pas aller trop loin, choisissant un membre de taille raisonnable bien qu'un peu plus grand que la moyenne. Toutefois Alice avait sûrement vue pire et elfe pourrait toujours modifier cela plus tard, pour l'heure, elle n'avait qu'une envie, profiter de la bouche de la pauvre petite humaine. Chose qu'elle faisait maintenant avec délice, imposant de puissant mouvement de va et viens dans la bouche d'Alice, violant littéralement sa gueule d'ange comme s'il s'agit d'une chatte.
-N'oublie jamais ceci Alice, tu es mon jouet et je dispose de toi comme je le veux.
Oui, elfe prenait son pied dans ce petit jeu de rôle mais cela, la petite princesse l'avait sans doute compris.
-
Attachée comme elle l’était, Alice était vraiment en train de prendre son pied. Le bondage en lui-même était une sensation particulièrement grisante et plaisante, qui faisait bondir son petit cœur d’allégresse et de joie. Se mordillant les lèvres, la Princesse se dandinait un peu sur place, et, quand Tinuviel la redressa, elle se laissa faire. Ses jambes étaient immobilisées, et elle ne pouvait pas s’aider de ses bras pour s’aider à se relever. Elle gémit en sentant l’elfe rouge la soulever par la chevelure. C’était douloureux, mais, au stade où elle en était, la douleur avait aussi quelque chose d’excitant. Elle savait comment fonctionnait le sadomasochisme. L’idée était de bloquer les membres et les sens d’une personne afin de stimuler les autres, notamment le toucher, de telle sorte que le moindre contact sur le corps provoquerait quelque chose d’excitant. Plus facile à dire qu’à faire, c’était un art complexe, mais la Maîtresse s’en sortait bien... Ou alors, c’est qu’Alice était une bonne cliente.
Après lui avoir tiré les cheveux, la Princesse se retrouva agenouillée, les poignets toujours retenus, la vision du shorty de sa Maîtresse devant elle, avec ce membre qui pulsait à l’intérieur. Une vraie catin, oui... Alice ne se reconnaissait plus, devenue une perverse, rien de plus. Le plug dans son cul continuait à l’élancer, mais c’était presque comme s’il faisait maintenant partie d’elle, procurant une sorte de plaisir sexuel minimal et latent. Maîtresse Tinuviel lui dit ensuite de ne pas la mordre, et Alice releva la tête, détachant son regard de cette queue tendue, presque hypnotique.
« Je... Je ne ferais jamais cela, Maîtresse... »
Elle sentit ensuite la main gantée de l’elfe rouge serrer sa mâchoire, la forçant à ouvrir la bouche, ce qu’Alice aurait de toute manière fait sans hésitation... Le seul plaisir de la chose fut juste de sentir sur sa peau la main gantée de l’elfe rouge. Elle vit alors l’autre main glisser sur son shorty, et Alice rougit. Une Futanari... Un fantasme secret pour Alice, et qui la gonflait toujours de plaisir. Elle était sûre que, quand Tinuviel était venue à Sylvandell, l’elfe rouge n’avait pas eu ce membre viril. La magie rose l’aidait sûrement, ce qui devait expliquer pourquoi elle avait choisi de partir. C’était une magicienne, une elfe rouge, une elfe de passion, et elle abaissa son shorty, révélant sa belle queue tendue, en érection. Alice rougit en déglutissant silencieusement, clignant des yeux devant ce membre turgescent, cette queue tendue et gonflée. Elle l’observait en penchant instinctivement sa bouche, comme pour la prendre entre ses dents, et pouvoir la sucer. Difficile à faire, toutefois, vu que la main la bloquait. Elle ressemblait alors à une simple nymphomane ayant envie de sucer une belle queue joufflue entre ses lèvres.
La Princesse n’eut cependant rien à faire, car l’elfe rouge enfonça d’elle-même sa verge dans sa bouche, posant ensuite ses mains sur ses cheveux, afin de s’y appuyer, et pouvoir ainsi mieux la baiser.
« HMMMMMM !! »
Alice ferma sa bouche sur ce sexe, ne cherchant nullement à le mordre, mais juste à mieux le sentir en elle. Elle voyait le ventre de Tinuviel remuer d’avant en arrière, et gémissait, sa langue caressant la partie basse de ce phallus quand il rentrait en elle. En aucun cas, elle ne cherchait à le repousser, le savourant, comme une sorte de grosse et magnifique sucrerie.
Elle ne pouvait évidemment pas lui répondre, mais chacun des mots de la femme glissait dans ses oreilles, l’excitant... Et elle était en train de mouiller le lit de sa Maîtresse, gémissant longuement en serrant ses doigts. Son objet, sa chose...
Comment ne pas aimer ça ?!
-
L'elfe rouge jouait avec plaisir avec la bouche de son petit objet, elle lâcha finalement la bouche de sa petite chose, continuant ses profonds mouvements de va et viens dans la bouche de sa chérie. Elle ne lui laissait que peu d’initiative, s’enfonçant de plus en plus dans la bouche de la jeune princesse en faisant bien attention à ses réactions. Elle ne voulait pas non plus la faire vomir cela aurait été dommage mais elle comptait bien en profiter un maximum.
Les coups de reins de l'elfe rouge se faisait de plus en plus vite, elle pouvait sentir que son membre vibrait légèrement preuve qu'elle ne tarderait pas à jouir. Oui, la magie rose avait un effet seconde, cela avait tendance a la rendre plus sensible et la bouche de sa petite princesse.
Elle donna finalement un violent coup de reins avant de jouir, elle aurait put laisser boire sa petite chose jusqu'à la fin mais elle préféra se retirer, laissant ainsi sa semence jaillir sur le visage de la pauvre petite humaine. Elle eut un petit sourire avant de lui dire doucement.
-Bien, voilà désormais ma petite chienne tu es dormais marquée par ma semence. Par ce geste, je te fais mienne. Tu es mon vide couille, ma lécheuse de chatte et surtout tu es ma petite salope.
Elle lui caressa lentement la poitrine, caressant avec délicatesse les mamelons de la demoiselle. Elle pouvait sentir que si elle continuait comme cela, la pauvre petite alice serait surtout déshydraté avant de pouvoir atteindre sa jouissance. Il était donc temps de passer à la suite des événements.
-Nettoie mon sexe de ta langue de salope, avant je te donnerais ce que tu veux ma petite pute. Je te remplirais la chatte de mon sperme ma petite Alice.
Elle eut un petit sourire avant de laisser faire sa petite chienne. Oui, dès qu'elle aurait fini sa petite Alice aurait sa petite récompense.
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La Princesse gémissait et soupirait. Ses joues rouges étaient gonflées de plaisir, et, plus le temps passait, et plus sa Maîtresse continuait à aller vite, à accélérer le mouvement. Sa verge tendue remuait en elle, s’enfonçant dans sa bouche, atteignant sa gorge en s’enfonçant totalement si bien qu’Alice pouvait sentir ses testicules claquer contre ses lèvres. Elle se laissait faire, véritable poupée de sexe, sans chercher à la repousser, sans chercher à feindre d’être offusquée. Ses mains la démangeaient, et elle sentait ce sexe remuer contre sa bouche, vibrant sous l’effet du plaisir. Tout ceci n’était que de l’excitation pure, et, à aucun moment, Alice ne se sentait dépassée par les évènements. Quand Tinuviel était jadis venue la voir à Sylvandell, Alice n’était alors qu’une jeune pousse venant de découvrir les joies du sexe. Elle n’avait rien de la perverse qu’elle avait fini par devenir, à force de coucher avec ses amies. Elle avait toujours en elle une sorte de couche de gentillesse et de naïveté, mais, en matière de sexe, il était maintenant difficile de la surprendre, ou de la distancer.
Sa queue remuait donc dans sa bouche, son vit tapant contre sa gorge. La salive de la Princesse s’échappait parfois de ses lèvres, et elle continuait à soupirer, et à se laisser faire. Oh non, elle ne fut pas perdue, et coucher avec sa Maîtresse était terriblement excitant. Ce qu’elle sentait était surtout une forme de profonde excitation. Elle ferma les yeux, gémissant à nouveau, et sentit sa Maîtresse approcha du plaisir suprême. Alice le sentait, et, au lieu de jouir dans sa bouche, elle se retira alors, et éclaboussa son visage. Alice en ferma les yeux, et sentit cette verge se trémousser devant elle, balançant un chapelet de foutre sur son nez, son front, son menton, ses joues, et ses lèvres. Une bonne éjaculation faciale à l’ancienne, qui la laissa pantoise. Elle entendit alors Tinuviel lui parler, sa Maîtresse recommençant à l’insulter, à la narguer, à la provoquer. Elle baissa la tête, se mordillant les lèvres, et sentit ensuite sa main venir caresser ses seins.
« Haaannn... Maîtresse... »
Sa langue était sortie de sa bouche, venant se pourlécher les lèvres, avalant un peu de sperme. Les traces blanchâtres glissaient le long de son visage, et elle ne pouvait pas se servir de ses mains pour se libérer, et se nettoyer. Elle devait rester ça avec cette tarte sur la figure, et, silencieusement, écouta Tinuviel continuer à lui parler. La Maîtresse l’insultait sans vergogne, faisant rougir les joues d’Alice. La belle tête blonde était devenue le « vide-couilles » de Tinuviel, ce qu’elle acceptait volontiers... Elle était tellement excitée qu’elle s’imaginait être intégralement recouverte du sperme de sa Maîtresse, à devoir se lécher sous ses yeux... Quand le plaisir sexuel parlait, tous les tabous sautaient progressivement.
Maîtresse Tinuviel lui ordonna de nettoyer sa queue, et Alice, qui avait de plus en plus son propre sexe qui le démangeait, hocha la tête. Obéir avant tout, c’était là une chose simple, à accomplir impérativement, et sans jamais se poser plus de questions.
« O-Oui, Maîtresse... »
Elle se pencha vers elle, et entrouvrit sa bouche, venant lécher cette verge dressée. Même malgré sa jouissance, Maîtresse Tinuviel avait encore son chibre tendu, solide, durci. Elle s’aventura dessus, gémissant le long de cette verge, la léchant délicieusement et activement. Elle filait le long de toute cette surface, déposant parfois des baisers, gémissant et soupirant, la verge de la femme tressautant à chaque fois que ses lèvres remuaient dessus.
« Humm... Hummm... Hummm... »
Alice léchait activement, sans se poser plus de questions. Elle suçait cette queue sur les côtés, l’embrassant, et continuerait à le faire jusqu’à ce qu’on lui ordonne d’arrêter.
Une femme dévouée.
-
L'elfe rouge devait reconnaître que sa petite Alice était d'une dévotion sans faille. Celle ci acceptait son membre sans rechigner. Elle avait fait sa tâche, nettoyant son membre comme l'elfe rouge le souhaitait, elle avait donc gagner sa récompense que l'elfe lui ferrait un plaisir de lui donner.
Elle caressa lentement la joue de la demoiselle, lui caressant légèrement la poitrine avant de l'embrasser doucement. Il était maintenant temps de prendre possession de chaque partie de sa soumise.
Elfe rouge sourit légèrement avant de la positionner comme elle le voulait, la mettant en levrette pour la prendre comme elle le voudrait. Après tout c'était la position par excellence pour une chienne tel qu'elle.
Elle caressa encore un peu sa poitrine, se penchant sur elle avant de lui mordiller doucement l'oreille. Voila, désormais elle était prête à se faire prendre mais pour bien faire, l'elfe rouge continuer encore à la chauffer, la félicitant de son obéissance.
-Tu as été une bonne soumise Alice et tu mérite donc ta récompense, ta maîtresse va donc t'honorer de sa queue.
Elle attendait cela depuis longtemps et elle s'en donna à cœur joie, elle pénétra la jeune femme sans aucune autre forme de procès. Elle n'en avait pas besoin, trempée comme la petite princesse était son membre n'éprouvait aucune difficulté à la prendre comme sa chienne. L'elfe pour renforcer son emprise maintenait la chevelure de la petite princesse, elle s'en servait pour raffermir sa prise. Les coups de reins se faisait puissant, l'elfe rouge ne laissant à aucun instant la petite princesse pour reprendre son esprit.
Elle eut un léger sourire avant de lui mettre une petite tape au fesses, elle n'avait absolument aucune raison pour cela mais elle en avait envie et puis sa petite princesse semblait aimait ses coups de reins ainsi que ses fesses sur ses fesses. Elle pouvait sentir l'utérus de la demoiselle se contracter a chaqu'un de ses mouvements
Au bout de plusieurs minutes l'elfe rouge fini par jouir. Elle finit par répandre de nombreux, très nombreux jets de spermes dans l'intimité de la demoiselle. Elle aimait cette sensation et ne se retira pas, laissant son membre et son sperme dans l'intimité de la demoiselle.
-Alors tu aime être totalement remplie de mon sperme petite Salope.
-
Alice léchait cette queue avec passion et énergie, ne se reconnaissant plus. Dans ce harem, entre ces murs, toutes les barrières sociales sautaient, tous les freins et toutes les restrictions que la décence imposait. La Princesse continuait à lécher cette que, à la sucer, à tirer dessus avec sa bouche, revoyant dans sa tête les nombreuses heures de « formation » faites par Mélinda quand elle était venue sur Terre. C’était clairement de cette manière que les deux femmes avaient vraiment appris à se connaître, et à devenir des amies intimes. Initialement, l’objectif d’Alice avait juste été de se renseigner davantage sur la Terre, monde dont sa femme était originaire. Elle avait alors été hébergée et guidée par Mélinda, et, très rapidement, la vampire avait sauté le pas, mordant son cou, et l’accompagnant dans la nuit. C’était cette expérience qu’Alice utilisait en ce moment, s’en servant pour mastiquer la queue de cette femme, jusqu’à ce que Tinuviel ne finisse par estimer son sexe prêt.
Elle alla ensuite se mettre à hauteur d’elle, et la Princesse gémit en sentant les mains gantées de la femme empoigner ses seins, sa bouche partant à l’assaut de ses lèvres, et de son oreille. Alice soupirait et gémissait, le corps sensible, touché par chacune des délicates attentions de cette femme. Tinuviel manipulait autant la douceur que la cruauté, comme il convenait de le faire pour une véritable Maîtresse. Tinuviel lui parla, la faisant rougir.
« M-Merci, Maîtresse... »
Le sperme de Tinuviel dégoulinait encore le long de son visage, et les mains d’Alice, emprisonnées dans son dos, se serrèrent un peu. Contre son corps, elle sentait celui de l’elfe rouge, elle sentait sa douceur, sa chaleur, le contact tendre et ferme du cuir sur sa peau... Tant de choses excitantes, tant de sensations délicieuses... Était-ce un rêve, ou la réalité ? L’état d’excitation sexuelle d’Alice était telle qu’il lui était difficile de se contrôler, de se retenir, et d’analyser clairement ce qu’elle vivait. Elle n’arrivait plus à réfléchir de manière rationnelle, et la queue pilonnant son cul ne l’aidait pas, continuant à la faire haleter, et à la faire mouiller.
Sa Maîtresse finit par la renverser sur le lit, et Alice soupira, avant de pousser un hurlement quand elle sentit la verge de sa Maîtresse s’enfoncer en elle :
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !! »
Il ne lui fallut que quelques secondes pour avoir son premier orgasme, et le reste ne fut plus qu’une spirale de plaisir. Les liens immobilisant ses chevilles frottaient contre sa peau, son corps remuant d’avant en arrière sous les mouvements solides de sa Maîtresse. Les deux corps se frottaient ensemble, et la verge de sa Maîtresse remuait solidement dans son corps, continuant à la prendre, à la défoncer... Ses coups de reins se multipliaient, et Alice, yeux clos, laissait parler le désir en elle. Son corps remuait d’avant en arrière, et on pouvait l’entendre gémir, hurler, soupirer, puis hurler encore... Elle espérait bien que les murs de cette chambre étaient épais, sinon on risquait de l’entendre aux alentours. Le cuir de sa Maîtresse glissait contre son ventre en sueur, provoquant des frottements... Et il n’y avait rien de plus excitant que de sentir le cuir frotter et crisser, surtout sur une peau nue et en sueur. Alice sentait sa peau suivre les mouvements du corset de la femme. L’elfe rouge s’enfonçait en elle, se perdant dans son corps, ses coups la déboîtant de plus en plus.
« Huuuuunnnn... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa-Haaaannnn !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !! »
Alice haletait et gémissait, incapable de se retenir, ses seins filant de haut en bas. Elle était effectivement ce que Tinuviel voulait qu’elle soit : un objet sexuel, prêt à servir, et qui se faisait labourer par la femme. L’elfe rouge continuait à la prendre, sans relâche, pendant de longues minutes. La princesse eut droit à un autre orgasme, avant de sentir son amante se perdre en elle. Leurs seins se heurtaient, et elle sentit très clairement le foutre de l’elfe rouge filer dans son corps, englouti par son organisme. Une jouissance longue et généreuse, comme il convenait pour sa Maîtresse, remplissant le ventre de la Princesse.
« Haaaaa... »
Elle allait mieux… Oh ça oui ! Alice baignait dans le plaisir, et sentit Tinuviel ralentir un peu le rythme, tout en maintenant, fort heureusement, sa verge plantée en elle. Alice aimait la sentir là, au chaud, lui donnant l’impression d’être complète. Son corps était comme électrique. Elle sentait les mains de sa Maîtresse sur son corps, le parcourant, le flattant... En cet instant de pur plaisir, elle aurait aimé n’être rien de plus qu’une esclave, n’être rien de plus qu’une petite chose belle façonnée entre les mains de sa Maîtresse. Tinuviel lui parla alors, d’une voix chaude, sensuelle, et Alice répondit en hochant légèrement la tête, de haut en bas :
« O-Oui... C’est... C’est si bon d’être votre vide-couilles, Maîtresse... »
-
L'elfe rouge laissa quelques instants à sa petite princesse pour se remettre de ce qu'elle venait de vivre. Elle caressait lentement le corps de la femme restant en elle, laissant à sa petite Alice le temps de redescendre sur terre. Il y avait une chose qu'il ne fallait jamais oublier, si l'acte pouvait être violent ou dégradant, il fallait toujours donner à la fin de l'acte une dose d'amour. Pourquoi ? Pour deux raisons, la première était que cela était nécessaire au psyché des esclaves. Hors, le but de l'elfe rouge n'était absolument pas de détruire Alice. Non, ce n'était qu'un jeu et comme tout les jeux celui ci. La seconde était liée a l'affection que l'elfe rouge avait pour l'Alice. Oui, elle aimait la petite princesse. Alors même si elle devait jouer le rôle de la maîtresse autoritaire, elle ne pouvait pas s’empêcher de profiter de ces moments pour redevenir la douce et tendre maîtresse qu'elle était d'habitude.
Elle ne se retira que quelques minutes plus tard, sortant son membre dégoulinant de mouille et de semence qu'elle proposa à sa petite Alice. Celle ci n'aurait aucun mal à comprendre ce que sa maîtresse voudrait.
- Lave mon sexe catin, goutte au mélange de ta cyprine et de ma semence. Lèche ma queue comme la salope que tu es
Oui, elle venait de retrouver le costume en cuir qu'elle portait. Souriant légèrement, reprenant place dans la bouche de sa petite esclave attendant que celle ci la nettoie correctement. L'elfe rouge avait remarqué qu'Alice semblait avoir des prédispositions quand il s'agissait de se servir de sa bouche et elle comptait bien utiliser celles ci.
Il ne fallut que peu de temps pour que l'elfe rouge retrouve une certaine dureté, elle était désormais apte à reprendre ses pénétrations et il ne lui manquait qu' un trou à remplir mais avant cela, elle devait mettre deux ou trous choses au point avec sa nouvelle esclave.
-Bien, je t'ai laissé jouir cette fois ci Alice. Mais sache que je t'interdit de jouir sans mon autorisation. J'ai laissé passer pour cette fois mais la prochaine fois, je vais devoir te punir.
Elle eut un petit sourire, la suite, la petite princesse n'aurait pas trop de problème à la deviner. Elle continua à caresser la joue de la demoiselle, la câlinant quelques instants.
-Alors ma petite Alice, tu te sens prête à prendre la queue de ta maîtresse dans ton cul ?
-
Entracte. Un interlude de douceur et de tendresse, pendant laquelle Maîtresse Tinvuel s’évertua à entretenir la flamme. Ses mains gantées caressaient le corps de la poupée blonde, ses lèvres venaient l’embrasser, et la Princesse, bien incapable de la repousser, se laissait tendrement faire. Elle n’opposait absolument aucune forme de résistance, gémissant et soupirant à chacun des baisers de la femme, frissonnant au contact du cuir sur son corps, happant ses baisers avec envie et délectation. Ce qu’elle ressentait en ce moment était superbe, et elle répondait avec une envie dévorante à chacun des baisers de la femme. Sa verge était toujours nichée en elle, remuant légèrement dans son sexe à chaque fois, faisant soupirer Alice. Chacune des caresses de Tinuviel et chacun de ses baisers était une délicieuse et magnifique sucrerie, qui la laissèrent électrique, pleine de désir et d’envie. Elle se pinça les lèvres, les mordillant, puis répondait parfois aux attentions de sa Maîtresse, frottant son nez contre sa peau.
Ce petit jeu dura bien cinq ou six minutes, avant que, finalement, sa Maîtresse ne se retire, se soulevant, se redressant. Soupirant sous ce poids subit, puis sous cette libération, Alice cligna des yeux, et, en entendant les ordres de sa Maîtresse, elle obtempéra. Sans rien dire, en bonne petite esclave, elle s’appuya sur ses doigts, et se propulsa en avant, redressant ainsi son buste, et entreprit de lécher cette queue. Elle avait bien décru depuis la dernière fois où Alice l’avait prise en bouche, et elle était maintenant relativement sale, imbibée de foutre et de mouille. Fermant les yeux, la Princesse se mit à gémir, suçant cette queue, remuant dessus, l’enfonçant dans sa bouche, filant d’avant en arrière.
« Hum-hum... »
Alice ne faisait rien d’autre, en l’état, que lécher cette queue, l’astiquer de long en large, remuant tranquillement dessus. Sa langue filait, et elle avalait. Elle mentirait en disant que ce qu’elle avalait était bon, mais, à force de le faire... Et bien, on finissait par se faire au goût. C’était comme se frotter les dents avec un dentifrice insupportable. Progressivement, l’organisme finissait par s’y habituer, et c’était exactement le cas ici. De manière beaucoup plus intéressante, la belle soumise sentit surtout la raideur de sa Maîtresse revenir, sa virilité enflant dans sa bouche... Et, une fois que ce sexe fût recouvert uniquement de salive, Maîtresse Tinuviel la repoussa, et resta dressée face à elle, avec sa queue qui pointait devant elle. Alice la regarda en rougissant.
*Ça m’excite tant... Ohlàlà, suis-je donc devenue à ce point une traînée ?!*
Elle s’en pinça les lèvres, très excitée. En quoi ce qu’elle faisait était mal, de toute manière ? Certes, elle pouvait comprendre que, pour son visage public, il valait mieux éviter que le peuple sache qu’elle aimait se faire dominer et fouetter le cul... Mais, dans un cadre strictement privé, en quoi ce qu’elle faisait était répréhensible ? Si Alice se sentait gênée et honteuse, c’était parce qu’elle était une Princesse, et que, ce faisant, elle avait des obligations et des devoirs qui dépassaient le simple respect de la loi. Elle devait être un exemple, une femme irréprochable... Si jamais on apprenait ce qui se faisait ici, ce qu’elle faisait avec cette elfe rouge, son père ne le lui pardonnerait jamais, et elle perdrait à jamais toute crédibilité concernant Sylvandell. Alice prenait donc des risques... Mais c’était juste trop bon pour qu’elle puisse abandonner, et repousser ça.
Alice se retrouva donc là, face à cette verge, et écouta Tinuviel lui expliquer que, désormais, si elle jouissait sans son accord, elle serait... Punie. Alice baissa la tête en se pinçant les lèvres, cette menace lui rappelant le claquement multiple du fouet sur ses fesses... Sous l’effet de l’excitation, elle avait du mal à lutter contre ses pulsions, et à se rappeler les limites de son corps. Tinuviel lui parla alors de ses fesses, et Alice réalisa alors qu’elle ne sentait plus dans ses fesses la queue que Tinuviel lui avait planté. La queue avait glissé, et gisait sur un coin du lit.
Se mordillant les lèvres, elle ne tarda pas à lui répondre, en relevant un peu sa tête :
« Je... Je suis prête pour tout ce que vous auriez envie de me faire, Maîtresse... »
-
La petite Alice ayant mit toute son ardeur à nettoyer l'elfe rouge, il ne fallut pas longtemps avant que celle ci redevienne dure. Elle ne pouvait que féliciter la dévotion de la petite princesse ainsi que son habilité à sucer les queues. Oui, on pouvait dire que Mélinda, puisque l'elfe rouge était à peu près sur que c'était elle qui avait été à l'origine de cet apprentissage. Enfin, Tinuviel n'allait pas s'en plaindre hein ? Loin de la même, puisqu'elle profitait bien de la langue d'Alice.
Toutefois, toutes les bonnes choses ayant une fin, il était temps de sortir de cette délicieuse petite bouche.
La jeune princesse ne semblant pas réticente à l'idée que l'elfe rouge lui prenne les fesses. Mais avant de faire ceci, il y avait une petite chose que l'elfe rouge devait faire. Elle passa lentement sa main sur le bassin de la princesse, y posant un verrou magique. Ceci éviterait que sa divine semence ne quitte l'utérus de la demoiselle. Au elle ne risquait rien mais il fallait bien que la maîtresse marque son territoire. L'accessoire d'Alice étant désormais ôte, elle pourrait désormais prendre place. La queue aurait sans doute fait son travail, préparant l'anus de la petite princesse a prendre la queue de sa maîtresse.L'elfe retourna donc la petite princesse, la plaçant fesse bien en hauteur pour à la fois l'humilier un peu plus et préparer sa future pénétration.
Le premier coup de rein, l'elfe rouge s’enfonçant facilement dans le petit cul de la princesse. Son petit cul ayant était bien déjà bien ouvert et surtout son membre étant lubrifié par la salive de la demoiselle. Le cul d'Alice semblait au goût de l'elfe rouge. Il n'était plus vierge, cela pouvait se sentir, toutefois il était encore assez serré pour que l'elfe rouge prenne son pied.
-Alors ma petite Saloppe, qu'est ce que sa fait de se faire remplir le cul. Tu te fais prendre comme une chienne et maintenant c'est ton cul qui me sert à me vider les couilles.
Et l'elfe continuait ses va et viens, en profitant de plus en plus. Au oui, qu'elle aimait cela, cette sensation. Il était probable qu'elle ne tarde pas à venir non plus mais si la petite princesse en voulait plus, l'elfe rouge se ferrait un plaisir de lui en donner encore et encore. Pour mais pour l'instant, elle se contenter de continuer sa pénétration, donnant d'ailleurs quelques claques sur ses petites fesses rebondies.
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Tinuviel lui retira tous ses liens, ce qui était incontestablement mieux pour pouvoir la prendre comme elle entendait le faire. Alice continuait à se mordre les lèvres, impatiente de sentir en elle la virilité impériale de sa Maîtresse. Cette dernière avait toutefois encore un nouvel instrument à lui mettre, et la Princesse sentit sa main gantée poser sur son bassin une sorte de talisman magique, qui se colla à sa peau, la faisant frissonner. Une question évidente lui brûlait les lèvres, mais elle sut garder sa langue dans sa bouche, évitant ainsi de s’attirer les légitimes foudres de sa Maîtresse en s’autorisant à faire des choses qui n’étaient pas permises. Elle laissa donc sa Maîtresse la déplacer, accompagnant docilement ses mouvements, et se retrouva ainsi à quatre pattes au milieu du lit, la croupe bien relevée, tendue vers sa Maîtresse. Elle lui offrait son corps, et se mordilla les lèvres en sentant la queue tendue de Maîtresse Tinuviel glisser contre ses fesses.
La queue de chienne que Tinuviel lui avait enfoncée, et qu’elle avait porté pendant des heures, avait lubrifié à la perfection son anus, le préparant à recevoir les assauts de sa virilité. Alice était en soi une sodomite convaincue, une conséquence naturelle quand on connaissait Mélinda, et sa passion dévorante pour les culs bien fermes. Elle savait donc ce qu’elle allait recevoir, et elle savait que ce serait intense. La queue de sa Maîtresse se rapprochait de son bassin, frottant sur sa peau. Gémissant de plaisir, Alice serra les poings… Puis la queue s’enfonça en elle.
« Hunnnghh !! »
Un gémissement crispé s’échappa de ses lèvres, et elle se mit à remuer d’avant en arrière. Oh oui ! Le plaisir instantané et jouissif d’une sodomie se ruait dans ses tripes, s’instillait dans ses veines, et la faisait haleter. Son corps filait d’avant en arrière, ses gémissements rythmant les ébats frénétiques des deux femmes. Maîtresse Tinuviel s’était plantée en elle, et elle remuait, le lit servant d’amortisseur, empêchant les chevilles d’Alice de s’écorcher, la faisant glisser sur une surface plane et confortable. C’était douloureux, très douloureux, mais cette douleur, loin d’être castratrice, était en train de libérer la Princesse, de l’exciter furieusement. Elle gémissait et haletait, couinait et rugissait, serrant ses doigts sur la couverture. Tout ce qu’elle portait, désormais, de l’accoutrement de sa Maîtresse elfique était ses oreilles pointues sur sa tête, et qui semblaient se dresser sous l’effet intense du plaisir qu’elle ressentait.
Le vagin d’Alice mouillait à nouveau, et elle soupirait, ses joues rougies par l’effort et par le plaisir. Tinuviel se mit alors à lui parler, et Alice hocha énergiquement la tête, de haut en bas :
« O-Oui, Maî… Maîtresse… C’est… Haaaannn… Votre petite chienne adore… Se faire rem… Remplir le… Le cul par… Par votre grosse queue ! »
Elle haletait et gémissait, totalement méconnaissable. La Princesse de Sylvandell s’en était allée, elle avait filé par la petite porte, et elle laissait derrière elle une autre Alice… Une véritable chienne.
-
L'elfe rouge prenait un malin plaisir à pénétrer sa petite Alice. Mélinda l'avait bien formée et elle devait reconnaître que son cul était un petit bout de paradis, qu'elle adorait profané. Apparemment sa petite chienne semblait apprécier ceci également puisqu'elle en redemandait et que son corps réagissait favorablement. Oui, sa poitrine pointée de désir et elle pouvoir sentir l'odeur de la cyprine envahir petit à petit l'air. Il était évident qu'Alice était excitée par ce traitement et que L'elfe rouge lui faisait subbir et cela n'irait sans doute qu'en empirant.
En effet Tinuviel en plus de ses pénétrations, s’amusait à fesser sa petite Alice, donnant pour chaque coup de rein, un petite tape sur ce cul si ferme. Oui, Alice était désormais une simple chose que l'elfe rouge baiser sans aucune retenue. Elle était un objet a son bon plaisir et le pire était que cela semblait tout à fait convenir à la petite princesse qui ne demandait que cela.
Les coups de reins durèrent plusieurs minutes avant que l'elfe rouge ne se décide enfin à jouir laissant une bonne quantité de sperme se répandre lentement dans la petite princesse. Elle resta comme tout à l'heure, quelques temps dans la jeune femme avant de se retirer et de placer le sceau ainsi que la queue de chienne d 'Alice. Elfe rouge l'embrassa doucement avant de dire à sa petite chienne.
-Désormais Alice, tu m'appartient, chacun de tes trous ont reçus ma semence. Tu es donc officiellement ma vide couille, ma salope privée et qu'importe tes futures amants, tu m'appartient Alice.
Elfe rouge embrassa lentement la princesse, lui caressant la joue avec tendresse.
-Désormais, tu es ma petite chose ma petite chérie. Tu m'appartient et qu'importe te prendra dans le futur ces troues m'appartiennent.
Elle eut un léger sourire, continuant à lui caresser doucement le visage en lui disant.
-Comme tu as été une bonne chienne, je vais te donner le droit à une récompense. Dit à ta maîtresse ce qui te ferrait plaisir ?
Elle eut un léger sourire, lui caressant lentement le crane avant d'attendre la réaction de sa petite chérie. Oui, elle avait était une bonne fille et elle méritait cette récompense.
-
La verge de Maîtresse Tinuviel continuait à remuer dans son fondement, à la défoncer joyeusement, à s’enfoncer dans son corps, d’avant en arrière, remuant de plus en plus profondément. La queue de chienne avait déjà bien préparé Alice, ce qui faisait que cette sodomie était extrêmement agréable, longue et plaisante. Alice haletait et gémissait en filant d’avant en arrière, les oreilles pointues sur sa tête la suivant. Son corps était tout rouge, le plaisir était en elle, et sa mouille tombait sur le lit, de même que sa sueur. Beaucoup de gouttes de sueur suintaient hors de son corps, et, parfois, elle sentait les mains gantées de l’elfe rouge claquer sur ses fesses. Des fesses violentes, qui la faisaient également hurler. Elle serrait ses doigts sur le lit, sentant ensuite les claques revenir, de belles gifles bien sonores. Tinuviel savait y faire. L’elfe rouge, femme de passion, justifiait tout à fait sa race elfique. Sa verge magique pilonnait son cul de plus en plus fort, et la pièce se remplissait des hurlements d’Alice. Yeux clos, la chienne de Tinuviel se faisait prendre, et crachait parfois sa salive. C’était Mélinda qui lui avait montré les joies de la sodomie, qui avait fait d’elle cette sodomite convaincue qu’elle était actuellement... Et le fait est qu’elle avait bien réussi ses enseignements. Alice remuait joyeusement, se faisant déflorer le cul avec une passion qui était tout, sauf feinte. Sa mouille en attestait.
Au bout d’un temps indéterminé, la Princesse finit par s’abandonner, sentant le plaisir arriver à son point culminant... Du moins, pour Maîtresse Tinuviel. L’elfe se crispait, devenait plus rapide, plus sauvage, plus intense, plus rude... Elle se retenait de moins en moins, des signes avant-coureur de son plaisir sur le point d’exploser. Alice était ravie de voir qu’elle offrait à sa Maîtresse suffisamment de plaisir pour la faire jouir, et recevoir sa semence était effectivement pour elle le plus grand des plaisirs. Par conséquent, quand sa Maîtresse se vida en elle, quand elle sentit les gémissements et les soupirs de l’elfe rouge atteindre le point de non-retour, elle en hurla de joie, et ses hurlements se turent quand elle sentit le foutre taper contre l’intérieur de ses cuisses. Cette verge s’était bien enfoncée en elle, annihilant toute autre sensation corporelle. Elle était entièrement subjuguée autour de cette queue plantée dans son cul comme un mât au sommet d’une montagne dominée. Tinuviel lâcha à nouveau en elle ses petits soldats, envoyant plusieurs régiments et des cohortes de cavalerie en elle. Alice gémit, hoquetant à plusieurs reprises, avant de se reprendre peu à peu, au fur et à mesure que les mouvements de la femme décroissaient.
Son cul était bien lisse, maintenant, bien glissant, humide et très douloureux. Le plaisir court-circuitait pour l’heure cette douleur, mais Alice savait que, tôt ou tard, son cul allait se rappeler à elle. Comme elle l’avait fait tantôt, Maîtresse Tinuviel choisit de ne pas se retirer immédiatement, préférant plutôt profiter de ce moment, en remuant faiblement, et en flattant le corps d’Alice de quelques agréables caresses.
« Haaaannn... »
La Princesse gémissait et soupirait. La pièce transpirait de sexe, de sueur, et de perversion. Elle flottait dans un joyeux petit cocon, et ondulait faiblement son bassin. Sa Maîtresse resta ainsi pendant un certain temps, avant de finalement se retirer. Son foutre aurait normalement dû se retirer, mais il resta dans le corps d’Alice, qui pouvait continuer à le sentir. Une sensation assez originale, perturbante... Mais elle n’eut pas trop le temps d’y songer, car la queue de sa Maîtresse fut remplacée par sa queue de chienne. Tinuviel l’enfonça en elle, tout en lui expliquant que, désormais, Alice était sa chienne... Le ton employé laissait entendre qu’Alice serait désormais éternellement son esclave, ce sur quoi la Princesse avait d’évidentes réserves, qu’elle choisit, pour des raisons on ne peut plus évidentes, de garder pour elle. Son vide-couilles, oui...
*Tant que je reste ici, à ton service...*
Dehors, Alice resterait une Princesse. Ici, ce n’était qu’une manière pour elle d’exprimer ses fantasmes, de laisser pleinement aller cette partie de sa personnalité qui aimait tant se complaire dans la soumission. Tinuviel était autant sa Maîtresse que Mélinda l’était. L’elfe semblait être juste un peu plus insistante, mais, en soi, ça ne dérangeait pas Alice. C’était le signe qu’elle tenait à elle... Et, de fait, être le « vide-couilles » de l’elfe rouge était extrêmement excitant.
Tinuviel n’en avait pas encore fini avec elle, et, alors qu’Alice s’amusait à remuer sa queue poilue, en sentant l’étrange lien magique entre son corps et ce jouet se reformer, l’elfe finit par parler :
« Comme tu as été une bonne chienne, je vais te donner le droit à une récompense. Dis à ta maîtresse ce qui te ferrait plaisir ? »
La « chienne » réfléchit quelques secondes. Alice se retourna pour faire face à Tinuviel, et se mordilla les lèvres.
« Je... Je voudrais continuer à vous faire l’amour, Maîtresse... Avec vos amantes... Et avec vous co... Comme... Maî.. Maîtresse... »
Quitte à se faire plaisir, autant le faire à plusieurs, non ?
-
Oui, l'elfe rouge était possessive, c'était dans sa nature, toutefois la petite princesse n'avait rien à craindre de sa part, elle la libérerait le moment venue. Elle caressa lentement sa petite soumise jouant légèrement avec celle ci. En attendant, elle continuait de caresser sa petite chienne, pendant que celle ci reprenait petit à petit la connexion avec le jouet.
Elle eut un léger sourire en écoutant la demoiselle, hum l idée d inviter d autres amantes lui plaisait toutefois, elle ne put s'empecher de titiller légèrement Alice sur cela.
-Hum, c'est une intention très louable Alice ? A moins qu'en plus d'être une petite salope tu es une voyeuse ? Peut être que tu aime voir ta maitresse faire l'amour à d'autres femmes pendant que tu lui lèche les pieds. C'est cela Alice ?
Elle lui caressa la joue, attendant sa réponse avant de se lever et de partir à la recherche de deux amantes. Elle avait déjà son choix en tête et elle ne tarda pas à revenir, accompagnée de deux terranides. Elle ne tarda pas à revenir avec Samia et Talia. Les deux terranides ne furent pas étonnée de voir la jeune princesse dans cette accoutrement puisqu'elle avait déjà eut l'occasion de l’apercevoir lorsque l'elfe rouge avait fait faire à sa petite soumise sa promenade.
L'elfe rouge sourit et dit donc :
-Alice, dit bonjour à Samia (http://aimg.rule34.xxx//images/588/c9188d3e21fe32a7a4c235654c1931024169b4ae.jpg?587726) et Talia (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=831152), ce sont elles qui passerons la soirée avec nous. Les filles, je ne vous présente pas Alice ?
Elle eut un léger sourire avant de dire doucement.
-Alice nous regardera jouer toutes les trois ce soir. Et elle participera peut être si jamais elle est une bonne fille.
L'elfe rouge, tira légèrement les deux demoiselles contre elle et les embrassa avec tendresse. Oui, elle avait bien invité deux de ses amantes mais pour l'instant Alice n'était invitée que pour les regarder. L'elfe rouge l’intégrerait bien sur mais plus tard. Elle voulait légèrement jouer avec la petite princesse, voir comment celle ci réagirait à ce petit cadeau empoisonné.
-
Alice savait que Tinuviel gérait un harem, et que, ce faisant, sa Maîtresse avait d’autres femmes ici. À Sylvandell, elle avait déjà eu l’occasion de croiser Lorna, et l’idée de voir d’autres de ces « esclaves » la tentait plutôt bien. Bien sûr, elle pouvait juste se contenter de continuer à faire l’amour avec sa Maîtresse, mais, quitte à devenir son amante, et sa femme, autant voir les autres femmes de la polyandre elfe. De ce qu’Alice avait compris, la particularité du dressage de Tinuviel était que tous ses esclaves étaient aussi ses femmes. Elle trouvait le concept intéressant, et, même si Alice était déjà mariée, elle ne voyait pas de problème à se marier encore… Ce serait un mariage obscur, qui ne serait publié nulle part, et qui n’aurait d’effet qu’entre les parties. De plus, la loi sylvandine étant très floue sur le mariage des personnes royales, il n’y avait aucun empêchement au remariage. La polygamie n’avait jamais été interdite dans l’Empire, contrairement à Nexus, où l’Ordre Immaculé avait une influence plus forte que dans l’Empire d’Ashnard. Alice songeait à tout cela depuis des semaines, maintenant, et elle ne regrettait clairement pas d’avoir pris le risque de venir ici. Ce qu’elle vivait depuis qu’elle avait rejoint ce harem était tout simplement magique, empreint d’une certaine forme de féerie. Sa Maîtresse recommença à lui parler, en la narguant, en insistant sur le fait qu’Alice était une petite voyeuse, ce qui fit rougir cette dernière.
Elle se mordilla les lèvres, en sentant bien qu’elle allait souffrir, en se doutant que Tinuviel allait jouer sur sa frustration, et lui répondit au bout de quelques secondes, relevant la tête, son regard s’attardant sur la verge de l’elfe rouge, puis sur le beau visage de l’elfe :
« O-Oui, Maîtresse… Voir ma Maîtresse heureuse est le plus grand plaisir qu’une petite chienne comme moi puisse éprouver… »
Peut-être qu’un jour, elle finirait par se lasser de ce jeu de soumission volontaire. Peut-être qu’un jour, elle en aurait assez d’être traitée comme une chienne, comme une salope soumise qui se faisait fouetter le cul et humilier par ses amis… Mais ce jour n’était pas encore venu. Tinuviel lui avait tendrement caressé la joue, et Alice avait léché l’extrémité de ses doigts gantés, avant de la laisser partir. Elle en profita pour rester sur place, remuant un peu sur le lit, ondulant des hanches, accompagnant dans son bassin la queue qui était nichée dans ses fesses. Elle reprenait peu à peu ses aises, tout en sentant une certaine chaleur pointer dans son bassin. La Princesse était excitée, et devait résister à l’envie de se caresser. Elle se demandait qui Tinuviel allait ramener, parmi tous les membres composant son harem, et il se passa donc quelques minutes. Des minutes pendant lesquelles Alice soupirait en serrant les poings, fiévreuse. Cette attente l’excitait étrangement, provoquant en elle des frissons le long de son échine. Elle serrait le lit, voyant ici et là des traces de sueur et de fluides intimes sur la couverture.
Alice attendit donc, jusqu’à ce que la porte s’ouvre à nouveau. À gauche et à droite de sa Maîtresse, dont la verge déformait sa culotte, elle vit Samia et Talia. Samia était une belle Terranide-féline à la peau noire, portant une élégante robe violette transparente avec une longue queue poilue dans son dos, qui se frottait sur le sol. Quant à Talia, c’était également une Terranide, plus humaine, portant une combinaison moulante et de longs cheveux blonds. Les deux femmes lui sourirent, et Alice entreprit de les saluer, sa queue caudale remuant de gauche à droite.
« Bon-Bonjour, Samia… Bonjour, Talia… »
Sa gorge était légèrement desséchée, et la Maîtresse parla à nouveau, tandis que Samia et Talia se lovaient contre elle, se nichant dans le creux de ses bras :
« Alice nous regardera jouer toutes les trois ce soir. Et elle participera peut-être si jamais elle est une bonne fille. »
L’intéressée rougit en se mordillant les lèvres, et put voir les trois femmes s’embrasser. La bouche de Samia se colla contre celle de sa Maîtresse, sa main noirâtre caressa ses hanches, et, pendant ce temps, Talia lécha et embrassa le cou de Tinuviel, avant de l’embrasser à son tour, aventurant ses mains dans le dos de la femme, caressant sa peau, près de ses fesses. Les trois femmes s’embrassaient ainsi en gémissant et en soupirant, sous les yeux d’une Alice qui risquait vite d’en devenir avide, et d’avoir du mal à se calmer.
-
L'elfe rouge négligeait clairement la pauvre petite princesse au profit de ses deux épouses. Toutefois, elle savait que la petite blonde profiterait de chaque instant de cette vision. On pouvait voir dans les yeux d' Alice, l'envie. Oui, la petite princesse était à la fois envieuse mais également excitée par la situation. Mais pour l'instant l'elfe rouge était trop occupée à honorer ses amantes de tendres caresses et de doux baisers. Pendant plusieurs minutes, les gestes étaient lents, faisant monter la passion. L'elfe rouge embrassa lentement Talia, ses mains caressant lentement la queue de la demoiselle qui frissonna légèrement.
Elfe rouge aida ensuite sa petite Ookami à ôter cette combinaison qui bien que mettant particulièrement bien son corps en valeur, la gênait pour la suite. L'elfe rouge prit son temps, laissant à la petite princesse qui observait la scène. Le corps de la jeune femme était tout en muscle, elle était une ancienne guerrière de l'armée tehkane et cela pouvait encore facilement se voir.
Les baisers se firent de plus en plus audacieux. Samia caressait lentement la poitrine de la demoiselle avec sa queue, avant de l'embrasser alors que l'elfe rouge embrassait lentement son ventre. Elle descendit alors lentement sur son ventre, descendant de plus en plus sur son bassin. L'elfe rouge continua ses petites caresses, léchant finalement l'intimité de la demoiselle sous l'oeil de la petite princesse.
Ce petit spectacle dura pendant de longue minute jusqu'à la jouissance de Talia. Elfe rouge prit ensuite le temps de se délecter du divin liquide qui lui était offert avant de l'offrir à la seconde terranide dans un baiser passionnée. Elle se tourna ensuite vers Alice, lui caressant lentement la joue avant de lui dire.
-Alors ma petite Alice ? Que penses tu ? La vision te plaît ? Tu aime voir ta maîtresse jouer avec d'autres femmes n'est ce pas ?
Elle continua, embrassant légèrement le cou de Samia. Oui, elle était légèrement entrain de faire languir la petite princesse mais elle était certaine que celle ci serait trempée lorsqu'elle viendrait enfin s'occuper d'elle.
-
Alice était en train d’assister à un spectacle fascinant, terriblement torride, terriblement excitant… Et terriblement frustrant. À quatre pattes sur le lit, elle se mordillait les lèvres en serrant les doigts sur la couverture. Les trois femmes devant elle se faisaient tendrement l’amour, et n’étaient nullement pressées, ce qui rendait ce spectacle encore plus insoutenable. Elles ne se pressaient pas, elles agissaient lentement, précautionneusement, faisant chacune preuve d’une douceur infinie, s’embrassant et se câlinant. Alice, qui avait toujours aimé les baisers, fondait en voyant Samia jouer avec la langue de Tinuviel, déglutissait en voyant la main de Maîtresse Tinuviel caresser le dos de Talia, tripotant sa queue, ses doigts gantés glissant lentement dessus. Entre les deux Terranides venues pour faire l’amour à Tinuviel, la verge de l’elfe rouge était tranquillement en train de bander, tirant sur sa culotte rouge. Tous ces détails, Alice les voyait, et sentait sa salive se liquéfier sous cette vision. Elle vit Tinuviel embrasser pendant de nombreuses secondes la belle Talia, qui avait les yeux clos, et gémissait contre les lèvres de l’elfe rouge.
*Elles vont me rendre folle, si ça continue !*
Pourtant, elles étaient loin d’avoir terminé… Les mains de Tinuviel glissèrent sur le corps de Talia, et entreprirent d’ôter sa combinaison militaire. Alice savait que Tinuviel avait une bonne influence sur le monde, et qu’elle connaissait les mots justes pour convaincre d’autres femmes de la rejoindre. Elle n’était donc pas étonnée de voir une Terranide tekhane finir entre ses tendres mains. De fait, si elle-même n’avait pas en tête la gestion prochaine d’un royaume, et le sens des responsabilités, elle aurait probablement accepté de devenir l’amante-esclave de Tinuviel à temps permanent. Ce qu’elle vivait ici était tout simplement merveilleux, lui donnant l’impression de flotter au Paradis.
Les deux femmes choisirent alors de s’occuper de la Terranide. Nue, elle était aussi belle qu’avec sa combinaison. Elle avait un corps qui était à la fois tout en courbe et tout en muscle, avec un abdomen solide. Un beau corps de femme-soldat. Elle se retrouva dos au mur, soupirant et gémissant en sentant Samia et Tinuviel s’attaquer à elle. Alice tremblait, sentant des bourdonnements dans son corps. Elle voyait Tinuviel lécher le sexe de la femme, après une multitude de baisers sur son corps, et voyait Samia peloter ses seins. L’Ookami était bien lotie, et soupirait, gémissait, l’une de ses mains agrippant les cheveux de son amante, sa queue venant caresser la joue de Tinuviel, le bout de sa queue en profitant pour se frotter dans ses longs cheveux. Rester insensible à ce spectacle relevait littéralement du prodige. Alice tremblait sur place, d’autant plus que les trois femmes prenaient tout leur temps.
Au bout d’une période longue, terriblement longue, et de multiples gémissements, Talia finit par jouir. Un bel orgasme droit dans la bouche de l’elfe rouge. Cependant, au lieu de l’avaler, Tinuviel se redressa, et alla embrasser Samia, enfonçant la mouille de Talia dans sa bouche. La Terranide à la peau noire répondit à ce baiser, un baiser fougueux et passionné, où Alice pouvait les entendre gémir.
*Ohlàlà !*
Se retenir, il fallait se retenir… Aussi dur que ce soit, aussi délicat que ça puisse être… Les deux femmes continuaient à s’embrasser fiévreusement, et Tinuviel se retira ensuite. Sa main gantée vint tendrement caresser la joue d’Alice, qui était rouge. Elle mouillait déjà, salissant les draps du lit, voyant la belle verge raide et tendue de la femme. Tinuviel lui posa ensuite une question, avant de retourner embrasser Samia. L’intéressée posa ses tendres mains sur les fesses de la femme, se cramponnant dessus, tandis que Talia, nue, rassasiée, mais avec toujours l’œil du désir brûlant dans sa pupille, se rapprocha, et tendit sa main, venant masturber tendrement l’elfe rouge.
« O-Oui, Maîtresse, vous… Vous êtes merveilleuses, toutes… Toutes les trois… »
Alice se régalait visuellement… Mais ce qu’elle voyait était aussi une véritable torture, et c’était encore pire, maintenant que sa Maîtresse s’était rapprochée d’elle. Elle pouvait renifler l’odeur du cuir, l’odeur des corps en sueur, l’odeur du plaisir en train de naître entre les trois femmes. C’était un véritable supplice !
-
Talia étant désormais rassasiée, elfe rouge se concentrait désormais sur Samia, les caresses sur son petit corps étaient aussi douces que celle de talia. Elfe prenait tout son temps caressant chaque parcelle du corps de la furry. Elfe rouge observait également du coin de l’œil la petite princesse, sachant que celle ci mouillait comme une petite folle mais elle avait déjà eut assez d'attention pour l'instant.
Elle eut un léger sourire et après un petit baiser, elle caressa lentement l'intimité de la pauvre demoiselle qui gémissait sous les doigts experts de sa maîtresse. L'elfe rouge prit son temps mais elle commençait à caresser l'intimité de la petite demoiselle, jouant légèrement avec ses lèvres intimes avant de pénétrer en profondeur dans les mystères de son intimité. Elle continuait de voir du coin de l’œil la petite princesse, celle ci semblait avoir de plus en plus de mal à rester à sa place.
Au final, la furry semblait être des plus heureuse, l'elfe rouge se frottant légèrement son corps, alors que les deux femmes jouaient toutes les deux. Ce corps à corps dura de longues minutes, avant de l'elfe rouge ne renverse légèrement la pauvre petite terranide, jouant légèrement avec sa poitrine et suçota celle ci. L'elfe rouge, l'embrassa tendrement avant de commencer à doigter la furry.
La Talia, elle semblait avoir repris ses esprits. Elle se dirigea lentement vers la petite princesse lui caressant doucement la joue avant de l'embrasser doucement, jouant un peu avec sa joue en caressant la queue de la demoiselle avec la sienne.
-Hum, Alice, c'est bien cela ? Si tu en as assez de rester en retrait, je pourrais te proposer une petite chose.
Elle sourit légèrement avant de lui glisser à l'oreille.
-Si tu veux, je te propose de partager madame lastrim.
Elle l'embrassa doucement la petite princesse, avant d'aller entre les cuisses de sa maîtresse autant délicatement le tissu recouvrant son membre. Elle caressa celui ci de sa langue, commençant ainsi une fellation. Elle espérait que la princesse daigne y prendre part, cela rendrait les choses plus agréables pour sa maitresse...
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Cantonnée au simple rôle de spectatrice, Alice souffrait en silence. La frustration s’emparait de son corps, la rendant nerveuse, fébrile. Il lui était difficile d’agir, difficile de se retenir, difficile de ne pas s’écrouler sur place. Elle voyait Maîtresse Tinuviel et Samia continuer à s’embrasser… Deux délicieuses créatures, deux femmes superbes, qui ne cessaient de se faire des amours, de se caresser, de se toucher, de se frotter. Partout où Alice posait ses petits yeux bleus, tout n’était qu’un déballage de luxure, de vice et de plaisirs. Soupirant faiblement, elle se mordillait les lèvres, résistant à l’envie de sauter sur ces femmes. Non, elle resterait tout simplement fidèle aux instructions de Maîtresse Lastrim, et ce même si c’était dur. Plus le temps passait, et plus son corps était en manque, réclamant des caresses et des attentions qu’elle ne pouvait se prodiguer elle-même. Les minutes défilaient, suspendues aux lèvres des deux femmes. Tinuviel embrassait Samia, et finit par se pencher vers elle, le corps de la belle Terranide à la fourrure noire partant en arrière. Ceci permit à Tinuviel de poser ses lèvres sur les seins de Samia, les suçotant, et de déplacer sa main. Samia avait une généreuse poitrine, et son soutien-gorge rose, transparent, pendait sous les lèvres de Tinuviel. Tout ce spectacle de douceur, de lingerie, et de perversion, excitait chaudement la Princesse, qui était effectivement en train de mouiller abondamment. Que pouvait-elle faire d’autre ? Elle aimait ce spectacle, et sa gorge s’asséchait en les voyant ainsi.
Percevant son trouble, Talia la rejoignit alors. Nue, la belle Terranide musclée était bien décidée à retourner profiter de sa Maîtresse. Alice ferma les yeux, et répondit au baiser de la jeune femme, tendant ses mains pour caresser ses hanches douces et musclées. Contrairement à bien des humains, Alice ne nourrissait aucun préjugé quelconque envers les Terranides, et elle voyait Talia comme une amante, une esclave-femme de Tinuviel, bientôt au même titre qu’Alice. Sous l’effet de l’excitation, elle ne pouvait qu’anticiper ce mariage, sentant en elle des pensées embrumées… La soumission était une chose tellement délicieuse… Oh oui, qu’il était bon de se soumettre à cette belle femme, de suivre chacune des pulsions de Tinuviel ! Alice savourait chaque seconde de ce qu’elle était en train de vivre, voyant cela comme un véritable rêve éveillé, un moment où elle pouvait enfin laisser parler ce qu’elle était profondément… Une perverse masochiste. Elle sentit la joue de Talia glisser contre son corps, la caressant doucement, et la Terranide lui fit ensuite une proposition qui la fit cligner des yeux. S’occuper du verge de l’elfe rouge… Alice entrouvrit les lèvres, pensant initialement à une blague, mais Talia prit les devants.
Elle se mit devant les jambes de sa Maîtresse, et abaissa sa culotte, suffisamment pour dévoiler ce long membre turgescent, dur et tendu… Ce membre qui avait déjà pénétré Alice en long, en large, et en travers, et qui continuait à pulser, assoiffé. Elle vit Talia lécher ce membre avec sa langue, commençant une lente fellation. Alice déglutit, rouge.
*C’est si beau…*
Son corps se déplaça Presque de lui-même, et Alice se retrouva à son tour devant le corps de Maîtresse Tinuviel, observant cette belle verge dressée, ce mât pointant vers le ciel Relevant la tête, elle entreprit de le lécher à son tour, soupirant de plaisir, son corps contre Samia et Tinuviel Elle sentit alors contre son dos la longue queue poilue de Samia, qui se frotta à elle, s’enroulant autour de sa taille Les quatre femmes gémissaient et soupiraient de plaisir, et Tinuviel était clairement au cœur du trio, recevant toutes les attentions de ses belles et dévouées esclaves
« Hummm-hmmmm… »
Ne se reconnaissant plus, Alice continua à lécher ce sexe, le prenant parfois en bouche, le suçant, avant de le tendre à Talia, pour qu’elle-même puisse jouer avec. Parfois, probablement sous l’effet du plaisir, la longue queue de Samia se serrait autour de son corps, faisant soupirer la Princesse. Elle sentait le bout des poils de cette longue queue se rapprocher de son intimité, et, délicatement, Alice remuait un peu son bassin. Ne pas se masturber devenait de plus en plus difficile, et l’une de ses mains tendait de plus en plus à se rapprocher de ses cuisses en feu… Et, délicatement, elle glissa un doigt dans sa fente intime, et remua en elle, les joues rougies par le plaisir imminent qu’elle ressentait, ainsi que par la gêne de se caresser ainsi, publiquement, aux yeux d’autres personnes. C’était gênant, oui… Mais aussi très excitant !
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L'elfe rouge était sur un petit nuage, de deux de ses femmes ainsi qu'une invité très spéciale pour s'occuper d'elle et elle adorait cela. Elle pouvait sentir les caresses de ses trois amantes, et cela lui faisait un effet fou. Samia, l'embrassait de temps en temps, jouant avec sa poitrine avec ses doigts si délicats mais le pire était sans doute les petits coups de croc que lui donnait de temps en temps la terranide. Oui, Samia était extrêmement raffinée mais comparée à lorna, celle ci était bien plus entreprenante et légèrement plus joueuse.
Cependant le pire ou le meilleur c'était en fonction des points de vue, c'était l'action des deux autres demoiselle sur son nouveau sexe. Talia avait prit l'initiative, jouant en première avec son sexe. La petite princesse avait cependant rapidement suivit, caressant son membre avant de le prendre en bouche t'elle une affamée. Les deux femmes se partageait désormais son membre, léchant à tour de rôle cette queue qui leur été offerte.
En parlant de queue, celle de Samia, s’avançait lentement mais sûrement de l'intimité de la petite Alice. L'elfe rouge était peut être aux centres des attentions de ses trois chéries, toutefois, elle avait clairement demandée à ses deux amantes de s'occuper un peu de la petite princesse.
En effet, si ces soirées étaient agréables, elle avait un autre but, faire en sorte de créer des liens. En effet, la petite princesse resterait ici un petit moment et elle ferrait bientôt partie de la grande famille du harem.
La main de Talia se glissa au niveau de l'intimité de la jeune princesse, chassant la main de celle ci alors qu'elle lui glissa à l'oreille pendant que la princesse s'occupait du sexe de l'elfe rouge.
-Laisse nous faire petite princesse.
La queue de l'okami se mit à frotter délicatement l'intimité de la jeune princesse alors que celle de Samia plongea directement dans sa grotte des plaisirs. Cela ne fut d'ailleurs que peu compliqué vu comment la jeune femme était trempée.
L'elfe rouge remarqua bien sur la petite incartade de la petite princesse, mais elle décida de ne rien dire pour l'instant. Le plaisir était trop bon et l'elfe rouge ne tarda pas à jouir, relâchant sa semence dans la bouche de la pauvre ookami. Celle ci n'étant pas égoïste, elle alla immédiatement partager son trophée avec la petite princesse, lui faisant un délicieux baiser aromatisé au goût de sa maîtresse.
-Bon appétit ma petite Alice.
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À genoux devant sa Maîtresse, Alice était comblée, et léchait avec appétit cette belle grosse queue qui lui était offerte. Quand Talia ne la léchait pas, elle-même s’y attaquait, la prenant bien en bouche, en profitant pour caresser la longue chevelure de Talia. Maintenant qu’elle était enfin admise dans leur petit jeu, elle comptait bien faire de son mieux, afin de montrer à sa Maîtresse qu’elle était tout à fait capable de la satisfaire convenablement. Elle sentit Talia frissonner quand sa main caressa sa longue crinière, et libéra la verge de Tinuviel, qui finit ensuite dans la bouche de Talia, la jeune Terranide venant la sucer énergiquement, soupirant en remuant la tête, multipliant les gorges profondes, son menton venant se frotter contre la culotte de l’elfe rouge. Ce spectacle était tout simplement magnifique à voir, et la Princesse salivait en la voyant, les yeux admiratifs.
Sa main tremblait contre son sexe, mais elle sentit alors celle de Talia s’agripper à son poignet, la retirant. Alice soupira, et sentit ensuite la queue poilue de Samia s’enfoncer en elle, la faisant gémir.
« Hun ! »
Elle se mordilla les lèvres, et embrassa la peau nue de Tinuviel, tirant sur sa culotte par la suite, la serrant entre ses dents, faisant claquer la lanière de ce sous-vêtement contre la belle peau de sa Maîtresse elfique. Alice sentait dans son intimité la queue de Samia. Elle s’était enroulée autour de son ventre comme une espèce de serpent, et remuait activement en elle, d’avant en arrière, formant comme une belle verge poilue qui s’enfonçait en elle, la faisant gémir et soupirer. La Princesse balbutiait lentement, couinant et soupirait, et gratta le dos de Talia, qui finit par relâcher la verge de sa Maîtresse et amante.
Alice déplaça alors sa main, et attrapa cette queue, puis la prit dans sa bouche à son tour. C’était une belle grosse sucette, qui pulsait entre ses lèvres, remuant dans sa bouche. Elle ferma les yeux clos, et sentit la main de Talia venir caresser sa joue, puis son oreille. L’Ookami se pencha alors vers elle, et lécha le bout de cette verge, s’y attaquant quand la bouche d’Alice ne la recouvrait. Cependant, Samia s’amusait aussi à déplacer sa main du corps de sa femme, venant de temps en temps la poser sur la chevelure blonde d’Alice, enfonçant sa bouche, la faisant couiner et gémir quand cette queue tapait contre sa gorge.
Pour mieux s’occuper d’elle, la main de Talia finit par filer, et caressa sa queue caudale, faisant sursauter Alice. Tous ses orifices étaient remplis, et elle mouillait abondamment sur la queue de Samia. Oh ! Que c’était bon ! Alice ne faisait rien d’autre que se savourer, transformée en une poupée de chair sexuelle. Sa main finit par se déplacer le long du dos de Talia, et elle enfonça un doigt dans le fondement de la femme, un sourire sur le coin des lèvres, tout en lui rendant la queue de la Maîtresse. Talia couina, et une lueur mutine traversa ses lèvres. Elle suça à nouveau la queue de sa Maîtresse, creusant ses joues en aspirant de l’air. L’Ookami savait y faire, et elle s’évertuait à le montrer à quiconque pouvait être tentée de remettre en doute ses compétences. Alice était vraiment comblée, et folle de joie. Ce qu’elle vivait était magnifique.
*Elle est sur le point de jouir…*
Alice l’avait senti. Cette queue tendue était sur le point d’exploser, et la jouissance arriva. Talia se retrouva la bouche pleine de foutre, et choisit de ne pas en perdre une goutte. En comprenant rapidement ce qu’elle proposait, Alice sourit, et agrippa sa nuque, puis l’embrassa fiévreusement, goûtant à la bouche magnifique de Talia, enfonçant sa langue dans la sienne, avalant goulûment le sperme qui en échappait. C’était le foutre de sa Maîtresse, mélangée à la salive de la belle Terranide.
« Haaaa… !! »
Elle-même sentit alors l’orgasme pointer, et s’abandonna sur la queue poilue de Samia.
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Durant quelques minutes les deux terranides s'occupèrent de la petite princesse, Samia pénétrait lentement l'intimité de la demoiselle, continuant ses mouvements de va et viens dans l'intimité de la petite princesse. Pendant ce temps Talia, profitait du baiser, le laissant s'éterniser autant qu'elle le pouvait. La queue de l'ookami caressant lentement le corps de la demoiselle, lui caressant doucement la poitrine...
La jouissance de la petite princesse ne tarda pas. La petite princesse se laissa aller à un orgasme particulièrement violent. L'elfe rouge eut juste un petit sourire, elle pouvait comprendre cela, la pauvre petite princesse s'était montrée obéissante et elle méritait donc cette récompense. Samia, elle retira sa queue pour aller doucement offrir le liquide à sa maîtresse. Celle ci lécha doucement la queue de la pauvre terranide qui commença à gémir de plus en plus. Ce fut une véritable fellation que fit l'elfe rouge à son épouse. La pauvre terranide tenta de résister mais ce fut bientôt trop pour elle. Elle finit par jouir à son tour.
L'elfe rouge était comblée, ses amantes avaient fait un travail magnifique et il lui faudrait quelques minutes pour récupérer. Elle eut un léger sourire, caressant lentement le visage de Samia avant de faire signe à ses deux autres amantes de venir dans ses bras. L'elfe rouge eut un petit sourire avant de demander à ses deux amantes.
-Alors mes petites chéries, que pensez vous de notre petite Alice ?
Samia fut la première à répondre, caressant doucement la joue de la petite princesse.
hum, je pense qu'elle ferra une bonne épouse. Peut être devrions nous lui apprendre certaines choses. Après tout, si elle doit rejoindre le harem et devenir votre épouse, elle doit comme toutes les autres apporter sa pierre à notre communauté.
Elfe rouge se tourna vers Talia qui eut un sourire avant de dire.
Une chose est sure, elle semble être assez douée avec sa bouche, reste à savoir si ses mains sont aussi douées.
Elfe rouge eut un sourire, en effet ses amantes avaient soulever un point important. Dans le harem, chacun avait une tâche, une chose à faire ce qui permettait à la communauté de tourner. Hum, elle aurait le temps d'en discuter un peu avec la princesse, pour l'instant, elle voulait juste garder ses amantes auprès d'elle et les câliner encore un peu, profitant de ce moment privilégier.
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L’orgasme fut libérateur, et Alice soupira longuement, le corps écrasé contre celui de Tinuviel, sa bouche à hauteur de son bassin. Ah ! Ce que c’était bon ! La princesse savourait encore plus ça. Après le baiser très humide de Talia, et la queue touffue de Samia, elle se sentait sereine. Voir ces trois femmes se faire plaisir, en étant interdite de se rapprocher, voilà qui avait été une véritable torture, une souffrance qui était remontée dans les profondeurs de ses entrailles, jusqu’à ce moment libérateur où elle avait enfin pu se lâcher, où elle avait enfin pu s’abandonner au plaisir. Oh ! C’était super ! Elle restait contre le corps de Tinuviel, levant la tête, ses mains caressant ses jambes, la verge de l’elfe rouge glissant contre l’une de ses joues, laissant sur sa peau quelques traînées de sperme. Elle vit la queue touffue de Samia s’enfoncer dans la bouche de Tinuviel, faisant soupirer la Terranide, confirmant le caractère érogène de cette zone. Il s’écoula plusieurs minutes de soupirs et de gémissements, pendant lesquelles Alice continuait à lécher et à embrasser le bassin et les cuisses de sa Maîtresse. La tendre et douce peau de l’elfe était magique, et y apposer ses lèvres constituait un plaisir permanent, dont elle ne se lassait pas. Elle continuait à l’embrasser, à la caresser, à se blottir contre son corps, à mordiller sa culotte. Voilà ce qu’elle aimait faire, afin de satisfaire ses tendances fétichistes. Tandis que Samia mouillait, qu’elle sentait sa mouille couler le long de son épaule, et que sa main noire venait agripper ses cheveux et les caresser, ses lèvres s’excitaient sur sa culotte, la léchant, l’embrassant, ou la mordillant, les joues d’Alice étant rouges de plaisir.
Il fallut encore attendre un peu. Samia haletait et gémissait, et Alice finit par sentir sa mouille éclater son dos. Dans un long soupir, la belle Terranide à la fourrure sombre venait de jouir sur elle, éjaculant joyeusement. Un bel orgasme. Les quatre femmes avaient donc toutes joui, et Alice, après quelques instants, se retrouva finalement debout, blottie avec Talia contre les mains et contre le corps de Tinuviel. La queue caudale dont elle était dotée continuait à délicatement labourer son cul, la faisant haleter et gémir, et elle sentait, contre son dos, le nectar intime de Samia. Les joues rouges, Alice planait un peu, sentant le cuir du corset de Tinuviel contre son corps, la bonne odeur de son corps, ce mélange de sueur, de douceur, et de sexe. Un ensemble de sensations formant comme un magnifique et exaltant bouquet de fleurs.
« Une chose est sûre, elle semble être assez douée avec sa bouche, reste à savoir si ses mains sont aussi douées. »
Devant cette phrase, Alice sourit. Samia avait dit autre chose, parlant de devoirs à faire. Alice ne savait pas trop quoi en penser. Dans sa logique, elle venait surtout ici pour accomplir des fantasmes. Elle ne comptait pas devenir une résidente définitive de ce harem. Devenir l’épouse de Tinuviel... L’idée évoquait en elle des désirs contradictoires. D’un côté, elle trouvait l’idée délicieusement perverse et excitante, mais, de l’autre, elle avait peur des petites lignes du contrat, peur qu’une union ne l’amène à devoir vivre à ce harem, à perdre un peu de sa liberté, et, en définitive, devoir négliger son rôle de Princesse.
Hésitant un peu sur ce qu’il fallait dire, Alice laissa planer quelques secondes, avant de finir par parler, en embrassant et en mordillant le cou de Tinuviel :
« Si tu as des doutes, je pourrais toujours t’en faire la démonstration... » fit-elle, avec une lueur espiègle dans le blanc des yeux.
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Elfe rouge eut un léger sourire, prenant doucement dans les bras sa petite Alice. Elle était une parfaite petite chienne mais cela n’empêchait pas Samia d'avoir raison. Elle eut un léger sourire avant de lui caresser doucement la tête de sa petite princesse. Hum, comment pouvait elle faire.
Elle eut un petit sourire avant de dire finalement.
-Alice, normalement lorsque quelqu'un décide de s'installer dans le harem, nous demandons en générale un peu d'aide pour faire tourner celui ci. Ainsi chacune de mes amantes est spécialisée dans une tâche.
Elle caressa lentement la tête d'alice et lui dit doucement.
-Dans ton cas nous ne pouvons pas le permettre. A la place du sera la petite chienne du harem. Si quelqu'un veut se servir de ta langue ou de tes doigts, impossible de refuser. Est ce que cela ira ma petite chérie ?
Elle sourit et embrasse doucement Alice. Oui, cela devrait convenir à la fois à Alice mais également faire respecter le pacte tacite existant dans le harem. Elle eut un petit sourire avant de caresser lentement la joue de Talia et Samia.
-Bien mes chéries, je vous demanderais demain de commencer les préparatifs de la cérémonie de mariage.
Elle embrassa doucement ses deux amantes. Oui, elle leur demandait encore beaucoup. Toutefois elle était certaine que tout se passerait bien. Après tout l'elfe rouge avait déjà faite la robe blanche de la demoiselle. Elle avait longtemps attendu le jour ou la petite princesse reviendrait à ses cotés ayant même créer un anneau aux couleurs des yeux de la princesse. Bon, ok, il ne serait que symbolique mais peu importe.
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Tinuviel lui expliqua que chaque femme venant « s’installer » devait, en échange du gîte et du couvert, contribuer aux tâches de la communauté. Cependant, Alice ne venait pas s’installer, prenant juste des vacances. Elle n’était pas contre l’idée de faire des tâches ménagères, bien entendu, mais elle avait peur que ce truchement de langues signifie que l’elfe ne cherche pas à rompre leur pacte initial, et ce surtout alors qu’Alice s’était évertuée à lui expliquer qu’elle ne pouvait pas résider éternellement dans ce harem, ou faire savoir aux autres qu’elle était l’esclave de Lastrim. Les envies et les fantasmes personnels d’Alice étaient fortement limités par son ascendance royale, et par le fait qu’elle allait hériter, tôt ou tard, de la Couronne de Sylvandell. Elle venait juste ici pour se détendre... Et, comme si Tinuviel s’en rappelait, elle proposa alors que, pendant son séjour, Alice soit « la petite chienne du harem ». La Princesse rougit poliment devant ce rôle, se mordillant les lèvres. La chienne du harem... Ce n’était pas très élogieux comme titre, mais, pour être honnête, ça excitait beaucoup Alice. Elle en frémissait sur place, tremblant délicieusement.
La Maîtresse évoqua alors la cérémonie de mariage... Alice rougit un peu plus, peinant à parler. Son cœur remuait tendrement et chaudement dans sa poitrine. Le mariage... Bien sûr, il n’aurait rien à voir avec celui qu’elle avait fait avec Sakura, mais ça ne changeait rien au fait qu’elle allait quand même se marier... Ohlàlà, quelle tension ! Alice se mordillait les lèvres à cette idée, excitée comme une trique, et elle laissa sa Maîtresse embrasser Samia et Talia. Elle-même restait en retrait, dandinant ses fesses de gauche à droite, afin de mieux apprécier le gode niché dans ses fesses. La Princesse haletait et gémissait, couinant en se mordant les lèvres, papillonnant des yeux.
« Que... Qu’est-ce que je dois faire ? » demanda-t-elle alors.
Le fait est qu’elle était un peu perdue. Est-ce qu’elle devait aller voir d’autres femmes ? Voir si les autres amantes de sa Maîtresse avaient besoin d’une petite chienne ? Ou est-ce que sa Maîtresse avait d’autres projets en tête ? Alice ne voulait rien proposer. Elle se contentait d’obéir, de suivre les injonctions qu’on lui donnait, et c’était dans cette optique qu’elle avait posé cette question.
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L'elfe rouge eut un léger sourire, il semblait que son idée soit acceptable. Certes la petite princesse était une invitée, mais elle était ici pour cela, pour être humiliée, enchaînée, baisée comme une simple fille de joie. Avec cette proposition c'était ce que l'elfe rouge lui offrait et il semblait que son offre intéressait la jeune femme.
Elfe rouge eut un petit sourire suite à la demande de la jeune femme. Elle caressa lentement son petit visage d'ange avant de dire tendrement.
-Ce soir, tu resteras avec nous alice. Je ne veux pas que tu t'épuise la veille de ton mariage.
Elfe rouge eut un léger sourire avant d'embrasser doucement sa petite chienne, elle la caressa lentement, jouant un peu avec ses tétons.
Ma petite Alice, demain est un grand jour n'est ce pas, tu deviendras officieusement mon épouse...
Elle sourit l'embrassant à nouveau terminant sa phrase.
-Dors ma chérie. Demain nous avons une longue, très longue journée qui nous attends.
Elfe rouge avait déjà prévue de nombreuses choses, notamment la tenue d'alice pour le voyage. Elle était sur que la demoiselle en rougirait de honte mais d'un autre coté, elle était venue ici pour cela. Alors oui l'elfe rouge allait lui faire vivre ce qu'elle souhaitait.
Elle laissa toutefois ses amantes se reposer. Embrassant chacune d'entre elle.
-Bonne nuit Alice. Dors bien ma chérie.
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Demain, demain... Le mariage. Maîtresse lui avait dit de prendre des forces, de se reposer, afin d’être bien prête pour demain. Connaissant l’elfe rouge, Alice se doutait bien que ce serait une cérémonie formidable. Elle se tortillait dans son lit, et achevait de se masturber, incapable de retenir les frissons d’excitation qui la traversaient. Elle avait retiré sa queue caudale, et dormait dans un lit vaste, avec des couvertures fines, en soie. Le harem avait beau se situer dans le désert, Alice n’avait pas du tout chaud, et s’entortillait dans les couvertures, mordillant son oreiller, en retenant ses gémissements. Le sommeil se refusait à venir, tant son imagination était emballée et fiévreuse. Elle voyait toutes les possibilités défilant dans son esprit, partagée entre une excitation profonde, et une gêne lancinante. Elle était obligée de se masturber, afin de calmer les pulsions de son corps, les fortes tensions qui vibraient en elle, et l’empêchaient de dormir.
« Hunnn... Haaaaa... !! »
La Princesse continuait à se tortiller sur place, et l’orgasme finit par arriver. Elle se déversa dans les couvertures, et soupira à nouveau... Ses doigts étaient remplis de mouille, et, alors qu’elle était en train de flotter, et de se coucher sur le dos, elle sentit du bruit sur sa gauche. Elle eut à peine le temps de tourner la tête qu’elle vit le corps noirâtre de Samia se glisser dans son lit, se lovant contre elle.
« Haaannn... Sa-Samia... Qu’est-ce que... ?
- Est-ce comme ça que tu comptes te préparer pour ton union, Alice ? demanda Samia.
- Je... Euh... »
Ses joues étaient toutes rouges, et elle sentit les tendres lèvres de Samia se poser sur les siennes, la faisant frissonner. Son corps suivait. La femme avait remis sa tenue, à savoir un soutien-gorge violet transparent, et un string. Sa robe violette était sur le sol, et Alice n’eut pas l’occasion de dire quoi que ce soit de plus que Samia l’embrassa tendrement, délicieusement. Le baiser était magnifique, et Alice ressentit encore l’envie de se masturber... Cependant, tandis que Samia l’embrassait, la Terranide glissa sa main sur le poignet d’Alice, et écarta ses doigts de son vagin, faisant couiner la belle Princesse d’impatience.
« Tu es peut-être une Princesse dehors, Alice, mais, ici, il n’y a qu’une vraie Princesse... Et elle a décrété que tu étais une chienne...
- Hunnn...
- Alors, pourquoi est-ce que je ne trouve pas ta queue ? »
La main de Samia palpa les fesses d’Alice, la faisant gémir à nouveau, surtout quand les doigts experts de la femme tripotèrent son fondement, glissant dessus. Sa rondelle était bien ouverte, mais, curieusement, la douleur d’Alice n’était pas aussi forte que ça... Tinuviel n’était pas une magicienne pour rien, et elle était sûre que, d’une manière ou d’une autre, elle avait enchanté sa queue.
« Je... Haaaa... »
Un doigt se posa ensuite sur ses lèvres, suivi d’un tendre baiser. Samia se chargea ensuite de l’habiller, attachant chacun des poignets d’Alice aux barreaux du lit. Elle lui met ensuite un masque noir sur les yeux, puis mit autour de sa taille quelque chose, qui fit couiner Alice : c’était une ceinture de chasteté (http://img110.xooimage.com/files/8/3/f/ceinture-de-chastete_215x150-48f6668.jpg), avec un trou à l’emplacement du fondement, que Samia utilisa pour lui glisser sa queue. Alice gémit à nouveau, se tortillant sur place, et Samia l’embrassa à nouveau, enfonçant sa langue dans sa bouche.
« Tu penses que tu ne peux pas jouir ainsi... Mais détrompe-toi. Je vais m’occuper de toi, ma petite chienne, et tu vas dormir... »
Alice n’avait aucune raison de douter des propos de Samia.
Et il n’y en eut effectivement aucune.
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La furry avait passé la nuit en compagnie de la petite chienne du harem. Elle savait qu'elle en avait parfaitement le droit, désormais Alice était sienne, comme elle appartenait à tous les autres amants de l'elfe rouge. Ainsi durant la nuit Samia lui rappela sa place et lui fait comprendre que désormais ses petites séances de plaisir nocturne ne pourrait se faire qu'avec l'approbation de ses maîtresse.
Ainsi, elle lui passa la ceinture, avant de lui montrer toutes l'étendue de ses talents. Les caresses de la demoiselle ne tardèrent pas à avoir raison de l'ex princesse qui s’endormit épuisée entre les bras de Samia. Celle ci resta dans les bras de la petite blonde durant la nuit. C'était à elle de rendre la petite demoiselle présentable pour le harem, ainsi lorsque la demoiselle se réveillerait, elle pourrait commencer les préparatif.
La petite princesse n'eut malheureusement pas le temps de faire une grosse grâce matinée. Elle fut réveillée par un doux baiser.
-Leve toi petite chienne, nous devons te préparer à ton mariage de tout à l'heure.
Samia lui retira la ceinture avant de la doucher, lui faisant toutefois comprendre qu'elle ne s'habitue pas trop à ne plus être entravée, elle était désormais la propriété du harem et seule ses maîtresses auraient le droit de profiter de son petit sexe moite. Elle la secha, l'habilla ensuite avec la tenue que l'elfe rouge avait spécialement prévue pour elle. Un corset blanc, dévoilant sa poitrine en partie, un porte jarretelle blanc et une longue cape blanche.
La néko s'occupa ensuite de la coiffure de la demoiselle, lui traissant de nombreuses perles dans les cheveux. Elle observa ensuite Alice et hocha la tête avant d'aller chercher une petite bouteille de parfum qu'elle apliqua avec parcimonie sur la peau de la demoiselle.
Samia, caressa lentement le tissu, le remettant en place avant finalement de rajouter le voile de mariée. Voila, la petite princesse était désormais prête. Il ne restait plus qu'à aller à l'endroit de la cérémonie.
La neko prit donc la main à la demoiselle avant de la guider jusqu'à la salle ou se passerait la cérémonie. Tout était prêt, un grand autel avait été dressée avec un bouquet de lys blanc en plein milieu. Le chemin était couvert de pétale de rose blanche et la pièce avait était couverte de fleur et de ruban. En une soirée, les amantes de l'elfe rouge avait fait un travail extra ordinaire.
-Bien, il ne nous reste plus qu'à attendre l'arriver de Madame Lastrim, elle ne devrait plus tardé. J'espère que tu n'es pas trop excitée Alice ?
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Quel meilleur réveil pouvait-on imaginer que celui d’un baiser ? Samia dut insister un peu pour réveiller Alice, dans la mesure où la Princesse était connue pour ses légendaires grasses matinées. Alice se réveilla donc, et suivit Samia. Patraque, elle la laissa retirer sa ceinture de chasteté, et, toute nue, se retrouva dans la douche, portant tout juste un collier autour du cou, destiné à lui rappeler quelle était sa place au harem... Une place qu’Alice, fort heureusement, n’avait pas oublié. Elle se retrouva dans la douche avec Samia, et obéit à cette dernière, levant ses bras pour les coincer dans des entraves situées à l’intérieur de la douche. Samia se chargea ensuite de la nettoyer, de la savonner, faisant passer un gant sur son corps, avec du savon. Elle s’appliquait consciencieusement, et ce traitement réveilla Alice... Ainsi que sa lancinante excitation. On la traitait comme un bébé incapable de se débrouiller toute seule. Après la douche, elle laissa Samia l’habiller, l’aidant quand c’était requis. Elle se retrouva avec un corset blanc assez serré, qui faisait ressortir son décolleté, un porte-jarretelle blanc, une culotte à dentelle, avec une longue cape blanche qui glissait le long de son dos pour tomber sur le sol. Pas de robe de mariée ? Alice se retint de poser cette question, puis s’assit sur un fauteuil, et laissa Samia la coiffer.
La Terranide était très douée. Elle travaillait lentement, doucement, évitant de faire mal à Alice, qui serrait nerveusement les poings. Alice sentit des perles se glisser dans des longues tressées nouées au milieu de sa cascade de cheveux. Samia s’appliquait bien, la coiffant comme on coifferait une elfe. Elle l’observa ensuite, puis lui balança un peu de parfum. Alice huma cette délicieuse odeur en souriant. Elle se sentait toute belle, et s’observa dans le miroir, rougissant à moitié.
*C’est à la fois... Élégant et pervers...*
Samia revint ensuite, et lui mit sur la tête une voile de mariée, après avoir brièvement caressé ses hanches, appréciant le tissu du corset. Il serrait plutôt bien Alice, mais ça ne la dérangeait pas. Elle était habituée à en porter, et les trouvait parfois mieux que les soutiens-gorges. Tout dépendait de son humeur. Enfin prête, elle allait maintenant pouvoir rejoindre la cérémonie, mais, alors que Samia l’emmenait, après avoir retiré son collier, Alice s’arrêta sur place.
« Attends, il... Il me manque quelque chose... »
Elle montra ses mains nues, en les pivotant sur eux-mêmes.
« Il me faut des gants ! »
Samia se contenta de sourire. Elle avait déjà pu noter que la petite chienne du harem aimait beaucoup les vêtements.
« C’est à cause de la vampire, hein ? Je sais que tu es sa petite pute, ma chienne... Et je sais qu’elle est une fétichiste... »
Alice répondit en rougissant et en baissant la tête. Samia, bonne princesse, lui installa toutefois ses gants, de longs gants blancs fins et soyeux (http://img110.xooimage.com/files/4/2/6/gants-blancs-mariage-4928421.jpg). Enfin prête, Alice suivit donc Samia, main dans la main, et rejoignit une grande pièce, très propre, avec, au centre, un grand autel, comme un kiosque, avec des fleurs sur ledit autel. Alice les reconnut. Des lys blanches.
Il y avait de nombreuses fleurs, des rubans, et un beau chemin de pétales de roses blanches faisait office de tapis rouge menant à l’autel... Ou de « tapis blanc ». Alice était bluffée. L’endroit était très beau, rempli de romantisme, avec un blanc immaculé, qui avait toujours été la couleur de prédilection de la Princesse.
*Même les elfes rouges goûtent au légendaire romantisme des elfes...*
Impossible de le nier. Samia lui posa alors une question, et Alice sourit à cette dernière, et caressa les hanches de la femme. Samia portait sa belle robe violette transparente.
« Ne pas être excitée ? À côté de toi ? Tu me demandes l’impossible, Samia... Je tremble d’impatience... »
Hey, elle allait se marier ! S’il y avait bien un jour où elle devait être excitée, ça ne pouvait être que celui-ci !
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Tinuviel avait beau être une parfaite perverse, elle savait toutefois que pour certaine de ses amantes, celle ci n'aurait qu'un seul et unique mariage. Ainsi, elle organisait toujours quelques choses de mémorable pour ses amantes. La princesse ne faisait donc pas exception bien que, a cause de son statut, l'elfe rouge avait prévue une cérémonie, plus... perverse. En effet, les autres épouses de l'elfe rouge avait eut le droit à une tenue complète et non ce type de tenue totalement perverse.
La furry eut un sourire, caressant lentement la joue de la demoiselle. Elle devait pour l'instant s'occuper de la demoiselle, la faire patienter en attendant que l'elfe rouge se décide enfin a entrer sur scène. Elle eut un léger sourire avant de glisser à l'oreille de sa petite chienne.
-Madame lastrim ne veut pas que je te libère de ta prison avant ta lune de miel. Elle pense que ta nuit de noce sera assez fatiguée pour que je ne doive pas m'amuser avec toi...
La furry fit une légère grimace, elle aurait bien eut envie de profiter d'elle, sur l'autel, ne lui laissant aucun répit. Enfin, elle n'avait pas le choix, elle devait attendre la fin de cette cérémonie et surtout que sa maîtresse veuille bien que ce petit jouet soit utilisable pour tous.
En parlant de l'elfe, celle ci se décida enfin à faire son apparition. Elle avait troquée son armure en plaque contre une robe de bal dos nue de couleur rouge. Peut être la petite princesse l'avait elle déjà vu dans cette tenue, mais cette robe la mettait clairement en valeur. Pour une fois, l'elfe rouge ne ressemblait pas à une amazone mais a une femme civilisée.
Lorna tenait la main de la dame rouge, la conduisant à l'autel alors que Samia fit la même chose avec la petite princesse, jusqu'à ce que les deux femmes furent devant l'autel. A ce moment la, l'elfe rouge reprit les choses en main. Elle commenca la cérémonie.
-Alice, aujourd'hui, nous t’accueillons dans notre grande famille, par cette cérémonie tu deviens officiellement une de mes épouses et une des membres du harem. Si tu accepte, alors, je te demanderais deux choses : la première est de respecter les autres membres de ce lieu, la seconde est d'aider les autres membres du harem si un jour on te demande ton aide. Si tu accepte, répète après moi : Moi Alice Korvender, jure fidélité a ma maîtresse et a ses épouses. Je jure de les aimer et de les respecter, de les traiter comme des déesses et de les servir durant la durée de mon séjour.
Elle attendit que la petite princesse accepte ces conditions avant de l'embrasser, apportant ainsi son sceau. Voila, la petite princesse était désormais mariée à l'elfe rouge et celle ci eut un léger sourire en lui disant.
-Voila ma petite Alice, tu es désormais ma femme.
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Pour être honnête, Alice avait aussi une furieuse envie de s’amuser avec Samia, de la laisser enfoncer sa longue queue poilue en elle, et de la faire jouir, encore et encore... Sa vie ici ne se résumait qu’à une longue et interminable série d’orgies et de luxure. Toutes ces femmes étaient terriblement coquines, monstrueusement perverses, et la Princesse ne pouvait pas nier que c’était là la raison de sa présence ici. Tinuviel avait bien des qualités, bien des compétences qui attiraient Alice, mais il était indéniable que sa perversion était un élément crucial. La Princesse l’admettait sans problème, même si cela l’amenait à se demander si elle-même n’était pas une perverse... Elle ne s’était jamais imaginée comme ça, mais ce qu’elle ressentait ici était tellement bon... Sa nuit avec Samia avait été aussi horrible que jouissive. La Terranide l’avait savamment torturé, la maintenant attachée, jouant avec son sexe, caressant sa ceinture de chasteté... Elle ne l’avait jamais pénétré, mais Alice avait malgré tout joui abondamment, jusqu’à s’endormir dans sa mouille, glissant contre ses fesses et contre ses cuisses, formant comme une sorte de couche liquide salement excitante.
Elle sourit à Samia, se mordillant les lèvres, et caressa à nouveau les hanches tendres et délicates de la Terranide. Samia lui avait dit que sa nuit de noces serait épuisante... Ce qui, au vu de sa première journée ici, était tout à fait probable... L’esprit d’Alice s’emballait déjà à l’idée d’imaginer ce qui allait lui tomber dessus. Elle continuait à y songer quand des bruits de pas l’amenèrent à tourner la tête. La Maîtresse venait d’arriver... Elle avait troqué son habituelle armure rouge contre une élégante robe rouge au dos nu, et était accompagnée par Lorna. Alice sentit ses joues s’empourprer devant ce spectacle. Comme toujours, Tinuviel arborait sur elle la légendaire beauté des elfes. Belle et élégante, elle était une véritable elfe, capable d’être majestueuse aussi bien dans une armure courte que dans une longue robe.
*Dieu, qu’elle est belle...*
Alice continuait à l’observer quand elle sentit la queue de Samia s’enfoncer dans son dos. Alice sursauta, se rappela à la réalité, rougit à nouveau, puis laissa Samia la prendre par la main, et la conduire à l’autel. Alice marchait lentement, sentant sa culotte s’enflammer. Son cœur battait nerveusement, surexcité, et elle se retrouva finalement devant elle... Sa Maîtresse, et bientôt sa deuxième femme. À cette idée, Alice se sentait toute chose, et laissa Tinuviel parler, inspirant longuement pour retrouver son calme. Elle n’allait tout de même pas se comporter comme une jeune pucelle névrosée ! La première fois, avec Sakura, tout cela était encore bien nouveau pour Alice, qui commençait à peine à assumer son héritage, et à commencer à sortir. Le sexe était encore une notion qui lui était relativement méconnue. Maintenant, les choses étaient bien différentes... Elle avait eu l’occasion d’approfondir longuement son ignorance du sujet, que ce soit avec sa première femme, Sakura, ou encore sa meilleure amie, Mélinda... Ou bien encore avec sa deuxième femme et Maîtresse, Tinuviel Lastrim. La vie de la Princesse se remplissait plutôt bien
Pour sceller le mariage, Alice devait dire quelque chose. Reprenant son souffle, elle releva la tête, croisa le regard de Tinuviel, et serra les poings, avant de poser une main sur son cœur, et de prêter son serment, parlant d’une voix forte et claire :
« Moi, Alice Korvander, jure fidélité à la Maîtresse et à ses épouses. Je jure de les aimer et de les respecter, de les traiter comme des déesses et de les servir durant la durée de mon séjour. »
Elle termina cette phrase en soupirant, et ferma les yeux quand Tinuviel l’embrassa, relevant son voile. Alice accueillit ses lèvres, et Tinuviel conclut en disant qu’Alice était désormais sa femme. La Princesse sourit à nouveau, toute contente, et embrassa Tinuviel en retour.
« Et vous êtes la mienne, Maîtresse Lastrim... Je suis... Si heureuse ! »
Et, pour s’en convaincre, il suffisait de voir son visage, qui débordait de joie.
Elle était maintenant doublement mariée !
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L'elfe rouge pouvait sentir l'excitation de sa nouvelle épouse. Hum, il semblait que sa petite princesse avait des vilaines pensées et ceci depuis la nuit dernière, mais elle ne pouvait pas trop lui en vouloir. Après tout, son harem était des plus fournie et ses amantes étaient toutes plus belles les unes que les autres. Elle eut un petit sourire, caressant lentement la joue de la demoiselle, l'embrassant doucement dans le cou alors qu'elle lui dit doucement à l'oreille.
-Tu trouveras rapidement ta place ma petite Alice, tu verras, le harem est comme une grande famille et désormais tu en fait partie.
Elle embrassa lentement la jeune femme, lui caressant doucement, la joue avant de descendre malicieusement sur sa culotte blanche. Elle regarda la jeune femme et taquine, lui dit simplement.
-Ma petite Alice, tu es déjà excitée ? Ma pauvre petite chérie. Promis, ce soir, je m'occuperais bien de toi. Mais en attendant nous allons profiter de la petite fête en l'honneur de notre mariage.
Elle eut un léger sourire, embrassant lentement les lèvres de sa petite chérie. Pour l'instant il était temps de profiter de cette soirée. Il y avait tout pour passer une mémorable journée, un délicieux banquet, une musique fantastique et surtout une compagnie des plus plaisantes. L'elfe rouge en profita donc pour présenter alice à chacune de ses amantes. Cela prit un petit moment avant que Tinuviel ne laisse finalement la petite mariée. Samia profita de ce moment, se glissant lentement de le dos de la demoiselle, frottant lentement sa queue contre la cuisse de la jeune femme. Elle eut un léger sourire avant de lui glisser à l'oreille.
-Tenir jusqu'à cette nuit ? Hum madame lastrim te sur estime petite chienne, non ? Peut être que tu voudrais être libérée plus tôt,
Un petit test pour voir quel était le degré d’obéissance de la petite chienne du harem, celle ci devrait apprendre a contrôler ses petites pulsion et c'était le moment de voir ce qu'elle était capable de faire
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La cérémonie de mariage en elle-même avait été plutôt rapide, et, effectivement, Alice était excitée... Mais, en même temps, le contraire n’aurait-il pas été décevant ? Elle conservait de Tinuviel Lastrim un très souvenir, celui d’une femme qui, tout en étant perverse et dominatrice, savait aussi se montrer compréhensive... Et même un brin romantique. Ce souvenir s’était amplifié avec les mois, jusqu’à ce moment, ce moment où elle avait fini par revenir ici. Elle était maintenant mariée à Maîtresse Lastrim, un mariage qui n’aurait d’effets qu’au sein du harem. Il n’y avait aucun officier du ministère public pour homologuer ce dernier, ou pour le publier aux bans. Ce faisant, à l’égard des tiers, Alice n’avait toujours qu’une seule femme, mais, entre Tinuviel et ses autres femmes, elle était bien mariée à cette dernière. Alice avait une conception très positiviste du mariage, le voyant avant tout comme un contrat d’union entre deux personnes, et non comme un inviolable sacrement religieux. Elle répondit donc aux baisers de Tinuviel, souriant devant cette dernière. La lune de miel aurait lieu ce soir... Pour l’heure, il lui fallait juste tenir. Elle acquiesça donc, et se retrouva avec les autres amantes, qui la félicitèrent, la câlinèrent, et l’embrassèrent. Les lèvres d’Alice résonnaient de leur contact. Attendre ce soir risquait effectivement d’être compliqué... Mais elle y arriverait.
Espiègles et mutines, les femmes de Tinuviel en profitaient, la titillaient durant leurs accolades, souhaitant leurs vœux de bonheur en lui palpant brièvement les fesses, en mordillant ses lèvres, ou en les léchant. Alice se retrouva avec les lèvres tremblotantes, et réalisa qu’elle commençait à mouiller. Elle ferma les yeux en reprenant son souffle, tout en se rapprochant du banquet. Maîtresse Tinuviel avait mis les choses en grand, et il y avait de multiples couverts. Samia apparut alors, continuant à la narguer, et Alice soupira en sentant ses seins heurter sa cape, puis sa bouche se rapprocher de sa nuque. Elle et Samia avaient fait l’amour une bonne partie de la nuit, et Samia profitait de ce lien d’intimité pour la narguer, en se palpant contre son corps. Elle la provoquait, lui disant qu’elle voulait voir jusqu’où Alice était capable de tenir. Cette dernière sourit, et se retourna alors, puis tendit sa main, venant caresser l’une des joues de la femme. Elle se pencha vers elle, et l’embrassa sur le bout des lèvres... Avant de s’écarter.
« Il est vrai que je dois maintenant servir chacune des femmes de notre Maîtresse, mais ses ordres prédominent sur les tiens, Samia... Elle souhaite attendre jusqu’à ce soir, alors... Je porterais cette tenue jusqu’à ce soir... »
Alice savait obéir. Grâce à Mélinda, elle avait appris à gérer son excitation sexuelle. Son amie vampirique s’amusait souvent à frustrer Alice, l’attachant à un mur en la regardant coucher avec d’autres femmes, ou l’attachant au lit en laissant des esclaves venir la titiller, l’exciter, palper et embrasser son corps, mais sans jamais s’attaquer à son sexe. D’autres femmes allèrent ensuite l’embrasser, la palper, s’attardant très souvent sur ses fesses. Outre de belles Terranides comme Lorna, Alice fut aussi embrassée par une ange, une Drow... Le harem était assez riche, témoignant des multiples voyages menées par Tinuviel au cours de son existence.
La journée allait effectivement être longue jusqu’à ce soir !
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La furry eut un léger sourire, ainsi elle n'était pas tombée dans son piège. Tant pis, elle s'amuserait avec elle ce soir. En attendant elle se frotta lentement contre le corps de la petite princesse, lui léchant l'oreille avant de lui dire doucement.
-Melinda t'as bien dressée, petite chienne. J'attendrais donc ce soir ma petite Alice.
La néko, se retira donc finalement mais en se retirant, elle fessa magistralement le petit cul de la jeune princesse. La claque provoqua d'ailleurs quelques mouvements de tête de la part des autres amantes de l'elfe rouge se demandant d’où venait ce bruit. Il y eut ensuite quelques petits rires étouffés lorsqu'elles comprirent d’où venait ce petit bruit.
Le reste des amantes de l'elfe rouge furent moins vils envers la demoiselle, se contentant de quelques baisers et quelques caresses sur ses fesses. La petite princesse eut ensuite la chance de goutter une part des merveilleux gâteau de la cuisinière du harem.
Une des amantes de l'elfe rouge se rapprocha tranquillement de la petite demoiselle. Elle eut un petit sourire avant de lui demander.
-Bonjour mademoiselle... Alice, c'est bien cela ?
La demoiselle (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=383023)devant elle était une jolie créature à la grâce divine. Et en effet ce n'était pas spécialement une coïncidence puisque la créature devant Alice était bel et bien une déesse. Une déesse mineure mais une déesse tout de même. Celle ci ne semblait pas intéressée pour jouer avec Alice mais cherchais juste une discutions avec la jeune femme. Elle l'invita donc à prendre une tasse de thé à ses cotés si celle ci le désirais.
En attendant la déesse, elle se contenta de s’asseoir à une table, avec une théière et remplie sa tasse ainsi qu'une autre si la jeune femme voulait la rejoindre.
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Samia se retira après une ultime claque sur ses fesses, faisant sursauter Alice. La Princesse se mordilla les lèvres en tournant la tête, observant le déhanché de la belle Terranide à la fourrure noire. Elle était véritablement une femme magnifique, et Alice n’avait qu’une envie : dormir à nouveau avec elle, en sentant les ondes de perversion de la femme sur son corps, en la laissant jouer avec elle... Samia lui avait dit qu’elle reviendrait ce soir, ce qui amenait Alice à se demander ce que sa Maîtresse avait prévu... Une immense orgie ? Les hypothèses se multipliaient dans sa tête. Elle ignorait quelle était la tradition en cas de mariage, mais elle savait qu’elle était une femme un peu particulière au harem. Elle se retrouva finalement avec une part de gâteau dans la main, et commença à le manger. Il était délicieux, avec de la crème, et elle le mangeait avec appétit quand une mystérieuse femme vint la voir.
En la voyant, Alice releva la tête. C’était une femme ressemblant un peu à une lycéenne, si ce n’est qu’elle avait une sorte de troisième œil bleu en forme de losange sur la tête. Elle avait en revanche un uniforme d’écolière, comme les étudiantes de Mishima. Alice la regarda pendant quelques secondes, surprise, et déglutit lentement, attrapant une serviette, s’en servant pour se nettoyer les lèvres. C’était une belle cérémonie. Beaucoup de filles parlaient entre elles, discutant, dialoguant longuement.
« Je... Euh... Oui, c’est cela. Mais je crois que l’on peut se tutoyer, non ? »
Elle lui sourit doucement, et entendit alors quelque chose glisser dans son dos. Alice, qui sentait une étrange aura pacifique émaner de la curieuse femme, se retourna à temps, et vit une Slime émerger de sous la table. C’était Amy (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1380060), qui avait pris l’une de ses formes, et qui posa une main sur les cheveux d’Alice, l’autre venant empoignant ses fesses, comme d’habitude, l’eau filant alors pour s’enfoncer dans son fondement, la faisant hoqueter.
« J’ai entendu parler d’une nouvelle femme venant au harem... Et il fallait bien que je sorte de mon laboratoire pour venir te saluer, Alice... »
Rougissant furieusement, Alice entrouvrit les lèvres, et embrassa la Slime, sentant cette dernière se presser contre elle. Elle connaissait un peu l’histoire de ce harem, et rougit, terriblement excitée. Une Slime... Les Slimes étaient des êtres très rares, qu’Alice aimait beaucoup. Les joues rouges, elle répondit au baiser de la femme. Un œil observateur n’aurait aucun mal à savoir que les Slimes étaient un profond fantasme pour Alice, ce qu’Amy, en tant que scientifique tekhane, sentit. Elle retira sa langue en souriant, et son doigt remua un peu plus dans son fondement, faisant soupirer la belle Princesse.
« J’ai entendu parler du lien très particulier entre les Korvander et les dragons dorés... Un lien exceptionnel. Il me plairait beaucoup de l’étudier en temps et en heure...
- Je... Je serais ravie d’être ton sujet d’étude, A-Amy... »
La Slime sourit, et elle se retira, laissant la Princesse pantoise. Ses troubles n’étaient toutefois pas troublées, car une autre femme apparut alors, posant une main ferme sur son menton, soulevant sa tête. Son regard croisa celui de Minako (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=867098), une ancienne professeure de mathématiques du Japon, qui n’avait pas été dans un lycée similaire au lycée Mishima. Elle lui sourit, et un doigt s’enfonça dans la bouche de la femme.
« Voici donc la petite chienne de notre harem, hein... ?
- Mmmhmm...
- Ma foi, je ne demande qu’à voir si tu seras à la hauteur de ta réputation de salope, Alice... »
Un sourire malicieux sur le coin des lèvres, Minako s’écarta, et s’en alla, roulant furieusement des hanches dans sa minijupe noire moulante en latex. Alice avait les ovaires en feu, très chaud, et es fesses heurtèrent le rebord de la table. Elle reporta alors son attention sur la femme qui était là, et rougit à nouveau, avant de secouer la tête.
« Dé... Désolée... Être au cœur de toute l’attention n’est pas facile à porter... Tu... Euh... Tu voulais me dire quelque chose ? »
-
La déesse laissa faire les autres amantes de l'elfe rouge. Elle soupira cependant légèrement les trouvant un peu trop... Entreprenante. Oui, c'était sans doute le mot qui convenait. Enfin, elle ne leur en voulait pas trop. Elle attendit tranquillement que la demoiselle retrouve son attention avant de lui lui faire signe de l'accompagner. Elle s’arrêta à une petite table avec deux chaises et sur laquelle se trouvait un service à thé. Elle eut un léger sourire avant de lui dire.
-Rassure toi, j'ai conscience que ta position est un peu particulière. Puis je te proposer une tasse de thé ?
Elle se servit une tasse avant de faire la même chose à la petite princesse. Peut etre que celle ci n'en voudrait pas mais les effets de ce thé risquait d'aider la jeune femme et il était fort probable qu'elle lui en demande donc.
-Si je te propose ce thé, ce n'est pas par hasard. Il s'agit d'un mélange spéciale. Il permettra d'avoir l'esprit moins embrumée par tes désirs.
Elle eut un léger sourire avant de lui donner cette tasse de thé. Oui, elle avait prévue que la demoiselle aurait dut mal à passer la journée si jamais elle n'avait pas cette petite idée. Bon, si la jeune femme ne voulait pas en prendre rien ne l'obligerait.
Elle, elle profita pour boire le thé, aimant son petit goût boisée. Elle laissa finalement souriant doucement à la jeune femme.
-Hum, pour l'instant vous êtes assez occupée mademoiselle Alice, mais si vous avez le temps mademoiselle, passez me voir, j'aurais quelques questions à vous poser sur l'histoire de votre royaume.
Elle eut un petit sourire, la déesse était particulièrement curieuse de tout ce qui touchait au dragon. Enfin, peut être que la demoiselle avait d'autre idée en tête, ce qui risquait d'être le cas si elle ne buvait pas son thé.
-
La pauvre Princesse ne savait vraiment plus où tourner la tête. Ce harem était aussi terrible que celui de Mélinda, avec des incitations sexuelles dans tous les sens, des femmes aux personnalités marquées qui n’avaient visiblement qu’une envie : narguer la pauvre petite tête blonde en lui faisant miroiter une foule interminable de fantasmes. Alice reprenait son souffle en s’adressant à la mystérieuse lycéenne, qui l’invita à la suivre. Est-ce qu’elle venait de Seikusu ? Alice savait très bien, par le biais de Mélinda, qu’il était fréquent que des Terrans se rendent sur Terre pour y attraper des autochtones. Mélinda adorait les lycéennes de la Terre, et Alice était même amie avec plusieurs d’entre elles... Si ce n’est plus. Alice suivit la délicate femme jusqu’à une petite table, cette dernière lui offrant du thé... Un thé spécial, qui aurait pour but d’apaiser les pulsions d’Alice. Se mordillant les lèvres, la jeune femme hésita.
*Est-ce que je ne risque pas de tricher en prenant ce thé ?*
Sa Maîtresse ne voulait-elle pas plutôt voir si, par sa seule force de caractère, Alice arriverait à suivre ses ordres ? Elle risquerait de se fâcher... Et, à cette idée, Alice sentit un frisson supplémentaire sur ses fesses, alors que, dans sa tête, le son claquant des fouets enflammés se faisait à nouveau entendre. L’elfe rouge l’avait alors fait lourdement souffrir... Mais cette souffrance avait aussi eu quelque chose de délicieusement excitante. Autrement dit, même si Tinuviel devait à s’énerver contre elle, Alice était sûre que, après tout, elle aimerait ça. Dans le fond, elle était venue ici essentiellement pour ça. C’était certes une pensée égoïste, vis-à-vis de cette communauté, et particulièrement perverse... Mais Alice ne pouvait pas se mentir à elle-même. Tinuviel était une amie, mais leur amitié tournait énormément autour du sexe. Alice repensa donc à la tasse de thé, et, décidée à ne pas froisser cette jeune femme, en but quelques gorgées.
Une chaleur réconfortante bouillonna dans sa gorge, et elle ne tarda pas à en sentir les bienfaits. Fermant les yeux, Alice se sentit effectivement un peu plus calme, comme si ce thé la calmait. Elle papillonna des yeux, et laissa la femme lui parler. Cette dernière voulait se renseigner sur Sylvandell, et Alice hocha la tête.
« Et bien... Tant que Maîtresse n’est pas là pour me dire quoi faire, je dirais que j’ai tout le temps requis pour épancher ta soif de curiosité. »
Comme quoi, il fallait croire que, même ici, même en étant une esclave au service du harem, Alice restait avant tout la Princesse... Pouvait-elle le leur reprocher ? À leur place, elle trouverait aussi sûrement très excitante l’idée de coucher avec une Princesse, de la soumettre et de l’humilier, dans la mesure où elle était censée, un jour, commander aux hommes et aux femmes. Alice sourit donc à la jeune femme, tout en croisant les jambes. Le thé était efficace... Mais on ne pouvait pas contrôler totalement les pensées, et ce harem était tellement excitant pour elle qu’elle sentait encore des frissons la traverser. Le désir était là, et il n’était pas facile à éteindre.
Pas facile du tout, même.
-
La déesse avait reçue la permission de la part de l'elfe rouge avant de faire goûter la mixture à la demoiselle. Elle n'était pas une tortionnaire et elle s'était doutée que sans cela la petite princesse aurait bien du mal à suivre ses directives. Alors non, l'elfe rouge ne la battrait pas, tant que la jeune princesse lui faire part de cette petite aide. Enfin, pour l'instant, la petite princesse allait avoir besoin de pas mal de concentration car la déesse avait plusieurs questions à lui poser.
-Et bien, je vous remercie de votre attention Alice. Il y a une chose que j'aimerais vous demander sur votre régime politique. Autant, je peux comprendre les régimes méritocratiques et démocratiques. Autant le principe même de la royauté est assez... étrange. Pourquoi baser un régime sur le sang ? Cela ne garantie pas que le dirigeant sera à la hauteur ?
Il ne fallait pas y voir une attaque, mais en tant que déesse, la demoiselle avait beaucoup de mal avec la politique Terrienne. Enfin, Elle laissa le temps à la jeune femme de comprendre sa question et d'analyser celle ci avant de continuer.
-Il y a une autre chose. Votre royaume est il me semble connu pour son intransigeance avec les cultes et les religions. D'après ce que je sais, les dragons sont perçus chez vous comme la réincarnation d'ancien dieu. Cela ne vous fait donc rien que madame Lastrim se balade en armure composée de cuir de dragon.
Après tout, malgré qu'il existe des sous espèces de dragon, ils étaient toujours des dragons non ?
D'ailleurs la déesse préféra ne rien dire sur sa manière de voir. Après tout son patron lui avait de ne pas faire de vague. Mais si la jeune femme savait qui elle avait devant elle, cela risquait d'être assez... Intéressant.
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Le thé lui faisait du bien, en ce sens qu’il aidait Alice à se concentrer, à user davantage son cerveau, et à moins penser à toutes ces formes langoureuses ondulant autour d’elle. Cependant, dans la mesure où chacune de ces femmes était un appel à la luxure, au vu de leurs beaux corps, à chaque fois qu’Alice attardait sa vision autour d’elle, des frissons la traversaient. Vu la tenue qu’elle portait, à savoir un corset blanc et des jarretelles, elle ne pouvait guère prétendre être une femme chaste, précisément en ce moment. Elle écouta donc avec attention les questions de la femme, aussi inattendues que surprenantes. De fait, Alice ne s’attendait pas vraiment à ce qu’on lui pose, au sein de ce harem, des questions sur Sylvandell, et ce d’autant plus qu’elle estimait que, ici, elle n’était pas vraiment la Princesse de Sylvandell, juste une jeune femme ayant des fantasmes masochistes, auxquelles elle pouvait laisser son envie s’exprimer. Comme quoi, il fallait croire qu’on oubliait jamais qui on était, et qu’Alice était condamnée à rester, maintenant et jusqu’à sa mort, la digne souveraine de Sylvandell.
La femme face à elle lui posa une série de questions. Croisant ses mains à hauteur de ses cuisses, tout en croisant aussi ses jambes, Alice entreprit d’y répondre assez rapidement, son esprit tourbillonnant à toute allure :
« L’une des idées centrales autour du pouvoir est de garantir sa stabilité. Il faut un système qui apparaisse comme solide, de manière à éviter l’anarchie, et à conserver une certaine forme de continuité. Les gens n’aiment pas les régimes instables, ceux où les coups d’États se multiplient, où la caste dirigeante change constamment. Il est impossible de construire une politique durable et efficace si un dirigeant politique sait qu’il n’est là que pour une courte période. Régner à court terme signifie penser à court terme, et penser sur le court terme est souvent dévastateur sur le long terme. »
Lui parler de démocratie alors qu’elle songeait à se faire défoncer par les tentacules aqueux d’une Slime était un brin cruel, mais Alice conservait son calme, son sang-froid, sa maîtrise d’elle-même. La démocratie était un concept sur lequel elle avait réfléchi, dans la mesure où, Sakura venant de la Terre, elle s’était un peu renseignée sur les Terriens, et sur leur curieuse pratique généralisée de la démocratie. Par ailleurs, il existait aussi, à Terra, des groupes militant pour un régime démocratique, notamment à Nexus.
« De plus, l’une des particularités de Sylvandell est que le dirigeant ne peut être qu’une personne reconnue comme digne héritière d’Erwan Korvander par le Patriarche. Ici repose notre pacte avec le Dragon Doré, et, si la lignée royale est brisée, le Patriarche risque de ne plus reconnaître Sylvandell comme une terre légitime, et, soit s’en détournera, soit la détruira... »
Une sacrée épée de Damoclès, et le régime tournait ainsi depuis des lustres. Les catastrophes avaient toujours pu être évitées, sans aucun doute parce que le sang bouillonnant d’Erwan Korvander continuait à courir dans les veines de ses héritiers, leur offrant de meilleures résistances immunitaires.
« Pour le reste, Sylvandell ne vénère pas tous les dragons, seulement Batrok, le Dieu des Dragons, un légendaire dragon d’Or dont le Patriarche est l’un des hérauts. Je n’ai aucune raison d’accuser Maîtresse Tinuviel de blasphème, son armure en cuir n’a pas été faite à partir de la peau d’un dragon venant de Sylvandell. Il nous arrive aussi de tuer les dragons, notamment les dragons noirs, ou les dragons sauvages. »
Il était facile de faire l’amalgame, car la mission de Batrok était de protéger tous les dragons, mais ce n’était pas celle de Sylvandell. Il était proscrit de tuer et de chasser les dragons au sein du Sanctuaire, mais, hors des frontières de Sylvandell, les lois sylvandines n’avaient plus vocation à s’appliquer.
Tout simplement.
« Pourquoi t’intéresses-tu autant à Sylvandell ? » demanda alors Alice, également piquée par la curiosité.
-
La déesse eut un léger sourire, elle avait en partie les réponses qu'elle attendait, toutefois cela l'étonnait clairement qu'un dragon ait accepté de se laisser monter par un être humain. Elle avait entendue parlait de drakes, des créatures proches des dragons mais moins puissantes et surtout moins intelligentes qu'un dragon pouvant servir de monture mais un dragon ?
Enfin, il y avait une autre chose que la déesse avait du mal à comprendre. Si la princesse venait à disparaître, l'état de Sylvande ll serait sans doute plonger dans le chaos. En effet, cela voulait dire perdre à la foi le dirigeant mais surtout libérer la fureur d'un essaim de dragon. Autant dire que cela n'était pas vraiment une bonne idée.
Enfin, ce n'était pas vraiment son problème désormais. Elle se contenta de sourire légèrement en disant.
Hum, je suis juste curieuse mademoiselle, mais ce n'est pas très important ma demoiselle.
Elle sourit et se contente de lui resservir une tasse de thé, en souriant légèrement avant de dire.
Je te remercie d'avoir répondu a mes questions.
Elle eut un petit sourire avant de laisser finalement la demoiselle, alors que la pauvre petite princesse était stimulée de toute part. De nombreuses amantes de l'elfe saluèrent la petite princesse avant de s'absenter. L'amante la plus remarquable qui alla a la rencontre de la petite princesse était une magnifique Lamia (http://aimg.rule34.xxx//samples/792/sample_2f2a77c23fa0cf633354151205825c80ce65efff.jpg?791115).
Lamia, qui caressa lentement la joue de la petite princesse de sa queue en disant lentement et en sifflant quelques peu dans son oreille.
-C'esst toi le nouveau jouet...
Clairement la lamia semblait avoir fait son choix sur la demoiselle. Normale d'un coté puisqu' elle commençait à grandir et à son age, les lamia commençaient à créer leur harem d'esclave. L'elfe rouge avait beau la ternir en respect, la créature ne pouvait pas aller contre son instinct.
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Alice avait répondu avec autant de clarté que possible aux questions de cette étrange femme. Elle ne savait toujours pas qui elle était… Une simple lycéenne ? Elle avait envie d’y croire, mais quelque chose, son intuition, lui soufflait que ce n’était pas aussi simple, et que cette femme dissimulait des choses. La Princesse n’y pensa plus trop, et se contenta de hocher la tête quand la femme partit. Sylvandell, de fait, n’était pas le seul ordre de dragonniers du monde. Ashnard disposait d’autres ordres, et il existait aussi, dans de grands massifs montagneux du continent, des clans sauvages et austères de dragonniers, oeuvrant généralement pour l’Empire, mais aussi pour eux-mêmes. Nexus avait aussi ses propres dragonniers, même s’ils étaient bien moins nombreux. Les Nexusiens préféraient d’autres montures aériennes, comme les aigles géants, ou encore les griffons. Sylvandell, en ce sens, était unique, car les dragonniers chevauchaient des dragons dorés. Le royaume abritait aussi d’autres races de dragons, mais les dragons dorés étaient souvent réputés pour être les dragons les plus puissants… À même niveau que les redoutables dragons noirs, des dragons qui étaient, soit des êtres autonomes et libres, soit des créatures accompagnant de terribles mages noirs ou des guerriers monstrueux et barbares. Alice pensait à tout cela, essayant de se réfugier là-dedans, afin de faire disparaître son trouble.
Malheureusement, Tinuviel était bien une femme polyandre, et, assez rapidement, une femme vint la voir. Il s’agissait d’une amante belle, portant une élégante robe chinoise, une Terranide qui était relativement froide, Sherufanir (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=897803). Alice s’était alors relevée, tenant dans sa main un verre de vin blanc, et vit la Terranide s’approcher d’elle, d’une démarche lente et assurée. Elle glissa alors ses doigts gantés dans la bouche d’Alice, son regard envoûtant se posant sur le sien. La pauvre Princesse se mit à rougir à nouveau, toutes les traces du thé de l’ancienne amante étant venue la voir disparaissant à toute allure.
« Tinuviel ne sait pas s’arrêter avec les salopes… Que tu sois de sang bleu ou une simple mécréante, n’oublie pas ta place ici, tête blonde. Tu es notre chienne…
- Humm-hummm… »
La Terranide libéra ensuite sa bouche, puis caressa sa joue brièvement, avant de s’écarter. Alice cligna des yeux, en sentant son intimité recommencer à bouillonner. Elle serra les poings, et but plusieurs gorgées. La jeune femme reprit son souffle, et, avant même qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, une autre femme entra dans son champ de vision. C’était Lyrinda (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1117092), une Drow, Drow qui, comme on se faisait de leur réputation, était magnifique. Elle s’approcha de la Princesse, et lui roula alors une longue pelle, l’embrassant, posant chacune de ses mains sur ses fesses, les crispant et les malaxant. Ses lourds seins heurtaient les siens, et Alice entrouvrit la bouche, accueillant la langue joueuse de Lyrinda, qui s’entortilla avec la sienne, pendant de longues et de longues secondes. La Princesse eut même l’impression que tous les regards étaient portés sur elles. Alice n’en rougit que plus, et se tortilla en sentant les mains de la Drow continuer à se crisper sur ses fesses, à malaxer vigoureusement son petit cul. Cette maudite Drow était terriblement douée, la Princesse ne pouvait que le reconnaître, et elle rougissait comme une chaudière volcanique.
Durant ce baiser, elle tendit ses mains pour caresser les hanches de Lyrinda, jusqu’à ce que la femme finisse par rompre le baiser, en mordillant les lèvres d’Alice, tirant un peu dessus.
« Aïe ! couina la jeune fille.
- Rappelle-toi de cette souffrance, petite catin… Elle est là pour te signifier qu’il y a d’autres plaisirs dans ce harem que Tinuviel. »
Sur cette parole mystérieuse, Lyrinda se retira. Alice s’humecta les lèvres, les touchant avec ses doigts, toujours aussi rouge, toujours aussi confuse et gênée.
*Mon cœur bat furieusement la chamade…*
C’était presque un euphémisme que de le dire ! Peinant à se retenir, Alice respirait longuement… Quand elle perçut un sifflement. Une Lamia apparut alors, et Alice se sentit défaillir. Les Lamias… Un autre de ces fantasmes ! Le bout de sa queue caudale caressa la joue d’Alice, la faisant rougir, et elle tourna la tête sur le côté, serrant nerveusement les poings en sentant le plaisir affluer et exploser en elle. La Lamia se mit à parler d’une voix sifflante, et, en rougissant, Alice hocha la tête de haut en bas.
« O-Oui… »
La Lamia sourit, puis se déplaça alors, et s’entortilla autour du corps d’Alice, emprisonnant dans sa queue caudale ses jambes et son basin, avant de lécher sa joue avec sa langue fourchue, serrant sa queue contre elle.
La pauvre Alice n’en menait vraiment pas large, et elle était maintenant définitivement en train de mouiller sa culotte.
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L'elfe rouge mine de rien, l'observait de loin. Elle savait que ses amantes ne ferraient pas de mal à la petite princesse, toutefois, il fallait qu'elle garde un œil sur celle ci. Il n'y eut pas d'incident, chacune de ses amantes jouaient avec sa petite Alice.
Elle relacha donc son attention, jusqu'à l'arrivée de la lamia. L'elfe rouge l'avait adoptée, faisant d'elle une de ses filles. Toutefois, la jeune femme était désormais en age de trouver ses premiers esclaves et si l'elfe rouge avait réussit à la maintenir sous son influence, l'elfe rouge avait de plus en plus de mal à la garder sous contrôle. Oui, sa petite chérie venait de grandir mais l'elfe rouge trouvait que cela n'était pas une mauvaise idée...
Elle laissa donc faire la Lamia, qui s'enroula tranquillement autour de la jeune femme, la coinçant dans sa queue... L'elfe rouge s’avança tranquillement alors que la Lamia continuait à serrait tranquillement sa proie dans sa queue.
-Doucement ma chérie, je sais que tu as envie d'en faire ton esclave, c'est normale à ton age... Mais va y doucement ou elle risque de ne pas le supporter longtemps...
La lamia, cessera rapidement son étreinte, gardant toutefois la pauvre petite princesse dans sa queue...
-Toutefois ma fille, je vais te faire une fleur, tu es en age ou les lamia commence à créer leur propre harem. Alors, je te permets de t’entraîner sur Alice. Celle ci sera ton esclave durant toute ta nuit ma petite chérie.
Elle eut un petit sourire alors que la Lamia, semblait heureuse de jouer avec sa petite proie du jour. Apparament, la petite lamia, semblait heureuse de jouer avec sa nouvelle esclave pour la nuit, elle glissa d'ailleurs un petit mot à l'oreille de la demoiselle.
-Hum... je sssenss que je vaisss bien m'amussser avec toi, petite proie...
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Tant de belles femmes, tant de personnalités différentes, tant de promesses... Même avec la potion de la femme venue la voir tantôt, si Alice ne se masturbait pas, elle allait exploser ! Cette Lamia était le coup de la grâce. Toute rouge, Alice mouillait sa culotte, en sentant la queue de la Lamia se serrer contre elle. Sa femme savait combien Alice aimait se sentir entourée par des queues reptiliennes, et, quand Sakura en avait l’occasion, elle prenait volontiers sa forme de Lamia pour serrer ainsi Alice, serrant jusqu’à la limite de l’étouffement. C’était une passion profonde d’Alice, comme son amour pour le bondage... En un sens, c’était la même chose avec une Lamia, si ce n’est que la corde était vivante, grosse, et épaisse. La Lamia jouait avec elle, serrant un peu plus fort, et Alice couina, gémissant faiblement... Et puis, Tinuviel s’approcha, et expliqua à la Lamia, non seulement de tempérer ses ardeurs, mais aussi qu’elle allait pouvoir profiter d’Alice pour cette nuit. Les joues cramoisies, Alice l’entendit parler. Chacune de ses nuits dans ce harem risquait d’être bien chargée, avec toutes les femmes qui étaient venues se presser contre elle. La Lamia était relativement jeune, et avait donc, en conséquence, envie d’une esclave pour s’amuser avec elle... En un sens, c’était un grand honneur de la choisir. Peut-être que Maîtresse Tinuviel était au courant de l’addiction profonde qu’Alice éprouvait pour ces créatures reptiliennes ?C ‘était tout à fait possible.
Après lui avoir confié Alice, la Lamia s’approcha de son oreille, sifflant dans cette dernière quelques mots doux. Alice se mordilla les lèvres, et répondit en tournant sa tête sur le côté, et en embrassant la Lamia sur les lèvres, pendant quelques secondes, avant de rompre le baiser, ses seins frôlant ceux de la femme.
« Je vais adorer être ta proie, Maîtresse Lamia... »
La Lamia s’écarta ensuite, et Alice se retrouva face à Tinuviel, avec les jambes légèrement écartées... Sa culotte blanche moulait sa vulve, et on pouvait voir de la mouille couler de cette dernière, glissant sur ses cuisses. Elle rougit en baissant la tête.
« Je... J’ai du mal, Maîtresse... Toutes vos femmes, elles... Elles sont tellement craquantes... Est-ce... Est-ce que vous comptez profiter de moi avant de... De me con-confier à... À votre Lamia ? »
Les femmes de Tinuviel étaient aussi belles que perverses, mais c’était avant tout à Tinuviel qu’Alice s’était mariée...
Et il fallait bien consommer leur mariage, non ?
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La dévotion, le plaisir d'être possédée et surtout une envie dévorante, c'était tout ce que l'elfe pouvait voir dans le regard de la jeune princesse actuellement. Il n'y avait rien d'autre qu'une envie dévorante d'être soumise et aussi d'être prise. La proposition de la petite esclave tira un grand sourire à l'elfe rouge. Celle ci, regarda la jeune princesse, lui caressant la joue avant de lui dire.
-Tu n'en peux déjà plus alice ? Je te pensais plus résistante que cela tu sais ? Hum, je vais devoir t'entrainner à la frustration ma petite chérie. Mais nous avons le temps de voir cela plus tard. Après tout, si ma fille doit jouer avec toi ce soir, je devrais m'occuper de toi maintenant.
Elfe passa finalement la laisse à la jeune princesse, lui caressant au passage les fesses. Elle savait que cela risquait de gêner la pauvre Alice, mais honnêtement, elle s'en moquait, la pauvre petite princesse était SA chose et elle devait s'y habituer.
-Bien, les fisses, je vais vous laisser. Notre petite Catin semble avoir du mal à retenir ses pulsions. Et je vais donc m'occuper d'elle avant que celle ci ne se transforme le harem en piscine.
Elfe rouge guida ensuite la jeune princesse jusqu'à sa chambre, lui caressant les fesses durant tous le trajet, lui susurrant à l'oreille quelques petites réflexions sur son indécence
Elle fini par la pousser contre son lit et l'embrasser avec fougue, ne laissant pas à la princesse, la possibilité de s'échapper de son étreinte bien que l'elfe rouge était sure que celle ci ne le ferrait pas même si l'elfe rouge lui laissait cette possibilité.
-Bien ma petite chérie. Montre à ta maîtresse ton corps... Excite moi... et je m'occuperais de toi ma belle...
Il n'était pas difficile de convaincre la princesse et l'elfe en profitait clairement..
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Maîtresse Tinuviel se moqua gentiment d’Alice, ce qui fit rougir la Princesse. Effectivement... Elle était en manque, mais comment ne pas l’être ? Il y avait tant de belles femmes ici, tant de promesses sexuelles, tant d’invitations exquises... Alice n’était qu’une simple femme, faible, et qui manquait d’endurance. Cependant, elle avait une réplique toute trouvée à la moquerie de sa Maîtresse, et, tête basse, les joues rouges, ne parvenant plus à retenir la mouille qui filait de sa culotte, elle se mit à parler :
« Ce n’est pas de ma faute, Maîtresse, je manque d’expérience dans ce domaine pour pouvoir mieux résister à la frustration... »
C’était à la fois vrai et faux. Vrai, car Alice ne couchait pas aussi souvent qu’on le pensait. Faux, car elle était loin d’être vierge. Quand on avait Mélinda Warren comme proche amie, Melendil comme garde du corps elfique, et Tinuviel Lastrim comme épouse dominatrice, il ne fallait guère prétendre à la chasteté éternelle... Alice avait couché bien des fois, mais ces expériences sexuelles multiples ne suffisaient pas encore à endiguer les nombreuses années de chasteté qu’elle avait eu dans sa tour, au Château royal. Il avait fallu la visite de Cirillia, alors qu’elle approchait de la vingtaine, pour qu’elle prenne conscience de l’existence du sexe. À partir de ce moment, dans la vie de la Princesse, tout avait basculé. Maintenant, elle était face à Maîtresse Lastrim, et suivit l’elfe rouge, retrouvant un collier autour du cou, avec une laisse, en mode chienne... Elle aurait pu s’en offusquer, mais elle avait la foufoune en feu, et être la salope de toutes ces femmes perverses était bien trop excitant pour qu’elle passe à côté. Elle fut donc conduite dans une chambre, et Maîtresse Tinuviel l’allongea avec elle sur le lit, lui offrant un baiser magique, avant de lui demander de l’exciter.
Les joues rouges, Alice hocha lentement la tête, une idée fusant tout de suite dans son esprit, par le biais d’un souvenir... Un souvenir d’une soirée où elle était chez Mélinda, sur Terre, dans son manoir, et où cette dernière avait convié plusieurs esclaves de son harem... Rien à voir avec les classiques lycéennes avec qui Alice faisait parfois l’amour, il s’agissait de véritables esclaves, nées et élevées au sein du harem de Mélinda. Contrairement à d’autres esclavagistes, Mélinda encourageait les esclaves à procréer entre eux, car leurs enfants devenaient automatiquement des esclaves du harem, et étaient, dès le berceau, élevés pour être de parfaits esclaves. C’était ainsi qu’elle avait assisté à de torrides strip-teases... Et c’était ce qu’elle comptait faire avec sa Maîtresse.
Alice se redressa donc, et avisa un fauteuil dans un coin.
« Installez-vous là, Maîtresse... S’il-vous-plaît... Je... Je vais danser pour vous... »
Elle laissa le temps à Tinuviel de se poser, et Alice, les joues rouges, dégrafa sa belle cape blanche, qui tomba sur le sol. Elle n’avait alors plus que son corset, sa culotte, ses jarretelles blanches, et ses longs gants blancs. Elle s’observa un peu dans le miroir, soupira lentement. Son cœur bondissait dans sa poitrine, et, elle regarda ensuite sa Maîtresse, puis se mit à danser devant elle, ondulant des hanches, frottant son corps avec sa main, les glissant dans ses cheveux, remuant ses mèches de cheveux blondes, dandinant ses fesses en tournoyant sur elle-même. La danse était toujours quelque chose qu’Alice avait aimé, et les esclaves de Mélinda l’avaient formé à des danses sensuelles. Le point central dans ce type de danse se jouait avec le regard. Dans une danse individuelle, il fallait toujours fixer son spectateur... Ou sa spectatrice, en l’occurrence.
Alice dansait donc, remuant des hanches, tourbillonnant sur elle-même, et se rapprochait ainsi, lentement, de Tinuviel. Elle se touchait les seins, penchait son corps vers l’avant, lui offrant la vue de ses seins, et entreprit ainsi de se poser tout contre elle, pour finir par aller sur le fauteuil, jambes à gauche et à droite de sa Maîtresse.
« En théorie, les gens n’ont pas le droit de toucher... Mais vous, Maîtresse, vous pouvez me faire ce que bon vous semble... »
Comme quoi, être une Maîtresse, ça pouvait avoir des avantages.
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Elfe eu un grand sourire en entendant Alice, clairement cette excuse était l'une des plus mauvaise qu'elle avait entendue. Elfe rouge savait que la petite Alice qu'elle avait croisée lors de sa première rencontre était désormais une réelle perverse. Elle n'était plus la petite princesse candide qu'elle était autrefois.
L'elfe rouge se contenta de lui donner une bonne tape sur son petit cul de princesse lui disant doucement.
-Tu sais, il y a quelques mois, quand nous nous sommes rencontrée pour la première fois, j'aurais put croire ce que tu me dis. Mais ma petite princesse aujourd'hui tu es surtout une poupée sexuelle. Je suis certaine que tu as plus d'expérience que plus de 95% des filles de ton age ma petite chienne.
Elle eut un petit sourire avant de continuer en direction de sa chambre. L'elfe rouge pris place dans son lit avant d'assister avec ravissement à la petite danse de sa soumise. Lorsque celle ci lui expliqua qu'elle pouvait toucher si elle le voulait, l'elfe se mordis la lèvre pour retenir une remarque caustique. Dans son esprit, l'elfe avait bien sur le droit de toucher sa petite chienne, elle lui appartenait, donc si elle voulait lui prendre le cul pendant la danse, elle en avait parfaitement le droit.
Cependant, l'elfe rouge n'en fit pas part à la petite princesse, se contentant de se lever pour se retrouver en face d'elle et lui rouler une pelle. En profitant au passage pour lui caresser les fesses. Une fois ceci fait, l'elfe rouge se contenta de faire un pas en arrière avant d'observer en détail les courbes de sa petite soumise. Elle passa lentement son doigt sur son ventre, puis sur ses reins, observant chaque détail de ce corps qui lui était offert. L'elfe rouge pris enfin possession du sexe qu'on lui offrait, caressant lentement les petites levres de la princesse, jouant légèrement avec celle ci. Lorsqu'elle estima qu'elle était prête, l'elfe rouge se contenta de quelques caresses sur le clitoris de sa petite soumise, jouant avec celle ci. La nuit de noce venait de commencer.
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En un sens, Alice ne mentait pas... Certes, elle n’était plus vierge, et avait une solide expérience sexuelle, mais elle n’avait pas l’habitude d’être autant sollicitée, et, surtout, d’être au cœur de l’attention comme ça. Toutes les femmes qui s’étaient succédées pour caresser son corps, l’embrasser, palper ses fesses, n’étaient que des fantasmes ambulants : une Lamia, une Drow, une Slime, une dominatrice... Tout cela fascinait profondément Alice, l’excitant énormément. Elle tremblait sur place, continuant à danser, à suivre les mouvements d’une chanson imaginaire, et sentit les mains de sa Maîtresse caresser ses fesses, la faisant gémir et soupirer de plaisir. Ses belles joues rouges trahissaient tout son plaisir, et ses mains gantées restaient posées sur les épaules confortables et douces de sa belle Maîtresse elfique. Tinuviel était aussi douée que perverse, et, après cette danse chaude, Alice espérait ne pas s’être trop couverte de ridicule, et avoir pu exciter suffisamment sa Maîtresse pour avoir droit à sa récompense. En ce moment, Alice était précisément ce qu’elle prétendait être : une salope. Dans ce harem, elle n’était définitivement plus une Princesse, mais rien d’autre qu’une chienne avec la chatte en feu. Comment pourrait-il en être autrement ? Tinuviel s’était entourée d’amantes expérimentées, et Alice, même malgré ce que Tinuviel lui avait soufflé dans le couloir, ne se sentait pas aussi douée qu’elles... L’expérience n’entraînait pas forcément la maîtrise de la chose, et, elle qui avait plutôt l’habitude de se laisser guider, était ici bien incapable de repousser toutes ces belles femmes.
Tinuviel la repoussa donc, et entreprit de se blottir contre elle, approchant une main de son sexe. Alice était sa chose, son jouet... En ce moment, c’était bien comme ça que la Princesse se voyait.
« Haaa... »
Des gémissements s’échappèrent de sa bouche, sa tête basculant en arrière. Papillonnant des yeux, Alice soupira à nouveau, se mordillant les lèvres, et déglutit, remuant légèrement sous les doigts inquisiteurs et joueurs de la belle elfe rouge.
« Maî... Maîtresse... Haaaannn... »
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L'elfe rouge joua pendant quelques instants avec sa petite esclave, laissant ses doigts inquisiteurs visiter chaque partie de l'intimité de sa pauvre esclave. Cependant et malheureusement pour la petite tête blonde, l'elfe rouge s’arrêta assez rapidement rapidement.
Elle retira ses doigts mouillée par la cyprine de la jeune femme et se mit a les lécher, prenant le temps de savourer cela comme elle aurait put le faire avec un grand vin.
Il fallait reconnaître une fois, Alice avait un goût des plus plaisant, elle songeait même a l'intégrer dans certaines de ses potions.
Mais pour l'instant, il fallait s'occuper de cette pauvre chienne avant qu'elle ne trempe le sol.
-Hum, tu as bon goût pour une chienne.
Elle se contenta de cela, avant de s'installer tranquillement sur le lit et de faire signe a la princesse de l'y rejoindre. Une fois que ceci fut fait, elle la mit sur le dos avant de monter a califourchon sur elle. Elle la regarda droit dans les yeux avant de lui murmurer.
-Je pourrais me faire pousser une queue et te prendre comme la chienne que tu es Alice. Je pourrais te défoncer le bassin et le cul si fort que durant une semaine entière tu aurais du mal à t'en remettre.
Oui, c'était possible et l'idée avait d'ailleurs traversée l'esprit de l'elfe rouge, mais cela aurait était trop facile. Non, l'elfe n'était pas comme cela, il lui fallait quelque chose de plus sophistiquée. Elle eut alors une idée, et alla chercher dans un coffre des longues cordes dont elle se servit pour attacher les bras et les jambes d'alice. Elle prit ensuite le temps de vérifier que la pauvre princesse n'ait pas la circulation coupée par ces liens et une fois ceci fait priva la princesse de sa vision grâce à un épais foulard de couleur noire.
Désormais la petite princesse était prête pour devenir sa petite chose. Elfe rouge commença donc, déposant des baisers, des caresses, de manière totalement imprévisible et aléatoire sur son corps.
Pour être honnête, l'elfe rouge avait prévue de continuer ces caresses jusqu'à ce que la jeune femme ne la supplie de la faire jouir. Oui, elle attendait clairement à ce qu'alice demande a être prise comme la chienne qu'elle était... Et cela ne devrait plus prendre beaucoup de temps à son avis.
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Prisonnière des doigts de fée de l’elfe, Alice laissa cette dernière jouer avec son intimité. Elle la doigta pendant un certain temps, de longues minutes, faisant couiner et gémir Alice, qui la vit ensuite sucer ses propres doigts, la faisant déglutir .Sa Maîtresse dégageait un tel potentiel de sexe, de perversion, et de luxure... Alice était comblée, et elle se retrouva ensuite attachée sur un lit, pieds et poings liés. Soupirant à nouveau, la Princesse ne pouvait que se laisser faire, sentant ses poignets reliés ensemble, ses jambes bien écartées, délivrant l’accès à son sexe. Elle portait encore tous ses vêtements, et, les joues rouges, elle se demandait ce que sa Maîtresse comptait faire... Est-ce qu’elle allait faire revenir sa verge, comme hier ? Alice devait bien admettre que cette idée l’excitait énormément, mais ce n’était pas à elle de déterminer ce que sa Maîtresse allait faire. L’elfe rouge était la Maîtresse, et elle l’esclave... Et, comme si elle lisait dans les pensées de sa petite catin, elle suggéra de se faire pousser une queue... Pour la rejeter.
Entre-temps, Alice avait aussi perdu sa vision, grâce à un foulard noir posé sur ses yeux. Elle cligna des yeux, soupirant et gémissant, et tira un peu sur ses jambes. Ses cordes étaient très agréables, et elle les sentait contre elle, frottant sa peau à travers ses collants. Hum, quelle sensation magnifique ! Elle les laissait sur son corps, remuant un peu ses jambes, sentant ensuite sa Maîtresse venir l’embrasser et la caresser. Plutôt que de la pénétrer, plutôt que de soulager sa frustration rampante, l’elfe rouge choisit de la frustrer davantage !
« Haaaa.... »
Ne pouvant rien voir, Alice était condamnée à subir les assauts de Maîtresse Tinuviel, les baisers, les caresses, les léchouilles, les frottements des corps. Des baisers discrets, des caresses délicates et soutenues, sa Maîtresse variait les plaisirs et les endroits sensibles, toujours dans ce but, très simple, d’exciter de plus en plus la Princesse... Et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle y arrivait avec une grande efficacité. Soumise, ligotée, ficelée, Alice ne pouvait rien faire d’autre que soupirer en se tortillant, sentant la soif de sexe grandir en elle, de plus en plus, mordante et impatiente.
« Pi... Pitié, Maî-Maîtresse, haaaaannn... Bai... Baisez-mooiiii, haaaaaaaaaannnn... !! »
Tôt ou tard, il fallait bien que ça sorte, et Alice était dans un tel état de frustration qu’elle avait du mal à penser à autre chose que sa soif de sexe, qu’à son envie de voir sa petite chatte être proprement satisfaite. Avant que sa Maîtresse ne la ligote ainsi, Alice était déjà dans un état d’excitation assez prononcé, et, maintenant, cette frustration n’avait fait qu’exploser encore.
La pauvre !
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La frustration sexuelle était une chose que l'elfe appréciait. En effet, cette sensation pouvait briser n'importe quel esprit, même le plus combatif. D'un autre coté, cela renforçait également le plaisir ressentit lorsque la libération venait enfin. Toutefois, l'elfe rouge jugeait que ce n'était pas encore l'heure pour sa petite soumise de toucher le septième ciel.
Elfe rouge eut un léger sourire avant d'arrêter les caresses, s’avançant doucement vers le visage de la jeune femme avant de lui souffler doucement dans le cou. Elle se lécha légèrement les lèvres avant d'embrasser tendrement sa soumise, puis d'aller lui mordiller l'oreille.
-Ne soit pas si pressée Alice... Tu es attachée depuis dix minutes et tu veux déjà jouir.. Soit patiente, la récompense en vaudra la peine.
Elle se retira avant de revenir au niveau de son bassin, soufflant doucement sur celui ci. La petite princesse était désormais tellement mouillée que son intimité aurait put être une piscine. Elle aurait put la prendre, jouait avec elle, plonger dans celle ci. Mais l'elfe avait une autre idée.
Elle embrassa doucement le pubis de la petite princesse. Allant doucement déposer quelques petits baisers. Elle lécha ensuite lentement les grandes lèvres avant finalement de plonger dans son intimité. L'elfe rouge, joua un peu avec l'intimité de la demoiselle, s'arrêtant quelques secondes avant l'orgasme libérateur.
L'elfe rouge pouvait voir le visage de sa soumise, elle semblait au bord de l'explosion... Hum, maintenant peut être que celle ci était enfin prête. L'elfe rouge eut un sourire avant de lui dire
: Supplie moi. Montre moi ta dévotion. Montre a ta maîtresse comme tu n'es qu'une sale pute soumise et peut être que j'envisagerais de te donner ce que tu veux...
Une fois sa demande satisfaite, l'elfe rouge prit place sur le bassin de la jeune femme, allant doucement se frotter contre elle. Son sexe était désormais collé a celui de la jeune femme. L'elfe rouge avait prit chacun des trous de la jeune femme, elle avait donc envie de lui donner quelque chose de différent cette fois ci. Toutefois, l'elfe rouge était a peu prêt certaine que la petite princesse avait déjà goûtée a cela avec son épouse. Elle décida donc de lui donner un autre petit bonus. Son doigt alla doucement caresser l'anus de la jeune femme avant de la doigter. L'elfe rouge eut un petit sourire, continuant donc a la fois a se frotter contre la jeune femme et a lui offrir une petite inquisition dans son fondement, voilà qui devrait convenir a la princesse non ?
-
Dix minutes ?! Oh, mais ça faisait bien plus que ça ! Les femmes de Tinuviel tourmentaient la pauvre petite Alice depuis des heures, et, même cette nuit, Samia n’avait cessé de la tourmenter. Avec cette ceinture de chasteté bloquant l’accès à son intimité, elle avait eu bien du mal à jouir, et avait passé la nuit à être sexuellement frustrée, une frustration que toutes les amantes de sa Maîtresse avaient su réveiller et amplifier. Maintenant, sa Maîtresse la poussait à son paroxysme, par ses multiples baisers et caresses. Elle manipulait le corps d’Alice à la perfection, comme si elle connaissait toutes ses zones érogènes. En un sens, c’était sans doute le cas. Tinuviel était une femme expérimentée et entraînée, et elle s’évertuait à le rappeler dès qu’elle en avait l’occasion. Ce qu’elle avait fait subir à la pauvre petite tête blonde était aussi atroce que merveilleux, et elle laissait, entre ses lèvres, une Princesse pantoise et surexcitée, avec des seins tendus et douloureux, et tout un corps qui frissonnait et tremblait, en attente de caresses et d’attentions supplémentaires. Était-ce donc trop demandé ?
La Maîtresse rouge continua à l’embrasser, puis se rapprocha de son intimité, et entreprit de la lécher.
« Hîîîî... »
Alice peinait à parler, tant le plaisir la consumait. Elle mouillait follement, et laissait la passion la submerger, l’envahir totalement, sans résister à quoi que ce soit. Le plaisir venait, croissant de plus en plus, et, alors qu’elle comptait enfin jouir, soupirant longuement, gémissant et couinant, sa Maîtresse releva la tête, et lui ordonna de la supplier. Alice couina en se tortillant, tentant de défaire, en vain, les liens qui l’immobilisaient. Loin de la calmer, remuer ses jambes eut pour effet d’amener ses cordes à frotter contre sa peau, l’excitant encore plus. Le sentiment délicieux du frottement des cordes contre ses jambes était magique. Mélinda adorait l’attacher ainsi, et, juste en frottant le corps d’Alice contre les cordes, elle arrivait à l’exciter furieusement.
La Princesse soupirait longuement, mais il ne lui fallut pas longtemps pour parler, d’une voix forte, stridente, dévorée par l’envie et l’impatience :
« Bai... Baisez-moi, Maîtresse, haaaaan... Je vous en prie, baissez votre petite femme, votre petite pute ! Haaaaannnnn... !! Pi... Pitié !! »
Elle se tortillait sur place, et sentit alors sa Maîtresse jouer à nouveau avec elle. Une main se glissa dans son dos, et elle soupira en sentant un doigt s’enfoncer dans son fondement, tandis que son sexe venait se frotter au sien. Tinuviel se frotta ainsi contre elle, et la Princesse gémit de plaisir. Les yeux bandés, elle continuait à soupirer et à gémir, et sa langue remonta pour lécher les lèvres de Tinuviel. Elle mouillait contre sa vulve, sentant sa peau se frotter à la sienne. Elle était sa prisonnière, tout simplement, et elle ne pouvait rien faire pour la repousser, subissant, encore et encore.
Néanmoins, sans aucune pénétration, Tinuviel ne risquait pas de la faire jouir, et Alice continuait à gémir et à soupirer.
« Maî... Maîtresse, pi... Haaaaannn... Vous... Vous me rendez fo-folle... Haaaannn... »
Elle continuait à soupirer, encore et encore.
-
L'elfe rouge l'embrassa tendrement, avant de lui caresser la joue. Elle pouvait sentir que la petite princesse était totalement dévorée par la luxure, n'attendant qu'une seule chose être pénétrée par sa maîtresse. Pourtant, l'elfe rouge n'allait pas lui donner ce plaisir. Elle se contenta de remonter, lui léchant doucement l'oreille avant de lui dire doucement.
-Je crois que Mélinda t'as trop habituée a être prise par une queue, tu as oubliée comment deux femmes se font l'amour ma petite chienne. Je vais donc devoir te réapprendre tout cela.
Elle déposa un autre baiser sur ses lèvres, avant de retrouver la position qu'elle avait sur la jeune femme. Elle commença lentement a frotter son sexe contre celui de la petite princesse, continuant à la faire mouillée.
Elle fit cela durant quelques minutes avant de finalement coller son clitoris contre celui de la princesse et de doucement caresser celui ci. Elle savait que cela provoquerait sans doute la jouissance d'Alice dans peut de temps et n'étant pas avare, en profita pour lui caresser légèrement la poitrine. La jeune princesse devait réapprendre les bases.
-Profite bien ma petite chérie... Mais sache que mes amantes sont comme moi mes chéries, certaine d'entre elles ne sont pas fan de la pénétration, tu devras donc t'amuser sans cela ma petite pute.
Oui, l'elfe la prévenait, si Alice pensait que la jouissance devait être accompagnée synonyme de la pénétration, la petite princesse serait sans doute frustrée. Toutefois, celui lui permettrait peut être de goûter à de nouveau plaisir. Enfin, pour l'instant, il fallait que sa petite princesse récupère un peu de l'expérience qu'elle venait de vivre.
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Oublier comment deux femmes se faisaient l’amour... Alice conserva pour elle cette petite pique concernant ses relations avec Mélinda, tout en se demandant, fugacement, comment Tinuviel pouvait bien le savoir. La Princesse ne criait pas ses relations sous tous les toits, et, à chaque fois qu’elle allait au harem de Mélinda, elle se débrouillait pour ne pas trop se faire remarquer. Visiblement, sa Maîtresse avait le bras plus long que ce qu’Alice pensait. Néanmoins, Alice ne couchait toujours pas avec des Futanaris, et, quand il n’y avait pas de queues, ses amantes utilisaient des doigts ou des langues. Là, sa Maîtresse avait une approche bien plus différente, consistant à frotter son corps contre le sien, et, plus particulièrement, leurs lèvres intimes entre elles. C’était... Particulièrement original. Alice sentait le corps de l’elfe rouge sur le sien, et elle ne pouvait que gémir et soupirer, les joues rouges. Leurs seins se caressaient entre eux, et, à chaque fois qu’elle sentait les lèvres de sa Maîtresse se rapprocher des siennes, elle tentait de l’embrasser.
« Hunnnn... Je... Haaaa... Je peux m’adapter à... À t-tout... »
Jadis, quand Alice avait été pénétrée pour la première fois, elle avait eu très peur. Comment un membre aussi gros pouvait-elle rentrer en elle sans la broyer ? C’était progressivement qu’elle avait fini par adorer ça, et par apprécier la douleur, par comprendre que le sexe n’était pas que du plaisir, mais aussi de la douleur et de la souffrance. Ici, le plaisir dominait à travers ce frottement, et Alice trouvait d’autant plus frustrant de ne pas pouvoir caresser ce corps. Elle était une sorte de coussin, alors qu’elle aurait voulu sentir les fesses de sa Maîtresse, ou même caresser son dos. Au lieu de ça, elle se laissait aller, et sentit l’orgasme venir, au milieu de sa mouille.
En poussant des gémissements ténus et faibles, elle s’abandonna au plaisir, se tortillant sur le lit, ayant un bel orgasme, la tête basculant en arrière, dans un long cri, presque comme un couinement aigu.
« Haaaa... Ce que c’est bon... Hummmm, Maîtresse... Je... Je suis si heureuse d’être votre femme, maintenant... »
Alice soupirait longuement, se sentant, pour le coup, bien plus soulagée.
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L'elfe rouge était sastifaite de voir sa petite soumise enfin jouir. Elle eut un petit sourire, lui caressant tendrement la joue avant finalement de la détacher. Désormais la petite princesse était maintenant son épouse.
Elle finit par détacher la jeune princesse, avant doucement de la prendre dans les bras et de l'embrasser tendrement.
Le jeu était fini, et l'elfe rouge changeait légèrement de comportement. Elle déposa un léger baiser dans le cou d'alice, lui caressant tendrement la joue en lui disant.
-Je suis heureuse aussi Alice.
Elle embrassa tendrement sa petite princesse, l'embrassant tendrement. Désormais Alice était une de ses épouses et cela voulait dire que l'elfe la garderait à l'oeil comme toutes ses épouses.
-Repose toi mon petit cœur, tu as besoin d'être en forme ma chérie surtout si ce soir tu va jouer avec Naya...
Oui, la Lamia risquait de prendre son pied avec sa nouvelle esclave, elle risquait de la violer encore et encore durant des heures, afin de passer sur elle ses instincts pervers de domination et son besoin biologique de se faire un harem d'esclave.
L'elfe rouge l'embrassa encore une fois, lui mordillant légèrement le cou avant de lui dire.
-Alors ma petite princesse, combien de temps compte tu rester a mes cotés ?
Elle descendit doucement, allant nettoyer la jeune blonde des restes de leur jeu. L'elfe rouge pris son temps, récoltant chaque goutte de cyprine sur l'intimité de la jeune femme. Cela devrait lui laisser le temps de répondre à sa question.
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Cet orgasme signa la fin de son supplice, et elle sentit les cordes se retirer. Elles avaient laissé quelques discrètes marques rouges sur ses jambes et sur ses bras, et on lui ôta également son bâillon. Le beau visage de sa Maîtresse inonda ainsi son regard, et elle l’embrassa tendrement, gémissant faiblement, son corps se frottant au sien. Le baiser de cette femme était magnifique, tout comme son corps, tout comme tout ce qu’elle vivait. Tinuviel lui expliqua qu’il était temps pour elle de se reposer, et Alice était d’accord. Si elle devait rencontrer Naya ce soir, la Lamia... Le spectacle promettrait d’être intense. Effectivement, il valait mieux se reposer un peu, et ce tendre baiser annonçait une bonne sieste. Depuis quelques jours, Alice multipliait le sexe, sans réel temps mort, et son corps avait du mal à suivre le rythme, à s’adapter à toutes ces femmes perverses et talentueuses. La femme l’embrassa à nouveau, ses dents glissant sur son cou, et, tout en lui posant une question, nettoya son corps. Alice ferma les yeux à plusieurs reprises, et ses mains caressèrent brièvement les cheveux de sa Maîtresse.
Dans la mesure où elle lui avait posé une question, la Princesse ne tarda pas à lui répondre :
« Je... Je compte rester ici une bonne grosse semaine... Si je reste plus longtemps, mon père risque de le savoir, et... Ceci me posera des soucis... Hum... Votre langue est si bonne, Maîtresse... Je... Hum... Pour ne rien vous cacher, j’avais aussi dans l’idée d’installer dans mes appartements, à Sylvandell, un miroir magique... S’il y en a un chez vous, Maîtresse, il... Il me permettrait de vous rejoindre bien plus facilement, et de pouvoir venir au harem quotidiennement, afin d’honorer mes devoirs conjugaux... »
Elle parlait en soupirant lentement, surtout quand la bouche de sa Maîtresse atteignit son intimité. Même si Alice venait de jouir, l’orgasme féminin, contrairement à l’orgasme masculin, n’était pas une tornade qui vous laissait en arrière sur la piste. Elle devait se calmer pour ne pas soupirer à nouveau, car elle sentait bien que, si elle demandait à sa Maîtresse de la baiser encore, cette dernière pourrait se moquer d’elle... De plus, Alice était convaincue que Tinuviel agissait ainsi. C’était une elfe rouge, une femme pour qui le sexe était quelque chose de central, car il était l’expression même de la passion, et la passion était la saveur de la vie. Tinuviel s’appliquait lentement, léchant son bassin, tout autour de ses lèvres intimes, et Alice observait le plafond, fermant les yeux autant qu’elle le pouvait, tout en rougissant.
Alice soupira à nouveau, retournant poser ses mains sur les cheveux de sa Maîtresse elfique, les caressant lentement.
« Et puis, comme ça, vos femmes, et même vous, pourrez visiter Sylvandell quand vous le voudrez... Vous savez que c’est un beau royaume, Maîtresse, et... Hum... Je serais ravie de les accueillir chez moi aussi longtemps qu’il le faut... »
C’était vrai, et ça lui semblait être une très bonne option...
-
Une fois son petit nettoyage terminé, l'elfe rouge remonta et câlina tendrement sa petite princesse. Elle déposa un petit baiser sur les lèvres de la demoiselle avant de la prendre doucement dans les bras.
Elfe rouge devait reconnaître que la petite princesse avait une bonne idée. Oui, ce miroir lui permettrait à la fois d'avoir un contacte rapide avec sa petite princesse mais également d'avoir une porte de sortie.
Oui, l'elfe rouge trouvait cette idée de plus en plus intéressante. Elle embrassant doucement sa petite princesse, lui caressant tendrement la joue.
-Hum, je ne peux que t’encourager ma petite chérie. Ce portail est en effet une bonne idée. Après tout, je doute que mes petites chéries aient toutes le temps de profiter de toi en une semaine.
Elle eut un léger sourire avant de déposer un autre baiser sur ses lèvres, lui caressant la joue.
-Et je pense que je vais accepter ton idée ma petite chérie. Mes épouses ont de temps en temps besoin de changer d'air et je pense que ton royaume sera une destination idéale pour nous ressourcer.
Elle déposa un léger baiser sur le front de sa petite princesse, la câlinant tendrement.
-Mais pour l'instant il est l'heure de dormir ma petite Alice. Cela fait déjà plusieurs jour que tu tire sur la corde ma petite chérie.
Certes, l'elfe rouge était une perverse sans nom mais elle prenait soin de ses épouses. Ainsi pour aider la petite princesse à trouver le sommeil, elle se mit à lui chanter une berceuse elfique. La petite Alice n'étant pas une enfant, elle doutait que ceci lui soit d'une grande aide. Mais l'elfe avait encore le souvenir de cette berceuse a l'époque ou elle était une petite fille...
-
L’idée du miroir sembla enchanter sa Maîtresse, ce qui fit sourire Alice. Elle était fière, fière comme une petite fille qui aurait fait plaisir à sa mère en lui proposant quelque chose qui lui ferait plaisir. Les miroirs magiques étaient quelque chose dont elle avait entendu parler par le biais de Mélinda, et elle trouvait cela très intéressant, et très utile. Mélinda lui avait expliqué qu’il fallait deux miroirs spécifiques, de la même famille, et qui, par le biais d’enchantements et d’une orbe magique, étaient reliés entre eux. Mélinda l’utilisait pour rejoindre les zones annexes de son harem, les bâtiments secondaires. Alice déglutit lentement, et laissa sa Maîtresse se relever, lui disant qu’il était temps de dormir, maintenant, temps de se reposer. Opinant de la tête, la Princesse acquiesça, avant de faiblement se mettre à parler :
« O-Oui, Maîtresse, vous... Vous avez raison... »
Elle avait raison, en effet, mais toute la difficulté était de trouver le sommeil. Alice était tellement excitée, tellement fiévreuse... Et puis, elle ne pouvait rester ici qu’une semaine ! Comme sa Maîtresse lui avait dit, c’était effectivement très peu, et elle avait envie d’en vouloir plus. En fait, la belle tête blonde voulait goûter à toutes les femmes de ce harem, ce qui prendrait certainement plus qu’une semaine, car elle ne tenait pas à bâcler les moments qui allaient venir avec les autres femmes... D’ailleurs, comment devait-elle les appeler ? Est-ce que les femmes de Tinuviel étaient aussi les siennes, ou simplement des amantes ? Quel titre employer pour les désigner ? Alice ne savait pas trop. Elle se pinçait les lèvres, soupirant sur place, et, comme pour l’aider à dormir, Tinuviel se mit à chanter, restant à côté d’Alice.
Cette dernière, en soupirant, choisit de fermer les yeux. La voix de Tinuviel était magnifique, et réussit peu à peu à apaiser les ardeurs de la Princesse. Avec son excitation lancinante, elle ne pensait honnêtement pas réussir à se calmer, à se maîtriser... Cependant, cette douce voix chantante l’apaisait peu à peu.
« Maîtresse... Hum... Votre voix est si belle... »
On disait que les chants elfiques étaient magiques, et Alice en avait la confirmation en ce moment. Cette voix la faisait danser, et, lentement, peu à peu, son corps s’apaisait. Elle soupirait longuement, sa respiration s’alourdit... Puis, lentement, Alice finit par s’endormir, sentant tout son corps se détendre, se relâcher... Et elle s’assoupit.
Un sommeil réparateur et bienvenu.
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Elfe rouge observa tranquillement sa petite princesse s'endormir. Elle ne pouvait pas s’empêcher de penser qu'elle avait eut de la chance que cette délicieuse jeune femme la choisisse. Elle resta donc à ses cotés, ne pouvant s’empêcher de contempler la figure ingénue de sa petite princesse. Elle lui caressa tendrement la joue laissant la jeune femme dormir un peu. Son corps aurait le temps de récupérer et pour aider celui ci l'elfe transporta sa petite Alice vers son lit. Elle y fit brûler un encens de sa composition ainsi qu'un petit massage afin que la demoiselle soit parfaitement en forme pour la suite de la soirée.
Elle eut un léger sourire avant de déposer un petit baiser sur le front de la petite princesse. Celle ci devrait donc se réveiller en pleine forme désormais et elle risquait d'en avoir besoin car ce soir c'était sa petite Lamia d'amour qui jouerait avec Alice.
Hors, l'elfe rouge connaissait bien les différentes rumeurs sur la petite princesse et ses gouts pour les écailles mais surtout pour les lamias. Elle déposa un long baiser sur les lèvres de la princesse attendant que celle ci se réveille.
-Bonjour ma petite chienne, tu as bien dormis ? Ma petit Naya t'attends ce soir et je te conseille de bien te préparer, elle est encore jeune et inexpérimentée mais elle n'a qu'une hâte avoir sa première esclave sexuelle, tu te sens prête pour ce rôle ma chérie ?
Elle eut un léger sourire déposant un doux baiser sur ses lèvres. Hum, l'elfe rouge savait comment faire plaisir a sa fille mais cela voudrait dire que la petite princesse allait devoir changer de tenue... Hum, soyons honnête, cela ne déplairait pas à l'elfe rouge de voir sa petite soumise dans la tenue qu'elle imaginait pour elle, une tenue dévoilant tout ou presque de sa petite Princesse, la tenue traditionnelle des harems terriens, oui cela devrait vraiment plaire à Naya.
-
En se réveillant, après une sieste réparatrice, Alice eut droit à une nouvelle tenue (http://img99.xooimage.com/files/c/2/7/jinn-rise-42fe826.jpg), nettement plus exotique que ce qu’elle avait l’habitude de porter. Sa Maîtresse, qui avait soigneusement veillé sur elle, lui offrit un baiser, tout en lui disant qu’elle devait se préparer pour jouer avec Naya, et que, partant de là, elle espérait vraiment que la Princesse soit en bonne forme pour ce grand moment. Elle l’avait ainsi réveillé en douceur, à l’aide de tendres et magnifiques baisers, qui amenèrent le cœur d’Alice à bondir dans sa poitrine, à remuer de haut en bas. Elle se mordilla les lèvres en soupirant, un soupir feutré et délicat, les joues légèrement cramoisies. Elle venait juste de se réveiller, et elle n’avait évidemment rien oublié de ce qui l’avait conduit ici.
Maîtresse Tinuviel lui demanda si Alice se sentait prête pour le rôle qu’elle allait jouer ce soir, et l’intéressée, après quelques hésitations, hocha la tête de haut en bas.
« O-Oui, Maîtresse… »
Elle l’embrassa en retour, en sentant, déjà, une excitation fébrile revenir. Une Lamia ! Par toutes les Princesses de Terra, une Lamia ! L’un des plus grands fantasmes inavoués d’Alice allait pouvoir se réaliser d’ici quelques heures, et elle se sentait donc extrêmement fébrile… Ce n’était pas la peur qui la guidait ici, mais une excitation forte, presque trop forte pour elle-même, une excitation qui menaçait de la submerger totalement. Alice embrassa donc Tinuviel, posant ses mains sur les épaules, puis se releva ensuite, et considéra sa tenue.
« Je n’ai encore jamais porté une telle tenue, Maîtresse… »
N’ayant, pour le coup, aucune pudeur, Alice entreprit de se changer sous les yeux de la belle elfe rouge. Elle avait déjà vu des danseuses exotiques au harem de Mélinda. Elles étaient des spécialistes en danses érotiques, et Alice se souvenait encore de la sensation d’aliénation totale qu’elle avait eu en voyant l’une de ces femmes danser. Elle avait été magnifique, terrifiante, d’une sensualité sans limite, et elles avaient ensuite fait l’amour… Mélinda en avait plusieurs, oui, et ces femmes savaient comment se faire désirer. On disait que leur spécialité était de faire jouir les hommes avec de simples contacts du pied, dans leurs pantalons. Alice voulait bien le croire, et, en partant de ce principe, porter une telle tenue représentait un gros défi.
Néanmoins, elle ne comptait pas décevoir sa Maîtresse. Elle saurait se montrer digne de ses attentes ! Alice enfila donc la tenue, et s’observa dans le miroir.
*Ça va, je ne fais pas trop grosse dedans…*
La tenue était particulièrement légère, et, quand les plis de la tenue venaient se frotter sur son corps, Alice frissonnait.
« Ça me va bien, dedans ? »
Elle s’observait sous toutes les coutures devant le miroir, attendant l’avis de sa Maîtresse…
-
Elfe rouge semblait satisfaite par le résultat. Oui, Alice était parfaite dans cette tenue et elle était certaine que sa petite chérie ne résisterait pas à une aussi jolie demoiselle. Elle eut un petit sourire avant de déposer un léger baiser sur le front de sa petite Alice.
-Oui ma petite chienne, tu es parfaite. Je suis sur que ma Naya chérie ne va pas résister plus de quelques secondes à tes charmes. Mais dit moi Alice, je sais que Sakura a une forme de Lamia mais à tu déjà goutter à l’étreinte d'une vraie lamia ? Tu sais Naya est encore jeune donc elle sera peut être un peu inexpérimentée avec ses étreintes... Et elle sera sans doute vraiment sauvage.
Elfe rouge préférait prévenir sa petite Alice avant que celle ci ne soit entre les anneaux de Naya, la lamia ne devrait pas lui faire du mal intentionnellement mais étant encore jeune, celle ci risquait d'avoir du mal a se contrôler totalement.
L'elfe rouge eut ensuite un petit sourire avant de prendre la petite princesse par la main et de la conduire vers la chambre de la Lamia. Elle lui caressa doucement la joue avant de laisser la petite princesse dans la chambre de Naya. La Lamia se réveilla tranquillement, baillant avant de sourire légèrement.
-Hum, ma petite esclave est enfin levée... hum... j'ai hâte de jouer avec toi ma belle...
Elle siffla doucement dans l'oreille de la petite princesse. Avant de se redresser. Désormais la petite princesse était à elle, toute à elle...
-
Alice allait donc se retrouver sous peu avec une Lamia, dans une tenue… Exotique. Tout ce qu’elle espérait, c’était que sa Maîtresse, ou Naya, n’allaient pas lui demander une danse du ventre… Car Alice en serait tout simplement incapable ! Elle se retourna donc face à sa Maîtresse, qui l’embrassa tendrement, amenant Alice à sourire doucement. Ce baiser était très agréable, et, par la suite, l’elfe rouge lui demanda si elle avait déjà fait l’amour avec une vraie Lamia… La Princesse se pinça les lèvres, et répondit rapidement :
« N-Non, il n’y a pas de Lamias à Sylvandell… Mais je suis sûre que tout se passera bien… »
Sa Maîtresse et amante avait vu juste en supposant que Sakura l’avait formé. Elle avait goûté à toutes les formes de sa belle, notamment lors de leur anniversaire de mariage, où elles s’étaient rendues sur une île tropicale et déserte, pendant une semaine. Une lune de miel en retard, qui avait été longue et éreintante… Sakura, qui avait augmenté ses pouvoirs, avait transformé Alice, et les deux femmes avaient longuement fait l’amour, sous toutes les formes possibles, et dans tous les sens du terme.
Alice n’avait pas peur d’affronter Naya… Du moins, pas au sens où elle craignait pour sa vie. Ce qui la tiraillait, c’était une sourde et profonde excitation, car elle avait l’intime conviction qu’elle allait, sous peu, réaliser l’un de ses fantasmes. Sakura prenait des formes réelles, et acquérait aussi la personnalité-type des formes qu’elle prenait. Sous sa forme de Lamia, elle était dominatrice et douloureuse. Pour Alice, c’était un excellent souvenir, et elle avançait donc, se pinçant les lèvres, main dans la main avec sa Maîtresse elfique.
La Princesse se retrouva donc seule, dans la chambre de Naya. C’était une belle pièce, avec un lit en forme de cercle, et des bougies dans les coins, donnant une ambiance sombre et tamisée. Une grande pièce, aussi, avec des colonnes en marbre à gauche et à droite. Tout un jeu d’éclairage était fait, afin qu’Alice ne puisse voir que le lit. La périphérie de son regard, elle, par un jeu d’ombres et de lumières, était plongée dans la pénombre.
Naya était là, dans son lit, et, quand Alice marcha, elle la vit remuer. Sa longue queue reptilienne se souleva, et ce corps sembla se redresser. Sentant ses jambes en coton, Alice déglutit, ayant l’intime conviction d’être comme une mouche au milieu d’une toile d’araignée gluante et collante. La Lamia était là, et se mit à parler en se tournant vers elle, d’une voix sifflante, un sourire sur le coin des lèvres.
Alice soupira à nouveau, serrant ses poings, la gorge sèche.
« Je… »
La Princesse soupira encore, se pinçant les lèvres, puis entreprit finalement de respectueusement s’agenouiller.
« Votre jouet est là, Maîtresse… » lâcha-t-elle, d’une voix gonflée par le désir.
-
La lamia eut un léger sourire, voir cette charmante créature totalement soumise la rendait totalement folle. Elle n'avait qu'une seule envie, s'enrouler autour de la princesse et la serrer dans ses anneaux jusqu'à ce que celle ci la supplie de la relâcher. Pourtant, maman lui avait apprit que pour être une vrai dominante, il fallait mieux faire languir sa proie. La Lamia eut donc un petit sourire relevant doucement la tête de la princesse en lui infligeant une petite pression sous le menton..
Je pourrais te faire subir l’étreinte maintenant... Mais tu ne le mérite pas. Tu n'es rien, qu'une raclure uniquement sur terre pour mon plaisir et mes envies tu comprends petite merde ?
La lamia eut un grand sourire avant de dire doucement.
-Bien, leve toi. Et viens ici j'ai une tâche pour toi.
Elle s'avanca vers une malle à coté de son lit et sortit un long chiffon ainsi qu'une sorte de lotion contenue dans une bouteille. Elle eut un léger sourire, disant doucement.
Commence par prendre soin de mes écailles et si je suis satisfaite peut être que je te garderais a mon service comme une esclave dévouée.
Oui, la lamia jouait clairement avec elle. Par cette manœuvre, elle ferrait en sorte que la petite princesse se rende compte que jusqu'à présent elle n'avait connu qu'une vulgaire copie de ce qu'était une lamia. Elle pourrait sentir chacune de ses écailles, l'odeur du cuir reptilien et surtout la puissance qui se dégageait de son corps.. Le jeux pouvait maintenant commencer et la charmante petite Alice était un pion destiné à combler les besoins de sa nouvelle maitresse.
-
Alice était face à cette Lamia, face à Naya et à sa longue chevelure claire. Se pinçant les lèvres, la Princesse la laissa s’approcher, en sentant son imagination commencer à s’emballer. La main de la Lamia se posa sur son menton, la forçant à se relever, tandis qu’elle dictait ses ordres, la rabaissant. Alice rougit légèrement. Elle savait comment les choses marchaient, et elle s’attendait à se faire prendre rapidement... Voire se faire battre. Les Lamias étaient des Terranides autoritaires, des créatures qui aimaient bien enrouler leurs proies dans leurs longues et grosses queues écailleuses... Mais cela n’était pas le plan de Naya. Alice fut donc surprise en la voyant ouvrir une malle. Elle voulait qu’elle nettoie ses écailles... Alice cligna des yeux à plusieurs reprises, surprise devant une telle requête, et ce surtout que sa tenue n’était pas vraiment indiquée pour ce genre de choses. Elle avait une robe de danse orientale, dont les plis pourraient la gêner en fléchissant les genoux. Néanmoins, elle n’avait guère envie de se défiler, et hocha donc la tête, en récupérant, d’une main tremblante, le long et soyeux chiffon, ainsi que la lotion.
« Très... Très bien, Maîtresse... »
En hochant lentement la tête, Alice vit Naya se déplacer, ondulant sur le sol, lui offrant ainsi la vue de sa queue... Une bien grosse queue, ce qui fit rougir Alice. Elle s’imaginait en effet à l’intérieur de cette dernière, à sentir la queue de la femme serrer son corps, se presser contre elle, la faisant hurler... Puis elle déglutit, et appliqua la lotion sur une écaille, et la nettoya ensuite avec son chiffon. L’écaille était à la fois froide et chaude, lisse et légèrement collante. De ce qu’Alice savait, la carapace d’une Lamia était froide, et l’intérieur, la partie interne, était chaude, plus douce, et plus gluante. La partie externe, elle, était froide et dure, comme une espèce de sensuel caillou. Et, pourtant, en caressant les écailles, en appliquant de la lotion sur chaque écaille, la Princesse sentait son cœur tambouriner lentement dans sa poitrine.
Alice nettoyait donc cette queue, sans rien dire pendant longtemps, avant de déglutir lentement.
« Vous... Votre queue... Elle... Elle est très belle, Maîtresse... »
Et puissante, si puissante... Ohlàlà, comme Alice serait heureuse à l’intérieur ! La Princesse devait sans doute commencer à devenir folle, pour imaginer de telles choses...
-
La lamia devait reconnaître que c'était particulièrement agréable de sentir sa nouvelle esclave s'occuper de sa queue. Oui, il avait quelque chose d'érotique dans le fait que la petite princesse en soit réduite à s'occuper d'elle comme cela.
Puisque la petite esclave avait fait un bon travail pour s'occuper d'elle, peut être était il temps de jouer avec elle pour de bon.
Elle releva tranquillement sa petite esclave avant de la caresser doucement avec sa queue, c'était un petit jeu pour la lamia et cela lui permettait de se rapprocher tranquillement. Petit à petit elle s'enroulait autour de la jeune femme.
-Pauvre petite chose, tu as bien travailler, je pense qu'il est temps de te donner ta petite récompense.
La lamia la prit finalement dans son étreinte. Désormais la jeune femme ne pourrait plus s’échapper, elle était totalement prise dans sa queue. Petit à petit la Lamia resserrerait son étreinte pour que la petite princesse sente chacune de ses écailles sur sa peau de pêche.
Elle lui lécha doucement le cou, hum, qu'est ce qu'elle avait envie de lui mordre ce petit cou et d'y injecter son venin aphrodisiaque. Toutefois d'après l'odeur que la jeune femme avait elle n'en avait pas besoin. D'ailleurs la petite soumise avait désormais sous elle une plaque de cyprine ce qui fit bien rien la lamia.
-Tu semble aimer mon traitement petite esclave. Mais il faudra me supplier pour avoir le reste... Sale petite catin.
-
Les choses sérieuses n’allaient pas tarder à commencer, Alice le sentait, et elle frissonnait sur place, pleine de désir, pleine d’envie… Ah, une Lamia ! Ce qu’elle pouvait aimer ça ! Cette dernière avait les écailles biens propres, maintenant, et il était temps de récompenser Alice pour ses efforts. En conséquence, Naya s’enroula le long de la Princesse. Quand cette dernière sentit les écailles la caresser, et le corps de Naya tournoyer autour d’elle, elle déglutit. La Princesse se tenait bien droite, et, peu à peu, la grosse queue reptilienne se resserra sur elle.
« Haa… ! »
La queue remonta à chaque coup, jusqu’à recouvrir toutes ses jambes, ainsi que son ventre. Son estomac était dans cette queue, et ses bras étaient dehors, tandis que Naya se dressait au-dessus d’elle, la dominant par toute sa stature. La petite Princesse se mit à déglutir lentement, en entendant la Lamia siffler près de ses oreilles. Oh ! Oh ! La Princesse soupira en fermant les yeux, sentant d’irrépressibles vagues de plaisir la traverser de part en part. Fermant les yeux, Alice soupirait longuement. Le plaisir explosait en elle, entraînant une forte dose de frustration. Ah, ce qu’elle ressentait était terrible ! Cette Naya était tout simplement monstrueuse dans sa manière d’agir. S’enroulant tout contre la Princesse, elle sifflait près de son cou, continuant à serrer. Les joues toutes rouges, Alice savourait ces vagues de plaisir en elle. C’était tout simplement délicieux, magnifique ! Elle ne pouvait que gémir en appréciant ce plaisir en train de croître en elle, d’exploser littéralement.
Naya léchait doucement son cou, et Alice mouillait, sa cyprine filant contre la peau écailleuse et chaude de Naya, ses mains caressant ses écailles ou la partie humaine de son corps. Comprendre pourquoi Alice était tellement excitée par le fait de sentir une Lamia s’enrouler autour d’elle était quelque chose de difficile. C’était l’expression d’un profond fantasme, lié au plaisir qu’il y avait à être privé de ses membres, à être privé de ses sens, à être restreint dans ses déplacements et dans ses libertés sensorielles.
« Hnnn… »
Finalement, Naya lui demanda de la supplier, et Alice déglutit.
« Je… Euh… Je vous en supplie, Maî… Maîtresse… Faites… Faites-moi l’amour… L’amour comme le font les Lamias… Pitié, Maîtresse, pitié… »
Elle n’avait nullement à jouer pour simuler sa frustration. Cette dernière était bel et bien là, forte et pimpante, et ne demandait qu’à s’exprimer et à exploser dans son corps.
-
La lamia était encore jeune, inexpérimenté mais tout cela était inscrit dans ses gênes et petit à petit sa nature sauvage continuait à remonter. Elle continuait tranquillement à resserrer ses anneaux autour de la pauvre petite Alice avant de lui lécher doucement le cou. Il était désormais temps de la prendre comme le réclamait sa petite esclave. Elle caressera légèrement le bassin de la jeune femme de sa longue queue avant de la plonger dans l'intimité de la pauvre petite Alice.
Elle eut un sourire avant d'aller embrasser la petite Alice. Elle imposa lentement sa langue dans la bouche de la petite princesse, sa longue langue entourant celle de la petite humaine l'obligeant à l'accepter dans sa bouche.
Désormais sa petite esclave était à elle. Il n'y avait plus rien que le plaisir dans l'esprit de la petite Lamia. Et cela passait par la soumission de cette pauvre petite Alice. Pour l'instant, il ne s'agissait que de quelques pénétrations et de pauvre petites caresses mais bientôt sa petite esclave serait entièrement soumise à ses propres désirs.
Elle continua jusqu'à la limite de la pauvre petites princesses, se contentant pour l'instant de la pénétrer de sa longue queue et de la serrer dans ses anneaux. Mais elle avait d autre plan pour celle ci et elle se rapprochait lentement du lit. Elle projeta ensuite alice sur celui ci sans douceur lui disant doucement.
-IL est dommage que je sois trop jeune pour te faire porter des œufs... Je me contenterais donc de me servir de toi...
-
Serrée dans la queue caudale de la Lamia, Alice ne pouvait rien faire d’autre que subir... Subir. C’était exactement ça, avec une Lamia. Une belle Lamia, autoritaire et dominatrice comme il le fallait. C’était tout ce qu’Alice souhaitait et voulait, et, tandis que la femme continuait à la prendre, Alice sentait sa queue s’enfoncer lentement en elle, le bout de sa longue queue caudale se perdant dans toute sa grosse queue pour s’immiscer dans son intimité.
« Haaaa... ! »
Elle se tortilla lentement sur place, ses doigts se crispant sur les écailles chaudes de la Lamia. Cette créature reptilienne était terrible, et Alice mouillait follement, s’admettant volontiers vaincue. Elle était sa soumise, et, en ce moment, cette situation lui plaisait énormément. C’était tout ce qu’elle voulait, tout simplement... Ça, et rien de plus. Pour l’heure, Alice voulait coucher avec cette femme, la sentir contre elle, la sentir lui faire l’amour, la prendre longuement, lui offrir un plaisir fort et intense, qui montait graduellement. On pouvait entendre la petite Princesse couiner au contact de la longue langue reptilienne de Naya, qui remuait contre la sienne, filant dans sa bouche, provoquant de redoutables frissons de plaisir dans tout son corps. Oui, Alice frissonnait. Sous l’effet du bonheur et de l’excitation, elle tremblait sur place, sentant Naya continuer à venir en elle, dans sa bouche, et dans son sexe.
*C’est bon, c’est si bon, haaa...*
Oui, elle n’arrivait pas à s’en lasser ! Elle sentait le plaisir croître, approchant du point de rupture... Mais Naya ne lui offrit pas le plaisir de la faire jouir, et la balança sur le lit. Alice rebondit sur ce dernier, et heurta le mur, clignant des yeux, en revenant à elle. Naya parla alors de la féconder avec des œufs... Ce qui, instinctivement, amena Alice à se toucher le ventre, le caressant lentement.
« Vous... Mon... Mon corps est à vous, Naya... Comme vous le savez... »
Sur ce corps, elle sentait encore la caresse de la longue queue reptilienne de la Lamia, provoquant en elle moult frissons.
Oui, Alice était à elle... C’était tout ce qu’elle voulait, et elle regardait Naya avec une lueur de désir forte dans les yeux.
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La lamia s’avance doucement vers le corps de la jeune femme. Celle ci était à elle et il semblait qu'elle ait envie de porter ses œufs. Si elle était trop jeune pour être viable, cela ne changeait pas le fait que dans l'esprit de la lamia la chose à faire était de la prendre ici et maintenant et de lui faire porter ses œufs.
Elle se mit finalement sur le lit, caressant lentement avec la pauvre alice, jouant avec son intimité, la caressant lentement. Elle savait qu'elle était prête pour la suite, mais cela ne l’empêchait pas de jouer avec la pauvre petite Alice dans un jeu du chat et de la sourie jouissif.
Au final, la lamia finit par sortir son appareil reproducteur, deux pénis reptilien assez large pour pouvoir y faire passer des œufs, ceci étaient aussi large que celui d'un minotaure mais heureusement pour la petite alice la nature était bien faite.
Naya planta ses crocs dans le cou de la jeune femme, y déversant une grande quantité de venin. Celui ci agirait comme un profond anesthésiant, un aphrodisiaque puissant. Ainsi, la petite humaine serait assez lubrifié et ne souffrirait pas de la douleur.
Elle eut un petit sourire, caressant lentement la joue d'alice, la serrant dans ses anneaux afin de se mettre en position.
-Bien, que tu sois prête ou pas, il est temps pour moi de prendre mon dut et de te faire porter mes œufs.
Elle s’enfonça ensuite dans le vagin de la demoiselle, laissant son autre membre à l'air libre. D'habitude les lamias prenait leur proies des deux cotés, les maintenant en l'air via leur queue mais elle était encore trop jeune pour cela et sa queue n'était pas assez puissante pour la soulever sans risque.
Elle se contenterait donc de la prendre comme cela, faisant des mouvements de va et viens dans l'intimité des plus humides de la demoiselle et au bout d'un certain temps fini par y placer un œuf. Celui ci serait bientôt suivit de nombreux autres, stériles bien sur mais qu'importe. La lamia passait un bon moment, cet appareil de ponte était sensible après tout et celui ci était à sa place dans une chaude cavité.
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Alice se trouvait avec la belle Naya, enroulée dans sa queue, prostrée sur son lit. Haletant et gémissant, la belle tête blonde avait tout le corps en feu. Elle savait ce qui allait arriver, elle connaissait la suite, et elle anticipait ce moment, ce qui, concrètement, se traduisait par une forte excitation corporelle. Impossible, en ce moment, de nier ce qu’elle ressentait, tant cette émotion était forte. Son sexe était déjà humide, et elle sentit des bosses se pointer contre son corps. La Princesse gémit en se mordillant les lèvres, sentant la Lamia venir... Elle venait de pousser un sexe, mais, curieusement, Alice sentait bien deuxbosses se frotter contre ses cuisses. De belles verges reptiliennes, comme Sakura aimait en faire quand elle prenait sa forme de Lamia. Alice sentit des frissons supplémentaires la traverser, puis le visage de Naya se rapprocha du sien... Et elle alla mordre son cou.
« Haaa... ! »
La Princesse eut un peu mal sur le coup, car sentir des crochets s’enfoncer dans sa chair n’était jamais agréable, mais, assez rapidement, elle sentit son corps se mettre en ébullition. Il tremblait sur place, et elle ferma les yeux à plusieurs reprises, remuant lentement ses jambes. Elle ignorait en quoi le venin de Naya consistait, mais il avait augmenté sa libido, la rendant encore plus assoiffée. Alice se tortillait davantage contre cette belle grosse queue, ses mains se crispant contre les épaules de la femme. De longs soupirs filaient de sa gorge, alors que tout son corps ne souhaitait maintenant plus qu’une chose : se faire prendre.
C’est donc avec un profond plaisir qu’Alice accepta le sexe de Naya en elle. Un cri s’échappa de ses lèvres, et elle sentit la queue reptilienne se resserrer contre son corps, avant de se détendre, et de se crisper à nouveau, au fur et à mesure des mouvements de pénétration de la Lamia. Une véritable prédatrice sexuelle s’était abattue sur le corps d’Alice, devenue sa prisonnière. À elle de suivre, car elle n’avait aucune autre option. Mouillant abondamment, la Princesse, yeux clos, savourait ce plaisir, tout en entendant Naya dire qu’elle allait lui mettre des œufs dans le ventre...
*Je croyais qu’elle... Était trop jeune pour en faire...*
Alice aurait bien voulu se renseigner, mais elle était incapable de poser la moindre question, vu sa situation actuelle. Son corps frissonnait et tremblait, et le plaisir déferlait totalement en elle, la recouvrant. C’était une pénétration dure et forte. Même si Naya était jeune, son sexe, lui, était bien bâti, et s’enfonçait dans les tréfonds de son antre intime, la faisant couiner quand elle le sentait taper en elle, déformant ses parois internes. La « pute du harem » restait fidèle à ce statut officieux. Ses mains remontèrent pour caresser la nuque de la femme, et, pendant quelques minutes, la Lamia continua ainsi à la pénétrer, jusqu’à s’abandonner en elle. Alice avait déjà joui à plusieurs reprises, tant elle était excitée par ce qu’elle vivait. Une Lamia ! Une Lamia qui l’enroulait dans sa queue, dans sa belle queue ! Pour elle, c’était tout simplement magique, et elle adorait sentir ce contact reptilien, chaud et tendre, collant et gluant.
« Haaaaaa... Ouuuiiii !! »
La Princesse se laissait aller, alors que la Lamia continuait à jouir en elle, lançant des embryons d’œuf qui allaient pousser dans son ventre. Quand Alice les sentait venir, ses ongles s’enfonçaient dans la chair de Naya, tout son corps se crispant alors qu’elle gémissait longuement, en se tortillant encore, sentant toujours son corps être emprisonné dans cette magnifique queue.
Oui, c’était magnifique !
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La réalité était plutôt que la lamia était trop jeune pour donner des œufs viables. Certes, elle pouvait produire des œufs mais ceux ci étaient infertiles, elle ne risquait donc pas de donner des petits mais cela n’empêchait pas l'instinct de la lamia de la prendre avec toute sa force.
Une fois son instinct assouvie, la petite Naya s'enroula lentement autour du corps de la petite alice, avant de plonger sa langue dans la bouche de celle ci. Un baiser des plus passionnée plus tard, elle sourit tendrement avant de caresser le petite ventre bombée d'alice, lui disant doucement.
-Je dois maintenant te garder bien au chaud pour prendre soin de mes œufs.
Hors pour cela, il n'y avait rien de mieux que de la prendre dans son étreinte, la gardant comme cela durant de multiple heures et la caresser durant tout ce temps en attendant que l'aphrodisiaque finisse son effet. Une fois les effets de celui ci dissipé la lamia lui caressa lentement le ventre en lui disant tendrement.
-Les œufs que tu porte sont stériles, tu ne risque pas de donner naissance à de petite lamia. Du moins pour l'instant. Mais tu devras tout de même les porter durant deux semaines.
Naya lui caressa lentement les jambes de sa queue, souriant doucement avant de lui mordiller doucement le cou.
Je te laisse partir désormais. Mais reviens me voir de temps en temps. Je t'aime bien et je compte bien faire de toi ma première esclave. Cela est un honneur mais je laisse maman t'apprendre ce que tu dois savoir, il est l'heure pour moi de prendre mon bain de soleil.
Et la petite Lamia décida de s'en aller, laissant lentement glisser son corps en directement de la sortie. Vu a vitesse, il était probable que cette pauvre petite chose soit en manque chaleur et la meilleur chose à faire dans ce cas n'était que de prendre le soleil. Elle terminera par une petite tape sur les fesses de sa nouvelle esclave.
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De la part de la Lamia, Alice eut droit à un traitement magnifique. Après l’avoir pénétré et enfanté, elle continua à conserver le corps de la petite tête blonde contre sa queue, chaude et tendre, et l’embrassa longuement, longuement et goulûment. Alice frissonnait de désir, et répondit fort volontiers à ce baiser, ses mains caressant le dos de la Lamia, se crispant sur sa peau tendre et attirante. Son corps vint ainsi à se blottir contre le sien, et elle ouvrait bien la bouche, afin de sentir la langue de la femme se perdre en elle, s’enfonçant dans sa gorge, l’amenant à se courber un peu en gémissant. Naya était comme toutes les Lamias, étouffante et écrasante, étranglant sa proie sous sa peau et sous ses attributs reptiliens. Alice ne pouvait qu’aimer ça, et, après ce long baiser, Naya lui expliqua qu’Alice allait devoir rester au chaud, afin que les œufs plantés en elle mûrissent bien. Hochant la tête en rougissant, Alice se blottit contre le corps de Naya, et posa sa tête dans le creux de ses seins. La queue continuait à remuer contre elle, serrant parfois fort, afin que la Princesse puisse avoir chaud. Elle entreprit bien de se reposer, mais, pour être honnête, même avec un coussin composé de magnifiques seins, et une couverture sensuelle et chaude, dormir n’était pas simple. Elle sentait la main de Naya caresser ses cheveux, la faisant frissonner. Comme l’idée était de la garder au chaud, Naya la serrait fort dans sa queue, remontant jusqu’à son ventre, ventre dans lequel deux œufs étaient en train de se former.
Alice était donc enceinte… Et, même si les œufs ne donneraient pas la vie, ça ne semblait nullement gêner Naya, Alice ayant plutôt le rôle de prototype que de mère-porteuse… Pour l’heure, en tout cas. Elle savait que les règles en matière de succession à Sylvandell prévoyaient un seul enfant unique, afin de préserver la pureté du sang, mais, ici, c’était différent… Naya plantait en elle des œufs, et c’était quelque chose de merveilleux. Alice ne pouvait guère caresser son ventre, car tout son corps était plaqué contre celui de la Lamia, et elle subissait les assauts tendres et fermes de cette dernière. Yeux clos, elle ne dormit pas vraiment pendant ces quelques heures, s’assoupissant parfois, avant que Naya, espiègle, ne la réveille en crispant fort sa queue, faisant alors couiner Alice, qui sentait son corps se comprimer… Et, de toute façon, elle était, de base, trop excitée pour réussir à dormir. Naya s’amusait à la faire jouir en frottant son corps contre le sien, grâce à sa queue et à ses écailles. Elle palpait ses fesses, et, en faisant bouger sa queue, son corps frottait celui d’Alice, amenant cette dernière à mouiller abondamment, et donc à jouir.
Ce fut donc une longue nuit, guère reposante, où Alice, toute nue, gémissait et soupirait, le corps aplati contre Naya. Elle était bel et bien l’esclave de cette Lamia, et Naya le lui fit bien comprendre, avant de la libérer, et de lui dire de ne pas hésiter à revenir. Alice, qui en profita pour se caresser le ventre, sourit lentement, et hocha la tête.
« O-Oui… Je ne demande qu’à revenir, Naya… Vous êtes ma Maîtresse, maintenant… »
Son corps était relativement humide et chaud, et Naya fila rapidement, laissant Alice seule. Cette dernière s’assit sur le lit, et caressa son ventre. Elle n’était pas du tout fatiguée, alors qu’elle avait passé toute la nuit dans cette queue chaude… Elle avait agi comme un cocon, lui permettant de se reposer sans même qu’elle dorme… Sa main s’attarda un peu sur son cou, et elle se pinça les lèvres en sentant les deux trous, témoignant de la présence de crochets, là où Naya l’avait mordue pour répandre son venin.
La jeune Princesse finit par sortir de la chambre, et marcha dans le harem, toute nue, n’ayant plus ses vêtements. Après le passage de Naya, ils n’étaient plus trop utilisables, et, dans son ventre, elle pouvait presque sentir les œufs. Un peu déboussolée, elle pouvait voir toutes les portes closes, jusqu’à voir une porte entrouverte. Se pinçant les lèvres, et espérant surtout pouvoir y trouver une tenue, Alice s’approcha, et toqua à cette dernière…
La chambre en question était celle d’une femme qu’elle avait eu l’occasion de voir lors de la cérémonie de mariage : Lyrinda (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1117092)…
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L'elfe noire était dans sa chambre malgré sa vue défaillante, il ne lui fallut que peu de temps pour se rendre compte de la présence de la petite princesse. La drow était une fille de l'ombre et elle en profita s'inflitrant dans le dos de la petite princesse avant de lui mordre lentement le cou a l'endroit ou la lamia l'avait déjà mordu. Elle eut un petit sourire lui glissant doucement dans l'oreille.
-Tu n'est pas ici depuis trois jours et te voilà déjà enceinte. C'est bien la preuve que tu es une sallope de premier choix Alice. Une catin comme on n'en fait plus.
Elle l'embrassa avant de lui pincer les seins, mêlant douleur et plaisir. Oui, elle était une drow et malgré qu'elle se soit asagit le sadisme faisait partie d'elle et elle comptait bien se détendre un peu sur la pauvre petite Alice.
-Mais rassure toi ma pute. Je vais te purifier dans la douleur.
Elle eut un petit sourire, lui tira les cheveux pour la tirer vers le sol, la ou était sa place. Une fois ceci fait, la drow lui dit clairement.
-Tu va me lécher les bottes, puis les pieds et si j'estime que tu as bien fait ton travail petite pute. Je songerais a te purifier. Au fouet ou a la cravache qui sait... pourtant je te jure que tu va aimer cela petite pute.. Car au fond tu recherche cela, la douleur, le plaisir et surtout la soumission...
Et l'elfe posa sa botte sur la bouche d'Alice, attendant simplement que celle ci se décide à la lécher. Oui, cela ne prendrait pas longtemps... 3,2,1..
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La chambre semblait déserte, et Alice s’avança un peu, nerveuse. Les courants d’air dans le couloir la faisaient frissonner, et, comme il n’y avait personne, elle se disait que c’était peut-être un bon endroit pour dormir. Ce harem était si grand qu’il devait nécessairement y avoir de nombreuses chambres vides... Mais, à voir les bougies brûlant dans les coins, les livres, le lit propre, Alice se demanda si cet endroit était vraiment vide, car elle avait l’intime conviction qu’il y avait quelqu’un qui l’observait dans son dos... Alors qu’elle envisageait de repartir, un courant d’air arriva dans son dos, et elle sentit des dents se planter sur son cou.
« Hîîîî !! »
La Princesse sursauta, et comprit qu’elle avait débarqué dans la chambre de Lyrinda, cette redoutable Drow, qui semblait appartenir à la branche dure des amantes de Tinuviel. De fait, voir une Drow être l’une des multiples épouses d’une elfe devait être assez difficile pour une Drow, compte tenu de l’hostilité légendaire entre les deux grandes catégories d’elfes... Alors, il n’était pas aussi étonnant que Lyrinda soit si violente... Alice eut droit à un baiser appuyé et fort, et gémit quand les mains fermes, mais non moins tendres, de Lyrinda empoignèrent ses seins. Elle poussa ainsi un cri silencieux, et Lyrinda reprit ensuite. Elle avait une voix ferme, proférant des injures, injures qui, loin de gêner Alice, la firent rougir de plaisir. Dans cet harem, elle n’était plus vraiment la même. La Princesse de Sylvandell laissait place à une toute autre femme. Alice allait souffrir... Et, à peine eut-elle el temps de la réaliser que Lyrinda la tira par les cheveux, et l’envoya au sol.
En soupirant, Alice plia les genoux, impressionnée par la force de cette femme, et se retrouva le long de ses longues jambes. Les Drow étaient réellement des femmes magnifiques, et elle se mordilla les lèvres, en entendant ensuite les ordres de la femme. De fait, Alice était pour l’heure tombée presque exclusivement sur des dominatrices, et, dans son ventre, elle sentait les œufs de la Lamia. Comment Lyrinda l’avait-elle su ? Les informations semblaient circuler tellement vite ici... Lyrinda voulait la « purifier » en la battant, ce qui était un curieux paradoxe... Mais la Princesse n’en était plus à ça près, et elle déglutit, son visage contre les jambes de la femme.
Lyrinda avait une botte blanche et une jambe nue, un curieux mélange, là aussi, peut-être pour avoir un contraste entre blanc et noir... Elle leva sa jambe, et Alice n’attendit guère pour déposer des baisers sur le talon de cette femme. Quelques baisers maladroits et rapides, qui témoignaient de toute la nervosité que la jeune femme ressentait en ce moment. Elle déposa donc quelques baisers, puis avança ensuite sa langue, venant lécher cette belle botte, sur son pourtour, remuant sa tête de haut en bas, yeux clos. Elle gémissait silencieusement, serrant les poings.
« Hunn-huummm... »
Alice remuait la tête, et entreprenait progressivement de lécher, oubliant peu à peu les baisers, en s’absorbant délicieusement dans le désir...
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Pour comprendre la drow, il fallait juste chercher un peu dans sa religion. Pour les drow, la douleur, est une bonne chose. Leur société étant basée sur les rapports en dominant et dominée et les forts se devaient d'endurcir les faibles. Hors la petite princesse était ici une dominée. Elfe eut un petit sourire en la voyant, enfin facon de parler, ainsi à ses pieds. Elle était une larve et remplissait son rôle d'esclave comme elle le devait.
L'elfe noire attendit donc tranquillement que Alice finisse de lécher sa botte avant de lui présenter son pied. Elle le passa doucement sur le visage de la petite princesse avant de lui dire.
-Bien, il est temps pour toi de me lécher le pieds catin. Après, je vais te donner un peu de ta pénitence.
La petite princesse s'occupait bien de la tache qui lui était confiée et l'elfe satisfaite du traitement lui caressa lentement la joue avec sa botte en lui disant.
Bien, donne moi ma cravache sur la commode près de mon lit et montre moi tes fesses.
La drow était peu être aveugle mais elle avait pleinement conscience de son environnement. Elle saurait donc sans problème si la princesse tentait de la duper et sa punition n'en serait que plus dure. Toutefois, pour l'instant, elle se contentait d'attendre que la princesse se décide à lui donner cette cravache. Elle réfléchit quelques instant, en réfléchissant à sa situation. Elle était dure avec la princesse, bien sur mais au fond c'était sa nature. Elle était piquante comme une rose...
-Ca vient cette cravache chienne, ou je dois te fouetter le cul pour que tu aille plus vite...
-
Alice avait lu des livres sur les Drow, et vu des mémoires de voyageur sur eux. C’était un peuple assez dur, qui était souvent considéré comme des ennemis, notamment à Nexus. Au sein de l’Empire d’Ashnard, les Drow agissaient parfois en tant qu’informateurs. Ils venaient de ce que certains appelaient l’Underworld, soit le monde souterrain, le monde des grottes et des grandes cavernes. Il s’agissait d’elfes noirs, opposés aux elfes sylvestres. Que Tinuviel ait une Drow sous son commandement était donc une grande surprise, et Alice aurait été curieuse de savoir comment Lyrinda, cette belle et sensuelle Drow, avait fait pour se retrouver mariée à Tinuviel... Sans aucun doute une autre question à poser à sa nouvelle femme quand Alice la reverrait. En tout cas, l’hypothèse selon laquelle Lyrinda s’était mariée à Tinuviel pour renier ses origines était fausse, vu la manière dont elle la traitait. Les chroniques sexuelles (qu’Alice avait pu se procurer grâce à Mélinda) sur les Drow disaient tous qu’ils étaient un peuple très dominateur, où le beau sexe était supérieur au sexe masculin. Il existait des Drow mâles, mais ce peuple était un matriarcat assez prononcé, les membres du culte étant surtout des prêtresses, par exemple.
Alice léchait donc le pied de Lyrinda avec passion. Elle était soumise ici, et c’était un rôle qu’elle admettait tout à fait, car il correspondait avec ses aspirations profondes, avec ses désirs et ses envies. La Princesse léchait donc ce beau pied. La peau de Lyrinda était très douce, et, en ce moment, la Princesse était bien incapable de se dire que Lyrinda était aveugle. Sa langue filait entre les orteils de Lyrinda, et elle suçait parfois son gros orteil, avant de lécher le haut de son pied. Il était doux, très tendre, et elle l’embrassait aussi. Difficile de se dire que, en ce moment, elle était bien une Princesse... Elle léchait le pied de Lyrinda, l’embrassait, quand cette dernière lui donna de nouveaux ordres. Pour cela, elle caressa sa tête avec sa botte, et Alice déglutit.
*Une cravache...*
Alice se mordilla les lèvres, et se redressa un peu. Elle avisa le lit, puis s’avança vers ce dernier.
« O-Oui, Maîtresse... » acquiesça-t-elle.
La jeune femme s’approcha du lit, et trouva la commode... Puis Lyrinda ne tarda pas à s’impatienter, faisant sursauter Alice, qui se dépêcha d’ouvrir les tiroirs, pour trouver l’objet tant recherché. D’une main tremblante, elle s’empressa de le prendre, le souleva, l’observant silencieusement, puis s’humecta les lèvres, et se retourna vers Lyrinda.
« Le voilà... »
Elle le lui tendit, puis se retourna, et s’appuya contre le rebord du lit, arquant son corps vers l’arrière, mettant ainsi ses fesses en valeur... Avant de se mordiller les lèvres.
-
L'elfe noire était peut être aveugle mais cela lui permettait d'avoir ses autres sens plus dévellopés que la moyene. Ainsi, la petite punition d'alice lui provoquait des sensations... Décuplée. Mais elle n'était pas ici pour le plaisir malheureusement. Non, elle était là pour punir cette salope, pour lui montrer ou était sa place et pour la mettre plus bas que terre. Toutefois... Elle n'aurait pas besoin de faire beaucoup d'effort pour cela. Après tout, la princesse était déjà une bonne soumise. Elle n'avait donc pas besoin de se faire plus torturée que cela.
-Le sang coule pour effacer nos fautes. La douleur pénètre nos âmes pour nous purifier. Je t'offre ces offrandes toi mère araignée...
Elle prit ensuite la cravache avant de mettre un violent coup sur les fesses d'alice lui disant tranquillement.
-Je vais te donner une vingtaine de coup, remercie moi pour chacun d'entre eux. Remercie ta maîtresse de guérir la pute que tu es de ses déviances...
Il était claire que plus qu'une simple punition, il s'agissait pour l'elfe noire d'un véritable rituel. Mais pour en comprendre le sens, il fallait avoir quelques notions en mythologie et en religion drow. Autant dire qu'Alice risquait d avoir de nouvelle question à poser à l'elfe rouge.
La drow quand à elle, continuait à donner des coups attendant que la pauvre esclave du jour continue à compter chacun d'entre eux. Une fois ceci fait, elle eut un petit sourire avant d'aller chercher un baume qu'elle appliqua sur les fesses. A l'odeur il ne s'agissait pas d'une simple pommade pour soigner les fesses de la demoiselle. Oui, il s'agissait d'une vrai cérémonie.
-
Des Drow et de leur culture, Alice ne savait pas grand-chose. Les Drow constituaient un peuple à part, et, de ce qu’elle savait, la plupart étaient alliés à l’Empire d’Ashnard, et leur servaient notamment d’informateurs. Ils faisaient partie des meilleurs espions possibles, à concurrence de certaines espèces vampiriques spécialisées dans l’infiltration comme les Nosferatu. Elle savait que les Drow constituaient une société matriarcale et très religieuse, et où l’une des divinités suprêmes était Lloth, la Déesse-araignée. Elle savait aussi que les Drow vivaient sous terre, dans un monde souterrain, qu’on appelait parfois l’Outremonde, l’Underworld, désignant des grottes-mondes, si vastes et si grandes qu’elles abritaient des villes entières. Autant dire que de tels endroits étaient effrayants pour les Sylvandins, un peuple de montagnards aimant avoir le ciel au-dessus de leur tête. Mais, mis à part cela, il fallait bien dire que les connaissances d’Alice étaient pour l’heure très réduites. Elle était naturellement curieuse de savoir comment sa Maîtresse avait réussi à s’accaparer les services d’une Drow… Mais, pour l’heure, elle avait d’autres problèmes. Elle couinait et gémissait, en ayant bien conscience que Lyrinda allait la faire souffrir. Et, elle, Alice, trouvait qu’il était assez injuste qu’elle soit aveugle quand on voyait à quel point elle était belle.
Conservant sa cravache, Lyrinda mit fin à ses réflexions en la fessant. Alice couina, et rougit. Lyrinda venait de prier, et lui demanda, à chacun des coups de cravache, de la remercier, et de remercier la Maîtresse de la « guérir ». Alice n’y comprenait pas grand-chose, mais elle n’allait pas faire la fine bouche… Pour ainsi dire.
« D’a… D’accord… »
Mine de rien, et elle n’allait pas le dire, elle trouvait le procédé similaire à ce que sa Maîtresse lui avait fait, avec ce fouet enflammé, quand elle avait dû compter chacun des coups. Curieux… Deux espèces différentes, mais des pratiques un peu similaires. Comme quoi, les contraires ont parfois tendance à se ressembler plus qu’on ne le croit.
« Aaaah !! »
Le premier coup venait de s’abattre, et Alice se pinça les lèvres, et lâcha donc ce que Lyrinda voulait qu’elle lâche :
« Me… Merci, Maîtresse !! Pu… Purifiez la salope que je suis de ses déviances !! »
Remercier quelqu’un pour vous battre… Cette Lyrinda était vraiment bizarre, mais Alice avait conscience que ce n’était pas qu’un jeu sexuel, et que, d’une certaine manière, il y avait quelque chose d’important ici pour Lyrinda, et Alice le respectait. Pendant chacun des coups, elle couina donc, et des débrouilla pour la remercier… Et, plus elle la remerciait, et plus elle mouillait, sa mouille finissant progressivement par tâcher le sol…
« Haaa… Haaaa ! »
-
Les drows étaient un peuple vénérant la force, la cruauté ainsi que la douleur. Ainsi par ce rituel, l'elfe noir continuait à honoré sa déesse. Elle avait beau être privée de son foyait, elle restait tout même une servante de Lloth.
Voila dans quoi Alice était embarquée, sans doute bien malgré elle. Mais cela n'empechait pas l'elfe noire de lui faire sentir la marque du fouet. Ceci dura une bonne dizaine de minutes, les coups pleuvant sur le corps d’Alice allant parfois jusqu'au sang. Puis une fois le rituel fini, l'elfe noire appliqua un baume cicatrisant sur les plaies de la jeune femme. D'ici dix a quinze minutes, elle n'aurait plus aucune trace sur le corps de ce qui venait de se passer.
L'elfe rouge sourit légèrement avant de regarder alice est de lui dire simplement.
-Lloth est une déesse cruelle mais tu as sa bénédiction. Bien, si tu veux rester ici et te reposer je te l'autorise. Sinon... tu peux essayer d'aller retrouver cette salope de tinuviel... La connaissant, cette connasse doit se trouver dans sa chambre entrain de sauter une de ses poufs à fourrure.
La drow s'assit tranquillement sur son lit attendant que la jeune femme fasse à choix sur la suite des événements. Peut être que la princesse avait des questions sur ce harem, sur ce qu'elle venait de vivre. Ses penchant sadiques étant pour l'instant calmée, elle pourrait sans doute avoir une véritable discutions avec la petite princesse.
Elle caressa lentement sa jolie petite tête blonde bien que pour l’elfe, la princesse était bien différente. Elle avait beau sentir son odeur, la douceur de sa peau, la finesses de ses traits, elle ne pouvait pas s’empêcher de l'imaginer légèrement différente, brune à la peau légèrement halée. Car oui, la drow avait aussi ses préférences et l’apparence de la princesse était modifiée par celle ci. Elle ne pouvait cependant pas s’empêcher que celle ci aurait fait une magnifique esclave si jamais elle avait vécut chez les drows... C'était si regrettable de lui confier un royaume.
-
On l’avait fouetté, humilié, insulté... Chaque heure qui passe ici était une humiliation quotidienne, une manière de dénigrer son statut de Princesse, d’en faire une sorte de prostituée... Et c’était bien ce qu’elle était ici : un défouloir sexuel. Avec Lyrinda, cette humiliation atteignait un grade supplémentaire, et elle venait donc de fouetter Alice, la laissant se reposer à ses pieds. Visiblement, la Drow était rassasiée pour le moment, et lui expliqua que Lloth, la Déesse-araignée des Drow, était une Déesse cruelle, mais qu’elle avait réussi à satisfaire Lyrinda. Néanmoins, quelque chose interpella Alice, ce qui l’amena à se relever lentement. La tête blonde avait bien noté que la Drow était aveugle, mais ce n’était pas ça qui, en l’état actuel, l’interloquait. Sa cécité était triste pour une créature aussi belle, mais c’était autre chose qui la travaillait.
Le cul en feu, Alice alla s’asseoir sur le lit, à proximité de Lyrinda, et finit par poser une main sur l’une de ses cuisses. Sa peau noire était chaude, tendre, douce, très agréable... Et, de manière générale, la femme avait un corps magnifique, une beauté fatale.
« Je... Je te remercie, Lyrinda, et... J’accepte de me reposer avec toi cette nuit... »
Elle ne refusait pas d’aller voir Tinuviel parce qu’elle ne l’était pas. Après tout, les deux femmes étaient mariées, maintenant, mais Alice estimait qu’elle arriverait davantage à se renseigner sur son épouse en se renseignant sur les autres concubines de Tinuviel. Et cette Drow l’intriguait.
« Pardonne-moi de te poser cette question, Lyrinda, mais... Tu n’as pas l’air d’apprécier énormément Tinuviel. »
C’était compréhensible. Les Drow et les elfes sylvestres étaient un peu comme le jour et la nuit. Les Drow vivaient sous terre, les autres en forêt, et, depuis des éons, ils s’affrontaient mutuellement, à tel point que, quand un royaume elfique s’alliait avec Nexus, l’une des cités drows de l’Outremonde venaient s’allier avec Ashnard. Alors, partant de là, la question d’Alice, qui traversa ses lèvres, était tout à fait prévisible :
« Alors, je me demandais... Pourquoi es-tu ici ? »
Alice espérait bien ne pas dépasser les bornes, mais, comme Lyrinda l’avait invité à rester... Et bien, elle tentait sa chance, tant qu’elle en avait encore.
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L'elfe noire eut un léger sourire en écoutant la jeune femme avant de lui caresser la tête comme on l'aurait fait avec un chien. A l'heure actuelle la petite princesse n'était qu'un animale de compagnie pour la drow mais cela ne l'empechait pas d avoir une certaine forme d affection pour elle, même si elle préférait se couper la langue plutôt que de l'avouer.
Elle soupira légèrement avant de soupire, cette question était légitime mais pourtant assez simple... Ou pourrait elle aller. Elle était une banie, une paria même chez les drows et une aveugle était un cible bien facile sur terra. Certes, elle avait ses poisons mais une fois ses quelques fioles épuisées que lui resteraient il ?
-Hum, simplement parce que je n'ai nul part ou aller. Je suis une bannie et peu de peuple accepterai une elfe noire. Ceux qui sont assez fou pour le faire se mettrait à dos mon peuple...
Elle continua à caresser doucement le crane de la princesse soupirant doucement.
-Ce n'est pas que je hais Tinuviel... Juste... Enfin, je ne peux pas lui dire que je lui suis reconnaissante de m'avoir accueillir, il en va de ma fierté. Mais finalement je ne suis pas trop mal ici.
L'elfe noire eut un léger sourire avant de lui dire.
-Bien, si ta curiosité est satisfaite, il est temps d aller dormir. Tu as des responsabilités maintenant petite pute et demain tu auras sans doute bien des chattes à lécher. Alors il faut mieux pour toi que tu sois en forme. Ou alors tu as d'autres question à poser à ta déesse ?
L'elfe noire eut un petit sourire, oui c'était l'un des avantages à être dans ce harem, elle avait le droit de jouer, de se faire sertir, bref de vivre comme autrefois comme à l'époque ou elle était encore une prêtresse de Lloth.
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Alice n’avait qu’une connaissance modérée des Drow, et fut donc surprise d’apprendre que Lyrinda avait été bannie. Qu’est-ce qui pouvait justifier un bannissement d’une Drow de sa communauté, surtout une femme qui semblait être une prêtresse ? La question lui brûlait les lèvres, mais elle n’avait pas envie d’indisposer Lyrinda. Cette dernière restait une Drow, des elfes fiers, et l’idée de dépendre de la générosité d’une elfe rouge devait lui être insupportable. De ce que la jeune Princesse comprit, alors que la Drow caressait ses cheveux, elle était venue ici plus par nécessité que par envie, parce qu’elle n’avait aucun autre endroit où aller, et que ce harem lui fournissait un gîte, un couvert, et de la protection. Alice pouvait tout à fait comprendre cela. Elle était dans le harem depuis quelques jours déjà, et elle devait bien admettre que c’était un endroit particulièrement agréable. La tête blonde sentait bien qu’ne partir serait difficile... Et, tandis que Lyrinda parlait, Alice avait posé une main sur ses belles cuisses, sa tête près de son épaule, confirmant ainsi son rôle de soumise.
Lyrinda lui avoua donc qu’elle n’arrivait pas à dire à Tinuviel qu’elle l’aimait, au nom de sa fierté, ce qui la fit lentement sourire. La fierté n’était pas vraiment un élément qui définissait Alice, et sa situation actuelle le prouvait. La Princesse héritière de Sylvandell avait volontairement accepté de devenir la prostituée du harem, en se mariant avec Tinuviel Lastrim. Néanmoins, elle reconnaissait volontiers que l’elfe rouge avait des arguments très convaincants, et c’était encore plus vrai, quand on voyait toutes les personnes d’horizon différente qui composaient sa population personnelle.
*Je pourrais presque être jalouse d’elle...*
La Drow indiqua ensuite qu’il était temps pour elle de dormir, car elle devait reprendre des forces. Suite à cette phrase, la main d’Alice se posa machinalement sur son ventre. Les œufs de Naya continuaient à être en elle, et elle se demandait quand elle accoucherait... Et de quoi elle accoucherait. Là encore, Alicde n’était pas une spécialiste des Lamias et de leur cycle de reproduction, et de la durée d’une incubation. Néanmoins, elle releva la tête, et se blottit un peu contre Lyrinda, venant doucement l’embrasser dans le cou, leurs seins venant se frotter lentement.
« J’ai toujours été une femme très curieuse sur le reste du monde, Lyrinda. J’ai passé les quinze années de ma vie dans ma tour, sans avoir le droit d’en sortir longtemps. Je pourrais te poser des questions sur Lloth, ton culte, et ton peuple pendant toute la nuit. »
Elle redressa un peu son visage, posant une main sur son épaule, et alla ainsi se blottir davantage contre Lyrinda, ramenant ses jambes pour les faire passer à droite et à gauche de son corps.
« Sache que, malgré les apparences et mon corps fragile, c’est le sang du Dragon qui coule dans mes veines... Je suis plus endurante que j’en ai l’air, Lyrinda... Et je comprends que tu puisses avoir du mal à avouer ta situation... Mais, si cela peut consoler ta fierté, j’adore l’idée d’être ta petite pute... »
Alice se pencha alors vers elle, et l’embrassa doucement sur les lèvres. Elle ne mentait pas en parlant du sang du Dragon. Ce sang particulier faisait qu’elle réagissait de manière un peu particulière, notamment au niveau hormonal... Mais ça, les femmes de ce harem avaient déjà probablement dû s’en rendre compte.
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La drow venait de souffrir du syndrome des confidences sur l'oreiller. Toutefois elle ne regrettait rien. De toute manière elle savait bien que malgré tout ce qu'elle pouvait dire, tout le monde au harem était au courant de son petit stratagème. Toutefois la princesse venait de se comporter comme si elle avait oublier l'essentielle des règles.
La drow se venger sur le fessier de la pauvre petite princesse, lui donnant une tape dont elle se souviendrait et dont le bruit avait sans doute traversé tout le harem. Elle regarda la petite blonde lui lui mordant légèrement l'oreille en lui disant.
-Je ne crois pas t'avoir autorisée a me toucher catin.. Un conseil, reste a ta place.Sinon ton délicieux petit cul risque de ne plus pouvoir s’asseoir pendant un mois.
Une fois la discipline remise en place l'elfe noire eut un petit sourire avant de l'embrasser tendrement. Pourquoi ? Parce qu'elle voulait remercier Alice. A sa façon, il ne fallait pas s'attendre à autre chose. Elle lui caressa lentement le cou avant une certaine tendresse en disant doucement.
-Dragon ou pas on ne remet pas en cause une décision de sa maîtresse petite pute. Toutefois, puisque tu sembles avide de savoir, alors va y, pose tes questions...
L'elfe noire se sentait de bonne humeur et acceptait donc de lui en dire un peu plus sur elle et sur son peuple. Certes la jeune princesse ne saurait pas tout mais qu'importe, elle savait que cela la stimulerai assez... A moins que celle ci ne préfère autre chose, un type d'enseignement plus tactile est moins théorique ? Histoire de lui proposait le choix, l'elfe noire l'embrassa une nouvelle fois lui mordillant doucement le cou. Alors qu'allait choisir la petite princesse : la luxure ou la connaissance...
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Alice avait agi sur l’impulsion du moment en embrassant Lyrinda, oubliant que la fierté d’une Drow n’était pas quelque chose à prendre à la légère. Terra recélait d’espèces fières et arrogantes : les elfes, les vampires... Elle avait l’habitude, avec Mélinda, mais elle devait bien avouer que l’orgueil de cette Lyrinda devait être encore plus fort que celui de sa chère amie vampirique. Autrement dit, Lyrinda semblait partagée entre plusieurs sentiments : l’amertume de son bannissement, et l’amertume de devoir dépendre des bonnes grâces d’une elfe... Mais également une attirance certaine pour Tinuviel. Alice n’en savait pas assez sur les Drow pour cela, mais elle se demandait si Lyrinda n’était pas secrètement amoureuse de Tinuviel... Même si, concrètement, il ne lui appartenait guère de répondre à ce genre de questions. Elle avait donc agi impulsivement, en l’embrassant, et Lyrinda la rappela à l’ordre, en la giflant sèchement. Le coup fit couiner Alice, qui sentit son cul en vibrer. Une claque forte, trahissant la redoutable puissance de Lyrinda, une puissance que son corps ample masquait plutôt bien.
Alice se retrouva donc à côté d’elle, soupirant quand son délicat fessier heurta le lit, et Lyrinda la surprit alors en venant l’embrasser. La Princesse papillonna des yeux, avant de se dire que la Drow avait juste voulu lui montrer que c’était elle qui contrôlait ce qui se passait ici, et non une petite tête blonde. Alice hocha donc la tête, comprenant peu à peu comment les choses fonctionnaient avec cette Drow. Fort heureusement, la femme acquiesça à l’idée de ne pas dormir, ce qui était bien, parce que, en toute honnêteté, Alice n’avait jamais été excitée... Ou, en tout cas, pas depuis longtemps. Ce faisant, elle n’avait absolument aucune envie de dormir, et, comme pour lui offrir le choix, Lyrinda se pencha vers elle, et mordilla son cou.
« Hum ! »
La tête blonde s’en pinça les lèvres, crispant ses mains, comprenant que la femme lui faisait un choix. Parler... Ou agir ? Est-ce que c’était un test ? Ou est-ce qu’Alice avait vraiment le choix ? D’un autre côté... Et bien, d’un autre côté, Lyrinda était une femme douée, et, si on en croyait les rumeurs, les Drow aimaient bien le sexe.
« Montre-moi... Montre-moi comment une Drow fait l’amour, Lyrinda... »
Sans surprise, Alice avait opté pour l’enseignement pratique.
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L'elfe noire eut un petit sourire en voyant sa petite catin lui réclament de faire l'amour. Hum, cela n'étonnait pas vraiment la drow. Apparemment la princesse catin avait une libido extrême, la drow eut un petit sourire avant de lui prendra le visage et de l'embrasser. Un baiser violent à l'image de la drow. Elle alla ensuite lui mordiller le cou en disant doucement...
-Alors tu veux goûter l'amour à la drow ? Hum, je suis pas sur que ton petit cul le supporte mais nous verrons bien...
Elle eut un petit sourire avant d'aller lui mordre le cou jusqu'au sang, frottant son corps contre celui de la pauvre petite princesse. L'amour à la drow était dure, sauvage et surtout douloureux, un exquis mélange de violence, de douleur et de plaisir. Pour certain individus cela tenait d'ailleurs plus de la torture que du sexe mais pour les autres, cela était une expérience tellement forte qu'il était difficile de connaître autre chose.
Elfe noire se placa finalement au dessus de l'humaine, la chevauchant comme elle aurait put le faire faire une monture, frottant son sexe contre celui de la jeune humaine, alors que ses mains griffaient légèrement ses seins. Elle eut un petit sourire, avant d'aller lécher le cou de la princesse ou coulait un peu de sang à cause de sa morsure...
-Hum, voilà comment j'aime le sexe, sauvage, violent...
Elle eut un petit sourire avant de rapprocher l'oreille d’Alice et de lui dire.
-Et avec une petite pute gravide comme chienne.
Elle eut un petit rire avant de continuer ses mouvements de bassin contre celui de la jeune femme, ne lui laissant aucun mot à dire. L'elfe noire se faisait du bien et alice n'était qu'un jouet dans cette activité. La blonde aurait été un sextoy, elle aurait eut autant, si ce n'était plus de considération.
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Coucher avec Lyrinda, une Drow... Si Alice avait l’occasion de le faire, elle n’allait pas s’en priver ! Dans ce harem, où personne ne pouvait la juger, et où elle avait confiance en sa femme pour que rien ne sorte, elle pouvait totalement se libérer. Elle était comme elle se comportait dans le manoir ou dans le harem de Mélinda, laissant ainsi totalement s’exprimer ses perversions et ses désirs intenses et pervers. Lyrinda était une femme magnifique, aussi belle que douée, et faire du sexe violent n’allait nullement la gêner. Bien au contraire ! Avec Mélinda, elle avait pris goût à l’humiliation et à la sodomie, notamment en couchant avec Ayumi (http://img93.xooimage.com/files/4/a/1/ayumi-3d62000.jpg), une femme sportive et musclée, qui adorait sodomiser Alice dès qu’elle en avait l’occasion.
Alice était donc avec Lyrinda, qui vint lui mordre le cou, faisant gémir Alice... Là encore, elle avait l’expérience de Mélinda, car la vampire aimait beaucoup la mordre... Mais, ici, il n’y eut que la sensation de la morsure, pas le plaisir jouissif venant ensuite avec la succion. Lyrinda la fit saigner, avant de se s’asseoir sur elle, tout son corps venant remplir son espace, et Alice soupira, hoquetant lentement, ses mains venant se poser sur les hanches chaudes de Lyrinda, leurs corps se frottant l’un à l’autre. Elles avaient eu le temps de s’embrasser tendrement ensemble, et les mains de la Princesse se crispèrent sur la peau noire et douce de la Drow.
« Hmmmm... Haaaaa... »
La belle traînée savourait ce contact, cette intimité, cette chaleur, ce sexe omniprésent. Comment était-il possible qu’elle soit devenue à ce point une perverse ? La Princesse adorait le sexe, et, tout en soupirant, elle entendit la Drow lui expliquer que, avec elle, le sexe était sauvage et violent, à la nature du sexe entre Drow. Alice sourit en retour, même si Lyrinda ne pouvait le voir, et sa bouche se rapprocha de son oreille, venant murmurer quelques mots salaces, qui amenèrent la Princesse à se mordiller les lèvres, ses mains se crispant sur sa peau.
« Oh, Lyrinda... »
Les mouvements avaient repris, et Alice avait bien du mal à parler, car la Drow était toute proche d’elle, ses seins venant s’enfoncer parfois contre son visage, noyant Alice dans son corps... Un corps délicieux, magnifique, sur lequel Alice aurait pu gloser pendant des heures. Elle laissait donc Lyrinda agir, et, tout en le faisant, ses mains se déplacèrent, et vinrent se poser sur les fesses de Lyrinda, une main sur chaque fesse. La Princesse s’y crispa, tout en embrassant et en léchant le cou de Lyrinda, malaxant délicatement ses fesses, écartant ses fesses l’une de l’autre, les joues rouges, la respiration courte.
Comme elle était sa « chienne », il semblait normal qu’elle lèche sa peau, non ?
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L'elfe noire prennait son pied, traitant la princesse comme un vulgaire sex toy. Elle se moquait clairement que celle ci prenne son pied ou non, elle, elle se servait de son corps. Les préliminaires avaient assez duré au goût de la drow et il était temps de passer à des choses plus sérieuses. Bien sur, elle aurait put utiliser du poison sur sa chienne mais elle n'en avait pas besoin. Celle ci était clairement assez excitée pour la suite.
Elfe noire remonta donc doucement sur le corps de la princesse, passant son bassin sur chacune de ses forme avant d'aller s’asseoir sur son visage. Elle y resta quelques seconde avant de se retirer et de poser son bassin sur son visage, frottant son sexe contre le nez et la bouche d'Alice. Elle prit la belle cheveulure de la blonde, plaquant ainsi sa tête contre son sexe moite en lui disant.
-Ecoute moi CATIN. Tu va me lécher mon sexe jusqu'à ce que ta langue sois seche. Puis, tu ira me chercher à boire.
Elle sourit doucement en disant :
Si tu es une bonne fille, je demanderais a Tinuviel de ne pas te mettre de ceinture de chasteté. TU pourras ainsi être prise par tous les membres du Lys. Depuis le temps que ces salopes à poils demandaient un nouveau jouet.
L'une de ce groupe de terranide étaient les jeux à plusieurs. En générale, cela finissait dans une orgie de queue, de poils et de baisers... mais peut être que au vu de la situation d'alice, ce ne serait qu'une esclave au milieu de multiples maîtresses ?
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Le temps ne rendait pas Lyrinda plus aimable... Mais, en un sens, cela faisait aussi partie de son charme. Une beauté fatale ne devait pas vraiment être polie, et Alice ne risquait pas d’être choquée. Quand elle était venue dans ce harem, ce n’était pas dans l’objectif d’y être la Princesse de Sylvandell, mais d’accomplir un fantasme qu’elle ne pouvait pas laisser s’exprimer en public : celui d’être traitée comme une esclave. Elle adorait ça, tout simplement, et les délicieux mauvais traitements et humiliations de la Drow ne contribuaient qu’à l’exciter. Quelle curieuse souveraine elle faisait ! Mais, d’un autre côté&, elle était sûre qu’elle n’était pas la seule personne de sang bleu, dans l’Histoire, à aimer se faire fouetter. En un sens, c’était préférable à l’excès inverse, celui d’être tellement arrogant qu’on en était déconnectés de tout. La Drow jouait donc avec Alice, et s’assit sur son visage, étouffant Alice, avant de raffermir un peu mieux sa position.
Elle lui ordonna de la sucer, et Alice s’exécuta.
« Hum-hmmmm... » acquiesça-t-elle, les joues rouges.
Une onde de douleur l’avait traversé quand la Drow tira sur ses cheveux, mais sans la gêner outre mesure. Elle posa ensuite ses mains sur les cuisses de la femme, en appui, et fourra sa langue dans cette bouche intime, puis s’évertua à lécher, remuant lentement ses jambes sur le lit. La Drow s’était confortablement assise sur elle, et, assez rapidement, Alice eut le plaisir de sentir sa mouille venir. Faisant preuve de toute l’expérience qu’elle avait reçue au cours des années, la jeune Princesse s’évertuait ainsi à prodiguer à la femme le plus grand plaisir possible, en cherchant son clitoris.
Concrètement, la langue d’Alice ne risquait guère d’être sèche, car, sous l’excitation, sa salive continuait à venir, ainsi que le nectar sucré de sa partenaire, mais elle continuait à la lécher... Encore et encore, avec énergie et passion, bien décidée à emmener Lyrinda dans les hauteurs, et à lui offrir ce que, indéniablement, cette belle Drow méritait : un magnifique orgasme...
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La drow n'avait pas à être aimable... Et pour être honnête,elle s'était tout de même vraiment améliorée depuis le temps. La petite princesse ne s'en souvenait peut être pas, mais à leur première rencontre, elle avait empoisonnée la princesse et s'était servit d'elle. Aujourd'hui, elle n'avait plus besoin de ce genre d'artifice pour soumettre la petite princesse.
Au contraire, celle ci semblait même être totalement heureuse de la situation et cela n'était pas pour déplaire à la Drow. Elle profiterai donc de ce jouet jusqu'à ce qu'elle soit lasse ou jusqu'à ce que la princesse s'en aille.
Toutefois il était plus probable que la petite princesse s'en aille avant que cela n'arrive.
En attendant, l'elfe noire comptait bien profitait de la pauvre petite princesse.
Les caresses de la petite Blonde maintenait l'intimité de Lyrinda sous une excitation constante. Difficile de résister face à une telle maîtrise, mais si elle prenait son pied, elle ne le montrait, pas. Rester digne quelque soit la situation, voilà le credo des elfes noires et Lyrinda l'appliquait à la lettre...
Du moins jusqu'à la jouissance. Une violente vague de plaisir s'empara d'elle. Vague qui s'écrasa contre le jolie minois de la pauvre petite chienne du harem. Elfe noire haleta un peu, avant de se reprendre, s'écartant de son visage en disant.
-Bonne chienne, Va me rechercher de l'eau maintenant, et que cela saute...
Elfe noire qu'en lui demandant cela, la princesse risquait de tomber sur une épouse de l'elfe rouge. Et c'était le but, d'humilier encore un peu plus celle ci... En la montrant sous son pire jour, couverte de mouille et nue comme un ver.
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Le cunnilingus était un art dans lequel Alice s’était exercée à maintes et maintes reprises, et, avec une femme aussi belle et aussi autoritaire que Lyrinda, la lécher ainsi était un vrai régal. La jeune Princesse se faisait énormément plaisir, et remuait ses jambes le long du lit, en soupirant faiblement. On pouvait entendre les gémissements s’échappant de ses lèvres au fur et à mesure qu’elle léchait. Sa langue s’enfonçait en elle, et ses mains, appuyées sur les cuisses de la femme, y trouvaient un appui utile pour lui permettre de lécher plus facilement son amante. Ses doigts se crispaient contre sa chair douce, contre ce corps chaud et tendre... Oui, Lyrinda avait beau avoir la langue fourchue, et être vicieuse et méchante, elle n’en restait pas moins d’une beauté terrifiante, formant un saisissant contraste. La Princesse continuait ainsi à la lécher, avec appétit, s’abreuvant de sa mouille, la sensation de souffrance sur son cuir chevelu (là où Lyrinda avait tiré ses cheveux) ne faisant que l’exciter encore plus. Ainsi, pendant qu’elle léchait, elle-même frottait délicatement ses cuisses entre elles, comme pour mieux s’exciter.
« Haaa... »
Alors qu’elle continuait à la lécher, elle sentit le corps de la Drow se crisper un peu... Puis cette dernière éjacula, et balança sur le visage de la Princesse sa délicieuse cyprine. Alice y goûta un peu, avant de sentir la Drow se redresser, la femme restant toujours aussi imperturbable, et lui demandant d’aller lui chercher de l’eau.
Troublée par cette demande, Alice hésita pendant quelques secondes, avant de finir par hocher la tête.
« Oui, oui, Maî... Maîtresse... »
Après avoir eu le bassin de Lyrinda sur sa tête pendant plusieurs minutes, se retrouver à l’air libre était un peu déstabilisant. Il n’y avait pas de robinet dans la chambre, et elle sortit donc, en prenant un récipient d’eau sur une table, puis se retrouva dans le couloir, toute nue. La jeune femme frissonnait sur place, sans trop savoir si les frissons venaient juste du froid, ou de la nervosité ambiante qu’elle ressentait en ce moment.
La jeune femme marchait donc prudemment le long du couloir, se dirigeant vers une fontaine dans l’un des jardins du harem. Plongé dans la pénombre, le harem restait toujours aussi magnifique, notamment quand Alice entra dans un couloir composé d’une verrière sur le plafond,, permettant de voir le ballet magnifique des étoiles. Un spectacle qu’elle avait toujours adoré voir la nuit... L’océan de lumières éternelles. Elle s’en absorba pendant quelques secondes, ce qui fit qu’elle n’entendit pas les délicats bruits de pas dans son dos...
...Puis elle sursauta quand une femme se nicha dans son dos, et que des mains palpèrent ses seins.
« Hîîî !! »
Surprise, elle en lâcha le récipient, mais, alors qu’il allait normalement se fracasser sur le sol, une queue poilue fila entre ses jambes pour amortir la chute, tandis que des mains gantées pincèrent ses tétons.
Une Tekhane venait de la surprendre... Talia (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=831152).
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Talia profita de l'instant d’inattention de la pauvre petite princesse pour jouer avec elle. Elle rattrapa grâce à un réflexe le bol que l'esclave reservait à l'elfe noire. La terranide savait cela simplement parce qu'elle pouvait sentir l'odeur de lyrinda sur le corps d'Alice. Elle eut un petit sourire, jouant avec sa poitrine, caressant celle ci en disant doucement.
-Alors comme cela notre chienne se balade seule en pleine nuit totalement nue... C'est un appel au viol cela.
Elle déposa lentement un baiser dans son cou, mordillant lentement celui ci, frottant lentement son visage contre celui de la jeune femme. Talia contrairement à Lyrinda n'était pas une sadique, elle préférait même un calin a coté d'un bon feu de cheminée. Mais pour une fois, elle jouait avec Alice. Elle frotta lentement sa main contre la poitrine de la pauvre princesse en jugeant de sa douceur, souriant doucement avant de lui dire..
-Hum, tu as de bons coussins, J'espère que je pourrais en profiter aussi dans peu de temps. Mais pour l'instant tu devrais aller retourner avec Lyrinda. Elle dois t'attendre et si tu ne te dépêche pas, tu peux être sur que ton cul va se rappeler a toi durant des jours et des jours. Mais si tu veux une vois que tu auras fini, passe me voir...
La louve eut un petit sourire avant d'envoyer un dernier baiser à la petite princesse. Elle ne savait pas si oui ou non la petite princesse reviendrait la voir ce soir mais elle verrait bien. Laisserait toutefois un petit ruban sur sa porte pour que la princesse puisse la retrouver si elle le voulait.
Pendant ce temps Lyrinda commençait à s'impatienter. Cela faisait déjà plusieurs minutes que la petite princesse était partie. Si celle ci ne revenait pas bientôt, elle se faisait le serment que celle ci ne pourrait plus s asseoir pendant au moins une dizaine de jours. Bon, en réalité, elle était légèrement inquiète pour la princesse, le harem n'était pas dangereux, mais quand même, elle ne devait pas prendre autant de temps pour un simple bol d'eau non ?
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Alice savait, en venant ici, qu’elle ne se reposerait pas... Et elle n’était de toute manière pas venue ici pour se reposer. Il y avait Tinuviel, bien sûr, mais la tête blonde savait aussi que cette dernière gérait tout un harem, et qu’elle ne viendrait pas juste pour Tinuviel, mais aussi, et surtout, pour son harem. Alice savait qu’elle allait devoir se dévouer au harem, et c’était exactement ce qui se passait en ce moment. Elle multipliait les lits et les amantes, chacune ayant sa personnalité... Ce harem était très particulier, similaire et différent de celui de Mélinda. La tête blonde se mordillait les lèvres en sentant la belle Talia dans son dos. Cette femme était, de ce qu’elle savait, l’une des gardiennes du harem. Ce dernier se situant dans le désert, dans une zone assez reculée, il y avait très certainement des menaces à devoir affronter, comme des monstres, ou encore des pillards. Tant de si jolis lots ici, ça devait bien motiver quelques bandits pour venir les capturer et les vendre ailleurs...
Talia joua brièvement avec elle, faisant rougir Alice, mais elle lui demanda de retourner voir Lyrinda, puis, ensuite, si le cœur lui en dit, d’aller dans sa chambre. Les joues rouges, la Princesse hocha la tête de haut en bas.
« O-Oui, c’est... C’est une bonne idée... »
Alice déglutit donc, son petit cœur bondissant encore dans sa poitrine. Aussi discrète qu’une ombre, la féline Terranide fila donc, et Alice n’eut plus qu’à retourner voir la Drow. Les joues rouges, elle essayait peu à peu de retrouver un rythme cardiaque normal, tout en amenant sa carafe d’eau. Elle était effectivement quasiment nue en se promenant, ce qui était... Très peu pudique, mais sa gêne était tempérée par une sorte d’excitation latente. Elle sentait bien que, même si les femmes de Tinuviel aimaient bien la torturer ou la faire souffrir, elles le faisaient avec amour. C’était paradoxal, mais, pourtant, l’amour était à la fois souffrance et plaisir, un subtil et délicat condensé de sentiments contradictoires, mais qui parvenaient à s’unir d’une bien étrange manière.
La Princesse retourna donc dans la chambre de Lyrinda, et, nerveuse, toqua à la porte, entrouverte, avant de s’y glisser.
« Voilà, Lyrinda, je... J’ai amené de l’eau. »
La Drow avait un caractère de cochon, comme toute Drow, et il était difficile de déterminer jusqu’à quel point elle jouait, ou était sérieuse. Les Drow avaient l’habitude de dissimuler leurs sentiments. Peut-être une conséquence du fait de vivre sous terre ? Alice se rapprocha donc rapidement, et ferma la porte du pied, puis, en se pinçant les lèvres, reprit rapidement, sachant qu’elle était un peu en retard :
« J’ai été surprise en allant apporter de l’eau par... Par Talia. Ça explique mon... Mon retard. »
Heureusement que Talia avait récupéré le bol d’eau ! Sinon, le retard d’Alice aurait été encore plus grand...
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La drow soupira lentement, la petite princesse était de retour et cela la rassure. Le harem n'était pas un endroit dangereux, mais tout de même la princesse avait mit un temps fou. Elle soupira lentement avant de prendre lentement le bol d'eau de ses mains, de boire de longue gorgée et après de lui mettre une fessée relativement puissantes sur ses pauvres fesses endolories.
Une fois sa punition faite, la drow soupira lentement chassant par la même son inquiétude. Elle ne laisserait rien paraître, il en allait de sa réputation après tout.
-Une catin comme toi n'a pas à faire attendre sa maîtresse, j'espère que cela t'aidera a t'en souvenir.
Elle soupira lentement avant de dire tranquillement.
-Je crois plutôt que cette salope de louve à essayer de te traîner dans sa chambre. Et toi, tu as accepter, hein ma petite catin ?
Elle eut un petit sourire, prenant le doux visage de la petite princesse entre ses mains, elle ne voyait certes pas, mais cela ne faisait que rendre son regard plus tranchant.
-Combien de maîtresse ont profiter de toi ? Combien de fois ton corps à t'il était utilisé ? Reconnais le Alice, tu n'aurais pas dut être une princesse, mais belle et bien une gentille esclave.
La drow l'embrassa lentement avant de lui dire.
-Va faire ton travail. Je te garderai bien pour me lécher les pieds, mais il semblerait que d'autre te réclame aussi, et j'ai assez profiter de ton petit cul pour l'instant.
Elle relâcha lentement son emprise sur la princesse, prenant tout de même encore un instant pour un dernier baiser, imposant sa langue dans la bouche de la princesse avant de la relâcher lentement. La drow avait eut ce qu'elle voulait et était donc pour le moment rassasiée. Cela ne durerait sans doute pas, mais pour l'instant c'était suffisant à son goût.
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La claque résonna dans la pièce, et fit sursauter Alice, qui rougit sur place, en sentant la douleur rester sur son derrière. La tête blonde baissa les yeux en se mordillant les lèvres. La claque était méritée... Mais la « punition » n’avait pas vraiment eu l’effet escompté, dans le sens où, au lieu de se sentir coupable, Alice était surtout excitée... Ce qui la gênait d’autant plus, autant que les mots de Lyrinda, qui visa juste. La femme avait beau être aveugle, elle visualisait très bien ce qu’était Alice, et cette dernière hocha la tête. Elle allait lui répondre après que Lyrinda lui eût donné congé, mais la Drow se pencha contre elle, posant ses mains sur ses hanches, et l’embrassa tendrement, sensuellement.
« Hmmm... ! »
Cette femme était terrible... Terrible dans le sens où elle pouvait être aussi douce que cruelle. Alice adorait autant se faire gifler par elle que se faire embrasser. Comment expliquer une telle chose ? Une telle fascination pour le masochisme ? La jeune femme s’était souvent posée la question... Et là, elle fondait sous les lèvres de la femme, sa main venant caresser ses cheveux, s’appuyant dessus. Fermant les yeux, elle goûtait volontiers aux lèvres de la femme, et en profitait pour peloter son corps, notamment son dos et ses hanches. Elle avait beau être une guerrière, son corps était incroyablement tendre, doux, chaud, plein de formes et de courbes. La peau d’une Drow était une peau aussi belle à voir que délicieuse à caresser, et elle embrassait divinement bien, jouant avec sa langue, mordillant ses lèvres, mélangeant passion sauvage et tendresse sentimentale.
Alice fut incapable de dire combien de temps le baiser avait duré, mais, quand il se rompit, elle aurait tout à fait été prête à coucher de nouveau avec cette femme si elle le lui avait ordonné... Mais Lyrinda voulait l’envoyer auprès de Talia, et Alice hocha la tête. Néanmoins, avant de partir, elle avait encore quelque chose à dire.
« Je... Je sais très bien ce que je suis, Lyrinda... Mon rôle est de gouverner, mais... Je ne sais pas comment l’expliquer, j’adore être dominée... C’est incompatible avec le statut de Princesse, alors... C’est pour ça que je ne veux pas que les gens le sachent. Mais, tu sais... Je crois que les contraires s’attirent, et qu’une personne dominée peut très bien inverser les rôles, ou, en tout cas, donner le change. »
La tête blonde s’humecta les lèvres, puis reprit :
« Dans tous les cas, je... Si jamais tu as besoin d’une esclave pour une nuit, je serais ravie de te rendre service... Après tout, c’est pour ça que je suis là, pour faire plaisir à toutes les femmes de ma femme... »
Alice était mariée avec Tinuviel, après tout. Elle sourit, un sourire idiot, car Lyrinda ne pouvait pas le voir, et elle sortit ensuite.
La jeune femme se mit à marcher le long des couloirs. Les nuits, dans le désert, étaient plutôt froides, donnant envie de s’emmitoufler, et elle, elle était toute excitée par le baiser de Lyrinda. Ce harem était une drogue irrésistible. Elle continua à marcher, jusqu’à voir la porte de la chambre de Talia, légèrement entrouverte, avec une lueur qui en échappait. Alice toqua timidement à la porte, et s’y glissa.
« Talia ? C’est... C’est moi... »
Dans sa tête, elle revoyait encore la belle Talia dans sa combinaison moulante...
Dieu, qu’elle lui allait bien !
-
La drow eut un léger sourire en écoutant la jeune princesse, elle ne niait pas que la petite tête blonde avait des responsabilités, mais sa nature profonde était celle d'une soumise ayant besoin de quelqu'un pour la contrôler.
Elle la garda encore quelques secondes près d'elle, lui glissant doucement dans l'oreille.
-Oui, tu peux donner le change, mais ta vraie place se trouve à nos pieds. Alors n'oublie pas que nous sommes la pour toi, si tu en as besoin. Tu es une des autres désormais...
Elle déposa un dernier baiser sur son front, lui caressant tendrement la joue avant de la laisser partir vers Talia. Elle alla s'écrouler dans son lit, soupirant légèrement en se disant que malgré tout Alice avait un poids bien lourd sur ses frêles épaules.
L'ookami pendant se temps était tranquillement assise sur son lit. Elle eut un petit sourire avant de d'entendre la petite princesse et lui fit signe d'entrer. Elle eut un petit sourire en la regardant totalement nue, se léchant les lèvres anticipant déjà le programme qu'elle allait vivre avec Alice.
Elle se rapprocha lentement d'elle, souriant légèrement avant de la prendre dans ses bras, l'embrassant lentement, l’enserrant de sa queue. Elle lui caressa lentement la joue lui disant doucement.
-Hum, tu es toujours aussi mignonne ma jolie.
Elle l'embrassa une nouvelle fois avant de la guider lentement vers son lit. Il n'y avait pas grand chose de plus à dire. La louve voulait juste prendre du bon temps avec l'humaine. Après tout, elle ne l'avait jamais eut uniquement pour elle toute seule et il était temps de corriger cela.
-Hum, tu peux laisser tomber les maîtresses et autres bêtises de ce genre avec moi...
Talia n'était pas spécialement fan des jeux de soumission, peut être à cause de son passé ? Dans tous les cas, la terranide n'en avait pas besoin pour s'amuser. Elle embrassa lentement la petite princesse, avant de caresser lentement son intimité, récupérant un peu de cyprine sur celle ci avant de se lécher légèrement les doigts. Elle eut un petit sourire avant de lui mordiller lentement le cou et de lui dire doucement.
-Hum... Délicieuse... Je sens que toi et moi, on va bien s'amuser toute les deux.
Elle eut un petit sourire avant de prendre la main de la demoiselle et de la guider jusqu'à son lit, lui souriant doucement. Le jeu venait de commencer.
-
Le contact fut immédiat. Dans ce harem, Alice avait l’impression d’être une machine à bisous et à sexe... Perspective qui aurait pu faire bondir n’importe quelle personne tenant au caractère sacré et important du sang royal, mais qui, chez Alice, ne faisait que lancer chez elle une sourde et forte excitation. Quand elle vit la belle Talia se redresser, elle déglutit lentement. Ayant laissé ses affaires chez Lyrinda, Alice était toute nue, nue comme au premier jour de sa vie, et ce fut ainsi que Talia l’accueillit. Les deux femmes s’embrassèrent avec plaisir, les mains d’Alice venant se poser sur les hanches de la femme, ses lèvres s’entrouvrant pour accueillir les siennes... Et, très rapidement, elle sentit la différence de tempéraments entre elle et Lyrinda. Talia n’avait pas envie de la soumettre, elle souhaitait juste coucher avec elle... L’un dans l’autre, ça ne dérangeait pas spécialement Alice, car, pour elle, c’était l’occasion de partager des plaisirs différents. Une simple séance de sexe entre copines et concubines, puisqu’elles étaient toutes les deux mariées à Tinuviel, c’était très bien aussi.
Leurs lèvres se pressèrent donc, et Alice sourit, frissonnant de désir.
« Oui... Pas de problèmes, Talia... »
Le corps d’Alice se mettait à chauffer sur place, et elle se mordilla les lèvres, puis se retrouva couchée sur le lit, en compagnie de Talia, où elle ne tarda pas à agir. Ce n’est pas parce qu’elle avait une mentalité de soumise qu’elle était tout le temps en pilotage automatique... Et elle posa sa main sur l’épaule de Talia, et coucha la femme sur le dos, avant de se mettre sur elle, presque à califourchon, un sourire sur les lèvres. Talia lui avait mordu le cou, l’excitant, et une lueur mutine brûlait dans les yeux.
Elle embrassa sensuellement la femme, en se courbant vers elle, puis rajouta ensuite :
« Tu sais, je n’aurais jamais cru me plaire autant dans votre harem... »
Elle employait le pluriel au sens général, pour désigner, non seulement Talia, mais aussi l’ensemble des personnes vivant ici. Sa bouche vint se saisir du sein de la femme, le mordillant à travers la combinaison, ses yeux se redressant pour la regarder, une ombrelle de sourire sur son visage.
« Ta combinaison te va vraiment bien, Talia, tu sais ? »
Une chose était sûre : elle allait adorer lui faire l’amour !
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Talia laissa faire la petite princesse, si celle ci voulait jouer un peu avec elle, elle n'allait pas s'en plaindre. Elle en profita cependant pour caresser son délicieux corps le temps que celle ci se trouve sur elle, passant sa main sur chaque centimètre de peau disponible. La louve répondit à la petite remarque de la nouvelle chienne du harem.
-Hum, et bien, je suis heureuse que tu trouve ta place ici. Mais tu as encore de nombreuses personnes à rencontrer. Mais je suis sure que tu...
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que la petite princesse commençait à jouer avec sa poitrine, ce qui ne gênait nullement la louve qui soupirait lentement de bien être, souriant doucement à la remarque de la princesse en lui disant.
-Il faudra pourtant que tu me l’enlève ma belle, un moment ou un autre... Sinon on ne pourra pas jouer correctement toutes les deux.
Elle soupira légèrement, caressant la tête de la petite princesse, alors que sa queue lui caressait lentement les fesses. Cela devait sans doute rappeler quelques souvenir à la petite princesse. Pour l'instant la louve était la plus passive des deux, laissant jouer la princesse avec elle, mais a un moment ou un autre, elle se montrerait plus joueuse... il fallait juste laisser un peu la température monter et puisque la petite princesse était très bonne à ce jeu, cela ne prendrait pas longtemps avant qu'elle se lance aussi dans la bataille.
La louve eut un petit sourire, avant de lui dire doucement.
-Toi et moi nous allons passer la nuit dans ce lit. Et je te garantie que tu ne va pas dormir beaucoup ma belle..
-
« Oui... Je ne vais pas beaucoup me reposer, hein ? »
Petite note d’humour, mais qui illustrait une vérité certaine. Alice savait que Tinuviel était une esclavagiste, et qu’elle avait donc des esclaves... Ou concubines... Mais elle ne s’attendait pas à un tel nombre ! De plus, chacune de ces femmes était des créatures endurantes, qui étaient capables d’épuiser Alice. Par conséquent, ses vacances ici ne seraient franchement pas reposantes... Mais, d’un autre côté, Alice ne venait pas ici pour se reposer. Assise sur le corps de Talia, elle sourit malicieusement quand cette dernière vint caresser ses fesses, tout en lui disant que, tôt ou tard, elle devrait bien retirer sa combinaison.
Alice hocha la tête, continuant à mordiller son sein à travers cette tenue.
« Hummm... Je sais... »
Elle voulait juste en profiter encore un petit peu. Observer les courbes de cette femme, ses formes délicates, ce corps qui avait l’air d’être délicieusement taillé et dessiné... Non, qui l’était ! Talia était terriblement belle, comme si tout ce harem était un immense hommage à la beauté féminine. Pour l’heure, Alice n’avait en effet vu que de superbes femmes, au premier rang desquels on trouvait évidemment Tinuviel, sa belle amante, femme, et Maîtresse. Là, avec Talia, ce n’était que deux femmes s’apprêtant à se faire l’amour.
Les mains d’Alice commencèrent à parcourir le corps de la Terranide, remuant lentement dessus, grattant et caressant sa peau. Pendant ce temps, se cherchant une excuse pour pouvoir peloter ce corps, elle fit quelques commentaires :
« Hmmm... Comment est-ce que ça s’enlève, ta combinaison ? Où est-ce que je dois appuyer ? »
Et, en cherchant, Alice en profitait volontiers pour peloter la Terranide, pour la frotter, pour la caresser et pour l’exciter...
Un art dans lequel elle espérait être douée !
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La louve hocha lentement la tête, souriant légèrement à la petite princesse avant de coller son corps contre celui de la jeune femme. Si celle-ci voulait vraiment retirer sa tenue alors, elle pourrait sans doute lui dire ce dont elle avait besoin. La louve frotta lentement sa queue contre le corps de la jolie blonde avant de lui reveller le secret qui lui permettrait de lui retirer sa tenue.
-Hum, tu as un bouton au niveau de mon cou, tourne le vers la droite… Ensuite et bien, tu devras enlever la tenue toi-même, comme une grande.
Sentir les mains de la jolie blonde sur son corps excitée grandement la louve. Elle devait reconnaitre que la jeune princesse savait y faire. Sa maitresse avait décidément un don pour sélectionner ses amantes. Mais pour l’instant, vu qu’elle était désormais nue, ll était temps de passer à la suite. La louve embrassa une nouvelle fois la princesse, prenant lentement sa tête entre ses mains, jouant avec ses lèvres, frottant son nez contre celui de la jeune femme. Elle clôtura le baiser avant de caresser lentement ses courbes, frottant les creux de ses reins avant lenteur.
La louve frotta lentement le sexe de la pauvre petite princesse constatant une certaine humidité, cela lui tira un petit sourire.
-Hum, mais tu es déjà toute trempée ma chérie ? Il va donc falloir que tu t’occupes de moi ma chérie…
Elle prit lentement la main de la petite princesse, la posant sur sa poitrine, pendant que sa queue frottait la poitrine de la belle princesse. L’objectif était simple, excitée la pauvre petite princesse afin de la motiver pour que la suite des événements soient encore plus.. Agréable.
Elle déposa donc un autre baiser sur son front avant de lui dire.
-Maintenant ma petite princesse, fait moi l’amour. Je veux sentir ton corps contre le mien, je veux sentir ta langue sur mon corps et je veux profiter pouvoir passer mes lèvres sur chaque parcelle de ta peau.
La queue de la louve battait rapidement dans son dos, montrant un peu plus qu’elle avait envie de passer du temps avec elle.
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Le sexe était un plaisir qui pouvait prendre bien des formes, et, ici, au sein du harem de Tinuviel, maintenant sa femme, Alice était progressivement en train de les voir toutes. D’où lui venait cette endurance ? Elle enchaînait les relations avec des amantes aussi belles que fortes, endurantes et solides, et, malgré tout ce qu’elle venait de faire, elle avait encore... Faim. Sa sexualité n’était toujours pas rassasiée, et son corps n’était toujours pas épuisé. Est-ce que ça venait du sang de dragon qui bouillonnait en elle ? On lui avait déjà dit que le sang du Dragon d’Or la rendrait plus vigoureuse... Mais ça venait peut-être aussi de cet œuf de Lamia qui remuait dans son ventre... Ou bien du fait qu’elle était dans un harem superbe... Ou alors, c’est qu’elle était finalement devenue une perverse... Ou bien, tout ça à la fois. Dans tous les cas de figure, ce dont elle pouvait être sûre, c’est que sa curiosité, son envie de découvrir et de se rapprocher des autres concubines de Tinuviel, n’avait toujours pas diminué.
La belle Terranide lui expliqua comment retirer sa combinaison. Voir une telle tenue réveillait les instincts et les fantasmes fétichistes d’Alice, mais elle obtempéra malgré tout, car il fallait bien le faire, pour que les corps se frottent au mieux. Elle joua donc avec le bouton, ce qui eut pour effet de décoller un peu la combinaison du corps de Talia. Alice la retira ensuite en palpant le corps de la femme. Il y avait tout simplement une fermeture Éclair dans son dos, qui descendait jusqu’à hauteur de ses fesses, près de sa queue caudale.
*Je me demande comment elle fait pour la mettre toute seule...*
Talia put ensuite en sortir, toute nue dessous. Si ce n’est sa queue et ses oreilles, elle avait un corps d’humaine... Et quel corps ! Alice rougit légèrement en la voyant. Ah ! Tinuviel savait décidemment bien les choisir, ses amantes. Belle et forte, elle avait tout de la pure beauté militaire, avec les formes et les muscles. Parfaite, tout simplement... Alice avait légèrement rougi en la voyant, comme si ce harem, somme toute, n’était rien de plus qu’une sorte de jardin d’Ève de la beauté féminine.
Talia finit par l’embrasser, comme pour chasser l’expression ahurie sur le visage d’Alice, et cette dernière gémit de plaisir, en venant enlacer la femme, caressant lentement et précautionneusement son corps.
« Hmmm... »
Le baiser se rompit rapidement, et les deux femmes se caressèrent tendrement. Talia remarqua alors qu’Alice avait déjà les cuisses trempées, ce qui fit rougir à nouveau la jeune femme. Malgré sa forte expérience sexuelle (forte, car elle était bien loin d’être vierge), il y avait toujours, chez elle, une curieuse forme de naïveté et de timidité, qui faisait qu’elle rougissait assez facilement en matière sexuelle.
« Et bien, je... Je ne sais pas trop ce qui m’arrive, en fait, se confessa Alice. Depuis que je suis ici, je veux dire... »
Il n’y avait aucun mal à dire la vérité. En lui souriant, Talia attrapa doucement l’une de ses mains, et la posa sur son sein. Juste avant ça, cette main était occupée à caresser le flanc de Talia, et Alice se mordilla légèrement les lèvres quand elle sentit cette douce et chaude masse de chair contre ses doigts. Puis Talia demanda à la « petite princesse » de lui faire l’amour, et, docile, cette dernière obtempéra, en hochant lentement la tête.
Son autre main se bougea, venant sur le second sein de la Louve, et elle la repoussa légèrement, couchant la femme sur le dos. Alice se coucha contre elle, et vint délivrer sur ses seins une série de baisers, malaxant le sein dont sa bouche ne s’occupait pas. Elle frottait ainsi son corps contre celui de son amante, tout en essayant de lui prodiguer du plaisir. De cette manière, Alice mordillait et suçait le téton de Talia, tout en pinçant entre ses doigts celui de son autre sein. Elle avait une si belle poitrine... Jouer avec cette dernière était un vrai régal ! Alice, en effet, se régalait en ce moment, et elle n’aurait changé sa place pour rien au monde.
« Hmmm... »
Alice continuait à se faire plaisir contre elle, et redressa ensuite lentement la tête, avec un léger sourire, en venant ensuite embrasser le torse de la femme, au-dessus de ses seins, pour remonter jusqu’à son cou, qu’elle embrassa, là aussi, assez tendrement, même si elle la mordilla un peu. Elle forma ainsi un suçon, avant de préciser :
« Moi aussi, Talia... Moi aussi, je veux embrasser toutes les magnifiques parcelles de ton sublime corps... »
-
La terranide eut un petit sourire, en laissant faire la princesse qui la débarrassait enfin de cette combinaison. Pour être honnête, elle avait souvent l’aide de quelqu’un pour la lui retirer. Heureusement que le tissu était fait en nano matériaux ce qui permettait que celui-ci ne salisse pas trop vite.
Dans tous les cas, la jeune princesse et elle était désormais à égalité alors que leurs corps se rapprochaient de plus en plus avant de finir par se frotter l’un contre l’autre.
La louve, profita de ce moment pour embrasser lentement la pauvre petite princesse, refermant sa queue sur son corps pour la rapprocher encore un peu. La terranide regarda la petite princesse, droit dans les yeux avant de lui répondre simplement.
-Moi je sais ce qu’il se passe.
La terranide n’eut le temps que de lui faire un clin d’œil avant que la petite princesse n’aille l’embrasser, provoquant un battement rapide de la queue de la terranide. Elle eut un petit sourire avant de sentir les lèvres de la jeune femme sur son cou et descendre lentement sur sa poitrine jouant avec celle-ci. Ce qui provoqua d’ailleurs un petit gémissement de la part de la pauvre louve.
Voila que sa petite Alice commençait fort, après tout elle s’acharnait déjà sur sa poitrine. La louve eut un petit sourire avant de rendre la pareille à la pauvre petite blonde. Après tout, il n’y avait aucune raison pour que Talia ne profite pas non plus de ces délicieuses courbes.
-Hum, tu es divine ma petite chérie. Une véritable déesse.
Elle déposa un baiser sur son front frottant lentement son corps contre celui de la petite princesse avant de câliner lentement son corps alors que le désir et la chaleur augmentait lentement.
-
Oui, il se passait inévitablement quelque chose de bizarre ici. Alice n’aurait pas su comment l’expliquer. Qu’elle enchaîne le sexe semblait normal, car elle était entourée de magnifiques créatures, des beautés incroyables, aussi belles que sa Maîtresse, mais, au-delà de ça, il y avait, en elle, cette soif, cette faim qu’elle n’arrivait pas à assouvir, et qui faisait qu’elle passait l’essentiel de son temps à coucher à droite et à gauche. Le sang d’un dragon doré courrait dans ses veines, et tout mage vous le dirait : c’était un ingrédient magique extrêmement puissant. Et, en ce moment, il bouillonnait dans les veines d’Alice. La Princesse continuait ainsi à jouer avec Talia, et, après avoir baisé ses seins, Talia lui rendit la pareille, sa queue caudale continuant à la serrer, la maintenant contre elle.
« Han ! »
Que c’était beau! Sentir ce corps doux contre le sien, doux et chaud, cette belle queue qui l’entourait et la serrait. Un autre grand mystère ! Alice avait toujours aimé être enlacée ainsi, serrée, que les liens soient la queue d’une Lamia (hum !), des cordes, des tentacules... Un fantasme, tout simplement, qui, en tant que tel, ne s’expliquait pas vraiment. En tout cas, elle était ravie d’être là, face à Talia, et elle l’embrassa à nouveau sur les lèvres, pressant son corps contre le sien, le frottant, son corps se déplaçant de haut en bas, puis, après ses lèvres, Alice fit ce que la Louve lui avait demandé, et ses lèvres filèrent le long de ses épaules, et elle descendit, embrassant son torse, l’espace entre ses seins, puis s’amusa à embrasser et à lécher son ventre, frottant sa tête contre sa peau.
Talia avait véritablement une peau d’enfant, tendre et magnifique, et l’embrasser était, pour Alice, un vrai régal. La femme alla jusqu’à lécher son nombril, avant de continuer à embrasser sa peau. Elle sourit ensuite, en posant sa tête contre son estomac.
« Je... Je crois que cette partie-ci de ton corps ferait un excellent coussin, ma belle... »
Elle en était même sûre, et elle sourit à nouveau, avant de l’embrasser encore, et de se redresser un peu, pour retourner l’embrasser sur les lèvres.
« Oui... Je suis vraiment heureuse d’être ici... »
Et elle disait ça en le pensant vraiment.
-
La louve eut un petit sourire, caressant lentement la tête de la petite princesse qui était actuellement sur son estomac. Elle eut un petit sourire en se disant que sa poitrine serait peut être plus agréable mais si cela lui faisait plaisir alors elle n’allait pas privée son amante de ce petit privilège.
Elle répondit lentement au baiser de la demoiselle, lui caressant le cou en même temps avant de cloturer celui-ci.
-Je suis heureuse que tu te plaises chez nous Alice. Tu sais, Tinuviel était particulièrement heureuse que tu viennes nous rendre visite. Elle te considère vraiment comme sa petite protégée. Et je pense que tu as une place spéciale dans son cœur..
La louve alla doucement l’embrasser en lui disant simplement.
-Mais pour l’instant petit joyau c’est à moi que tu es et je compte bien profiter de toi pendant quelques temps ma petite alice.
La louve, l’embrassa une nouvelle fois, avant de glisser lentement dans son cou, mordillant celui-ci, alors que ses doigts se rapprochaient de plus en plus de l’intimité déjà bien humide de la petite princesse. Il était temps d’en prendre possession et c’est ce que fit la louve, ne laissant à la petite princesse aucune chance de répliquer.
Elle eut un petit sourire, rentrant lentement deux doigts, laissant à sa compagne du moment tout le loisir d’en profiter. Elle en profita pour l’embrasser une nouvelle fois, restant comme cela, sans bouger, juste pour que la demoiselle sente son corps et son souffle contre sa peau.
Elle reprit finalement ses mouvement de va et viens, à une vitesse sans doute exaspérante pour n’importe qui. La louve était comme l’eau sur la roche. Lente, tendre, douce, mais tôt ou tard la roche finissait toujours par succomber. Cela n’était qu’une histoire de temps. Or, vu l’état de la pauvre petite alice, cela ne serait pas bien long.
-
« Évidemment que j’ai une place spéciale dans son cœur, nous sommes mariées... »
Un mariage particulier, car elle n’était qu’une femme parmi tant d’autres... Mais ça lui convenait. Et, de toute manière, la conversation ne se poursuivit pas... Ce qui était aussi une bonne chose, car Alice craignait de filer sur des terrains glissants, et de devoir dire des choses qui assombrissaient son cœur, et qui expliquaient en grande partie sa décision de se rapprocher de Tinuviel, et de devenir la « pute » de ce harem. Les questions se turent néanmoins quand la douce et belle Talia l’embrassa de nouveau, avant d’approcher sa main de son intimité.
Alice soupira en sentant les tendres doigts de la femme se rapprocher d’elle, et elle écarta instinctivement les jambes, sentant les doigts de Talia s’enfoncer en elle, glissant doucement dedans.
« Hm... »
La tête blonde soupira, une main posée sur les cheveux de la femme, et l’embrassa encore, fiévreusement, en soupirant. La Terranide y allait lentement, avec sensualité, mais aussi, sans aucun doute, par volonté de frustrer la belle femme. Les doigts de Talia remuaient donc, continuant à faire soupirer la belle Princesse, qui l’embrassait en retour. Par rapport à ce qu’Alice avait vécu ici, c’était terriblement doux, et lent. Et, mine de rien, ça allait à la Princesse, qui après la Lamia, puis la Drow, était tout de même un peu fatiguée. Initialement, elle aurait voulu dormir avec Tinuviel, mais sans doute que, ce soir, c’était dans les bras de Talia qu’elle dormirait.
Les deux femmes s’embrassaient tendrement et sensuellement, la main d’Alice se déplaçant pour caresser le dos musclé et ample de la femme, jusqu’à finir par presser ses belles fesses bien dodues. Elle jouait contre elle, soupirant et gémissant de plaisir, mordillant ses lèvres, tirant dessus, soupirant encore et encore...
« Hmmmm... »
Alice, en réalité, se voyait très bien jouir auprès de cette femme...
Et dormir ensuite.
-
Talia pouvait voir dans les yeux de la princesse une fatigue latente, il était évident que la jeune femme avait besoin de sommeil et cela la motiva à aller plus vite, enfin, un peu plus vite. Elle faisait tout cependant pour conserver cette tendresse et cette douceur alors que les caresses se faisait plus aventureuse.
Elle déposa un autre baiser sur le cou d’alice, avant finalement de la doigter de manière convenable afin que la petite princesse puisse enfin jouir correctement une fois de plus.
Une fois la jouissance de la petite princesse passée, la louve la prit doucement dans les bras, la bercant lentement comme pour lui permettre de trouver le sommeil. Ce soir, ce serait elle qui veillerait sur Alice. Elle était celle qui la protégerait des mauvais rêves comme à une époque l’elfe rouge l’avait fait pour elle.
Sa queue entoura lentement la pauvre petite princesse, lui servant de couverture alors que la louve lui dit doucement.
-Dors bien ma chérie. Demain est un autre jour.
Elle lui fit un tendre baiser avant de voir la petite princesse s’écroulait de sommeil. Elle-même ne tarderait pas à s’endormir, mais elle resta un petit moment a regarder la belle blonde essayant de deviner a quoi celle-ci pouvait bien rêver.
Le soleil venait de se lever lorsque Talia se leva, observant la jeune princesse qui dormait encore. Elle se décolla lentement d’elle, ne faisant pas de bruit, avant d’aller préparer pour elles deux un petit déjeuné et de retourner sous les couvertures, câlinant la petite princesse comme si elle était un doudou… Ce qui à l’heure actuelle était peut être le cas d’ailleurs…
-
Alice sentait toutes ses forces l’abandonner rapidement, comme si cette ultime séance avec Talia était la dernière que son corps pouvait supporter avant de s’effondrer. Talia l’embrassait et la pénétrait doucement, sensuellement, avec un indéniable talent. Le corps de la Princesse remuait tout lentement contre le sien, et elles continuaient à s’embrasser, dans une très longue étreinte. C’était du sexe doux, très doux, servi entre les mains d’une experte, une femme talentueuse, une Terranide expérimentée. Rien à faire, elle se laissait bercer, poursuivant le tendre baiser de la femme, et, quand Talia la fit jouir, tout le corps d’Alice sembla s’affaisser. Leurs lèvres se retirèrent un peu, mais... Oooh, elle se sentait si bien, ici, si bien, elle avait chaud, et ce lit, ce lit était tellement confortable. Tout son corps frissonnait et frémissait de plaisir, et elle cligna des yeux à plusieurs reprises, sentant encore Talia venir l’embrasser, ses mains posées sur ses poignets. Elle aimait la sentir contre elle, et la Terranide, bien décidée à endormir la jeune femme, continua ses baisers.
« Ta... Talia, haaa... »
La Princesse voulait lui résister, la repousser, mais elle soupirait encore, avant que ses paupières ne s’alourdissent... Elle soupira encore, puis pencha la tête sur le côté... Et Morphée vint la saisir, l’étreindre, et Alice s’endormit profondément.
Et, comme toujours, la Princesse aimait dormir. Le matin, elle était une petite marmotte, ce qui fit que, quand Talia alla chercher le petit-déjeuner, Alice dormait encore, soupirant faiblement... Mais se mit lentement à gémir, et à pousser des soupirs un peu plus forts, tout son corps se mettant à trembler. Elle finit par tourner la tête quand Talia l’embrassait dans le cou, tout en caressant son ventre et ses hanches... Et Alice ouvrit les yeux, et caressa les joues de Talia, avant de lui sourire, en l’embrassant sur le bout du nez.
« Hmmm... Haaaaa... »
Alice ne put s’empêcher de bâiller, et posa fugacement sa main devant sa bouche, avant d’étirer ses bras et son dos, mais resta couchée sur le ventre. La lumière les éclairait faiblement, et elle tourna encore la tête, avant de sourire. Talia était là, à côté d’elle, emmitouflée dans la couverture du lit, leurs jambes venant tendrement se caresser.
« Bonjour, Talia... »
Alice lui sourit tendrement, puis caressa l’une de ses joues, et les deux femmes s’embrassèrent sur les lèvres, brièvement, avant que les sens d’Alice, notamment son nez, ne perçoivent l’odeur des viennoiseries ramenées par Talia...
...Ce qui amena son estomac à gargouiller gentiment, et à faire rougir Alice.
-
La louve eut un petit sourire en voyant la princesse se réveiller. Heureusement qu’elle n’était pas une soldat, sinon elle aurait sans doute eut quelques problèmes. Enfin, pour l’instant l’heure n’avait pas à ce genre de considération, le soleil venait de se lever et sa petite princesse avait besoin de reprendre des forces. Il suffisait d’entendre le cri de détresse de son estomac pour s’en rendre compte que la demoiselle avait faim.
La louve prit donc un croissant avant de le tendre à la petite princesse en lui disant simplement.
-Mange ma chérie, tu as besoin de reprendre des forces. En plus ma belle, je pense que Tinuviel voudra te voir tous à l’heure pour être sur que tu aille bien.
Elle eut un petit sourire caressant lentement la chevelure de la petite blonde, la laissant ainsi récupérer avant de lui faire un petit sourire.
-Si tu veux prendre un bain ou une douche, ma salle de bain est à ta disposition. Je pense qu’un bon bain chaud ne peux pas faire de mal de toute manière n’est ce pas ma petite Alice ?
Elle eut un petit sourire avant de se lever, cherchant dans ses placards de quoi couvrir la petite princesse. Après tout, celle-ci aimait peut être avoir les fesses à l’air, mais il y avait quand même quelques règles à respecter. Il y avait toujours la possibilité d’avoir des visiteurs et l’elfe rouge prenait soin de ne pas exposer ses amantes à des yeux qui pourraient être choquée par ce type de vision.
En attendant la louve eut un petit sourire, laissant la jeune femme choisir ce qu’elle comptait faire. Mais tôt ou tard il lui faudrait retrouver sa maitresse et son épouse, car il était certain que l’elfe rouge commençait à s’inquiéter de ne pas voir revenir sa petite tête blonde.
-
Elle avait... Faim. Voilà un point qui semblait indiscutable, et sa main vint caresser distraitement son ventre. Fort heureusement, la faim eut aussi pour effet de la réveiller un peu plus. Il n’y avait rien d’exceptionnel à ce qu’elle ait faim ; un œuf de Lamia allait bientôt être pondu de son corps, et elle s’était beaucoup dépensée hier... Et même pendant la nuit. Elle récupéra donc le croissant en remerciant poliment Talia, et le mangea, se redressant légèrement, ce qui eut pour effet de révéler tout le haut de son corps, y compris sa paire de seins.
« Oh, merci... Moi aussi, je veux la revoir. J’aurais bien aimé voulu dormir avec elle cette nuit, mais... Je ne sais pas, toutes mes forces se sont envolées d’un coup. »
C’était comme si cette ultime séance de sexe avec Talia avait drainé toutes ses forces. Fatiguée, Alice s’était endormie comme une bombe, avant de progressivement émerger, en bâillant paresseusement, comme une grosse limace. Maintenant, elle reprenait des forces, et attrapa aussi un pain aux raisins. Elle mangeait généreusement, enfouissant les viennoiseries, satisfaisant son estomac.
Talia, visiblement amusée de son appétit, lui caressa alors les cheveux, en lui demandant si elle comptait prendre un bain. Alice hocha la tête, mais finit son croissant avant de lui répondre :
« Oui... Évidemment ! Je suis une Princesse, je fais très attention à mon hygiène ! Ça signifie que je prends un bain tous les jours ! »
Alice continua à manger, pendant que Talia allait chercher des vêtements.
« Hmmm, si c’est bon... J’ai toujours aimé les croissants au petit matin ! »
Rapidement, la tête blonde retrouvait toute sa vitalité. Talia alla récupérer des vêtements, visiblement pour préparer la Princesse. Cette dernière suçota ses doigts, puis s’extirpa de son lit.
« Alors, où est la salle de bains ? Et il faudra aussi que je parle à Tinuviel de l’œuf de Naya. J’ignore quand il va éclore, mais je commence à le sentir remuer dans mon ventre » signala-t-elle, en caressant son ventre.
À quand le bébé ?
-
La louve eut un petit sourire alors que la petite princesse se servait sans complexe sur le plateau de pâtisserie. Pour la louve, il était juste évident que la pauvre petite princesse avait un peu trop forcée et que cela expliquait pourquoi elle s’était écroulée.
Elle eut un petit sourire avant de lui indiquer l’emplacement de la salle de bain, une pièce juste à coté de la sienne. La salle n’était pas bien grande mais il y avait quand même de quoi prendre un bain tranquillement.
La louve laissa donc la petite princesse tranquille, avant d’aller chercher la maitresse des lieux. Après tout, il fallait bien prévenir l’elfe rouge que sa petite princesse était ici.
Ainsi, l’elfe rouge fut effectivement la, quelques minutes plus tard en compagnie de Talia, les deux discutant tranquillement alors que la petite princesse revenait de sa douche. Tinuviel eut un léger sourire en voyant sa petite princesse avant de lui dire tranquillement.
-Bonjour mon petit cœur. Tu as passé une bonne nuit ?
La petite princesse avait beau être nue, cela ne semblait nullement choquée l’elfe rouge. Au contraire même, elle semblait trouver la vision qu’elle avait devant les yeux à son gout.
Elle prit doucement sa petite Alice dans ses bras avant de lui caresser lentement le visage, lui souriant doucement avant de l’assoir sur le lit. Elle n’avait pas spécialement de chose à dire, mais elle était juste heureuse de retrouver sa petite princesse, bien qu’il ne s’était écoulée qu’une nuit finalement.
-
Alice se retrouva donc dans la salle de bains, et se fit rapidement couler un bain. La baignoire était loin d’être aussi grande que les bassins de Mélinda, mais elle n’allait pas s’en plaindre. Elle fit couler de l’eau chaude, et, faisant sa petite curieuse, récupéra de quoi faire la mousse. Elle attendit que l’eau soit bien chaude avant de s’y glisser, frissonnant à ce contact, puis s’allongea dans l’eau, en soupirant de plaisir, l’eau arrivant à hauteur de ses seins.
« Oh oui… »
La petite Princesse vint à soupirer de plaisir, manifestement très contente de son sort. Elle avait toujours aimé les bains, un moment de détente et de relaxation, permettant de soigner le corps, d’apaiser les humeurs. Yeux clos, elle restait silencieuse, poussant toutefois, parfois, quelques soupirs de plaisir. L’eau la nettoyait, la lavait, mais Alice prit soudain conscience d’un petit élément de détail… Il n’y avait aucune serviette dans la salle de bains !
*C’est pas vrai…*
Elle se redressa subitement, et se mordilla les lèvres, les joues rouges, comme si le fait de se promener nue à la recherche d’une serviette risquait de choquer quelqu’un au sein de ce harem… Mais, au pire, elle pourrait juste retourner dans le lit de Talia, et attendre de sécher ? Hum… Oui, c’était possible. Alice soupira donc encore, et retourna à nouveau s’allonger, laissant l’eau la recouvrir, frottant ses cheveux pour bien les tremper, avant de soupirer encore. Petite, elle avait toujours adoré les bains, aimant s’y retourner, et mettre sa tête dans l’eau, afin de voir combien de temps elle pouvait tenir avant de sentir l’air lui manquer.
Maintenant, elle était heureuse de pouvoir être au harem, en compagnie de toutes ses femmes… Et de sa femme. Car, même si le mariage était caché, il avait été réel. Alice s’était mariée avec Tinuviel, et elle vivait une formidable nuit de noces. Fugacement, elle se demandait ce qu’Oberyn était en train de faire. Le Commandeur l’avait suivi jusqu’ici, mais Alice le voyait mal mettre une tente à l’entrée du harem. Le connaissant, il devait probablement chercher un moyen d’entrer dans le harem, ou de se renseigner sur la région, afin d’être sûr que l’endroit soit bien protégé pour elle.
Alice finit par sortir du bain après quelques minutes, l’eau ruisselant le long de son corps, la chaleur de l’eau ayant aussi fait rougir sa peau. Elle se rapprocha de la porte de sortie, et l’ouvrit timidement… Puis rougit en voyant la silhouette de Tinuviel, de l’autre côté.
« Oh… Tinuviel… »
La Princesse avait instinctivement envie de dissimuler ses parties intimes, mais Tinuviel ne semblait guère surprise, et lui demanda comment elle allait.
« Euh… Bonjour… Je… »
Pas de possibilité de répondre, car Tinuviel alla la prendre dans ses bras, et Alice s’y blottit en fermant les yeux.
« J’ai bien dormi avec Talia, mais… J’avais envie de dormir auprès de vous, Maîtresse… Toutes mes forces m’ont abandonné entre les bras de Talia… »
Alice la regarda, et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Puis elle sentit alors quelque chose remuer dans son ventre, tapant contre sa peau, et rougit.
« Naya m’a enfanté… Je… Je crois que je vais bientôt accoucher… Est-ce que… Euh… Je n’ai encore jamais accouché de ma vie, alors… »
La Princesse se mordilla les lèvres, avant de reprendre :
« Est-ce que vous voulez bien m’a… M’assister, Maîtresse ? »
-
Le commandant de sa petite Alice n’avait pas à se plaindre, celui-ci avait bien sur reçu une chambre au harem. Dans un coin plus tranquille réservé aux invités. Ainsi, il n’y avait aucune chance pour que celui-ci ne tombe sur une princesse blonde.
Et puis, soyons honnêtes, vu ce qu’il était en train de vivre, il y avait peu de chance pour que celui-ci ait encore la force de sortir de sa chambre. Enfin, s’il pouvait encore sortir. Après tous, ses furrys pouvaient être très attachantes.
Elle eut un petit sourire, caressant lentement sa pauvre petite Alice. Elle avait besoin de sentir son amante contre elle, de sentir, son parfum, son souffle. Elle avait besoin de ce petit moment avec sa soumise.
Elle eut un petit sourire avant de répondre tendrement au baiser se sa petite princesse, lui caressant lentement la joue. Elle la garda quelques instants près d’elle avant qu’alice ne lui explique ce qui l’avait empêchait de la rejoindre cette nuit. Elfe rouge eut un petit sourire avant de lui dire.
-Alors, aujourd’hui tu resteras avec moi toute la journée pour compenser. Comme cela, je suis certaine que tu dormiras avec moi ce soir ma pauvre petite princesse.
Elle eut un petit sourire avant de lui glisser à l’oreille.
-Ma petite esclave.
L’elfe rouge fut cependant plus surprise de la suite. Ainsi l’œuf à l’intérieur d’Alice était vivant. Etrange, normalement à cet age les lamias étaient encore stérile. Ce pourrait-il que sa petite Naya soit en avance sur son âge ? Dans tous les cas, il était nécessaire que l’elfe rouge l’accompagne lors de cette épreuve. Elle hocha doucement la tête avant de lui prendre lentement la main.
-Bien sûr Alice, je ne te laisserais pas vivre cela toute seule ma chérie.
Elle prit lentement sa chérie dans ses bras, lui caressant lentement le ventre avant de lui glisser doucement à l’oreille.
-Et qui sait, peut être que moi aussi un jour, je pourrais planter ma graine en toi ? Bien sur, il faudrait que Sakura soit d’accord.
Elle déposa un léger baiser dans le cou de la jeune princesse avant de sourire légèrement. Oui, l’elfe rouge lui proposait un jour d’être la mère de l’une de ses filles, pas encore bien sûr mais peut être dans quelques années. Pour l’instant, elle comptait passer du temps avec sa petite soumise. Lui souriant doucement.
- Rassure toi Alice, je serais la le temps que cette petite vie grandisse, tu ne seras pas seule.
Elle eut un petit sourire avant de l’embrasser encore un peu. Elle eut un petit sourire avant de la sécher rapidement allant prendre une serviette d’une armoire avant de la frotter lentement. Après tout autant en profiter et puis, elle était sure que talia n’allait pas se plaindre de la vue.
-
Le fait que l’œuf soit en vie pouvait avoir bien des raisons. Outre la croissance de Naya, il ne fallait pas oublier qu’Alice avait, dans le corps, un sang fort, le sang du Dragon d’or, ce qui permettait bien des propriétés magiques... Comme une meilleure fertilité, peut-être. En tout cas, elle frissonnait à chacun des doux mots que Tinuviel prononçait. « Ma petite esclave »... Voilà qui était... Très excitant. Elle en avait rougie n se mordillant les lèvres, tout en étant aussi très excitée à l’idée de passer toute la journée avec elle. Tinuviel n’était pas que sa Maîtresse, elle était aussi sa femme, et, quand elle parla de l’éventualité de faire pousser une graine dans son ventre, Alice se mit à rougir sur place. Elle ne rejeta pas l’idée, ni ne la confirma... Mais l’idée de porter le bébé de Tinuviel... Disons que ça ne la laissait pas totalement de marbre. Certes, une telle initiative aurait certainement dû nécessiter l’accord de Sakura, mais, comme elle n’avait pas revu sa femme depuis des mois...
Tinuviel rajouta ensuite qu’elle serait là pour veiller sur cet enfant, et Alice se mordilla encore les lèvres, avant de baisser la tête en rougissant. Cette discussion évoquait en elle un souvenir, datant d’il y a quelques temps, quand Mélinda, après une nuit à lui faire l’amour, lui avait glissé que, si elle était féconde, elle aurait volontiers donné à Alice un bébé. Malheureusement... Malheureusement, ce n’était pas aussi simple.
« Je... Ce n’est pas que je ne souhaite pas, Maîtresse, mais... C’est... C’est compliqué. »
Les joues légèrement rouges, Alice déglutit, avant de reprendre :
« Les Korvander n’ont toujours eu qu’un seul héritier, car, si nous multiplions les héritiers, nous perdons la qualité de notre sang si particulier. Or, ce qui me confère mon statut de future souveraine, ce n’est pas tant ma filiation que le fait que le Patriarche ait reconnu mon sang comme étant suffisamment pur pour être celui du descendant d’Erwan Korvander. Si nous multiplions les héritiers, il y a un risque que le sang se dilue... »
C’était, du moins, l’interprétation des Korvander. Il n’y avait rien de scientifique là-dedans, mais le lien unissant les Korvander au Dragon d’Or étaient, après tout, magiques. Cependant, cette règle avait toujours semblé restrictive aux yeux d’Alice.
« J’aimerais vous donner un enfant, Maîtresse, mais... Je ne veux pas que cela bloque ma lignée. »
Les joues légèrement rouges, elle reprit ensuite :
« Il faudrait se renseigner... Se renseigner auprès des dragons d’or de Sylvandell, et... Je vous offrirais un enfant si je le peux, Maîtresse, mais, en l’état actuel des choses, je ne peux rien vous garantir. »
-
L’elfe rouge écouta les explications de sa petite esclave, il était claire que la demoiselle avait de bonne raison d’être réservée. Cependant cela ne semblait pas dérangée elfe rouge. Elle avait plusieurs vie devant elle, alors elle n’était pas pressée. Si Alice lui donnait un enfant, alors elle le chérirait mais si ce n’était pas le cas, elle aurait toujours sa petite blonde à ses côtés.
Elfe rouge prit lentement sa petite Alice dans les bras avant d’aller doucement l’embrasser. Elle caressa ensuite le ventre de la petite princesse, souriant légèrement avant de lui dire tendrement.
-Alors, j’attendrais. Je ne suis pas pressée Alice, un ou deux ans ne sont rien pour moi.
Elle eut un petit sourire, caressant lentement la joue de la belle blonde avant de l’embrasser lentement, tendrement. Elle se retira finalement des lèvres de sa petite esclave, souriant doucement.
-Si tu peux me donner une fille, alors je serais comblée. Si ce n’est pas le cas… Et bien, je vivrais sans. Après tout, il y a déjà une petite vie dans ton ventre qui ne demande que l’amour d’une mère.
Elle eut un petit sourire avant de regarder Alice. Elle éduquerait la petite Lamia comme sa propre fille. Elle en faisait le serment. Mais le fait que sa petite princesse sur le principe était d’accord, était déjà un pas en avant pour l’elfe rouge.
Elle eut un léger sourire, caressant tendrement la joue de la petite princesse avant de lui dire doucement.
-Puisque pour l’instant la question est en suspens, nous pourrions peut être aller nous détendre un peu toutes les deux. Après tout, cela fait quelques temps que tu étais partie et j’aimerais savoir ce qu’il s’est passé dans ta vie.
Elfe rouge prit le temps d’habiller sa petite esclave avant. Même si cet endroit du harem ne risquait rien, elle devait quand même faire preuve d’un peu de pudeur. Et puis, il était toujours plus drôle de retirer les vêtements, dévoilant lentement chaque courbe, chaque centimètre de peau. Et pendant ce temps elle écoutait Alice qui lui expliquait ce qu’elle avait manquait, enfin, si elle le voulait bien.
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Est-ce qu’elle lui offrirait une fille ? En vérité, cette idée était très tentante pour Alice, mais... Avant cela, elle avait besoin de se renseigner. Mais elle ferait tout pour que ce soit le cas. Alice savait que Tinuviel avait déjà des filles, comme Tinath, et elle était donc sûre qu’elle ferait une superbe mère. Mais, en attendant, Tinuviel lui proposa de se détendre, et entreprit de l’habiller, avec l’aide de Talia. Alice rougit donc, et se laissa habiller, sentant de longs gants blancs et fins se poser sur elle, remontant le long de ses coudes, puis elle sentit ensuite une culotte se poser sur elle, avec un corset, et des jarretelles, puis des bottes blanches à talon. Une vraie tenue de Princesse de conte de fées, et, pendant ce temps, la tête blonde satisfaisait la curiosité de Tinuviel.
« Je me suis rapprochée du monde d’où Sakura est originaire... La Terre. Je l’ai fait par le biais d’une amie, Mélinda Warren... Je passe beaucoup de temps avec elle. »
Alice soupira en sentant les mains de Talia se glisser contre elle, la femme se tenant dans son dos. Elle mit les bonnets du corset, puis attacha calmement les multiples lacets du corset, faisant soupirer Alice. Entre-temps, la Princesse expliqua à Tinuviel qu’elle vivait autant chez elle, au Château, que dans le manoir de Mélinda, sur Terre.
« Mais je me languissais de vous, Maîtresse... Ce qui explique pourquoi j’ai envisagé de vous retrouver. »
Dans la foulée, la Princesse lui parla également d’Ayano, en lui indiquant que sa belle-sœur se plaisait bien à Sylvandell, et qu’elle voulait chevaucher des dragons. Cependant... Cependant, il y avait encore des choses à dire, qui expliquaient notamment pourquoi Alice s’était rapprochée de Mélinda.
« Mais je n’ai aucune nouvelle de Sakura... Il y a quelques mois, les Formiens ont attaqué Sylvandell, et Sakura a appris qu’elle avait des gènes formiennes dans le corps, ce qui expliquait son pouvoir de polymorphisme. Elle est partie avec les Formiens pour perfectionner ses dons... Mais je n’ai plus aucune nouvelle d’elle depuis lors. »
Alice secoua alors la tête, tout en étant prête... Talia perfectionna juste la tenue en lui rajoutant un délicat collier d’esclave, avec un sourire sur les lèvres, et la Princesse soupira légèrement. Elle préférait chasser ses pensées troublantes pour se concentrer sur l’essentiel : Tinuviel. Le reste, en effet, ne pouvait être que secondaire en ce moment.
Même si la question de Sakura lui revenait fréquemment en tête...
-
L’elfe rouge écouta avec patience que lui racontait la jeune femme alors que Talia l’aider à habiller sa petite chérie. Elle ne pouvait pas s’empêcher que la jeune demoiselle avait bien changer depuis son départ. Elle avait un petit sourire nostalgique en repensant à la petite sœur de l’épouse de sa belle esclave. A cette petite Ayano avait mis un sacré bazar dans son harem à l’époque mais elle ne pouvait s’empêcher de songer que cette jeune demoiselle avait été comme une petite sœur pour beaucoup d’entre elle.
Sa petite Alice était presque prête lorsque la demoiselle évoqua ce qu’il s’était passé et surtout évoque un nom interdit en présence de Talia. Les formiens. En une seconde, la terranide se figea avant de fondre en larme se mettant en position fœtale. A ce mot elle revivait l’enfer qu’elle avait vécu. Elle revoyait sa mutation, la douleur… Elle la sentait partout dans son corps. Elle ne voulait pas revivre cela… plus Jamais. Il était clair que la demoiselle avait vécu un élément particulièrement traumatisant en rapport avec ces créatures.
Elfe rouge eut un instant d’hésitation. D’un côté elle ne pouvait pas laisser Alice sans rien dire, et de l’autre, il était claire que Talia avait le plus besoin d’elle en ce moment.
Elle prit lentement la louve dans ses bras, lui caressant la tête comme le ferait une mère a une enfant terrorisée. Elle resta de longs instants comme cela, ne disant rien, se contentant de lui caresser lentement la joue avant de sourire légèrement à Alice en disant.
-Disons, qu’il y a certain mot à éviter en présence de Talia. Mais cela ne fait rien.
L’elfe rouge continuait à garder lentement la terranide contre elle, attendant que celle-ci se calme avant de dire tranquillement à son épouse.
-Ecoute, je ne te promets rien Alice. Mais j’essayerai d’aller la récupérer. Pour l’instant, tu restes avec nous mais lorsque tu partiras ma chérie j’irais voir si je peux aller la récupérer d’accord.
Elle eut un petit sourire continuant de bercer lentement Talia. Il était certain que celle-ci aurait son mot à dire lorsqu’elle retrouverait le sens des réalités. En attendant l’elfe rouge se disant que cela serait particulièrement compliquée. Certes, elle était déjà allait dans une fourmilière mais cela serait bien plus compliqué cette fois ci. Elle ne savait pas ou cherchait mais elle avait fait la promesse et elle comptait bien la tenir.
-
En parlant des Formiens, Alice ne s’attendait évidemment pas à déclencher une telle réaction chez Talia. La belle Louve sembla perde tout son appétit en se mettant à paniquer, et Alice rougit, en posant la main devant sa bouche, se sentant… Confuse. Elle ne savait pas ce que Talia avait vécu, et elle ne pouvait que se sentir gênée
*Merde, quelle bêtise !*
À Tekhos, les Formiens étaient une menace prioritaire, bien plus importante que ce que les Ashnardiens et les Nexusiens pouvaient penser. Depuis que la Reine des Lames avait envahi Sylvandell, et avait pris sa femme, Alice avait eu le temps de se renseigner sur ces envahisseurs extraterrestres, et ce qu’elle avait découvert, en réalité, n’était guère encourageant. La guerre entre Tekhos et la Fourmilière stagnait, et, malgré la propagande tekhane, l’armée tekhane était lentement en train de perdre. Elle ne parvenait pas à s’immiscer dans la Fourmilière, et cette dernière gagnait en force, en structure, et en organisation. Chaque jour, des Tekhanes étaient capturées, et beaucoup en ressortaient avec des traumatismes difficiles à effacer… Comme Talia.
Tinuviel délaissa donc Alice pour venir s’occuper de Talia, et Alice, affreusement gênée, acquiesça vivement quand l’elfe rouge lui expliqua qu’il y avait des mots à ne pas prononcer :
« Je suis désolée, Talia, je ne savais pas !! »
Talia lui avait semblé être une femme si forte, si sûre d’elle… Comme quoi, les apparences pouvaient se montrer trompeuses, et Talia avait de grandes fissures en elle… Des fissures dans lesquelles Alice venait de plonger droit dedans, avec toute sa grâce habituelle. Elle se tenait à côté de Talia, mais n’osait pas faire quoi que ce soit, estimant en avoir déjà suffisamment fait.
Alors que Tinuviel massait et consolait Talia, elle alla jusqu’à dire à Alice qu’elle comptait aller chercher elle-même Sakura.
« Non ! » s’exclama brusquement Alice en écarquillant les yeux.
Consciente qu’un tel geste pouvait surprendre, elle se mordilla les lèvres, avant de reprendre :
« Ce… C’est… C’est beaucoup trop dangereux ! »
Alice parlait en connaissance de cause. La Fourmilière était l’un des endroits les plus dangereux de tout Terra, une zone lourdement militarisée. Il était, non seulement pratiquement impossible de rejoindre la Fourmilière sans passer par les bases militaires tekhanes, mais, en plus, la Fourmilière en elle-même était un endroit beaucoup trop dangereux pour quiconque… Même pour Tinuviel.
« Tu ne dois pas y aller, Tinuviel… Je… Je trouverais un moyen de libérer Sakura, mais je ne veux pas te perdre, toi aussi… »
-
Elfe rouge caressait lentement la jeune terranide afin de la calmer. Elle calmait lentement la demoiselle. Elle regarda lentement la petite Alice souriant légèrement alors que celle-ci était essayée de la convaincre de ne pas aller dans la fourmilière. L’elfe rouge était consciente de la dangereuse de la chose. Elle avait déjà était dans des avants post de la fourmillière, c’était d’ailleurs dans l’une de ses galeries qu’elle avait récupérée Talia. Oui, il était dangereux de pénétrée seule dans la fourmillière. Mais d’un autre côté, elle était potentiellement la seule chance pour sa petite Alice de retrouver son épouse. Elle regarda la petite blonde souriant lentement à sa mise en garde avant de lui dire tranquillement.
-Je sais Alice, je sais que c’est dangereux. Mais tu penses vraiment être capable de pouvoir aller chercher Sakura ? tu n’es pas une guerrière Alice… Et même si c’était le cas, ton peuple a besoin de toi.
Elle eut un petit sourire caressant lentement la tête de sa petite Alice en lui disant doucement.
- De plus, qui serait assez fou pour y aller ? Les thekanne ne prendront jamais ce risque. Elles ne sont même pas capables de lutter à armes égales contre la fourmillière. Je suis à la fois la seule capable d’avoir ne serais ce qu’une légère chance de m’en sortir en vie et assez folle pour prendre ce risque.
Elle embrassa lentement la petite Alice, lui souriant doucement alors que Talia reprenait finalement ses esprits. La demoiselle avait comme un trou, comme si elle se réveillait d’une espèce de sommeil profond.
Elle eut un petit sourire avant de prendre lentement Alice dans les bras. Elle eut un petit sourire avant d’embrasser une dernière fois sa petite Alice, lui caressant lentement la joue.
-Rassure toi Alice. Je ne compte pas mettre ma vie en danger. Je reviendrais en entière.
Elle eut un petit sourire avant de sourire lentement à la demoiselle. Elle savait que cela ne convaincrait pas la petite princesse. Toutefois cela la rassurerait peut être un peu. De toute manière elle ne comptait pas partir sans aucune préparation dans l’antre des formiens.
-
Comment récupérer Sakura ? Alice n’était même pas sûre qu’elle soit toujours en vie… Tout ce qu’elle savait, c’est que, il y a quelques mois, Sarah Kerrigan, la fameuse Reine des Lames, une Annexienne redoutable, anciennement une humaine, une Ghost, tekhane, avait attaqué Sylvandell. Son objectif avait visiblement été de s’emparer du code génétique des dragons dorés, et, si l’invasion avait échoué, elle était partie avec Sakura. Depuis lors, Alice n’avait plus eu aucune nouvelle, et ignorait donc ce qui était arrivé à Sakura. Mais elle se voyait mal rentrer dans la Fourmilière. Le « plan » de Tinuviel était complètement fou. Non seulement les Tekhanes ne la laisseraient jamais passer, mais elle ne reviendrait jamais de la Fourmilière. Pensait-elle que sa magie la protègerait ? Au sein de la Fourmilière, la magie fonctionnait de manière bien différente. Mais Alice n’avait pas envie de s’appesantir sur le débat, car elle ne voulait pas que cela panique à nouveau Talia. Certes, Alice avait un royaume à s’occuper, mais Tinuviel avait aussi une famille, composée de l’ensemble de ses femmes.
« Je… Je trouverai un moyen de libérer ma femme, Tinuviel… »
Elle ne savait pas encore comment, mais elle trouverait. Elle comptait se renseigner auprès des Novaquiennes, qui menaient un programme expérimental visant à purifier les victimes des Formiens des gènes formiennes implantées en eux. Le programme était pour l’heure à l’ébauche, mais produisait des résultats encourageants. Alice se rapprocha d’elle, et embrassa Tinuviel sur les lèvres, une lueur profondément inquiétant se dessinant dans ses yeux bleus.
« Je ne veux pas te perdre… Tu es ma Maîtresse… »
Mais elle était aussi têtue qu’on pouvait imaginer les elfes. Alice sentait bien, à son grand regret, qu’elle n’arriverait pas à la faire changer d’avis là-dessus. Quelle idiote !
*Je n’aurais pas dû en parler…*
Mélinda était l’une des rares personnes au courant de cela, mais Alice n’avait pas tout dit… Elle n’avait pas dit que, si elle voulait sauver Sakura, une part d’elle-même estimait que Sakura l’avait abandonnée… Car, et ça, seule Mélinda le savait, Sakura n’avait pas été kidnappée par les Formiens. Elle était partie volontairement, et, si Alice essayait de se dire que Kerrigan l’avait manipulée, une autre partie d’elle-même se disait que Sakura, de base, était Formienne, et qu’elle avait donc été vers ceux qu’elle considérait comme étant sa vraie famille.
Alice enlaça alors Tinuviel, en se plaquant contre elle.
« Ne fais rien de stupide… »
Elle l’embrassa encore, sur les lèvres.
« J’ai encore besoin de toi ! »
-
Elfe rouge aurait peut être réagit de manière différente si elle avait su que Sakura était allait d’elle-même chez les formiens. Mais rien n’était sure. Après tout, ce qui la motivait était surtout la douleur d’Alice d’avoir perdu son épouse. Mais elle ne comptait pas partir tout de suite. Non, elle avait encore bien à faire.
Elle caressa lentement la joue de Talia, souriant doucement avant de faire signe à Alice de se lever. La terranide savait ce qu’il se passait. Elle voulait protester. Mais elle savait que c’était peine perdue. Elfe rouge était têtue, bien trop pour lui dire quelque chose.
-Talia mon amour. Je dois discuter avec Alice.
La louve soupira lentement avant de répondre lentement à la maitresse des lieux.
- Vous savez que c’est de la follie… Vous savez que vous n’avez aucune chance… Alors pourquoi ?
Elle se résigna, simplement… Elle savait qu’il n’y avait rien à faire lorsque l’elfe rouge prenait une décision, elle s’y tenait. Surtout si cette décision concernait l’une d’entre elles. Le pire était sans doute qu’il ne restait rien de cette pauvre demoiselle. Rien d’humain en tout cas. Il était sans doute trop tard, son esprit était sans doute brisée, et elle, condamner à souffrir… A souffrir encore et encore…
La louve se blottit lentement contre sa maitresse, faisant tout ce qu’elle pouvait pour chasser cette sensation. Elle se tourna vers l’elfe en disant.
-Je sais qu’il est trop tard et que vous avez déjà pris votre décision… Soyez juste prudente.
Elfe rouge eut un léger sourire avant d’embrasser Talia et de faire la même chose avec Alice.
-Je ne compte pas non plus faire n’importe quoi. Ce genre de chose demande énormément de préparation. D’une part, il nous faut des informations, je n’ai pas envie de me retrouver avec une boule de feu foireuse, le moment venus. A cela, il va me falloir des alliés… Hum… oui, cela prendra du temps mais nous arriverons à la sortir de la.
Elle eut un petit sourire caressant lentement la joue d’Alice en disant doucement.
-Pendant ce que j’attends de toi que tu continues les recherche, nous devons être sure qu’elle soit toujours en vie. Et qu’il est possible de la récupérer sans danger.
Oui, cela s’annoncait comme une longue quête, mais l’elfe rouge était prête.
-
La sortir de là... Alice, néanmoins, n’était pas sûre d’en avoir vraiment envie. Sarah Kerrigan avait attaqué Sylvandell pour récupérer des informations génétiques sur les dragons dorés, mais elle s’était heurtée aux Novaquiennes, et, à défaut, s’était rapprochée de Sakura. Sa femme avait mené des recherches sur ses origines génétiques, et avait découvert qu’elle avait, dans le corps, des gènes formiennes, qui expliquaient son pouvoir de Terramorphie. Sarah lui avait dit que le meilleur moyen d’exploiter son potentiel était de venir avec elle, et Sakura avait choisi de le faire. Elle avait dit à Alice de ne pas venir la rechercher, qu’elle-même reviendrait, en lui confiant la charge d’Ayano... Alice lui avait dit de ne pas y aller, que c’était suicidaire, que les Formiens étaient dangereux. Est-ce que Sakura voulait vraiment être sauvée ? Et est-ce qu’Alice avait vraiment envie de la récupérer ? C’était elle qui l’avait abandonnée, pas l’inverse... Mais ce genre de choses, elle ne pouvait pas vraiment en parler à Tinuviel, et ce essentiellement parce qu’Alice était un peu perdue.
Talia les avait laissé, non sans se rallier à l’avis d’Alice, en soulignant le caractère, non seulement dangereux, mais aussi probablement vain de cette quête. Mais Tinuviel était butée, et expliqua à Alice qu’elle le ferait, mais qu’elle aurait besoin de davantage d’informations. Soupirant légèrement, la Princesse se mordilla les lèvres. La main de Tinuviel caressait sa joue, et elle posa les siennes sur ses hanches.
« Je... Je continuerai mes recherches, oui... »
Alice l’embrassa alors, et se pinça ensuite les lèvres, son corps contre le sien :
« Mais ne vous mettez pas en danger, ce... C’est avant tout moi que ça concerne. »
Il semblait effectivement bien vain de vouloir la faire changer d’avis. Bien sûr, Alice aurait pu lui dire toute la vérité, à savoir que Sakura s’était d’elle-même rendue chez les Formiens, mais... En fait, elle ne savait pas trop pourquoi elle ne le disait pas encore. Peut-être que ça ne paraîtrait pas crédible ? Ou peut-être qu’elle estimait que cette information ne concernait qu’elle et Sakura ?
*Bah, ne sois pas idiote, tu l’as bien dit à Mélinda !*
Elle soupira alors, en fermant les yeux, puis reprit finalement :
« Je... C’est elle qui est partie vers eux, Tinuviel, alors... Je ne suis même pas sûre qu’elle veuille être sauvée. Elle... Elle avait découvert que ses pouvoirs étaient d’origine formienne, et... Je lui ai dit que c’était une mauvaise idée, mais elle a décidé de partir là-bas, dans la Fourmilière, afin de se renseigner sur ses origines... Alors, vous comprenez... Je... Je ne sais pas quoi faire ! »
-
Cette découverte fit un choc à l’elfe rouge. Ainsi Sakura était partie d’elle-même en direction des formiens. Elle avait choisi de quitter sa famille et son épouse. Pour autant, l’elfe rouge était certaine que la demoiselle reviendrait vers Alice si on lui en laisser la chance. Elle eut un petit sourire prenant sa petite Alice dans les bras, lui caressant doucement la joue avant de lui dire doucement.
Elle resta lentement comme cela. Sa pauvre petite soumise avait perdu son épouse et cela elle le comprenait. Oui, elfe rouge avait perdu une de ses épouses de nombreuses fois. Mais il y avait tout de même une différence.
-Je sais Alice, je sais que cela t’as fait mal. Que tu t’es sentie trahie.
Elle lui déposa un léger baiser sur les lèvres avant de la regarder dans les yeux et de lui dire doucement.
-Mais essaye tout de même ma chérie, de lui pardonner. Je suis sure qu’elle s’est juste égarée et que au fond, elle ne veut que revenir vers toi. Nous la trouverons et nous
Elle eut un petit sourire. Oui, l’elfe rouge était très optimiste. Peut être trop, mais elle espérait que la petite princesse retrouve son épouse. Elle pouvait voir dans ses yeux, la princesse aimait toujours Sakura. Alors, l’elfe rouge ferait tout son possible pour l’aider. Elle eut un petit sourire avant de déposer un dernier baiser sur son front.
-Rassure toi Alice, je reste avec toi, je serais toujours là. Ta maitresse ne te laissera pas seule, alors ne t’inquiète pas mon petit amour. Je ne compte pas disparaitre. Mais non, cette affaire ne concerne pas que toi. Tu es entrée dans notre famille Alice. Et à ce titre nous partageons tes joies et tes peines. Mais surtout nous sommes là pour t’aider. Voila pourquoi cela nous concerne Alice. Et voila pourquoi nous irons retrouver ton épouse pour essayer de la ramener avec toi.
Elle embrassa lentement alice, souriant doucement avant de caresser doucement son dos, laissant sa langue jouer avec celle de la petite blonde le temps d’un doux baiser. Elle voulait rassurer sa petite esclave. La réconforter. Mais surtout, elle voulait qu’Alice se sente aimée. Car c’était sans doute ce dont avait le plus besoin la petite blonde en ce moment. Car, si elle n’était pas dans la tête D’Alice, elle se souvenait de la douleur qu’elle avait vécue lorsqu’elle avait perdu Mjoll… Si elle avait survécut à ce chagrin d’amour, c’était sans doute grâce à son harem… Et aujourd’hui, Alice était dans cette situation. Alors l’elfe rouge espérait que cela la soignerait elle aussi.
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Alice ne savait plus quoi en penser. Oui, elle pensait toujours aimer Sakura, mais… Et bien, ce mariage ne s’était clairement pas déroulé comme elle l’avait pensé. Il est vrai qu’elle s’était mariée hâtivement, un mariage provocant qui avait fait bondir quantité de nobles ashnardiens. Sylvandell était un lot intéressant pour bien des clans et des familles de l’Empire, car tous savaient que seul un Korvander pouvait commander les dragons, et avoir les dragons dorés de Sylvandell avec soi, c’était un atout non négligeable. Dans bon nombre de conflits, les dragons dorés avaient, tôt ou tard, eu un impact décisif, et ça, nul ne l’ignorait. Dès lors, quand le mariage entre Alice et Sakura Konoe, vulgaire esclave, avait été publié, ce conte de fées avait été attaqué en justice, les attaquants soulevant des causes de nullité absolue du mariage, afin d’en obtenir l’annulation. Le mariage avait survécu, mais, assez rapidement, les choses avaient eu un tournant différent. Difficile d’expliquer en quoi, mais Alice avait toujours eu du mal à se rapprocher vraiment de Sakura. D’une part, la jeune femme n’aimait pas parler de son passé, n’avait pas envie de revenir sur Terre, et, d’autre part, elle avait toujours été distante. Initialement, il avait s’agi, pour elle, de s’entraîner, de maîtriser ses différentes transformations au mieux, mais au détriment d’une vie de couple épanouie. Puis, ensuite, le passé de Sakura avait fini par revenir quand elle avait été rendue provisoirement amnésique, et avait fini chez Mélinda. Mélinda, qui, auparavant, avait été un autre sujet de discorde. Ancienne esclave, Sakura ne supportait pas les esclavagistes, et ce même quand Alice lui avait expliqué que Mélinda était une ancienne esclave, et qu’elle n’était pas aussi méchante que les individus qu’elle avait rencontré. Il avait fallu l’amnésie de Sakura pour que sa position change au regard de Mélinda, mais cette amnésie avait aussi eu, pour effet pervers, d’inciter Sakura à vouloir en savoir plus sur son passé, et sur ses origines.
Et voilà comment elles en étaient arrivées là, à former un couple-fantôme, et Alice savait que son mariage serait attaqué sous peu, et qu’il volerait en charpie. Juridiquement, à Ashnard, le mariage était très souple, par rapport à Nexus, mais il y avait, néanmoins, quelques règles fondamentales à respecter, notamment au niveau des obligations des mariés. Une séparation de corps qui durait longtemps pouvait poser des problèmes aux tiers, notamment aux créanciers. Historiquement, les juges avaient eu à trancher des questions compliquées, car, normalement, dans un mariage, les époux étaient solidaires de toutes les dettes contractées pendant le mariage, sauf à prévoir, spécifiquement, dans la convention, que, à défaut d’indication, un bien ou un emprunt réalisé par l’un des époux n’engageait que lui, et non la communauté. Ces questions étaient épineuses dans le cas où l’époux était parti depuis longtemps, et avaient conduit les juges à admettre qu’un tiers pouvait demander le prononcé d’une séparation de corps dans un mariage. Or, en cas de séparation de corps, quand cette dernière durait plusieurs années, il était, là encore, possible d’en demander le divorce, qui était de droit, sauf motif légitime, comme une longue campagne militaire qui justifiait une absence prolongée.
En clair, le mariage d’Alice était en suspens, et chaque jour qui passait continuait à le plomber, calendrier judiciaire se calquant sur ses émotions. Et le pire, dans tout ça, et Alice en revenait toujours là, c’est que Sakura elle-même avait décidé de partir, de suivre la Reine des Lames.
Tinuviel lui glissa alors que, elle, elle ne l’abandonnerait jamais, et Alice, silencieusement, s’enfouit contre elle, venant enrouler ses bras autour de son corps, pour partager, avec Tinuviel, un câlin, empreint de douceur et de tendresse. Puis les deux femmes s’embrassèrent, sensuellement, et Alice rompit le baiser au bout de quelques secondes, avant de cligner des yeux.
« Je sais… C’est pour ça que je suis venue là, Tinuviel… Pour compter sur toi, et pour me ressourcer… »
Elle avait conscience de l’étrangeté de sa demande, mais Alice n’avait pas envie de déprimer ici, et, pour ça, elle ne connaissait qu’un seul remède, très efficace, et qui, pour l’heure, ne l’avait jamais déçue. Mains posées sur les épaules de son amante, elle reprit alors :
« Fais-moi l’amour, Tinuviel… S’il-vous-plaît, Maîtresse… »
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Tinuviel était vaguement au courant des lois Ashnardienne, mais elle privilégié celle de Nexus pour certaine raison, notamment celle-ci. Si jamais elle venait à disparaitre, ses épouses resteraient protégées.
Elle prit lentement la belle blonde dans les bras, lui caressant doucement la joue avant de la guider tranquillement jusque dans sa chambre. Oui, elle allait faire l’amour à sa femme. Mais pas ici. Elle lui glissa donc doucement à l’oreille.
-Oui, ma petite Alice, je vais te faire l’amour. Mais laissons quelques instants ta soumission. Je pense qu’actuellement tu as besoin de tendresse.
Elle l’embrassa une nouvelle fois avant de lui mordiller lentement le cou, souriant doucement avant de terminer.
-Mais tu reste quand même ma soumise, c’est une parenthèse dans ta servitude d’accord ?
Elfe rouge la guida jusqu’à sa chambre, souriant doucement avant de la poser lentement sur son lit avant de lui caresser la joue et de la laisser quelques temps pour peaufiner l’ambiance. Elle alluma quelques bougies parfumées avant de retourner voir son épouse, commençant lentement par l’embrasser, caressant tendrement sa joue avant de descendre sur sa tenue, déposant quelques baisers. Elle termina sa route au niveau du ventre de la demoiselle. Celui-ci s’était déjà légèrement arrondit. Bientôt sa petite princesse donnerait naissance.
-Tu sais que tu es mignonne comme cela ma petite Alice ? Je vais bien prendre soin de toi.
Elle l’embrassa une nouvelle fois, avant de lui ôter lentement ses bottes à talons. Elle la regarda tranquillement, lui disant simplement.
-Le blanc te va bien Alice. Je me demande ce que cela donnerait en robe de mariée ? Ta tenue était parfaite, mais je reste curieuse de te voir dans une jolie robe.
Elfe rouge eut un grand sourire avant de commencer à lui retirer son corset. Elle comptait pour cette fois ci, lui laisser ses gants. Oui, sentir le satin sur sa peau serait une sensation délicieuse.
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Faire l’amour doucement ou brutalement ne changerait pas grand-chose pour Alice, tant que les deux femmes pourraient effectivement le faire. Elle suivit donc Tinuviel dans sa chambre, et laissa la femme la déshabiller. Au final, Alice se retrouva nue, conservant ses longs gants blancs, et vit que l’elfe avait son armure rouge dragonique, ce qui amena Alice à se mordiller les lèvres. Le sexe, c’était une aliénation, un moyen de s’enfuir, d’échapper à des pensées troublantes et douloureuses, comme ce qu’elle ressentait en ce moment. La Princesse était donc face à Tinuviel, assise sur son lit, et sourit quand cette dernière lui indiqua que le blanc lui allait bien.
« Tu sais, si tu veux me voir en tenue de mariée, tu n’as qu’à donner l’ordre... Je serais ravie de me glisser dans n’importe quelle tenue que ma Maîtresse souhaite... »
Oui, Tinuviel avait beau dire, en ce moment, elles feraient l’amour comme deux femmes aimantes, il n’en restait pas moins vrai que, fondamentalement, Alice restait l’esclave de sa Maîtresse. Tinuviel était une femme forte, une elfe talentueuse, dotée de pouvoirs magiques, et qui, en prime, se payait le luxe d’être d’une beauté à toute épreuve. Alice la rejoignit donc, et l’embrassa, en s’asseyant sur ses cuisses, une main sur son épaule, l’autre caressant son plastron. Elle l’embrassa goulûment, plaquant sa bouche contre la sienne, enfonçant sa langue en elle, yeux clos, en soupirant de plaisir, caressant son épaule et son armure, avant de remonter l’une de ses mains pour frotter sa joue, glissant doucement et tendrement sur sa peau.
Tinuviel avait une peau magnifique, extrêmement douce, à la manière des elfes, et Alice rompit le baiser au bout de longues secondes d’une étreinte passionnée et passionnelle.
« Je t’aime, Tinuviel... Et mon corps est à toi, ma chérie... »
Elle alla ensuite l’embrasser dans le creux du cou, léchant sa peau.
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L’elfe rouge embrassa tendrement le corps de sa petite esclave, glissant lentement ses mains sur ses divines courbes. Elle laissait parler la sensualité de ses gestes pour exorciser les mauvaises pensées de sa pauvre petite soumise.
Elle comptait lui ouvrir tous l’amour et toute la tendresse dont elle disposait à cet instant afin de réparer le cœur de sa pauvre petite Alice et pour cela, l’elfe rouge avait une idée. Elle prit le temps de l’embrasser avec douceur, retirant finalement son armure draconique pour finalement ne faire plus qu’une avec sa petite Alice.
Elle laissa son corps fondre avec celui de sa princesse dans une étreinte sensuelle. Ses mains s’attaquant lentement aux délicieuses formes de la princesse, laissant durer le plaisir y allant avec une lenteur savamment calculée pour que la jeune princesse en redemande encore et encore.
Pourtant en plein milieu, l’elfe rouge s’arrêta et la regarda droit dans les yeux pour lui dire.
-Je t’aime aussi Alice, et quoi qu’il se passe, je serais la pour toi, ne l’oublie jamais.
Une fois ce petit rappel fait, lelfe rouge l’embrassa avec passion, jouant finalement avec sa langue alors que son corps frottait doucement celui de sa petite esclave. Sa main descendit finalement vers le basins de la jeune princesse, caressant doucement celui-ci avant de commencer à aller plus loin dans les caresses.
Désormais l’elfe concentrait ses actions sur le bassin de sa petite alice, jouant de ses doigts fins sur sa rose qui lentement s’humidifiait. Elle continuait cependant, à frotter son corps contre celui de sa petite princesse, lui offrant de temps en temps de tendre baiser afin de maintenir entre elle cette ambiance particulière.
L'elfe rouge était curieuse de voir si Alice irait plus loin ou si elle attendrait gentiment que sa maitresse prennent les rênes.
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On disait des elfes rouges qu’ils étaient des individus faits pour la passion et le désir. Cette réputation, visiblement, était largement fondée. Alice se retrouva seule avec Tinuviel, sa Maîtresse ayant la lourde tâche de lui faire oublier les problèmes qu’Alice rencontrait actuellement avec sa femme. Cependant, si Tinuviel était une elfe pleine de passion, Alice, elle, avait, en elle, le feu bouillonnant du Dragon, un feu qui avait pour effet de réveiller ses ardeurs, surtout sexuelles. Et le feu était là, dans son estomac, dans son bas-ventre, s’immisçant dans toutes les parties de son corps, dans toutes les strates de son être. Il resta là quand, devant elle, sa Maîtresse se délesta de son armure, qui tomba sur le sol dans des cliquètements, révélant son corps nu, parfait, anguleux, légèrement musclé, et d’une grâce infinie, conformément à l’image qu’on se faisait des elfes. Alice en déglutit silencieusement, rougissant de plaisir, avant de la voir s’approcher d’elle. Elle était alors assise sur le rebord du lit, et, d’une élégante main, Tinuviel la fit chavirer sur le lit.
Couchée, la jeune femme cligna des yeux, puis vit, ensuite, sa Maîtresse se serrer contre elle, frottant son corps au sien, ses mains se joignant aux siennes au début, avant de descendre caresser son corps.
« Hum… ! »
Se mordillant les lèvres, Alice sentit Tinuviel l’embrasser dans le creux du cou, pour continuer à la caresser. Ses mains glissèrent sur ses hanches, sur son ventre, frottant sa doucereuse peau, avec un talent inné, presque surnaturel. Comment chacune des caresses de la femme faisait pour l’exciter ? C’était comme si, à chaque caresse, l’elfe frottait et palpait ses zones érogènes, déclenchant, chez Alice, de multiples frissons d’excitation, contre lesquels elle ne pouvait pas faire grand-chose.
« Haa, Tinuviel… ! »
Impossible de lui résister, impossible de la repousser, elle était victime des magnifiques et sensuels assauts digitaux et buccaux de sa Maîtresse.
« Maî… Maîtresse, hmmmm… !! »
Tinuviel retourna l’embrasser. Alice se laissait doucement faire, mais en resta pas, pour autant, totalement inactive. Ses mains caressaient et se crispaient contre le dos de Tinuviel, tandis qu’elle haletait, couinait, et gémissait… Puis elle finit par les faire descendre, et, tout en se mordillant les lèvres, vint les poser sur les fesses de la femme, s’amusant, ainsi, à les malaxer, à les serrer, et à les presser.
« Haaaa… !! »
Et Alice l’embrassa encore, mordillant sa lèvre inférieure en redressant sa tête, tout en écartant bien les jambes, afin de faciliter les pénétrations digitales de Tinuviel. Il n’y a pas à dire, sa Maîtresse savait y faire, et, pendant tout ce temps, les mains d’Alice, elles, vinrent pétrir ses délicieuses fesses, s’amusant à malaxer ce beau petit cul qu’elle tenait là.
« Vous… Vous êtes si belle, Maîtresse, haaann… »
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L’elfe rouge avait souhaité que cette fois ci, les deux amantes se fassent l’amour de manière plus douce et plus tendre. Pourtant la passion montait peu à peu et cela pouvait se sentir, les gestes se faisaient plus osés. Mais au fond, c’était peut-être ce qu’il fallait à Alice, quelqu’un qui prenne les rênes et qui la guide. C’était peut-être pour cela qu’elle était revenue à ses coté.
En attendant, l’elfe rouge profitait juste de l’instant présent et des petites caresses de son amante sur ses fessées. Elle l’embrassa une nouvelle fois, souriant doucement avant de lui dire.
-Tu es belle aussi Alice. Ma petite épouse, ma soumise, et mon amour.
Elle continua lentement ses caresses, frottant ses doigts contre chaque centimètre carré de peau de la petite princesse. Déposant quelques baisers dans son cou ou sur ses lèvres avant de recommencer à la doigter doucement. Il était clair que l’elfe rouge prenait son pied, cela pouvait facilement se voir.
Elle caressait tendrement la poitrine ou le bassin de sa petite alice histoire que celle-ci ne monte pas trop rapidement jusqu’à l’orgasme libérateur. Le but du jeu était après tout de faire un peu languir la petite princesse, qu’elle se perde dans cet océan de plaisir et de tendresse.
L’elfe rouge eut un petit sourire avant de descendre lentement embrassant le torse de la jeune femme avant de déposer un baiser sur son intimité et de passer lentement sa langue sur le clitoris. La maitresse du jeu semblait estimer qu’alice avait assez attendu et elle était prête à lui accorder la jouissance, faite d’un savant mélange entre doigté et cuni. Elle ne doutait pas que ce petit traitement plairait à la demoiselle et si jamais celui-ci ne suffisait pas. Elle avait bien une autre idée en tête.
-jouis ma petite Alice, montre a ta maitresse comme tu aime ce qu'elle te fait.
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Alice et Tinuviel continuaient à se faire l’amour, leurs ébats rythmés par les talents exceptionnels de l’elfe rouge. Oui, indéniablement, l’elfe était douée, expérimentée, faisant preuve de tout son art pour faire plaisir à Alice, multipliant les baisers et les caresses. Elle glissait le long de son corps, entretenant son désir et ses envies. C’était comme si une agréable chaleur régnait dans son corps, remontant doucement en elle. Alice soupirait, encore et encore, se tortillant sous les multiples assauts linguaux de la femme. Douée et expérimentée, Tinuviel continuait à la titiller, sa bouche descendant de plus en plus, jusqu’à se rapprocher de son sexe.
« Hoooo, Tinuviel, haaa... Maîtresse, hmmm... »
Subjuguée par tout ce qu’elle subissait, Alice ne pouvait que se laisser faire, l’elfe rouge se rapprochant finalement de son intimité, pour alterner entre sa langue et son doigt. Il n’y avait pas à dire, sa Maîtresse était douée, terriblement douée. La manière dont elle léchait son sexe, glissant dessus, était tout simplement magnifique. Son corps frémissait sous l’excitation qu’elle ressentait, son intimité ruisselant sous la cyprine. Elle glissait contre les lèvres de la femme, et, d’une main, Alice caressait les cheveux de sa Maîtresse, de sa talentueuse Maîtresse, qui était en train de la faire gémir comme jamais.
Les jambes d’Alice remuaient sur le lit, contre le corps de Tinuviel, et elle continuait à onduler, tout contre le lit, tout en soupirs et en gémissements. Voilà qui faisait un grand plaisir. Son corps continuait à se tortiller sous elle, et, comme on pouvait s’y attendre, le plaisir d’Alice finit par atteindre le point culminant.
« Hmmmmmmmmmmmmm... !! »
Dans un ultime soupir, et un ultime mouvement du corps, Alice s’abandonna contre la femme, son autre main venant se crisper sur ses cheveux. L’orgasme fusa donc, joyeusement, éclaboussant les lèvres de Tinuviel.
« Oooooh Maîtresse... Hmmmmm... Vous... Haaaa... Je t’aime... »
Elle parlait d’une voix basse, soupirant, comme si le plaisir l’avait écrasé.
Une merveilleuse sensation.
-
Elfe, loin d’être gênée par la jouissance de sa petite esclave déposa un doux baiser sur son bassin avant de remonter vers le visage de la jeune femme et de la prendre doucement dans les bras. Peut être que sa petite chérie serait désormais plus heureuse la tête vide de tous ses problèmes. Elle déposa un léger baiser sur les lèvres de sa douce, lui caressant lentement sa belle chevelure en disant doucement.
-Repose toi ma chérie. Repose toi, la vie en toi aura besoin de force pour éclore.
Plus elle y pensait et plus l’elfe voyait cela comme un test avant potentiellement de donner à la princesse la possibilité de porter son enfants. Ce n’était pas encore certain mais l’elfe rouge envisageait de plus en plus cette possibilité.
Elle eut un petit sourire avant de lui caresser lentement la joue, restant contre elle un long moment. Oui, sa petite chérie venait de dire quelque chose qui lui aurait sans doute value une fessée, mais l’elfe s’en moquait bien. Elle eut un petit sourire, l’embrassant avec douceur avant de lui dire.
- Je t’aime aussi ma petite Alice… Dans quelques années tu deviendras une puissante reine, aimée et respectée par son peuple… mais tu resteras toujours ma petite esclave…
Elle l’embrassa doucement avant de lui demander.
-J’aimerais te poser une question Alice ? Que se passerait il si l’on apprenait notre liaison. Je ne parle pas des détails, mais juste de notre mariage. Est-ce que cela aurait une incidence sur toi ou pas ?
Elfe rouge ne voulait pas mettre en difficulté sa belle petite princesse. Mais elle avait besoin de savoir si elle pouvait ou non clairement afficher sa relation avec la petite princesse. En effet, elle avait une petite idée et mais cela voudrait dire dévoiler au grand jour sa relation avec Alice.
-
Tinuviel venait de la faire jouir, un orgasme parmi tant d’autres, et qu’Alice accepta volontiers. Elle appréciait tout de ce moment passé ici, au harem… Que ce soit les caresses de Tinuviel, les autres amantes, ou même le fait de s’être mariée. Alice, se reposant contre le lit, sentait sa Maîtresse lovée contre elle, caressant son corps, l’embrassant doucement, tout en lui glissant que, même quand elle sera Reine, elle restera son esclave. Alice en eut un léger sourire, rougissant à cette idée. Sans trop pouvoir se l’expliquer, elle trouvait ça… Etrangement excitant. Être à la fois une Reine d’un puissant État et l’esclave d’une elfe rouge. C’était clairement un choix volontaire, car, le jour où Alice sera Reine, elle sera encore plus libre d’elle-même et de ses choix, et personne ne pourra la soumettre sans son accord.
L’elfe rouge l’incitait donc à se reposer, et Alice acquiesçait, sa main venant régulièrement caresser son ventre, là où un œuf était doucement en train de grossir, prêt à éclore. Un œuf qui aurait dû disparaître dans son corps, mais qui, pour d’étranges raisons, semblait être en train d’abriter la vie.
« J’aime l’idée d’être ton esclave à vie, Tinuviel… Tu es ma femme, et ma Maîtresse… »
Dans le plaisir, elle avait glissé qu’elle l’aimait, ce qui était une évidence. Alice aimait Sakura, bien sûr, mais cet amour n’était pas exclusif. Tinuviel était une femme empreinte de qualités. Elle était belle, terriblement et incroyablement belle, et Alice frissonnait à chacun de ses baisers. Ses mains caressèrent ensuite doucement le corps de sa Maîtresse, ses hanches et ses cuisses, puis l’elfe lui posa ensuite une question sur le caractère public de leur union.
Une question qui, de fait, interpellait déjà Alice. La tête blonde s’en mordilla doucement les lèvres, avant de lui répondre :
« C’est… C’est difficile à dire, Tinuviel. Ashnard n’est pas Nexus, et le mariage, à Ashnard, n’a pas le caractère sacré qu’on lui donne de l’autre côté du continent. Le droit ashnardien tolère et reconnaît la polygamie ou la polyandrie. Légalement, rien ne m’interdit d’avoir plusieurs femmes, en fait… »
Il était clairement prévu par le droit sylvandin que l’époux royal n’avait aucun droit à la succession, car le Souverian n’était que dépositaire de la Couronne, exerçant le pouvoir au nom de Sylvandell. La Couronne, autrement dit, constituait un bien inaliénable, car il était la chose commune. Et, au-delà de ces considérations techniques, la légitimité du souverain venait du renouvellement du pacte sacré entre le Dragon d’Or et le futur roi. C’est de là que tout découlait, à Sylvandell : la filiation unique, l’absence de prise en compte d’un mariage, etc…
Alice se pinça donc les lèvres, avant de reprendre :
« Le seul problème, c’est que… Si les gens apprennent que je suis ton esclave, ceci remettra en cause ma légitimité. Je… Je ne vois aucun problème à être ton esclave, Tinuviel, au contraire… J’aime l’idée d’avoir une Maîtresse belle et forte comme toi, mais, s’il faut révéler ça au public, mieux vaut se contenter de dire que nous nous sommes juste mariées. »
C’est un mariage qui ne surprendrait guère Mélinda, car son amie vampirique savait toute l’affection qu’Alice portait à Tinuviel.
Tout en disant ça, la jeune femme s’était légèrement redressée, et enchaîna alors :
« Mais… Pourquoi cette question ? »
Était-elle purement anodine ? Ça, Alice n’y croyait pas trop…
-
Elfe rouge semblait heureuse que sa petite princesse continue a la considérer comme sa maitresse le jour où celle-ci deviendrait une puissante reine. Elle eut un petit sourire, Nexus était un pays ou l’ordre immaculée était plus présent en apparence mais il suffissait de gratter un peu pour comprendre que tout cela n’était qu’une facade.
Elle déposa un léger baiser sur le front de son épouse, écoutant ses craintes et ses doutes alors que sa petite princesse lui demanda ce qu’elle avait en tête. Il semblait que l’elfe devait prévisible, ce n’était pas bien grave, car l’elfe rouge était sure que ce qu’elle allait dire intéresserait sa petite princesse…
-En effet, j’ai quelques idées en tête ma chérie. Rassure toi, pas dire au monde entier que tu aimes te faire fouetter le cul et lécher les talons d’une elfe magnifique… Non… cela restera entre nous.
Elle embrassa lentement sa petite Alice avant de dire.
-Ce qui m’inquiète, c’est que la disparition de Sakura. Tu risque d’avoir de nombreux prétendant qui risque de te tourner autours pour avoir une place sur le throne. Le fait de savoir que la place est prise pourrait en refroidir certain.
Elle déposa un autre baiser sur le front de la demoiselle. Lui caressant lentement la joue avant de lui dire tendrement.
-IL y a autre chose mon amour. Vois-tu, tu n’es plus la seule princesses de ce harem. Reconnaitre officiellement notre mariage aurait comme conséquence à la fois de faire en sorte que ton royaume devienne allié à celui de mes autres épouses. Mais en plus, tu pourrais profiter de matière première et de l’influance de mes autres épouses.
L’elfe rouge avait dans l’idée à force de créer une véritable super puissance. Elle utiliserait ses relations et ses épouses pour interdire petit à petit l’esclavagisme ou tout du moins changer les règles afin que les esclaves soient mieux traités. Les choses changeront petit à petit.
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Tinuviel lui cachait visiblement des choses. Que préparait-elle ? Est-ce qu’elle comptait faire de son harem un refuge à princesses perverses aimant se faire soumettre ? Alice savait l’elfe puissante et riche, mais elle ne pensait pas que la femme aurait des visées politiques. Après tout, elle avait bâti son harem dans un endroit isolé, pour être tranquille, étant ainsi bien éloignée de la rivalité traditionnelle entre Nexus et l’Empire d’Ashnard. Alice ne la voyait donc pas comme une femme désireuse d’avoir une quelconque fonction publique, mais plutôt comme une elfe rouge qui avait choisi de se prendre une sorte de retraite dorée. La Princesse, de faite, ne savait pas grand-chose du passé de Tinuviel. Elle savait que, pour une elfe, Tinuviel était relativement jeune, n’ayant « que » deux siècles d’existence, et qu’elle venait d’Elistarnis, une importante cité elfique, qui était historiquement l’un des fiefs des Elfes du Soleil. Alice avait trouvé différentes informations sur Elistarnis, son apogée puis son déclin quand la cité avait commencé à mener des guerres territoriales, après la mort d’Enelrok. La magie était au cœur des Elfes du Soleil, qui disposaient, à ce titre, de puissants boucliers magiques entourant leurs cités, ce qui les avait protégés tout au long de leur histoire. Aujourd’hui, le royaume elfique avait largement perdu de sa superbe, et comprenait beaucoup de cités abandonnées ou appauvries, comme Elistarnis, même si les raisons précises de son déclin n’étaient pas connues d’Alice.
Mais, sur Tinuviel, Alice avait obtenu peu d’informations. Elle ignorait si les Lastrim étaient une puissante famille elfique locale ou non. Elle était sûre que Tinuviel avait reçu une formation magique, mais ses informations s’arrêtaient là. Qu’est-ce qui avait amené Tinuviel à ouvrir un harem dans le désert ? Alice l’ignorait. En fait, elle avait aussi espéré profiter de ses retrouvailles avec Tinuviel pour en savoir plus sur elle… Et c’était précisément ce qui se passait en ce moment, où la jeune femme découvrait une facette de l’elfe qu’elle ne connaissait pas encore.
Intriguée, elle la regardait donc, avant de lui sourire.
« Je ne te savais pas si influente, Tinuviel… Mais je ne peux guère prétendre être surprise, tu es ma Maîtresse. »
Elle l’embrassa sur le coin des lèvres, avant de rester blottie contre elle. Alice ne savait pas si cette douceur était propre à Tinuviel ou commune aux elfes solaires, mais elle aimait être contre le corps de Tinuviel. Sa peau était à la fois douce et chaude, très agréable.
« Tu n’as pas à t’en faire pour d’éventuels prétendants… Enfin, il y en aura, mais je sais les gérer. Cependant, s’ils apprennent que tu es ma femme, ils se renseigneront sur toi, et chercheront n’importe quelle faille à exploiter. »
Tout en parlant, elles se caressaient mutuellement, tendrement. C’était le genre de conversations qu’on aurait imaginé dans un bureau, mais Alice, avec Tinuviel, ne se voyait pas autrement que dans un lit, à subir les assauts de sa douceur.
« Maintenant, je serais ravie de faire affaire avec tes épouses… Qui sont donc aussi un peu les miennes, par voie de conséquence. Sylvandell a une tradition belliciste qui ne me convient pas. Je veux faire évoluer les choses, je veux arrêter ces guerres absurdes qui ensanglantent Terra depuis des années, et qui ont des conséquences gravissimes. Ashnard n’a pas été fondé pour la guerre, mais pour répandre des vertus morales et sociétales apportées de Nexus et de Tekhos. L’Empire s’est perdu en cours de route, a oublié son cap initial… Je veux faire changer les choses, et je pense que renforcer le commerce, à Sylvandell, est un bon moyen de le faire. »
Malgré sa propension à la soumission, Alice restait une femme très intelligente, qui avait, pour Sylvandell, une ambition certaine. Elle se redressa ensuite un peu, pour pouvoir mieux regarder son aimée, et reprit :
« Alors, dites-moi, Maîtresse… Jusqu’où s’étend votre influence, hum ? Avec qui mon royaume fera affaire ? »
Tout en disant ça, elle s’était rapprochée de Tinuviel, l’embrassant tendrement dans le creux du cou.
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L’information était sans doute la ressource la plus précieuse existante. Ainsi, elfe savait son possible pour ne donner des informations qu’à ceux et celles à qui elle faisait pleinement confiance. Alice faisait désormais partie de cette catégorie de privilégier.
Cependant la petite blonde avait rapidement compris les plans de sa maitresse. Via ses mariages, sa petite princesse ainsi que ses autres épouses avaient de nombreux avantages.
Elle déposa un petit baiser dans son cou, continuant à garder sa petite Alice contre elle, répondant à chacune de ses provocations avec un ou deux baisers. Elle se contenta de lui dire doucement.
-Je vois que tu as compris l’intérêt qu’il peut y avoir à profiter de ce système d’alliance. Si tu veux savoir, ma petite Alice, je n’ai pas peur d’un ou deux nobliaux. Mon harem a résister à de nombreuses choses et trouver une faille risque d’être compliqué…
Elle eut un petit sourire avant de lui dire doucement.
-Concernant mes amantes, la situation est assez compliquée. Le mariage me donne le droit sur leur terre, mais la majorité sont des exilées ou on fuit, quand leurs royaumes ne sont pas que des ruines…
Elle réfléchit, prenant le temps d’expliquer la situation.
-La première est Abigaelle Blanche (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=6961#top_subject), fille d’un Duc d’un des faubourgs du Nord. Elle a cependant était bannie et un sort l’oblige à obéir à chaque ordre qu’elle recoit. Je compte cependant reprendre la ville et pour deux raisons. La vengeance… Tu sais que je déteste que l’on touche à mes chéries, vu ce qu’on lui a fait… je n’ai aucune raison pour ne pas couper une tête ou deux.
Elle eut un petit sourire sadique avant de continuer tranquillement en disant.
- La seconde est Malys Avali (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=16626#top_subject) une Sin’dorei. Et accessoirement la future régente de Silvermoon. La demoiselle trouver que cela était une trop grande responsabilité… Mais étant ma soumise, et ma femme, elle me laisse donc la possibilité de récupérer son royaume lorsque le temps sera venue
L’elfe rouge ne comptait pas pour l’instant prendre le pouvoir de cette cité. Les hauts elfes souffraient d’une dépendance sévère à la magie. Mais le jour ou l’elfe rouge trouverait un moyen de résoudre ce problème, elle comptait bien profiter de cette occasion pour prendre le pouvoir de manière légitime tout en étant adorée par la population…
-Les trois et Quatrièmes, Akila et Sameeha (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=16445#top_subject), sont deux princesses d’une cité état aujourd’hui en ruine. Cependant, je suis en train de mettre sur pied de quoi remettre sur pied leur royaume, même si ce projet risque de me prendre un temps fou.
Elfe rouge eut un dernier sourire avant de dire tranquillement.
-Enfin, il y a Shion (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=1703#top_subject) Fille du roi de Messia. Elle est également une prophétesse de talent même si elle se moque de la politique… J'adore particulièrement son petit nom, mais elle est d'une aide précieuse pour m'aider à m'occuper du harem... tu n'imagine pas.
Elfe rouge termina finalement par la dernière mais non des moindres. Eurycide, une duhullan voulant créer un pays de mort vivant.
-Et enfin, Eurycide (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=5581). Son cas est particulier puisqu’il s’agit d’une Duhullan qui souhaite créer son propre empire de mort vivant et à qui j’ai décidé de venir en aide. D’une part ce mariage me permet de la surveiller mais aussi de pouvoir la guider. Après tous, les morts méritent le repos également.
Elfe rouge eut un petit sourire avant de lui dire tranquillement.
-Voila, ma petite Alice, les princesses et reines que tu pourrais rencontrer plus tard… Toutes épouses d’une même elfe… Ta maitresse.
-
Le bref aperçu qu’Alice avait eu du harem lui avait permis de comprendre que c’était un endroit très diversifié, et très cosmopolite. En un sens, il était fascinant de voir que c’était dans l’un des endroits les plus improbables au monde (un désert relativement reculé et peuplé de créatures dangereuses) que Tinuviel avait choisi de s’installer, et ce avec un indéniable succès. Du peu qu’Alice avait vu, elle avait compris que le harem était très riche. Au cours de ses voyages, Tinuviel avait dû acquérir une considérable fortune. La femme lui parla alors de ses puissantes relations, évoquant différents noms et royaumes qui, pour la plupart, ne signifiaient pas grand-chose aux yeux d’Alice.
Les Contrées du Chaos formaient des régions particulièrement vastes, où, malgré les incursions ashnardiennes, de nombreux royaumes continuaient à vivre, et avoir une carte du monde précise était assez difficile. Les « faubourgs du Nord » n’évoquèrent ainsi pas grand-chose à Alice, car ce n’était pas vraiment un nom de royaume, plutôt une sorte de zone géographique qui, vu le nom, faisait figure de carrefour commercial, probablement à proximité des richissimes et solides Royaumes nains, des royaumes plantés dans d’épais massifs montagneux au nord de Nexus.
Silvermoon, en réalité, lui parlait. Cette cité était un peu comme Elistarnis, si ce n’est que, aux dernières nouvelles, Silvermoon était en déclin. Rares étaient, en réalité, les royaumes elfiques qui n’étaient pas en déclin. Globalement, deux schémas se dessinaient : soit les royaumes elfiques ouvraient leurs portes aux autres espèces, et étaient alors progressivement submergés, comme Nexus l’avait, historiquement, été, soit ces royaumes se refermaient sur eux-mêmes, et devenaient alors des vestiges du passé. Rares étaient les royaumes qui avaient réussi à trouver un juste milieu. Pour autant, ces royaumes existaient. Le Bosquet de Nexus en était la preuve. Au moins, Tinuviel n’avait visiblement pas d’amantes originaires du Bosquet.
Akila et Sameeha, de même, n’évoquaient rien pour Alice, tout comme Eurycide, même si l’idée d’avoir un Empire de zombies avait de quoi faire frémir, la nécromancie étant, après tout, affiliée à la magie noire. Alice écouta donc silencieusement, puis sourit quand Tinuviel indiqua qu’elle était au centre de cette toile d’araignées de relations.
« Et bien... Je ne me serais jamais doutée que tu puisses être aussi puissante, Tinuviel, même si je n’en suis pas surprise. »
Elle était sa Maîtresse, après tout.
« De mon côté, j’envisage de développer le commerce à Sylvandell, notamment en exploitant les grottes souterraines. Ces dernières renferment des gisements miniers importants, et j’ai eu ouï-dire que les Vaporéens seraient intéressés, car pensent y trouver du Solsticium. »
Vapeur était une nation qui était technologiquement en avance par rapport à Ashnard ou à Nexus, un colosse aux pieds d’argile, car, tout en ayant la capacité de faire voler des cités, ils étaient dépendants à une ressource énergétique précise : le Solsticium, un minerai magique très rare, qu’eux seuls savaient exploiter et raffiner. Or, les gisements vaporéens n’étaient pas éternels, et, pour se renouveler, Vapeur n’avait pas d’autres solutions que de se tourner vers les autres nations. Nexus, notamment, mais aussi Sylvandell. Sylvandell, en effet, avait de précieux gisements.
« Et je suis amie de Mélinda Warren... Qui a fondé un clan, maintenant. Je pense que l’idée de reconstruire la cité d’Akila et Sameeha lui plaira, car elle a beaucoup d’argent, et cherche à investir. Pour le reste... Tu comprendras que je frissonne à l’idée d’un Empire de morts-vivants, ça sonne un peu... Apocalyptique à mes yeux. Et, quant à Abigaëlle, je pourrais également l’aider... Enfin, Sylvandell a avant tout des troupes à fournir, mais quelques dragons dorés sont toujours une aide précieuse. »
Ce n’était bien sûr que des paroles prononcées sur un lit, et qui n’auraient donc jamais pu valoir un quelconque accord militaire, mais le fait est qu’Alice savait que, malgré tous ses désirs, Sylvandell restait, fondamentalement, une puissance militaire. Le royaume n’était pas connu pour ses gisements ou pour ses produits culturels, mais pour ses redoutables dragons dorés, un véritable cauchemar pour n’importe quelle armée, la mort venue du ciel.
Alice sourit alors, et alla se nicher contre l’épaule de son amante, déposant un baiser sur sa peau.
« Je suis en tout cas ravie de faire partie de votre grande famille, Maîtresse... »
-
Elfe écouta donc avec intérêt les arguments de la demoiselle, elle était clairement intéressée par certaine d’entre elles. Cette alliance avec Mélinda pourrait en effet l’intéresser mais il lui faudrait discuter des différentes conditions pour cette offre de prêt. En attendant, l’elfe pouvait toujours puiser dans ses propres coffres… Mais il faudrait attendre que ses deux petites princesses reviennent, cela faisait quelques temps qu’elle n’avait plus de nouvelle mais elle ne désespérait pas… Cependant, elle irait bientôt les chercher. Cependant la proposition d’Alice de l’aide à s’occuper des propriétés d’Abigaelle la refroidit légèrement. Elle eut un petit sourire avant de déposer un baiser sur son front.
[color=red-Je te remercie Alice, mais je ne peux pas accepter ton aide pour le royaume D’Abigaëlle. D’une part, parce qu’il s’agit d’une vengeance personnelle, et surtout parce que j’ai peur que tu te retrouves dans une mauvaise situation si l’on apprenait que tes dragons ont attaqués une citée même minime. Je pense qu’il faudrait mieux la jouer discrètement..[/color]
Elle déposa une légèrement caresse sur les lèvres de la demoiselle avant de l’embrasser. Il lui semblait important d’encourager sa petite princesse à développer le commencer pour assurer la prospérité de son royaume. D’ailleurs, sa remarque concernant Eurycide, lui tirra un léger sourire. Elle comprenait bien sur la peur d’Alice, cependant il y avait de très nombreux avantages à être la reine d’un royaume de mort.
-Je pense que tu as raison de développer le commerce et je ne peux que t’encourager sur cette voie ma chérie. Mais vois-tu je pense que tu néglige l’intérêt d’avoir des zombis… ils sont parfait pour les travaux dangereux, n’ont pas besoin de boire ou de manger… Imagine mon cœur le nombre de vie que l’on pourrait économiser avec ce type de créature.
Elle eut un petit sourire avant de continuer son discours en disant.
-Et puis, en étant moi-même l’épouse de Eurycide, je suis sure qu’elle ne fera pas de bêtise contre les vivants.
Elle eut un petit sourire caressant lentement son épouse, l’embrassant tendrement avant de glisser quelques baisers dans son cou.
-Je suis heureuse aussi ma petite Alice.
Elle rouge chevaucha légèrement la blonde, souriant avant de se pencher pour lui faire un baiser et lui dire.
-tu n’imagine pas le nombre de nuit que j’ai passé en imaginant que tu me laisser les pieds, que je te prenais encore et encore… Oui, je suis heureuse que tu sois enfin mienne…
Elle caressa lentement la poitrine de la blonde avant de mordiller son cou et de caresser son ventre… ce petit ventre qui bientôt porterait sa progéniture. Enfin peut être.
-
Malgré les arguments de sa Maîtresse, Alice restait encore peu convaincue de l’intérêt d’avoir une armée de zombies à ses ordres. Tout ça lui semblait... Un peu glauque. Tinuviel, sur ce point, la surprenait, car elle n’aurait jamais imaginé qu’une elfe puisse apprécier recourir à la nécromancie. Néanmoins, elle avait l’air sûr d’elle, aussi Alice comptait lui concéder le bénéfice du doute. Après ces conversations, Tinuviel alla ensuite l’embrasser, caressant son corps, revenant visiblement à des pensées bien plus prosaïques, et à des désirs bien plus physiques.
L’elfe rouge finit par la pousser alors, et, tout doucement, Alice se retrouva couchée sur le lit, et Tinuviel vint ensuite la chevaucher doucement, s’installant sur elle. La tête blonde se mordilla les lèvres en la sentant s’asseoir sur elle. L’elfe la dominait, avec toute sa grâce et toute sa beauté, et les joues d’Alice s’empourprèrent légèrement.
« Vous êtes si belle, Maîtresse... »
Elle était là, la dominant par son assurance, par sa version, ainsi que par sa beauté, et, quand elle se pencha vers elle, les mains d’Alice caressèrent ses cuisses, et se déplacèrent pour se saisir des belles fesses de la femme. Elle frissonna en sentant les dents de l’elfe sur son cou, gémissant, avant de sentir la main de la femme caresser son ventre, frottant l’œuf de Lamia qui était en elle3. Alice soupira encore, tout en continuant à se poser des questions. La loi sylvandine interdisait d’avoir plus qu’un seul héritier, de peur de dénaturer le lien royal qui reliait les héritiers d’Erwan Korvander au Dragon d’Or. Mais est-ce qu’Alice pourrait aller contre ? Ou est-ce qu’elle devrait, elle aussi, se cantonner à cette tradition ? Après tout, elle comptait faire évoluer le royaume, changer ce dernier en profondeur, y instaurer plus de modernisme... Mais jouer avec la magie, avec les dragons, c’était risqué.
Alice soupira donc, et continua à malaxer les fesses de Tinuviel.
« Notre... Notre enfant, Tinuviel... Il faudra que nous allions au Sanctuaire ensemble... Afin de voir si... Si je peux t’offrir un enfant sans porter atteinte à l’héritage des Korvander. »
C’était la seule solution qu’elle voyait.
« Je pense que... Que c’est la meilleure solution... »
-
L’elfe rouge eut un léger sourire en écoutant Alice, il semblait qu’elle aussi semblait avoir envie de porter sa progéniture. Elle l’embrassa doucement, caressant avec tendresse son visage alors qu’elle la surplomber toujours. Oui, sa petite Alice ferrait une bonne mère elle en était certaine mais c’était un cadeau qu’elle lui faisait. Un gage de son amour éternel pour elle.
Cependant, l’elfe rouge comprenait aussi les pressions qu’avait Alice, son rôle en tant que futur souveraine faisait qu’elle était contrainte par les traditions. La demoiselle lui proposa donc d’aller voir un conseil.. Ou une augure. Elle ne savait pas vraiment mais dans tous les cas, si cela pouvait aider sa petite princesse à choisir, l’elfe rouge se ferait un plaisir de l’accompagner.
-Comme tu voudras ma petite princesse. Je te fais confiance.
Elle déposa un tendre baiser avant de l’embrasser plus passionnant, jouant lentement avec la langue de la demoiselle.
-Je comprends mon amour, mais si le sanctuaire l’accepte, alors je compte sur toi pour porter notre enfant.
Elle eut un petit sourire avant de demander.
-Toutefois ma chérie, il y a une chose que je ne comprends pas. Tu as déjà un autre enfant pour avoir peur de donner naissance à ma progéniture ?
L’œuf qui grandissait dans le ventre de la jeune femme n’était après tout pas la fille d’Alice. La petite princesse n’était qu’une porteuse pour elle. Son sang ainsi ne serait pas mélanger avec celui de la princesse et la Lamia qui sortirait de la demoiselle était sans doute un mélange de Nayla et d’une autre de ses amantes, voire de l’elfe elle-même… Mais peut être que son épouse avait déjà une autre enfant…Dans ce cas là, l’elfe rouge serait légèrement triste de ne pas avoir été invité à cet événement.
-
« Oh... Non, bien sûr, ce n’est pas ça, c’est juste que... »
Alice se mordilla doucement les lèvres. De base, il y avait le fait que Sakura soit celle qui doive la mettre enceinte, et, même si leur couple battait de l’aile, Alice tenait encore à elle. Elle n’avait pas totalement abandonné l’idée de la retrouver, et de reconstituer une vie de couple ensemble. Cependant, au-delà de ça, il y avait encore autre chose. Se mordillant doucement les lèvres, elle réfléchit un peu, avant de lui répondre :
« Tu tiens beaucoup à ton indépendance, n’est-ce pas ? Je veux dire... L’échiquier politique mondial est dominé par les relations entre Ashnard et Nexus, et tu n’en fais pas partie. Moi, si... »
Elle sourit, un sourire un peu désabusé, avant de lui expliquer davantage ce qu’elle disait :
« Sylvandell est un État souverain, mais nous sommes, malgré tout, ralliés à l’Empire. Si tu veux porter l’héritier du trône, tu devras renoncer à ta liberté, tu rejoindras l’Empire, et je ne pense pas que ce soit ce que tu veux... Je ne dis pas que tu ne peux pas endurer les critiques et les attaques des autres Ashnardiens, mais, dès que tu seras la femme qui aura mis au monde l’héritier de Sylvandell, ton harem sera ashnardien, et je ne veux pas que cela arrive... Car je préfère que ton harem soit cet endroit cosmopolite, cette preuve qu’il est possible de regrouper, en un seul endroit, des individus issus de tous les pays, et de races différentes, sans qu’il n’y ait de conflits ou de tensions. »
Au-delà du sexe, et au-delà de la personnalité de l’elfe rouge, c’était ça qu’Alice aimait. Elle avait toujours voulu voir les elfes comme un peuple savant et tolérant, du genre à accepter la mixité raciale. Ce point de vue était assez passéiste, car, avec l’affaiblissement de la civilisation elfique, les elfes avaient eu tendance à se replier sur eux-mêmes.
« Mais... T’offrir un enfant, si je pouvais le faire, ce... Ce serait merveilleux. »
Et ce serait moins lourd, pour Tinuviel, que d’avoir donné naissance à l’héritier de Sylvandell.
Mais tout ça, pour l’heure, restait encore très hypothétique...
-
Elfe rouge avait conscience de ce fait, mais il était vrai que à ce moment de son plan, elle ne pouvait pas se permettre de tomber sous l’injonction de Ashnard. Non, il était bien trop tôt pour cela. Cependant sa petite princesse semblait bien idéaliser son espèce, les elfes du soleil étaient des racistes sans non, ne voyant les autres races aux mieux comme un outil au pire comme des matières première. Elle embrassa lentement Alice, souriant légèrement avant de lui dire.
- Je vois. Il est vrai que je tiens à mon indépendance et qu’à l’heure actuelle mon domaine n’est pas assez développer pour pouvoir resister à l’influance d’une des deux grandes puissances
Elle soupira légèrement avant d’embrasser son épouse, souriant doucement.
- Mais sache mon petit amour que c’est sur toi que je compte pour porter notre enfant ma chérie.
Elle eut un petit sourire avant de l’embrasser tendrement et de lui dire.
-J’attendrais peut être quelques années que tu deviennes une belle et puissante reine et à ce moment je planterai ma graine en toi.
Elle déposa un autre baiser sur son ventre, souriant légèrement avant de l’embrasser une nouvelle fois, jouant avec sa langue.
-Car ce sera toi mon Alice qui portera notre enfant. Tout comme tu portes l’œuf de mon épouse.
Elle commença lentement à caresser la poitrine de son amour, l’embrassant avec douceur avant de descendre sur sa poitrine pour la lui lécher, souriant légèrement. Ses doigts descendait tranquillement vers l’intimité de sa petite princesses commençant à faire de petit mouvement de va et viens en elle. L’elfe semblait être prête pour repartir pour un tour et connaissant son amour de princesse, celle-ci ne tarderait pas à réagir.
-
Entre elles, il y avait une sorte d’attraction magnétique, qui faisait qu’Alice était toujours attirée par elle, et avait toujours envie de lui faire l’amour. Allongées toutes les deux dans le lit, elles conversaient sans problème, et Tinuviel finit par rejeter l’idée d’avoir l’héritier de Sylvandell. Le poste était prestigieux, mais les restrictions qu’il avait portaient atteinte aux autres ambitions de sa Maîtresse. Alice l’acceptait. Elle faisait partie d’une nouvelle génération à Ashnard, une génération qui était laissée de la guerre contre Nexus, une génération qui n’en voyait pas l’utilité, et qui avait des rêves de liberté et de tolérance raciale et ethnique. Tinuviel parcourut ensuite de baisers le corps de la Princesse, jusqu’à finir par embrasser doucement son ventre, là où l’œuf de Lamia continuait à mûrir.
« Hmmmm... »
Gémissant lentement, Alice cligna des yeux à plusieurs reprises, sentant Tinuviel se redresser, se collant contre elle. Ses seins se heurtèrent dans son dos, et Alice soupira encore, avant de gémir plus profondément, en sentant les doigts de sa Maîtresse se glisser contre son intimité. Porter son enfant... Tinuviel avait l’air sûre de son fait, et il fallait bien admettre que cette image avait quelque chose de profondément excitant. Alice se mordilla les lèvres en multipliant les soupirs, remuant lentement ses jambes, comme pour mieux accompagner la présence des doigts de la femme.
Alice soupira donc, et se frotta un peu contre le corps de la femme.
« Haa, Maîtresse, hmmm... »
Se mordillant les lèvres, elle reprit ensuite :
« Mon... Montrez-moi... Haaa... Montrez-moi, Maîtresse, comment... Comment vous me ferez un enfant... »
-
Elfe rouge eut un petit sourire en écoutant sa petite princesse lui demander cela. Elle hocha donc la tête, souriant doucement avant de l’embrasser, lui caressant tendrement la joue alors que ses lèvres se rapprochaient de celle de la princesse pour un baiser… Cependant l’elfe se retira au dernier moment, jouant avec l’esprit de sa petite princesse avant de lui dire…
-Bien, alors je reviens, attend moi ici ma petite chienne… ta maitresse va bientôt revenir.
Elfe n’était pas une futa, elle avait besoin de la magie pour se doter d’un membre et cela nécessiter que l’elfe modifie de manière importante sa physiologie… Cela était d’ailleurs légèrement douloureux et cela expliquait pourquoi elle préférait le faire alors que sa petite chienne ne le voyait pas.. Elle en profita d’ailleurs pour passer une tenue en cuir noire et habiller sa verge nouvellement crée. Une lingerie en soie noire extensible pour habiller de manière plus élégante son membre. Elle retourna auprès de sa petite soumise, souriant avant de la plaquer contre le lit en lui disant.
-Voila comment cela va se passer catin. Tu vas commencer par te caresser et si je suis sensible à ta performance, je te prendrais sur le lit en levrette comme une chienne…
Elle avait donnait ses ordres, il n’y avait plus qu’a attendre que la jeune princesse se décide à obéir, et cela ne devrait pas tarder. Alice avait des aptitudes naturelles pour la soumission et cette tenue renforçait encore un peu plus l’aura de Tinuviel. Elle se plaça donc sur le lit, attendant que Alice ne prenne la suite des événements, elle était certaine que la demoiselle ferait tout pour lui faire plaisir.. Et elle espérait donc qu’Alice soit à la hauteur comme elle l’avait été jusqu’à présent.
-
Alice n’avait pas envie de quitter son lit. Elle se sentait tellement bien dedans, en compagnie de sa femme et Maîtresse. C’était dans ce lit qu’elles. faisaient l’amour, mélangeant leurs câlins à des conversations plus sérieuses. Il n’y avait clairement qu’ici qu’Alice pouvait faire ça. C’était simple, elle avait le sentiment qu’elle passait toute sa journée dans ce lit, mais elle n’avait aucune envie d’en sortir. Elle baignait dans une aura de douceur, de chaleur, et de sexe, et sa Maîtresse vint se pencher vers elle… Leurs lèvres se frôlèrent, mais il n’y eut pas de baiser, juste un frottement de leurs nez. Alice soupira lentement, lèvres entrouvertes, et entendit ensuite sa Maîtresse lui dire qu’elle comptait revenir. La « petite chienne » sourit donc.
« Oui, Maîtresse, je ne bouge pas… »
Tout en parlant ensemble et en se caressant mutuellement, elles avaient réveillé le désir qui brûlait en elle. Alice la regarda passer, louchant son regard sur son délicieux cul. Tinuviel Lastrim était effectivement une elfe belle. Alice lui trouvait un grand-nombre de qualités, en réalité, puisqu’elle s’était mariée à elle. Il y avait sa beauté, sa perversion, son influence, sa gentillesse… L’amour de la Princesse restait toutefois profondément désintéressé, et, si elle reconnaissait le pouvoir de l’elfe, et l’influence grandissante qu’elle avait, ce n’était pas pour ça qu’elle était revenue la voir. La preuve en était qu’elle avait tenu à ce que ce mariage reste secret. Difficile de dire si le secret perdurait si elle tombait enceinte, mais, dans tous les cas, elle ne voulait pas ébranler l’indépendance politique de l’elfe rouge en la rapprochant d’Ashnard.
Alice resta donc allongée dans le lit. Entre Mélinda et Tinuviel, elle se disait qu’il y avait des liens. Si Tinuviel se mariait avec ses esclaves, Mélinda, elle, voulait aussi fonder une famille. La différence tenait en ce que Mélinda avait des visées commerciales, là où la position de Tinuviel semblait davantage orientée vers l’intimité et le côté familial, mais, au-delà de ça, Mélinda aussi voyait ses esclaves comme faisant partie d’une entreprise familiale.
La Princesse y songeait donc, tout en se retournant dans le lit, lorsqu’elle entendit des bruits de pas… Ou, plutôt, des claquements de talon. La porte se rouvrit, et on put voir les yeux de la Princesse s’écarquiller légèrement, avec ses lèvres qui s’entrouvrirent sous l’effet de la surprise, en voyant sa Maîtresse revenir. Elle avait opté pour un look très… Dominateur. Tinuviel portait en effet de longs collants noirs, des talons aiguilles, des gants noirs arrivant à ses avants-bras, et un élégant corset noir en cuir. Une véritable tenue de dominatrice, donc, avec une sorte de fine lingerie qui dissimulait son sexe. Alice pouvait néanmoins voir sa queue, un membre érectile qui la fit frissonner.
L’hermaphrodisme… Une chose qu’elle avait découverte avec Mélinda. Auparavant, elle en avait entendu parler sous forme de rumeurs venant de Tekhos, des racontars, avant de réaliser que l’hermaphrodisme était une réalité. Alice s’était redressée en la voyant, et renifla le cuir de sa Maîtresse, avant que cette dernière ne la plaque sur le lit, et ne lui donne ses ordres. Un sourire ravi traversa les lèvres d’Alice.
« Oui, Maîtresse… » soupira-t-elle.
Elle se mordilla les lèvres, puis approcha ensuite ses doigts de son intimité. Elle était toute nue, et, couchée sur le dos, commença à se caresser, glissant deux doigts dans son intimité trempée, sentant la mouille jaillir, glissant de ses doigts.
« Haaa… Maîtresse, hmmm… Je… Je vous aime, ma Maîtresse… Coucher avec vous sans arrêt… Haaa… Je n’arrive pas à me sentir fatiguée, ni lasse… »
Ses doigts glissaient donc, et elle se dandinait sur place, regardant parfois sa Maîtresse, couchée à côté d’elle. Ses jambes se déplaçaient, et frôlaient parfois le sexe de Tinuviel.
« J’aime tant que vous me fassiez l’amour, Maîtresse.. Haaa… C’est à ça que je pense, là… Vous, votre corps, l’odeur de votre cuir… Votre queue qui me laboure la chatte et me fait hurler comme une folle… Oui, je ne suis plus une Princesse entre vos mains, mais… Hmmm… Votre petite pute… »
Ici, dans ce harem, Alice pouvait laisser parler ce qu’elle était profondément.
C’est pour ça qu’elle adorait vivre dans de ce genre d’endroits.
-
L’elfe rouge eut un petit sourire, observant sa belle petite soumise. Sa petite Alice n’était plus la jeune femme prude qu’elle était autrefois, non elle avait embrassé la passion et la luxure. Elle s’assumait, elle assumait qui elle était.
Elfe rouge la regarda ainsi, alors que sous cette délicieuse vision, son membre prenait lentement mais surement de la vigueur. Il était impossible de résister à cette délicieuse blonde. A son offrande, car la princesse s’offrait totalement à elle, elle lui offrait son cœur, son corps et son âme. Elfe rouge s’avança donc, prenant lentement la poitrine de la jeune femme en main, jouant un peu avec celle-ci avant de l’embrasser doucement. Elle eut un petit sourire avant de lui dire à l’oreille, lui mordillant légèrement.
-je vais te remplir ma chérie, encore et encore… Jusqu’à ce que tu sois pleine et remplie.
Elle sourit et descendit lentement sur son intimité, jouant lentement sur son corps, caressant celui-ci avec douceur avant de terminer sur son intimité. La jeune femme était déjà bien humide et elle n’aurait sans doute aucun mal à la prendre comme cela. Toutefois, elle n’en avait pas envie, pas encore. Non, elle préférait que sa petite soumise commence à jouer avec elle.
-Hum, et si tu retirer cet écrin. J’ai envie que ma petite soumise s’occupe de moi. Je suis certaine ma belle, que tu as envie de prendre cette délicieuse queue ma petite pute. Mais, avant cela, j’ai envie de profiter de tes autres dispositions.
Elle l’embrassa tendrement, souriant en disant.
-Alors,qu’est ce que t’as appris Mélinda ? Montre-moi cela ma femme.
Elle eut un petit sourire. Elle savait que le dernier mot surprendrait peut être un peu sa belle blonde. Mais elle devait se faire à ce nouveau titre, après tout, elle n’était pas que sa soumise. Elle était sa femme et bientôt la mère de ses enfants.
-
La douce petite Alice que Tinuviel avait rencontrée il y a des années à Sylvandell, en aidant un petit dragon qui avait perdu ses parents, avait bien grandi depuis. Elle s’était construite auprès de ses amis, et au fur et à mesure de ses rencontres. À son corps défendant, on pouvait arguer que le sang de dragon bouillonnant dans ses veines ne l’avait clairement pas aidé à conserver une vie chaste et vertueuse, une vie qui aurait fait plaisir aux zélotes de l’Ordre Immaculé. De fait, et il était important de le signaler, les Korvander étaient des gens qui avaient toujours été pleins de passion. Tywill Korvander, son père, l’était aussi, même si sa passion ne s’exprimait plus à travers une soif sexuelle, mais à travers un goût immodéré pour les combats. Chez Alice, ce sang qui bouillonnait en elle avait été le parfait réceptacle pour ses rencontres pleines de perversion. Tout ceci avait contribué à façonner la Alice actuelle, une jeune femme pimpante, pleine d’énergie et de désir, qui ne voyait plus le sexe comme une grande inconnue, mais comme une grande passion, comme un loisir adulte à part entière.
Et là, face à Tinuviel, face à sa Maîtresse et femme, elle offrait à nouveau son corps. Elle sentit la virilité de Tinuviel se raidir encore un peu, sa queue se durcissant. Son membre frotta ses lèvres intimes, faisant gémir Alice. La tête blonde se mordilla doucement les lèvres, remuant sur le lit en sentant ce phallus approcher de sa fleur. Cependant, Tinuviel choisit, à la surprise de la jeune femme, de ne pas la pénétrer. Au lieu de ça, avec une sorte de sourire insolent et moquer, elle s’écarta alors, et demanda plutôt à Alice de lui montrer tout ce qu’elle avait appris au contact de Mélinda.
« Oh… »
Alice, qui s’attendait à se faire joyeusement prendre, et à sentir une belle queue venir la défoncer, se redressa lentement, en papillonnant des sourcils. Puis, elle finit par se mordiller les lèvres, et un sourire amusé vint éclairer son visage :
« Eh bien… Si vous voulez, Maîtresse. »
La Princesse se redressa de nouveau, et posa ses mains sur les hanches de Tinuviel, la poussant légèrement, l’asseyant sur le rebord du lit… Puis, en lui souriant, Alice alla se mettre à genoux, tombant sur le sol, face au lit, et, plus précisément, face aux jambes de sa Maîtresse. Là, elle posa ses mains sur les genoux de l’elfe rouge, et les écarta, révélant ainsi l’accès à sa magnifique verge. En souriant, elle s’approcha alors, et lécha un peu cette verge, donnant quelques coups de langue sur sa queue, puis y frotta son nez.
« Mélinda m’a appris que, pour pénétrer une fleur intime, le sexe devait être bien tendu. Le vôtre est bien gros, Maîtresse, mais… Je suis sûre que je peux le durcir encore… »
Elle parlait d’une voix douce, empreinte d’un zeste de sensualité. La délicieuse blonde soupira alors, et se redressa un peu, saisissant la hampe de sa chair de sa main, à la base de cette dernière… Et, ce faisant, elle entrouvrit les lèvres, baissant les yeux pour voir ce mandrin, ce serpent impatient, et l’enfourna dans sa bouche.
C’est ainsi qu’elle entama sa fellation.
-
Oui, sa petite Alice, n’était plus la jeune femme pure qu’elle avait autrefois connue. La jeune fille était désormais une vraie femme. Une femme qui savait se servir de ses charmes. Une femme qui était désormais à elle. Elle laissa ainsi la princesse commencer ses caresses, lui laissant la possibilité de lui montrer ce qu’elle avait appris avec le temps. L’elfe était d’ailleurs très satisfaite, sa petite Alice montrait un talent important pour les jeux de l’amour mais il restait encore quelques points à évoluer.
Elle soupira de bonheur alors que sa verge s’enfonçait lentement dans sa bouche. Si le visage de sa belle était angélique, sa bouche était divine et l’elfe profitait de chaque seconde dans celle-ci. La langue de la demoiselle commençait lentement à faire son office, alors que l’elfe rouge lui caressait tendrement la joue en lui disant.
-Ma petite esclave, ta bouche est divine. Je vois tu as bien apprise tes leçons…
Elle eut un petit sourire, continuant à la caresser avant de resserrer légèrement son étreinte sur sa chevelure et de la prendre lentement. L’elfe rouge n’avait pas besoin d’y aller de forcer et ce n’était pas son but, sa petite Alice la prendrait quand elle serait prête. Il s’agissait plutôt de lui faire comprendre que l’elfe rouge était prête pour la suite. Oui, bientôt son petit ange serait couverte de jus. Et l’idée rendait l’elfe rouge folle d’envie. Simplement car c’était un des gestes d’appartenance les plus fort à son avis, par ce geste, l’elfe rouge possédait encore un peu plus sa petite Alice.
Et cela depuis le temps qu’elle le souhaitait mais plus que cela, l’elfe rouge avait trouvée une véritable épouse. Elle savait qu’elle pourrait compter sur Alice et la réciproque était vraie. Elle continua lentement, caressant doucement ses caresses en incitant la petite princesse à continuer.
- Va y alice… fait moi jouir. Donne moi tous ce que tu as.
L’ordre était donné.
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Alice avait grandi, elle avait mûri. Le sexe n’était plus cette grande inconnue qui l’effrayait, mais un élément avec lequel elle manœuvrait. Elle n’avait donc plus peur du sexe, et était particulièrement heureuse de coucher avec Tinuviel, d’être là, dans son harem. Rien ne semblait devoir la fatiguer, tant elle était heureuse d’être avec elle. L’elfe rouge était magnifique, aussi belle que perverse, aussi sensuelle qu’aimante. Avec elle, Alice se sentait vraiment en sécurité, autant que quand elle était avec Mélinda. L’elfe rouge était toujours aussi talentueuse, toujours aussi énergique, et sentir sa virilité, sa queue remonter dans sa bouche, c’était délicieux. Voilà bien une chose dont Alice n’aurait jamais cru devenir accroc, et, pourtant, Tinuviel avait vu juste en jouant de l’hermaphrodisme avec elle. Alice était totalement bisexuelle, aimant autant les simples chattes que les verges, mais il fallait bien reconnaître que, dans tous les cas, sentir un sexe en soi, c’était... C’était particulièrement magnifique. Des sensations très plaisantes, qui s’enfonçaient longuement en elle, qui faisaient vibrer tout son corps, où elle ne faisait alors plus qu’un avec l’autre. Et puis, c’était quand même très agréable, de goûter à une belle verge, surtout quand elle faisait partie d’un corps aussi magnifique.
« Hmmm... !! »
Les mains de sa Maîtresse se posèrent sur sa tête, et elle posa ses mains sur ses cuisses, continuant à filer, d’avant en arrière, en s’accaparant peu à peu ce membre. Elle pouvait sentir le plaisir affluer en elle. La femme clignait des yeux, tout en multipliant le même geste. Avant, arrière, puis un coup en avant, et retour en arrière. Encore et encore, elle glissait le long de ce membre, poursuivant ses coups, les mains de Tinuviel se crispant sur ses cheveux comme pour exprimer le plaisir qu’elle était en train de ressentir.
Alice continuait à remuer sa tête, donc, les minutes défilant, sa langue filant sur ce mandrin. Ce sexe glissait dans sa bouche, remplissant tout l’espace, et elle essayait, autant que possible, de s’enfoncer le plus loin possible, sentant ainsi cette belle virilité taper contre sa gorge, filant en elle, avant qu’Alice ne reparte en arrière, respirant par le nez. Toutefois, les mains de Tinuviel l’empêchaient de sortir, de trop se replier, de telle sorte qu’elle ne pouvait que continuer ses mouvements buccaux, d’avant en arrière.
« Mmhmmmmm... !! »
Tout ce qu’elle attendait, maintenant, c’était de sentir sa femme et Maîtresse jouir en elle...
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Elfe rouge possédait littéralement son épouse. Elle prenait possession d’elle et c’était une preuve de cette possession que l’elfe était actuellement en train de faire subir à la petite blonde. Ainsi, elle plongeait lentement dans la bouche et la gorge de la jolie blonde, l’empêchant de se retirer, prenant ainsi son pied. Tot ou tard, elle finirait par jouir marquant ainsi un peu plus sa petite princesse de son emprise mais pour l’instant il fallait se contenter de cela.
L’elfe rouge continua donc ses mouvements, frottant tendrement la tête de la blondinette dans un étrange mélange de luxure, de tendresse et de domination. Ce petit jeu dura un certain temps bien court aux yeux de l’elfe mais elle était désormais à sa limite et elle ne tarderait pas à jouir.
Cependant, plutôt que de jouir comme cela, l’elfe rouge se retira, présentant son membre encore tremblant à la jeune princesse. La moindre stimulation ferrait sans doute jouir l’elfe rouge. C’était d’ailleurs pour cela qu’elle s’était retirée, elle avait une idée pour la suite. Plutôt que de jouir dans la gorge de la petite princesse, elle comptait faire en sorte que la blonde soit responsable de sa jouissance d’une manière plus perverse ou romantique…
-Comme tu peux le voir ma petite chérie… je suis à la limite. Je pourrais jouir dans ta gorge bien sûr. Mais j’ai envie d’autre chose… Embrasse mon membre et fait moi jouir sous tes baisers.
L’ordre était donné et nul doute que la princesse ferait tout pour la satisfaire. Elle soupira donc sous les baisers de son épouse esclave, gémissant de bonheur sous chacun de ses baisers alors que la jouissance montait tout doucement… Ce fut finalement un baiser sur le gland qui provoqua l’apothéose. L’elfe rouge dans un rale de plaisir fini par jouir sur le visage de son épouse, la couvrant ainsi de son jus. Elle devait reconnaitre que la voir comme cela, couverte de son jus était extrêmement excitant… Il suffisait de voir son membre se redressait lentement pour comprendre que ce n’était pas une jouissance qui allait mettre l’elfe rouge hors combat. Non, cette nuit serait longue et les jouissances multiples…. Mais il faudrait un petit coup de main de la part de la jolie blonde pour passer à la suite.
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Jadis, dans sa naïveté enfantine, dans son innocence de jeune Princesse, Alice voyait les fellations avec un mélange de surprise et de dégoût. Comment pouvait-on sucer un sexe ? Comment une femme pouvait-elle avoir l’idée de prendre un membre en bouche pour le ponctionner ? Elle, elle trouvait ça absolument dégoûtant. Du moins, à l’époque, ça lui avait semblé être dégoûtant. Et maintenant… Maintenant, elle goûtait au mandrin de sa femme et Maîtresse avec la plus grande des passions. Alice sentit la queue de Tinuviel remuer en elle, ses douces mains posées sur ses longs cheveux blonds, elle-même s’appuyant sur les cuisses de la femme, ainsi que sur ses fesses, n’hésitant pas à en effet à ceinturer le bassin de l’elfe de ses mains pour les poser sur sa chair moelleuse. Yeux clos, elle savourait ce contact, avec sa tête qui filait d’avant en arrière, goûtant ainsi à la virilité tendue et assoiffée de Tinuviel, une virilité qu’elle suçait à sa manière, en aspirant de l’air, comme on sucerait une glace. Ceci avait pour effet de légèrement creuser ses joues, tandis que, en faisant ainsi, sa salive, abondante, frottait la peau nue de Tinuviel, glissant dessus, excitant au mieux son amante.
Faire plaisir à Tinuviel, voilà là ce que cherchait à faire Alice. Lui faire plaisir, et se faire plaisir en même temps. Car, pendant qu’elle jouait avec cette grosse sucette, Alice n’hésita plus très longtemps, et aventura l’une de ses propres mains entre ses cuisses, venant se caresser intimement. Elle soulageait ainsi cette chaleur qui croissait entre ses propres cuisses, un feu ardent qui n’appelait qu’à étendre ses flammes.
« Hmmmmmm… »
De longs soupirs de plaisir s’échappaient des lèvres serrées d’Alice, qui, encore et encore, sentaient ce sexe filer d’avant en arrière. Oui, elle avait vraiment bien changé en ces quelques années… Cette position, elle à genoux devant sa puissante Maîtresse, à sentir ses mains sur sa tête, et son corps qui filait d’avant en arrière, le tout contre elle… Comment ne pas adorer ça ? Le corps de Tinuviel continuait à remuer, sa queue à s’enfoncer en elle, durcissant encore, et Alice la frottait avec sa langue, relevant cette dernière pour essayer de l’enrouler autour de cette hampe de chair, avec un succès plus ou moins mitigé.
Tinuviel, elle, aurait tout à fait pu jouir dans sa bouche, mais, au dernier moment, et comme pour surprendre la jeune tête blonde, elle choisit de se retirer, faisant soupirer Alice, qui vit sa salive tournoyer un peu autour de la queue de Tinuviel, et cligna des yeux, assez surprise. Pourquoi avoir fait ça ? Sa bouche n’était-elle donc pas assez accueillante ? La réponse, en réalité, ne tarda pas à émaner, quand Tinuviel lui indiqua être sur le point de jouir. Ça, effectivement, c’était visible. Grosse et tendue, sa queue avait l’air assoiffée, mais, pour jouir, elle voulait, non pas qu’Alice la suce, mais… Qu’elle la couvre de baisers.
Cette demande, inattendue, amena les sourcils d’Alice à légèrement se dresser, puis elle releva la tête, et sourit, répondant à Tinuviel sur un ton malicieux et sensuel :
« À vos ordres, Maîtresse… »
Alice souriait joyeusement, et entreprit alors de lui obéir, déposant sur sa hampe de multiples baisers. Elle glissait dessus, et en profitait aussi pour lécher ce sexe, le frottant avec le nez. La Princesse sentait la queue de Tinuviel se redresser sous ses multiples baisers, et, encore et encore, elle embrassait ce sexe, glissant dessus, le léchant, soupirant, et gémissant.
« Hmmmm… Haaaaa… »
La tête blonde se faisait vraiment plaisir, savourant ce membre, comme une sorte de grosse et agréable sucette qu’elle léchait et suçotait, avec amour. Les baisers se multipliaient dessus, et Alice finit par sentir le membre de l’elfe rouge tressauter, avant de jouir contre son visage, explosant dessus. Une délicieuse crème qui fusa de sa queue comme de l’alcool jaillissant d’une bouteille. Elle s’en retrouva recouverte, et, surprise, toussota même un peu, avant de rouvrir les yeux, pour observer son œuvre.
« Vous avez bien joui, Maîtresse… »
Alice se mordilla les lèvres, conservant le sperme sur son visage, comme une signature de Tinuviel. Elle savait que ce n’était pas fini. La journée allait encore se poursuivre, là, dans cette chambre. Alice avait couché avec les femmes de Tinuviel hier, et elle voulait maintenant passer du temps avec elle, avant d’aller voir les autres, pour lui montrer combien elle l’aimait, et, surtout, combien elle était heureuse ici, où elle pouvait laisser parler ce qu’elle était vraiment.
La main d’Alice appuya alors sur le membre, qui avait perdu de sa splendeur, gagnant en mollesse.
« Mais votre membre est tout mou, il faut y faire quelque chose, Maîtresse, si vous voulez encore continuer à profiter de mon corps… »
Ayant une idée, Alice se redressa alors un peu, et posa ses deux mains sur ses seins, puis, tout en se penchant davantage vers Tinuviel, entreprit de caresser son sexe entre ses seins, venant doucement et tendrement le masser, sentant ce dernier remuer contre son corps. Elle s’en pinçait les lèvres, appuyée sur ses genoux, son regard oscillant entre cette queue qui se frottait contre ses seins, dressée à la verticale, à tel point que ses tétons caressaient le ventre de sa Maîtresse, et le visage de cette dernière…
…Espérant que Tinuviel appréciait ce qu’Alice lui faisait.
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Oui, sa petite princesse avait changeait. Elle était une femme pleinement consciente de la beauté de l’amour. Et cela faisait plaisir à l’elfe rouge qui avait sans doute en partie participait à ce changement. Elle pouvait encore de se souvenir de leur première rencontre, à l’époque la jeune femme n’aurait sans doute pas fait la moitié du quart de ce qu’elle était en train de lui faire aujourd’hui.
Elfe rouge avait remarqué que la jeune femme faisait son maximum pour lui faire plaisir, c’est pour cela qu’elle ne dit rien, lorsque la petite princesse prit la liberté de jouer avec son intimité. La vue était d’ailleurs plaisante, mais l’elfe rouge remettrait tout de même les pendules à l’heure. Après tout, le plaisir d’une esclave devait être dirigé vers celui de sa maitresse.
Enfin, en théorie, car dans la réalité l’elfe rouge n’approuvait pas réellement cela et c’était plutôt l’occasion pour l’elfe rouge de renforcer son emprise qu’une vraie punition. La jouissance ne tarda pas sous les baisers de sa petite chérie. Elle sentit son membre cracher son jus, couvrant ainsi sa petite soumise. Elle eut un petit sourire en voyant la tête de sa petite princesse couverte comme cela.. Personne ne pouvait se douter que sous cette apparence de petite ange, se cachait une perverse digne des succubes.
Mais cela avait bien sur eut des conséquences sur sa dureté. Cependant sa petite soumise s’occupa rapidement d’elle trouvant une solution des plus efficaces à son problème. La poitrine de la jolie blonde était très confortable et l’elfe rouge ne regretta pas de l’avoir laissé faire. Elle devait reconnaitre que la poitrine de la jeune femme était des plus délicieuses… Son membre ne tarderait pas à retrouver de sa vigueur. Elle eut un petit sourire caressant lentement la joue de sa petite chérie avant de lui dire tendrement.
-Je t’ai vu tout à l’heure ma petite catin… Tu devrais être une petite chienne dédiée uniquement à mon plaisir tu comprends ? Alors quand tu te caresses au lieu de t’occuper de moi, c’est que tu néglige ta fonction.
Elle continua de profiter des attentions de la jolie blonde sur son membre. Elle eut un petit sourire avant de commencer à donner des coups de reins.. Oui cette poitrine prenait désormais le rôle de l’intimité de la princesse qu’elle ne tarderait pas à aller honorer. Elle eut un petit sourire avant de caresser sa joue et de lui dire doucement.
- Bien, va te mettre en place ma chérie. Tu as fait du bon travail, va te mettre en position que je puisse t’honorer comme il se doit ma petite pute.
Elle eut un petit sourire avant de déposer un baiser dans son cou. Elle savait que la demoiselle n’attendait que cela. L’elfe rouge devait le reconnaitre, elle avait hâte de prendre sa petite chérie afin de lui faire gouter à toute sa virilité… Il n’y avait plus qu’à attendre que la demoiselle se mette en position.
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Caresser un sexe avec ses seins était une chose qu’elle avait appris avec Mélinda. Ce n’était pas la première fois, en effet, qu’elle faisait un geste de ce genre, et, avant ça, c’était sur la queue de Mélinda qu’elle s’était exercée. Il fallait bien reconnaître que son amante vampirique avait veillé à entraîner Alice, à préparer cette dernière, et la jeune femme était ravie de montrer à Tinuviel ce qu’elle était capable de faire. Elles s’étaient vues il y a longtemps, et Alice avait beaucoup changé entre deux, comme l’elfe continuait à le constater. Elle sentait ainsi son membre remuer contre ses seins, et rougit quand l’elfe indiqua avoir vu Alice se caresser, lui reprochant d’avoir négligé de satisfaire sa Maîtresse pour se satisfaire elle-même... Il y avait de la mauvaise foi là-dedans, mais ça n’empêcha pas Alice de rougir, gênée et honteuse.
« Dé... Désolée, Maîtresse, je... Vous êtes si belle que... La petite esclave que je suis n’a pas pu se retenir... »
Elle s’excusait platement, tout en sentant Tinuviel commencer à suivre les mouvements de sa poitrine, donnant en effet des coups de reins. Alice s’en pinça les lèvres, et frotta plus énergiquement ses seins contre le sexe de sa Maîtresse, allant jusqu’à approcher ses lèvres pour lécher le bout de ce membre, qui pointait entre ses seins serrés. Elle sentait, en tout cas, le membre de Tinuviel se durcir, devenant plus dur à caresser, plus fort... Et, quand Tinuviel sembla, elle aussi, le constater, elle lui ordonna de s’écarter.
Silencieusement, Alice, qui s’était appuyée sur ses genoux, s’exécuta, restant néanmoins agenouillée devant Tinuviel. Avec sa magnifique chevelure blonde, et sa petite mine de soumise avec ses grands yeux bleus, elle devait être magnifique à voir. Une petite bouille adorable, avec des plaques rouges ici et là, des gouttes de sueur, et des seins tendus, qui trahissaient toute l’excitation de la jeune femme. Constatant cela, Tinuviel caressa la joue d’Alice, la complimentant comme on féliciterait un chien venant ramener la balle... Ou une chienne, en l’occurrence.
Le cœur battant la chamade, Alice se mordilla doucement les lèvres, et se redressa.
« Oui, Maîtresse... »
Mais comment était-elle censée se mettre en place ? Redressée, elle hésita un peu. Tinuviel lui avait dit de se mettre en place pour se faire baiser comme une « petite pute ». S’il était frappant de voir combien les insultes glissaient sur le corps d’Alice et l’excitait, elle réfléchissait à la suite. Que devait-elle faire, exactement ? Un doigt se posa sur ses lèvres, et elle regarda à droite et à gauche, avant de finir par se lancer.
Alice fléchit alors les genoux, et se mit à quatre pattes sur le tapis, tournant le dos à Tinuviel, lui offrant la vue de son bassin, de son intimité, légèrement luisante après qu’elle y eut trempé ses doigts, et de sa croupe. Encore une fois, se rappelant ce qu’on lui avait enseigné, elle creusa son dos, courbant ainsi ce dernier, ce qui eut pour effet de bomber ses petites fesses, les rapprochant ainsi de Tinuviel, de sa force, de son excitation... Se mordillant les lèvres, Alice pencha la tête sur le côté.
« C-Comme ça, Maîtresse... ? »
La jeune Princesse ne lisait pas dans les esprits, alors elle espérait avoir choisi une position qui lui convienne.
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Elfe rouge était resté volontairement vague sur la position que la jeune femme devait adopter. Elle permettait ainsi à sa petite princesse de prendre la position qui lui semblait la plus approprié pour la suite. Ainsi, la petite princesse se mit presque naturellement à quatre pattes, sa position faisant ressortir ses divines courbes que l’elfe rouge prit le temps de regarder.
Elle eut un petit sourire, caressant du bout des doigts chacune de ses délicieuses courbes avant de l’embrasser lui embrasser tendrement l’épaule.
-C’est très bien ma petite chérie. Tu es dans la position idéale pour recevoir ma queue. Je compte sur toi maintenant pour me combler correctement.
Elle eut un petit sourire avant de se rapprocher lentement de sa petite Alice.
Elle caressa lentement les fesses de la demoiselle, frottant lentement ses cuisses. Elle n’avait qu’une seule envie, plongeait dans cette intimité qui perlait de désir. Elle eut un petit sourire avant de déposer un baiser sur son intimité, caressant légèrement son anus d’un doigt. Elle pouvait prendre sa petite chérie par n’importe quel trou. Elle eut un petit sourire avant de laisser en plan sa petite soumise. Oui, l’elfe rouge venait de laisser sa pauvre petite soumise seule… Elle n’en aurait pas pour bien longtemps, certes mais elle jouait encore avec les nerfs de la blonde qui n’attendait que cela se faire prendre.
Mais l’attente ne fut pas bien longue car l’elfe fut bientôt de retour avec sur son membre une pièce en dentelle de couleur blanche. Cet objet avait la particularité d’être couvert de petites perles, bordée dans le tissu. Ainsi lorsqu’elle la pénétrerait, la petite princesse pourrait sentir en plus de son membre, chacune de ses perles dans son intimité.
Tinuviel eut un sourire avant de coller le bout de son membre contre les lèvres intimes de sa petite princesse. Elle attendit quelques instants, ne bougeant plus, se contentant de frotter les fesses de celle-ci..
Puis après quelques secondes qui durent paraitre bien longue pour la pauvre petite Alice, elle entra enfin. Sa petite esclave n’eut aucun mal à l’accueillir tant elle était trempée. Ainsi, Tinuviel commença à profiter de son intimité si chaude et accueillante, elle soupira retenant avec peine son plaisir alors qu’elle ne se retenait plus, imposant à la petite princesse ses coups de reins.
-Alors ma petite Alice? tu aime que je te prenne comme cela ? comme une chienne, une vulgaire pute??
Oui, c'était bien meilleur encore de rajouter ces quelques mots entre deux mouvements de bassin.
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C’était sans la moindre restriction, et sans la moindre plus petite forme de gêne, qu’Alice s’offrait à Tinuviel. Son amante, sa Maîtresse, sa femme... Ici, dans ce harem, dans le refuge de Tinuviel, elle se sentait autant en sécurité que quand elle était dans son Château, ou dans le manoir de Mélinda. Pour elle, c’était tout simplement une nouvelle forme de foyer, une maison dans laquelle elle aimerait passer du temps. La perversion était comme un mauvais démon qui s’était emparée d’elle, de son corps, et ne la quittait plus. Là, à quatre pattes, elle courbait son ventre, filant vers le sol, de manière à pouvoir redresser son cul, comme on lui avait appris. Ses joues étaient rouges, autant de honte, que d’un plaisir vicieux et fort, qui remontait progressivement en elle, s’insinuant dans tout son corps. Elle serrait ses poings sur le sol, soupirant lentement en sentant sa Maîtresse se rapprocher d’elle, commençant à caresser son corps, avec sa verge qui caressait son bassin, heurtant ses fesses. Prête à se faire prendre, Alice ferma même les yeux... Mais sentit soudain la pression des mains de Tinuviel s’affaiblir, tandis que cette dernière se redressait, et s’approchait de la sortie.
« H-Hein... ?! »
Confuse, Alice tourna la tête. Elle, qui commençait à mouiller sous le contact des mains de Tinuviel sur son postérieur, vit cette dernière brièvement lui sourire, avant de partir. Alice resta là, comme deux ronds de flans, clignant des yeux, en regardant autour d’elle.
« Euh... Maîtresse ? »
Elle... Elle venait de partir ?! Troublée, Alice se convainquit que ce n’était qu’un jeu, qu’elle était partie chercher quelque chose. Un appareil photo, peut-être ? Mélinda aimait souvent la filmer en lui faisant l’amour, et prenait ensuite un malin plaisir à attacher son amante, et à lui faire visionner le film de leurs exploits sexuels. Alice pouvait s’entendre hurler, gémir, et même s’injurier, ce qui la faisait toujours rougir confusément. Alice réfléchissait donc, avant d’entendre des bruits de pas, et entendit la porte s’ouvrir.
Tournant la tête, elle constata que Tinuviel était revenue, seule, avec un petit ajout. Sur son sexe, une sorte de fin drap blanc le recouvrait, en épousant la forme, avec de multiples perles brillantes. Alice cligna des yeux, constatant que l’objet formait comme une sorte de brassard, recouvrant ce phallus, laissant néanmoins l’extrémité libre. La Princesse crut alors se souvenir de pièces de broderie papuanne fonctionnant comme ça. On les enroulait autour du sexe pour magnifier davantage les sensations. Rougissant en voyant Tinuviel se rapprocher, Alice ne dit rien, et se mordilla ensuite les lèvres en sentant le sexe de la femme s’approcher de sa fleur intime.
« Hmmm... »
De fines gouttes blanches commençaient déjà à décorer le tissu de Tinuviel, et ses doigts s’enfonçaient contre le tapis, tandis que l’elfe, maîtresse de la situation, continua à la titiller, palpant ses fesses, les malaxant pendant de nombreuses secondes.
« Haaa... Maî-Maîtresse, haaaa... ! »
Inutile de le nier, Alice était en manque, avec une envie furieuse de sentir cette queue se perdre dans son corps. Alice soupirait donc lentement, puis sentit alors Tinuviel donner une impulsion à son corps, et... Alice, qui était alors en train de serrer ses lèvres, yeux clos, les rouvrit soudain en soupirant, crachant même un peu de salive quand cette verge remonta en elle, s’enfouissant dans son corps. Des frissons la traversèrent, et elle commença à gémir et à soupirer, le rouge continuant à orner son visage, tandis que Tinuviel la prenait, et qu’Alice sentait, outre sa queue, de multiples perles former comme des caresses dans son corps, maximisant et amplifiant sensiblement les sensations de plaisir qu’elle ressentait.
Le corps de Tinuviel commençait à remuer de plus en plus fort, et, devant ses propos, Alice, qui se sentait ailleurs, ne put que répondre positivement :
« Oh ouiii... Ouiiii, Maîtresse, haaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaa... Hmmmmm... Haaaaaaaaaaaa... »
-
L’elfe rouge put sentir le corps de sa compagne se crisper légèrement lorsqu’elle commença enfin à honorer sa pauvre petite princesse. Son corps se détendit ensuite, lentement au fur et à mesure que son membre pénétrait la petite princesse. Au final, l’elfe rouge ne tarda pas à s’enfoncer en elle sans aucun mal grâce à l’excitation de sa petite princesse.
Cependant une fois bien en elle, l’elfe rouge ne bougea plus, elle se contenta de rester dans sa petite princesse jusqu’à sa garde, lui caressant lentement la courbure du dos. Elle faisait durée les choses, comme pour bien faire comprendre à la blonde, qu’elle était la seule à avoir les rênes.
Elle eut un petit sourire avant de se pencher lentement sur son dos, passant lentement ses ongles sur la peau de la jeune femme laissant sur sa peau quelques légères traces blanches. Elle continua ce petit jeu un petit peu descendant sur les fesses de la princesse.
En ce moment, elle se trouvait presque horrible. Alice voulait sans doute être prise, être possédée comme la pire des catins, comme une femelle… Et l’elfe rouge la faisait languir de plus en plus en plus. Elle lui caressa lentement les fesses glissant à son oreille une petite phrase.
-Rassure toi ma petite chérie. Je vais bientôt te faire l’amour … Mais tu es une princesse et je me dois donc de te traiter comme tel. Je ne peux donc pas te prendre comme une catin, te remplir de mon membre avec de nombreux coups de reins alors que je me tiens à ton bassin. Je ne peux pas non plus te traiter comme un vide couille en jouissant en toi dès que j’en ai envie n’est ce pas ?
Elle commença de très lent va et viens, comme si la petite princesse était faite de porcelaine. L’elfe rouge s’amusait sans doute plus que la pauvre Alice. Pourtant, cela ne voulait pas dire que celle-ci ne profitait pas des coups de reins de la princesse. Après tout, le bout de tissus autour de son membre provoquait des sensations dans l’intimité de la belle blonde.
Mais il était désormais temps de finir son jeu. Elle attrapa la chevelure de la belle blonde l’utilisant pour prendre appuis et la prendre bien plus puissamment. Désormais Alice subissait les mouvements de bassin d’une furry. Elle la prenait sans aucun ménagement, contrastant avec ce qu’elle lui avait fait quelques secondes avant cela. L’elfe rouge la pénétrait sans ménagement, frottant ses mains contre les divines fesses de sa femme, alors que son membre s’enfonçant sans peine au plus profond de sa petite princesse.
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Pendant quelques secondes, Alice sentit le train démarrer. Les machines se mettaient en marche, et le membre de sa Maîtresse s’enfonçait tendrement en elle, ne rencontrant presque aucune résistance. Il faut dire que, depuis qu’elle était ici, Alice avait passé presque l’essentiel de son temps à faire l’amour. Le sexe était comme un voile qui s’était enroulé autour d’elle dans ce harem, et, en conséquence, elle était très chaude, sexuellement parlant. Tinuviel n’eut donc aucune difficulté à s’enfoncer en elle, remontant son sexe, faisant doucement soupirer la jeune femme. Le membre s’enfouissait en elle, la remplissant... Ah ! Quelle merveilleuse sensation ! Tout le corps de la jeune femme en frissonnait. C’était bien elle qui, jadis, avait eu peur du sexe. Et maintenant... Maintenant, tout son corps, ce magnifique corps aux formes angéliques et parfaites, se dandinait contre cette impériale virilité qui se tortillait en elle. Alice se préparait à ce rodéo, à ce plaisir intense... Mais il ne se passa rien. Au contraire, elle sentit Tinuviel remplir tout son sexe, son membre s’installant en elle... Et elle cessa de remuer. Tout simplement.
« Hmmm... ! »
Les joues rouges, Alice se tortillait faiblement sur le sol, crispant ses mains sur le tapis, tout en sentant les mains de sa Maîtresse caresser et grattant son dos, griffant sa peau, douce et tremblotante, en sueur. Elle gémissait, fermant et rouvrant les yeux, soupirant profondément, se tortillant sur sa queue, mais bien incapable de faire quoi que ce soit.
*Elle s’est arrêtée... Pourquoi ?!*
Le sang-froid de sa Maîtresse était, au demeurant, très impressionnant. Pouvoir se retenir, comme ça, avec une telle érection, qui traduisait une féroce excitation... C’était bien la preuve que, en matière sexuelle, Tinuviel n’avait rien à envier à Mélinda. Elle pouvait rester calme, même dans les moments les plus intenses, comme un coït. Alice comprit très rapidement que l’idée était de la provoquer, de la titiller davantage, de lui montrer qu’elle avait le contrôle. La jeune femme gémissait, frémissant à chaque contact des doigts de sa Maîtresse sur sa peau, cette dernière revenant fréquemment sur sa croupe, malaxant ses belles fesses, avec son mandrin niché en elle, ce mât qui, planté en elle, était à l’image du drapeau qu’on plantait sur le sol pour annoncer avoir conquis un endroit. Tunivle l’avait conquis, et ne tarda pas à parler, justifiant sa position par le fait qu’on ne baisait pas une Princesse comme une vulgaire chienne.
Un soupir de frustration s’échappa alors des lèvres de la jeune femme.
« Maî... Maîtresse ! » gémit-elle, presque sur le point de la supplier.
Cette sensation était vraiment atroce, insoutenable ! Lui faire ça, c’était presque une forme de torture ! Et, soit Tinuviel ne pouvait plus tenir, soit elle s’était finalement décidée, mais ses mains se crispèrent davantage sur son corps, et elle tira ses cheveux en arrière, s’appuyant dessus, tout en coulissant dans son corps, d’avant en arrière. Les soupirs d’Alice se prolongèrent, et la femme sentit le corps de Tinuviel accélérer très rapidement ses coups de reins, multipliant les coups et les pénétrations. Ses mains se posèrent à nouveau sur ses hanches, puis sur ses fesses, et Tinuviel se mit à remuer en elle, d’avant en arrière, encore et encore... Alice soupirait et gémissait, sentant enfin le train s’ébranler, se mettant pour de bon en marche.
Le corps de Tinuviel remuait dans son dos, et les couinements devinrent des cris, tant les coups de reins de sa Maîtresse étaient puissants. Oui, c’était bien elle, la Tinuviel qu’elle avait toujours connu, cette femme énergique et insatiable qui lui avait fait l’amour à Sylvandell, à une époque où Alice était encore une jeune femme naïve, avant qu’elle ne rencontre Mélinda, et tous les autres amants qui avaient suivi...
« Haaaa... Haaaaaannn... Maî-Maîtresse, haaaaa... !! »
Son corps remuait joyeusement, car le plaisir déferlait furieusement en elle. Mélinda lui avait dit que le bonheur n’était pas que spirituel, mais aussi corporel. C’était un enseignement qu’on pouvait tirer du shintoïsme, qui prônait autant le bonheur spirituel, que le bonheur physique. Quelque chose qu’Alice comprenait volontiers, maintenant, alors que sa Maîtresse continuait à la prendre, à la remplir, et à la satisfaire. Le corps de la Princesse se tortillait sur le tapis, en accompagnant les mouvements de Tinuviel.
« Oh, Maîtresse, vous... Vous êtes si douée, haaaa... !! »
La sentir en elle, c’était magique !
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L’elfe rouge encourageait par les cris et les gémissements de son épouse continuait ses mouvements de va et viens en elle. Elle pouvait sentir à chacun de ses coups de hanche, le corps de sa femme se contracter légèrement sous la passion et le plaisir.
Chaque mouvement de bassin ne faisait qu’amplifier l’envie de l’elfe rouge, la petite princesse était déjà conquise, elle lui appartenait déjà mais pourtant il était toujours aussi bon de raffermir ce contrôle sur sa petite princesse.
Le plaisir du corps, oui bien sûr, mais c’était surtout au niveau de l’esprit que l’elfe rouge prenait son pied. La posséder comme cela était ce qui rendait cette situation si savoureuse. Elle continuait de la prendre, jouant avec elle, caressant son corps, surtout ses petites fesses puisque c’était ce que l’elfe rouge pouvait facilement avoir en même. Ainsi, elle malaxait un peu les jolies fesses de sa princesse.
L’elfe continua pendant quelques instants alors que le plaisir devenait de plus en plus important. Les premiers signes de son orgasme approchaient et la petite princesse pouvait sentir le membre fébrile de sa maitresse. Et ce fut le final, une jouissance puissante dans l’intimité de la pauvre petite princesse qui était désormais remplie des graines de sa maitresse, alors que l’elfe émit un gémissement gutturale.
Elle eut un petit sourire avant de se retirer, déposant un baiser dans le cou de sa petite soumise. Elle caressa lentement les courbes de la jeune princesse.
-Ma petite Alice, tu étais délicieuse…
Elle eut un petit sourire en lui disant.
-Je pourrais m’habituer à te posséder comme cela tu sais ? Oui, te prendre tous les soirs pour te remplir de ma semence… je pense que je pourrais me faire à cette idée.
Elle déposa un autre baiser dans son cou avant de l’aider à se relever, lui disant tendrement.
-Viens, nous allons prendre une douche. Nous sommes couvertes de sueurs et j’aimerai bien profiter d’un bain avec toi ma chérie…
Elle eut un petit sourire avant de lui prendre la main et de la conduire sous la douche. Mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’elfe rouge serait sage et n’abusera pas de son statut pour profiter de la pauvre petite princesse… Enfin, si la demoiselle ne la poussait pas trop..
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Sentir sa Maîtresse la pénétrer était vraiment quelque chose de délicieux. Après l’avoir tant nargué, Tinuviel lui faisait maintenant vraiment l’amour, et allait même au-delà de ça… Elle était en train de la baiser, de la prendre avec force et avec talent, d’honorer le corps d’Alice en la butinant… Et ça, Alice adorait. Ses soupirs, ses couinements, ses gémissements, et même ses cris, venaient ainsi emplir l’habitacle, pendant que, dans son dos, Tinuviel continuait à la prendre goulûment, avec cette énergie et avec cette passion qu’Alice avait toujours aimée chez elle. Elle aimait l’expérience de Tinuviel, le fait que cette dernière soit capable de se retenir en plein élan, tout en faisant preuve d’une passion dévorante, preuve que l’on pouvait faire l’amour depuis des siècles à quantité de personnes différentes sans jamais véritablement se lasser. Alice, en un sens, admirait cette femme, son énergie, sa passion, son talent…
Elle la prenait donc, ses mains glissant sur son corps, revenant fréquemment vers sa croupe, comme pour s’y appuyer, pour mieux la caresser. Les coups de reins vinrent à se poursuivre pendant de nombreuses minutes, la queue de Tinuviel se glissant dans l’intimité luisante de la femme, jusqu’à la pousser au plaisir suprême. Alice, en réalité, atteignit l’orgasme quelques instants avant Tinuviel, qui se vida joyeusement en elle, répandant sa chaude semence dans son ventre.
« Haaaa… »
Se faire remplir… Encore une chose qui émoustillait tout particulièrement la Princesse, qui frémit en sentant le sperme remonter en elle, au fur et à mesure que Tinuviel se libérait. Elle se relâcha en elle, dans un profond soupir, puis invita Alice à se redresser. Cette dernière, après avoir été prise pendant tant de minutes, chancela brièvement, mais se rétablit rapidement, souriant malgré la sueur et les rougeurs qui dessinaient et ornaient son visage.
« Et je pourrais aussi très bien m’y faire, Maîtresse… »
Elle en sourit sincèrement. Oui, si Tinuviel voulait la prendre tous les soirs, au demeurant, ça ne dérangerait guère la première intéressée, bien au contraire. Alice s’en mordilla même les lèvres, mais n’eut pas le temps de badiner davantage, Tinuviel proposant de prendre une douche. La jeune Princesse acquiesça donc. Elles étaient dans cette chambre depuis plusieurs heures, maintenant, et, à force de faire l’amour, elles devaient être en sueur. Une douche s’imposait donc, et, main dans la main, elles s’y rendirent donc, sans prendre la peine de s’habiller.
Nue, Alice s’aventura ainsi le long des couloirs du harem, jusqu’à rejoindre la salle de bains la plus proche, sans croiser personne, et rentra dans une belle cabine avec Tinuviel. L’eau ruissela alors sur elles, et Alice poussa un soupir au contact de ce liquide bienfaiteur, qui éclaboussa ses cheveux, et dégoulina rapidement sur tout son corps.
« Haaaa… Ça fait du bien !! »
Reprendre des forces, ce n’était pas un luxe qu’Alice allait refuser, après avoir utilisé son corps pendant tant d’heures.
Et quoi de mieux qu’une douche pour ça ?
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Elfe rouge rentra lentement dans l’eau accompagnée par son esclave. Elle soupira de plaisir en sentant la chaleur du liquide. Elle observa quelques secondes Alice, Depuis son arrivait, la jeune femme semblait avoir changeait. Elle était rayonnante, comme si elle avait véritablement trouvé sa place. Elle pouvait également voir son ventre légèrement rond, puisque celui-ci était rempli de l’œuf de la Lamia. Naya était trop jeune pour créer des œufs viables, véritablement capable de donner naissance, et pourtant cette fois ci, il semblait qu’un des œufs avaient réussi à s’implanter en elle. D’ici peu de temps aurait le même ventre que lorsqu’elle porterait ses enfants… Peut-être un peu moins grand, moins rebondit.
Elle avança lentement vers Alice, l’embrassant doucement, en lui caressant la joue. Elle avait dans les yeux, une tendresse infinie pour son épouse, et il était clair que l’elfe rouge n’avait pas d’idée
-Puisque tu vas encore passer quelques jours en notre compagnie Alice ? J’aimerais savoir si tu as quelques envies particulièrement. Je sais que tu as déjà passé la nuit avec quelques-unes de mes amantes…
Elle eut un petit sourire en caressant le ventre de la jeune femme.
- Demain, je passerai la journée avec Lorna, donc je pourrais peut être demandé à d’autres de mes amantes de s’occuper de toi ? Sauf si bien sur tu préfère être le jouet de tout mon harem ?
Honnêtement, l’elfe rouge pensait que sa petite princesse avait déjà ses préférences. Elle ne lui en voulait d’ailleurs nullement de rejoindre Naya Talia ou Lyrinda ? A moins que la jeune femme ait une autre idée en tête ? Après tout, le harem pouvait combler les fantasmes de presque n’importe qui en matière de diversité. La princesse pourrait donc trouver de quoi la satisfaire.
Elle eut un petit sourire avant caresser doucement sa petite soumise.
-Je suis sur que Naya serait heureuse que son jouet soit de retour. A moins que tu ne préfères la nouveauté ma petite chérie ? Alors dit moi, qui sont tes favorites… A qui te donnerais-tu si jamais tu n’étais déjà pas mienne ma chérie ?
Elfe était curieuse de savoir à qui sa petite soumise ce donnerait demain. Bon, elle pouvait toujours demander à sa maitresse la permission de ce reposé. Mais il était probable que ce ne soit pas pour cela qu’elle soit venue ici.
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La douche lui faisait un bien fou. L’eau glissait sur son corps, la faisant agréablement frissonner de toute part, et c’était particulièrement agréable. Après les heures de sexe qu’elle avait eu avec sa Maîtresse et amante, Alice était épuisée. Dès lors, il était très plaisant de sentir l’eau sur elle, et ce moment de calme permit également à ses muscles de se reposer. Mine de rien, cette activité de sexe intense était particulièrement sportive, et la jeune tête blonde se surprenait à pouvoir tenir la route. Face à elle, Tinuviel profitait également de l’eau, et ne profita pas de la situation pour lui faire à nouveau l’amour, même si la main de l’elfe s’attarda sur son ventre, un ventre qui avait maintenant un bel embonpoint. Est-ce que les œufs de Naya survivraient à cette grossesse ? Alice n’en savait trop rien, en réalité. Elle avait le sentiment qu’ils étaient toujours en vie, mais elle n’était pas gynécologue. D’après Tinuviel, Naya était encore trop jeune pour engendrer des œufs suffisamment résistants pour vivre... Mais peut-être avait-elle suffisamment vieilli ? Et puis, n’y avait-il pas aussi des questions de compatibilité génétique et de hasard qui rentraient en jeu ? La procréation entre les ressortissants d’une même espèce était déjà une affaire complexe, avec de nombreux critères à prendre en considération, alors, entre individus de race différente, la chose devait être encore plus compliquée.
Tout ça pour dire qu’Alice ne savait pas si les serpents de Naya survivraient. En revanche, elle sentait que l’accouchement était imminent, et aurait certainement lieu ce soir. Pour s’en rendre compte, il suffisait de voir combien son ventre avait grossi depuis la veille. Alors, elle pensait que ça se rapprochait. Néanmoins, ce n’était pas de ça que Tinuviel voulait parler, mais de ce qu’Alice ferait demain. Sa femme serait avec Lorna la journée, et, curieuse, l’elfe lui demanda donc avec quelle personne Alice voulait passer la soirée.
« Oh, je, euh... »
Impossible de nier les sous-entendus sexuels derrière la curiosité de Tinuviel, ce qui, de manière amusante, ne manqua pas de faire rougir Alice, elle qui, pourtant, était en ces lieux emportée dans une véritable spirale de sexe et de stupre. Elle restait toujours la timide jeune femme que, fondamentalement, elle était, et ce quand bien même, quand on faisait sauter les pans de cette nervosité, c’était une femme extrêmement perverse qui se révélait.
Revoir Lyrinda et Naya était effectivement tentant, mais Alice se mordilla les lèvres.
« Hum... Eh bien... Je pense que je devrais déjà aller m’excuser auprès de Talia pour lui avoir rappelé de mauvais souvenirs, et... Ensuite, je... Oui, ce serait... Ce serait très bien de revoir Lyrinda ou Samia, ainsi que Naya, mais... Ton harem comprend d’autres personnes qui m’intriguent, et... Après tout, je me dois bien de voir mes autres rivales. »
Elle sourit légèrement, encore rouge, se pinça de nouveau ses belles lèvres, et reprit à nouveau, baissant les yeux, avant de regarder Tinuviel :
« J’aimerais bien voir Amy (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1358320), et... Et Minako (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=867098)... »
Alice déglutit un peu, toujours gênée en affirmant qu’elle voulait voir une Slime et une dominatrice sadique, et en tortillait nerveusement ses doigts entre eux.
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Elfe rouge hocha la tête, elle avait raison, voir Talia serait une bonne chose. Elle n’avait aucun doute sur le fait que sa belle terranide lui pardonnerait mais cela n’empêchait pas pour autant la demoiselle de s’excuser. Elle eut un petit sourire avant d’entendre la suite du programme. En effet, sa petite soumise avait choisi une dominatrice et une slime. Si elle ne connaissait pas aussi bien sa soumise, elle aurait presque pu penser que la demoiselle allait passer des nuits particulièrement agitées. Mais il n’y avait aucun risque non ? Après tout, sa petite Alice était la plus chaste de toute les princesses…
Elle eut un grand sourire a cette pensée, étouffant même un petit rire difficilement.
- Je ne te connaitrais pas Alice, je finirai par croire que tu es une soumise qui rechercher l’autorité d’une maitresse autoritaire et la possibilité d’être prise dans des tentacules… Mais tous ceci est parfaitement impossible n’est ce pas
Elle eut un grand sourire, se moquant légèrement de la jolie blonde. Elle l’embrassa quand même sur le front pour se faire pardonner et lui dit doucement.
-Profite bien de te journée de demain alors. Mais je veux que tu te reposes un peu demain soir… Cela fait déjà quelques jours que tu enchaines les caresses et les baisers et ton corps a aussi besoin d’un peu de repos.
Elle déposa tendrement un baiser sur son front et la pris doucement dans les bras. Elles avaient encore une ou deux peut être avant la naissance des serpents et si cet événement serait sans doute moins épuisant qu’une vraie naissance, la jeune femme aurait tout de même besoin de forces pour la suite. Ainsi, l’elfe rouge la prit doucement dans les bras, profitant de l’eau chaude et de la compagnie de la belle blonde. Elle déposa un doux baiser dans son cou, frottant légèrement celui-ci alors qu’elle la gardait dans une douce étreinte.
-Alors Alice, préfère tu donner naissance ici ma jolie ? Ou bien aller dans mon lit ?
Elle laissait clairement le choix à sa belle blonde, elle sait que l’eau chaude la détendrait et rendrait ainsi les choses plus faciles sans doute pour elle. Toutefois, sa belle blonde préférait peut être un lit car plus confortable pour elle ?
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« Mais... Je ne suis pas venue ici pour me reposer, Maîtresse, mais pour me rapprocher de vous... »
Tinuviel avait en tout cas bien deviné les souhaits d’Alice en désirant passer un moment avec Amy et Minako. Bien sûr, il n’y avait pas qu’elles qu’Alice voulait voir, mais elle était à se demander si elle allait avoir assez de son séjour ici pour pouvoir vraiment profiter de tous les délices que le harem de sa Maîtresse et femme lui offrait. Pour l’heure, elle devait retrouver Talia, et savourait ce moment avec Tinuviel. L’elfe rouge était une femme très agréable, et Alice se lova contre elle, frissonnant à ses baisers, caressant le corps de la belle elfe.
L’elfe rouge revint alors sur une chose à faire avant d’aller voir Amy ou Minako : le serpent dans son ventre. L’œuf que la Lamia lui avait mis approchait maintenant du point de maturation, et la jeune femme demanda à Alice de choisir entre, soit accoucher ici, soit accoucher dans la chambre.
*Accoucher dans la cabine de douche ? Quelle drôle d’idée... !*
Alice se redressa un peu, s’extirpant du corps agréable de Tinuviel, croisant son regard avec le sien.
« Hmmm... Eh bien... Je ne pense pas que la cabine de douche soit requise... D’autant plus qu’il me semble normal d’inviter Naya, alors... Je ne vois que la chambre pour ça ! »
Si Alice accouchait bien, c’est que quelqu’un l’avait engrossé. Et ce « quelqu’un » n’était autre que Naya (http://img.rule34.xxx/samples/792/sample_2f2a77c23fa0cf633354151205825c80ce65efff.jpg?791115), la belle et puissante créature avec qui Alice avait passé une partie de la nuit. Elle rougit soudainement en ayant une nouvelle idée, baissant les yeux et se mordillant les lèvres, disparaissant dans ses rêves pendant quelques secondes, avant de finir par revenir à elle.
Un léger sourire inonda alors son beau visage, au milieu du rougissement prononcé de ses joues.
« Je... Je me verrais bien donner la vie à ce serpent en étant lovée contre la queue de Naya, en fait... »
Pour elle, ce serait en tout cas la plus belle des façons de mettre au monde le fruit de la Lamia.
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En écoutant sa petite soumise, l’elfe rouge eut une idée. Elle eut un petit sourire avant de l’embrasser tendrement, la séchant d’un claquement de doigt grâce à un courant d’air chaud. Elle caressa lentement la joue de la jeune princesse en lui glissant à l’oreille.
-Je vais aller chercher ma petite Naya. Toi, va t’installer sur le lit ma chérie. Je pense que tu apprécieras la petite surprise ce que je vais t’offrir.
Voir la petite princesse dans cet état lui donnait envie de la posséder encore une fois, mais pour l’heure, elle avait autre chose en tête et se leva donc pour aller chercher naya et pour combler les besoins de sa petite princesse.
Ainsi, la grande Lamia entra dans la chambre, regardant la petite princesse dans les yeux, la surplombant de toute sa grandeur. Elle regarda la jeune femme souriant légèrement en disant.
-Alorsss mon petit jouet, tu as demandé à ta maitresse d’être présente… Hum, je ssserais bien sur la… Il faut bien que je m’occupe de ma progéniture et de celle qui la porte.
Elle caressa lentement le visage de son jouet alors que sa queue venait de s’enrouler autour des pieds de la blonde, la lamia jouant un peu avec elle avant de lui dire.
-Mère m’a dit qu’elle allait bientôt nous rejoindre mais qu’elle allait avoir besoin de temps. Ainsi ma petite soumissse, ma petite chossse, je vais prendre soin de toi.
Pas de geste sexuelle, de la part de la lamia, juste des gestes de tendresse d’un maitre a son animal. Elle la gardait proche d’elle pendant de très longue minutes jusqu’à ce que du bruit commence à venir de la direction de la porte. Cependant Naya a cause de son emprise empêchait la petite soumise de se tourner vers la provenance de ce bruit…
Finalement la jeune femme laissa la possibilité a la princesse de se tourner. Et elle pouvait voir sa maitresse.. Bien que différente.. Très différentes. En effet les jambes de l’elfe étaient remplacée par une longue, une très long queue de serpent… Une queue D’echidna, la rendant plus impressionnante encore que Naya. La maitresse s’avança lentement avant de prendre Alice en sandwich entre elle et Naya.
-Tu donnera naissance ma petite Alice a un serpent… Mais tes maitresse seront la et t’accompagneront petite proie.
Elle glissa lentement sa queue sur le visage de la jeune femme en disant.
-Tu es l’esclave d une famille de lamia et tu nous donneras de nombreux enfants.
Naya repris d’ailleurs…
-Et le premier sssera bientôt la… pas vrai esclave ?
Les deux lamias s’embrassèrent doucement. Offrant à la soumise un magnifique spectacle.
-
S’il était, en soi, légitime que Tinuviel s’inquiète pour la fatigue d’Alice, dans les faits, cette dernière n’était pas là. Une humaine normale n’aurait jamais pu tenir aussi longtemps, mais Alice n’était pas une humaine classique. Elle était une Korvander, et son sang avait été béni par le dragon d’Or. Et, si la jeune femme aimait bien dormir, c’était plus par paresse qu’autre chose. Historiquement, les Korvander avaient toujours été des individus impressionnants par leur endurance. Ils étaient des guerriers exemplaires, car le sang du dragon leur fournissait une vitalité exceptionnelle. Et, chez Alice, cette vitalité, chez Tinuviel, s’exprimait à travers sa soif sexuelle. Autrement dit, elle n’était pas prête de s’endormir, car elle était tout simplement trop excitée pour le faire. Ce qu’elle vivait ici était un peu comme un rêve éveillé, un fantasme. La première fois qu’elle avait Tinuviel Lastrim, l’elfe rouge lui avait fait une forte impression. Alice, en effet, n’avait jamais connu sa mère, et avait toujours manqué d’une présence maternelle. Si Mélinda avait profité de cette absence, aux yeux d’Alice, elle avait plus acquis le rôle d’une sorte de grande-sœur. Inconsciemment, Alice voyait Tinuviel, avec son expérience, son talent, sa patience, son souci d’éduquer Alice, comme la mère qu’elle n’avait jamais eu.
Mais tout ça, Alice ne se le posait même pas. Pour elle, elle vivait juste un moment incroyable ici. Elle attendait donc dans la chambre, quand des bruits se firent entendre… Et elle rougit en voyant Naya arriver. La belle Lamia à la queue bleuâtre s’approcha de son amante, et Alice se pinça les lèvres, avant d’émettre de multiples soupirs quand la Lamia commença à la caresser. Elle frottait ses épaules, grattait son dos, ses joues, léchant sa peau, la titillant, mais sans chercher à l’exciter sexuellement… Même si, finalement, c’était ce qu’elle faisait par son approche si tendre et si douce.
« Haaaa… Na-Naya, hmmm… »
Alice soupirait tendrement, en sentant les mains de Naya la caresser et l’explorer. La Lamia se montrait particulièrement affectueuse, et passa à plusieurs reprises sa main sur son ventre, comme pour sentir la vie pulser à l’intérieur. Le ventre de la Princesse continuait à s’arrondir, et les œufs étaient sur le point de sortir. La jeune femme gémit encore, puis entendit des bruits de reptation supplémentaire. Cependant, le visage de Naya était contre le sien, l’empêchant de voir qui venait de rentrer. Malicieusement, Naya semblait s’amuser à la narguer, l’embrassant encore, fourrant sa langue dans sa bouche, avant de finalement s’écarter…
…Ce qui permit à Alice de voir une longue queue aux écailles rouges, grosse et chaude. Ses yeux s’écarquillèrent progressivement, avant qu’elle ne voit le buste de la seconde Lamia, reconnaissant la peau beige, la généreuse poitrine, et la longue chevelure grise/argentée de…
« Maî-Maîtresse… ?! »
Les pouvoirs magiques de Tinuviel ne cessaient décidément de surprendre Alice. Elle s’était transformée en une superbe Lamia, et se rapprocha, venant s’enrouler autour d’Alice et de Naya, de telle sorte que le corps d’Alice se retrouva coincé entre deux grosses queues, formant comme une série de bandes rouges et vertes qui se superposaient le long de son corps.
« Haaaa… Haaaaa… »
Alice mouillait, cette fois, sans aucun doute possible. Elle se pinça fermement les lèvres, les joues toutes rouges.
« Vous… Vous êtes si belle, Maîtresse… »
Tinuviel lui expliqua qu’elle allait donner naissance à un serpent, mais que Naya et elle seraient là pour l’accompagner. Buvant les paroles de sa Maîtresse, Alice hocha lentement la tête.
« O-Oui… »
Deux Lamias… Deux Lamias rien que pour elle… Dont l’une était Tinuviel ! Ohlàlà ! Comment ne pas être excitée par tout ce qui se passait autour d’elle ? Tinuviel embrassa alors Naya sensuellement, et Alice sentit sa gorge se dessécher devant ce spectacle magnifique. La langue de Tinuviel glissait contre celle de Naya, et la jeune Princesse observait ce spectacle en salivant doucement.
« Vous… Vous êtes si belles, toutes les deux, mes Maîtresses… J’espère vous donner de beaux serpents ! »
C’était vraiment là tout ce qu’elle souhaitait… Outre sentir leurs queues caudales se crisper contre elle, ce qui eut par ailleurs lieu quand elles s’embrassèrent, ne manquant pas de la faire gémir.
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Elfe rouge avait un petit sourire, elle savait que la jeune princesse l’admirait, c’était d’ailleurs une des choses qui l’avait poussée à devenir sa soumise. Toutefois, dans cette situation, Alice était presque entrain de la vénérer. Cela s’expliquait facilement d’un autre côté, elle était l’incarnation même des fantasmes les plus puissants de la belle blonde.
La longue queue de Naya qui enserrait déjà le corps de la jeune femme fut bientôt rejoindre par celle de l’elfe rouge qui déposa un petit baiser sur le front de la belle blonde.
-J’espère Alice, que tu nous donneras de beau serpent, c’est ta destinée après tout, de servir tes maitresses, d’être l’incubateur de leur progéniture. N’est ce pas ma petite Alice.
Tinuviel embrassa lentement la jeune princesse, alors que sa fille adoptive jouait lentement avec son corps, frottant sa poitrine. Naya avait de plus en plus envie de la prendre ici et maintenant, mais elle savait que l’œuf en elle serait mature d’une seconde à l’autre. Ainsi, Naya devait prendre son mal en patience, mais peut être qu’après la ponte, elle prendrait la jeune princesse une nouvelle fois.
Pendant ce temps, la lamia rouge embrassa lentement la blonde, sa langue plongeant dans la bouche de la jeune princesse, savourant avec plaisir cette sensation. Elle pouvait sentir les spasmes au niveau du ventre de la jeune femme, preuve que les œufs étaient enfin à maturité…
Elfe rouge lui caressa doucement le ventre. Au vu de la taille de celui-ci et l’age de Naya, la naissance prendrait sans doute que peu de temps, cependant cela n’empêchait pas l’elfe d’être au petit soin pour sa belle princesse.
-Tu le sens Alice, je pense que le travail vient de commencer. D’ici quelques temps ma chérie, tu vas m’offrir une belle progéniture.
Et les deux Lamias s’embrassèrent doucement alors que Alice était en train de donner naissance. Alice était parfaite dans cette position, soumise à la volonté de ses maitresses. Elle en sortirait mère, pas de sang bien sûr, mais peut être que celle-ci porterait plus tard, non pas de simples serpents mais de véritables lamias.
-
Est-ce qu’Alice la vénérait ? C’était possible que, en ce moment, elle soit dans un état d’amour proche de la fascination, en effet. Elle ne le réalisait pas consciemment, mais on pouvait aussi expliquer ça par le fait que sa Maîtresse avait choisi de se transformer en ce qui, chez elle, s’apparentait à un objet de fantasme : une Lamia. Une belle Lamia puissante à la queue rouge et longue, qui s’empressa de l’embrasser tendrement, fourrant sa langue dans sa bouche pour une délicieuse étreinte. Alice ne pouvait qu’en gémir, frissonnant sous le contact de ces écailles qui se pressaient contre son corps, frottaient sa peau, l’excitant chaudement et sensuellement. Elle poursuivait son baiser, crispant ses mains sur les épaules de sa Maîtresse, tout en sentant, dans son dos, Naya masser ses seins, se lover contre elle, sa langue fourchue venant lécher le creux de son cou.
« Hnnnn... »
Deux Lamias belles et puissantes rien que pour elle... Qui n’aurait pas été ravi à sa place ? La jeune Princesse mouillait lentement, ce qui ne fit que faciliter sa grossesse. Tinuviel le sentit, et mit fin au baiser, puis desserra les anneaux formés par sa queue, permettant au ventre d’Alice de se relâcher un peu.
« Mets-les au monde, glissa Naya dans son oreille, posant sa main sur son ventre, en appuyant doucement dessus.
- Haaa...
- Pousssssse, allez... »
Vu la manière dont Naya se serrait dans son dos, et conservait encore une main sur son sein, elle avait visiblement des projets intenses avec la jeune Princesse. Les joues rouges, Alice gémit de nouveau, remuant faiblement sur place, et ferma les yeux, puis couina encore, en bandant ses muscles... Et se mit à pousser. Naya l’aidait en apposant sa main sur son ventre, la relâchant légèrement, avant de l’enfoncer à nouveau. Dans le ventre d’Alice, les œufs gesticulaient, et des gémissements s’échappèrent de ses lèvres.
*Je n’aurais jamais cru accoucher comme ça, prise entre deux Lamias, et entre deux séances de sexe...*
La luxure terrible régnant dans ce harem était réellement en train de la changer, de la rendre bien plus perverse que tout ce qu’elle aurait jamais pu imaginer.
« Haaaaa... Haaaaa... !!
- Pousse ! Pousse !!
- Gnnnn... Haaaaaaa... !! »
Elle sentit son bassin s’écarteler, mais mettre au monde de simples oeufs s’avéra bien moins difficile qu’enfanter un véritable bébé. Dans un long soupir, elle sentit les œufs partir, et deux sortirent de son corps, tombant sur la moquette au sol, recouverts d’un liquide séminal. La respiration lourde et le cœur battant, Alice chancela, et se lova contre le corps de Naya.
« Ça... Ça y est... »
Les œufs étaient sortis !
-
Elfe rouge était satisfait, sa petite princesse avait donné naissance à deux beaux œufs, des œufs qui donneraient naissance à de beaux reptiles… Naya n’était pas encore prête à donné naissance à des lamias, mais c’était le premier pas et la belle blonde avait eut cet immense honneur. La Lamia rouge aux oreilles pointues s’avança lentement en direction des œufs avant de les récupérer et de les montrer à la belle blonde. Elle eut un petit sourire, lui caressant doucement la joue.
-Regarde les Alice, ce sont tes enfants, le fruit de tes entrailles et de ton amour pour une Lamia. J’espère ma belle que tu viendras voir tes enfants régulièrement.
Elle laissa lentement sa langue serpenter contre le cou de la jeune blonde, souriant doucement alors qu’elle reprenait place, s’enroulant autour des jambes de la jeune femme, la caressant tout doucement en resserrant son étreinte… Sa jeune fille rejoignit l’étreinte, renforçant celle-ci. Les deux possédant désormais le corps de la jeune princesse aujourd’hui soumise.
-Tu dois être fatiguée Alice, alors repose-toi. Repose-toi dans la douce chaleur de notre étreinte… tes maitresses te protègent.
Naya lui mordilla doucement le cou
-Oui mais peut être préfère tu en réalité être prise et être utilisée comme notre jouet. Il parait que ton sang te donne une résistance hors du commun… Mais peux tu résister aux envies perverses de deux lamia ?
Elle eut un petit sourire, laissant la jeune femme réfléchir… Quelque soit le choix, la jeune femme resterait piégée de ces deux belles maitresses. Connaissant la jolie blonde, cela ne lui déplairait sans doute absolument pas. Et heureusement car les deux dominantes semblaient avoir envie de continuer leur jeu un long moment…
-
Des œufs, deux serpents allaient venir au monde. Alice se sentait flattée et ravie d’avoir pu mener cette « grossesse » jusqu’à son terme. Respirant fortement, elle reprenait peu à peu ses esprits, et sentit alors sa Maîtresse retourner s’enrouler autour d’elle, la félicitant en la caressant, en l’embrassant, en se frottant contre elle. La jeune Princesse se mit à soupirer de plaisir, et sentit rapidement Naya les rejoindre, les ramenant dans une position qu’Alice avait eu avant de donner naissance aux bébés de la Lamia. Ravie d’avoir une portée, Naya la félicita aussi, et Alice tourna la tête, venant l’embrasser. Naya lui mordilla ensuite le cou, et les deux Lamias laissèrent le choix à Alice : se reposer, ou subir leurs assauts sexuels. Et, comme Naya l’avait remarqué, le sang d’Alice était très particulier.
Soupirant lentement, les joues rougies au contact des écailles qui frottaient contre son corps, et se serraient régulièrement, elle caressa le corps de Tinuviel, et l’embrassa à nouveau.
« Les... Les Korvander ont toujours été très endurants... Et... Je ne suis pas venue ici pour dormir, Maî-Maîtresse. Je... J’aurais amplement le temps de me reposer après. »
Elle savait pertinemment ce qu’elle faisait, et se pinça les lèvres, en sentant les deux Lamias se serrer contre elle plus fort, leurs corps s’aplatissant contre le sien. Alice était une délicieuse prisonnière, et sentit les verges des deux femmes se rapprocher.
« A-Allez... Bai... Baisez-moi fort ! » finit-elle par demander.
Difficile d’être plus clair, non ? Elle voulait les sentir en elle, encore, encore et encore ! Alice était tout simplement assoiffée !
-
L’invitation de la future reine de Sylvandell était claire et équivoque, elle en voulait plus, assoiffée et insatiable. Son sang à son avis n’était pas la seule chose expliquant cela. Non, il y avait également un autre facteur : la liberté. Ici, elle n’était pas une princesse, elle n’était qu’une soumise, une épouse parmi tant d’autre. Elle était bien sûr aimée par l’elfe rouge mais elle n’avait pas de comportement à avoir. Elle n’avait pas de responsabilité, pas d’image à garder et surtout, elle pouvait combler ses envies sans aucun regard ou contexte réprobateur.
La volonté de la jolie blonde était d’ailleurs claire, elle voulait se faire prendre une nouvelle fois. Mais cette fois ci, cela n’était pas par une Lamia, non… elle en voulait deux. Deux prédatrices, quatre membres pour une seule esclave. La pauvre blonde aurait sans doute du mal à les combler mais qu’importe, elle l’avait demandé. L’elfe rouge lui malaxa doucement la poitrine, lui mordillant le cou…
-Très bien esclave, je te féconderai encore et encore… Ma fille… s’occupera de ton petit cul… Mais crois moi Alice, ce soir, tu ne seras qu’une femelle qui répondra à nous envie.
Elfe rouge l’embrassa une nouvelle fois, glissant sa langue dans la bouche de la jeune femme, la maitrisant avant de s’enfoncer lentement en elle. La première des verges ophidiennes dans son intimité, la seconde frottant lentement contre son ventre alors que l’échina supérieure commençait à prendre possession de sa petite princesse. Elle la serrait lentement dans sa queue, lui empêchant de s’enfuir alors que Naya pendant ce temps frottait la poitrine de sa victime, l’enserrant à son tour dans sa queue. Elle lui lécha doucement l’oreille, passant ses crocs sur son cou…
-Sois patiente esclave, tu m’aura aussi… Mais je veux voir mère te prendre comme son jouet.
La mère en question semblait prendre son pied d'ailleurs, continuant à remplir la pauvre blonde de son membre et la prenant sans douceur...
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Finalement, n’était-ce pas cela qu’on attendait d’une maison close ? Close... Pour protéger les mœurs, mais aussi pour être close du reste du monde. Ce qui se passe dans la maison close reste dans la maison close, comme une parenthèse sur les responsabilités, ou sur le sens du devoir. Alice était loin d’être la seule personnalité politique à fréquenter les maisons closes. Tant sur Terra que sur Terre, elle avait lu des livres rapportés par Mélinda sur les pratiques des bordels, et avait été surprise d’apprendre combien de personnalités historiques se rendaient, parfois très régulièrement, dans les maisons closes. Alors, son comportement était-il si répréhensible que ça ? A fortiori dans un État qui n’avait pas été marqué par la morale et la doctrine religieuse vilipendée par l’Ordre Immaculé... Il suffisait de se plonger dans l’histoire érotique de Sylvandell pour savoir que, il y a plusieurs siècles, l’un de ses ancêtres avait fait du Château royal un bordel géant, et avait donné naissance à beaucoup de bâtards. Oui, Alice ne se sentait pas gênée... Du moins, pas autant qu’elle le devrait, car Maîtresse Tinuviel prenait malgré tout un malin plaisir à lui rappeler régulièrement son statut. Cependant, elle savait que ce n’était qu’un jeu, un moyen pour elle de s’échapper de la pression du quotidien, et de pouvoir mener, pendant quelques jours, la vie qu’elle rêvait.
Alors, il n’y avait effectivement pas que le sang. Le sang du dragon fournissait juste à son corps le carburant dont elle avait besoin, mais il y avait aussi, au-delà de ça, une source de perversion insoupçonnée chez la jeune femme. Et là, face à deux puissantes Lamias, elle était naturellement ravie. Elle sentit même la double queue des deux Lamias, lui garantissant un spectacle intense dans leurs queues. Tinuviel acquiesça donc, qu’elle la féconderait « encore et encore », et Alice en soupira, se mordillant les lèvres.
« C’est... C’est tout ce que je veux, haaa.. Ê-Être votre... Votre pute, haaaannn... Votre délicieux sac à foutre... Et vous donner des bébés, haaaa... »
Elle lui avait dit qu’elle ne pouvait pas avoir d’autres enfants, ce qui était à la fois vrai... Et faux. La multiplicité d’enfants bâtards présentait le risque que le Patriarche ne reconnaisse pas un héritier comme étant un digne descendant d’Erwan Korvander, mais aucune règle n’interdisait d’avoir des bâtards. Et, plus elle couchait ici, et plus elle se rappelait les histoires sur les « Bâtards de Thagon Korvander », ce fameux ancêtre qui avait fait du Château un bordel. On disait qu’il aurait eu plus de 500 enfants illégitimes. Sur le coup, Alice n’y avait pas cru, tant l’histoire paraissait délirante, mais, avec le recul... Eh bien, elle se disait que ce n’était peut-être pas totalement faux.
En tout cas, elle sentit soudain la queue de Maîtresse Tinuviel se crisper sur son corps, remontant tout le long de son corps, et gémit alors, son cri mourant dans sa gorge, ses yeux se fermant, pendant qu’elle sentit une queue énorme s’enfoncer dans son vagin, la seconde queue de sa Maîtresse remontant doucement sur son ventre. Elle gémit alors, en sentant ces queues légèrement écailleuses, mais non moins agréables, l’aspect écailleux les rendant encore plus durs.
« Haaa... !! »
Dans son dos, Naya la stimula également, mais Alice, qui était tout simplement trop bien prise pour pouvoir répondre pour l’heure, se contenta de gémir encore. Les coups étaient forts, faisant remuer sa tête d’avant en arrière, et, peu à peu, sa langue se délia, tandis que de la salive coulait le long de ses joues... Et elle se mit à hurler.
« HAAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN... !!! »
De délicieux cris qui emplirent tout l’espace environnant.
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Elfe prenait son pied, en même temps qu’une petite blonde qui gémissait de plaisir coincée, prisonnière entre sa queue. Elle la prenait avec force, la transformant comme elle le désirait en vulgaire sac à foutre dont la vocation était d’être utilisé. Si la queue de l’elfe rouge prenait son dut, le second membre qui frottait sur le ventre de la jeune princesse, la marquait d’un fluide délicieusement attirant, aux odeurs fortes et puissantes.
Oui, le même fluide coulait en elle pour faciliter la pénétration, un pré sperme visqueux. Elfe rouge mordillant doucement le cou de sa princesse afin de garder tout ses sens en éveil. Elle risquait d’ailleurs d’en avoir besoin. En effet, ceci n’était que la moitié de ce qu’elle allait connaitre. Naya était certes patiente, appréciant de voir sa mère jouer avec cette proie, elle avait également de plus en plus envie. Cela était visible et la petite princesse pouvait sentir dans son dos, deux belles preuves remplies de désir pour elle.
Finalement Naya ne se retient plus, mordillant le cou de la jeune princesse, y injectant une petite dose d’aphrodisiaque pour éviter la douleur lorsqu’elle la prendrait, ce qui allait arriver…. Maintenant. Un de ses membres se glissant dans l’orifice libre de la pauvre princesse. Alice était désormais prise en sandwich entre les deux Lamias qui sans douceur la prenait.
Est-ce que Alice était malheureuse de son sort ? sans doute non à en croire ses gémissements et son visage déformé par le plaisir. Les deux Lamias non plus, adorant cela, s’embrassant en prenant la petite princesse dans une étreinte à la fois profondément immorale mais pourtant si délicieuse.
Le sexe était brute, puissant et sauvage à l’image du corps des deux lamias qui s’enfonçaient brutalement dans la jolie blonde offerte pour leur plaisir, le lit tremblant, supportant avec peine la puissance des deux créatures qui continuait leur œuvre dans un concert de cri qui pouvait s’entendre jusqu’à l’autre bout du harem…
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Scène de sexe, ou scène de torture ? On pouvait s’y méprendre, en réalité, car les Lamias tuaient leurs proies de cette manière, en les étouffant dans leur queue, serrant si fort qu’ils brisaient les os de leurs proies, les disloquant sur place, donnant un spectacle assez atroce, tant d’un point de vue auditif que sonore. Tinuviel aurait pu tuer Alice, surtout avec l’aide de Naya. Alice était serrée très fortement, comme une sorte de vis coincée dans un orifice. Tout son corps était restreint, sa respiration compliquée, et, pourtant, pourtant, elle trouvait encore la force d’hurler, ou de gémir longuement, surtout quand sa Maîtresse venait la mordre. Elle sentait les crocs de Tinuviel se planter en elle, diffusant un venin puissant et nécessaire. Puissant, car Tinuviel savait qu’Alice était une humaine améliorée. Le sang du Dragon, qui la rendait si sexuellement énergique, était aussi une très bonne protection contre les empoisonnements.
« Hmmmmm... !! »
Alice couinait donc, sentant du sperme sur son ventre, émanant de la seconde queue de Tinuviel. Yeux clos, elle s’imaginait la scène, la visualisant comme si elle était à l’extérieur. Véritable poupée de chiffon, malmenée et martyrisée par Tinuviel et par Naya, elle flottait dans un état second. Heureuse ? Oui, indéniablement, mais... Ce n’était pas juste du « bonheur », au sens où elle passait un agréable moment. Alice était partagée et tiraillée entre une douleur intense et un plaisir tout aussi immense, les deux formant un cocktail explosif qui la transcendait. Elle dansait sur place, sa tête filant d’avant en arrière, et rouvrait parfois les yeux, souriant alors en voyant sa Maîtresse. Elle voyait une lueur de pure perversion dans ses yeux, de bestialité exquise.
Puis Naya finit par la mordre à son tour. Alice gémit encore, et frémit en sentant une queue s’approcher de son fondement... Et, sans plus attendre, Naya s’empressa de la sodomiser. Alice écarquilla alors les yeux, et eut un orgasme dès les premières secondes de cette sodomie, tout en hurlant longuement.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!! »
Par tous les Dragons, c’était... C’était tellement intense ! Sa sueur ruisselait le long de son corps, et elle sentait parfois les deux queues reptiliennes se serrer fortement sur son corps, tant et si bien que Tinuviel et Naya l’étouffaient. Alice ouvrit alors la bouche en grand, comme pour happer de l’air, et sentit la pression se relâcher de quelques centimètres sur son corps, juste assez pour lui permettre de respirer. Sa tête partait en arrière, et elle n’arrivait même plus à retenir la salive, se mettant à enchaîner les orgasmes. Incapable de parler, tant elle était excitée, Alice dodelinait de la tête, gémissant longuement, en crachant sa mouille, et en sentant la semence de sa Maîtresse en elle et sur elle, tout comme Naya le faisait.
Et, plus le sperme coulait sur son corps, et plus sa peau en était lubrifiée, facilitant les mouvements des queues reptiliennes sur son corps, permettant aux deux Lamias de la serrer toujours plus. Un véritable cercle vicieux, et le fait est que la semence que les deux Lamias relâchaient ne sortaient pas de leurs deux queues serrées. Pas une seule goutte n’arrivait à filer contre leurs écailles. Autant dire que, quand elles se retireraient, la peau d’Alice aurait une drôle de couleur !
Mais, pour l’heure, ce qui était sûr, c’est que la petite Princesse prenait un pied d’enfer !
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Les Lamias étaient des créatures paradoxales… mi Humaine, mi serpent, ainsi peut-être qu’il était normal que leurs manières de faire l’amour le soit tout autant. Après tout, malgré tout son amour pour une compagne, le sexe était d’une rare violence pour une Lamia. Mais cela ne semblait nullement déranger la blonde qui semblait être à sa place dans leurs anneaux. Le plaisir des trois créatures montant de plus en plus, Alice enchainait les orgasmes aussi bien à cause des membres en elle que de la situation.
C’était la même chose pour les lamias, les jouissances s’accumulait, laissant le sperme des deux créatures couvrir lentement la peau de la jeune blonde mais aussi la remplir doucement… Leur étreinte se resserrant doucement autour de la princesse. Leurs queues s’enroulant l’une autour de l’autre.
Tinuviel embrassa lentement naya avant de frotter ses crocs contre le cou de la lamia qui lui rendu le geste. Cela n’était peut-être pas un geste propre à l’espèce mais c’était devenue quelque chose de propre à leur famille… Puis les deux lamias firent la même chose à la jeune Alice, l’intégrant ainsi dans leur trio.
-Tout ton corps et notre Alice… Nous pourrions te briser, de casser comme un brin de paille. Mais au lieu de cela tu es remplie de nos semences… Car tu nous appartiens…
Cela continua durant un long moment. Un long moment durant lequel Alice fut remplie plusieurs fois et couverte de sperme, mordue, griffée, enserrée entre leurs queues… embrassaient… et caressait… un long moment ou Alice ne fut rien d’autre qu’une simple poupée pour ces deux prédateurs… Qui enfin furent comblée… Elles commencèrent donc à s’allonger toutes les deux, gardant la jeune femme à l’abri dans leur étreintes pendant qu’elles s’embrassaient doucement.
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Prisonnière entre les deux Lamias, Alice était comme une délicieuse poupée de chair, bien incapable de pouvoir leur faire quoi que ce soit. Elle avait promis de ne pas dormir, de profiter de chaque instant ici, de savourer longuement le corps de sa Maîtresse, de Naya, de faire l’amour, encore et encore... Après tout, Alice était venue ici pour savourer ses retrouvailles avec Tinuviel. Elle s’était mariée avec elle, et, en retour, Tinuviel lui faisait découvrir l’immensité de son harem, des joies infinies et des plaisirs exquis. Alice hurlait, au début, et se calma ensuite. Quand sa Maîtresse embrassait Naya, elle léchait et embrassait son sein, salivant sur sa poitrine, entendant ensuite Tinuviel la narguer.
« O-Ouii, haaa... T-Tout... Tout mon corps, hmmm... »
Elle-même ne sut pas trop comment elle avait réussi à dire ça, tant elle était confuse, et prise d’assaut. D’épaisses queues la labouraient, poussant la jeune Princesse dans ses ultimes retranchements. La salive s’échappait même de ses lèvres, la tête blonde n’arrivant plus à la retenir. Elle continuait à se laisser bercer, couinant en sentant des dents titiller sa chair, et remuait encore, très faiblement. En fait, plus le sperme coulait sur elle, et plus son corps « glissait » entre les membranes des queues se serrant sur elle. Alice adorait vraiment cette sensation d’étouffement, d’écrasement. Elle peinait à respirer, mais se sentait pourtant heureuse, extrêmement heureuse. La jeune femme flottait sur un agréable petit nuage, et Tinuviel l’embrassa encore. Alice cligna des yeux, lui répondant, tout en sentant un nouvel orgasme la traverser.
Petit à petit, les deux Lamias s’allongèrent sur le lit, et Alice se retrouva également en position couchée, sentant la queue de sa Maîtresse la labourer encore, immense matraque. Elle continua à gémir, et sa tête fila se poser sur les seins de Naya. Encore une fois, ceux de Maîtresse Tinuviel s’écrasèrent sur sa tête, faisant disparaître l’intégralité de son corps dans un cocon de chair et d’écailles.
« Haaaaa... Maî-Maîtresse... »
Finalement, le sommeil finit par venir à elle, petit à petit. Son corps était tout simplement à bout, et, dans d’ultimes soupirs, les yeux de la Princesse se firent plus lourds. Elle avait même du mal à respirer, et sentit les seins confortables de Naya, entre lesquels la tête d’Alice se nicha. Et, encore et encore, Tinuviel retournait l’embrasser, l’empêchant de retrouver des forces... Jusqu’à ce qu’elle ne sombre pour de bon, harassée par le plaisir.
Le meilleur sommeil qu’on puisse imaginer...