Coucher avec Lyrinda, une Drow... Si Alice avait l’occasion de le faire, elle n’allait pas s’en priver ! Dans ce harem, où personne ne pouvait la juger, et où elle avait confiance en sa femme pour que rien ne sorte, elle pouvait totalement se libérer. Elle était comme elle se comportait dans le manoir ou dans le harem de Mélinda, laissant ainsi totalement s’exprimer ses perversions et ses désirs intenses et pervers. Lyrinda était une femme magnifique, aussi belle que douée, et faire du sexe violent n’allait nullement la gêner. Bien au contraire ! Avec Mélinda, elle avait pris goût à l’humiliation et à la sodomie, notamment en couchant avec
Ayumi, une femme sportive et musclée, qui adorait sodomiser Alice dès qu’elle en avait l’occasion.
Alice était donc avec Lyrinda, qui vint lui mordre le cou, faisant gémir Alice... Là encore, elle avait l’expérience de Mélinda, car la vampire aimait beaucoup la mordre... Mais, ici, il n’y eut que la sensation de la morsure, pas le plaisir jouissif venant ensuite avec la succion. Lyrinda la fit saigner, avant de se s’asseoir sur elle, tout son corps venant remplir son espace, et Alice soupira, hoquetant lentement, ses mains venant se poser sur les hanches chaudes de Lyrinda, leurs corps se frottant l’un à l’autre. Elles avaient eu le temps de s’embrasser tendrement ensemble, et les mains de la Princesse se crispèrent sur la peau noire et douce de la Drow.
«
Hmmmm... Haaaaa... »
La belle traînée savourait ce contact, cette intimité, cette chaleur, ce sexe omniprésent. Comment était-il possible qu’elle soit devenue à ce point une perverse ? La Princesse adorait le sexe, et, tout en soupirant, elle entendit la Drow lui expliquer que, avec elle, le sexe était sauvage et violent, à la nature du sexe entre Drow. Alice sourit en retour, même si Lyrinda ne pouvait le voir, et sa bouche se rapprocha de son oreille, venant murmurer quelques mots salaces, qui amenèrent la Princesse à se mordiller les lèvres, ses mains se crispant sur sa peau.
«
Oh, Lyrinda... »
Les mouvements avaient repris, et Alice avait bien du mal à parler, car la Drow était toute proche d’elle, ses seins venant s’enfoncer parfois contre son visage, noyant Alice dans son corps... Un corps délicieux, magnifique, sur lequel Alice aurait pu gloser pendant des heures. Elle laissait donc Lyrinda agir, et, tout en le faisant, ses mains se déplacèrent, et vinrent se poser sur les fesses de Lyrinda, une main sur chaque fesse. La Princesse s’y crispa, tout en embrassant et en léchant le cou de Lyrinda, malaxant délicatement ses fesses, écartant ses fesses l’une de l’autre, les joues rouges, la respiration courte.
Comme elle était sa «
chienne », il semblait normal qu’elle lèche sa peau, non ?