Liara T'Soni [Valimutée]

FICHE

• Prénom & Nom : Liara T’Soni
  
• Âge : 107 ans
  
• Sexe : Femme, selon les critères humains. Selon les critères asari, Liara n'a pas de sexe.
  
• Race : Asari
  
• Orientation sexuelle : N’en a aucune, et peut donc se concevoir comme une bisexuelle, car la différence sexuelle humaine n’est pas ancrée dans sa culture
  
• Expérience sexuelle : Vierge.

Physique

Comme toutes les Asari, Liara est une femme d’une grande beauté. Ses formes et ses courbes sont très réussies, visant une sorte d’harmonie esthétique naturelle. Elle a une belle peau bleue, une taille normale, et sa tête ressemble à une espèce de crêtes faisant office de cheveux, par rapport aux critères humanoïdes. Liara est, au sein des Asari, reconnue comme une beauté, ce qui est sans doute lié au fait qu’elle descend d’une Matriarche. Elle entretient cette beauté par de très légères pointés de maquillage, notamment sur ses lèvres et sur ses yeux. Rien n’est toutefois excessif, car, à force de côtoyer les autres espèces de la galaxie, Liara sait qu’elle est très belle, et que la beauté naturelle est largement préférable à celle qui résulte de tous ces artifices inventés par les espèces laides pour essayer de corriger les défauts dont la Nature a fait preuve à leur égard.

Les vêtements classiques de Liara sont une combinaison protectrice. Ce n’est pas une armure de combat, mais la combinaison reste très étanche, et très confortable. Elle ne dispose pas de boucliers cinétiques, et sert surtout à protéger le corps de Liara des parasites quand elle explose des ruines. Il est rare que Liara porte une autre tenue, car, non seulement elle lui va bien, est confortable, mais s’adapte aussi à toutes les circonstances. Elle moule en effet plutôt bien ses formes, non ?

De manière générale, Liara n’est pas très coquette, et n’a ainsi pas une garde-robe très fournie. Pour autant, sa mère a veillé à la doter de plusieurs tenues, en plus des siennes, et, dans son meuble, on peut compter plusieurs tenues, qu’elle utilise de temps en temps, la combinaison protectrice restant la tenue par défaut :

• La combinaison protectrice, qui est un bel ensemble noir et bleu, épousant ses formes. Elle est faite en fibres synthétiques protectrices. L’intérieur de la combinaison est très confortable, ressemblant à une espèce de mousse uniforme qui est extrêmement délicieuse pour le corps ;
  
• La tenue de soirée est une élégante tenue offerte par sa mère lors de son centenaire. Liara n’a encore jamais osé la porter. Ce genre de tenues est excessivement onéreuse, et est réservée pour les grandes occasions, comme les soirées diplomatiques, ou les galas. Liara la conserve soigneusement, parce qu’elle sait que l’abîmer serait presque un sacrilège. Elle provient des plus grandes tisserandes asaries. C’est une magnifique robe avec des couleurs riches et détaillées, ressemblant à un arc-en-ciel. Les fibres utilisées s’adaptent à la luminosité ambiante, et donnent ainsi l’impression que la robe peut changer de couleur. Elle comporte de longs gants, et est terriblement confortable, en plus d’être d’une beauté renversante, typiquement asarie ;
  
• La tenue de méditation est une tenue que Liara porte quand elle doit faire des recherches, et que sa combinaison protectrice est mal perçue. C’est une tenue souple et ample, un ensemble blanc avec des bottes noires et quelques reliefs rouges. C’est une tenue qu’elle a elle-même acheté pour entrer plus facilement dans certaines bibliothèques ;
  
• La tenue biotique est un ensemble noir et rouge en cuir que Liara ne prévoit pas d’utiliser. Elle a été fournie par sa mère, et sert de tenue de combat. Cependant, comme Liara porte fréquemment sa combinaison protectrice, elle n’utilise cette tenue que quand elle doit se rendre dans des endroits dangereux, car elle lui donne l’allure d’une femme dangereuse et méfiante ;
  
• La tenue de détente est un ensemble traditionnel asari que Liara porte rarement. Elle le porte quand elle se rend sur Thessia, la planète-mère des Asaris, ou quand elle se rend à des cérémonies solennels.

Caractère

Érudite et instruite, Liara est une femme très intelligente, une scientifique qui n’a jamais été versée dans l’art de la politique, ni dans l’art de la religion ou de la philosophie, comme l’est Benezia, sa mère. Étant la fille de cette redoutable Matriarche, froide et austère, Liara a, par opposition envers sa mère, développé une sorte de chaleur bienveillante envers les autres. Son esprit scientifique est aiguisé par la curiosité, qui l’amène à s’intéresser aux autres espèces de la galaxie, notamment les Humains. Leur ascension au sein de la galaxie fait qu’elle estime cette espèce intéressante. Sa passion pour la science ne s’exprime pas dans les sciences brutes, ou les sciences sociales, mais dans l’Histoire. Liara est passionnée par l’évolution des civilisations, par la manière dont ces dernières ont atteint la seconde phase de leur existence, c’est-à-dire la fin de l’isolationnisme pour s’ouvrir à l’espace galactique, et à toutes ses richesses.

Durant ses années d’étude, Liara s’est concentrée sue l’archéologie, se mettant en opposition avec sa mère, qui aurait préféré qu’elle se concentre sur la religion, ou sur les études biotiques, afin d’affiner ses capacités exceptionnelles. L’archéologie permettait à Liara d’échapper à l’influence de sa mère, et elle s’est révélée une élève très douée, à tel point qu’elle a eu un doctorat en archéologie, en offrant une thèse sur la période antique asarie, précédant l’époque où les Asaris rejoignirent l’espace concilien. Sa thèse connut un bon succès universitaire, et devint un livre. Benezia ne la félicita pas. Liara a ainsi toujours été partagée entre l’envie de fuir sa mère, et d’avoir sa reconnaissance.

Il convient de signaler qu’elle est terriblement timide, ce qui fait un cocktail assez curieux. Tout en étant très curieuse, Liara fait preuve d’une assez grande timidité. Elle a plus l’habitude d’errer dans les bibliothèques et les vestiges que d’être au contact des gens, et, comme son enfance a été marquée par le fait qu’elle est la fille de deux Asaries, Liara a toujours été plus moins rejetée par la majorité des Asaris, voyant en elle une sorte d’erreur contre nature. Cette timidité s’accompagne d’une assez grande naïveté, ainsi que d’une forte honnêteté. Liara est incapable de mentir, et a du mal à saisir cette chose que les Humains adorent faire, et qui est l’ironie. Ne connaissant pas les tabous humains liés au sexe, certains blagues sexuelles lui sont incompréhensibles, et c’est ce qui fait qu’elle étudie autant les Humains. Elle cherche à mieux les comprendre, mais ce n’est pas une tâche très aisée.

Histoire

1°) : Les recherches dans le temple de Sur’Kesh

Liara T’Soni est née de deux Asaris. Or, chez les Asaris, il est mal vu d’avoir un enfant entre deux Asaris. La reproduction chez les Asaris est en effet quelque chose de très particulière, et les Asaris ne voient pas ça comme une copulation, mais comme une fusion. Le processus de reproduction consiste à transmettre les patrimoines génétiques des deux parents, ce qui explique pourquoi la culture asarie est de favoriser la reproduction avec d’autres espèces, afin d’enrichir leurs patrimoines. Liara grandit auprès de sa Matriarche, dans une atmosphère étouffante, où elle était sans cesse sollicitée. Benezia est une Matriarche extrêmement forte, et toutes ont senti, chez Liara, un fort potentiel biotique. Ceci la prédestinait à suivre des études en philosophie, afin de perfectionner ses talents, pour être la digne fille de Benezia. D’un autre côté, Liara était le fruit d’une union interdite, une sorte d’inceste, ce qui avait du mal à passer auprès des autres. Pour s’éloigner de sa mère, elle fit donc des recherches en Histoire.

Élève brillante, immensément douée, elle perfectionna également ses talents biotiques durant ses années d’étude. Elle décrocha un doctorat avec les félicitations du jury, et devint une chercheuse. En tant que jeune Asari, Liara, curieuse de nature, entreprit d’explorer l’espace concilien, évitant de s’aventurer dans les systèmes de la Bordure, où les belles Asaris comme elle sont convoitées par les esclavagistes. Elle s’intéressa aux deux autres espèces du Triumvirat concilien : les Turiens et les Galariens. Elle se rendit notamment à Sur’Kesh, le monde des Galariens, un monde extrêmement riche et beau, où elle y passa des années, menant des recherches, tout en continuant à perfectionner ses talents. Ce fut sur Sur’Kesh que Liara découvrit les ruines d’un ancien temple, un temple très vieux perdu dans les profondeurs de la jungle. Les Galariens avaient déjà repéré ce temple, et prévoyaient d’y envoyer une expédition militaire et archéologique, cette partie de la jungle étant assez dangereuse. Liara fit partie de cette expédition.

Le temple en question était planté dans la jungle, et était très curieux. Il n’était pas galarien, et il y avait des inscriptions sur les murs, des hiéroglyphes dans une langue incompréhensible. Liara n’avait jamais rien vu de tel, tout comme les chercheurs galariens présents avec elle. Elle effectua des recherches pendant plusieurs semaines, et en arriva à la conclusion que ce temple était une trace d’une très ancienne civilisation, remontant à des dizaines de millénaires auparavant. Une conclusion qui ne convainquit pas l’intelligentsia galarienne, mais qui fut pourtant logique aux datations que Liara mena sur les roches. Elle data ainsi la construction de ce temple à plus de cinquante millénaires, ce qui était impossible. À cette époque, les Galariens, comme toutes les autres espèces de la galaxie, n’étaient que des primitifs, incapables de construire ce genre de choses.

2°) : L’expédition sur Eden Prime

Troublée par ses recherches, Liara entreprit de se rendre à la Citadelle, cœur de l’espace concilien. Cette gigantesque station spatiale est le centre névralgique de la galaxie. Elle fit part de ses recherches auprès de la prestigieuse université de la Citadelle, sollicitant l’autorisation de mener des recherches plus poussées. Son professeur de recherches était un Turien, Krysh. Il mit en garde Liara. De telles recherches pouvaient avoir de fortes répercussions politiques, ce que Liara avait du mal à comprendre. En quoi le fait de se renseigner sur le passé pouvait intéresser les politiciens ? Néanmoins, elle respectait beaucoup Krysh, qui était un Turien ouvert et généreux, un savant qui lui avait appris beaucoup de choses. Liara ne pouvait plus continuer ses recherches à Sur’Kesh, car les Galariens préféraient se concentrer seuls sur le temple. Elle était donc de trop, et poursuivit donc ses recherches ailleurs. Elle resta à la Citadelle, étudiant les échantillons qu’elle avait réussi à obtenir, et, en utilisant les instruments très poussés de la Citadelle, elle détermina que la roche utilisée pour bâtir le temple ne venait pas de Sur’Kesh, mais d’une autre planète, que les machines identifièrent comme une colonie humaine : Eden Prime.

Les Humains étaient une espèce qui avait récemment réussi à envoyer un vaisseau spatial habité hors de son système, découvrant ainsi l’espace concilien, qu’ils avaient rejoint. Ils étaient entrés en guerre contre les Turiens, plus par maladresse qu’autre chose, et, si la guerre n’avait pas duré longtemps, elle avait marqué une forte hostilité initiale entre les Humains, créatures arrogantes, et les autres espèces conciliennes. Liara avait donc un peu à l’idée de rejoindre Eden Prime. Elle faisait partie des planètes viables offertes par le Conseil aux Humains, au titre du tribut de guerre, suite aux pertes que l’humanité avait subi lors de la guerre. Krysh décida donc de l’accompagner, car, non content d’être une colonie humaine, Eden Prime était aussi proche de la Bordure.

Liara partit donc avec Krysh et quelques autres chercheurs sur Eden Prime. Krysh, durant le trajet, avait avoué à Liara que ses recherches l’intéressaient beaucoup, et qu’elles pouvaient confirmer une thèse qu’il cherchait à justifier depuis des années : l’idée qu’il existe, au sein de la galaxie, un patrimoine génétique commun, une sorte de base génétique qui serait la preuve de l’existence initiale, il y a des milliers d’années, d’une race commune. Cette théorie passionnante faisait l’objet de débats scientifiques houleux, et les politiciens s’y intéressaient. L’idée d’une race commune à toutes les espèces n’enchantait pas l’ensemble des individus, car elle subodorait la fin des diversités, des particularités, ce à quoi aucune espèce n’y tenait. Difficile pour une Asarienne de s’entendre dire qu’elle est une sœur génétique éloignée d’un Krogan. Liara trouvait cela passionnant, et s’entretint également avec un généticien membre de l’expédition, un Galarien nommé Jumba. Jumba expliqua à Liara avoir mené de longues études de comparaisons génétiques entre de nombreux patrimoines, afin de déterminer une souche commune. Un travail de longue haleine, et Jumba espérait bien arriver à convaincre ses collègues de la véracité de ses recherches.

Dans ses discussions avec l’équipe, Liara s’entretint également avec une chercheuse quarienne, Tyll. Elle lui expliqua que l’arrogance humaine était normale, ce avec quoi Liara s’accordait. À chaque fois qu’une espèce atteignait l’Âge de Maturité, il était fréquent qu’elle refuse d’admettre sa position d’infériorité, et fasse preuve d’une fierté déplacée. Les Turiens l’avaient fait, et de manière bien plus virulente que les Humains. C’était une réaction de défense normale, car toute rencontre avec des inconnus, surtout de la part de la partie faible, entraînait sa part de méfiance. Les Humains avaient peur que les espèces conciliennes ne cherchent à les piller, ou à les asservir, car leur histoire ancienne était marquée, comme pour d’autres espèces conciliennes, par la guerre, la suspicion, la trahison. Les Asaris avaient bien du mal à comprendre ça, car leur espèce était très pacifique, et était la civilisation la plus évoluée de la galaxie.

Liara eut ainsi de longues et passionnantes conversations, avant de rejoindre Eden Prime. Ils furent accueillis par un gouverneur assez méfiant, surtout à l’égard de Krysh, mais qui se détendit en voyant Liara, et en observant son fessier. Le brave avait toujours entendu parler de la légendaire beauté des Asaris, et tomba amoureux de Liara. Il fut dès lors moins hostile, et leur donna une accréditation administrative. Si Krysh avait vu les regards lascifs de l’administrateur, Liara, elle, n’avait rien vu. Le groupe emménagea dans la capitale d’Eden Prime, une colonie assez petite, vivant essentiellement de l’exploitation agricole et du tourisme. Il y avait de très beaux lacs, une végétation luxuriante, et quelques milices, protégeant les exploitations agricoles. Leur groupe fut rattaché au Capitaine Kyltharn, qui tomba également sous le charme de Liara. Kyltharn était un ancien soldat qui avait pris une retraite anticipée, et était devenu un milicien, se chargeant surtout d’instruire les recrues.

Grâce aux prélèvements dans le temple de Sur’Kesh, l’équipe peaufina ses recherches à l’aide des minerais d’Eden Prime, jusqu’à repérer l’excavation où le minerai avait jadis été extrait pour créer un temple sur Sur’Kesh. Ce temple intriguait Liara. Pourquoi utiliser de la roche sur Eden Prime pour bâtir un temple dans une partie de la galaxie si éloignée ? Au bout de plusieurs semaines, ils eurent l’endroit concerné, et se rendirent sur un plateau montagneux et vallonné. Il n’y avait rien d’autre que de solitaires plateaux montagneux, mais Krysh était convaincu qu’il y avait autre chose. Kyltharn, de son côté, trouvait juste qu’il faisait froid, et que Liara avait un beau cul. Il parvint à avoir des informations sur l’extase sexuelle de Liara, un sujet qui, curieusement, ne troublait pas Liara, confirmant les différences culturelles entre les Humains et les Asaris. Elle lui expliqua que l’amour asari était un acte d’union, physique et spirituel. Quand une Asari atteignait l’extase, elle mélangeait son esprit avec celui de son partenaire, provoquant un sentiment de fusion exceptionnel. Ceci expliquait pourquoi les Asaris choisissaient leurs partenaires sexuels de manière très stricte. Elle n’avait pas envie de fusionner son âme avec un individu indigne. Kyltharn comprit qu’il allait devoir patienter avant de fourrer sa queue dans le fondement de Liara.

Au bout de plusieurs jours, les relevés sur le terrain révélèrent que ce dernier était formé de manière anormale. Les canyons n’étaient pas creusés de manière naturelle, ce que Liara découvrit à l’aide de cartes faites par satellites. Elle était convaincue qu’il y avait, dans cette région, un temple similaire à celui de Sur’Kesh. Elle avait cependant besoin d’une autorisation administrative supplémentaire pour organiser des fouilles, car il faudrait réquisitionner plus de miliciens, et obtenir des ouvriers.

Liara retourna donc voir le gouverneur.

3°) : Le temple des temps anciens

L’administrateur s’opposa dans un premier temps à cette idée. Eden Prime n’était pas une riche colonie, et elle était même plutôt pauvre. Les miliciens étaient nécessaires pour protéger les champs agricoles. Ce fut donc Tyll qui soutint la poitrine de Liara, cette poitrine que l’administrateur rêvait de caresser, afin d’y fourrer sa tête. Tyll lui expliqua que, si leurs recherches étaient concluantes, en vertu du Code de l’Administration Publique humain, le gouverneur pouvait prétendre à des subventions, au titre du patrimoine culturel. Tyll s’avérait être une sociologue doublée d’une juriste hors pair, qui connaissait très bien les différents systèmes juridiques. La perspective d’avoir de l’argent, et donc des colons supplémentaires, convainquit le gouverneur, qui autorisa les fouilles archéologiques.

Un camp fut dressé dans les canyons, et on amena des colons volontaires, qui commencèrent à creuser dans un périmètre bien défini. Des tentes furent installées pour accueillir les Humains, et Liara s’enthousiasma de leur sympathie. On disait les Humains arrogants, pervers, prétentieux et racistes, mais elle vit des travailleurs jeunes, motivés, et plutôt beaux, ce qui la troubla, confirmant ce que certaines Asaris disaient en rigolant sur la beauté humaine. Ils travaillaient dur, et savaient aussi se détendre. Liara eut du mal à les rejoindre, intriguée par leurs jeux. On la fit même boire, et Liara fut ivre pour la première fois, ce qui se manifesta chez elle par des hoquets biotiques qui soulevèrent une tente, l’envoyant voler sur plusieurs mètres. À partir de là, Liara fut interdite de boire à nouveau.

Les fouilles se poursuivaient, et on finit par déterrer un ancien mausolée. Complètement ravagé, la structure laissait apparaître un solitaire escalier. Eden Prime n’avait pas bénéficié des aménagements de Sur’Kesh, une planète que les Galariens avaient terraformé pour préserver son écosystème, et lutter contre la pollution. Ce temple-ci s’était donc désagrégé. Liara fut la première à entrer dans le tombeau, et retrouva rapidement les mêmes inscriptions étranges que dans le temple de Sur’Kesh. Elle s’aventura dans le temple, en compagnie de Krysh, de Kyltharn, d’autres gardes, leurs OmniTech fournissant des plans, au fur et à mesure qu’ils avançaient. Les pouvoirs biotiques de Liara la mettaient en garde, et ils atteignirent une ancienne salle de contrôle. Malheureusement, le courant ne fonctionnait plus, et il allait donc falloir retrouver les générateurs, et poursuivre l’exploration du temple.

L’exploration se poursuivit, tandis que l’administrateur d’Eden Prime, fit son rapport auprès du Superviseur central de cette section. Une semaine après, il reçut un message émanant de la Fédération elle-même, les sommités de l’Humanité, qui lui demandèrent d’expliquer en détail le contenu du temple. Abasourdi, l’administrateur expliqua l’histoire de la délégation, et on lui demanda de lui présenter Krysh dans les plus brefs délais. Krysh vint donc, ainsi que toute l’équipe, à l’exception de Liara, qui préférait explorer le temple. Krysh, irrité d’être convoqué comme un vulgaire larbin, fut néanmoins poli, et expliqua le contenu de leur découverte.

Deux jours après, la Fédération, sans plus d’explications, décida d’envoyer à Eden Prime l’héroïne de guerre Jane Shepard, à bord du fleuron de l’armada humaine, le Normandy. Officiellement, on s’inquiétait du sort d’Eden Prime, car il y avait une récente hausse de pirateries émanant de seigneurs de guerre des systèmes Terminus. Shepard devait se rendre au temple afin de surveiller l’équipe, et on ne donna pas plus d’explications à ce dernier. Tyll et Krysh furent surpris par cette décision. Pour Tyll, déployer le Normandy pour de simples pirates était excessif. Pour Krysh, les Humains, retors par nature, savaient quelque chose sur ces ruines qu’ils ne voulaient pas divulguer aux autres espèces. Liara, elle, espérait juste qu’elle pourrait continuer à mener ses recherches.

Le Normandy arriverait dans deux semaines. Au bout de nombreux jours, on finit par retrouver l’installation électrique. Le temple était immense, et une étude du décor permit de révéler que beaucoup de couloirs finissant en cul-de-sac étaient en réalité condamnés. L’administrateur avait alors fait venir des générateurs portatifs, et on installa des éoliennes miniatures dans le camp, les reliant par de gros câbles aux générateurs du temple. Le courant s’alluma, et Liara retourna au centre de contrôle. Elle avait du mal avec cette langue étrangère, mais, étant très douée, elle en avait appris quelques rudiments. Elle se retrouva rapidement avec un écran tactile holographique comprenant de nombreuses rubriques. Elle joua un peu au hasard, et obtint une carte de la galaxie interactive, très ancienne, et appuya sur la planète correspondant à Eden Prime. En continuant à naviguer à travers les menus, elle fit ainsi apparaître en surbrillance tout un réseau de planètes qui formaient un cercle le long de la galaxie, avec quelques autres points en surbrillance à l’intérieur de la galaxie, d’une couleur différente. Ce fut Kyltharn qui trouva la solution. Militaire de formation, il sut reconnaître cette carte. C’était une carte tactique : les points brillants à l’extérieur formaient toute une ligne de défenses, tandis que les points centraux des bases de ravitaillement.

Cette information troubla les chercheurs. Une carte militaire ? Pour Kyltharn, c’était une stratégie défensive classique, ce qui laissait entendre que la galaxie avait du se défendre contre un ennemi. Toutes les informations figuraient dans les archives du temple, mais Liara était confrontée à deux problèmes : la langue, et l’alimentation ancestrale, et donc défaillante, du système. Plusieurs parties étaient inaccessibles, soit parce qu’elles étaient verrouillées, soit parce que les fichiers étaient endommagés.

L’administrateur, de son côté, s’emballait, et hésitait à faire un rapport complet à la Fédération. En réalité, il pressentait que l’arrivée de Shepard nuirait à son autorité, car il connaissait bien la loi, et savait que le Code Militaire Galactique humain prévoyait, en cas de menace, la soumission des pouvoirs civils aux forces militaires. Or, le gouverneur n’avait pas envie que sa paisible colonie se transforme en camp militaire. Il s’abstint de communiquer l’étendue de ces découvertes, surtout que l’équipe scientifique n’en était qu’à faire des suppositions.

C’était Liara qui manœuvrait dans les archives du temple. Un jour avant l’arrivée du Normandy, elle réussit à accéder à la partie de sécurité, obtenant un plan complet du temple, et réalisa, en le comparant avec le plan de son OmniTech, que le temple était bien plus grand que ce qu’elle pensait. En étudiant les plans, Kyltharn évoqua des doutes sur ce temple, qui ressemblait plutôt à un bunker militaire, vu la disposition des principaux points. Liara réussit à trouver la commande déverrouillant les portes, et le fit.

Ce faisant, il s’écoula cinq secondes avant qu’une alarme ne rugisse, tonitruante, et que tous les systèmes lui échappent, tandis que la porte d’entrée du temple se verrouilla automatiquement. Liara sentit alors ses pouvoirs biotiques s’affoler, et comprit, avec effroi, qu’ils n’étaient pas les seuls dans ce temple.

Deux heures avant l’arrivée du Normandy, ce dernier reçut un message de détresse émanant du gouverneur, parlant d’une menace de mort s’abattant sur Eden Prime, décrivant des monstres inimaginables, la mort partout, évoquant le temple... Et la transmission fut coupée.

Eden Prime n’émettait alors plus aucun signe de vie.

Et, dans le temple, l’alimentation électrique fonctionnait sur les réserves, et les chercheurs purent entendre, rebondissant le long des murs, des hurlements particulièrement sinistres. En recherchant dans l’ordinateur, Liara réussit à obtenir le nom de cette ancienne espèce, et en fournit une traduction approximative.

Les Protoss.

Capacités

Étant une Asari, Liara dispose des capacités communes à toutes les Asari. Elle est une biotique, mais, par rapport à ses consœurs, Liara est une biotique extrêmement douée. Les biotiques sont des individus capables d’utiliser leurs ondes cérébrales pour distordre la réalité. Sur Terra, on les appellerait « magiciens ». Ses pouvoirs permettent à Liara d’utiliser la télékinésie, mais aussi de créer des boucliers de force pour se protéger des attaques, ou encore des singularités, qui sont des espèces de déchirures matérielles extrêmement efficaces.

Précisons également que, comme n’importe quelle Asari, l’acte sexuel n’est pas qu’une union physique, mais aussi psychique. Quand une Asari atteint l’orgasme, ceux qui sont liés à elle subissent une sorte de connexion psychique et mentale, l’esprit du partenaire fusionnant brièvement avec celle de l’Asari, pour une extase sexuelle qui est hors-du-commun.

Équipiers

La quête de Liara est une aventure longue et difficile, l'amenant à rencontrer des adversaires terrifiants à la puissance innommable. Cette dernière est par conséquent secondée d'individus, dont voici la liste des personnages principaux :

• Commandant Jane Shepard. Le commandant Shepard est officiellement la supérieure de Liara, car cette dernière a intégré son équipage. Liara, qui ne s'était jamais vraiment intéressée aux Humains avant Shepard, tombe progressivement admirative de Shepard... Sur tous les plans ;
  
• Capitaine Kyltharn. Adorant le fessier de Liara, Kyltharn est, avec Liara, le seul survivant du temple d'Eden Prime, et a décidé de rejoindre l'équipage de Shepard afin de se venger de ceux qui ont massacré son unité. Courageux et valeureux, Kyltharn a de lointaines origines asiatiques, et, comme beaucoup d'Humains, voue un profond respect à Shepard. Servir auprès d'elle est pour lui un grand honneur.

RPs

1°) Chapitre 1 - Awakening [Jane Shepard] [EN COURS]
2°) Terra Incognita [Bränwenne Rigelis] [EN COURS]
3°) Dark Shadow [Suzan Hope] [EN COURS]

GLOSSAIRE

Appendice à la fiche, ce glossaire a pour objectif de présenter l’univers de Liara. Comme vous l’aurez sans doute remarqué, Liara T’Soni est un personnage issu de l’univers de « Mass Effect », que je vais brièvement résumer ici, tout en apportant quelques modifications substantielles, afin de les adapter à LGJ. Je tiens également à préciser que ces modifications sont également issues de « StarCraft ».

Généralités

L’univers dans lequel Liara évolue est une galaxie, soit un regroupement d’étoiles. Cette galaxie se décompose, globalement, en deux grandes entités :

• L’espace concilien est l’espace majeur de la galaxie. Il regroupe la plupart des systèmes stellaires, ainsi que les civilisations les plus avancées, et est une sorte de confédération dirigée par le Triumvirat, un regroupement des trois espèces majeures de la galaxie : les Asaris, les Galariens, et les Turiens. L’espace concilien a pour siège une énorme station spatiale aux origines mystérieuses, la Citadelle. L’espace concilien offre aux espèces qui en dépendent asile et protection, mais, en contrepartie, les systèmes conciliens doivent respecter les lois conciliennes.
  
• Les systèmes Terminus sont dans la Bordure Extérieure, une zone limitrophe de la galaxie, là où l’autorité concilienne n’a plus court. C’est un espace sauvage, réputé pour ses seigneurs de guerre, ses esclavagistes, ses contrebandiers, et ses criminels. Il n’y a aucun ordre global, et les systèmes Terminus sont un ensemble anarchiste mal vu de la part du reste de la galaxie, où on y trouve la lie de la galaxie. La station emblématique des systèmes Terminus est la station Oméga, une grande station où la seule autorité est constituée par les gangs, se livrant entre eux à des guerres perpétuelles, sous l’autorité de la Reine d’Oméga, une Asarie.

Dans cet univers, les Humains se sont récemment ouverts au reste de la galaxie. Du point de vue de la Citadelle, chaque espèce connaît, globalement, trois grands âges historiques de développement :

• L’Âge préhistorique est une période où un peuple est déstructuré, en guerre, et commence progressivement à se structurer. Sur Terre, cette période s’étendrait jusqu’à notre époque actuelle. Cet âge se caractérise ne effet par une anarchie d’ordre mondial ;
  
• L’Âge antique est considéré comme le premier âge véritable d’une espèce. Auparavant, en effet, l’Histoire d’un peuple se résume à une succession de guerres, de revendications nationales sans intérêt, et de conflits absurdes. L’Âge antique est la période où l’espèce s’unifie en une seule autorité commune ;
  
• L’Âge de Maturité est l’âge où l’espèce, généralement pour faire face à des problèmes écologiques, ou de surpopulation, se lance dans la conquête spatiale, et découvre ainsi l’espace concilien.

L’Humanité

L’Humanité a récemment atteint l’Âge de Maturité. Elle est arrivée sur des colonies turiennes sans réelle autorisation, et les Turiens, peuple assez belliqueux, sont entrés en guerre contre ceux qu’ils voyaient comme des agresseurs. Les humains, avec leur technologie primitive, n’avaient aucune chance contre les Turiens, qui pulvérisèrent leurs vaisseaux, donnant ainsi ce que les Humains appellent la Guerre du Premier Contact. Les Turiens s’élancèrent vers le monde natal des Humains, mais découvrirent que les Humains étaient plus doués qu’ils ne le pensaient. Depuis leur satellite naturel, où ils avaient installé des colonies, ils envoyèrent sur les Turiens, qui ne s’y attendaient pas, des bombes à neutrons, tout en utilisant leurs stations spatiales comme zones de combat. Les Turiens perdirent plusieurs navires. En effet, les bombes à neutrons désactivèrent tous les systèmes électriques, tuant la majorité des Turiens, permettant aux Humains de récupérer leurs vaisseaux. Cependant, la victoire fut de courte durée, car les Turiens firent venir leur flotte principale, quand les autres flottes conciliennes arrivèrent. Les Asari et les Galariens ordonnèrent la cessation des hostilités.

Une délégation humaine fut invitée dans la Citadelle, et, très rapidement, les Turiens admirent leur erreur, sous influence des Asari et des Galariens. Les Humains furent reconnus coupables d’être les instigateurs de ce conflit en agressant sans raison une colonie turienne, saccageant l’écosystème, mais ils furent exonérés de cette responsabilité, au titre de leur ignorance. Les Turiens furent donc reconnus coupables, et, en dédommagement, le Conseil offrit aux Humains quelques colonies turiennes dans la Bordure, ce que les Turiens acceptèrent difficilement. En retour, les Humains rendirent aux Turiens leurs vaisseaux, non sans en avoir profité pour copieusement analyser leurs données tactiques et leurs schémas.

En réalité, les espèces conciliennes étaient très impressionnées par l’Humanité. En seulement quelques siècles après une guerre mondiale dévastatrice, l’Humanité avait réussi à s’unir pour former une odyssée spatiale. C’était un exploit impensable. Même les pacifiques Asaris avaient mis un millénaire à s’entendre, leur vanité ayant toujours été un blocage chez la plus noble des races. De plus, les Humains avaient réussi à détruire des vaisseaux turiens, et maîtrisaient le secret de l’atome, à un niveau encore plus élevé que les espèces conciliennes, car ils disposaient de bombes à neutrons. Leur bravoure avait impressionné les Turiens, qui virent immédiatement en eux une espèce rivale.

L’Humanité comprend, globalement, deux grandes factions :

• L’Alliance désigne l’entité politique officielle dirigeant le système solaire terrien, et représentant les intérêts de l’Humanité. L’Alliance est née de la fusion entre les principaux États mondiaux, et est dirigé par un Conseil et par un Parlement, divisé en deux chambres : une Chambre représentant les colonies, et une autre représentant la planète-mère. L’Alliance est une structure civile et militaire dominante, et le monde natal humain est devenu une grande fédération, dirigé par l’Alliance ;
  
• Cerberus est une organisation terroriste raciale née suite à la Guerre du Premier Contact. Cette organisation se revendique comme un organisme de protection galactique des intérêts humains, en estimant les espèces conciliennes constituent autant un cadeau qu’une menace pour l’Humanité. Cerberus regroupe bon nombre d’espions, et est financée par de nombreuses sociétés-écrans. Cette organisation tentaculaire bénéficie d’un important soutien de la part des Humains qui voient l’Alliance comme des politicards faibles courbant l’échine devant les seins des Asaris. Ceci est d’autant plus vrai que le Conseil fait fortement pression pour chercher à obtenir le secret de la bombe à neutrons, une arme propre extrêmement efficace. Cerberus dispose d’une armée privée, avec des camps d’entraînements, des laboratoires de recherche. Leur chef est un mystérieux individu surnommé l’Homme Trouble, qui dispose d’un réseau d’espions très avancé, implanté dans la plupart des infrastructures et administrations terriennes. Ce réseau d’espions constitue la principale puissance de Cerberus, et contraint l’Alliance à devoir contourner les voies légales pour affronter Cerberus, afin de pouvoir localiser leurs bases secrètes. Cerberus apparaît comme une sorte d’hydre invincible. À chaque fois qu’une base secrète est détruite, une autre ne tarde pas à revenir.

L’Humanité est ainsi une espèce de premier plan, malgré son retard technologique. Elle bénéficie surtout de la bombe à neutrons, une arme qui permet, sur une énorme surface, de désactiver tous les champs électriques. Cette arme fait que les Quariens se sont beaucoup rapprochés des Humains. Étant un peuple plutôt fermé, un tel rapprochement a surpris les espèces conciliennes, et se justifie par le fait que les Quariens souhaiteraient purifier leur monde des Geth. Cependant, les Humains ne sont pas disposés à aider gratuitement les Quariens, et des négociations sont en cours à ce sujet.

Principales espèces

La galaxie comprend un certain nombre d’espèces. Voici une liste, non exhaustive, des principales espèces :

• Les Asari sont, technologiquement parlant, le peuple le plus avancé de l’Univers. Asexuées, elles ne sont ni femmes, ni hommes, mais, pour plaire aux critères conciliens, elles se considèrent comme des femmes. Ce sont les premières à avoir atteint l’Âge de Maturité, ainsi que la Citadelle. Aux yeux de la galaxie, les Asari ont créé la Citadelle, et même les Asari en sont convaincues. Seules les plus anciennes Matriarches savent que la Citadelle a été découverte par les Asari, un secret soigneusement gardé. Les Asari ont une très longue existence, pouvant vivre au moins un millénaire. Une Asari devient une Matriarche quand elle dépasse plusieurs siècles d’existence, ce qui correspond au plus haut statut, au sein de la société asarie. Les Asari sont tournées sur l’harmonie et la beauté, ce que leurs immenses villes tentaculaires illustrent très bien. Leurs technologies sont très axées autour de la biotique.
  
• Les Galariens se considèrent comme l’espèce la plus évoluée de la Galaxie. Ils sont les seconds à avoir atteints la Citadelle, et, s’ils considèrent que les Asari les ont pendant un temps surclassé, ils estiment aujourd’hui être les plus évolués. Les Galariens sont un peuple de scientifiques, qui ont développé des technologies très poussées en matière de génétique, et de terraformation. Ils ont ainsi pu soigner leur monde natal, envahie par la pollution, et ont terraformé de nombreuses planètes pour en faire des colonies viables. C’est une espèce importante, mais ils n’ont pas le physique de guerriers. Les Galariens sont plutôt des chercheurs paisibles, même s’ils ont une tendance fortement prononcée à l’arrogance.
  
• Les Turiens ont tardivement rejoint la Citadelle, et n’ont fait partie du Conseil qu’après avoir aidé le Conseil à repousser les Krogans. Ils remplissent, au sein de l’espace concilien, le rôle de miliciens. Ayant en charge la sécurité de la Citadelle, la flotte turienne est également assez impressionnante. Les Turiens sont de redoutables combats, très valeureux, également très fiers, et qui ont une tendance à se montrer belliqueux. Depuis la Guerre du Premier Contact, ils voient en l’Humanité un rival, sentiment qui n’a jamais déteint, surtout depuis qu’ils ont appris que les Humains ont une histoire riche en guerres, et savent rapidement s’adapter. Ils les voient ouvertement comme une menace, alors que, pour d’autres espèces, les Turiens sont l’espèce la plus ressemblante des Humains... Ce qu’aucune des deux espèces n’ose admettre, naturellement.
  
• Les Quariens sont un peuple nomade. Ils vivent dans une immense flotte de vaisseaux. C’est la plus grande flotte de la galaxie, comprenant de nombreux vaisseaux de guerres, mais également plusieurs vaisseaux-mondes, qui abritent leur population. Les Quariens ont été chassés de leur monde natal par une race de robots synthétiques qu’ils avaient eux-mêmes créé, les Geth. Les Quariens avaient alors demandé de la part du Conseil une puissante force armée pour anéantir les Geth. Le Conseil en a longuement délibéré, mais a fini par considérer que, d’un point de vue juridique, le Conseil n’était pas compétent, car il s’agissait d’une guerre civile. En réalité, le Conseil voulait obtenir la technologie permettant de faire des vaisseaux-mondes, ainsi que le droit d’envoyer des émissaires au cœur de la Flotte quarienne, ce que les Quariens ont refusé. Ils sont ainsi considérés comme des proches du Conseil, mais ne sont pas soumis à son autorité. L’existence de l’Humanité a amené les Quariens à se rapprocher d’eux, afin d’obtenir le secret de la bombe à neutrons, afin de supprimer les Geth. Depuis la guerre contre les Geth, les Quariens portent en permanence des combinaisons de survie. Sans cela, ils mourraient. En effet, contre les Geth, de redoutables armes biologiques ont été utilisées, et, si la planète est depuis lors purifiée, l’organisme quarien en a été durablement marqué. Sans cette combinaison, ils mourraient.
  
• Les Geths sont des unités artificielles créées par les Quariens pour les tâches manuelles et militaires. Très perfectionnés, ils l’ont tellement été que, pour des raisons encore inexpliquées, les Geths ont un jour fini par se retourner contre leurs créateurs, à l’aide d’un coup d’État meurtrier. En une journée, les principaux camps militaires quariens ont été détruits. Les Geths se sont accaparés le monde natal des Quariens, et sont considérés comme des ennemis par le Conseil. Quiconque s’approche de leur monde natal est instantanément pulvérisé par les terrifiantes stations spatiales de combat, ou par les canons antispatiaux à la surface de la planète.
  
• Les Rachnis sont une ancienne race apparue il y a quelques millénaires, et qui sont aujourd’hui quasiment disparus. Il ne subsiste plus que quelques rares poches rachnis dans les profondeurs des planètes les plus reculées. Les Rachnis sont une sorte d’espèce insectoïde qui a constitué la première menace sérieuse du Conseil. La Guerre Rachni dura un siècle, dans toute la Galaxie. La Guerre Rachni était difficile à gagner, car les Reines rachnis se trouvaient dans des environnements hostiles et toxiques, où même les Turiens succombaient. Ce fut les Krogans qui sauvèrent la Galaxie. Leur constitution lourde leur permettait en effet de survivre aux environnements toxiques et hostiles des nids rachnis, et ils purent ainsi envoyer de puissants commandos pour tuer les reines, détruisant ainsi progressivement les Rachnis. En récompense pour services rendus, les Krogans eurent un rôle important dans la sécurité interne de l’espace concilien.
  
• Les Krogan sont un peuple ayant eu un passé houleux avec la Citadelle et le Conseil. Ce sont des guerriers terrifiants, épais et costauds, avec une nature sauvage, qui fait qu’ils n’ont jamais pu s’allier sur leur monde, où les Krogans sont divisés en clans. N’ayant ainsi jamais réellement pu atteindre l’Union, qui est nécessaire pour atteindre l’Âge de Maturité, les Krogans ont quand même rejoint la Citadelle, et ont, pendant un temps, sous l’autorité du clan principal, assuré le rôle de police au sein de la Citadelle. Cependant, au bout d’un moment, une guerre civile a ravagé le clan principal, et les Krogans sont entrés en guerre contre le Conseil, estimant que ce dernier les asservissait à des tâches manuelles, en faisant des esclaves. Ce fut le début de la Rébellion krogane. La guerre civile entre Krogans conduisit ces derniers à s’étendre sur des colonies, essentiellement galariennes, chassant violemment les Galariens pour prendre le pouvoir. Depuis la Guerre Rachni, les Krogans assuraient en effet le rôle de policiers et de militaires, ce qui leur permit donc très facilement de s’emparer de nombreuses colonies, fragilisant ainsi fortement le Conseil. La guerre conduite entre le Conseil et les Krogans se déroula très mal pour les forces conciliennes, car les Krogans étaient des guerriers terrifiants. Les Galariens inventèrent finalement une arme redoutable pour les supprimer : le Génophage, un puissant virus qui augmenterait drastiquement la stérilité krogane. Durant cette guerre, les Turiens sauvèrent le Conseil, en repoussant les Krogans à de nombreuses reprises. Depuis lors, les Krogans sont toujours considérés comme des créatures dangereuses, et rejettent les lois du Conseil. Ils haïssent les Galariens pour le Génophage, et seraient prêts à donner n’importe quoi pour qu’un vaccin soit inventé. Or, les Galariens s’y refusent, car ils considèrent toujours les Krogans comme des menaces, et toute recherche scientifique menée par les universités en ce sens est censurée par le Conseil, sous impulsion galarienne.

La Citadelle

La Citadelle est le cœur névralgique de la Galaxie. C’est une énorme structure abritant des millions d’habitants. L’énorme ville est découpée en plusieurs Secteurs, le secteur central abritant les ailes diplomatiques, et le Présidium, où siège le Conseil. Un Secteur comprend quantité d’immeubles d’habitation, mais également de boutiques, de clubs de nuit, de salles de sports... La Citadelle est un immense melting pot culturel galactique, où il est très facile de se perdre. La plupart des grandes sociétés galactiques ont leurs sièges sociaux ici, et elle dispose d’un Secteur entier consacré au Spatioport et aux quartiers de la police interne de la Citadelle.

Il existe, dans la Citadelle, de curieuses créatures organiques, les Veilleurs. Elles sont là depuis toujours, et personne ne sait d’où elles viennent. Officiellement, elles ont été créées par les Asari, et ont pour seul et unique rôle de veiller à ce que la Citadelle fonctionne. Ils sont ainsi perpétuellement afférées à des consoles de maintenance, vérifiant l’état d’énergie de la Citadelle.

Les Spectres

Le corps des Spectres est une force militaire spéciale, rattachée à l’autorité du Triumvirat du Conseil. Ils appartiennent au ministère des Affaires Spéciales de Tactique et de Reconnaissance. Ils font constamment l’objet de vives critiques. Les Spectres sont des espèces d’agents spéciaux triés sur le volet. Ils sont extrêmement doués, constituant l’élite des forces conciliennes, mais bénéficient surtout de pouvoirs excessifs, qui leur permettent de contourner la plupart des procédures légales. Le Triumvirat les utilise pour dénouer des situations d’urgence, comme une guerre sur le point d’éclater, la neutralisation de grands groupes criminels, et d’autres dangers nécessitant des interventions rapides, en contournant les voies diplomatiques habituelles. Ils ont autorité sur l’intégralité de l’espace concilienne, sur l’ensemble de toutes les forces de police conciliennes, qui ont obligation de leur prêter assistance. Les Spectres bénéficient d’une immunité pénale presque inviolable, puisque seul le Triumvirat peut la lever, si des présomptions graves sont établies qu’un Spectre s’est rendu coupable de haute trahison.

Juridiquement parlant, les Spectres ne sont assujettis à aucune convention galactique sur les droits des prisonniers, sur les présomptions pénales, ou sur ce que, schématiquement, l’espèce humaine appelle l’habeas corpus. Ils peuvent commettre des rapts, des exécutions, sans qu’aucune autorité ne puisse les retenir. Si une force de police surprend un Spectre en train de commettre une infraction, elle a le droit de l’incarcérer, mais il s’agira d’une détention provisoire, une sorte de garde-à-vue. Beaucoup d’espèces non conciliennes se servent de l’existence des Spectres pour fustiger l’hypocrisie du Conseil, qui, tout en prônant le respect de la souveraineté de chaque espèce, des lois et des conventions, entretient un corps spécial qui agit comme bon leur semble.

Officiellement, les Spectres existent pour défendre l’espace concilien contre des menaces pour lesquelles les méthodes classiques ne fonctionnent pas. Si le corps est critiqué, il bénéficie toutefois d’une forte influence au sein des différents corps d’armée, mais aussi au sein de toutes les espèces conciliennes. Le corps recrute traditionnellement parmi les plus anciennes espèces de la galaxie, et il est rarissime qu’une espèce récemment arrivée au Conseil dispose d’un Spectre. En effet, la fidélité d’un Spectre va avant tout au Conseil, et non à son espèce natale. Partant de ce point de vue, le Conseil estime qu’un Spectre issu d’une espèce ayant récemment atteint l’Âge de Maturité aura toujours tendance à privilégier sa propre espèce par rapport au bien commun de la galaxie.

Beaucoup des opérations effectuées par les Spectres ne sont pas connues du public, et il est probable que ce corps dispose de quelques affaires sales dont on se passerait fort bien de publicité. Pour autant, chaque année, les Spectres rendent un rapport public, relativement long, qui est censé être une synthèse de toutes leurs activités. Ce rapport est obligatoire depuis l’époque de la Rébellion krogane, et c’est d’ailleurs à cause des Krogans que les Spectres ont été créés, en 693, sous l’impulsion des Galariens. Les Spectres devaient se renseigner sur les Krogans, et trouver un moyen de les neutraliser.

Récemment, l’actualité autour des Spectres a fait un nouveau bond quand le dernier membre des Spectres s’est avéré être une humaine : Jane Shepard. Ce choix a surpris bon nombre d’espèces conciliennes, du fait du jeune âge due l’Humanité. Naturellement, ce choix a également entraîné de la médisance, beaucoup d’individus affirmant que l’Humanité a du soudoyer le Triumvirat, ou alors, que le Triumvirat redoute l’Humanité.

La formation des Spectres est entièrement théorique. Quand un soldat est choisi par les Spectres, c’est qu’il a déjà les capacités militaires et tactiques d’être un Spectre. L’entraînement consiste avant tout à dire aux Spectres que leur grande latitude d’action ne leur offre pas un pouvoir discrétionnaire, et que le Triumvirat peut toujours les révoquer. Historiquement, il n’y a jamais eu un seul cas où le Conseil a révoqué un Spectre. L’argument officiel est qu’un Spectre est un soldat d’élite solidement entraîné, et qu’il ne peut pas trahir, ou commettre d’actes si graves qu’il serait renvoyé. Pour d’autres, c’est la preuve que le Conseil ferme les yeux sur les agissements de ses Spectres.

Chronologie de la Galaxie

Les années données correspondent au calendrier humain, soit le calendrier grégorien.

Je précise que cette chronologie est normalement fidèle à celle des jeux vidéos, puisque je l’ai reprise des livres dérivés.

• -580 : les Asari découvrent la Citadelle. Cette station abandonnée fonctionne grâce à de mystérieux individus verdâtres, les Veilleurs, que les Asari assimilent rapidement à des créatures synthétiques, des automates qui servent la Citadelle. Les Asari n’ont jamais découvert qui avait créé la Citadelle, et décidèrent d’en endosser la création, quand d’autres espèces apparurent. Depuis lors, seules les plus anciennes Matriarches connaissent ce secret ;
  
• -520 : les Galariens découvrent la Citadelle. Entre eux et les Asari, l’entente est rapidement cordiale, car les Asari étaient déjà entrées en communication avec eux auparavant. Ensemble, ils décident surveiller les autres espèces, et décident, pour ne pas les troubler, de ne pas intervenir dans leur développement. Ils envoient ainsi discrètement des sondes dans l’espace galactique, découvrant notamment l’Humanité. À cette époque, les Humains n’étant que des sauvages hirsutes se battant dessus avec des armes rudimentaires, ils ne laissent même pas une seule sonde sur ce monde ;
  
• -500 : d’autres espèces s’éveillent dans la Galaxie, et des tensions éclatent entre certaines espèces. Pour éviter des guerres, que les Asari et les Galariens ont en horreur, ils décident de fonder le Conseil, et parviennent à apaiser les tensions, créant progressivement un système juridique pour préserver la paix.
  
• 1 : la Guerre Rachni débute. Pendant un siècle, les Rachnis dévasteront la Galaxie, les espèces conciliennes n’arrivant pas à repousser leur irrésistible avancée. Les Krogans s’en mêleront, et se battront pendant plus de deux siècles, éradiquant progressivement toutes les reines, brûlant tous les nids, les Galariens entreprenant ensuite de terraformer les mondes.
  
• 300 : les Rachnis sont éradiqués. Le Conseil récompense les Krogans en les considérant, malgré leurs dissensions, comme une espèce mûre. Ils sont alors en tête des principaux organes militaires et policiers du Conseil. Parallèlement, les Krogans rentrent en guerre. Le principal clan krogan, qui dominait les autres, a perdu bien trop de troupes face aux Rachnis, et les Krogans se divisent entre eux. Ils s’emparent des colonies galariennes qu’ils surveillaient, chassant les locaux ou les massacrant, selon la brutalité des différents clans.
  
• 700 : la Rébellion krogane atteint son apogée. Pendant quatre siècles, les Krogans se sont entretués, tandis que les Galariens rongeaient leur frein, ne parvenant pas à récupérer leurs colonies, les Asari refusent de leur déclarer la guerre. Quand des colonies asaries sont également attaquées, la guerre éclate entre les espèces conciliennes et les Krogans, et opposera surtout les Turiens aux Krogans. Cependant, les Turiens ne purent rien faire, et les Galariens parvinrent à inventer, après de nombreuses expériences, le Génophage. Les Turiens réussirent à l’implanter chez les Krogans.
  
• 800 : la Rébellion krogane est terminée. L’écrasante majorité des Krogans haït le Conseil pour ce qu’ils leur ont fait. Leur monde natal est en ruines, et les Krogans deviennent une espèce honnie et méprisée. Les Turiens les supplantent à la tête des organes policiers et militaires.
  
• 900 : les Turiens parviennent à maintenir l’ordre, et parviennent à obtenir un siège au sein du Conseil : le Triumvirat est formé.
  
• 2148 : l’Humanité termine l’installation d’une colonie sur une planète tellurique de leur système solaire. Pendant ce temps, l’espace concilien connaît une ère d’expansion et d’assimilation sous le signe de la paix et de la prospérité économique. Les lois conciliennes finissent ainsi par devenir la valeur normative de référence dans toute la Galaxie.
  
• 2155 : l’Humanité, depuis son satellite naturel, envoie son plus puissant vaisseau hors du système solaire. L’évènement est suivi par l’intégralité des Humains.
  
• 2157 : l’Humanité rencontre les Turiens. Les Turiens perçoivent la présence humaine comme une agression. La Guerre du Premier Contact commence. Elle débutera sur une colonie turienne, où les Humains devront se replier, rentrant chez eux. Furieux, les Turiens, qui verront en eux des pirates, s‘élanceront à leur poursuite. Leurs puissants vaisseaux ne craignaient rien des petits vaisseaux humains, et l’Humanité lança son arme ultime. Depuis leur satellite naturel, où la gravité ne les gênait pas, des bombes à neutrons furent envoyées, paralysant les vaisseaux turiens. La guerre se termina ensuite par l’arrivée des autres espèces conciliennes, et par l’ouverture de négociations.
  
• 2165 : l’Humanité rejoint l’espace concilien en ayant une ambassade à la Citadelle. Les espèces conciliennes se méfient de l’Humanité, et cette méfiance est réciproque.

Notes finales

Cette présentation sommaire est évidemment loin d’être exhaustive, car je n’y ai mis que les éléments nécessaires pour qu’un néophyte, ignorant totalement l’univers de « Mass Effect », puisse normalement comprendre la fiche. S’il y a quelques légères différences, j’ai essayé de coller le plus possible à l’univers de base. Parmi les différences mineures, il y a le fait que l’Humanité soit la seule espèce à disposer de bombes à neutrons, qu’elle a utilisé pour repousser les Turiens, ou les trois âges d’une civilisation, qui, de mémoire, ne figurent pas dans la saga, mais me semblaient assez intéressants à mettre.

À la lecture de cette fiche, il reste encore quelques détails qui n’ont délibérément pas été révélés dans la fiche, et que je me permets ici, par volonté de faire acte preuve de transparence, de préciser :

• Les Protoss, qui sont brièvement mentionnés à la fin de la fiche, remplacent les Prothéens. C’est une grosse modification par rapport à l’univers de base, car les Protoss viennent de « StarCraft », où ils sont la race la plus avancée, en guerre perpétuelle contre les Zergs, les Zergs étant, sur LGJ, les Formiens. À partir de là, si vous avez bien suivi la fiche, vous devriez savoir quelle est l’espèce qui, dans cette version, remplace les Moissonneurs... Cette modification m’a paru plus utile pour coller à l’univers de LGJ.
  
• Cette fiche est liée à une autre fiche, celle de Jane Shepard. L’histoire n’est pas complète, et se termine là où un RP commencera, pour la poursuivre. Il y a donc des liens entre les deux fiches.
• L’image servant de base à l’avatar de Liara est la couverture d’un comic issu de cet univers, le premier tome de « Mass Effect Redemption », relatant les aventures de Liara T’Soni entre le premier et le second opus de la série.

J’espère que vous aurez pris plaisir à lire cette fiche. Le Glossaire est un peu long, mais, comme c’est un univers assez riche, j’ai préféré détailler, pour que tout soit clair.

Rebienvenue 

"Je vous aime Shepard
- Moi aussi Liara"

Wahou. J'en reste sans voix. Rebienvenue, demoiselle !

Je lirai tranquillement ce soir devant mon thé...et des gâteaux.

Qui n'en veut ?

Ah et bonsoir et bienvenue !

*Prend une partie des dossiers des mains de Marie, lui prend un peu de thé et de gâteaux.*

Tu te rends compte? On est cuit. Mass Effect débarque sur LGJ.

Merci, Marie. Je souhaite que ta lecture soit heureuse, et se déroule sans problème

Merci, Kasja. Écrire cette fiche m'a demandé un peu de temps, oui

Merci, Arillë... Du moins, je crois, vu que je n'ai pas trop compris la finalité de ton post ^^"

Et merci, Cassidy ^^

*Jarte Kah'mui de son topic*

Les floodeurs ne sont pas les bienvenus.

Voilà qui est fort méchant.

Néanmoins, j'en ai oublié mes manières; bienvenue, Docteur.

Va falloir rejouer à Mass Effect 3 Docteur T'Soni, si vous n'y voyez même pas la référence, et bien belle référence en plus. <3

Rebienv'nue *.*

Alors, je me trompe peut-être mais... rererererererere...bienvenue? En tout cas, même si j'ai parcouru la fiche en diagonale (passage rapide entre deux pages de cours oblige), le personnage m'a l'air chouette, et puis j'aime bien l'avatar.

C'est mieux, Kah'mui ^^

Si vous estimez mes compétences insatisfaisantes, Commandant, vous n'aurez qu'à me donner des séances de rattrapage intensive Je promets d'être une élève attentive et dévouée 

Merci, Silence.

Merci aussi, Azazel. Quelque chose me dit que tu ne te trompes pas. Et j'aime bien aussi l'avatar ^^

Bon et bien comme la koupine, je te valide !

Merci beaucoup ^_^