Nom / Prénom : Williams Janette
Surnoms : Jane, Jenny
État civil : Célibataire
Âge : 19ans
Race : Humaine
Orientation : Tant que c'est une personne violente.
Situation de départ : Un peu d’expérience.
Nationalité : Américaine
Oh la belle plante au regard coquin. Je me perds dans ces beaux yeux verts. Elle a des yeux si beaux, un minois si joli que je lui prêterais toute l’innocence du monde et pourtant, je peux voir sur son sourire qu’elle pense à des choses pas très catholiques. Elle mordille cet épis d’une telle façon, si aguichante, si désirable. J’entrevois à peine ses lèvres pulpeuses à peine maquillées. Elle n’en a pas besoin, elle pourrait attirer qui elle veut comme elle veut... Et moi en premier. Je ne vous ai pas encore dit? Elle a de si beaux cheveux dorés par-dessous son chapeau tout droit sorti d’un film de cowboys. Enfin, elle a le look pour le porter, si elle avait vécu à leur époque, je ne m’en serais guère étonné.
Mes yeux arrivent enfin à se décoller de son visage envoûtant pour se glisser le long de son corps. L’échange n’est pas une arnaque, loin de là. J’aperçois ses muscles, oui, elle est musclée, c’est une femme forte que cette Jenny. Mais la puissance de son corps n’est pas ce qui retiens mon attention, non. Ce qui m’accroche au premier regard, c’est sa poitrine. Deux orbes de chair d’une taille plus que convenable, je me demande si elle a besoin d’aide, je rêve de les toucher, les caresser, les presser l’un contre l’autre, même son bustier semble prêt à éclater pour les laisser apparaître au grand jour. Quelle divine personne.
Je baisse le regard, ne voulant pas qu’elle voie que je fantasme et en arrive à ses hanches fortes, des fesses rebondies, des jambes galbées et fuselées. Le tout, recouvert d’une mini-jupe brune retenue par une ceinture de cuir à boucle d’argent.Oh qu’elle est mini cette jupette, j’entrevois sa culotte blanche et immaculée entre ses belles cuisses. Finalement, ses bottes en cuir brun viennent cacher ses pieds que je devine beaux. Oh comme cette fille du Texas à la peau légèrement bronzée m’excite.
Comment est-elle intérieurement? Comme toutes les autres je suppose. D’origine texane, ce n’est pas le genre de fille à se laisser faire, elle se battrait plutôt pour dire qu’elle a raison. Par contre, je sais de source sûre, qu’elle aime prendre des coups, qu’elle adore sentir quelqu’un la frapper. L’une de ses connaissances l’a déjà fait jouir juste en la passant à tabac derrière le bahut un jour de cours. Aime-t-elle donner les coups? Non, je ne pense pas. Elle aime en recevoir, ça oui mais les donner je n’y crois pas et j’ai une de ses passions en preuve de ce que j’avance.
Elle aime le rodéo, elle adore ça. Pas sur un cheval en bois, pas sur un taureau mécanique, non. Elle, si elle aime ça, c’est avec de vrais animaux sauvages, les purs et durs, ceux que les champions auraient peur de monter. Je ne vois qu’une seule raison à sa témérité, l’amour du risque, l’amour de la violence et des coups reçus. Elle semble ne pas s’occuper de sa sécurité et pourtant elle n’aime pas trop trainer le soir dans les ruelles sombres et malfamées. Hormis sa passion pour le rodéo, elle adore aussi tout ce qui est courses automobiles et touche à un peu tous les moteurs. Elle parait parfois garçon manqué mais elle peut se montrer très féminine et aguicheuse.
Le soir venu, elle aime se rendre dans les bars, boire une bonne bière et jouer de ses atouts pour rameuter des gens dans sa piaule. Des coups d’un soir, sans mauvais jeu de mots, c’est ce qu’elle préfère. Son coté aventureuse, voyageuse ne lui permet pas d’avoir une relation stable. Elle aime l’inconnu, le paysage à découvrir et l’aventure de la découverte du monde.
Vous voulez comprendre comment elle en est arrivée à Seikusu? Je ne pense pas être en mesure de pouvoir expliquer tous ses choix mais je vais tenter de faire au mieux.
Les États-Unis, cette vaste puissance armée, le continent de la liberté, voilà d’où est partie Jenny. Toute petite, elle découvrit les joies de vivre dans un ranch, de s’occuper des animaux et elle faisait ça bien. Tellement que le propriétaire lui proposa de partir du Texas pour l’Ohio afin qu’elle puisse voir les chevaux lutter contre les cavaliers les plus rodés du pays. C’est avec un grand sourire qu’elle accepta. C’était le jour de ses six ans et ses parents étaient venus avec. Ah, ce jour, je m’en souviens comme si c’était hier. Elle était encore toute petite, une fleur poussait et je n’avais déjà d’yeux que pour elle. Elle s’émerveillait de ce qu’elle voyait, profitait du spectacle et riait à chaque chute. Une enfant gâtée, vivant un rêve. Je dirais que c’est à partir de là qu’elle commença à se découvrir intérieurement. La journée de rodéo lui avait mis des étoiles dans les yeux, des rêves pleins la tête et je l’entendis dire qu’elle voudrait faire ça comme métier plus tard. J’avais mis ça sur le compte de l’enfance, j’espérais qu’elle oublie ce rêve car elle pourrait se faire mal. Maintenant, elle est une professionnelle et je souffre de la voir subir la furie des animaux... Enfin, passons et revenons à l’essentiel.
Elle quitta l’Ohio rêveuse, les images de chevaux en tête. Quand elle fut rentrée, elle fonça directement au ranch et continua de cajoler les animaux en compagnie du gérant. A cette époque, je ne soupçonnais pas encore que son envie de voyager était éveillée. Plus elle grandissait, plus elle restait avec les garçons les plus brutaux et ça me désolait. Certains étaient réputés pour leur violence envers tout ce qui bougeait, pour s’énerver très vite et malgré ça Jenny continuait de les fréquenter. Je n’en revenais pas mais devait me faire une raison, Jenny aimait ce genre de gars, ça se voyait à ses yeux plein d’étoiles lorsqu’elle leur parlait. Ainsi, elle apprit à se défendre, à prendre les coups et chaque jour je la voyais rentrer pleine de bleus et de coquards. Heureusement, elle partit en voyage dès ses seize ans, faisant une année à une école et changeant ainsi jusqu’à aujourd’hui. A chaque étape, elle suivait des cours jusqu’à avoir un diplôme suffisant en soin animaliers.
Son diplôme avait été obtenu, pour fêter ça, elle invita tous ses amis ainsi que ses anciennes connaissances et fit la fête avec eux. Ce jour là, elle avait encore des marques de coups reçus, je supposais qu’elle devait avoir repris des leçons de baston mais il n’en était rien, je ne l’appris que bien plus tard. En réalité, la veille, elle avait un rencard dans une ruelle, elle y était allée seule, comme une gamine va voir qui est son admirateur secret et se fit frapper, des coups de brutes, incessants. Au début, elle supplia qu’il arrête, surprise de la tournure et blessée dans son amour propre mais plus ça durait, plus elle se mettait à aimer ça, à tel point que sans la violer, il la fit jouir. En voyant ça, il n’hésita pas une seconde et la viola, lui prenant sa virginité.
Le lendemain, elle était dans l’avion pour le Japon, la première étape de son long voyage autour du monde. A dix-huit heures, elle atterrit et retrouva sa famille d’accueil. Un couple de japonais qui ne pouvaient avoir d’enfants. Jenny prit la place de la fille qu’ils désiraient et se mit à les apprécier, ce qui ralentit longuement son voyage. D'après ce que j'en sais, elle vit avec eux dans le centre-ville de Seikusu et arpente les bars sans jamais quitter son look de cowgirl.
Que dire d'autre? Eh bien elle est douée dans tout ce qui caractérise le vrai cowboy dans les westerns. Lasso, équitation, survie en plein désert... C'est une voyageuse chevronnée.
