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[FINI] La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

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Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 75 jeudi 09 février 2012, 18:23:31

La mage rouge se contenta de soupirait lorsqu’on lui demanda de se mettre quelques choses.  Son armure avait besoin de repos et elle ne portait rien d’autre depuis des années hormis celle-ci.  Il était d’ailleurs plus que probable qu’elle ne porte plus jamais rien d’autre.  Elle était comme cela,  et il ne fallait pas trop lui en demandé. Elle accepta tout de même la couverture, considérant que cela n’était pas un vêtement, et se servit de la longue et douce que de lorna pour compléter cela. Voila, elle ne risquait pas de mourir de froid avec cela.  Et se contenta de sourire.
- Vous savez que je ne porterais rien d’autre, alors pourquoi déranger ce pauvre page ?  Surtout que mon corps n’est pas si moche non ?   Dans tout les cas, je me dois  de vous remercier baron ainsi que votre alchimiste.  Je ne serais sans doute plus en vie à l’heure actuelle sans votre intervention et je sais que je ne serais sans doute plus de ce monde.    Il me semblait donc normal de vous remercier.

Elfe se retourna doucement vers lorna qu’elle embrassa doucement d’un petit baiser tendre.  Il n’y avait rien d’autre que  de l’amour dans ce geste et elle lui dit à elle aussi.

-Je suis désolé ma chérie de t’avoir causé tant de soucis.  Je ferrais attention désormais. 
Elle eut un petit sourire en voyant la réaction de la jeune kitsune.  Elfe se contenta de la réembrasser, laissant clairement à l’assistance comprendre ce qui était déjà évident. Certes, l’elfe n’avait pas le même amour que Lorna avait pour elle, mais cela n’empêchait pas leurs relations d’être particulièrement forte.  Elfe  écouta avec patience les informations qu’on lui avait données entre temps.  Hum, rester ici. Pourquoi pas,  effectivement cela pourrait être une bonne chose surtout qu’elle ne se sentait pas de faire le voyage en sens inverse.  Et les chevaux ne pourraient pas la déposer au harem, celui-ci se trouvant en plein désert, c’était tout simplement impossible.  Elle eut donc un petit sourire avant de répondre.

-Je m’en voudrais d’abuser de votre hospitalité monsieur le baron,  mais j’accepte de rester ici, au moins quelques nuits le temps  de reprendre des forces.  Le harem étant en plein désert, les bêtes ne pourrons nous y conduire.   Et honnêtement, je préfère encore voyager à mon rythme.  Mais ne vous inquiétez pas pour nous.  Nous dormirons dans une chambre de servante.   Enfin… Si nous dormons bien sur.


Elfe eut un petit sourire, elle faisait planer le doute,  le mystère était une des choses qui faisait en sorte qu’une femme belle devienne indispensable.  Enfin,  dans son cas, le mystère n’était que relatif, mais elle savait qu’elle pouvait se permettre ce genre de petite allusion ici.  Elle eut même une petite pique pour la jeune princesse.

- Si les nuits dans votre pays sont froides, je connais la meilleure facon de les réchauffer et peut être que  la princesse de ce charmant royaume voudra elle aussi en profiter vu comme elle grelote.  Allons,  venez près de moi, la couverture est assez grande pour trois.  Et Lorna ne vous ferra aucun mal, vous en avait ma parole.

Elle laissa la princesse réfléchir à cette proposition, demandant au baron.

-Et vous, Baron, n’avez-vous pas quelqu’un pour vous tenir chaud la nuit ?  J’ai du mal à croire qu’un homme de votre trempe soit seul.  Enfin, je me mêle de chose qui ne me regarde pas remarqué.
Elle savait pourtant le pouvoir de séduction que pouvait avoir ce genre d’homme sur les femmes,  ou sur les autres hommes  après tout. Elle n’allait pas s’en plaindre si s’était le cas,  cela ferrait plus de demoiselle susceptible de la rejoindre.   

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 76 jeudi 09 février 2012, 20:46:56

Sagement, Tinuviel leur expliqua qu’elle ne comptait porter rien d’autre que son armure, et Letterfinlay soupira, disant au page de déposer des vêtements en laine sur la table. Le Baron s’approcha ensuite près du feu, réchauffant ses mains près de l’âtre de la cheminée, les caressant. Tinuviel insista alors sur le fait qu’elle devait remercier le Baorn, puisqu’il avait sauvé cette dernière.

« Vous me remerciez de faire mon devoir ? sourit-il. En tant que baron, il m’incombe, non seulement de veiller sur la santé de mes serfs, mais aussi des invitées de marque. Et, même si vous n’êtes pas rentré en grande pompe, une elfe rouge qui démonte un Drow, sauve un dragon, et a un aussi beau corps que moi, ça mérite bien quelques égards. »

Tinuviel alla ensuite embrasser Lorna, deux tendres et longs baisers. Les gardes détournèrent le regard, et Letterfinlay les congédia. Le fauve Lorna était visiblement calmé, sa grosse queue s’enroulant. Le Baron était massif et élégant. Il n’était pas vraiment vieux, ni plus très jeune, mais assez bien bâti. Il se retourna vers Tinuviel quand celle-ci suggéra de dormir dans une « chambre de servante », balayant cette idée d’un revers de la main.

« Une… Non, deux belles femmes, ça dort dans une belle chambre, c’est une question de logique ! Mais vous n’avez pas votre mot à dire, c’est moi qui suis le propriétaire du manoir, et qui décide des affectations de chacun ! »

Le Baron s’éloigna de la cheminée, et Alice remarqua alors un tableau se trouvant au-dessus de la cheminée. Il avait sûrement été peint par l’une des filles de Letterfinlay. De tous les barons, il était le plus coureur de jupons, et on ne comptait plus le nombre de servantes ou de simples femmes de son village qu’il avait engrossé. Bien des rumeurs circulaient ainsi sur Letterfinlay, qu’on avait parfois retrouvé ivre mort dans le foin, ou en train de commettre un adultère avec la femme de l’aubergiste. L’histoire avait remonté jusqu’à Sylvandell, une anecdote fameuse, dans laquelle le baron était surpris au petit matin dans le lit de la femme de l’aubergiste, une femme assez belle. L’aubergiste s’était contenté de les regarder, les yeux ronds, et Letterfinlay avait sorti une phrase restée célèbre : « Mon brave, si tu t’occupais de remplir un peu plus ta femme, et un peu moins tes verres, je n’aurais pas à te remplacer au lit ! » Même Alice avait ri. Letterfinlay, pas plus que l’aubergiste, n’avaient jamais confirmé cet anecdote. Le Baron n’avait jamais violé quelqu’un, mais il était difficile de lui résister. Charmeur et beau, il avait une longue chevelure noire, et un regard espiègle.

Tinuviel expliqua alors qu’elle connaissait un bon moyen de se réchauffer la nuit, ce qui fit délicatement rougir Alice. L’elfe avait l’air suffisamment en forme pour faire preuve de son esprit érotique, et elle vit le Baron en sourire, visiblement très amusé. Tinuviel parla alors à Alice, l’invitant à se mettre près d’elle, et cette dernière rougit. Timide, elle regarda Lorna, mais ne vit aucun signe indiquant qu’elle comptait la tuer. Alice obtempéra alors, se posant sur le canapé, se lovant un peu contre Tinuviel, et l’embrassa sur l’épaule, assez gênée qu’on puisse la voir ainsi.

« Je… Je ferais tout ce que je peux, Tinuviel, pour que tu restes au chaud… » finit par confesser Alice.

Elle continua à embrasser son épaule, évitant pour le moment de toucher des parties trop sensibles, jusqu’à ce qu’elle parle au baron, multipliant ses allusions. Ça, Tinuviel avait effectivement l’air réveillé, et le baron se permit de rire.

« Ah, ça, je vois que vous savez enfoncer les points sensibles ! Ma libido a été plus que satisfaite depuis que je suis baron. Vous savez, on dit souvent que, pour un noble, le mariage ne sert qu’à avoir des alliances politiques. A Sylvandell, les baronnies sont réparties depuis des siècles, et un mariage politique ne saurait rapprocher deux baronnies. Partant de là, je ne me suis jamais marié, ce qui m’offre l’opportunité de pouvoir céder à toutes les tentations… Et Dieu sait qu’elle s’offre à moi… »

Letterfinlay avait même été une fois jusqu’à embaucher toute une troupe de prostituées pour faire office de servantes dans son manoir, organisant des orgies. Avec l’âge, il s’était assagi, et n’organisait des orgies que pour de grandes occasions, notamment son anniversaire, où son bon peuple était naturellement invité. Il était l’archétype des barons du bas royaume : insouciant, frivole, sans aucune responsabilité… Les baronnies vivaient en paix, protégées des menaces extérieures par les dragons, et protégées des menaces intérieures… En théorie, du moins. Sylvandell avait déjà été envahie, et, dans certains hivers rugueux et difficiles, les barons trop frivoles et oisifs avaient du affronter des soulèvements populaires. Les guerres entre barons, si elles étaient rares, n’étaient pas pour autant inexistantes, et toute une partie de la loi sylvandienne traitait justement de cette question, prévoyant un tribunal spécial pour connaître des litiges entre les seigneurs. Mieux valait se battre dans un tribunal, que dans les plaines.

« Malheureusement, cela fait plusieurs jours qu’aucune femme n’a encore partagé ma couche… Et j’ai un grand lit, vous savez. Vous êtes au moins trois à vouloir dormir ensemble, alors il me semble que je serais mieux dans un petit lit, et vous dans un plus grand. Même si j’ai peur d’avoir froid, en étant seul, la nuit… » ajouta-il distraitement.

Alice rougit en comprenant le sens caché de ces paroles. Elle ne dit toutefois rien, se contentant de caresser Tinuviel, nerveuse, ne sachant pas où se mettre. Letterfinlay… Elle avait déjà fantasmé sur lui, jadis, quand il venait au Château manger avec les nobles. Jeune, il avait toujours eu une longue chevelure noire, et parlait toujours de manière poli avec elle. Quoiqu’il en soit, elle laissait à Tinuviel le plaisir de continuer son petit jeu de sous-entendus ou pas. Letterfinlay restait debout face à elles., manifestement amusé.

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 77 jeudi 09 février 2012, 21:33:21

L’elfe avait un petit sourire, lorsque la jeune princesse se décida enfin à venir avec elle,  lorna  ne dit rien, continuant à embrasser sa maitresse de doux baisés.  Elfe avait elle, prit le temps de regarder son hôte,   alors qu’elle répondait aux caresses de lorna.  Il n’y avait pas à dire, il était pas mal.  Bien battit, et relativement  bien conservé.  Il avait ce charisme naturel que peu pouvait se venter d’avoir,  et c’était sans doute cela qui faisait que toutes les femmes tombaient à ses pieds.  Elfe  se contenta de hausser les épaules alors que le  baron lui expliquait qu’il était le seul à décider qui dormirait où, elle n’allait pas le contrarier, au contraire même.
La jeune princesse lui avoua qu’elle ferrait tout pour qu’elle reste au chaud, alors qu’elle caressait maintenant le bout de l’épaule de l’elfe.  Hum, elle voulait, peut être continuer ce qu’elles avaient commencé à l’auberge.   Elfe se contenta de sourire en écoutant la position du baron sur le mariage. C’était un choix qu’elle respectait,  même si  elle trouvait cela dommage. Elle agissait cependant pareille,  enfin en partie.  Elle se  contenta de répondre à celui-ci.


-Je peux comprendre votre position.  Moi-même, je sais que je ne pourrais pas me marier.  Lorna en souffre énormément je le sais, mais j’aime chaqu’une de mes amantes.  Cependant, cela ne m’empêche pas de l’aimait elle aussi.  Le cœur est un organe des plus puissants, capables des plus belles choses.   Enfin,  ce n’est que mon avis.   J’ai était formée par une succube,  ce qui à fait de moi une éternelle insatisfaite encore que… C’est sans doute aussi dans mon tempérament.  Mais si je sais toute la puissance et toute  la beauté d’une passion.  Celle qui se nourrit de sentiment est sans doute la plus belle.   Votre pays est bien moins prude que Nexus ou Asnard et c’est une bonne chose mais je reste convaincu que le mariage issu d’un amour réciproque est sans doute la plus belle des choses.


Elfe repensa un instant aux paroles du baron,  puis elle regarda Alice, elle pouvait voir dans ses yeux que la jeune femme avait autrefois eut  des envies pour le baron, c’était aussi visible que des yeux aux milieux de la figure. Chose qui l’amusa d’ailleurs beaucoup.  Elle se contenta de dire en réponse au noble.

- Hum, vous savez,   dormir dans le même lit que moi, n’est pas difficile.  Non, c’est le reste qui l’est plus.  Mais si vous posiez la question à Notre chère petite princesse.  Je suis sur qu’elle  serait ravie de vous aider à  ne pas avoir trop froid
Elfe  était entrain de se moquer gentiment de la jeune princesse,  mais elle savait que si elle ne le faisait pas, il était probable que la jeune femme ne dise rien.  Elle avait beau être une femme pleine de ressource, elle avait encore du mal à s’imposer au niveau sentimental, dut moins, le pensait elle.  Cela changerait peut être avec le temps, mais en attendant elle aurait du travail.  Elfe termina  enfonça encore une fois le clou, discutant avec le baron.

-  Hum,  je trouve presque dommage que  notre petite alice soit destinée à devenir la reine de ce Pays,  si cela ne tenait qu’à moi, je l’aurais déjà intégrée à mon harem.  Mais je suppose que votre royaume en a plus besoin.  Dommage.  Enfin, et vous monsieur le baron, dit moi, qu’elle est votre type de femme ?   Moi, j’avoue avoir un petit faible pour les femmes d’exceptions.  C’est  sans doute ma plus grande faiblesse.   Qu’importe qu’elle soit centaure,  lycanthe ou même ange.   En parlant des anges,  ne vous laissez pas avoir par leurs pseudo innocences. Cela, reste entre nous, mais elles sont sans doute les plus volcaniques d’entre toutes.

Elfe se contenta de sourire, dans cet endroit, elle était particulièrement à l’aise. Peut être parce que au fond, elle et le baron était relativement semblable.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 78 vendredi 10 février 2012, 01:24:42

Trônant dans le canapé, Tinuviel prenait ses aises, flirtant avec Letterfinlay, et continuant à s’amuser avec Alice. Cette dernière se faisait toute pitié. Tinuviel l’avait certes invité à venir, mais, et même malgré ses encouragements, elle avait toujours peur de Lorna. Comment ne pas continuer à avoir peur, après le regard de haine qu’elle lui avait lancé ? Si Tinuviel n’avait pas été là, Alice aurait déjà fui en ordonnant qu’on rapatrie Lorna à son harem. Tinuviel complimenta les mœurs sociales de Sylvandell, notamment au regard des éléments sexuels. Alice eut un léger sourire, ayant elle-même pu constater ce point en se promenant dans les autres régions de Terra. Elle continua à embrasser la douce peau de Tinuviel, qui poursuivit sa conversation en parlant désormais d’elle. La Princesse se sentit rougir à nouveau, et mordilla tendrement l’épaule de Tinuviel, comme pour la punir de ses sous-entendus. Letterfinlay se contenta de sourire, s’approchant des femmes, caressant avec l’une de ses mains les cheveux d’Alice.

« Rassurez-vous, belle elfe, je le sais déjà… Elle est une vraie chaudière au lit…
 -  Je… fit-elle, enfouissant sa tête contre l’épaule de Tinuviel.
 -  Allons, ce n’est pas un défaut, très chère, sourit Letterfinlay, avant de regarder Tinuviel. Je n’ai pas eu la chance d’avoir sa virginité, mais j’ai eu droit à un joli spectacle… N’est-ce pas ? fit-il, continuant à caresser ses cheveux.
 -  O-Oui… » répondit Alice, toujours aussi rouge.

Letterfinlay l’embrassa sur le sommet du crâne en souriant, puis se releva. Ayant terriblement chaud, la Princesse, réalisant qu’elle s’écrasait sur Tinuviel, se releva un peu. Sans pouvoir vraiment se l’expliquer, parler de ses anciennes aventures sexuelles avec d’autres la mettait dans un état assez… Rouge. Elle ne savait pas si elle en avait honte, ou si elle en était fière, mais elle n’arrivait pas à en parler correctement, rougissant furieusement. Elle qui était si douce, si calme d’habitude, devenait au lit complètement déchaînée. Elle avait peur que cette image d’elle-même, surexcitée, ne nuise à sa réputation de Princesse. Que diraient les autres nobles et monarques s’ils savaient que la future Reine de Sylvandell devenait une véritable nymphomane au lit ? Elle se reprit lentement, mais on continua plus à moins à parler d’elle.

Tinuviel la complimenta en disant au Baron qu’elle voudrait l’avoir comme membre dans son harem. Alice se mordilla les lèvres, et embrassa Tinuviel dans le creux du cou. Alice n’était effectivement pas à vendre, mais ils ‘agissait d’une forme de compliment. De plus, elle doutait que Lorna accepte un jour de l’avoir comme concubine. Tinuviel changea de sujet, demandant à Letterfinlay quel était son type de femme. Elle lui donna le sien, lui disant de se méfier des anges, et un sourire éclaira les lèvres de Letterfinlay.

« Ma foi, c’est une question à laquelle il me paraît difficile de répondre, répondit Letterfinlay. Je n’ai que rarement eu la chance de goûter aux plaisirs des Terranides, alors je dirais que les femmes qui me font fantasmer sont… Les originalités. Celles à qui je n’ai pas encore goûté. Je pars du principe que la vie n’est qu’un immense bouquet de fleurs, qu’elles soient belles ou épineuses. Certaines sont si belles que je ne peux m’empêcher de les désirer sans arrêt, fit-il en regardant la Princesse, et d’autres ont l’air tellement exquis que le pauvre homme que je suis ne peut s’empêcher de vouloir essayer de ressentir leur nectar » poursuivit-il en regardant désormais Tinuviel.

Le baron avait toujours été un beau parleur, sachant parfaitement manier les mots. Il n’avait pas été spécialement difficile pour lui de courtiser Alice, une fois que cette dernière, par le biais de Cirillia, avait découvert les plaisirs que le corps pouvait procurer, et pourquoi son père ne cessait de lui dire qu’Alice pourrait être la plus puissante de toutes les Korvander depuis l’époque d’Erwan quand elle serait Reine.

« Mais vous, chère elfe, quel est donc votre type d’hommes ? Je n’ose imaginer qu’une femme de votre goût puisse se contenter d’une seule partie de cette merveilleuse chose qu’est le genre humain. Et, même si cela devrait me briser le cœur, je comprendrais aisément que vous ne soyez attirée que par le beau sexe. Par expérience, je sais que les femmes peuvent faire preuve d’une prouesse telle en certaines circonstances que même les plus valeureux guerriers se sentent infiniment petits et timorés face à cette… Passion. Alice est indéniablement une femme de passion. Et, quand on en rencontre une, on n’a plus envie de la quitter… N’est-ce pas ? » fit-il en regardant Lorna, avant de délicatement sourire à l’intention de Tinuviel.

Letterfinlay s’était tranquillement rapproché des trois femmes.

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 79 vendredi 10 février 2012, 16:22:06

Lorna pourtant, n’en voulait déjà plus à la jeune femme,  elle avait retrouvé son amour et c’était tout ce qui lui importait.  La princesse n’était maintenant plus  un gros problème à ses yeux.  Elfe avait ce pouvoir.  Elle pouvait faire en sorte que des gens n’ayant rien en commun  se retrouvent auprès d’elle et que tout cela soit… Normal.  Oui,  car la scène n’avait absolument rien de dérangeant.  Qui aurait put penser que cette jeune blonde qui   était dans son cou était une princesse,  et que la jeune terranide qu’elle était entrain d’embrasser   aurait voulu, il y a moins de cinq minute tuer la dite blonde.  Personne,  et ce cas là était entrain plus vrai dans son harem.  Alors oui, on pouvait parler de pouvoir, même si ce n’était pas vraiment le cas.  Elfe eut un petit sourire en voyant la réponse du baron. Ainsi, celui-ci avait le gout de l’exotisme.  Il était aussi beau parleur que l’elfe et cela, elle devait l’avouer, lui plaisait.  L’elfe sourit doucement avant de lui répondre d’un air taquin.

-  Vous savez, J’ai eut le l’occasion de  connaitre aussi bien les hommes que les femmes.   Et même si j’avoue sans complexe que ce sont ces demoiselles qui ont ma préférence,  je ne  suis pas contre les hommes.  Certaine femme du harem, en ont cependant peur, ce qui explique ma position relativement autoritaire et violente par rapport à eux, mais contrairement à ce que disent les rumeurs, il m’est arrivé d’avoir un ou des hommes dans ma couche.  Que ce soit des Hommes… Ou bien autre choses… 

L’elfe caressait maintenant le dos de la princesse, laissant doucement mais surement celle-ci  reprendre quelque peu pied dans l’étrange situation  dans laquelle elle se trouvait actuellement.  L’elfe  se faisait de plus en plus instante,  elle avait besoin de recharger ses batteries, et le meilleur moyen de guérir était encore de se soigner avec de la magie rouge, mais pour cela, il lui faudrait un peu de bonne volonté. Et apparemment, la kitsune,  le baron et la jeune princesse semblait en avoir.  Elle se contenta donc de sourire avant de terminer.

-Quand au terranide mon cher Baron, je regrette mais lorna ne sera sans doute pas disposée à s’occuper de vous.   Elle ne supporte que mes caresses, cependant, j’aurais peut être le moyen de vous faire passer une nuit ardente  avec deux splendides jeunes femmes  pendant que je m’occupe de votre petite princesse et de ma chère amante.  Ou bien, c’est une  autre possibilité si vous arrivez à vous contrôler. Vous  pourriez passer la soirée avec nous.  Cela voudrait dire certes que vous ne pourrez pas toucher à Lorna, mais deux femmes j’en suis sur pourrais vous combler.  A vous de voir si cela vous intéresse.


La réponse était des plus évidentes et honnêtement si le baron refusait cette proportion, l’elfe se serait sans doute  poser des questions sur ce séducteur.  Enfin, il y avait cependant une question que la jeune elfe se posait. Ce pays  disposait il oui ou non, de moyen de protection, ou devrait elle rendre stérile le temps d’une nuit le baron.  Cela, il ne le remarquerait même pas. Mais elle devait quand même le savoir.  Elle  eut donc un petit sourire en disant.

-Les femmes de passion sont les plus extraordinaires,  il n’y a pas d’autre mot en effet.  Cependant je me demande comme votre peuple aux mœurs si plaisantes ne subit pas plus de maladie.  J’ai beaucoup de partenaire. Mais la magie rouge me permet de ne pas avoir de problème. Mais c’est quand même un cas relativement  restreint. Enfin, tant que je ne tombe pas enceinte, cela ne me dérange pas… C’est un autre avantage de l’amour entre femme…

Elle  termina sa phrase sur ceux-ci,  laissant finalement le baron  faire.  Elle n’avait de toute façon, plus grand-chose à dire.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 80 vendredi 10 février 2012, 22:17:24

Letterfinlay ne se démonta pas après les explications de Tinuviel, qui avoua préférer les femmes au lit, tout en  n’excluant pas certains hommes. Alice, elle, sentit la main de Tinuviel se promener tendrement sur son dos, caressant sa peau. La Princesse remonta ses lèvres pour embrasser Tinuviel dans le creux du cou. Elle était toujours aussi confuse, mais se détendait progressivement. Face à une elfe aussi belle, il était dur, dans le fond, de ne pas se sentir à l’aise. L’elfe rouge poursuivit ses explications, expliquant au baron qu’il ne pourrait pas profiter de sa kitsune. Ce dernier ne dit rien, se contentant de croiser les bras, tandis qu’Alice, souriant lentement, embrassait l’elfe sur la joue. Maintenant qu’elle avait vu dans quel état Lorna pouvait se trouver, elle était personnellement plutôt bien disposée à ne plus la toucher. Tinuviel encouragea Letterfinlay à savoir agir avec calme, à réfréner ses ardeurs, s’il voulait profiter des corps d’Alice et de Tinuviel.

*Quel intérêt de faire l’amour avec un homme, si ce n’est pas pour qu’il se lâche ?* songea Alice.

Elle garda sa réflexion pour elle-même, et commença à se tourner un peu, fixant Letterfinlay. L’homme avait un demi-sourire en coin, visiblement amusé par la situation, Il finit par hausser les épaules.

« Je pense pouvoir suffisamment me contenir pour me contenter des deux beautés qui daigneront s’offrir à moi… En espérant que vous vouliez toujours de moi, Princesse ? lui demanda-t-il.
 -  Pourquoi ne voudrais-je pas ? » parvint à répliquer cette dernière.

Le baron sourit, révélant ses belles dents blanches, et Tinuviel lui demanda alors comment le peuple survivait face aux maladies sexuelles. Le baron répondit assez rapidement.

« Sylvandell a des mœurs légères, c’est un fait. Partant de là, nous protéger est essentiel. Vous n’avez pas à en faire, belle elfe. Nos alchimistes, nos mages, nos herboristes, ont conçu des potions spéciales, des injections pour les hommes et les femmes, tant pour éviter une grossesse imprévue que pour éviter la transmission d’infections. Vous n’avez donc pas à en faire pour cela. »

Alice ne pouvait que confirmer. Elle était plusieurs fois tombée enceinte après avoir fait l’amour avec des hommes, mais elle prenait, dès qu’elle le constatait, un produit spécial, assez amer, mais qui détruisait rapidement les spermatozoïdes et les ovules qui s’étaient rencontrés entre eux. Alice avait du le faire avec Gauvain, tout comme avec Letterfinlay. Elle ne pouvait avoir qu’un seul enfant, eu égard aux règles royales sur Sylvandell, et, en conséquence, la Princesse réservait ce moment pour plus tard. Elle se retira un peu de Tinuviel, se retournant pour regarder le baron, continuant à avoir une main posée sur le corps de l’elfe rouge. Elle se tenait en somme de profil, plutôt que couchée sur l’elfe rouge.

« Je pense que vous ne verrez du coup aucune objection à vous reposer dans ma chambre ? Peut-être désirez-vous la voir ? Je me ferais un plaisir de vous guider, et je tiens à vous assurer d’une chose. »

Il ajouta rapidement.

« Dans la ville, sur le champ de bataille, ou face à mes sujets, je suis peut-être un baron, mais, dans un lit, face à une belle femme, je ne suis rien de plus qu’un pauvre homme, privé de son armure et de ses armes. N’est-ce pas, Alice ?
 -  Ce… Peut-être… » poursuivit-elle en rougissant, baissant les yeux.

Le baron s‘approcha d’Alice, et se mit à tendrement caresser chacune de ses joues avec ses mains. Il avait des mains assez agréables, et elle se mit à frissonner entre ces dernières.

« Ne sois pas si timide, petite… C’était agréable, non ? »

Alise se contenta d’hocher la tête.

« Au point de vouloir recommencer ? »

Nouvel hochement de tête. Letterfinlay libéra les joues de la Princesse, et sans plus attendre, attrapa l’une des mains de Tinuviel, fléchissant l’un de ses genoux pour élégamment l’embrasser.

« Des mains elfiques… commenta-t-il. Vous devez avoir un formidable doigté, à voir comment ils sont élégants et bien entretenus. »

Le baron se releva légèrement, et sourit légèrement à l’intention de Lorna. Il ne la connaissait pas, mais il espérait qu’elle n’était pas du genre jalouse ou protectrice. Sachant combien elle avait été difficile à contrôler… Elle avait plusieurs fois manqué d’attaquer son alchimiste, et, sans la présence d’Alice et ses demandes insistantes, il aurait sans doute congédié Lorna, ne serait-ce que parce qu’il était déconseillé d’opérer en présence d’un proche. La Princesse avait néanmoins tenu à ce que Lorna reste ici. Si on avait du la sortir, il aurait sûrement fallu la battre, et l’enchaîner dans les cachots. Si Tinuviel avait appris que sa Lorna avait été mise aux fers, la situation se serait encore plus compliquée.

*Enfin, pensons pas à cela… Tout ira bien, maintenant…*

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 81 samedi 11 février 2012, 01:25:06

L’ingéniosité des humains était une des rares choses qui pouvait étonner l’elfe.  Oui, cette race n’avait pas des prédispositions en magie,  elle n’était pas puissante physiquement et pourtant leurs ingéniosité leurs avaient permit de dépasser tout cela.  Les humains deviendraient la race dominante enfin, cela était possible car les dieux avaient encore bien des ressources mine de rien.  Elle ne laissa cependant rien paraitre de ses divagations. Il n’y avait qu’un  léger sourire qui se dessinait sur ses lèvres alors que la mage.   Elle se contenta d’observait la scène de discutions entre le baron et la jeune femme.   Les deux amants ne semblaient pas à leurs coups d’essais  et cela faisait bien sourire l’elfe.  Enfin,  puisque l’Homme semblait comprendre qu’il ne pourrait toucher qu’à son corps à elle,  elle ne voyait absolument aucun problème   à passer la nuit en compagnie d’Alice et du baron.   Lorna elle, l’accompagnerait sans doute encore. 

Elle eut un petit sourire lorsque le baron l’embrassa et prit doucement ses doigts en main. Elfe se contenta de lui répondre avec toute sa franchise naturelle.


-Disons que personne ne s’est pour l’instant ne s’en est jamais plaint mais vous aurez le temps de les essayer, mon cher baron.  Mais ce n’est pas ma seule arme sur ce genre de champs de batail.  Non,  j’en ai d’autres biens plus efficaces et dangereux. Mais je reste surprise par l’inventivité dont vous pouvez faire preuve quand la situation l’exige. Cela ferra sans doute de votre race,  celle qui survivra le plus longtemps.   Et qui sait,  vous pourriez peut être même arrivé un jour à dépasser les dieux.  Aller savoir.   Mais laissez ces histoires futiles pour l’instant.   Bien, je ne voudrais pas  casser ce moment des plus érotiques,  mais j’aimerais cependant avant toute chose,  manger un peu et prendre une bonne douche.


elfe avait toujours ce petit sourire,  effectivement, cela faisait maintenant deux jours qu’elle n’avait pas prit de douche,  et surtout  qu’elle  n’avait rien manger. Hors, elle se sentait mal couper court à leurs jeux à cause d’un estomac en manque de nourriture.   Elle pourrait d’ailleurs refaire ses forces et cela permettrait donc quelques petits  tours de magie rose.  Oui, cela serait tout bénéf si elle avait le temps de se ressourcer. Et puis, cela permettrait au deux amoureux qu’était l’homme et la jeune princesse, enfin si l’on pouvait considérer leurs relations comme cela,  de renouer un peu avec leurs passés.  Elle eut un petit sourire, se dirigea vers la table, y prenant un fruit dans lequel elle croqua. Avant de sourire tranquillement à  la jeune alice et au baron.


-Ne vous en faite pas pour nous, et commencer,  nous ne tarderons pas à vous rejoindre le moment venu. 

Elfe   était satisfaite. Elle savait ce qu’elle faisait.  Elle était entrain de faire patienter à la fois l’homme et la princesse.  Hors, en faisant cela, elle laissait aussi montrer le taux excitation.  Tout n’était qu’une danse, un savant jeu, ou l’art était de se retirer au bon moment pour y re entrer plus tard.  Et la, il était temps de se retirer pour l’instant.

Elfe arriva donc dans la salle de bain, ou elle se fit couler un grand bain avant d’y être rejoins par sa fidèle servante se demandant comment son absence était perçut la bas.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 82 samedi 11 février 2012, 12:42:04

De simples aventures sexuelles, la discussion faillit déborder sur l’évolution des espèces et des civilisations. C’était en effet un autre tout débat que de pronostiquer sur l’avenir. Considérer que les humains dépasseraient un jour les dieux, c’était flatteur pour l’ego des humains, mais c’était un raisonnement bien trop poussé pour Alice. Avant de songer à gouverner Terra, il lui fallait déjà réussir à diriger cette petite terre qu’on appelait Sylvandell, et qui, un jour, serait son royaume. Terra n’était pas dans ses préoccupations. Tinuviel expliqua toutefois qu’elle comptait manger et prendre une douche.

« Oh, bien sûr, bien sûr, répondit rapidement Letterfinlay. Garçon ! Allez, allez, veuillez conduire notre invitée dans les bains, et lui préparer de quoi se restaurer. Vous n’avez pas mangé depuis plus d’une journée, après tout. »

Tinuviel devait sûrement avoir un corps fatigué, et, même si faire l’amour semblait conseillé comme méthode curative pour elle, c’était un exercice qui, en tant que tel, nécessitait d’être endurant. Pour repousser le virus, l’organisme de Tinuviel avait du s’épuiser. Elle se retira du canapé, toujours aussi nue, invitant Letterfinlay et Alice à commencer sans elles. La Princesse en rougit légèrement, et se releva. Le serviteur que Letterfinlay avait appelé fit signe à l’elfe de le suivre, la regardant brièvement, une brève lueur de désir dans le regard. Il resta fort heureusement assez professionnel. Alice resta debout pendant quelques secondes, regardant le départ des deux femmes, jusqu’à ce que le Baron soupire légèrement.

« Je ne m’attendais pas à te revoir dans de telles circonstances, Alice… glissa-t-il.
 -  Moi non plus, Olivier, répondit Alice, l’appelant par son prénom. Mais nous avons au moins l’occasion de nous revoir… »

Ils marchèrent, montant un escalier, grimpant vers la chambre du baron.

« On m’a dit que ton entourage proche s’était adjoint d’une nouvelle personne, Alice… Cette femme qui a attaqué un dragon… Cirillia, je crois… »

A son nom, Alice baissa les yeux. Parler de Ciri’ n’était pas une chose très intelligente, sachant combien cette femme agissait de manière paradoxale sur la Princesse. Elle éluda rapidement ce sujet d’interrogations, jusqu’à ce que Letterfinlay atteigne ses appartements. Un délicieux feu brûlait dans l’âtre. En tant que noble, Letterfinlay logeait dans une belle et grande chambre, son lit étant près d’un bureau. C’était un grand lit à baldaquin, et, depuis les fenêtres, on pouvait voir les jardins du manoir. Les jardins s’articulaient à l’entrée d’un grand lac, et on voyait, au loin, une série de montagnes escarpées éclairées par le soleil. La neige avait tout peint en blanc, et Alice les observa silencieusement.

« Je te connais depuis que tu es toute petite, Alice, poursuivit le baron. Je me souviens encore quand tu t’amusais avec les autres garçons du village en leur balançant des boules de neige à la figure… »

Dans les jardins, de jeunes enfants prenaient en effet des boules de neige pour s’attaquer dans une longue et tumultueuse bataille, rappelant naturellement à Alice des souvenirs. Elle l’avait fait, jadis, pendant des années, et avait déjà arrosé une fois par mégarde un baron. Un sourire amusé de dessinait sur ses lèvres. Sans pouvoir se l’expliquer, elle se mit en tête d’imaginer Ciri’ se recevoir une boule de neige dans la figure. Sans doute voudrait-elle la tuer, ou l’étouffer sous la neige… C’était donc une expérience à tenter. Elle se retourna, contemplant Olivier, qui avait retiré son manteau et ses gants. Il avait de longs doigts fins et délicats, et les réchauffa dans l’âtre de la cheminée. Elle se rappela à nouveau sa séance avec lui, et se mordilla les lèvres. Olivier alla s’asseoir sur un fauteuil. Dieu, qu’elle le trouvait beau… Il y avait une forte part de subjectivité là-dedans. Elle l’avait effectivement connu quand elle était petite. Letterfinlay était alors un écuyer, qui était devenu baron quand elle avait environ dix ans, parvenant à réussir toutes les épreuves imposées par son père pour prendre le pouvoir. Le Roi avait confirmé cette position, envoyant des lettres et des cachets pour la publier. Coureur de jupons avant d’être baron, sa nouvelle position n’avait fait que le confirmer là-dedans.

« Mon Dieu, Alice, tu es vraiment une femme magnifique… je comprends pourquoi ton père t’a tant surprotégé, et continue à te protéger…
 -  Toute la protection de mon père ne m’a pas sauvé hier… objecta Alice, faisant la moue.
 -  C’est parce que tu l’as rejeté… Tu as congédié ce monstre qui t’accompagne, cette espèce de brute en puissance…
 -  Hodor n’est pas une brute, ni un monstre ! siffla Alice.
 -  C’est ce que mes hommes ont consigné dans leurs rapports, pourtant… Je crois surtout que tu ne réalises pas à quel point tu rends fous les autres… »

La Princesse rougit une nouvelle fois, secouant la tête.

« Je…
 -  Ce n’est pas un défaut, loin de là. Bien au contraire, Alice… Tu sais, ton père parvient à diriger par l’exemple, par la force, en montrant à ses hommes qu’il n’est pas un faible, ni un couard. Mais toi, ma belle, tu ne peux compter, ni sur ton courage, ni sur ta force. Je te connais suffisamment pour savoir que ce sujet t’a toujours complexé, mais tu dois maintenant commencer à réaliser que tu disposes d’une force bien plus grande que celle de savoir manier une épée.
 -  Mon corps ? lâcha cette dernière, sceptique.
 -  Ta beauté, oui… Avoir un soldat puissant, c’est une bonne chose. Avoir un soldat puissant qui se bat pour une cause, c’est encore mieux. Tu connais le dicton, non ? ‘‘La foi soulève les montagnes(/i]’’ ? En se débarrassant du contexte religieux, tu comprendras que ta beauté incitera bien des hommes et des femmes à faire l’impossible pour toi. Ton bilan en tant que pré-Reine s’annonce assez bien, pour le moment. Ce chevalier errant qui s’est battu pour toi au tournoi… »

Gauvain. Le pauvre avait voulu la demander en mariage, et elle en rougit légèrement, se rappelant de ce moment. Le baron s’était rapproché d’elle, et retournait caresser la tête d’Alice, au niveau de sa joue, promenant ses doigts dessus. Un sourire amusé éclaira les lèvres d’Olivier.

« Tu t’es beaucoup renseignée à mon sujet… nota-elle.
 -  Je me renseigne toujours sur ce qui mérite qu’on s’y intéresse, répliqua-t-il, charmeur, se rapprochant d’elle.
 -  Au moins, tu sais parler aux femmes…
 -  Oh, je crois qu’il n’y a pas que ça que je sais faire… »

Il la prit par les mains, la soulevant lentement. Yeux dans les yeux, Alice sentit son cœur battre faiblement dans sa poitrine, alors que l’homme allait l’embrasser, posant ses lèvres sur les siennes, lui offrant un baiser merveilleux. La Princesse en ferma les yeux, goûtant à la salive de cet homme. Ses lèvres étaient toujours aussi belles et attirantes, délicieuses. Son menton était bien rasé, et, même s’il était bien moins doux que celui de Tinuviel, elle s’amusa à jouer avec les résidus de poils, frottant son menton sur le sien, très légèrement, continuant à l’embrasser, titillant ses lèvres avec sa langue.

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 83 mardi 14 février 2012, 21:29:57

L’elfe et la jeune kitsune suivait maintenant le jeune page vers la salle d’eau.  L’elfe avait encore  un peu de mal à tenir debout, mais cela devrait d’ici peut de temps se terminer.   Elle  n’avait qu’une seule envie, se débarrasser de cette odeur de sang qui lui collait à la peau.  Cette odeur était pour l’elfe horrible. Elle n’aimait pas le sang,  elle savait se battre,  pouvait tuer quand cela était nécessaire. Mais elle n’aimait pas cela,  elle n’était pas une sadique de nature.  D’ailleurs,  elle avait presque eut un petit pincement au cœur lorsque ce Drow avait rendu son dernier souffle.  Cependant, elle savait bien que cette fois ci, elle ne pourrait pas le raisonner.  Il était un danger, et  s’il était resté en vie, il aurait encore tenté de s’en prendre à la jeune princesse ou pire encore à Lorna par vengeance.
Non, elle avait prit la bonne décision.  Par contre la lueur dans le regard du jeune page lui tira un petit sourire,  elle se savait belle, malheureusement pour ce jeune homme, ce ne serait pas ce soir qu’il pourrait avoir sa chance avec elle.  Non, elle avait déjà de plus gros  poisson sur le feu.
Elfe   s’enferma avec la kitsune dans la salle de bain, laissant couler l’eau chaude pendant qu’elle  aidait Lorna à retirer sa tenue de maid qui lui allait si bien.  Elle se contenta de se lécher les lèvres  avant finalement de porter la jeune  demoiselle jusqu’à la baignoire, l’embrassant  au passage. Elle glissa finalement la demoiselle dans l’eau  avant de l’y rejoindre,   observant ses si beaux yeux.  Elle eut un petit sourire avant de dire à la jeune kitsune.


-Maintenant que nous sommes seules, il y a une question que j’aimerais te poser. De toi à moi. Comment trouve tu cette jeune princesse,  elle est mignonne non ?
La kitsune   la regarda étonnée avant de lui répondre.
- Je ne comprends pas vraiment votre question, mais… Elle est mignonne effectivement. Certes pas autant que vous maitresse mais elle est mignonne ?  Pourquoi cette question ?
Elfe se contenta d’un petit sourire avant de  tirer doucement la jeune kitsune vers elle, et de lui glisser au coin de l’oreille.

-Parce que je te connais Lorna,  je sais qu’elle représente ce qu’il te plait.  Peut être pas au niveau physique,  mais mentalement,  c’est une leader, quelqu’un d’exception, à la fois charismatique et puissant même s’il lui manque encore un peu d’assurance.  Et surtout, si elle ne te plaisait pas, tu n’aurais jamais accepté de jouer avec elle.  Même si  c’était relativement soft. 
La jeune kitsune rougit immédiatement,  elle savait qu’elle ne pourrait pas longtemps le cacher à sa maitresse, mais de la à ce que ce soit aussi flagrant…  Elle avait pourtant tout fait pour, se montrant à la fois froide et agressive  a l’encontre de la jeune princesse. elfe se contenta de la regarder avant de lui dire doucement.
- Allons,  ne soit pas si gênée,  je sais que tu me resteras toujours  fidèle. Mais  je voulais juste savoir si j’avais raison.  Bien,  ne te fais pas de soucis, cela restera entre toi et moi.   Cependant ma belle, ce n’est pas un péché d’avoir parfois envie de quelqu’un d’autre.   Enfin, bon, maintenant que cela est dit, je te laisse le choix. Tu peux rentrer au harem, ou bien, choisir de  rester avec moi durant quelques heures encore.  Sache que cela ne me dérange pas si tu choisi de rentrer,  je sais que  je t’en ai beaucoup demandé durant ces derniers jours, tu  mérite de prendre enfin du repos.
-S’il vous plait.

Elfe eut un petit sourire, en sachant pertinemment qu’il s’agissait en réalité d’une façon détournée pour ne plus voir la princesse.  Elfe la connaissait et savait que la jeune kitsune pourrait se sentir coupable de  désirer une autre femme que l’elfe.  Oui, dans un pays comme  celui ou pouvait vivre la jeune princesse, cela pouvait sembler débile, mais pour la kitsune, il n’y avait rien de pire.  C’était trahir la promesse de n’aimer que l’elfe.  Et cela, cela la faisait souffrir. 
Elfe termina son bain avec la jeune femme, avant  de réfléchir.  Elle ne pouvait normalement pas utiliser de portail de téléportation. Cependant, elfe avait prévus le coup.  Elle avait prit l’équivalent d’un parchemin pour le retour. En effet, les fleurs étant relativement fragiles, elles ne pouvaient pas     se permettre de mettre autant de temps qu’à allée.  Elfe se contenta d’embrasser la jeune kitsune avant de lui dire.


-Bien,  je te charge donc de t’occuper des fleurs et d’avertir les autres que j’aurais un peu de retard.  Une dernière chose ma chérie.  Tu sais que je ne vous quitterais jamais.  Vous m’importez plus que n’importe qu’elle princesse, reine ou même un dieu.  Vous êtes ce qui m’est de plus chère.  Aller,  il est temps de sortir d’ici. 

Elfe prit  le temps de  s’essuyer et d’essuyer sa compagne, embrassant encore une fois celle-ci, avant de la rhabiller et d’aller rechercher le fameux parchemin.  Elle le trouva à l’endroit ou elle l’avait laissé, c'est-à-dire dans son armure, observant au passage les deux tourtereaux entrain de se bécoter avec une ardeur non feinte. Elle eut un petit sourire que personne ne remarqua d’ailleurs puisque il était fort peu probable que les deux jeunes gens la remarque.  Elle retourna donc dans la salle de bain, les fleurs et le parchemin dans les mains. 
La suite fut rapidement, la kitsune quitta sa maitresse dans un  éclair de couleur blanche, tant dit que l’elfe retourna vers le salon.  Elle avait un petit sourire aux lèvres, contente de savoir que sa belle kitsune    ne risquait désormais plus rien.

-Je suis désolée de vous avoir fait tant attendre, mais je suis prête désormais.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 84 mercredi 15 février 2012, 00:40:31

Pendant que Tinuviel et Lorna discutaient, Alice et Letterfinlay s’embrassaient chaudement. Le léger baiser était devenu de plus en plus vorace, sous l’impulsion des lèvres d’Olivier. Alice frissonnait en sentant ce menton légèrement poilu. Olivier se rasait, il n’avait pas une grande barbe, mais, pour un homme, être imberbe à ce niveau-là semblait totalement impossible. Il avait de légers poils qui, loin d‘irriter Alice, l’amusaient, lui rappelant combien elle aimait, petite fille, jouer avec le duvet de son père en lui faisant la bise. Elle gémit lentement, se relevant du fauteuil, continuant à embrasser Olivier, dans le silence le plus complet, silence uniquement rompu par leurs soupirs, surtout celles de la Princesse. Stoïque, Olivier se contentait de l’embrasser, plaçant galamment ses mains sur ses hanches, hésitant à s’aventurer dans les parties plus intimes du corps d’Alice… Ou pour la frustrer. Elle se pressa un peu contre lui, et tendit ses mains vers sa veste, la déboutonnant rapidement, continuant à l’embrasser, avant de glisser ses lèvres pour l’embrasser sur le menton, la joue, soupirant.de plaisir, glissant ses mains vers son pantalon.

« Quelle fougue, Princesse ! soupira-t-il.
 -  Bien différent de la première fois, hein ? répliqua-t-elle en lui mordillant l’oreille.
 -  J’en conviens… »

Elle retourna l’embrasser, lui ôtant sa veste, la laissant choir sur le sol. L’homme l’attrapa alors par la tête, la soulevant, et la plaqua contre le mur avec force. Elle sentit le membre tendu de l’homme frotter contre ses cuisses, et en rougit. Il avait déjà une belle érection, confirmant ce que certaines des servantes d’Alice disaient sur lui, à savoir que, secrètement, Olivier Letterfinlay avait toujours aimé et désiré Alice plus que n’importe quelle autre femme. Elle sentit les mains de l’homme se promener sur sa robe, ôtant les bretelles, et fit tomber cette dernière. Alice portait, outre des gants blancs et des collants de la même couleur, un délicat corset qu’il se mit à caresser à hauteur des hanches, remontant près des lacets, avant de descendre sur sa culotte, pinçant l’une de ses fesses. Alice en gémit, et fut alors soulevée par les bras puissants de l’homme, atterrissant sur une commode. Il poussa d’un revers de main les bibelots entassés dessus, et l’embrassa langoureusement, fougueusement, tandis qu’elle serrait ses jambes contre son torse, dégrafant sa cape, tirant et empoignant sa chemise. Elle ne vit pas Tinuviel venir, toujours aussi nue, avant de s’éclaircir la gorge et de parler.

Olivier se retira en premier, restant toutefois enlacé par Alice, et se retourna, la maintenant, une main sur la nuque, l’autre sur les fesses. Alice se rétablit, libérant ses jambes, et se retourna, rougissant, tant de honte que de plaisir, en voyant le ravissant corps nu de Tinuviel, avec ses cheveux trempés. Elle leur annonça être prête. Le regard qu’Olivier lui fit en la dévisageant frôlait l’indécence, mais exprimait au moins le désir, sincère, honnête, qu’il ressentait. Encore un peu, et il en serait probablement sur le point de remercier les Dieux pour ce sublime double cadeau qu’on lui offrait.

« For… Formidable, parvint-il à dire dans un léger sourire. Ma foi, je sens que ça va être épuisant… Mais inoubliable… »

Il attrapa tendrement l’une des mains de l’elfe rouge, l’approchant de son corps, et, sans plus d’hésitation, alla l’embrasser. Un long et tendre baiser, tandis que ses mains caressaient le dos de l’elfe. Un tendre baiser, plein de désir, auquel Alice ne tarda pas à se joindre, se glissant pour cela dans le dos de Tinuviel, caressant ses hanches, glissant ses mains sur l’estomac plat de l’elfe rouge. Lorsqu’Olivier interrompait son baiser, Alice avançait la tête pour le remplacer, tandis que le Comte descendait ses lèvres pour l’embrasser dans le cou.

« Ma foi, je suis heureuse de voir que vous ne semblez pas aussi réfractaire aux hommes que toutes ces cinglées extrémistes qu’on trouve à Tekhos. Certaines sont aussi belles que bornées, c’est le pire des supplices ! »

La torture ultime pour Olivier était de lui miroiter une belle femme sous le nez en lui affirmant qu’il n’aurait jamais le droit de la toucher. Bien des gens de Sylvandell plaisantaient à ce sujet, en affirmant que, pour le faire parler lors d’un interrogatoire, il ne fallait pas l’électrifier ou le fouetter, mais simplement le mettre en cure d’abstention sexuelle, et l’interroger par la plus belle des femmes qui soit, une femme torride et sensuelle. Il embrassait avec plaisir chaque parcelle de la peau de Tinuviel.

« Mon Dieu… Ça va être éprouvant ! » commenta-t-il pour lui-même.

Alice, de son côté, avait remarqué l’absence de Lorna. Elle craignait d’avoir choqué cette dernière, de l’avoir trop énervé, mais se retenait de le dire. A aucun moment, il ne venait à la Princesse que cette colère envers Alice dissimulait sûrement autre chose. Non pas une colère à l’idée d’avoir contribué à mettre Tinuviel en danger, mais une rancœur à l’idée de ce qu’Alice provoquait, soit une tentation irrésistible pour Lorna. Alice ne pouvait pas penser à cela, ni même réussir à le comprendre, et décida donc de se forcer à ne pas y penser. Elle se sentait coupable envers Lorna, et aurait bien voulu trouvé un moyen de se faire pardonner auprès d’elle, mais qu’importe… Elle était avec Olive, et avec Tinuviel.

Que demander de plus ?

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 85 mercredi 15 février 2012, 20:16:25

Elfe se contenta de sourire lorsque la jeune princesse libéra enfin son amant, celle-ci était a moitié nue,  enfin, juste assez pour que la jeune elfe   comprenne qu’elle venait sans doute de briser un moment qui semblait être relativement agréable pour le baron et pour la jeune princesse.  Celle-ci eut un petit sourire avant de dire.
-On dirait que j’arrive au mauvais moment…  Remarquez, je suis sur que je peux me faire pardonner.
 Elle se contenta de regarder malicieusement le baron y trouvant  du désir, de l’envie,  certes, ce n’était pas le regard qu’il réservait à la princesse, mais cela lui convenait, elle  ne le voyait en tout honnêteté qu’un simple amant, qu’elle ne reverrait jamais.  Cette situation lui convenait, et il ne fallait pas lui en demander plus.  Par contre,  elle regretterait sans doute de ne pas pouvoir suivre les progrès de la jeune princesse.  Oui, elle s’annonçait particulièrement prometteuse,  et elle aurait eut  sa place parmi ses amantes.  Lorna aurait d’ailleurs sans doute appréciée cela,  enfin.
Elle eut un petit sourire lorsque l’homme parla de l’extrémisme typique des Tekhane. Elle n’appréciait pas leurs méthodes.  Même si dans leurs sociétés les femmes étaient des meneuses,  les hommes y étaient réduits  à la même place que les  femmes dans Nexus.  Elfe  lui caressa doucement le torse, laissant doucement ses deux mains glisser sur ce viril et puissant abdomen.

-Je ne cache pas mon attirance pour les femmes.  Cependant je ne cautionne pas les attitudes de ces femmes.   Un homme a le droit au même respect que les femmes.   Le harem est effectivement interdit aux hommes, cependant je l’ai fait pour préserver mes protégées et non parce que j'ai des préférences...

Elle termina doucement ses caresses sur le torse, remontant doucement le long de la colonne vertébrale de l’homme, laissant son  pouce griffer juste ce qu’il  fallait celle-ci pour faire sortir un peu de sauvagerie.  Elle avait vraiment l’art d’y faire, il n’y avait pas à dire.  Elfe était bien une femme  ayant l’habitude des contacts charnelles.  Elfe pouvait cependant  observer dans les yeux de la jeune princesse, un moment d’absence.  Il était probable que la demoiselle ait remarqué l’absence de Lorna.  Si c’était cela, elle ne devait pas s’inquiéter pour son absence.  Elfe s’avança doucement vers la jeune femme, roulant un peu des hanches pour le baron. Elle embrassa la jeune princesse avec une passion certaine. Elle s’arrêta finalement, avant d’aller mordiller l’oreille de la demoiselle.   Cela lui permettait de lui dire discrètement.


- Lorna est retournée au harem pour se reposer,  cependant ne vous en faite pas trop pour elle. Je pense que sa colère envers vous  n’est  plus qu’un souvenir.
Elle voulait ainsi, que la princesse ne pense uniquement à la nuit qu’elle allait vivre.  Lui sortir de la tête  tout ce qui pourrait l’empêcher de  prendre son pied. Ne serait ce que en partie.
Elle se contenta de rire doucement, alors que le baron  se plaignait déjà de l’éprouvante nuit qu’il allait passer.  Elfe   posa doucement  ses doigts sur la nuque de celui-ci, alors que l’autre se plaça sur le ventre de la jolie princesse.


-Et bien, mon cher Baron, j’espère que vous n’êtes pas déjà fatigué.  Moi qui voulais vous réserver quelques surprises, je suppose que je devrais attendre… Hum, c’est tellement dommage.  Surtout que  mademoiselle Alice peut témoigner que la magie rouge à un gout particulier… N’est ce pas Alice?


L’elfe faisait bien sûr référence au gout de la cyprine des clones de feu.  Cette première avait semblait concluante, et il était sur que l’elfe y ait recourt lors d’une prochaine situation.  Mais en attendant,  elle n’avait montré qu’une très légère des possibilités infinies que lui offrait la magie rouge.  Elle attendait cependant la réaction de la princesse et du baron, commençant à caresser les deux amants de deux types de caresses.   Des sauvages pour l’homme, et des douces pour la femme.  De quoi réveiller, doucement mais surement la libido déjà bien présente de ses deux partenaires.



Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 86 mercredi 15 février 2012, 22:12:33

Préoccupée, Alice ne pouvait cacher qu’elle l’était. La disparition de Lorna l’inquiétait, et ce même si elle se refusait à y penser. C’était quelque chose de plus fort qu’elle. Tinuviel s’approcha d’elle, et lui fit un tendre baiser, plein de passion. Oubliée, la fatigue de l’elfe rouge. Elle semblait pleinement réveillée, pleinement prête à satisfaire autant que possible son plaisir et ceux de ses amants, menant déjà la danse, presque instinctivement. Alice se sentit fondre sous ce contact, et glissa ses mains sur les hanches de Tinuviel, fermant les yeux en soupirant. Oh oui, elle avait vraiment des lèvres formidables, une bouche délicieuse. Tinuviel rompit le baiser, et murmura dans le creux de l’oreille d’Alice qu’elle n’avait pas à en faire pour Lorna, lui expliquant que cette dernière était partie se reposer au harem. La Princesse n’en croyait pas un mot, sachant qu’il y avait d’autres raisons plus profondes à cela, mais le moment n’était pas bien choisi. Elle embrassa donc Tinuviel dans le cou.

« Je ne me laisserai plus préoccuper par ça, promit-elle. Tu n’as pas à t’en faire pour cela, ma beauté. »

Tinuviel alla ensuite les caresser respectivement, promenant chacune de ses mains sur le corps des amants. Olivier en avait profité pour retirer quelques-uns de ses vêtements, conservant son pantalon, mais ayant ôté sa chemise, révélant un torse imberbe et bien entretenu. Il laissait Tinuviel tendrement caresser son torse, avant d’attraper cette dernière, et de l’approcher de ses lèvres, suçotant et léchant ses doigts, avant de lui répondre.

« Nous verrons bien jusqu’où je suis capable de tenir face à votre corps et à votre magie », répondit-il, mystérieux, avant de relâcher la main de Tinuviel.

Le membre du Baron était bien tendu, ressortant de son pantalon, et il ne faisait rien pour le cacher. En voyant ce membre tendu, Alice rougit, se rappelant comment ça avait commencé avec lui… Une danse classique, mais où elle avait progressivement senti le membre tendu contre ses jambes, en se collant contre le Baron. Elle en avait rougi, et s’était réfugiée dans les toilettes, pour se remettre. Le Baron l’avait prudemment rejoint, pensant avoir mal agi, mais avait été surpris de voir qu’Alice se touchait. Tout était parti de là… Elle sentit ce flashs ‘évanouir, et alla embrasser Tinuviel sur la joue, Letterfinlay retournant s’occuper de ses lèvres. Leurs lèvres glissèrent alors, et Alice embrassa à nouveau Olivier, se collant contre lui, sous le regard de Tinuviel, dont les bras pouvaient les enlacer. Elle gémit contre lui, frottant ses seins contre sa peau, tandis que lui s’attaqua aux nœuds de son corset, commençant à en défaire quelques-uns, avant de retourner caresser les superbes hanches de la Princesse. Il finit par rompre le baiser, et invita Alice à aller embrasser Tinuviel, ce que cette dernière fit, leurs corps restant serrés les uns contre les autres, se rapprochant lentement du lit.

Alice et Tinuviel finirent par tomber dessus, la Princesse restant blottie contre le corps de l’elfe, tandis que le Baron retirait ses derniers vêtements, finissant nu comme un ver, avec son membre fièrement dressé. Il entreprit de se glisser sur le lit, à hauteur des jambes de Tinuviel, et commença à masser ses beaux pieds, les relevant pour les embrasser et les suçoter, notamment à hauteur des doigts de pied, embrassant, mordillant et léchant la plante de ses pieds, tout en se mettant à parler.

« Honnêtement, je ne vois pas ce que j’ai de si effrayant… soupira-t-il entre plusieurs baisers, s’occupant également des pieds d’Alice, tirant un peu sur ses collants, la faisant frémir. Les elfes sont vraiment paradoxaux… »

Letterfinlay avait en effet du mal à saisir la logique de Tinuviel, qui, tout en affirmant que les hommes avaient droit « au même respect que les femmes », interdisait l’entrée de son harem aux hommes. Pour bien des humains, c’était sans doute la preuve la plus flagrante de la nature ambivalente des elfes : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais », en d’autres termes. Letterfinlay laissa passer son scepticisme, car il devait bien admettre que cette elfe était tout simplement exquise, et que, pour le moment, il se moquait comme d’une guigne de l’avis de Tinuviel sur la gent masculine.

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 87 jeudi 16 février 2012, 17:39:05

L’elfe se contenta d’un petit sourire, certes le baron ne se trouvait peut être pas  effrayant, mais il ne se mettait pas à la place des jeunes femmes qui durant des années et des années s’étaient faites violées par  parfois une bonne dizaine d’homme.  C’était pour cela  qu’elle ne tolérait pas les hommes, car certaines de ses protégées étaient totalement traumatisées par ces expériences.  Cela, était la raison de ce refus.  Et personne au harem ne s’en était jamais plains, en effet, l’elfe avait différentes petites techniques pour comblées celle qui le voulait.  Après l’elfe n’en avait rien à faire de ce que l’on puisse penser de sa politique. Son harem  était un lieu de repos, et  aucune de ses amantes ne s’en était jamais plainte.  Les hommes eux non plus quand il avait la chance de  ne pas représenter une menace, mais cela était une autre histoire.
-Mes propos sont contradictoires, mais si un jour vous étiez dans ma position, vous comprendriez peut être ma politique… Je me dois d’agir non pas pour moi, mais dans les intérêts d’une … d’une vingtaine de femme.    Parfois plus, si nous… abritons d’anciennes esclaves ou bien des jeunes femmes ayant fuient un mariage forcé… Maintenant. Je vous laisse libre de vous faire une opinion.

Elfe se rapprocha doucement mais surement du corps de la jeune femme,   elle eut un petit sourire avant de  plonger ses doigts dans la chevelure de la jeune femme.  l’elfe était simplement entrain de lui caresser la nuque de sa main encore libre, elle laissait doucement monter la température. Il ne servait  à rien d’aller trop vite, au contraire.   Toutefois l’elfe  ne put s’empêcher de penser que le baron  avait était  particulièrement bien aidé par la nature.  Oui,  son membre n’était pas extrêmement  grand, comparée à certaine futa qu’elle avait eut la chance de connaitre,  mais était de taille respectable, et il était séduisant, il n’y avait pas de mot.  Oui, cet homme avait tout pour plaire, et elfe ne s’étonnait pas de son succès auprès des femmes.

La mage rouge, s’avança doucement,  caressant maintenant la jolie poitrine de la jeune princesse, lui tirant au passage quelques gémissements.  L’elfe eut un petit sourire, avant de faire signe au baron de les rejoindre sur le lit.  L’elfe semblait décidé à passer aux choses plus sérieuses.  Continuer les préliminaires c’était certain, mais en présence du baron, celui-ci devrait arrêter de caresser les pieds des deux jeunes femmes pour venir s’occuper d’autres choses. Et cela sans doute pour le plus grand plaisir d’Alice qui semblait totalement sous le charme du baron.   Elfe elle, continuait à caresser les deux monts de chaire de la jolie noble qui semblait de plus en plus émoustillée par ce que l’elfe était entrain de faire
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 88 jeudi 16 février 2012, 19:45:48

Un sourire amusé traversa les lèvres du Baron. Ces elfes étaient vraiment curieux ! Lui devait diriger des centaines de serfs, et tous n’étaient pas des natifs. Des émigrés ayant fui des tyrans, il y en avait beaucoup. La population de Sylvandell ne cessait de croître. Certes, le royaume n’avait rien de ce « paradis » flottant qu’était Caelestis, si tant est qu’on pouvait considérer un lieu raciste comme paradisiaque, mais il était amplement préférable aux terres sauvages qui jouxtaient Sylvandell. S’il avait du bannir tous les hommes à cause des femmes violées de sa baronnie… Il n’ajouta toutefois rien, guère soucieux de rentrer dans un débat politique, préférant s’occuper des jambes des femmes. Le Baron admettait volontiers être soumis au lit face aux femmes, préférant les exciter avant de se plonger en elles, adorant tout simplement les entendre gémir, sentir leur corps se tortiller de plaisir, frissonner d’impatience… Du point de vue de l’homme, c’était la plus belle chose qui existe. Il n’avait de plus pas à rougir de ses performances sexuelles, ayant la prétention de croire qu’aucune de ses partenaires n’avait simulé avec lui, vu qu’il veillait toujours, ou presque, à s‘assurer qu’elles soient très excitées avant de se glisser en elles.

Loin de là, Alice frissonnait en effet sous les caresses de Tinuviel, l’embrassant tendrement, posant ses mains sur son corps, les aventurant près des délicieux seins de Tinuviel. Elle était encore la seule habillée, mais savait que ça ne durerait pas, et prolongeait avec Tinuviel de longs baisers, Lorna s’évanouissant de son esprit. Elle frémissait en sentant les mains de l’elfe rouge se poser sur ses seins, les caressant, et alternait entre la bouche tendre de sa partenaire pour son cou, léchant et mordillant sa peau parfaite, tandis que cette dernière fit signe au Baron de venir près d’elle. Ce dernier ne se le fit pas prier, et se glissa à côté de Tinuviel, en profitant pour caresser avec une main ses fesses, son membre tendu frottant contre son derrière. Il ne comptait nullement la pénétrer… Pas pour le moment, en tout cas. Ses lèvres posèrent sur la joue de Tinuviel, et il se mit à caresser l’un des seins de la femme, Alice s’occupant de caresser l’autre, leurs lèvres embrassant le visage de l’elfe rouge, l’emprisonnant entre les deux amants.

« Vos désirs sont des ordres, Tinuviel, répliqua Letterfinlay. Les préjugés sur la légendaire beauté des elfes ne peuvent que se confirmer avec vous… »

Il goûta à nouveau à la saveur de ses lèvres, et tendit ses lèvres vers son sein, l’embrassant, aspirant son sein. Le suivant, la Princesse embrassa l’autre sein de Tinuviel, répandant probablement en elle des torrents de plaisir. Du moins, Alice l’espérait. Tinuviel lui avait offert un plaisir extrême hier. Elle espérait bien lui rendre la pareille. Olivier finit néanmoins par se redresser, et incita Alice à s’allonger sur l’elfe, ce que cette dernière fit, tandis qu’Olivier allait jouer avec les lacets de son corset, les défaisant tranquillement, embrassant parfois Alice dans le creux du cou. Son membre tendu frottait contre le haut de la jambe d’Alice, tandis que cette dernière était partie dans un nouveau baiser, une nouvelle danse avec sa langue, savourant le corps ô combien sublime de Tinuviel. Elle rougit en sentant le membre de Letterfinlay caresser ses fesses, s’enfonçant contre sa peau, et rompit son baiser pour parler à Tuni’, caressant délicatement ses lèvres.

« Je crois que le membre de notre cher hôte souffre de la solitude dans laquelle nous le plongeons, tu ne crois pas ? » demanda-t-elle rapidement.

Tinuviel Lastrim

Créature

Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]

Réponse 89 vendredi 24 février 2012, 23:12:38

L’elfe se contenta de sourire, cet homme savait charmer les femmes, oui, il avait l’art des mots et cela expliquait sans doute  pourquoi il avait tant de charme, en plus de son physique très agréable. Il était pour compléter le tableau un amant relativement attentionné, le genre de qualité qu’elle appréciait particulièrement que ce soit chez les hommes ou les femmes.  Oui, elle ne regretterait sans doute pas cette nuit avec le baron et la princesse. De toute façon, elle se serait occupée personnellement de changer cela si le baron n’avait pas était à la hauteur.

Elle eut un petit sourire en sentant la jeune princesse s’occuper de sa poitrine, c’était tellement bon, tellement bon,   elle  sentit ensuite les lèvres du baron sur les siennes,  embrassant avec passion cet homme  alors que la princesse elle, ne se faisait pas prier pour dévorer avec  une certaine  envie.  Elfe était tout simplement prise entre deux feux et il lui était difficile de résister avec une telle amante occupée  à téter sa poitrine et un amant qui dévorer sa bouche. 
Le reste se produisit rapidement, le baron laissant la place à la jeune princesse, reprenant  ce délicieux ballet.  Leurs langues se recherchant dans une frénétique ode à la passion,  les corps se touchant parfois, pour reprendre ainsi un peu de distance, puis pour revenir se frôler.  Cela, faisait bien sur parti du jeu.  L’intimité de l’elfe se faisait déjà un peu plus humide.   En si peu de temps, cela était relativement rare, en effet, il en fallait généralement bien plus pour que l’elfe  soit émoustillée. Mais les efforts conjugués de ses deux amants  venaient progressivement à bout de la légendaire résistance de l’elfe.
Elle se contenta de sourire en écoutant les paroles de la jeune princesse, se décollant de celle-ci, avant finalement de caresser le visage du baron regardant au passage ce membre qui semblait si désireux d’en savoir plus sur les capacités de la dame rouge.


- Hum, ma chère Alice, je pense que vous avez raison. 

Elle descendit doucement ses mains sur le torse du Baron,  laissant ses mains  répandre un peu de chaleur humaine  dans le torse de l’homme.  Elle recommença ensuite sa descente,  laissant ses mains embrasser sa peau.  Jouant un peu avec le nombril de cet homme de pouvoir.  Finalement, elle prit place sur son pubis,  allant rechercher les bourses de l’homme, les caressant avec une certaine dextérité.    Elle jouait littéralement avec ces deux beaux présents.  Terminant finalement le calvaire qu’elle était entrain de faire vivre à l’homme, en déposant doucement sa main droite sur la hampe de l’homme et commença doucement à caresser celle-ci.  Elle ne faisait pas encore de va et bien, non elle se contentait juste de  le chauffer un peu. De lui laisser un peu languir,  c’était finalement sa marque de fabrique et la jeune princesse pouvait en témoigner. Mais croire que l’elfe avait oublié la jeune princesse aurait était une  grossière erreur,  non.   De sa main libre, elle caressait maintenant le ventre de la jeune femme. 
Elle eut un petit sourire, descendant rapidement sur les cuisses de la princesse, caressant celle-ci a travers le bout de tissus qui restait.  Elle n’était certes pas encore déshabillée, mais cela viendrait, d’ici peut de temps, les trois  amants  seraient sur un pied d’égalité.  Elle eut un petit sourire, contemplant  du coin de l’œil son œuvre.
Elle attendait la contre attaque, que ce soit de la jeune princesse ou bien du baron, se disant et l’espérant d’ailleurs, que ce qu’elle venait de faire permettrait au jeu de passer à la vitesse supérieur.



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