Touka continuait ses douces caresses sur la poitrine de la jeune femme quittant enfin les tétons pour pouvoir jouer avec les douces auréoles de la pauvre elfe, effleurant celle-ci avec une délicatesse que seule les femmes pouvaient maitriser, oui il y avait une grande différence de niveau entre Vlad et Touka. La terranide profitait d’ailleurs de sa position, ainsi dans le dos de l’elfe, elle avait le corps de la jeune elfe à son entière disposition. Mais elle prenait son temps. Après tout, il fallait profiter du fait qu’elle soit enfin de retour. Les oreilles de la jeune elfe furent sa seconde cible, elle attrapa doucement une des pointes avant de la mettre en bouche, suçotant celle-ci comme une douce friandise. Ses dents pointues, plus semblables à des crocs qu’à des dents d’ailleurs, mordillaient parfois celle-ci, laissant de petites traces, il n’y avait rien de définitif, jamais. Toutefois, le contraste des diverses sensations provoquerait sans doutes un effet dévastateur chez la jeune elfe.
Touka stop quelques instants ces tortures linguales avant de descendre vers l’oreille de la jeune femme, lui glissant à l’oreille d’une voix langoureuse quelques mots.
-tu peux m’appeler Touka, si tu arrive à dire autre chose que des gémissements…
En une seule phrase Touka venait de résumer ce que la jeune elfe vivrait durant une période indéterminé. Car oui, cela faisait trop longtemps que celle-ci se retenait. Mais il fallait la comprendre, elle venait d’un jeu ou le sexe était très important et c’était retrouvé en disette durant une trop longue période. Voila pourquoi elle était si… Sauvage, voir même bestiale. Le coté Térranide peut être ? Mais elle restait toujours maitresse de ses pulsions et jouait avec la jeune elfe comme un prédateur joue avec une proie avant de la dévorer. La métaphore n’était d’ailleurs pas si lointaine de la réalité, sauf que c’était d’un appétit purement sexuel dont on était entrain de parler pour l’instant, mais ce n’était qu’un détail.
Elle lacha finalement l’oreille et le sein de la jeune femme, plaçant un index sur la bouche de la jeune elfe pour que celle-ci ne dise rien. Elle prenait les choses en mains.
-Tu ne dis rien. Et tu te contente de me laisser faire. Compris ?
Elle frola doucement la jeune femme, son index la suivant dans cette petite course avant de se retrouvait devant elle. Les deux créatures étaient désormais face à face. Et il était facile de voir dans les yeux de la terranide que la suite serait sans doute très intéressante. Touka s’en léchait les lèvres d’ailleurs, et bientôt ce ne serais pas que les siennes qu’elle lécherait. Elle embrassa encore une fois la jeune créature. Un baiser doux, fin mais teinté d’une note animale très appréciable. Puis lorsqu’elle en eut assez, elle lâcha les lèvres de la jeune femme pour trouver un endroit tout aussi accueillant. Elle vint se placer sur la poitrine de la demoiselle.
La terranide alternait les sucions et les léchouilles sur la pointe dur comme le roc de la jeune femme, parfois même elle n’hésitait pas à passer un coup de langue sur l’alvéole, ou bien un petit coup de dent sur les seins gorgeait de désir de la jeune femme. L’autre, solitaire ne le serait pas pour très longtemps car déjà la main gauche de la créature rejoignait celui-ci, s’occupant de lui avec la même dextérité que la langue de Touka. Les deux seins étaient donc maintenant soumis aux gestes experts de la terranide qui jouait avec elle comme si elle avait fait cela toute sa vie. Oui, il n’y avait vraiment rien à voir avec les gestes un peu moins précis et délicats de Vlad. Mais l’entrainement faisait toute la différence.
En quelques minutes la jeune elfe semblait déjà vouloir en finir. Mais c’était justement loin d’être la fin, car maintenant la main droite de touka s’avancer vers les grandes lèvres de célania jouant avec son pubis et la mince toison qu’il s’y trouvait comme pour lui dire. Tu vois, ce que tu as vécut, ce n’était que la mise en bouche ma chérie. Maintenant on peut passer aux choses sérieuses. Ce qui allait être le cas, puisque la main de Touka touchait maintenant les grandes lèvres, passant dessus comme pour vérifier que tout état fin prêt.