Visitons la Terre ( pv célania)

Le dieu eut un petit sourire,  il n’avait pas vraiment prévus de l’amener sur  Terre, mais pourquoi pas,  Et bien d’accord,  il modifia le portail de tel façon a ce que celui-ci les conduisent sur terre. Mais  il faudrait par contre faire attention aux oreilles de la jeune femme  mais n’était pas un très grand problème  grâce a un couvre chef,  il serait assez facile de camoufler les si beaux appendices  de son aimée.

-Allons y,  la terre n’était pas la destination que je voulais te montrer, mais pourquoi pas après tous. J’espère que cela sera à ton gout, mais je te prévins,  la nature est bien moins préservé qu’ici ou sur terra.    Sofia, Ivan, Garet,  Vlad,  je vous souhaite une bonne chance, et une bonne continuation. 

Il prit la main de son amour avant de franchir le portail avec elle,  conduisant les deux êtres dans une petite ruelle de  La ville de Seikusu au japon.  Une ville assez fréquenté, et là ou l’on pouvait trouver tout et n’importe quoi.  Etrangement, tous ce qui avait de plus bizarre sur terre finissait  dans cette ville.    Mais ce n’était pas pour déplaire au dieu qui y voyait un fort potentiel.  C’était dans cette ville qui avait fait ses plus belles rencontres. Mais il se tourna vers la jeune femme.  Les immeubles géants entouraient  les quelques rares arbres malades qui étaient encore debout.   Il se tourna vers l’elfe avant de lui prendre doucement la main.


-Ca va ?  J’espère que cela ne te  fait pas trop un choc.


Il l’embrassa encore une fois sa  promise et lui caressa doucement la joue avant de la conduire dans un endroit un peu moins à découvert que cette sordide ruelle.


-Te voici sur la Terre, et c’est sur cette planète que ce trouve la casi totalité de mes fidèles.  Malheureusement,  la nature est assez malmenée ici… Enfin, j’espère que cela se passera bien.

Ce fut un choc pour Celania, tout avait l’air froid et mort.

- Ou… où sont les bois ? Comment est ce possible que ce monde parait mort.

L’elfe regarda tout autour d’elle… Des chars sans chevaux qui étaient sur des droles de roues et en plus couvert de métal.

- Qu’est ce donc ces chars mon amour ?

Le dieu s’y attendait,  malheureusement la Ville était comme cela pour le plus grand regret du dieu.  Et encore, il existait des Oasis de verdure, ce qui rendait fort heureusement la vie des habitants plus supportable.  Mais  cela n’empêchait pas que ce monde était quand même fort triste.  Le dieu caressa doucement le visage de l’elfe avant de lui dire.


-Le bois le plus proche se trouve à une dizaine de kilomètre de là,  toutefois, il existe des coins de nature un peu partout dans ce monde si terne.  Voila pourquoi  j’hésitais à te faire venir ici,  les Hommes, même s’ils commencent à faire de plus en plus attention à leurs environnement ont encore beaucoup de progrès à faire pour être en harmonie avec la nature.  Cela arrivera, tôt ou tard,  mais cela arrivera.  Et pour répondre à ta question,  mon amour. Ceci est une voiture.  Elle permet au être humain de  se déplacer sur de grand trajet.  Bien,  je pense que je vais te faire découvrir  un peu plus cette si étrange planète. 


Il lui prit la main avant de la conduire à l’intérieur de la ville.  La plus grande priorité était pour l’instant de lui acheter des vêtements pour  couvrir les longues oreilles de sa  chérie.  Remarqué,  au japon, le cosplay est bien plus rependu qu’ailleurs  ainsi, on ne leurs poseraient sans doute pas trop de question.  Le dieu s’arrêta dans une petite boutique de vêtement avant de sourire à son amour.


-   Nous allons trouvez ici de quoi cacher tes si jolies oreilles.  Profite s’en si tu veux pour faire un peu de shopping si cela t’intéresse. Tu peux prendre tous ce que tu trouve à ton gout.

 
Le dieu lui fit un grand sourire avant de la laissé regarder les vêtements. Si quelques choses lui plaisaient il lui prendrait et ne poserait pas de question.  En d’autre terme, la jeune elfe avait quartier libre pour dévaliser le magasin.

Du shopping, étrange mot, mais elle suivit le dieu dans son monde, ils se dirigèrent vers un passage entre deux tours recouverts de fenêtre et de métal. Même le sol était bizarre, très dur et très rugueux.

- J’ai peur… Ce monde n’a plus d’âme…

Une des sois disant voiture passa très vite et le vent dégageait par le passage décoiffa l’elfe et montra ses oreilles aux yeux de tous.

- Par Muse, cela va trop vite…

Elle ne remarqua pas que ses cheveux ne couvraient plus ses oreilles pointus.

Le dieu par contre l’avait remarqué.  Il avait remarqué que la jeune femme était totalement perdue et qu’elle avait ses oreilles à la vue de tous.  Il posa rapidement ses mains sur les oreilles de celles-ci  avant de l’embrasser fougueusement.  Cette action avait deux buts.  Le premier était  de rassuré l’elfe qui semblait terrorisé par cela. Et le second était bien sur camoufler les oreilles de sa chérie sans que cela paraisse suspect.  Il la blottit contre lui avant de lui glisser tendrement à l’oreille.

-Voila,  ce n’est rien mon amour d’accord.  Je suis là avec toi et je le serais toujours.  Je sais que j’ai étais trop rapide. Mais  désormais nous allons prendre notre temps.  Et  j’espère que tu me pardonneras.  Aller suis moi mon amour.  Mais avant laisse mon faire une petite chose.

Le dieu remit rapidement les cheveux de son amour à leurs places.  Heureusement personne n’avait dut  voir ce qu’il se cachait sous ceux-ci. Et si c’était quand même le cas, on les prendrait pour des fans  d’Heroic fantasy se rendant à l’une de leurs conventions de fou.   Il fit une petite pause devant la boutique de vêtement.  Il savait que normalement cela devrait  convenir à son épouse,  elle avait la possibilité de  choisir ce qu’elle voulait,  en espérant qu’elle veule bien  jouer le jeu.  Pour que la jeune femme comprenne bien les  règles de celui-ci. Le dieu lui glissa à l’oreille, prenant quelques temps pour caresser celle-ci.

-   Ecoute, je veux me faire pardonner,  ainsi je te laisse  la possibilité de choisir les vêtements que tu voudras. Tu n’auras qu’a me dire ce que tu veux, et je te le prendrais…

Vlad vint embrasser Celania et elle remarqua que c’était pour cacher les oreilles de la mage. Après, il remit les cheveux comme il faut.

- Merci mon amour, je ne suis pas à mon aise dans ton monde.

Ils avancèrent encore dans l’antre d’un endroit qui était très très éclairé par des torches au plafond. Des drôles de torches, pas de flamme, une magie bizarre.

- Je ne sais pas comme cela marche cette torche, je ne ressens aucune magie de cela.

Vlad lui proposa d’acheter des vêtements, mais drôle de vêtements. Les tuniques étaient trop courtes, les bottes étaient aussi trop courtes et les bas étaient une drôle de matière.

- Je ne connais pas ce genre de vêtement.

Le dieu aurait du s’en doutait,  bien sur qu’elle ne connaissait pas ce type de vétement, cela n’était à vrai dire pas très étonnant.   Il lui fit un grand sourire avant de lui dire doucement.

-Ne t’en fais pas,  je vais m’en occuper.  Tu me fais confiance ma chérie ?

Il l’embrassa une nouvelle fois avant de lui prendre la main et de l’amener dans les divers rayons du magasin.  Le dieu   était entrain de comparait les différentes matières,  cherchant tant bien que mal une tenue qui pourrait convenir à la jeune femme dans cet environnement pour ne plus qu’elle attire l’attention.  Il l’embrassa  une nouvelle fois,  un peu plus passionnément.  Avant de lui répondre  tranquillement.

-Ce sont des lampes ma chéries, c’est comme cela que l’on s’éclaire sur Terre.  Elles ont progressivement remplacé les bougies et les torches, car  les lampes ne produisent pas d’incendie,   elles sont  activées grâce a de l’électricité.  D’ailleurs, il faudrait que tu sache qu’ici, la magie n’existe presque pas.  La technologie fut la seule chose qui permit aux hommes de survivre ce qui explique pourquoi ce monde a perdu beaucoup de sa nature.  Bien, laisse-moi quelques minutes.  Je vais revenir.

Le dieu s’enfonça encore dans les rayons avant de revenir avec une longue robe de soirée noire ainsi qu’une série de divers dessous.  Il y avait normalement de quoi habiller la demoiselle, même s’il faudrait passer aux essayages pour en être sur.  Toutefois le dieu avait normalement l’œil pour ce genre de chose. Après tous, il était à 50% femme non ?  Il espérait juste que les sous vêtements ne déplaise pas trop à la jeune femme,  après tous, la soie et la dentelle sont deux choses que l’on trouve que peu souvent sur Terra.

-Bien ,  je voudrais savoir si tu veux bien essayer ce que je t’ai apporté, mais il y a des cabines pour  cela.  Si vous voulez bien me suivre mon Amour.

L’elfe resta un moment toute seule et elle vit les gens la regarder en tunique verte et ses bottes

* Que me veulent-ils ?

Vlad revint avec bout de tissus noir et des petites choses qui semblaient être des sous vêtements. Elle prit les affaires et se fit conduire dans une cabine d’essayage. Elle mit en tout dix bonnes grosses minutes pour se changer. Et elle ressortit un peu gênée car elle ne savait pas comment marcher avec les talons donnaient par Vlad.

- Alors ?

Le dieu la regarda, se contentant d’avoir la bouche ouverte. Aucun son ne pouvait sortir de sa bouffe… Elle était comment dire… Et bien.  Il  reprit ses esprits,  Célania lui avait demandé son avis et  il se devait de lui répondre  et il allait le faire,  mais il lui fallait quelques instants.


-Je ne sais pas quoi dire… Tu  es  resplendissante,  tu es magnifique,  éblouissante même.  Pour dire vrai je n’ai jamais vu  personne d’aussi  belle avant mon amour.  Je,  je n’arrive même pas à trouver mes mots pour te dire à qu’elle point tu es magnifique dans cette tenue.  Je pense que si muse avait une  incarnation, il y à de forte chance pour que tu sois celle-ci  ma déesse.


Il l’embrassa tendrement.  Oui, il la trouvait magnifique. Aussi belle que la lune, le soir d’été sous un ciel étoilé.  Et la   comparaison avec une déesse n’avait rien d’exagéré.  Il la trouvait magnifique dans toutes les tenues s’était  vrai,  mais cette longue robe noir la mettait tellement en valeur qu’il était difficile pour le dieu de penser à autre chose qu’à sa  femme…

Le dieu lui prit la main pour la soutenir, sachant que sans doute ses talons n’étaient pas vraiment un bon type de chaussure.  Il lui fit un grand sourire avant de lui demander.

-Dite moi, ma déesse,  voulez vous que j’essaye de vous trouver autre chose pour vos divins pieds. Ou bien  cela vous ira-t-il.

De toute façon, il serait la pour la porter si cela était un problème.  On est un chevalier servant ou bien on ne l’est pas…

L’elfe rougit.

- Merci… Je ne suis pas très sur que je sois à l’aise avec cette tenu.

Vlad resta aussi sans mot ce qui fait rire Celania

- Oui j’aimerais quelque chose de plus stable…

Elle enleva mais tomba pendant le mouvement et s’étala de tout son long et devant tout le monde…

- Par Muse, ces chaussures sont vraiment immondes.

Son arcade s’ouvra et par reflexe, elle commença ses gestes de soins. Que va faire Vlad ?

Le dieu la stoppa  dans son geste en la relevant doucement,  il lui avait pourtant dit que ce genre de magie était   inexistant sur la terre.  Alors pratiquer la magie était un peu comme s’offrir une place d’office dans un bureau gouvernemental  pour une dissection gratuite.  Il la prit doucement dans les bras avant de dire à haute voix.

-Rien de casser ma chérie ?  Si tu veux je peux t’amener à l’hôpital pour que l’on soigne tes blessures… 


Cela devrait suffire pour que la jeune femme ne continue pas son arcane,  ce n’était pas très grave et elle ne risquait rien, même s’il s’était fait du souci pour la jeune femme lorsqu’il la vit tombé. Il  alla donc rapidement rechercher une autre paire de chaussure pour celle-ci. Espérant que celles-ci lui conviennent mieux. Il s’agissait de petite ballerine bien plus adapté à la vie citadine que des talons, de plus l’absence de semelle permettait que la jeune femme soit à l’aise sans pour autant l’alourdir.  Il lui fit un grand sourire, enlevant les talons de sa femme et lui enfilant les ballerines d’un geste rapide et doux,  en profitant au passage pour effleurer  ses si longues jambes.  Après tous, il avait le droit de jouer avec elle aussi non ?  Mais pas trop, il n’y avait trop de monde pour l’instant.

-Bien, ma chérie, je vais payer tes nouveaux vêtements, tu veux accompagné ? Ou bien tu préfère voir s’il y à quelque chose d’autre qui te plait.  Crois-moi, tu pourrais bien trouver ton bonheur si tu recherche un peu.  Après, c’est à toi de voir mon amour.

Celania mit sa main sur son arcane un peu ensanglanté pour cacher la blessure, elle avait un peu oublié, ici pas de magie. Mais c’était un reflexe, elle suivit Vlad à travers les différents rayons de ce « magasin ». Une petite fille stoppa Celania alors que Vlad avança un peu plus loin.

- Madame pourquoi vous saignez ?

L’elfe sourit à la jeune fille qui avait de drôle de vêtements aussi.

- Ce n’est rien du tout, je suis juste tombée. Tu es toute seule dans se magasin ?

La petite fille repartit sans rien dire. L’elfe fut un peu étonnée de voir cela.

*Bon ben tant pis.

Elle rattrapa Vlad grâce à ses nouvelles chaussures, courir était plus facile.

- Mon amour attend moi.

Ils arrivèrent devant une dame qui tenait une drôle de chose sur le comptoir. Celania fit assez haut

- Qu’est ce donc cette chose ?

Le dieu l’observa quelques instants, voyant que la plaie continuait de saigner, ce n’était certes pas grand-chose,  mais il faudrait quand même que la soigner pour éviter que celle-ci s’infecte.  Il lui sourit doucement avant de lui dire.

-Ceci est une  caisse mon amour,  c’est ici que l’on règle les achats que l’on à fait.  Bien,  ta plaie n’est pas profonde, mais nous soignerons quand même cela toute à l’heure. Tu veux bien ?

Il sourit doucement à la caissière avant de sortir une liasse de billet. Il était pressé et l’argent n’était pas un problème,  et vu la somme qu’il y avait, il y avait largement de quoi  couvrir les frais du au vêtement, il sourit donc à la demoiselle avant de lui dire.

-Gardez la monnaie, nous avons trouvez exactement ce qu’il  nous fallait. La robe de mon épouse  ainsi que deux  trois bricoles. Je pense que cela devrait suffire.  Pouvons-nous y aller maintenant.

La caissière hocha la tête   permettant au deux amoureux de sortir. Ainsi, lorsque ce fut fini, le dieu embrassa encore une fois sa chérie avant d’imposer sur son front un petit jouet.  Du moins pour la majorité des mortels c’était un jouet, une baguette bariolée de couleur comme ce que l’on offre aux enfants. Mais pour le dieu c’était un outil fort précieux,  la plaie de la jeune femme avait comme disparut, comme si elle n’avait jamais existé. Et il avait bien fait attention à ce que personne ne puisse  les observait.  Il l’embrassa encore une fois avant de lui dire.

-Dit moi, je t’ai dit a quel point je te trouvd séduisante dans cette tenue mon amour ?

L’elfe fut au paradis d’entendre les compliments, mais elle ne souriait pas, elle avait beaucoup trop mal à la tête. La plaie n’était pas profonde mais elle saignait beaucoup quand même.

- Comment va-t-on me soignait sans magie ?

Celania commençait vraiment à ne pas aimer la Terre. Ce monde était sans âme et sans vie.

- Vlad pardon de pas m’habituer à ton monde, mais je m’y sens pas à l’aise, rentrons voir tes enfants. S’il te plait, on recommencera une prochaine fois. Pardon.

Le sang commençait à couler à travers ses doigts et l’elfe commençait à avoir des vertiges.

- Faut que je m’assois sinon je vais tomber encore.

Le dieu ne fut pas surpris, il était normale que la jeune femme ne se sente pas à l’aise ici.  Elle avait besoin de soin et assez vite pour éviter que celle-ci  ne fasse un malaise. Il lui prit doucement la main, posant l’outil qu’il venait de prendre de sa poche  il y avait quelques instant pour la poser sur l’arcade de la jeune femme.   Ce qui stoppa le saignement et referma celle-ci.  Il n’aimait pas voir cela… Il n’aimait pas la voir souffrir et s’était pour cela qu’il  avait fait cela.  Il ne s’agissait pas d’un sortilège très voyant, et grâce au pouvoir qu’il avait dans ce monde cela n’était pas très difficile. Il la prit dans les bras, pour la portée et éviter que celle-ci ne se fasse encore plus mal.  Elle avait raison sur un point, il était temps pour eux deux de rentrer.


-Ne t’en fais pas mon amour, nous rentrons.


Le dieu la porta comme une princesse durant une bonne dizaine de minute, évitant ainsi que celle-ci ne  tombe encore une fois. Et il ouvrit le passage vers son monde. Il franchi rapidement le portail la jeune femme dans ses bras,   il était de nouveau au palais de crystal. Loin de la ville et de son atmosphère polluait.  Il fit un grand sourire à son amour. L’embrassant encore une fois avec toujours un peu plus de passion.


-Nous voici à la maison mon cœur. Mais je pense qu’il faudrait mieux que tu te repose.  Au moins quelques heures, j’ai soigné ta blessure, mais tu as perdu beaucoup de force entre   la démonstration pour Sofia et tout à l’heure. Donc je Veux que tu te repose compris ?

Il continua à la porter jusqu'à la chambre conjugale,  voila. Ici elle ne risquait plus rien.  Il  la déposa tendrement sur son lit. La laissant un peu récupérer…