Le dieu contrairement a elle était encore habiller ce qui expliquait pourquoi la jeune femme venait d’utiliser ce sortilège, pour qu’il puisse apprécier la douce sensation du massage de la jeune femme sans pour autant avoir besoin de se déshabiller. Ou peut être que ce n’était pas voulu, qu’elle avait juste choisi cela pour lui faire plaisir, quelques soit la raison le dieu semblait apprécier, il n’y avait pas de mal a cela non ?
Vlad répondait au baiser de la jeune femme, à la fouge, il contrattaqué par la fouge, si bien que les chaste baiser de départ était devenue une véritable ode a la sensualité, les lèvres appelant les lèvres. Leurs deux langues dansant à l’unisson de cette chanson si merveilleuse. Les mains dut dieu quand a elles venait de quitter le visage de la jeune femme pour s’arrêter sur la nuque de celle-ci, ses ongles passant avec délicatesse sur la peau de la jeune femme, la frôlant juste ou bien restant quelques fois un peu plus longtemps sur cette nacre. Son corps commençait à réagir comme celui de la jeune femme, et une bosse commençait à apparaitre a travers son pantalon, mais il s’en moquait, il profitait de l’instant présent.
-Je t’aime.
Deux mots. Deux mots pourtant si important. Car ce sont ces deux mots qui vous pousse a vivre, sans amour, nous ne sommes rien. C’est l’amour le plus puissant des soins. C’est l’amour qui vous pousse tous les jours a vous lever. C’est l’amour qui finalement est le moteur de se monde. Physique ou non, ce n’est pas le plus important. Ce qui l’était, c’était que quelque soit la forme qu’il prend, que ce soit celui d’une mère, d’un ami, ou celui de sa femme, l’amour rien qu’a lui seul fallait la peine de vivre. Voila pourquoi le dieu se sentait vivant.