Un peu plus tard durant l'entretien, le téléphone sonna et l'interlocuteur fit soupirer le majordome.
-- Mademoiselle vous allez faire beaucoup de soucis à vos parents.
*Allons bon... Qu'a-t-elle fait la petite chipie ?*
-- Mademoiselle Ishikawa, le collège m'a appelé, il semblerait que vous n’ayez pas à l'attendre devant établissement, car mademoiselle a encore prit la liberté de s'absenter des cours, comme à son habitude, elle va aller dans le centre commerciale dans l'une des boutiques que la famille Shushu possède, puis faire un tour dans le parc.
*Ecole buissonnière ? Tiens tiens, ça me rappelle quelqu'un...*
-- Libre à vous de vouloir la chercher, mais il serait plus sage pour vous de rester à l'attendre.
Chikako réfléchit alors...
-- Hum... Non... Non, le mieux à faire est que je revienne ce soir. Je suis au lycée, j'ai pris une dispense que pour ce matin, pas pour la journée entière. Je vous laisse alors, et je rapplique après la sortie du bahut.
Elle prit congé, et alla suivre ses cours, impatiente que la journée se termine pour rencontrer la mignonne.
[Le soir]
Sitôt après la fin des cours, elle alla à la maison des Shushu. Elle sonna à la porte et attendit qu'on vienne lui ouvrir. Le majordome vint lui ouvrir.
-- Bonsoir mademoiselle Ishikawa. Mademoiselle Shushu s'est cloitrée dans sa chambre... Je vous souhaite bien du courage...
Après avoir été invitée à entrer dans la maison, Chikako se dirigea vers la chambre de la petite Yume. Elle frappa à la porte puis parla à travers la serrure, à voix basse, après s'être assurée que le majordome ne puisse l'entendre.
-- Salut nenette. C'était bien rigolo ce que t'as fait ce matin... Tu sais ? Me soulever la jupe... J'ai adorée ça ! Laisse moi entrer, qu'on fasse connaissance... On fera plein de choses toi et moi, je suis sûre.
Elle afficha alors un sourire pervers.
-- On va bien s'amuser, mignonne. Fais moi confiance !
Elle s'imaginait déjà avec elle, toutes les deux nues, en faisant des choses peu avouables... Mais pour cela fallait-il déjà que la demoiselle lui ouvre, ce qui, apparemment, ne serai pas gagné...