Ma queue tremble quand je vois la petite souris en position de soumise à mes pieds, alors que je devinais qu'elle était clairement en train de faire un dilemme des plus désagréable et dégradant pour elle, dans sa petite tête de souris. Ceci était d'autant plus vrai pour elle, lorsque je l'y ai vu se dégager de ma prise sur sa grande oreille de souriceau, ce qui a eu pour effet de me faire glousser en retour. Je comprenais parfaitement que de devoir accepter de trahir les siens dans le but de sauver ses petites fesses de soumise, en échange d'accepter mon offre en concluant celle-ci par sa soumission sexuelle envers moi, devait avoir quelque chose d'assez moralement dérangeant. Mais c'était exactement le but que je recherchais et c'était ça qui m'excitait tout particulièrement. J'adorais jouer avec le principe du moralement douteux, quand cela était possible. Faire plier mes proies à toutes mes volontés et les faire accepter de se livrer avec bassesse et soumission, allant parfois jusqu'à remettre leurs convictions les plus profondes en jeu. Aussi je gémis de longue satisfaction, quand je vois cette trainée accepter mon offre en allant me baiser le gland, juste avant de se mettre ensuite à le lécher de façon très coquine avec sa jolie langue de perverse.
- Oui, c'est bien ma jolie petite souris. Je savais que rien n'était plus gratifiant pour toi que de te faire baiser par les mâles comme moi. Je te l'avais dis, tu es né soumise et tu mourras comme telle. Personne ne peut lutter contre le jeu de l'abandon au désir.
C'est dans un sourire malsain qui se dessinait parfaitement sur ma gueule, que je caressais de nouveau la tête de Noa. Tandis que mon gland se mettait de plus en plus à réagir à chaque fois qu'il y passait sa délicieuse langue de souriceau en plein dessus, il finissait ensuite par prendre mon bel engin dans sa bouche. Je ressens alors une importante décharge électrique en plein sur mon pieux, dès que la coquine se met à le gober et à y pousser lentement sa tête en avant. C'est tout en continuant de gémir avec satisfaction, que je laisse la trainée s'amuser avec ma queue qui était en train de subir toute sa pleine attention. Plusieurs fois je la sentais se contracter, tandis que je me suis mis à placer mes mains au niveau de mon bassin pour y admirer le profond spectacle aussi dégradant que désirable, pour la petite trainée qui se tenait juste à mes pieds. Après plusieurs gémissements de ma part, celle-ci finit au bout d'un certain temps par arrêter de me pomper la verge pour venir lentement lécher l'ensemble de l'instrument. Elle était particulièrement douée, malgré sa lenteur apparente. Et plus ça allait, plus ma bite et ma queue lupine se mettaient à me donner la sensation de durcir encore plus fort. Je récompense ainsi la petite trainée en la gratifiant de légers tapotements sur la tête en guise d'humiliation et de satisfaction en même temps, tandis qu'elle se transformait de plus en plus en une chienne en chaleur, prête à tout pour recevoir ce qu'elle aimait le plus au monde. Nul doute qu'elle cachait bien son jeu. Ou pas tant que ça, après tout...
- Coquine. A peine on se rencontre, que te voila déjà à mes pieds en train de me tailler une pipe. Je crois qu'on va bien s'entendre tous les deux. Crois-moi, tu ne regretteras pas d'avoir pris la bonne décision en te soumettant à moi. N'est-ce pas ma jolie?
C'est tout en le sentant alterner de plus en plus les rythmes et les pressions faites à mon manche qui n'attendait que ça, que je gratifie une fois encore la chère petite souris qui semblait particulièrement adepte à l'avilissement. Je devais d'ailleurs reconnaitre que la voir maintenant si peu habillée, avec sa petite bite tellement en érection et attente d'être elle aussi satisfaite, avait quelque chose de profondément plaisant. Et c'est tandis que Noa me lèche la veine juste sous le dessous de mon gland, que je sentais mon manche tressaillir de plus en plus. Nul doute que je ne tiendrais pas longtemps avec une telle bouche comme la sienne.