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Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

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Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 30 dimanche 29 décembre 2019, 18:50:47

Quand même vexé par le commentaire de la petite à lunettes, Camille essaie de se donner bonne contenance, avec cette pose qu'il veut plus féminine. Mais le danger de vient pas de là. Plutôt de la plus grande des trois. « Elle est vraiment moins féminine que moi, celle-là, même en tenue d'étudiante ! ». Comme muselée par les deux autres, mais plus perspicace, avec un regard perçant, qui parle pour elle. Heureusement qu'elle semble sous la coupe de la plus petite, car, livrée à elle-même, elle en serait inquiétante.

En plus, il y a ces regards entre elle et Lissandre, comme une sorte de complicité, comme si elles préparaient un coup ensemble. Ca dérange Camille, qui, s'il a déjà réussi à renvoyer l'attention du trio sur l'enveloppe charnelle de latex de son bonbon rose, va devoir davantage ruser. Pendant qu'il réfléchit, la dénommée Maki semble se faire vraiment mettre à mal par ses copines. « Bien fait pour toi, tu n'avais qu'à te mêler de tes affaires ».

Mais la situation prend une tournure imprévisible. La petite et la sportive s'en vont brutalement, laissant Maki comme livrée à elle-même. Et elle a le regard de plus en plus fixé sur la jupe en cuir. « Pourquoi a-t-elle dit que j'avais fait des efforts ? ». C'est comme si Lissandre avait provoqué une situation qui échappait à tout contrôle. Camille la regarde, mais elle ne semble pas inquiète. « Tu as oublié un détail, ma chérie ». Et Camille pousse le curseur à fond, se souvenant même que, dans cette position, il y a un bouton dit « boost » qui, pendant trois secondes, multiplie par deux les vibrations.

Ca devrait déstabiliser Lissandre, et perturber ces échanges de regards entre elle et Maki. Aussitôt à la suite, Camille ramène le curseur à zéro. « Je vais en garder pour la suite, ma chère Lissandre ; c'est tellement plus excitant de te tenir en haleine ». Excitant, c'est le mot. Excitation même. Sans changer de posture, Camille réalise que son sexe a augmenté de volume, et qu'il pourrait, malgré la jupe en cuir, interpeller des regards aussi avisés que ceux de Maki.

D'ailleurs, celle-ci fait un pas vers lui. Elle en impose, c'est sûr. Même si son gabarit peut lui donner une allure, elle a, dans cette tenue, quelque chose de particulier. Mais, fi de ces considérations aimables, Camille imagine plutôt la vision horrible de Maki plaquant sa grande main sur le devant de sa jupe, confirmant ses doutes, et presque s'emparant de son sexe à travers le cuir. L'horreur de tous ses efforts réduits à néant!
« Et Lissandre, dans tout ça, elle fait quoi ? »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 31 lundi 30 décembre 2019, 18:01:36

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°16

Camille recommence. L’œuf reprend du service et, pendant un moment, Lissandre croit qu’elle ne va plus tenir. Que ses jambes vont la lâcher et qu’elle va tomber les fesses par terre. Mais non, la punition cesse.

*Car c’est de ça qu’il s’agit, n’est-ce pas Camille ? Tu me punis de te mettre autant en lumière. Toi qui a passé tous tes moments de femme uniquement de nuit. En fait, c’est le stress qui te fait jouer avec ce bouton. *

Elle respire. Elle reprend contenance. Bien, l’œuf semble s’être calmé. Deux étudiantes sur trois sont parties et il reste la dernière. Maki la géante. Maki qui a deviné avec plus de clairvoyance l’état de Camille. L’étudiante à lunette parait intelligente mais ce n’est pas elle la plus futée des trois.

*Continuons donc à jouer, Camille. Voyons comme tu vas réagir à cette nouvelle malice ! *

La réalisatrice manque trébucher et se rattrape in extremis à Maki. La géante se retourne. Son attention détournée de la jupe en cuir. Lissandre prétexte une faiblesse passagère. Elle ne comprend pas et elle remercie l’étudiante géante.

*Tu penses être sauvé, Camille ? Tu crois que j’ai manœuvré en ta faveur ? Peut-être même que tu crois qu’il y a un problème avec l’œuf et qu’il continue à vibrer ? *

Pour ajouter à la confusion, elle porte la main à son entrejambe. Puis elle s’adresse à Maki.

« Est-ce que ça te dérangerait de m’aider à retourner dans ma chambre ? Mon hôtel n’est pas loin et, avec ta carrure, je me sentirais rassurée si je devais tomber à nouveau. »

Maki : « Euh, c’est que »

« Tes amies comprendront. Pour le moment, il est plus sage que tu les laisses. Tu verras, elles t’appelleront bientôt pour avoir des tes nouvelles. »

Lissandre lui sourit. Puis elle lui redemande si elle veut bien l’accompagner jusqu’à sa chambre d’hôtel.

Maki : « C’est d’accord. Euh, moi c’est Maki. »

« Bonjour, Maki. Moi, c’est Lissandre. Et encore merci de m’aider. Je ne sais pas ce qui m’a pris. »

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 32 mercredi 01 janvier 2020, 08:48:29

Camille regarde, interloqué, la scène qui se déroule sous ses yeux. Il en oublie même la télécommande. Lissandre est une réalisatrice, elle sait mettre en scène. « C'est quoi, ça ? Elle prend le bras de l'autre, et elle se met la main à la chatte ! ». Camille sent monter en lui une soudaine jalousie.

Statufiée, Camille voit, sur le visage de Lissandre, ce sourire qu'il ne croyait qu'à lui. « (…) m'aider à retourner dans ma chambre (...) », les mots de Lissandre sont clairs. Camille blêmit, incapable du moindre mot, du moindre geste.

Elle allait faire de lui une femme, une actrice. Elle allait enfin mettre en haut de l'affiche Camille, sa nouvelle Muse, avait-elle même dit. Et là, voilà qu'elle prend le bras d'une potiche !

Camille regarde Maki, la détaillant pour la première fois. Des japonaises d'un tel gabarit, c'est rare. En plus, elle a de la poitrine, c'est aussi rare par ici. Et il faut admettre que, quand on a des formes, la tenue d'étudiante met en valeur. Bien plus que le petit roquet à lunettes qui l'accompagnait, ou que la filiforme sans féminité qui était là aussi.

Oui, c'est ça ; Lissandre se jette sur la première bête de foire, qui lui donnera la renommée. « Ah ben, c'était pas mal parti, avec un mec déguisé en nana » ; il y avait de quoi faire de l'audience. « Oui, en fait, quel genre d'audience ? Je ne lui ai jamais demandé quel était son plan ».

Mais là, elle a trouvé mieux, une japonaise hors critères. « Un grand gabarit dont elle fait déjà ce qu'elle veut ». Même pas besoin de lui parler caméra, celle-là est docile. « Tiens, maintenant que je l'ai bien excitée avec mon œuf vibrant, elle pourra même filmer cette Maki en train de lui lécher la chatte, gros plan d'une langue de géante sur une combi en latex rose juste ouverte où il faut. Voilà pourquoi elle vient de se toucher la chatte ! Moi, je suis déjà oublié ».

Il met la main à la poche, bloque la télécommande sur OFF, son excitation soudain retombée.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 33 mercredi 01 janvier 2020, 09:38:05

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°17

Elles arrivent toutes les trois devant le love hôtel. A l’intérieur duquel se trouve la chambre de Lissandre. La première réaction ne se fait pas tarder. C’est l’étudiante géante.

Maki : « Euh… »

La réalisatrice est d’humeur à jouer. Elle sait qu’elle manipule les limites avec l’étudiante. Honnêtement, elle n’est pas certaine qu’elle est la force mentale nécessaire pour aller au bout de l’expérience. Si c’était le cas, ce ne serait pas grave. Car Camille est sa Muse. Maki est une figurante. Mais pour en revenir à elle, si elle décidait de rester sur le pas de la porte, elle aurait tout de même bénéficiée d’une expérience pour gagner en confiance en elle.

« Un problème, Maki ? »

Maki : « C’est que, c’est un love hôtel. Et je ne suis pas… »

« Pas assez âgée pour entrer ? Pas assez belle pour m’accompagner ? Pas quoi, Maki ? »

Elle baisse la tête. Elle rougit. Mais avec sa grande taille et ses gestes lourds, impossible de ne pas remarquer sa gêne.

Maki : « Je ne suis pas lesbienne. Je vous trouve très jolies. »

Elle tourne son visage vers Camille et ajoute :

Maki : « Toutes les deux. Vraiment. Il ne faut pas écouter mes cop- »

Elle hésite. Elle ne sait plus si les deux autres étudiantes sont vraiment ses amies. Et Lissandre considère ça comme une victoire.

« Tu vois, Camille, je t’avais dit que tu étais très jolie. »

Lissandre lui sourit. Depuis la rencontre avec les trois étudiantes, l’œuf est resté silencieux. Tout comme Camille en fait.

« Maki, tu ne dois pas avoir honte. En fait, si tu ne veux pas m’aider à monter dans ma chambre, il n’y a aucun problème. Du moins, il n’y en a pas pour moi. »

Le « bonbon rose » de Camille tourne son attention vers cette dernière. Et elle lui pose la question :

« Est-ce qu’il y a un problème pour toi, Camille ? Au sujet de Maki, j’entends. »

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 34 jeudi 02 janvier 2020, 19:38:30

Camille les regarde, à la fois déçu et inquiet. Il ne parvient plus à imaginer la suite ; dumoins se dit-il que la suite qu'il avat pensée, est à l'eau. « Mais quelle suite, au fait ? Elle n'allait que me filmer ? Avec cet œuf, n'aurait-elle pas eu d'autres idées ? »

Camille sent passer l'image, très brève, où sa tenue très féminine fait écho à la combinaison de latex rose. « Je ne l'ai vu que comme réalisatrice, mais c'est aussi une femme ». Et repasse l'image de leurs deux corps dans la chambre du love hôtel.

Ce love hôtel qui semble poser problème à la nouvelle venue ! Mais, ce qui sidère Camille, c'est de l'entendre dire « Je ne suis pas lesbienne (...) ». Camille était persuadé qu'elle avait découvert son secret, et voilà qu'elle lui renvoie le contraire.

« Lesbienne ? Pourquoi elle dit ça ? Elle croit à un plan cul à trois, ou quoi ? On partait pour une séance vidéo hors du commun, et voilà où ça part ». Mais, quand soudain Maki pose ses yeux sur lui, il fond ; elle a un de ces regards, à la fois doux et brillant, aux antipodes de ce que sa silhouette avait inspiré à Camille.

Lissandre a compris la faille, elle a dû voir Camille désarmé ainsi. Elle est d'une intelligence hors du commun, très observatrice, très réactive. Cela détend Camille ; « Faut que je me calme ; après tout, elle mène tout depuis le début, je dois lui faire confiance ».

Après tout, elles ne sont que trois femmes qui discutent dans la rue. Qui pourrait savoir qu'elles ont en projet de se retrouver dans une chambre d'un love hôtel ? « Allez Camille, tu as une opportunité ; à deux ou à trois, quelles que soient les idées de Lissandre, ne la laisse pas partir ! »

Alors, quand Lissandre lui demande tout miel « Est-ce qu'il y a un problème pour toi, Camille ? » ajoutant même « Au sujet de Maki, s'entend », Camille ne réfléchit pas une seconde. « Un problème ? Mais voyons, Lissandre, c'est toi qui décide ; je te fais confiance ».

Puis, regardant Maki à son tour : « Aie confiance, Maki. Lissandre est un bonbon rose hors du commun. Je ne la connais que depuis peu, mais je lui fais toute confiance. Alors, fais-en de même, et je suis sûr que tu sera comblée au delà de ce que tu imagines ».

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 35 samedi 04 janvier 2020, 06:56:24

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°18

« Bonbon rose ? J’aime beaucoup ce surnom. Merci ! »

Et Lissandre colle un bisou sur la joue de Camille.

Les trois femmes rentrent dans le love hôtel. Lissandre en tête, elle prend un escalier qui l’amène dans un couloir. Sans ralentir ni hésiter, elle se dirige vers une porte… rose.

« Logique, n’est-ce pas ? »

Elle sourit à Camille et Maki, compose son code et la porte s’ouvre. Elle rentre et invite d’un geste ces deux compagnes à faire de même. Elle découvre alors l’endroit où Lissandre dort depuis quelques jours. Un endroit qui l’inspire à écrire, à réfléchir et à créer pour ses futures productions pornographiques.

Au centre de la chambre se trouve un lit de forme circulaire. C’est sur celui-là que la réalisatrice décide de s’asseoir en tailleur. Les coudes sur ses jambes, et les joues dans sans mains : elle décide de ne rien dire et de laisser Camille et Maki s’imprégner des lieux.

Dans un coin de la pièce se trouve une grande armoire avec une vitre. On peut voir à l’intérieur une énorme peluche blanche. Ce pourrait être un jouet énorme pour un enfant si ce n’était la boule bâillon, les menottes de cuir, les chainettes ou encore les pince tétons.

Dans un autre coin de la pièce, assez bizarrement se trouve un piano rose aux touches blanches. Il y a un petit banc juste en face des touches. A y regarder de plus près, on voit des marques étranges au-dedans. Comme si c’était une ouverture cachée. Comme si le compartiment plein en dessous la banquette dissimulait des surprises…

De l’autre côté se trouve un grand bureau rose. Dessus traîne plusieurs choses. Notamment la caméra et tout le matériel pour filmer. Il y a aussi des cahiers gribouillés de la jolie écriture très arrondie de Lissandre. Sans compter un ordinateur portable ouvert mais en veille. Qu’apparaitrai-il dessus si Maki ou Camille le sortait de sa mise en veille ?...

Enfin, au-dessus du lit sur lequel Lissandre est assise, se trouve une autre peluche. Cette dernière est assise sur une balançoire. En suivant des yeux les câbles au plafonds, on découvre que la balançoire peut descendre. Donc, en enlevant la peluche, quelqu’un (quelqu’une plutôt) pourrait y prendre position et… se retrouver à la merci d’une autre enchaînée ? Ou tout simplement aller d’avant en arrière comme un enfant. Après tout, les japonais sont étranges. Tout est possible.

Et « Bonbon rose » qui ne dit toujours rien. Mais toujours avec ce sourire malicieux et ces étoiles qui pétillent dans ses yeux.

*Bonbon rose. Ce pourrait devenir mon nom professionnel ? *

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 36 dimanche 05 janvier 2020, 07:08:01

De recevoir un bisou de Lissandre sur la joue, Camille en est tout retourné. « Oh, ma Lissandre, je te suivrai au bout du monde. Demande-moi n'importe quoi, et ta Muse le fera pour toi ».

Même plus le moindre ressentiment envers Maki, elle n'est qu'un objet que Lissandre utilisera, au contraire de Camille, sa Muse, qu'elle magnifiera.

Et, le coup de grâce, c'est quand le réceptionniste du love hôtel les gratifie d'un « Bonjour Mesdames ». Camille s'en amuse même ; ce gros vicelard doit regarder ses fesses onduler sous la jupe en cuir, alors il en rajoute, maîtrisant soudain très bien la marche sur talons hauts. Nul doute que ce pervers ira se branler dès qu'il pourra. « Mon pauvre bonhomme, si tu savais ce qu'il y a sous ma jupe... ». Peu importe, c'est comme l'ultime verrou qui saute. « Je suis une femme, pour tous, et surtout pour toi, Lissandre ».

Quant à elle, Lissandre ne semble pas se soucier de l'individu, comme si elle ne se doutait pas qu'être ainsi moulée de rose attirerait les regards aussi. « Tiens, elle avait besoin de Maki pour la soutenir, et voilà qu'elle court presque dans les escaliers ! ».

Ces escaliers qui offrent à Camille d'admirer pour la première fois le galbe fessier de Lissandre, « Elle est juste parfaite, j'espère qu'elle saura aussi s'offrir à sa Muse ».

Et aussi de découvrir pour la première fois le galbe fessier de Maki, « Elle en impose, mais pas sûr qu'elle soit aussi réservée que ça ».

Ces découvertes ne sont rien face à la stupéfaction de Camille, lorsqu'il entre dans la chambre de Lissandre. Il en reste bouche bée, juste capable d'un « Oh ! » admiratif. « Une bonbonnière pour un bon rose » songe-t-il.

Camille n'avait jamais vu de tels lieux. Rien que ce lit rond, qui trône tel le cœur de tout, Lissandre posée dessus telle un bijou dans un écrin. Camille la regarde, elle a à la fois ce côté femme enfant et ce regard malicieux, comme un mélange d'innocence et de sensualité. Presque de lubricité, avec tout ce que ce mot englobe d'intensité. Presque que de perversité même, positivement bien sûr, car le cerveau de Lissandre doit être occupé à imaginer mille et une situations.

Et des situations, il pourrait s'en créer ! Camille reste longtemps à regarder le gag ball et les menottes, et tous les petits accessoires ; il en a si souvent rêvé, mais il a toujours eu peur de se trouver livré à quiconque, homme ou femme d'ailleurs, qui pourrait abuser de la situation au delà de l'admissible.

Il voit aussi le regard de Maki comme bloqué là. « A quoi pense-t-elle ? Ferait-elle usage de sa force ? ». Il ne peut imaginer que Maki découvre un tel univers, qui n'existe que dans l'imaginaire des étudiantes japonaises, et dans les dessins qu'on cache sous l'oreiller.

Tout comme il s'étonne de ne pas trouver le moindre accessoire rappelant le membre masculin. Etrange! Il en existe tellement, de formes, de tailles, de couleurs, qu'une chambre de love hôtel devrait en être pourvue. Et, vu comme Lissandre a su trouver l'œuf vibrant "Hum, ce serait le moment de la surprendre!" au milieu de ses propres sextoys, elle ne peut ignorer cela.

Tout est comme fait pour Lissandre ici, dont la seule présence de la caméra indique qui fait quoi, et même ce qui pourrait s'y passer. Camille reconnaît les feuilles gribouillées, avec élégance contrairement à ses notes griffonnées, et aussi l'ordinateur à côté.

« Regarde-t-elle des films porno banals, pour dire ça oui, ça non ? Ou ai-je enfin trouvé celle qui pense autrement, qui pense comme moi ? Oui ben, je me voyais metteur en scène, et là me voilà presque actrice. Tu te rends compte, Camille, où tu te mets ? ».

Pourtant Camille rêve de découvrir le secret de cet écran, mais non ; c'est Lissandre qui décide, chaque chose en son temps.

Chaque chose, même les plus incompréhensibles. Que peut faire un piano là, en plus dans une chambre dédiée au sexe, et même avec un tabouret bizarre qui ne colle pas ? On dirait comme un de ces trucs où on range le non-présentable, au point que Camille croit presque y déceler les boucles d'un harnais de strapon.
 
Et celle espèce de balançoire, que fait un truc pareil dans une chambre rose, où il y a plus souvent des ébats que des jeux d'enfant, Pourtant, il doit y avoir une raison, mais mystère, d'autant plus qu'elle semble avoir une sorte de télécommande, avec des câbles pour la descendre.

Les miroirs sur les murs en seraient presque rassurants, mais ils renvoient aussi l'expression du visage de Maki. « Je ne suis pas lesbienne », avait-elle dit. Pourtant, elle est venue, elle est enfermée dans cette chambre. Elle a semblé fascinée par les menottes. Pour les mettre ou les recevoir ?

Camille essaie de percer ses sentiments. Elle semblait comme soumise à la petite étudiante à lunettes. Mais là, « Avec les doutes qu'elle semble avoir eus sur moi, je me demande ce qu'elle est capable de faire. Lissandre l'a-t-elle choisie pour en faire ce qu'elle veut envers moi? ».

Les yeux de Maki, après avoir manifesté la surprise de la découverte, semblent sans cesse aller d'un endroit à l'autre, d'un accessoire à l'autre, comme pour tout mémoriser, comme pour tout imaginer. Elle n'est plus vraiment la petite étudiante docile et méprisée.

Il y a même un décalage incroyable, entre une réalisatrice moulée de rose avec un œuf vibrant entre les jambes, une femme élégante cachant un secret sous sa jupe de cuir, une étudiante en uniforme désuet dont les pensées demeurent mystérieuses. « Eh, mais c'est Lissandre qui mène la danse ».

Camille la regarde, les yeux dans les yeux : « Je comprends pourquoi tu voulais venir ici, c'est juste sublime. Je suis toute à toi », lui dit-il, plus féminine que jamais, fièrement dressé sur ses talons, les jambes un peu écartées, les mains sur les hanches, la menue poitrine gonflée autant que possible. Et, la fixant plus intensément encore : « à toi de faire de moi ta Muse », comme par provocation, par défi, mais surtout par envie.
« Modifié: lundi 06 janvier 2020, 06:41:23 par Camille l'ambigu(e) »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 37 dimanche 12 janvier 2020, 10:04:07

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°19

C’est évident que Camille adore la chambre du love hotel. Et Lissandre en est très contente de cette réaction. Si elle se sent bien ici, il va pouvoir se dérouler des choses incroyables.

Avant de lui répondre, la réalisatrice observa Maki. L’étudiante semble découvrir un nouveau monde. Ce qui est intéressant, c’est que ce n’est pas de la peur qui transpire de ses pores. Ce n’est pas non plus des doutes qui pourrait faire trembler ses mains. Non. Maki est curieuse de cet endroit. D’ailleurs, et Lissandre sourit de ce choix, l’étudiante géante décide de s’asseoir en face du piano.

*Sait-elle en jouer ? *

Mais la réalisatrice revient à sa Muse. Elle oublie la géante et les surprises cachées à l’intérieur du siège en face du piano. L’action pour plus tard. La conversation pour maintenant.

Elle est assise en tailleur sur son lit rond en plein milieu de la chambre. Camille est debout dans sa tenue féminine, les mains sur les hanches. Pourtant, c’est toujours la réalisatrice qui contrôle le cours des événements.

« Je suis très heureuse que tu adores cet endroit. Comme tu le peux voir, cette chambre m’a déjà donné beaucoup d’inspiration. »

Lissandre faisait référence à ses carnets remplis de son écriture manuscrite. Mais également de son ordinateur.

« Cette tenue que tu portes fait déjà de toi ma Muse. Tu t’es déjà transformée pour moi. Maintenant, il va falloir que tu trouves tes desseins. Il va falloir que tu passes à l’action. »

Bonbon Rose quitte sa position en tailleur. Elle avance sur le lit et se retrouve au bord, assise comme on peut imaginer un samurai devant son maître.

« Mais pour que tu passes à l’action, il te faudrait faire preuve d’initiative personnelle. Mais, comme tu m’as demandé de faire de toi ma Muse, ça veut dire que tu attends de moi des directives. »

Sa main droite passe dans les ténèbres que forme ses deux jambes repliées. Son corps se cambre vers l’avant, en équilibre sur sa main gauche posée sur le matelas. Le bruit d’une ouverture indique que la main droite est en train d’ouvrir la fermeture éclair. Les portes qui retenaient l’œuf s’ouvrent.

*Sens-t-elle mon odeur ? Est-ce que mon sexe a une odeur puissante ? *

« Et pour te donner ces directives, j’ai besoin d’en savoir plus sur toi. J’ai besoin de savoir ce que tu as déjà expérimenté avec ton corps. »

Ses doigts récupèrent l’œuf. Bonbon Rose le montra à sa Muse. Il y avait une substance qui reliait l’œuf à ses doigts. De la mouille. Du jus d’excitation.

« J’ai envie de savoir ce dont tu rêves. J’ai envie de connaître ce pas que tu n’as jamais osé faire toute seule. »

Sa langue vint laper la surface de l’œuf.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 38 vendredi 14 août 2020, 07:28:39

« J'ai envie de savoir ce dont tu rêves. J'ai envie de connaître ce pas que tu n'as jamais osé faire toute seule. »
Lissandre est directe, comme à son habitude. Ses yeux, fichés dans ceux de Camille, ne lui laissent plus aucune échappatoire.
Et sa langue, goûtant sa propre mouille, le trouble, l'excite même. Il sent, sous ses habits féminins, sa réaction masculine. Il se doute que Lissandre doit s'en amuser.

Mais, pire encore, il devine le regard de Maki, posé juste là où la jupe de cuir, trop ajustée peut-être, le trahit.
« Je ne suis pas lesbienne », a-t-elle dit. Elle pourrait donc apprécier cet appendice viril ! Et, de voir la langue de Lissandre parcourir l'oeuf, il songe que la langue de Maki pourrait parcourir son gland ainsi.

Oui, voilà ! Un trio, où Lissandre s'occupe de sa féminité, et où Maki s'occupe de sa masculinité. Les images les plus indécentes défilent dans sa tête. Il se voit prendre Maki, tandis que Lissandre le prend en même temps, tout en filmant leurs ébats.

Non ! Il n'est pas là pour ça, elle ne veut pas ça. Elle est sortie femme pour la première fois en plein jour, elle est venue ici femme invitée par Lissandre, avec Maki qui pourrait servir de jouet sexuel, mais non, pas ça non plus.

Camille tergiverse ; c'est Lissandre la réalisatrice, mais elle lui demande d'écrire le scénario. Trop facile de se défiler ainsi ! Elle dirige, suggère, décide, ordonne, jusqu'à définir le lieu, et là, une fois sur place, se défile !

Elle va devoir assumer, continuer à diriger... seule !

Camille se penche, sans un mot, ses yeux fixés dans ceux de Lissandre, et, sans jamais détourner le regard, approche à son tour sa langue jusqu'à goûter le parfum dont l'oeuf est oint. Un choc ! Une senteur, une intensité, une suavité, la plus belle preuve que Lissandre appréciait la situation.
Puis, sans quitter son regard, Camille dépose la télécommande sur le lit, s'empare de l'oeuf encore tout imprégné de ce mélange de mouille et de salive, se relève, se dirige vers Maki.

L'étudiante a compris dès la première seconde, et son visage passe par toutes les couleurs. Camille s'en amuse ; malgré sa taille, la géante est capable de paniquer.
« Maki, tu n'es pas lesbienne, as-tu dit. Mais tu ne vois aucune objection à prendre ceci, n'est-ce pas ? », lui lance-t-elle malicieuse. Avant d'ajouter : « Tu sais ce que c'est et tu sais t'en servir, je n'en ai aucun doute. Alors, mets-le ! »

Sans même attendre la suite, Camille se dirige alors vers l'armoire à vitrine, l'ouvre, piquant la boule bâillon à l'ours en peluche.
Puis, regardant Lissandre, la toisant même du regard : « N'est-ce pas toi, mon délicieux Bonbon Rose, qui filme, donc qui décide ? Alors, je vais mettre ceci, pour ne jamais dire non à tout ce que tu décideras. Et je ne l'enlèverai que sur ton ordre ».

Joignant le geste à la parole, Camille ajuste la boule à ses lèvres, passe les lanières autour de sa crinière rouse, et, d'un discret clic, les ajuste.
Jamais, elle n'avait fait cela, si ce n'est dans ses rêves, par crainte d'un amant soudain dangereux. Mais là, elle a toute confiance, et est vraiment prête à tout.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 39 dimanche 16 août 2020, 11:52:27

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°20

La surprise étreint Lissandre. Elle ne s’attendait pas à un tel retournement de situation !

*Mais c’est que j’adore ce qui se passe ! *

Un sourire remplace alors des yeux grands ouverts surpris. Son visage se tourne vers Mali qui a rattrapé l’œuf grâce à ses réflexes de basketteuse. Sport devenu en vague depuis l’avènement du manga Slam Dunk. Merci Takehiko Inoue !

Lissandre e encore des « blocages ». Elle n’avait rien prévu de concret. Depuis le début, elle fait ce qu’elle adore : elle improvise et créer en même temps qu’elle dirige. De cette façon, elle a le contrôle tout en étant également spectatrice de ces décisions (inconscientes).

« Maki. Cet œuf est sale, tu devrais commencer par le nettoyer. Prends exemple sur moi et Camille. Utilise ta langue. »

Lissandre donne un sourire malicieux à la géante qui ne parvient pas à retrouver sa couleur blanche de peau. Elle est tellement rouge qu’on pourrait se demander si elle ne va craquer et se mettre à pleurer. Pour le moment, Maki a levé sa main pour observer cet œuf dégoulinant de mouille et de salive. Elle le regarde comme si c’était un objet mimique qui allait ouvrir une gueule garnie de crocs.

Bonbon Rose regarde ensuite Camille qui ne peut plus parler. Elle lui sourit aussi. Une pure expression de satisfaction et de plaisir anticipé. Ses yeux glissent sur les beaux habits féminins et s’arrête sur la bosse qui déforme sa jupe noire. Puis Bonbon Rose remonte pour fixer ses yeux dans ceux de sa délicieuse victime de la journée.

« Camille. Je t’adore ! Si tu savais à quel point tu me fais plaisir en ce moment précis ! Hi hi ! »

*Mais qu’est-ce que je vais te demander ? Qu’est-ce qui te ferait secrètement plaisir ? Qu’est-ce que tu voudrais faire mais qui aurait besoin de préparation ? Tu m’intrigues tellement ma Camille ! *

Sa main glisse vers la télécommande et actionne le bouton de l’œuf qui se met à vibrer. On entend Maki pousser un cri de surprise. L’œuf s’envole dans les airs mais elle le rattrape avant qu’il ne tombe.

« Maki. Il me semble que je vais devoir sévir… »

Son passé de bourgeoise ressort. C’est bien entendu un acte de comédie mais l’étudiante géante est malléable à souhait, pousse un nouveau petit cri de peur et sa langue sort très vite de sa bouche pour commencer à nettoyer le jouet qui a vibré.

« Ensuite, tu mettras cet œuf au chaud comme Camille te l’a si gentiment demandé. Merci, ma belle géante. »

*Camille Camille Camille. Tu m’as perturbée ! Tu es tellement pleine de possibilité et de potentiel mais mon cerveau bug ! *

Lissandre se lève sans rien dire. Elle va chercher sa caméra et la pose de sorte à ce qu’elle filme le profil de Camille.

« Ne bouge pas, Camille. Je prépare le cadre. »

Une fois satisfaite après avoir vu l’aperçu dans le petit écran de la caméra, Bonbon Rose se dirige vers Camille. Elle se place juste devant elle et la regarde intensément. Elle aime voir les expressions sur les visages. C’est la seule manière de savoir ce qui se passe. Car elles ne sont pas dans un manga où on peut lire les pensées.

Ensuite. Ensuite Bonbon Rose se met à genou. Son visage se retrouve en face de cette jupe noire déformée. Elle renifle. Elle renifle fort pour que Camille l’entende. Bonbon Rose veut que Camille sache qu’elle renifle son odeur intime. Puis des bisous commence à être distribué sur ses jambes. Qui remontent petit à petit. Les doigts de Bonbon Rose faisant petit à petit remonter la jupe. Petit à petit exerçant une pression sur ce membre dressé et dur…

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 40 lundi 17 août 2020, 23:08:04

Lissandre se veut scénariste, metteuse en scène, réalisatrice. Eh bien, il va falloir qu'elle assume, qu'elle dirige, qu'elle ose !

Camille réalise qu'il, ou plutôt elle, se met à la merci d'autrui pour la première fois. Oui, elle et non pas il. Pourtant, cette situation lui procure l'érection qu'une femme ne peut avoir. A avoir choisi cette jupe très serrée, finalement, cela risque de laisser de moins en moins de doute sur sa vraie nature.

« Pourvu que Maki ne s'en rende pas compte ! »

Pourtant, vu le contexte, il sait que ses habits risquent de le quitter, et que la réalité se dressera au grand jour.

Heureusement, Maki est occupée à se demander ce que c'est que cette chose ronde. Serait-elle aussi innocente de n'avoir ni perçu les effluves, ni vu d'où elle sortait ?
Un bref rappel à l'ordre de Bonbon Rose suffit à éclaircir ses idées, et Camille voit la langue de la géante commencer à s'appliquer sur cet arrondi, un joli arrondi sous une langue qui tourne. L'image lui renvoie sa propre sexualité, refoulée mais réelle, ce souvenir de langues qui ainsi parcourent un gland, parfois sa langue sur celui d'un autre, parfois la langue d'un ou d'une autre su son propre gland.

Pourtant, il se refuse d'imaginer la géante offrir la même succion à son sexe. Elle n'est pas aussi sexy que Lissandre, qui plus est aussi délicieusement moulée de rose. Elle a une forte carrure, elle est plus grande que lui, elle pourrait le briser en morceaux. Mais, en même temps, elle semble aux ordres de Lissandre... qui pourrait s'en servir contre...

Le cerveau de Camille s'enflamme plus encore. Et si Lissandre n'avait fait venir Maki que pour s'en servir comme d'un jouet malléable envers sa Muse ? Camille réalise ne vraiment rien connaître de Lissandre, si imprévisible, si troublante, si diabolique peut-être.

« Je suis dans sa chambre, avec toutes sortes de trucs, sans pouvoir m'échapper, avec une nana à qui elle peut ordonner de me briser. Camille, quelle idée stupide t'a piqué ? »

Pourtant, l'érection de Camille ne faiblit pas, bien au contraire. Il bande, elle est en feu. Si Maki n'a peut-être pas réalisé, Lissandre le sait, le provoque par sa position agenouillée, par ses baisers d'une douceur incroyable, mais diablement excitants.

Un homme ordinaire aurait sorti son sexe pour le fourrer sans ménagements dans la bouche de Lissandre. Mais Camille n'est pas un homme ordinaire, du moins pas là, pas devant cette caméra dont il n'a plus peur.

Sa jupe, rien qu'un peu remontée par Lissandre, comprime un sexe durci qui ne demande qu'à se redresser. La posture devient de plus en plus intenable. Il sait que la caméra filme cette déformation. Il sait que son image sera gravée, peut-être même diffusée.

Mais, Camille, elle s'en fout. Elle sent le feu partout en elle. Elle a envie de hurler des obscénités, mais elle s'est bâillonnée elle-même.

Lissandre croit la tenir à sa merci avec ses baisers. Eh bien non ! Sans s'éloigner de la chaude proximité de Lissandre, Camille pivote un peu, juste un peu, juste pour que l'arrière de sa jupe s'offre à la caméra, juste pour, alors que son sexe tend l'avant de la jupe que Bonbon Rose a malicieusement remontée, insister un peu à remonter davantage l'arrière de la jupe afin que la naissance de ses fesses nues s'offre à la caméra.

« Eh oui, Lissandre, même si tu décides, j'offre pour la première fois mes fesses à une caméra. Comme ça, tu les immortaliseras innocentes avant que ton scenario ne les transforme... »

Camille a perdu tout sens du rationnel. « Lesbiennes » a dit maki. « Mesdames » a dit le réceptionniste. Camille est désormais une femme dont le gag ball témoigne de la soumission aux folies de Lissandre.

Il sera toujours temps que la caméra revienne sur ce membre qui, à défaut d'être viril, traduit d'abord l'excitation du moment. Nul doute que Lissandre a encore mille tours dans ses notes pour augmenter l'intensité du moment...
« Modifié: samedi 22 août 2020, 22:09:15 par Camille l'ambigu(e) »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 41 mercredi 19 août 2020, 09:24:02

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°21

Camille pense décider de quelle partie de son anatomie la caméra fixera pour l’éternité. C’est sans compter les intentions et le caractère de son Bonbon Rose !

*Ça y est. Je commence à discerner un fil rouge ! C’est l’heure de jouer : hi hi ! *

Lissandre se relève et observe Maki qui semble confuse et perdue. L’étudiante va avoir besoin d’une leçon en live. Elle a besoin de conseils et de schémas visuels. Bonbon Rose sera donc la professeure de cette dame ! Et Camille ? Camille sera bien entendue le sujet !

« Maki, Maki, Maki… Ça ne va pas du tout, tout ça. Tourne ton attention vers moi et écoute. »

Le doigt de Lissandre passe en-dessus le gag ball. De la salive a forcément commencé à couler en-dessous. Elle la récupère et s’en délecte en regardant bien droit dans les yeux de Camille qui ne peut rien répondre. Elle lui sourit malicieusement puis retourne son attention vers la géante aux joues rouge.

« Maki. Observe bien où l’œuf doit aller et comment tu dois procéder. »

Les mains de Lissandre se posent sur les épaules de Camille. D’un geste délicat, elle l’invite à tourner à 180°. Ce n’est donc plus les fesses que va filmer la caméra : mais sa jupe très distendue par une pression de plaisir !

« Camille va pencher son corps vers l’avant. Sa jupe va donc remonter et tu vas pouvoir réaliser une première chose. »

Normalement, Camille devrait répondre à l’ordre. Dans ce cas, Maki va assister à un premier fait : Camille ne porte pas de culotte. De ce fait, plus de rouge envahi le rouge de ses joues. Elle ne pensait pas qu’une personne pouvait se promener en pleine ville où il y a tant de monde sans lingerie intime. Mais cette idée lui en donne des idées… Elle s’imagine retourner en cours… sans petite culotte. Et cette idée fait palpiter son cœur.

« J’ai l’impression que je t’ai perdu, Maki. Reviens vers moi et observe la suite. »

Subitement, Lissandre crache sur ses doigts. Doigts qui commence à aller et venir sur la fente entre les deux fesses de Camille. Cette dernière a normalement du faire l’effort de serrer les jambes et de faire en sorte de ne pas montrer sa verge tendue à l’innocente étudiante.

« Il faut préparer l’anus, Maki. Il faut le caresser avec amour. S’il nécessite de longues minutes pour être dompté, il faut prendre le temps. Tu vois, je commence par juste des caresses. Et de temps en temps, je tente de rentrer un doigt. Comme ça ! Hi hi ! Tu devrais essayer en même temps que je m’occupe de Camille. »

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 42 samedi 22 août 2020, 22:07:21

« Maki, Maki, Maki... ça ne va pas du tout », voilà que l'attention de Lissandre est encore perturbée par cette cruche. Oui, une cruche ! Pourquoi avoir embarquée une telle innocente dans l'aventure ? Camille ne comprend pas, et, même si elle n'a nul doute sur l'esprit inventif de Lissandre, elle ne saisit pas comment Maki va soudain se délurer. Sans oublier qu'une pointe de jalousie continue de poindre, et même de demeurer...

C'est pourquoi le doigt de Lissandre sur le gag ball la saisit, et ça ne peut que se voir dans ses yeux, fixés sur son Bonbon rose, comme hypnotisés. Elle connaît Lisandre depuis si peu, mais ne saurait rien lui refuser. « Quoi qu'elle me demande, je le ferai », songe Camille, avec quand même un certain effroi. Et elle est sure que Lissandre le sait !

Toujours pareille à elle-même, toujours maitrisant avec finesse, toujours pétillante du regard, Lissandre joue des deux invitées, et Camille ne sait plus si elle est l'héroïne ou le jouet. Le jouet, oui ! Camille ne résiste pas, et se retrouve face à la caméra. « Oh, mon Dieu, que voit-on dans le viseur ? Que va faire Lissandre de ça ? Que dira-t-on de moi ? »

Instinctivement, elle resserre ses jambes. Mais cela a pour effet d'autoriser davantage d'ampleur à la jupe, et de laisser encore moins de doute sur le membre qui se tend au dessous. Lissandre le sait, Maki doit s'en douter. Mais qu'en sait-elle cette innocente ? A-t-elle déjà imaginé qu'un attribut viril pouvait se dissimuler sous une tenue féminine ?

Mais, en matière de virilité, celle de Camille ne semble plus que se limiter à ce pieu qui continue de distendre la jupe, tandis qu'elle obéit, comme machinalement, aux injonctions de Lisandre, se courbant vers l'avant, approchant son visage si féminin de la caméra, maintenant ses jambes serrées au maximum pour cacher l'élément le plus visible de son excitation.

Hélas, elle ne peut plus rien pour dissimuler ses fesses ! Elle sait le regard de Lissandre, elle devine le regard de Maki. Elle s'en voudrait presque d'avoir choisi une jupe si courte, que rien que se pencher offre la vision plus intime. Jambes pourtant resserrées, Camille sursaute au doigt de Lissandre qui se pose doucement sur sa raie fessière. Elle se tortille même, comme pour éviter l'intrusion, mais sa verge gonfle encore, trahissant la réalité de son ressenti.

« Il faut préparer l'anus (…) de temps en temps, je tente de rentrer un doigt », Camille a l'impression d'être un objet d'étude, devant des étudiantes en anatomie. En éducation sexuelle, plutôt ! Réflexe de pudeur, Camille tente de tenir ses fesses fermées, mais le doigt de Lissandre est à la fois doux et insistant. Et surtout, il est exactement ce dont Camille a envie. Il n'oublie pas sa verge dressée, elle a envie que ses fesses soient découvertes, explorées, utilisées, comblées.

L'oeil de la caméra est le témoin privilégié. Au travers de ses yeux mi-clos, Camille sait que tout, oui tout de son abandon, sera en images. Son abandon, en effet, ne fait aucun doute ! Elle mord de plus en plus le gag ball, sa salive en coule, son corps en tremble. Sans le moindre lien, sans la moindre contrainte, avec le plus total consentement, Camille sent son anus s'entrouvrir.

« Oh, mon Dieu, si je ne retiens pas ça, ce sera trop tard ! ». Pourtant, courbé en avant, soumise passive, elle ne réagit plus. « J'ai comme l'impression que mon cul est en train de se tendre vers ce doigt ! »

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 43 mercredi 26 août 2020, 18:08:37

Film ou réalité ? [avec Camille l'ambigu(e)] – réponse n°22

« Hi hi hi ! Tu vois, Maki ? L’anus de Camille vient d’avaler mon doigt ! »

Preuve en était que Camille prenait son pied. Lissandre avait déjà si hâte de regarder les vidéos de ce qui était en train de se passer. Elle avait tellement envie de faire le tour de Camille et de voir les expressions passées sur son visage. Ce devait être savoureux. Jouissif, même !

Mais elle était réalisatrice. Elle avait un rôle à jouer et des actrices à diriger.

« Maintenant qu’un doigt est entré, la suite doit être naturelle. Et, quelle est-elle cette suite, je te pris, Maki ? »

L’étudiante était rouge. Très rouge ! Les jambes écartées, elle passait sa main sur sa culotte. De temps en temps, elle se caressait. Les autres temps, elle retirait sa main comme si elle n’avait pas le droit de faire ça. Comme si c’était une faute de le faire devant des étrangères. Mais Lissandre souriait. Ce genre de sourire chaleureux et en même temps qui n’excluait pas la manipulation. Mais avec Lissandre, on se laissait aller. On découvrait ses passions qu’on avait refoulé derrière des murs qu’on construisait soi-même.

« J’attends une réponse, Maki. Bien entendu, tu peux laisser ta main où elle était. Et, pour informer Camille, sache que notre grande Maki se caresse en regardant tes fesses aspirer mon doigt. »

Elle jouait avec Maki. Elle jouait avec Camille. Elle jouait de cette relation entre les deux femmes. Jalousie ? Complicité ? Excitation ? Peur ? Que se passait-il dans la tête des deux femmes ? Lissandre aurait adoré avec le pouvoir de lire dans les pensées. Ou de pouvoir lire cette aventure dans un manga ! Cette pensée la fit sourire encore.

Maki : « Euh… Un deuxième doigt ? » dit-elle avec beaucoup d’hésitation et d’un mélange de peur à l’idée que c’était peut-être elle qui allait provoquer cette action.

« BINGO ! Bien joué, ma grande ! Camille, tu es prête ? »


Le deuxième doigt glissa contre le premier. Premier étant toujours dans le fondement de Camille qui ne savait plus si elle était femme ou homme.

« Et que se passera-t-il si le deuxième doigt rentre, ma grande Maki ? »

Maki : « Euh… Un troisième ? » dit-elle avec un peu plus d’entrain tandis que sa main ne quittait plus sa culotte.

« Tu apprécies, Camille ? Parce que je te trouve bien silencieuse. Oups ! J’avais oublié que tu ne pouvais pas me répondre : Hi hi ! »

Camille l'ambigu(e)

Humain(e)

Film ou réalité? (PV Lissandre Verrières)

Réponse 44 lundi 27 décembre 2021, 09:59:44

Camille perd pied, ou plutôt se concentre, ou finalement a trop de concentration à avoir.

Camille, l'homme, dont la verge tendue lui rappelle qu'il a deux femmes à disposition dans une chambre fermée, une perverse moulée de rose, et une géante qui se caresse en matant. « Que fais-tu, Maki ? Pourquoi Lissandre t'a amenée ici ? ».

Camille, la femme, qui rêvait de sentir son fessier apprécié et possédé, mais pensait aux va-et-vient d'une queue vigoureuse, et non à des doigts qui l'écartent de plus en plus. « Quelle idée as-tu en tête, Lissandre ? As-tu déjà en tête un de ces olisbos ? »

Un instant, fugace seulement, lui vient cette vision d'être à la fois l'homme qui possède l'une des deux, et la femme qui reçoit l'autre. Tout se mélange, rien n'est sous contrôle. Pourtant, il pourrait maîtriser, s'imposer en mâle. Il a les mains libres, mais c'est comme si elles avaient perdu toute velléité, tant le cerveau est occupé par ailleurs.

Camille est femme, est femelle, se cambre.
Camille est objet, jouet, soumise.
Lissandre a anéanti toute ses réserves.
Lissandre manie aussi bien la douceur que la perversité. Son deuxième doigt a rejoint le premier avec une facilité déconcertante, qui trahit combien l'anus de Camille est déjà ouvert.

Ouvert et indécent, offert à la caméra. « J'ai honte ! ». Seule pensée prude, au milieu d'un torrent de tremblements. Camille voudrait maîtriser, se dit que cette vidéo pourrait être vue partout, mais son corps refuse de réagir.

Pourtant, la peur est là ; le deuxième doigt de Lissandre n'était qu'une étape, le troisième risque d'arriver, peut-être davantage encore.
A peine le temps d'entendre "Camille, tu es prête?" que ce deuxième doigt est entré "comme dans du beurre", une expression soudainement très adaptée.
Camille l'homme rêvait de sentir un homme peser sur elle, aller et venir, mais craignait que cela ne devienne trop violent, que l'individu ne s'emporte, la déchire.
Et là, sans aucune pudeur, elle s'offre à deux doigts.
Et là, en toute impudeur, elle s'offre à davantage.

"Tes mains sont libres. Si ça dérape, tu peux réagir". Dans un sursaut presque inespéré, le cerveau de Camille garde néanmoins une once de lucidité. Il ne doit pas prendre le risque de ne plus rien maîtriser. Entre une folle sans limites, et une géante peut-être violente, il convient de rester lucide, sans se priver du plaisir.


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