Arillé était encore toute chose. Sentir cette cravache lui arracher des cris et des gémissements l’avait mise dans un état comparable à une pute des bas-fonds de Nexus, ce qui n’était pas au goût de sa Maîtresse. Cette dernière mit sa chose sur le dos. Toujours attachée et donc dans l’incapacité de se donner un quelconque plaisir, elle subissait les délicieux sévices que lui imposait l’Elfe Rouge. Ainsi elle se retrouva nez à lèvres avec l’entre-jambe de la dominatrice, cette dernière, comme pour l’humilier d’avantage, la marquait de sa cyprine avant de lui intimer l’ordre d’user sa langue.
Doucement Arillé embrassa le fruit gorgé de désir qui lui était présenté, vénérant le sexe de sa maîtresse comme s’il s’agissait de celui d’une divinité. Elle était sa servante, et ne vivait que pour honorer la déesse qui la chevauchait. Elle cherchait avant tout à prouver sa dévotion, tout en prenant son temps. Un peu trop au gout de sa Maîtresse qui la rappela à l’ordre en barbouillant sa figure de ses fluides intimes. Arillé se mit finalement au travail, léchant, lapant, aspirant et suçotant l’entrejambe de sa maîtresse. Elle y mettait tout son cœur à l’ouvrage, si bien que la blondinette était comblée. Bien sûr elle avait terriblement envie de ressentir du plaisir, sentir ne serait-ce que le bout des doigts de sa bien aimée effleurer à peine sa misérable chatte. Tinuviel avait d’autre projets, s’adonnant pour le moment à son propre plaisir, elle était en train d’écraser le visage de sa soumise, la faisait manquer d’air, mais pas assez pour la mettre en danger. Se redressant un peu, Tinuviel pouvait voir le maquillage d’Ariller couler sur sa figure, lui donnant un air de trainée, ce qui allait particulièrement bien au personnage.
Aussitôt elle se remit au travail, subissant les diverses tortures que pouvait lui infliger Tinuviel. Ce manège dura un petit moment, une éternité pour la pauvre soubrette, jusqu’à ce qu’elle arrive à faire en sorte que sa maîtresse d’abandonne à son plaisir. Barbouillant son visage une nouvelle fois, la pauvre petite chose avait encore la langue pendante et des yeux de chienne battue.
« Pitié Maîtresse, c-cette esclave n’en peut plus… P-Pourrait elle se… Se… faire d-du bien ? » Balbutia t’elle.
Afin de la « récompenser » (ou plutôt de la torturer un peu plus) Tinuviel exhaussa ses prières, frottant doucement la cravache contre son intimité, de quoi la faire frissonner d’avantage. Cependant, elle n’avait visiblement pas envie de lui faire plaisir. Si bien, que lorsqu’elle suppliait Tinuviel d’avoir l’autorisation de s’abandonner au plaisir, l’elfe rouge s’arrêtait tout simplement, savourant les gémissements plaintifs et les râles de sa salope. Tinuviel l’avait totalement sous son emprise pouvant la torturer à sa guise pour faire redescendre un peu la pression. Après tout, il s’agissait de sa période de bon temps, Arillé n’était qu’un jouet, elle se devait donc de tout faire pour lui faire plaisir. Ainsi continua t’elle à caresser et atteindre le septième ciel, laissant sa trainée dégoulinante être torturée. Peut-être d’avantage, car Tinuviel avait été très claire, elle était bien décidée à partager son nouveau jouet à ses compagnes. N’est-ce pas là une épouse formidable ?