Le trio formé par Tessia, Ayumi et Alice se laissait pleinement aller. Mélinda avait laissé à Ayumi le soin d’explorer le fondement de Tessia, même si ce n’était, pour elle, que partie remise. Quelle chance Mélinda avait-elle eu ! Alice avait le don de trouver des personnes exceptionnelles. Qui aurait cru ce matin, que, en l’envoyant chez cette femme, dont elle avait trouvé les coordonnées sur Internet, elle reviendrait avec une succube primordiale ? Mélinda pouvait sentir toute la puissance de cette femme. Son sang bouillonnait dans ses veines, et Tessia ne réalisait sans doute pas à quel point le don qu’elle lui avait fait était précieux. Alice, quant à elle, avait évidemment joui vite, car c’était sa première fois... Et, quand on était dans la même pièce que Tessia-senseï, qu’Ayumi, et Mélinda, se retenir de jouir relevait du miracle. Elle avait donc balancé la sauce dans la bouche de Tessia, mais, preuve qu’Alice était encore toute excitée, sa verge, même si elle perdit en intensité, resta relativement dure. Tessia la bascula ensuite un peu, et se mit à utiliser ses lourds seins pour masturber la verge d’Alice, qui posa ses mains sur sa tête.
« Haaaa... Haaaaa... !! »
Comment est-ce qu’elles pouvaient supporter ça ? Le plaisir qu’Alice ressentait en ce moment était terrible, et c’était encore mieux maintenant... Ses doigts se déplacèrent pour se saisir des cornes de Tessia, sans appuyer trop fort. Elle avait peur de lui faire mal, mais, visiblement, Tessia avait l’ait de bien aller, et Alice, elle, avait besoin d’un appui. Tout ça, tout ce plaisir, c’était simplement... Trop. Tendu et assoiffé, son membre se dressait, et émettait dans son corps des vibrations de douleur et de souffrance. Maintenant, elle comprenait vraiment ce que signifiait la frustration, et elle comprenait beaucoup mieux la violence sexuelle d’Ayumi, pourquoi elle était si ardente et si grossière. Toute cette frustration, ça lui donnait envie de... D’hurler, de vociférer, de prendre Tessia, et de la faire hurler, de la sentir couiner, de partager sa souffrance ! Voilà clairement ce qui la tentait, et c’était ce qui l’agitait en ce moment. Cette douleur, cette souffrance qui remuait dans son corps, dans ses entrailles... Mais elle se retenait de jouir, en gémissant, les joues toutes rouges, tant il était agréable de sentir son sexe, cette queue tendue, remuer entre les seins de la femme. Le combat était perdu d’avance, car elle couchait avec une succube, une puissante succube... Ce qui n’empêchait pas Alice de vouloir résister aussi longtemps que possible. Résister... C’était bien le seul mot valable pour décrire la situation dans laquelle elle se trouvait en ce moment.
Quant à Ayumi, elle était dans une autre optique : elle pouvait défoncer le cul de Tessia, et, en un sens, elle se vengeait aussi un peu pour la leçon de morale qu’elle avait subie de la part de Tessia. Lui défoncer le cul était merveilleux, et elle comptait bien continuer.
« Oooohhh... T’en fais pas pour ça, Tessia... Hummm... Un cul comme le tien... Putain, ce serait criminel de me lâcher si vite ! »
De toutes les partenaires possibles, les succubes étaient vraiment les meilleures. Ces dernières étaient insatiables, belles, et puisaient de l’énergie sexuelle pour retrouver de la vitalité. Partant de ce principe, les épuiser était théoriquement impossible, mais ce n’était pas ça qu’Ayumi cherchait en ce moment. Malgré son air bourrin, elle vivait depuis longtemps au harem, et, en conséquence, elle savait comment les choses marchaient. Il fallait impressionner durablement Tessia pour que cette dernière soit plus encline à coopérer par la suite avec Mélinda. C’était ce à quoi Ayumi s’appliquait précisément en ce moment. Sa queue remuait dans son corps, d’avant en arrière, une queue tendue, assoiffée, une superbe verge qui ramonait son cul. Cet espace étroit était magnifique, et, parfois, Ayumi pinçait le cul de Tessia, ou donnait de petites tapes, tout en continuant à remuer son corps d’avant en arrière.
Elle gémissait, soupirait, se tortillait, mais ne jouissait pas encore... Car, contrairement à Alice, elle, elle avait de l’expérience, une forte expérience qui lui permettait d’endurer ce qu’elle avait en ce moment.
Mélinda, de son côté, n’en était pas à sa première expérience sexuelle avec un robot. Même si Tessia lui avait assuré que Cortana n’était pas une machine, qu’elle était plus compliquée que ça, Mélinda avait, sur ce point de vue, une opinion simpliste. Pour elle, cette créature informatique était un robot. Elle avait déjà couché avec des robots, donc, et avait même, à son harem, une délicieuse Gynoïde, qui ne faisait quasiment que du sexe, jour après jour, sans interruption, n’ayant pas besoin, en effet, de se reposer.
« Haaa... !! »
Cortana se tordait sous elle, et ne tarda pas à hurler, tout en baragouinant des séries de phrases. Mélinda ne l’entendait pas, elle-même concentrée à la pénétrer, son corps remuant lourdement, sa queue s’enfonçant profondément en elle, en décrivant des mouvements larges et amples. Cette femme avait un corps magnifique, et la baiser ainsi était, pour Mélinda, un plaisir profond et intense. Elle remuait donc tout contre elle, faisant couiner et craquer le lit.
Quand Cortana se mit à jouir, Mélinda sentit la cyprine affluer tout autour de sa verge. Mais la femme continuait à paniquer, et Mélinda, en soupirant, l’embrassa alors, plaquant ses lèvres sur sa bouche, mains sur chacune de ses joues, et elle se serra contre son corps, pour un gros baiser. Ses lèvres se retirèrent ensuite, et elle posa un doigt sur sa bouche.
« Il y a un temps pour parler, Cortana, et un temps pour agir... »
Le temps de parler, Mélinda avait ralenti le rythme, et son regard croisait celui de la femme.
« Parfois, il faut juste lâcher prise, et ne pas chercher à comprendre. Le sexe est juste le sexe, rien de plus... Inutile de vouloir l’analyser, le diagnostiquer, ou le décortiquer, contente-toi de vivre et de savourer ce moment... »
C’était aussi simple que ça, et elle retira son doigt de ses lèvres... Puis recommença ses coups de reins.