Tessia était une succube primordiale, ce qui était suffisant sur n’importe quel CV pour faire d’elle une perverse grandeur géante.
Mélinda, quant à elle, était une vampire qui dirigeait un harem de luxe depuis plusieurs siècles, et qui, si elle pouvait enfanter, aurait probablement donné naissance à quelques milliers d’enfants, de quoi peupler tout un petit pays.
Autant dire que la rencontre entre ces deux monolithes de sexe produisait des étincelles, et était à l’origine de la situation actuelle. Une belle orgie, avec deux groupes relativement distincts, mais qui, tous les deux, avaient pour lien commun Tessia. La version d’origine, la Succube, jouait avec Alice, son élève, et avec Ayumi, une belle et énergique Futanari, originaire d’Ashnard, qui ne faisait pas honte au harem, par sa force, son énergie, et par sa perversion. Mélinda, elle, avait droit à un mélange de magie rose et de technologie, couchant avec une clone et avec une IA. C’était largement suffisant pour n’importe qui, mais il allait s’en dire que Mélinda resterait sur sa faim si, à la fin des ébats, elle ne pouvait pas coucher avec la succube. Elle voulait planter sa queue en elle, et, quand la vampire avait envie de quelque chose, il était difficile de la faire changer d’opinion.
Ayumi, elle, portait la patte de Mélinda, mais la vampire ne pouvait guère répondre à Tessia, préférant se concentrer sur son clone, qu’elle continuait à sucer, tout en sentant Cortana lui labourer le cul. Elle se faisait plaisir. Edessa la faisait souvent coucher avec son clone, et celui de Tessia ressemblait un peu à celui d’Edessa : une Mélinda provocante, joueuse, qui adorait follement le sexe, et qui n’hésitait pas à prendre la parole, alors même qu’elle n’y était pas invitée.
Tout Mélinda, en somme.
« Hmmm… !! »
Prise par ces deux femmes, Mélinda frémit en sentant son clone soupeser ses testicules, même si elle ressentait surtout l’épaisse sodomie qui lui défonçait joyeusement le cul. Cortana n’y allait pas de main morte, et c’était, en réalité, tout ce que Mélinda souhaitait. Tessia devrait ainsi vite comprendre que la sodomie, un plaisir partagé au sein du harem, tenait sa source des fantasmes de la vampire, un vampire que chaque esclave se devait nécessairement de partager, vu que Mélinda se faisait un point d’honneur de sodomiser personnellement chacune de ses petites protégées. Il y avait, ainsi, beaucoup en commun entre Tessia et la vampire.
Elles étaient donc faites pour s’entendre.
Et c’était bien pour ça qu’Alice était contente de les réunir. L’amie de Mélinda était maintenant devenue sa rabatteuse personnelle, Alice ayant visiblement un talent inné pour tomber sur des personnes d’une grande perversion. Mais la perversion de Tessia n’était pas mauvaise, elle était comme celle de Mélinda. Tessia voulait s’assurer que ses amants aimaient ce qu’ils subissaient, ce qui, en ce sens, la rapprochait énormément de Mélinda. Et, tout comme Mélinda, Tessia savait l’importance des mots, car, effectivement, chacune de ses insultes faisaient doucereusement rougir Alice, qui s’en mordillait les lèvres, et qui lui répondit en l’embrassant dans le cou.
« O-Ouiii… Ouuuiii, haaaaa… !! »
Bien évidemment qu’elle aimait ça ! Comment est-ce que cela aurait pu être différent ? Tessia était, indéniablement, une amante parfaite. Forte, endurante, d’une beauté redoutable, elle la trouvait même encore plus belle sous sa forme démoniaque. Quelle perle ! Quant à Ayumi… Et bien, pour elle, dès qu’lele pouvait défoncer un cul, elle était heureuse, a fortiori celui d’une Princesse… Mais elle aussi ne serait pas contre, à la fin de ce premier acte, de pouvoir directement goûter à la succube. Elle avait déjà couché à maintes reprises avec Edessa, et coucher avec une succube était, assurément, un exercice physique très endurant.
Et la fin de ce premier acte, Ayumi le sentait approcher de plus en plus…
