Rencontre du quatrième type

A l'entendre parler cela semblait si simple, pas forcément. Mais la réaction de l'autre personne me rassura un peu, il avait fallut d'une petit démonstration pour m'ôter d'une partie de mes doutes. Le plus difficile allait d'être appliquer ce qui venais d'être dit, mais la pique envoyé par la bronzé aida un peu. Cela avait touché ma fierté et, avec tout les événements qui s'étaient passés, j'avais un peu moins de patience que d'habitude.

J'utilisais mon côté bestiale dans les combats et uniquement dans les cas où je devais mobiliser toutes mes ressources. Laisser parler son instinct, ce que j'assimilais à de l'intuition. Si elles aimaient les coups alors j'allais leurs en donner, mais je devais faire attention à ne pas aller trop loin. Ce n'était clairement pas évident à faire.

Je regardais la cravache que j'avais en main, elle était composé de deux pièces en cuir superposées assez large, en gros cela devais faire plus de bruit que de dégâts. Cella me rassurais et je testa l'objet sur la plus soumise des deux en visant bien ses fesses. Je savais que plus il y avait de chair moins les dégâts d'un coups étaient diminués. Le claquement de la cravache me surpris car je ne m'attendais pas à ce que cela fasse autant de bruit, le coup avait été bien ressentit, bien que plus léger que la claque mise précédemment. L'impact devais être plus psychologique avec ce genre d'objet. C'était étrange, c'était comme-ci on me donnais un pouvoir assez important. Il est difficile pour un terrien de se laisser aller, mais j'allais faire de mon mieux pour agir par instinct, d'une part elles étaient consentantes et d'autre part je voulais savoir mes limites.

Je donnais le second et troisième coups à la bronzé, chaque fois un peu plus fort pour tester ses réactions, bizarrement il n'y avait pas de colère dans mes coups.

Le pouvoir corromps et je ne faisais pas exception, car mes coups se firent plus ou moins espacés pour bien faire languir. Je me surpris à me montrer sadique et regardais les outils à ma disposition.
Je pris une autre cravache, celle-ci se finissant par une ficelle qui était effiloché et testais l'objet sur celle qui celle qui n'était pas hermaphrodite. Le résultat fut un peu plus différent, moins de bruit, mais le coups semblait un peu plus douloureux, comme une petite piqûre, pour le plus grand plaisir de celle qui avait reçut le coup. Tout cela commençais à m'exciter également, leur réactions étaient agréables, avoir le dessus de cette façon était très plaisant, même si il était assez difficile de s'occuper des deux à la fois. Je n'avais pas encore assez d'expérience.
Mon instinct me souffla alors une idée, je pris un des sextoys et décidais de l'offrir à la futanari. C'était un objet assez étrange qui ressemblait à un pénis non-humain qui pouvait vibrer et se gonfler. Je mis du lubrifiant et entreprit le mettre dans son fondement, y allant assez doucement. Une fois en place je le fis gonfler un peu, le mit en vibration. Cela lui sera peut-être plus plaisant. La douleur n'était pas l'unique moyen de soumettre.

-Si vous souhaitez une chose particulière, il faudra me le dire, mais d'une manière adapté.

Le ton de ma voix me fis frisonner, car il était assez différent que celui que j’utilisais habituellement. Ce ton était plus sensuelle, mais aussi très doux.
Bien sûr j'avais pas mal d'idée qui me venaient de je ne sais où, mais elles semblaient très excitantes, ma verge fut toute tendue. Comparé aux autre j'étais un peu mieux pourvu de ce côté là, pour un japonais. J'attendais de voir leurs réactions pour leur indiquer que j'avais aussi droit à certaines choses, comme une bonne fellation ou mieux. J'étais peut-être loin du dominateur dur, car je ne l'étais pas totalement, mais c'était déjà bien de mon point de vue.

Les deux amazones se mirent à gémir quand Amanaki les fouetta.

- Grh ! Ouuuui ! Fis l'amazone à la peau blanche et mouillant de plus en plus. Amanaki sentait qu'elle était plus sensible que sa comparse.

- Allez ! Plus fort lopette, tu peux faire mieux que cela Arg ! Fis l'autre amazone plus rétive mais qui réagit quand Amanaki changea d'intrument de correction.

Les deux amazones se tortillèrent encore le cul attendant les prochains coups qu'Amanaki espaçait ce qui exarcerbait leur excitation à recevoir encore plus de torture.

- AH ! Fis la brune qui se cambra soudainement quand Amanaki lui enfonçat le sextoy dans le derrière. Visiblement si elle était un peu moins sensible aux coups elle était visiblement trés sensible quand on lui enfonce quelque chose dans le fondement. Son énorme queue de futanari se redressa subitement et ne retenant sa vessie sa chatte se mis à envoyer un jet de mouille et d'urine. Elle se mit à crier comme une damné quand Amanaki gonfla le sex toy.

- ENCORE ! ENCORE ! Hurla-t-elle.

Sa camarade se tourna vers Amanaki la langue pendante et bavant comme une chienne.

- Bite, bite, bite. S'il vous plaît maître. Avait t'elle l'air de réclamer. Elle avait envie d'une fellation visiblement.

Les deux réactions firent l'effet d'un électrochoc, je ne m'attendais clairement pas à cela et j'en fus troublé quelques secondes. Il y avait aussi le fait que je n'était pas vraiment pour l'esclavagisme. Mais si je stoppais nul doute que je prendrais leurs frustration en pleine poire, c'était comme une situation de combat d'un certain point de vue. La suite allait être donc logique.

- Tu peux avoir ta récompense. Mais avant donne-moi un nom pour te nommer, cela faire plaisir au maître. Après n'y va pas avec trop d'en train, me faire tomber serait une mauvaise chose.

En effet sans ma canne il ne lui aurait pas été difficile de me faire tomber au sol vue sa masse musculaire.Je fis un peu gonfler l'objet qui faisait tant d'effet à la bronzé pour attirer son attention. J'en profitais pour regarder son membre, heureusement que j'étais dans le rôle du dominant car un tel monstre ne passerait pas selon moi, ou pas aisément. La scientifique, car je me doutais que c'était elle leurs maîtresses, devait apprécier ce genre de chose.

-Même chose pour toi, un nom, différent, une récompense.

Une fois le nom donnée j'allais lui offrir ce qu'elles souhaitaient, avec un petit plus pour la bronzé, un changement de rythme dans les vibrations. Par contre je n'allais pas gonfler l'objet au maximum, car j'étais déjà étonné par la circonférence du truc, je me demandais comment un truc aussi gros pouvait être dans son cul. Cela me semblais assez surréaliste, mais j'étais un novice dans ce qui touchais le sexe.
Je ne pouvais me leurrer, être dans cette situation était assez grisante, un petit être qui dominait deux femmes bien plus grandes et fortes.

La blonde se débrouillait bien, trop bien. Elle reçut mon lait assez vite. L'endurance n'était pas mon fort alors je devais faire attention.

Les efforts d'Amanaki lui permirent d'obtenir les noms des deux amazones. Celle à la peau pâle s'appelait Ria et celle à la peau brune s'appelait Rua et elles étaient toutes les deux voraces comme Amanaki pus le constater un peu à ses dépens. Rua hurlait de plaisir quand Amanaki gonfla un peu plus le jouet, mais elle n'en n'avait jamais assez, elle réclamait maintenant à corps et à cri de continuer à lui torturer l'anus en gonflant le gode au maximum, et même de lui enfoncer d'autres trucs aussi bien dans son cul que dans son vagin.

Quant à Ria malgré son air innocent, elle était un vrai aspirateur à sperme. Elle maintint Amanaki pour qu'il ne tombe pas, mais il avait à peine joui qu'il se sentait à nouveau excité par le regard de salope en extase de Ria lui pompant le dard. Cette dernière ne faisait pas semblant, car le sexe entier d'Amanaki s'enfonça dans la bouche de Ria jusque dans sa gorge boules comprise. Amanaki du jouir plusieurs fois pour la satisfaire et quand elle le lâcha enfin, Ria se mit sur le dos lui présentant son sexe dégoulinant et puant en l'écartant même, désirant être prise.

- Gurg ! Prends-moi... Comme un animal ! Demanda t'elle en crachant du sperme la vulve palpitante de désir et crachant de la mouille à petits jets tandis que Rua s'agrippait encore à la baignoire réclamant plus de torture. L'air de la salle de bains s'était empuanti de sueur et de foutre du lait d'Amanaki et de ses deux louves en chaleurs.

Ria et Rua... Au moins j'avais leurs noms. Bordel cela avait été plus difficile à obtenir que de demander à un parfait inconnu sur Terre.
Le fait de jouir plusieurs fois fit partir une bonne partie de mon endurance et ma jambe recommençait à me faire souffrir. Elle n'avait pas eu suffisamment de temps pour se guérir convenablement et si je forçais trop je risquais une sévère blessure qui mettrais plus de deux semaines à guérir. L'état dans lequel était les deux femmes ne présageait rien de bon pour la suite. Malgré mon entrainement au combat je demeurais un être assez faible physiquement parlant et je devais garder des forces. mon souffle était court et Ria pouvait voir mes jambes trembler, une preuve de fatigue assez évidente.

-Je ne pourrais pas le faire sauvagement Ria, je suis un maître un peu faiblard, mais permet-moi de faire ceci.

Je lui mis un plug vibrant dans son joli cul. Heureusement il y avait des préservatifs à disposition, ainsi nous ne risquions rien et cela m'ôta un poids de mes épaules. Cela vous étonne ? Je sais être responsable, même si je casse des gueules tout les jours. J'avais aussi perdu ma virginité, mais cela c'était fait de manière très douce et non sauvage comme ici. Je pris aussi un autre jouet pour Rua qui eut le droit à un dildo assez gros parcourut de petit picots et qui, une fois en marche, ondulait. De quoi la satisfaire, enfin j'espère.
J'entrepris alors de commencer à la pénétrer, doucement au début, puis un peu plus fortement. J'étais assez inexpérimenté, mais essayais de compenser cela en jouant sur ce qui lui procurait du plaisir. Je jouais un peu avec sa poitrine, pinçant de temps à autre ses tétons qui étaient dressés sous l'excitation.

Je ne pouvais, physiquement faire plus, car j'avais ma limite et la douleur de ma jambe me l'avait rappelé, coupant une partie du plaisir qui avait embrouillé légèrement mon cerveau. Si cela devais frustrer Ria et Rua alors il en serait ainsi, je n'allait pas risquer de blessure inutile. L'inconnu qui me faisais un peu peur était la réaction de Rua qui avait le rôle du méchant flic. Me pardonnerait-elle cet aveu de faiblesse ou  non ?

Ria était aux anges et se mis à gémir quand Amanaki la pénétra, mais les deux filles se rendirent compte bien vite que le jeune garçon était à épuisé et bientôt léssivé.

- Regarde ! Je crois bien qu'il est à bout ! Dit Ria ce qui fit grogner Rua.

- Mmmmf ! Lopette ! C'est dommage, je commençais à peine à m'amuser. Dit-elle hargneuse mais qui se mis à cheval sur le dos d'Amanaki sans néanmoins l'écraser  bien qu'il sentit l'énorme queue chaude de la futanari se poser sur son dos ainsi que ses mains qui se plaqua sur Amanaki et l'empêcha de se relever. Ria le ceintura aussi et Amanaki eu la tête plaquée sur les gros seins de l'amazone à la peau blanche.

- Attends un peu, je vais te relaxer moi. Dit Rua qui appliqua un massage sur le dos d'Amanaki. Pas un genre de massage brutal, mais quelque chose qui semblait soulager Amanaki de la douleur et la fatigue et Rua savait bien s'y prendre, car la tentions au niveau de sa jambe disparu quelque peu. Par contre, au bout de quelques minutes Amanaki sentis les mains de Rua se poser sur ses fesses et les écarter. Il sentit ensuite la langue de Rua en train de lui pénétrer l'anus avec sa langue.

Ria, quant à elle, se mis à sourire et resserra son étreinte sur Amanaki pour ne pas qu'il s'échappe.

Le joli terme lopette eu le dont de mon faire faire une petite grimace qui indiquait de l'agacement. Est-ce ma faute si j'avais perdu mon endurance lors du même accident qui avait affaiblit ma jambe ? Non. Elles étaient ignorantes. Le ton de Rua calma cependant directement cette colère qui était grimpé. Elle se mit à califourchon sur le bas de mon dos, imposant à Ria une pénétration involontairement plus profonde. Le femme à la peau claire en profita pour m'emprisonner les hanches avec ses jambe et ma tête dans sa grande poitrine. Je pouvais sentir le vis de la futa qui appuyait sur mon dos, ainsi que les vibrations de ses jouets, toujours en place. J'étais pris en sandwich entre les deux femmes.

Elle ne me fit cependant aucun mal, juste un massage énergisant. J'en avais eu droit par le passé lors de ma rééducation et elle se débrouillait plus que bien. Cela eu l'effet escompté avec un regain d'énergie agréable? Comme je ne pouvais plus trop bouger j'en profitais pour malaxer doucement la poitrine de Ria, jouant sur la pression, mais aussi en pinçant doucement ses tétons si fièrement dressés, histoire qu'elle puisse éprouver encore un peu de plaisir.

J'eu un léger sursaut quand je sentis la langue de Rua venir pénétrer mon postérieur. Cela m'excita, bien que je n'étais pas encore habitué à ce genre de pratique. Un des effets provoqué par cette stimulation était une érection un peu plus importante et le commencement d'un plaisir dont j'avais encore un peu honte, celui de la pénétration anal. C'était un de mes points sensibles, mais je ne l'avais pas encore accepté par fierté.
Je ne pouvais rien faire, totalement entravé par Ria qui avait une lueur perverse dans les yeux. Cela me refis penser à ce qu'elles avaient dit, elles pouvaient autant s'amuser avec moi, que moi avec elles.

Plus Rua continuait son petit jeu, plus mon souffle devenait brûlant, de même que mon bas ventre. Le pire était que mon sexe était bien confortable dans l'antre de Ria et restait pleinement gonflé. Mes hanches faisaient de très léger mouvement, Ria semblait avoir laissé un peu de jeu dans son étau pour cela.

Au moment où Amanaki allait vraiment se détendre Rua arrêta de le lécher et Amanaki sentis quelque chose de gros se poser contre son anus mais à ce moment il entendis quelque chose se fracasser une seconde plus tard il entendit un bruit métallique Rua poussa un cri et la voie de Reaper pousser lui aussi pousser un cri de douleur. Ria poussa un cri aussi et Amanaki fut lâcher subitement pour voir Reaper où du moins son corps décapité. Il avait l'air de chercher quelque chose.

- Andouille pas par là ! Je suis là ! Mais qu'es qui t'as pris de me lancer imbécile ! Râla Reaper dont la voie se faisait entendre dans la salle. Quand Amanaki se redressa il pus voir Rua se frotter la tête comme si elle avait reçut un projectile Ria qui avait eu peur la porte de la salle de bain défoncé et la tête de Reaper trainant pret de la baignoire invectivant le corps à retrouver sa tête. Le corps avait subi des dommages mais rien de sérieux mis à part qu'il était décapité ce qui ne l'empêchait pas de chercher la tête décapité qui traînait prés d'Amanaki.

- Salut ! Ben décidément, tu es un abonné aux situations scabreuses en salle de bains ! Encore heureux que je suis arrivé à temps encore une fois. Hum ! Tu veux bien m'aider à me ramasser s'il te plaît ? Demanda-t-il.

Il eu un sacré vacarme au moment où la futa semblait vouloir profiter de mon postérieur, ce fut une chance, car je voyait mal son mandrin entrer sans avoir un peu de mal et vu le caractère un peu bourrin de Rua nulle doute qu'elle aurait forcée. Je pus bouger et la première chose que je fis fut de me retourner. La scène me laissais sans voix, Reaper sans sa tête venait d'entrer alors que le crane de ce dernier était près de la baignoire. Il semblait avoir bien morflé, de petites larmes furent à peine visible. J'étais content de voir qu'il s'en était sortit. Il me fallut quelque seconde pour avoir eu un fou-rire en voyant le corps chercher sa tête. La situation était assez comique il fallait l'avouer.

-Pas de soucis, mais évite de perdre la tête trop souvent.

Une petite boutade qui avait été beaucoup trop tentante pour ne pas être faite en cet instant.

Je pris la tête et me dirigeais prudemment vers le corps qui ne cessait d'essayer de se diriger de manière assez anarchique. Je fis très attention à ne pas prendre une baffe par erreur, car cela aurait fait un peu mal. Une fois que le corps eut récupérer la  tête je m'écartais pour la même raison.

-Content que tu n'es pas eut grand chose Reaper.

Je lui souriais alors que je me mettais une petite serviette autour de la taille, puis je me retournais vers Rua et Ria.

-Je peux prendre mon bain ? Avec tout cela j'aimerais être un minimum présentable.

Reaper ordonna aux deux amazones de sortir ce qu'elle fis à contre coeur. Après qu'Amanaki lui a rendu sa tête Reaper fut contraint de la garder sous le bras. L'articulation de son cou avait été endommagée dans la bagarre contre le Sirena ce qui expliquait ce désagrément.

- J'ai fini par l'avoir cette sale bête. Désolé de t'avoir tiré dessus tout à l'heure, mais c'était le seul moyen que j'ai trouvé pour te sauver la carcasse. J'espère que ma collaboratrice ne t'a pas trop maltraité ! Dit Reaper qui avait laissé Amanaki se baigner.

Quans le garçon sorti de la salle de bains il vit le mécanoide assis sur un fauteuil mais aussi la scientifique de tout à l'heure ligoter bâillonné et en petite tenue. Visiblement, le plan à trois d'Amanaki et les amazones, ce serait vite transformé en plan à quatre. Quand Amanaki apparut la femme se mit à s'agiter. Reaper quant à lui avait terminer ses réparations et remis sa tête sur ses épaules.

- Oh la ferme Davinel ! Je te connais suffisamment pour savoir que tu ne voulais pas que du bien à ce garçon espèce de psychopathe nymphomane. Amanaki, on ferait mieux de se tirer d'ici avant qu'elle se détache. Je la connais, cette salope, elle a des colères mémorables quand elle n'a pas ce qu'elle veut. De plus, je pense que nous avons à causer de ce que tu as vu ici. Dit-il.

Je fis les yeux rond en entendant que la scientifique était en réalité une collaboratrice. C'était assez inattendu, je m'étais trompé soit sur le rôle de Reaper, soit sur le statut de la femme.

Je pouvais enfin profiter du bain, cela faisait du bien ,sauf à l'endroit où j'avais prit sa balle. Mais bon, il avait expliqué sa raison et Reaper avait fait le bon choix, je ne pouvais pas lui en vouloir pour cela. De plus il avait aussi bavé et j'avais pus décharger ma colère sur les deux amazones. J'avais bien remarqué qu'elles avaient fais la tête en sortant. Si je les recroisaient sans le bonhomme nulle doute qu'elles pourraient reprendre là où elles avaient été interrompus

A ma sortir je vie la scientifique en dessous et ligoté. J'eu un rire nerveux, car j'avais bien compris qu'elle m'avait attendu pour profiter de moi. Bordel, j'attirais toute les femmes en manque ou quoi ? Reaper coupa court à ma réflexion et indiquant que la fuite serait la solution la plus sage. Si la femme était aussi colérique que disait la machine alors j'avais intérêt à faire très attention. La dernière phrase changea les trait de mon visage qui devins un peu plus sérieux.

-Je te suis, parlons, que je puisse savoir ce que je peux savoir et sur quoi je dois faire silence.

C'était une réflexion assez mûre, de mon point de vue, que je venais de faire. Il était évident qu'il y avait des secrets, comme les deux amazones. Elles avaient beaux être crées, les moyens terriens ne permettaient pas un choix aussi précis, ni une croissance rapide, car elles étaient trop âgées physiquement pour une naissance et une croissance naturelle 

Reaper conduisit Amanaki au travers les couloirs du bâtiment. Même si le Mécanoide pressait un peu le pas à cause de Davinel qui ne va pas tarder à se libérer du fait qu'il ne l'avait pas trop attaché serré il n'était pas trop pressé. Amanaki le vit d'ailleurs en train de discuter avec des scientifiques et des employées qui l'abordaient, donner des consignes où des ordres, et mêmes signer des papiers en ronchonnant que d'habitude, ce n'était pas son boulot. Ils arrivèrent finalement à un bureau digne d'un PDG mis à part que sur les murs était accroché les têtes d'un tas de bestioles empaillé dont beaucoup ne venaient pas de la terre et tout un arsenal armes étranges. Reaper s'installa derrière le bureau et souffla.

- Bon Amanaki, je vais aller droit au but, car je pense que tu as besoin d'explications. Je vais pas te demander de garder le secret car il est assez connu dans plusieurs univers et galaxies et je pense que sur terre on te prendrait surement pour un dingue. Je suis un esclavagiste mais un esclavagiste plutôt spécial car je ne dresse pas des esclaves je les construits où plutôt c'est ma collaboratrice qui s'en charge moi je suis cantoner à faire des colecte de gène, m'occuper de la sécurité et surtout réparer les dégats quand il y as un bug. Autrement dit ici, je suis en quelque sorte le PDG et l'homme à tout faire quand on requiert mes services. Davinel quant à elle est le chef scientifique c'est aussi la big boss ici mais aussi la fondatrice de Carnivora. Le Sirena était une de nos productions mais suite à un problème de sabotage et d'espionnage industriel j'ai été contraint de m'occuper en personne du problème. La suite tu la connait. Expliqua-t-il.

En le suivant je vis que Reaper était assez important dans cette...société ? Organisation? Bref, il était souvent sollicité sur le chemin pour remplir e la paperasse ou donner des consignes. Il n'était pas simplement un homme de main apparemment et cela expliquait en partie son attitude vis-à-vis de la scientifique, que j'espérais toujours attaché. C'était peut-être du fait de l’absence de la femme qu'il était aussi sollicité.

Il me conduisit à son bureau, je fus assez étonné de voir qu'il ressemblait beaucoup à une salle de personne importante malgré mes précédentes observations. Les tête aux murs étaient assez intimidantes, je n'avais pas encore vu en vrai ce type de décoration originale. Pour les armes, elles semblaient tirées de films de science-fiction et je me demandaient si elles étaient factices ou non.

Reaper se posa derrière son bureau et entreprit de m'expliquer certains points. Je n'étais pas très au point avec les abréviations comme PDG, mais je me doutais que ce n'était pas une petite place. Il cumulait plusieurs poste, ce qui expliquait pourquoi il allait sur le terrain. Savoir que Davinel était la tête et la fondatrice ne me rassura pas outre mesure, cela voulait dire qu'elle avait un réel pouvoir et que si elle souhaitait m'attraper cela serait assez facile pour elle.

-Je dois avouer que je suis assez surpris par la...fabrication. Je suis du genre à ne pas être totalement pour ou contre l'esclavagisme. Pour le sabotage il y en a beaucoup sur Terre aussi, mais comme notre technologie est plus faible les dégâts sont plus petit. Sauf si une centrale explose. En tout cas je suis surpris que tu es un rôle aussi important.

Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences. Je me demandais quoi poser comme  question, car le statut de Reaper m'impressionnais un peu.

-Sans vouloir être indiscret, quel genre d'esclaves sont fabriqués ? Je pose cette question uniquement par curiosité.

Je ne souhaitais pas avoir d'esclave, je n'étais pas mentalement prêt pour ce genre de chose. Peut-être qu'à l'avenir j'y songerais, mais pour le moment c'était hors de question de posséder un tel droit sur un être.

- Ah cela dépend ! En fait tu as vu pas mal d'échantillons. Le Sirena pour commencer est l'un de nos produits, les gardes de sécurité le sont également. Tu as même failli te faire prendre par les amazones qui sont également des créations de Davinel mis à part que ce sont des créations uniques et que Davinel préfère les garder pour elle si tu vois ce que je veux dire. La création des esclaves est un mélange cybernétique et de clonage. Tous les clones disposent d'un cerveau artificiel avec un comportement pré-établis. À l'origine Davinel les utilisait pour le commerce des jeux du cirque et de la guerre, mais on a diversifié dans le sexe et cela marche assez bien ma fois. Avec notre méthode plus vraiment besoins de perdre du temps à capturer des esclaves et de les éduquer. Nous avons fait dans le sur-mesure. Si cela t'intéresse, tu peux avoir un de nos produits en récompense de ton service. Attends !

Reaper fouilla dans le bureau et tira un catalogue qu'Amanaki pouvait consulter. C'était tout une gamme de créatures issue de Carnivora et il y avait de tout. Du monstre, du zombi, de l'alien, de l'humain, du cyborg, du robot. Homme ou femme. Reaper faisait un drôle de commerce, mais visiblement, il avait un curieux sens de l'éthique. Amanaki se rendit compte que s'il était réellement méchant cela ferait longtemps qu'il serait mort où pire. Une chose était sure néanmoins, c'est qu'il avait l'air d'adorer son travail, et même d'en parler.

Je compris certaines choses. D'une part ils avaient créés un cerveau artificiel pré-programmé, chose impossible sur Terre pour le moment. D'autre part c'était un mélange de haute-technologie. Lorsque Reaper en parlait j'avais l'impression d'entre le boulanger à côté de chez moi, ils aimaient tout deux leurs métiers. Je pris le catalogue, mais préféra jouer la carte de l’honnêteté.

-Je ne pense pas être assez mûre pour avoir un esclave à mon service, mais rien ne m'empêche de regarder.

Bon ce n'était pas totalement vrai, comme beaucoup j'aurais aimé, mais je ne saurais pas m'en occuper, ni jouer le rôle d'un bon maître. Mon point de vue était mitigé entre le fais d'en prendre un ou attendre, j'avais choisis l'attente.
Mon regard se posa sur le livre que le PDG m'avait prêté et je le feuilletais lentement, pour bien regarder chaque possibilité, il y avait effectivement de tout.  Mon attention fut plus longue sur trois choix.

Premièrement Leohart qui était l'incarnation de mon signe astrologique, il émanait aussi de son image une force assez tranquille. Ce n'était que ma vision de cet être.
Le deuxième, ou plutôt la deuxième, à avoir attiré mon attention était la créature répondant au nom de Honey Bunny. C'était pour son côté ninja et aussi parce que j'appréciais beaucoup les terranides lapins pour leurs côtés souvent doux.
La dernière créature avait une apparence plus humaine. Elle me rappelais ma mentor qui m'avais appris bien des choses, comme survivre sur Terra. Le nom de cette créature était Zena , un joli clin d'oeil à Xena la guerrière.

-Si je devais choisir cela serait entre ces trois là. Après je suis Terre, donc ce genre de créature risque de se faire remarquer et je préfère attendre un peu avant d'avoir une personne ou une créature à mon service.

J'aurais vécu sur Terra j'aurais sans doute accepté et cela n'aurait pas causé de soucis, mais bon, j'étais bien content d'être terrien, la vie était un peu plus calme.