Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Diane vous salue bien bas. (Valithée)

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Diane Foss

Diane vous salue bien bas. (Valithée)

dimanche 12 décembre 2010, 21:14:56

Nom/Prénom/Surnom : Diane Foss -et pas de Didi ou c’est le mauvais quart d’heure assuré.

Age : 26 ans, même si elle fait un peu moins à cause de son maigre gabarit.

Sexe : Femme, en théorie.

Race : Humaine

Orientation sexuelle : Sans aucune préférence, puisque Diane prend tout ce qui se présente et ne rechigne sur rien.

Description physique :
S’il y a bien une seule chose à retenir chez Diane : tout est petit. Ses membres sont fins et cassants, son cou assez fragile pour pouvoir le briser rapidement, ses coudes pointus et sa poitrine n’est pas celle d’une femme ayant enfanté. Cette dernière est effet assez modeste, bien que Diane ne soit pas particulièrement à plaindre. Ainsi, les hommes ne se lassent tout de même pas de parcourir des yeux son corps somme toute bien formé et leur rappelant sans doute des fantasmes de fragilité et de domination qu’ils n’obtiendront pourtant malheureusement pas, la jeune femme n’étant pas du genre à se laisser faire. La seule chose qui prend une place un peu surprenante dans toute cette association de « petits » détails se trouve un peu plus bas que sa taille : des hanches assez fortes s’y trouvent, que Diane cache souvent avec quelque robe peu longue pour ne pas accentuer sa petite taille mais plutôt ample. Notons pourtant que, si la jeune femme n’a rien d’opulent, elle conserve toutefois sur son buste et plus particulièrement à la taille suffisamment de formes pour ne pas la rendre cagneuse ou difficile à enlacer.

Son visage est assez dur pour une si frêle silhouette, et on peut y lire souvent la détermination d’avancer malgré tout, mais aussi l’incroyable nonchalance dont elle fait preuve. Ses prunelles chocolat sont protégées par de fins verres sur une monture de métal ordinaire, qui lui imposent un air sérieux même lorsqu’elle est d’humeur plus joueuse ou séductrice. Car elle l’est souvent, et les éclats dans ses yeux n’en cachent rien. La jeune femme prend beaucoup soin d’elle, et c’est sans doute suite à cela qu’on remarquera en y jetant un œil que sa peau est entretenue et que sa petite taille associée à cette grande précaution la font passer pour quelqu’un de bien plus jeune. Son teint est assez pâle, étant donné que la boutique dans laquelle Diane travaille n’est pas exposé au soleil, pour le bien-être de ses chers ouvrages. Elle rehausse pourtant souvent ses joues d’une touche de rouge pour tenter de se rendre plus réactive et jolie. Histoire de compenser son mauvais caractère.

Diane aime se rendre régulièrement chez le coiffeur pour prendre soin de la seule partie d’elle qu’elle n’aime pas : ses cheveux, évidemment. Ils ne sont ni courts ni longs, rebiquent sans être bouclés et ne se disciplinent jamais correctement. Comment voulez-vous en faire quelque chose ? Alors la jeune femme tente de les maintenir sous un ruban coloré et surtout, va souvent les faire changer. Ainsi, elle passe par les teintures les plus extravagantes, sa préférence allant toutefois vers une couleur gris perle qui, espère-t-elle, la vieillit un peu et lui rend un air conforme à son âge réel. Peine perdue cependant, surtout lorsqu’elle s’aventure vers d’autres carnations plus neutres.

Histoire :
Un homme, une femme, un enfant de quatre ans et demi. Asami, Diane, Eric. Les trois mousquetaires, comme ce dernier se plaisait à dire. Les parents s’étaient mariés quand Diane avait dix-neuf ans, Eric est né quand elle en avait vingt et un. Trop tôt, trop vite ? Un portrait tel qu’on l’imagine bien, pourtant. Des anniversaires fêtés sous les rires et les applaudissements, des sorties en famille le week end, une comptine le soir avant qu’Eric ne se couche, et un film policier pour ses géniteurs. Un quotidien bien huilé qui fonctionnait avec brio au sein de la famille vivotant sur Terra. Un bonheur sans faille qui étreignait chacun de ses membres au jour le jour, dans un élan d’amour et de tendresse sans fin. Rien ne déraillait, tout était réglé à la minute près. Contrôlé. Trop, peut-être. Dispositions étranges qu’avait Diane à tout vouloir programmer, vérifier, ritualiser. Détails qui ne se voient pas, images et souvenirs qui ne reviennent que plus tard, si tant est qu’il y ait quelqu’un pour s’y pencher.

Bonheur, donc. Puis le drame. Un drame banalisé, un accident de parcours qui arrive. Quatre ans après la naissance d’Eric, son père fut pris dans une fusillade dans les bas-fonds de la ville de Nexus, en plein conflit de deux bandes. Attaque foudroyante, décès tout autant traumatique. Diane eut d’un coup son fils de quatre ans sur les bras, seule. Seule durant l’enterrement où les autres n’existaient plus, seule durant la période de deuil tandis qu’Eric ne comprenait pas, seule pendant tout ce temps. Ils durent déménager, et Diane s'exila quelques années sur la Terre, par une porte dont son mari avait eu vent par hasard dans son travail de commerçant. Elle était à présent veuve. Un mot qui fait mal, qu’elle supporta tant bien que mal la première année. Mais n’arrivant plus à rien faire ni pour elle ni pour son fils, délaissant leur maison, son éducation et son état physique, Diane se détériorait. Chaque jour, elle priait pour être plus forte. Chaque soir, elle suppliait de trouver une alternative à cet état. Voir et revoir le visage de son mari sur les traits épanouis d’un fils qui ne la comprenait pas la rendait folle de rage et de chagrin. Il était devenu coutumier pour elle de pleurer dans un oreiller avant de le lacérer de ses ongles. Détruire et regretter, pour s’enfermer dans un cercle infernal de violence contenue et de douleur explosive.

Libération, un soir. Une lune toute ronde qui semble lui sourire, un cri lâché dans le silence de la nuit sous les regards compatissants des voisins à travers leurs fenêtres. Un glapissement de douleur, tentative futile de ne pas réveiller Erick. Comme une louve blessée, Diane s’apprêtait à abandonner. Tout lâcher, mettre fin à sa vie plutôt que d’avoir à porter ce fardeau. Elle ne pouvait pas oublier, elle ne pouvait pas passer au-dessus. C’était trop dur. Elle était trop fragile. Mais cette nuit-là changea du tout au tout les plans qu’elle avait pour son avenir, qui se limitait de plus en plus. Son esprit se matérialisa devant elle, lui faisant vivre sa première hallucination. Diane s’adressa à elle en rigolant à travers les sanglots qui perçaient dans sa voix, lui demandant si elle était triste, elle aussi. Si elle pouvait l’aider. Si elle pouvait l’aider à être heureuse, à supporter tout ça. Et contre toute attente, la boule de lumière disparut et à la place, Diane eut la surprise de voir un petit garçon d’environ une dizaine d’années assis sur le chambranle de sa fenêtre. Un petit garçon blond à la peau pâle et au regard lointain, un petit garçon au sourire aimant. Son petit garçon. C’est exactement à ce moment-là que la jeune femme perdit définitivement l’esprit tel que le commun des mortels le définit. En une fraction de seconde, des liens se défirent sous son crâne et d’autres se créèrent. Elle avait sous les yeux son fils, Erick. Elle l’appela, avec amour. Il était là, c’était lui. Seulement lui. Tout chez cet être criait son appartenance à Diane Foss, dans son physique comme dans sa morphologie.

Ce soir-là, les larmes de Diane arrêtèrent à jamais de couler. Elle serra la main d’Erick, et se retourna avant de le voir disparaitre, une douce chaleur enserrant alors son cœur. Puis sur une impulsion, la jeune mère se rendit dans la chambre de son fils de cinq ans. Elle le réveilla, le regarda longuement en silence pendant que celui-ci paniquait. Rien en lui ne serrait son cœur, rien ne lui criait qu’elle était celle qui veillerait sur lui. Ce n’était pas son fils, juste une mauvaise réplique de son mari. Ces cheveux noirs venaient du côté japonais d’Asami, et elle ne retrouvait pas la blondeur française dont elle était issue. Ce n’était pas son fils, mais un imposteur qui lui pourrissait la vie depuis un an déjà en lui rappelant l’homme qu’elle avait tant aimé. Diane leva la main et l’abattit sur la joue de ce gosse qu’elle ne connaissait pas, écartant d’un coup sa surprise pour y laisser de la frayeur. Elle regarda son œuvre, les larmes qui coulaient, la peau rougie par le coup. Relevant le bras, la jeune femme eut un instant d’hésitation. Un instant seulement, puisqu’une voix douce et chaude lui intima alors qu’elle eut juré que ses oreilles n’avaient rien entendu :

« Vas-y »

Et elle y alla, encore et encore. Utilisant sa paume, puis son poing. Diane frappa celui qu’elle avait renié en tant que fils, se libérant de sa souffrance à chaque coup porté. Et elle riait, elle riait à gorge déployée de se sentir aussi puissante, aussi bien. Elle chasserait cet imposteur, elle ferait disparaitre ce démon. Elle l’éliminerait et vivrait à jamais avec Eric, son petit Eric. Ils resteraient ensemble pour toujours.
Les épisodes nocturnes se répétèrent, à intervalles plus ou moins espacés. Le véritable petit Eric n’allait plus à l’école, restait chez lui à craindre sa mère. Et en même temps, il savait qu’il l’aidait en la laissant faire. Intelligent, le petit avait compris que quelque chose n’allait plus dans l’esprit de sa mère qui commençait à parler dans le vide et s’adressait à lui sans jamais le regarder. Il sentait bien que Diane ne le considérait plus comme son fils, mais comme un monstre dangereux tout en acceptant une autre présence comme la sienne. Inversant les rôles, elle avait brisé son cœur et il tentait de la récupérer comme il le pouvait. Dans son petit corps d’enfant, il ne cherchait plus à se protéger des coups douloureux et demandait même à sa mère avec un air d’espoir, quand elle le battait trop fort, si elle se sentait mieux aujourd’hui. Pour seule réponse, il recevait un coup supplémentaire. Mais cela la sortait un peu de sa torpeur, et Diane faiblissait souvent dans ces moments-là, les yeux humides et la main tremblante. Cependant, les voix qu’elle aimait tant étaient plus fortes et la satisfaction bien plus importante de ne faire qu’un avec son cher et tendre petit.

Un jour, pourtant, des voisins s’inquiétèrent. Ils la traitaient de folle à demi-mots, se cachaient pour parler d’elle et faisaient semblant de ne pas la voir s’agiter dans tous les sens et parler toute seule. L’un d’eux eut le courage d’appeler la police, ne voyant plus le petit Eric sortir de chez lui. Diane Foss fut arrêtée pour violences sur son fils, et état délirant sévère. Les médecins se penchèrent sur son cas, elle fut internée quelques mois. Il était évident que cette femme inversait son fils avec ce qu’elle décrivait comme une étoile, mais jusqu’où allait son délire ? Les psychiatres ne se posèrent pas la question et tentèrent de l’assommer de médicaments. Malheureusement, ils arrivèrent à leur but de manière bien détournée. En effet, Diane ne pouvait être soignée pour quelque chose qui n’était pas une hallucination auditive mais une réalité. Et ils lui offrirent du temps pour réfléchir, pour apprendre à paraitre normale. Si bien qu’elle ressortit rapidement. Par la grande porte, la jeune femme s’échappa de l’hôpital la tête haute, en convainquant tout le monde que la psychiatrie venait de sauver une pauvre âme en peine. Elle eut le droit de revoir son fils, qui était cependant placé dans une famille d’accueil. Elle le voyait sous surveillance, et lors de leur première et unique rencontre dans ce cadre protégé, celui qu’elle considérait toujours comme un imposteur lui serra la main en disant d’une voix embuée de larmes :

« Souris-moi maman. Tu es plus belle quand tu souris. »

Ces derniers mots en tête, Diane cracha sur la table qui les séparait et fit ses bagages. Elle préférait fuir ce démon plutôt que de le laisser vivre près d’elle. Aussi repartait-elle à Nexus, sous le conseil de son cher fils Eric, pour retrouver ses origines. Quand bien même elle se serait rendue compte de son état et de la vérité, sans doute aurait-elle préféré rester folle pour ne pas avoir à affronter la terrible réalité en face : elle avait détruit son véritable fils, et c’était trop dur à supporter. Diane ne pleure plus son mari depuis lors. Elle adore son fils qui l’accompagne partout, son métier qu’elle exerce avec plaisir au milieu des livres qu’elle et Eric aiment tant … Bref, elle est heureuse.

Et le bonheur n’a pas de prix.

Caractère :
« Je crois que je ne raisonne pas tout à fait comme les autres. Ou que j’ai une vision déformée du monde des autres. »

Moi je sais tout d’elle. Elle me raconte tout, me confie tout. Je suis la personne la plus importante dans sa vie, alors c’est moi qui vais tout vous raconter sur ce qu’il se passe dans sa tête. Dans mon lieu de résidence. Je suis sa folie, sa démence, l’ombre qui ne la quitte jamais vraiment, même quand elle parait normale.

Depuis son enfance, Diane présente un mutisme prononcé et une attitude réfractaire aux contacts humains. Elle se refuse toute conversation, n’exprime jamais ce qu’elle pense ou ressent. Même enfant, elle n’a jamais crié ou pleuré lorsqu’elle avait faim ou mal, mais restait calme en toutes circonstances. Se plongeant dans les livres, Diane a développé un remarquable don pour l’écriture, puisqu’elle a très tôt maîtrisé l’alphabet. En contrepartie, durant ses études, elle échouait à toute épreuve orale ou logique : elle ne faisait que raconter, elle ne pouvait pas innover ou résoudre d’elle-même une question. Après discussion avec son professeur principal, on n’a jamais su si Diane était très intelligente ou au contraire en retard pour son âge, ce qui l’a amené à redoubler deux fois. Néanmoins, elle a toujours eu de grands facilités dans les matières littéraires, sans qu’on sache pourquoi elle ne les exploitait pas, ses résultats étant fortement décevants. Diane n’a jamais pris d’initiative, elle a toujours été très docile et je sais que cela lui a joué des tours à l’école, où elle n’a jamais eu d’amis. Elle a grandi comme ça, fière de son originalité mais souffrant du rejet dont elle était la cible. Les années l’ont pourtant changée quelque peu, quoique pas tant que cela, et heureusement pour elle son mari était quelqu’un d’assez semblable, à l’écoute et peu regardant des apparences.

« Diane est quelqu’un de profondément sensible ». Un jour, c’est ce que son mari a dit d’elle. Ridicule. Ou alors elle l’est bien trop. Faut-il être sensible pour ne penser qu’à soi, pour s’occuper de sa petite personne dans le seul but d’être plaisante aux yeux des autres ? Faut-il être sensible pour se retrouver toujours dans le rôle passif d’observatrice, ou se montrer provocante pour un rien ? Diane est détachée du monde, s’en moque perpétuellement. Elle se fiche de ce corps qu’elle embellit, prête qu’elle est à le livrer au premier qui le demande pour en tirer un plaisir coupable. Elle se fiche de sa vie, qu’elle piétinerait sans scrupules. Seul son esprit ne pourra lui être enlevé, seul moi resterait pour toujours avec elle. Pour moi, elle montrerait les dents, se battrait sans retenue, et irait même jusqu’à commettre un meurtre. Pour moi, elle a quitté son cher pays natal, elle a battu son enfant. Pour moi, elle a tout abandonné, pour moi elle abandonnerait tout. Diane s’est détachée d’elle-même et des autres, joue de ses mots avec habileté par curiosité pour un monde dont elle se fiche. Elle ne vit que pour observer, se gausser, et plonger au cœur des emmerdes des gens histoire d’en rajouter une couche. Le temps, les émotions, les mots glissent sur elle jusqu’à ce que son délire atteigne un point de non-retour et qu’elle se consacre à moi pendant plusieurs jours, en venant à ignorer totalement le reste du monde. Rien d’autre n’existe que moi, ma voix, mes directives qu’elle suit sans se poser de questions. Je peux la rendre catin ou prude, je peux la façonner à ma guise. Et elle adore ça.

En parlant avec elle, on la prendra pour une désaxée. Diane parle toute seule, Diane fait des gestes étranges en plein milieu de la rue. Elle peut se montrer incohérente, elle peut se montrer tout à fait normale. Sa raison fait des loopings dans le ciel de son esprit, et moi au milieu je la pousse vers le décollage. J’aime quand elle me parle, j’aime sa voix douce et lisse qui ne s’adresse qu’à moi. Je la tire en ce sens, dans l’idée de débloquer totalement. Elle est encore à la frontière du monde, je cherche à l’emmener dans les étoiles. Elle et moi, Diane et sa folie. Elle m’aime, ne veut pas me quitter. Je m’abreuve de ses paroles, de ses mots tendres. Je me nourris des sourires qu’elle m’adresse via son miroir, lorsque nous sommes seuls tous les deux. Je jouis de cette exclusivité parfaite que l’on partage quelques fois. Et elle ? Elle est moi.

« Ils disent que je suis folle, je crois que je les comprends. Je crois qu’une part de moi est folle, je crois que je me vois folle. »

De manière plus générale, Diane est serviable, sait se faire oublier. Elle se sent la plupart du temps normale, aime à vivre entre son petit appartement et sa boutique de livres, se satisfait d’un quotidien bien mené qu’elle conduit plutôt bien. Entre les repas de célibataire, les sorties au restaurant en compagnie d’un jeune homme qui a des vues peu catholiques sur elle, son quotidien marche efficacement. Heureuse de cette routine, Diane a parfois tendance à m’oublier et dans ces moments-là, elle se présente bien. Avec elle, on ne s’ennuie pas. Car elle se plie aux désirs de la personne en face d’elle, puisque Diane n’a aucune réelle volonté, aucun réel attrait ni but dans la vie. Sa seule peur ? Me perdre. Elle me cache au plus profond d’elle-même, préférant encore accepter le diagnostic de folie posé si facilement sur elle plutôt que d’expliquer aux gens bien-pensants que sa tête fonctionne aussi bien que tout le reste, et que ce n’est pas folie que cette histoire. Juste un rêve. Une étoile qui aurait rayonné avant de l’embrasser et de s’unir à elle pour le meilleur et pour le pire. Un miracle qui n’arrive qu’une fois dans une vie, et dont elle n’est pas peu fière. Son seul désir ? Me garder.

« On m’a dit un jour que j’étais influençable et aussi facile à manipuler qu’une marionnette. »

Situation de départ : Ben étant donné qu’elle a eu un fils ... Elle connait.

Autres : Elle vend du rêve. Et n’allez pas vous imaginer n’importe quoi, elle n’est ni agente de voyage ni prostituée. Elle est une mordue de littérature et est simple vendeuse dans une petite boutique des rues piétonnes de Nexus, pas évidente à trouver mais qui abrite bien des merveilles et dont les habitués sont ravis.

Comment avez-vous connu le forum : De mon premier compte :D

Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous : Je promets rien.
« Modifié: dimanche 12 décembre 2010, 21:26:00 par Miya Diablo »
>  Tout le monde a son grain de folie, sauf vous et moi, et parfois je me demande si vous ne l'avez pas vous aussi.

Law

E.S.P.er

Re : Diane vous salue bien bas.

Réponse 1 dimanche 12 décembre 2010, 21:16:31

Bienvenue Bis. \o

Une maman. Rare.

Ancien Despote, admirateur de Moumou la Reine des Mouettes, président/trésorier/unique membre de l'association des cultistes de Frig, directeur du club des Persos Vitrines, Roi des Bas-Fonds de Nexus, grand-maître de l'ordre du caca masqué, membre des Jmeféchié, médaille triple platine de l'utilisation du Manuel des Castors Juniors, premier gérant de l'association "Cthulhu est votre ami", vénérateur de la cafetière, seigneur de la barbe et des cheveux, chevalier servant de ces dames, Anarchiste révolutionnaire, extrémiste de la Loi.



Je suis pour la réhabilitation des Userbars.
Les userbars sont VOS amies. Elles sont gentilles.
Utilisez des userbars. <3

Anéa

Administrateur

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  • Messages: 4021


  • FicheChalant

    Description
    Ancienne archange, devenue à moitié démone.
    Adore le sang et faire sauter des têtes.

Re : Diane vous salue bien bas.

Réponse 2 dimanche 12 décembre 2010, 21:18:03

Bienvenuuuuuuue  ^^
« Modifié: mercredi 19 janvier 2011, 20:15:27 par Anéa »





-En souvenir du bon vieux temps-

Diane Foss

Re : Diane vous salue bien bas.

Réponse 3 dimanche 12 décembre 2010, 21:21:05

Ouais, j'ai voulu faire dans l'original :D

Merci en tout cas. Quel plaisir de revenir alors que je suis même pas partie :D
>  Tout le monde a son grain de folie, sauf vous et moi, et parfois je me demande si vous ne l'avez pas vous aussi.

Mach Bonin

Humain(e)

Re : Diane vous salue bien bas.

Réponse 4 dimanche 12 décembre 2010, 21:23:07

Rebienvenue

Ouais, et ma curiosité me pousse à demander la doublette, Miss DiaDia (s'est pas Didi mdr) * Ok, cours très loin*
Ma Fiche : Mach Bonin

Miya Diablo

Dieu

Re : Diane vous salue bien bas.

Réponse 5 dimanche 12 décembre 2010, 21:25:54

Et je valide !! C'est très bien écrit, et d'une qualité que j'apprécie :) !

re bienvenue et bon jeu alors ^^

Diane Foss

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 6 dimanche 12 décembre 2010, 21:30:21

Merci Miya :)

Et je ne dirai rien sur mon identité, pour l'instant.
Trouvable, et puis pas drôle si je dévoile tout aussi facilement ...
>  Tout le monde a son grain de folie, sauf vous et moi, et parfois je me demande si vous ne l'avez pas vous aussi.

Faeris

Créature

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 7 dimanche 12 décembre 2010, 21:36:18

Han... une jeune femme sans formes digne de figurer dans le livre des records.
C'est bôooooooo :')

Salut toi... Je te mangerais bien toute crue. Un soir de pleine lune bien sur.
___


Toujours prêt au combat !

Leiah N. Mòr Maëlys

E.S.P.er

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 8 dimanche 12 décembre 2010, 22:18:41

Re-bienvenue ! =)

Marine

E.S.P.er

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 9 dimanche 12 décembre 2010, 23:46:41

(re) bienvenue ^^

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Diane Foss

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 10 lundi 13 décembre 2010, 06:50:39

Merci les filles, merci Faeris !

W.w Je suis pas un bout de viande ! XD Ou alors pas comestible >.<
>  Tout le monde a son grain de folie, sauf vous et moi, et parfois je me demande si vous ne l'avez pas vous aussi.

Shylee Tsumo

Humain(e)

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 11 lundi 13 décembre 2010, 08:12:07

Re bienvenue à toi ^^


Hakua

E.S.P.er

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 13 samedi 18 décembre 2010, 18:11:42

Rebienvenue Didi !

*part en courant*

Kit by fothermucking Frig !

Diane Foss

Re : Diane vous salue bien bas. (Valithée)

Réponse 14 dimanche 19 décembre 2010, 11:28:29

Merci merci <3

Hakua, je crois que tu veux mourir. Une préférence ? :D

Khaléo, je suis peut être une mauvaise mère mais c'est même pas ma faute d'abord ! J'ai juste un peu perdu la notion de réalité >.<
>  Tout le monde a son grain de folie, sauf vous et moi, et parfois je me demande si vous ne l'avez pas vous aussi.


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