Le plus vieux rêve de l'Homme, voler. [ Vanéalidé ! ]

Nom :

-

*~ Un roturier tel que lui est né sans nom de famille ~*

Prénom :

Vine

*~ A prononcer à l'anglaise, du genre "vaill-ne", enfin vous voyez ~*

Surnom(s) :

L'ombre grise // La brûme grise // l'insaisissable

*~ Ceux qui ne l'apprécient pas lui donne des surnoms bien moins reluisants. ~*

Âge :

25 ans

Sexe :

Homme

Race :

ESPer

Orientation sexuelle :

Hétérosexuel

Description physique :

Svelte et athlétique, Vine est un jeune homme dans la force de l'âge : il a l'avantage de la jeunesse, mais un corps déjà mature. Musclé, il n'a pas une musculature déséquilibrée comme pourrait l'avoir un forgeron ou un chevalier. Il est clairement fait pour l'exercice physique, mais pas la force pure. La souplesse, la dextérité sont les qualités qu'il préfère travailler. Sa peau est à peine halée et présente quelques cicatrices sur ses bras et son dos, souvenirs de son passage par le bagne. Les yeux noirs tout comme ses cheveux longs, il a un visage glabre avenant au premier abord, sauf s'il ne sourit pas. Il le garde caché lors de ses larcins, et porte également une cape grise en peau de loup ainsi que des vêtements sombres, pour se faire le plus discret possible. Le reste du temps, ses habits sont plus classiques et passe partout. Une partie de ses pouvoirs peut faire changer de façon minime son apparence pour le rendre plus ou moins attirant mais ça, vous en jugerez de visu.

Caractère :

Menteur, tricheur, voleur. Vine n'a rien d'un héro ou d'un saint, loin de là. Sa situation durant sa jeunesse ainsi que la frustration qui en a résulté a fait de lui un monstre d'égoïsme. Il pense à lui en premier, puisqu'après tout il le mérite. Il a trop souvent été ignoré, laissé pour compte, si bien qu'il se renvoie l'ascenseur à présent. S'il vous parle, vous propose quelque chose, c'est qu'il a quelque chose à y gagner, car il ne fera rien par simple bonté. Il y a longtemps qu'il a perdu le sens de l'honneur, donc n'escomptez pas non plus de duel à la loyal, et encore moins qu'il vous accorde sa confiance. Il avait bien placé une partie de sa confiance dans son ancienne guilde, mais vu le résultat, il sera dur pour quiconque de la gagner, ce qui fait de lui un loup solitaire.

Au delà de ce mental quelque peu ... Associal, il peut s'avérer de bonne compagnie, parfois. Souriant, amusant, il sait se tenir et fera en sorte de ne pas faire de vague. Son crédo, ne pas attirer l'attention. Par contre, il ne cachera pas son mépris pour toute personne laissant entrevoir qu'elle possède beaucoup d'argent, d'autant plus si le dit-argent a été obtenu par droit du sang que par le travail. Si vous voulez son respect, vous devez avoir gagner votre dû à la sueur de votre travail.

Concernant les femmes, il en fréquente peu. Il évite les voleuses comme la peste, il abhorre les nobles et préfère rêver qu'il se défoule dessus plutôt qu'autre chose, quand aux femmes du peuple, il n'entend pas se retrouver dans une maison, avec un travail honnête pour le moment, alors il n'envisage rien de sérieux.

Histoire :

Parfois, la vie ne tient pas à grand chose. Vine aurait pu, tel des milliers - des millions ? - d'autres finir sa vie dans cette fosse. Ce ne fut pas le cas. Hatshin, c'est un lieu que redoute les brigands, les violeurs, les tueurs en tout genre. Une sorte d'enfer sur terre, réservé aux pires individus de la société. Pour le profane, il s'agit d'un simple bagne où l'on envoie les rebus. Pour celui qui y vit ... Il est difficile de décrire la vie en ces lieux, mais on peut déjà donner une indication au lecteur : la durée de vie moyenne d'un forcat y est de deux ans.

Il ne faut pas croire à une mort à petit feu, car elle ne concerne que bien peu des criminels. Pour espérer mourir usé par le travail, il faut déjà réchapper à la faim, à la soif, aux écarts de température, à la fatigue précoce, aux éboulements, aux coups de grisou, ainsi qu'à la maladie. Combinez tous ces dangers, et vous obtiendrez ce qui est sans nul doute le plus fort taux de mortalité de tout le continent.

Cela peut paraître injuste, mais il faut garder à l'esprit que l'on envoie là bas les pires criminels, ceux que la société ne peut garder en son sein. Situé dans les landes septentrionales, les fosses de Hatshin ne sont pas accueillantes pour l'homme. Il y fait froid à pierre fendre, et il faut attendre le plein été pour voir la neige fondre. A l'inverse, l'infortuné qui se retrouve dans les galeries des excavations devra subir la chaleur de la terre, une fournaise permanente et oppressante. On extraie de ces mines de nombreux minerais, fer, argent, cobalt, cuivre, et même parfois un peu d'or. Qu'est-ce qui pousse les criminels à obéir et à creuser ? Des gardiens, des brimades allant de la matraque aux coups de fouet, et l'anéantissement de leur volonté. De plus, chaque détenu mangeait en fonction de ce qu'il ramenait. Autant dire que sans se plier au travail, on mourrait vite de faim et ce n'était pas beau à voir.

Certains gardent de l'espoir, et veulent croire qu'un jour ils en réchapperont, mais personne ne s'échappe des fosses de Hatshin. Enfin, ceci est la version officielle, car Vine s'en est échappé. Mais avant d'en arriver au pourquoi, il faut au préalable se soucier du comment. Comment en est-il arrivé là, en un lieu désolé ou l'espoir n'a plus court ?

Vine n'a jamais vraiment eu de chance durant son enfance. Progéniture d'une putain et d'un homme de passage, il a vu sa mère emportée par la maladie - la syphillis - alors qu'il n'avait que 4 ans. Placé dans un orphelinat, il y resta plusieurs années. L'éducation était bien piètre, et l'horizon pour lui et les autres orphelins se réduisaient à quatre choix : la servitude,la criminalité, la mendicité ou la mort. Il avait bien trop de caractère pour prendre le premier, et une trop grande considération de lui même pour choisir les deux derniers. A douze ans, il trainait déjà dans les rues, faisant les poches des passants ou volant de quoi se nourrir. C'est à cette époque que commença à naître en lui la haine pour les riches. Il pouvait les voir parfois, dans la rue, se pavanant dans leurs beaux atours, sans même jeter un regard aux pauvres. Et à chaque fois, Vine se jurait qu'il deviendrait aussi riches qu'eux, et qu'il aurait une vie tout aussi agréable. Après tout, la vie ne pouvait pas être si injuste, non ?

Pendant plusieurs années, il a paufiné sa tactique, ses connaissances sur les larcins. Plutôt agile et doué, il vivait correctement, tout en se retrouvant sous la protection d'une guilde de voleurs. Il devait reverser une partie de ses vols, et il lui arrivait de passer une nuit au cachot lorsqu'il se faisait attraper, mais la vie n'était pas si mauvaise, en fin de compte. Il ne le savait pas, mais certaines de ses capacités n'étaient pas naturelles. Son aisance, sa force par moment ne correspondaient pas à un jeune homme de sa corpulence. Pourtant, chacun s'accordait à lui reconnaître du talent, rien de plus.

A l'âge de vingt ans, il avait commencé à se faire une petite réputation parmis les voleurs. Il parvenait à se glisser dans des lieux hautement protégés, et ses prouesses suscitaient admiration et envie. S'il profitait de l'admiration pour obtenir les faveurs de quelques femmes, l'envie et la jalousie qu'il provoquait chez d'autres voleurs lui furent préjudiciables. Souhaitant pénétrer dans l'appartement privé d'un bougeois afin d'y dérober des bijoux, Vine vit sa courte carrière de voleur prendre un coup d'arrêt cette nuit là. Il crocheta l'une des fenêtres, car il aimait venir tel un funambule par les toits. Mais une fois à l'intérieur, il s'aperçut bien vite que quelque chose clochait. Une odeur, une impression ... Des lueurs de chandelles dans le couloir, et deux hommes armés qui déboulèrent, éclairant à la lueur de leurs chandeliers le corps sans vie du bourgeois étendu sur son lit. Il avait bien essayé de fuir par le toit à nouveau, mais ils l'avaient rattrapé. Il en était sûr, quelqu'un était passé avant lui tuer le nobliau, pour lui mettre le meurtre sur le dos.

On lui passa les fers, et on le jeta au cachot. Durant cinq jours, le voleur attendit le jugement, et la sentence. Jamais on ne vint lui demander sa version : après tout, il était là, dans la chambre du mort, c'est qu'il était coupable non ? Qui croirait un voleur ? On le traîna au tribunal public, et la sentence fut le bagne. Pour lui, il s'agissait d'une sentence pire que la mort, vu ce qu'il en entendait depuis des années. On ne lui laissa pas le temps de se reprendre, poussé dans une cage, tiré dans une charrette, on le transportait tel un animal sauvage. Une honte pour lui.

Le trajet fut un supplice, et l'arrivée à Hatshin pire encore. On lui donna un trou, dans un coin de camp, qui devait lui servir d'abris pour la nuit. Une ecuelle, une lanterne et une pioche, c'est tout ce qu'il eut en plus, et le travail commença. Douze heure par jour, il se trouvait sous terre à creuser, trier des morceaux de roche et tenter d'y distinguer du métal. Il lui arrivait parfois d'échanger quelques mots avec d'autres détenus, mais c'était rare car très mal vu par les mâtons. Vine avait l'avantage de la jeunesse, mais lorsqu'il reçu trois coups de fouet pour avoir discuter plus que de raison, il préféra garder la bouche close.

Trois ans. Près de mille cent jours à gratter, creuser, souffrir. De ceux arrivés en même temps que lui, aucune trace. Il était le seul, et certains arrivés il y a peu mourraient déjà, alors que lui tenait. Aucun registre ne tenait à jour le nombre de détenus, mais le nombre de morts depuis son arrivée ici dépassait les cinq cent. Depuis plusieurs mois, Vine s'interrogeait sur le pourquoi. Qu'est-ce qui le rendait plus endurant que les autres ? Il avait eu de la chance de ne pas se trouver dans l'effondrement d'une gallerie, mais ça n'expliquait pas sa longévité. Il aurait pu croire en une bonne étoile, mais si quelqu'un, là haut, lui voulait réellement du bien, il ne le laisserait pas ici.

La révélation lui vint un jour pluvieux de juillet. Au dehors, la température ne dépassait pas les quinze degrés, et une pluie fine avait détrempé le sol. Dans sa gallerie, l'eau ruisselait pour s'enfoncer on ne savait où. L'éclat qu'il venait d'extraire formait une coupole, et l'on y percevait clairement des veines de cuivre. L'eau coula dessus, se déposant dans le receptacle, et il profita de cette coupelle pour s'agenouiller et boire dedans. L'eau avait un goût de métal, mais qu'importe, il avait soif. Après quelques secondes, il sentit un regain de force dans ses bras. Bien trop pour que cela soit dû seulement à l'eau. Il en reprit, et fit le lien entre le métal et son état. Aussi étrange que cela put paraître, le cuivre qu'il sentait dans l'eau semblait le rendre plus fort.

Durant les jours suivants, Vine réitéra son test, allant même jusqu'à ingérer un peu de cuivre réduit en poudre. L'effet fut immédiat, il se sentait en pleine forme, plus encore que ... Non, il n'aurait pas su dire depuis quand. Poussé par sa réussite, le voleur fit d'autres essais, à mesure qu'il trouvait du métal. Si certains ne semblaient rien lui faire, d'autres provoquaient en lui des sensations qu'il ne connaissait pas. Durant tout ce temps ici, il avait ingéré des particules, de la poussière de métal en quantité infime, et cela l'avait gardé en vie, bien qu'il ne sache comment exactement. Mais après cette découverte, et avec des quantités de métal plus importantes, il retrouvait déjà sa jeunesse et sa force, plus grande encore que lors de son arrestation.

Il dût attendre encore quelques jours. Mettant de côté du métal, il se décida lors d'une nuit sans lune. Avec le peu d'eau qu'il avait, il avala toute la poussière des métaux qu'il avait récolté. La force irradiait en lui, et ses sens semblaient décuplés. Se glissant furtivement près de la clotûre d'enceinte, il jeta un morceau de fer au sol, s'élança au dessus et activa son don : il fut projeter en l'air, la poussée provoquée sur le métal le repoussant dans le sens contraire. Plus une chute qu'un vol, le voleur atterrit lourdement de l'autre côté de l'enceinte, mais son corps encaissa le choc de ce qui aurait probablement brisé les os d'un homme costaud mais normal. Une fois au dehors, Vine se mit à courir, décidé à fuir ce lieu maudit et à ne jamais y revenir.

Deux ans déjà qu'il avait quitté ce bagne. Il n'était pas retourné dans sa ville natale. Pour tous, il était probablement mort dans un ébouli. De quoi refaire une vie, effacer ce meurtre qu'il n'avait pas commis de son "casier". En développant ses connaissances et ses talents, il débutait une nouvelle vie : s'il avait été un voleur doué, il était à présent en passe de devenir un voleur hors pair, de légende. Rien ne semblait lui résister, pourtant il ne cherchait pas à étaler sa réussite dans les bouges des bas fonds. Dans toute la ville, on entendait parler de la brûme grise, ou de l'ombre grise, les deux surnoms que l'on donnait à ce voleur insaisissable. Il doit ses surnoms à la cape grise en peau de loup qu'il porte lors de ses larcins, seul élément tangible que des observateurs ont pu rapporter. Il faisait tourner en bourrique la milice de la ville, et il ne comptait pas s'arrêter là, car ces années de sévices n'avaient fait que renforcer sa haine des nobles, et il comptait bien les détrousser encore et encore. Vine faisait tout cela pour son propre compte : l'altruisme avait ses limites, et bien qu'il aida parfois un orphelinat, il menait lui même un train de vie de bourgeois, dépensant le jour ce qu'il avait volé la nuit.

Durant la journée, il fréquentait certaines auberges, flânait ou dormait. Rien de bien méchant, et rien qui puisse attirer l'attention. Par contre, la nuit s'ouvrait à lui comme son royaume. Parfois, il rejoignait les bouges situés dans les bas fonds de la ville, afin d'y jouer à des jeux d'argent. D'autres fois, il visitait les demeures de riches bourgeois pour y prélever argent et bijoux. Plus rarement il détroussait des passants, vidant leurs poches avec une dextérité étonnante - et un peu de magie - mais ce n'était clairement pas son passe temps favoris.

En dehors de sa vie de voleur, Vine cherchait parfois à savoir ce que serait sa vie en dehors du vol, de ses capacités, de son passage par les mines. Il envisageait de temps à autre de faire toute la vérité sur le piège qui l'avait privé de trois ans de sa vie. De manière étrange, il ne se focalisait pas trop sur cet épisode de la vie, comme s'il cherchait à l'oublier et à ne pas chercher la vengeance. Seulement, ses capacités et ses nouvelles finances ne cessaient de le ramener à ces souvenirs, et la possibilité oppressante de se faire justice.

Situation de départ :

Expérimenté, sans plus.

Autres :

Afin de gérer ses pouvoirs, Vine possède et achète toute sorte de métaux. Il ne connait pas les limites car il n'a pas testé certains métaux, mais également car certains ont des effets non visibles. L'utilisation de ces métaux se faire par une "combustion" de cette matière, préalablement ingérée. Les métaux achetés sont réduits en poudre, puis dilués dans des flasques d'eau pour les avaler plus facilement.

*~ Extrait de "Sorcelleries des métaux" - Auteur inconnu.

...

Le Fer

Le fer permet de tirer les métaux vers soi. Cela ne fait qu'appliquer une force proportionnelle au poids du magicien depuis la source de métal.

L'acier

Cet alliage permet de repousser les métaux proches. Cela exerce une force proportionnelle au poids du magicien sur le metal donc si celui-ci est bloqué ou plus lourd que le magicien, ce dernier s'en retrouve repoussé.

L'étain

L'étain permet d'augmenter les facultés de perception du magicien. Cela lui permet de voir la nuit ou d'écouter des discussions à voix basse, mais cela peut aussi le rendre aveugle s'il perçoit une lumière trop forte ou sourd si un son trop violent lui parvient.

Le potin

Cet alliage permet d'augmenter les facultés physiques du magicien : Sa vitesse, sa force, son équilibre ou sa capacité à endurer des blessures qui devraient normalement le tuer.

L'or

L'usage de ce métal n'a pas encore pu être vérifié, par manque de résultat.

...

*~

Chacun de ses pouvoirs a également un pouvoir de charge. Vine peut stocker une partie de ses forces ou sens dans le métal correspondant, pour y puiser par la suite le surplus. L'inconvénient étant d'avoir eu suffisamment de temps pour le charger afin que cela soit significatif, et d'avoir le morceau de métal sous la main.

Comment avez-vous connu le forum ?

Multicompte.

Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels ?

Pas pour le moment.

Rebienv'nue

Je trouve l'avatar sympa (Noël, c'est pas une fille à gros boobs !)

Rebienvenue ! =)

Je trouve l'avatar sympa (Noël, c'est pas une fille à gros boobs !)

C'est clair que l'ava déchire !

Dit heureusement qu'il en a pas de boobs! Je me poserais des questions sinon Oo

J'adore l'histoire perso, on voit bien que ton perso en a bavé durant toute sa vie! Un homme mure résistant et au caractère ténébreux grrr intéressant * main sous le menton*

Ah tiens, Talon, salut ^^

(zut, un de mes contres sur le forum... bof, mon "Charme" ici marche beaucoup mieux que sur Lol ♥)

Bienvenue ^^

Bienvenue ^^

Bienvenue à toi, subtil gredin !

C'est une idée à toi le pouvoir des métaux ? C'est sympa en tout cas, vraiment atypique !

Tiens donc, c'est moi où y a du Sanderson là dedans !  Mais oui, mais oui, z'ai cru voir un Sanderson !

Merci de votre accueil ! Effectivement, le pouvoir et le concept du personnage proviennent d'un livre de Sanderson .

Au plaisir de vous détrousser, mesdames ! (Désolé les messieurs, vous m'intéressez moins )

Et Talon (qui est bien le personnage de League of Legend, sous son skin "Talon Lame du dragon") maitrise aussi ses dagues. (il est d'ailleur assez coriace avec ça)

En tant que voleur je pense quand même qu'il doit savoir les manier ^^

Mais bon c'est toujours bien de préciser !

Bonjour et Rebienvenue !

J'adore la fiche ! ^^

Il y a quelques fautes, mais rien de très grave.

Si je comprends bien, Vine possède le pouvoir d'assimiler ce que les métaux lui procurent en les ingérant. Donc, ne serait-il pas mieux un E.S.P.er, plutôt qu'un humain ?

Au plaisir de vous détrousser, mesdames ! (Désolé les messieurs, vous m'intéressez moins )

Donc si j'ai bien capté, tu peux enlever le "dé" devant "trousser" :p

L'avatar collait bien à mon idée, donc Talon s'imposait .
Je peux le noter E.S.P.er oui, ca collerait mieux.

Quand à Gabriel, tu oses insinuer que je trousse et détrousse de jeunes innocentes ? Je suis outré (ou pas).

Ca roule pour moi !

Je valide. Tu peux filer voler des bourses bien remplies !