Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Cédille. [Validora <3]

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Cédille

Humain(e)

Cédille. [Validora <3]

dimanche 12 mai 2013, 19:13:20

Cédille







« Il y a très longtemps, un homme que j'aimais m'a dit la chose suivante : tu es une femme qui pourrait très facilement devenir une prostituée. On dit souvent cela de n'importe quelle femme, que toute femme, par nature, est une prostituée en puissance, n'est ce pas ? Après tout, pourquoi pas ? La prostitution est-elle un phénomène qui profite à l'homme ? A la femme ? Peu importe, à la vérité. Dans mon cas, l'important était qu'elle puisse me permettre de réaliser mes tendances nymphomanes. Je pense que c'était là la raison première, avec l'argent, évidemment. Une voiture avec chauffeur. Cet aspect-là avait aussi, bien entendu, une certaine importance. Le luxe. C'est ainsi que j'ai été conduite à faire de très nombreuses expériences. »
(Ecstasy – Murakami Ryû)




Prénom : Cédille.

Nom : De Rosie. Mais, bien entendu, je le dissimule jalousement. Personne ne le connaît. Même moi, j'en viens à l'oublier.

Surnom : Gueule d'ange, Honey, Chérie … On me nomme comme on le souhaite, tant qu'on y est le prix.

Âge : Vingt-et-un ans.

Emploi : Prostituée. Mais pas au rabais. Je fais dans le luxe, moi.

Orientation sexuelle : Cela ne dépend que de vous.

Race : Humaine.





CARACTERE

Je ne suis pas une emmerdeuse. J'ai été élevé pour être aimable, polie, douce. En cas de coups de sang, oui, je peux insulter violemment, taper du poing, m'emporter comme une enragée. Mais, dans l'ensemble, je suis normale. Non, non, pas normale. Parfaite. Je suis payée pour l'être, n'est ce pas ? Je suis là pour être de bonne compagnie, me plier à vos envies et à mon plaisir. Je serais votre petite chose. Enfin, ça, c'est quand nous serons dans l'intimité d'une chambre, que vous m'aurez glissé quelques billets. En dehors de cela, ne cherchez pas à m'ennuyer, car je mènerais un train de vie tout ce qu'il y a de plus banal. Et de plus luxueux, aussi. On m'appelait la Princesse, au collège. Ce surnom perdure. Vous me croiserez dans les plus beaux endroits de la ville, accompagnée de quelques amies et amis millionnaires ou milliardaires, issus de l'élite, ou les autres prostituées du réseau, dans des soirées chics et aux-côtés de personnes aussi célèbres que belles. Oui, je suis celle qui fait rougir vos joues mal lavées. Si beaucoup connaissent mes activités de prostituée, c'est parce que je ne m'en cache pas. Parce que je tape dans le luxe, que je soigne mon image comme personne, que je ne salis rien et reste quelqu'un de respectable. Je suis la maîtresse d'une nuit de ce chanteur que vous allez voir en concert, de cet homme politique respecté, de cet actionnaire dont la fortune n'est plus à prouver, de ce Yakuza devant lequel vous baissez les yeux. Nous ne jouons pas dans la même cour. Vous êtes pathétiques, ivres, quand moi je suis au sommet de ma grâce. Je mange des étoiles au petit déjeuner, alors que vous, vous ingurgitez du muesli indigeste au goût de carton. Ah, oui, je suis un peu prétentieuse, il paraît. Comprenez ; j'ai tout réussie et je vous regarde d'en haut. Je vous nargue. Je fais partie d'une élite cultivée, et j'incarne le sexe désinhibé et gracieux, malgré que mes pratiques soient parfois … assez éprouvantes pour vos petits esprits sages. Pas pour moi. J'aime le sexe, j'en ai fait mon métier, et je suis prête à tout pour connaître des orgasmes cosmiques, qui sont mes seules raisons de vivre.




CORPS

Je ne vous cacherais pas que je suis jolie. Bouche en cœur, yeux clairs, longs cheveux blond vénitien, courbes délicieuses, longues jambes et pourvue d'une poitrine aussi ferme que mon joli petit cul. J'ai hérité de la beauté de ma mère. Ma peau est douce comme celle d'une pêche, rose comme un bourgeon timide. Mes doigts sont longs, agiles et forcent toutes les serrures. Ma voix est chantante, douce, pouvant imiter les supplications d'une soumise comme les ordres incisifs d'une maîtresse, chantonnant les airs qui vous plaisent. Je peux vous jouer tous les rôles, même les plus fous. Je danse très bien, bien entendu. Mes hanches et mes épaules peuvent se mouvoir avec une grâce que vous pensiez impensable. Ah, je sais ce que vous vous dites ! « Elle semble être née pour ça. » Oui, je le pense aussi. Rien qu'à me voir, vêtue d'une charmante robe, les jambes croisées, sirotant mon thé, vous le sentez, que je suis faite pour cela. Car je n'ai rien à voir avec une pute de bas-étage. Tout dans mon allure dénote une certaine noblesse. Dans ma manière de parler, dans ma façon de marcher, de manger, de fumer. Il y a une vrai sensualité, un érotisme authentique, dans ce corps qui remue devant vos yeux. Et puis, je tiens à le dire ; j'ai du goût. Mon appartement, situé dans les plus beaux quartiers, est mon petit bébé. J'en prends soin, car j'y passe une partie de mes nuits, à m'y préparer, m'y relaxer, avant de rejoindre mes clients dans leurs hôtels somptueux. J'aime tellement ma carrière que jamais, non jamais, je ne la remettrais en question. Oui, j'aime ce que je fais.






HISTOIRE(s)


Yagushi vous dira que je suis née à Buenos Aires. Nobuo, lui, vous assurera que je viens de New-York. Miyashita pense que je suis issue d'une lignée britannique de sang royal.Takumi est persuadé que j'ai vu le jour à Berlin. J'ai pour habitude de brouiller les pistes, de mentir, de me cacher. Peu de personnes peuvent se targuer de connaître mes origines. Pour vous, seulement pour vous, voici mon histoire. Cousez vos bouches et ouvrez vos oreilles.






- Inés De Rosie ?

La porte s'ouvrit sans grincer une seule fois. La jolie brune s'étira sur son lit d'hôpital, avec la grâce qu'on lui connaissait. Mince, les trait à peine tirés, elle serrait entre ses longs doigts la main de son époux depuis de nombreuses années, Antoine. Seul son regard traduisait son épuisement. L'infirmière qui entra osait à peine la regarder. Inés De Rosie n'était pas n'importe qui. Si elle était, tous devaient l'avouer, d'un beauté éclatante, elle était surtout réputée pour ses talents de danseuse. Si elle n'était pas reconnue dans le monde entier, la France avait eu vent de ses prouesses en tant que danseuse classique, et il émanait d'elle quelque chose de presque divin, tant ses mouvements étaient souples et harmonieux. Elle rejeta sa chevelure d'encre sur une de ses épaules, passant sa main sur ses pommettes. Cette belle danseuse n'était pas comme le commun des mortels ; elle avait quelque chose d'autre dans le regard, au bout des doigts, dans le moindre de ses muscles.

- Votre petite fille va très bien.

Son visage se fendit d'un immense sourire.

- Nous l’appellerons … commença t'elle doucement.
- … Cédille. C'est ce que nous avions convenu, non ?

Inés remercia son époux d'un baiser, timide, sur la commissure de ses lèvres. Cédille. Leur enfant. Qu'on leur apporta peu après, nichée dans une couverture blanche, la peau rose et fraîche, les yeux brillants d'une vie toute neuve.

Derrière eux, Paris s'éveillait doucement, encore engourdie par une nuit tiède et orageuse. Inés De Rosie serra Cédille entre ses bras. Une toute nouvelle vie commençait.






« Maman ne s'en rend pas compte. J'aime pas les filles. Elles me regardent en louchant, me jettent leurs chewing-gum dans les cheveux, disent que c'est moi qui ait volé les chocolats accrochés dans le sapin de Noël. Ces salopes. J'ai appris ce mot aujourd'hui, parce que Fiona m'a insulté de ça. Salope. On était amies avant. Je crois qu'elle n'en a plus rien à faire. Elle ne me regarde même plus, ou alors méchamment, et essaye de me faire des croche-pieds pour que je tombe devant toute la classe. Je la déteste. Je les déteste. Et Maman, elle comprend pas pourquoi je ne veux pas les inviter à mon anniversaire. Elle est idiote. Les garçons essayent de soulever ma jupe et les filles me crient dessus. Je n'aime pas. Je ne les aime pas. Je n'aime personne. »
(Fragment de son journal intime, écrit à 9 ans)






Son premier petit ami, elle l'eut à 12 ans, lors de son entrée au collège. Carl était né en Allemagne, et avait gardé un accent qui la faisait rire. Il était le seul à ne pas vouloir la mettre dans son lit. Avec du recul, Cédille reste fière d'une chose, au moins : sa première fois, elle la fit avec une personne qu'elle aimait. C'est parce que Carl dut quitter la France qu'ils se séparèrent, un an après. Les autres garçons n'attendirent pas une seule seconde pour lui sauter dessus. Pas de pitié pour les jolies filles. Sans le vouloir, elle devint populaire, connue, reconnue, admirée, détestée, choyée, insultée. De bonnes notes, une belle gueule, une grâce héritée de sa mère et une répartie qu'elle tenait de son père. On l'appela 'la Princesse' parce qu'on trouvait qu'elle en faisait trop, avec ses petites manières et ses tenues soignés. Mais tous ces gens ne restèrent, à ses yeux, que des petites frappes. Fiona redevint son amie - parce même la connerie, ça peut s'effacer – et demeura la seule et unique, d'ailleurs. Jamais elles ne se quittèrent. Elles gravaient leurs initiales sur les troncs des arbres du parc, cachant sous leurs racines cartouches de cigarettes et bouteilles d'alcool. La nuit, elles se retrouvaient là, et faisaient tout ce qu'elles ne pouvaient pas faire. Oui, tout. Imaginez donc deux adolescentes ivres, à l'adrénaline et aux sens échauffés, la nuit, dans un petit parc.






« Il y a autant de différence entre les hommes et les femmes qu'entre un vers de terre et l'espace infini du cosmos. » (Ecstasy)

La jeune femme avait eu ces mots en tête depuis toute petite. Enfin, elle avait cette impression. C'est comme si ce livre qu'elle tenait proprement entre ses mains soignées avait mis des mots sur ces ressentis qui agitaient son estomac et ses tendres nerfs. Un garçon s'installa près d'elle, sur cette table où elle fumait seule. Lui proposa un verre. Qu'elle accepta dans un franc sourire. Une heure après, elle soupirait bruyamment entre ses bras, allongée sur un lit, le dos creusé, dans un hôtel aussi luxueux qu'abominablement cher. Les lumières de la Tour Eiffel étincelaient. Elle les voyait quand elle tournait la tête, à la recherche d'une bouffée d'air, vers l'immense fenêtre encadrée par des rideaux livides. Son ventre, ses seins, sentaient le champagne. Il avait versé une bouteille sur elle, buvant à même la peau. Un éclair, et il tomba lourdement sur elle. Son entrejambe était encore chaude, et elle réclamait son plaisir, capricieuse. Cédille rejeta cet inconnu sur le côté, s'installant sur le ventre. Elle avait davantage eut l'impression d'être ramonée que d'être baisée. Agacée, elle lui piqua une cigarette, tandis qu'il s'endormait. Puis elle rentra chez elle, pour fêter dignement ses 16 ans avec papa, maman, mémé, pas pépé qui était mort il y avait deux semaines de cela, et la boule de poils blanche qui lui donnait de l’eczéma et dont elle se débarrasserait peu après.






La valise faisait un bruit très éprouvant tandis que Cédille remontait une petite rue de Seikusu. Pour les études, qu'elle avait dit à ses parents. Y'avait une belle université, là-bas, et puis changer d'air lui ferait du bien. A Paris, elle avait déjà une réputation qui lui tachait la peau. Au Japon, elle pourrait tout recommencer. Pas de nom à porter, une histoire à réinventer, une vie à s'accaparer du haut de ses dix-huit ans tous frais. La main en visière, Cédille détailla les environs. Elle savait très bien où se rendre. La jeune femme réserva une chambre, histoire d'y déposer sa valise, et se rendit dans un des quartiers les plus huppés de la ville. On lui avait donné une adresse. On l'avait recommandé. Un japonais qu'elle avait vu, à Paris. Un chorégraphe qui adorait la vigueur des adolescentes, et qui avait parlé d'elle à une femme qu'il connaissait bien, là-bas, à Seikusu. Une maquerelle. Mais pas une dégueulasse et rabougrie, gérante d'une maison close à la dérive. Non, non, que croyez-vous. Une femme bien. Qui s'occupait de tout un réseau de prostitution de luxe, réservé à l'élite du pays. C'est à la porte de cette femme qu'un matin de Septembre, elle sonna.






- Cédille ? Cédille, ma belle, mon ange, viens-là …

Takumi était le client préféré de la jolie française. Deux ans déjà qu'elle travaillait dans un cercle très privé et très soigné de prostituées, et on la connaissait déjà très bien. Elle s'avança jusque lui, féline, se mordillant la lèvre inférieure dans un sourire amusé. Il serra son visage entre ses mains, l'embrassa avec une ferveur presque religieuse. Elle referma ses cuisses autour de sa taille. Recula son visage. Essuya avec son pouce des restes de poudre qui tachaient son nez. La poudre exacerbe les sensations disait-il souvent. Elle était assez d'accord. Il passa une main dans ses cheveux, affirma une prise ferme qui la fit frétiller d'envie. Ce type était un homme d'affaire réputé. Un trader, ou quelque chose du genre. Même si elle était loin d'être conne, elle s'y connaissait peu dans ce milieu. L'économie, celle qui ne concernait pas son propre argent, ça la faisait bailler d'ennui. Il lui fit boire une large rasade de vodka, qui lui incendia le palais. Toussant comme une enfant après sa première cigarette, Cédille secoua la tête. Qu'il saisit encore, pour la regarder.

- Tes joues sont si rouges.
- L'alcool, je pense.
- Dis, tu viens d'où, ma petite ?

Je viens de Berlin, je suis née dans une famille nombreuse, on était pas riches, et je ne voulais pas être médecin comme mes parents, alors je me suis enfuie. Voilà ce qu'elle récita, parfaite menteuse, et voilà ce qu'il goba. Il devait s'en foutre, songeait elle. Tant qu'elle l'occupait toute la nuit et qu'il ne pensait plus qu'à ses courbes et ses gémissements, et à son plaisir, hein ... Takumi baisait bien, elle l'aimait bien. Et puis, il lui ramenait toujours des petits cadeaux de ses voyages. Cette fois, elle avait reçu une nuisette en dentelle de Calais, blanche, comme un amas de plumes. Nuisette qu'elle n'avait pas gardée bien longtemps.





- Il m'a fait un bleu, cet enculé de fils de pute !
- Paix, Cédille.
- Va te faire foutre ! Je ne me calmerais pas !
- Montre-moi.

Elle dévoila la marque, sur sa joue. Miyashita passa la paume de sa main dessus, grimaça en recrachant la fumée de sa cigarette.

- Je vais le retrouver, ma jolie.
- Et fais-le payer.

Cédille soupira lourdement, expirant violemment par les narines. Miyashita faisait partie d'un groupe influent de Yakuza. Il avait connu la jolie européenne par le réseau dans lequel elle bossait. Et il s'était pris d'affection pour cette blondinette-roussette-on-ne-sait-pas-vraiment. Elle lui piqua une cigarette, appuyant son dos contre le mur du bureau de Miyashita. Il lui fit signe d'approcher. A pas de louve, elle s’exécuta. Il ne fallut pas attendre longtemps pour qu'elle se retrouve perchée sur le bureau, à lui mordre le cou pendant qu'il la prenait.

C'était comme ça que tout marchait. C'était comme ça qu'elle aimait vivre. Son cercle d'influence s'était agrandit, c'en devenait effrayant. Au fond, on pouvait nettement dire qu'elle avait bien réussi dans la vie. Fini les parties de jambes en l'air avec des inconnus. Ici, on la payait pour qu'elle prenne son pied, et ce avec les personnes les plus importantes de la société japonaise.





- Pourrais-je ... Pourrais-je vous voir, en dehors de cette chambre ?

Elle adressa au client qui venait de lui poser cette question un petit rictus. Elle était debout, dos à lui, en train de se rhabiller. Il était assis sur le lit, la couette noué autour de sa taille. Cédille s'alluma une cigarette, faisant attention à bien choisir ses mots.

- Non.
- Non ? Mais ...
- Il faut que vous compreniez une chose. La nuit, vous pouvez atteindre mon monde. Quand vous me payez, je vous élève à mon niveau, il n'y a plus d'obstacles, plus de limites. Le jour, ou même dés lors qu'il n'est plus question d'argent, votre monde, votre réalité n'a plus rien à voir avec la mienne. Vous redescendez, quand moi je remonte.

Il fit la moue, semblant ne pas comprendre. La jeune femme enfila son manteau, ses talons claquants sur le sol.

- Nous ne sommes pas du même monde, voilà tout.









Notes

Personnage librement inspiré et du personnage de la prostituée dans Ichi the killer, de la blondinette adorable de la bande-dessinée Les petits hommes et de la délicieuse et venimeuse Kataoka Keiko du roman Ecstasy  de Murakami Ryû.

Et je pense ne surprendre personne en vous disant que c'est une doublette.




« Modifié: dimanche 12 mai 2013, 19:34:33 par Enora »

Darthestar

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Cédille.

Réponse 1 dimanche 12 mai 2013, 19:31:07

Bienvenue demoiselle


Enora

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    J'suis une rapide du katana. Quand je RP.

Re : Cédille.

Réponse 2 dimanche 12 mai 2013, 19:34:15

Je suis presque sûre que je dois dire rererere(...)rebienvenue, non...? x)

Magnifique personnage, vraiment. Enfin, le genre que j'aime et que j'aurais aimé savoir faire.

Attention toutefois aux traits d'union qui n'ont pas lieu d'être souvent... Et à quelques fautes d'inattention.

Mais pour moi : VALIDEEEEEEEEEEEEEEEEE !

Cédille

Humain(e)

Re : Cédille. [Validora <3]

Réponse 3 dimanche 12 mai 2013, 19:38:44

C'est un honneur d'être corrigée par toi, Enora :3

Merci beaucoup pour ces compliments, et oui, oui, c't'encore moi ...



(Et merci, Darthestar)

Enora

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Re : Cédille. [Validora <3]

Réponse 4 dimanche 12 mai 2013, 19:46:21

Un honneur ? Au moins, pardi ! ^^

Tengoku Megumi

Humain(e)

Re : Cédille. [Validora <3]

Réponse 5 dimanche 12 mai 2013, 20:20:41

re-Bienvenue ^^

Cirno Tsurara

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Re : Cédille. [Validora <3]

Réponse 6 lundi 13 mai 2013, 01:16:22

Bienvenue. Bel avatar et très belle fiche.


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