Téléporté [Karen]

Nava était curieux, très curieux: à peine avait il emmenagé dans cette nouvelle ville, qu'il connaissait à peine, qu'il parcourait déjà tous ses après-midis la ville de fond en comble ainsi que ses banlieues...Parfois, il atteignait mêmes les campagnes, et c'était la galère pour retourner chez lui, fatigué, perdu...

Une fois, ses promenades l'avaient conduit dans une sorte de bosquet, vierge, que personne n'avait l'air d'avoir fréquenté depuis des lustres. Super, cela faisait longtemps que Nava n'était pas retourné dans une forêt pour observer sa faune...Ca serait fascinant...

Au gré de ses pas et de sa curiosité il tomba sur une étrange arcade, recouverte en partie par le lierre. Il n'avait aucune idée de ce que c'était. Vétuste, ancienne mais pourtant la construction tenait encore et ses murs ne s'écroulaient pas du tout..Il eut l'envie de passer sous l'arcade, admirer son architecture. Tellement distrait,il trotinnait la tête en l'air et ne vit pas qu'à mesure qu'il se rapprochait qu'un étrange halo prenait forme... Il le traversa malgré lui, littéralement pris à l'intérieur...

Étrange comme sensation, comme un rêve psychédélique éphèmere et en même temps éternel dont on ressort amnésique de tous souvenirs, de tout vécu...

Sans savoir pourquoi, il se trouvait dans une sombre pièce, asseptisée, austère, dont l'architecture et la décoration lui étaient absolument pas famillières...Y avait il une sortie? Où était il exactement? L'angoisse commencait à poindre le bout de son nez...

Il faisait sombre avant que dans un grand "tchak !" une lumière puissante s'allume, éclairant toute la salle. Nava se trouvait dans une espèce de salle d'opération assez étrange, a l'architecture différente, semblant être futuriste, aux néons divers, aux murs en métal blanc immaculé et au sol vitré, lumineux. Les coins étaient surtout courbés, pour donner un aspect "rond" a la salle. La porte, elle, était une porte métallique automatique.

L'endroit, par contre, semblait totalement désert. Personne n'était là, et les divers écrans répartis aux quatres coins de la salle étaient éteints, tout comme les machines au plafond. Rien ne semblait témoigner une quelconque trace de vie ici, même pas un champignon, rien.

Jusqu'à ce que, quelques minutes plus tard, on pouvait entendre des bruits de pas claquant dans les couloirs. Au vu du bruit, c'était des pas féminins, car le bruit rappellait sensiblement le bruit des haut talons contre le sol.

" Bon, t'as bien compris ? Toi tu restes là et tu surveilles si y'as personne, moi je vais voir a l'intérieur, y'as peut-être des trucs marrants à récupérer. C'est pas tous les jours qu'on peut fouiner un centre de nanochirurgie désaffecté !... "

Une voix, bien féminine, venait de résonner dans les couloirs, suivi de la voix d'une autre femme, tout aussi jeune. Ca semblait être de jeunes filles. Les pas s'approchaient sensiblement, comme pressé, et Nava pouvait entendre les pas se diriger vers la salle d'opération. La porte automatique s'ouvrit, disparaissant dans les murs, tandis qu'une jeune fille aux cheveux rouge entrait dans la pièce.

Ses deux oreilles proéminentes et rouges semblaient légèrement frétiller, pendant qu'elle croisait les bras sous un espèce de top qui en fait n'était qu'une bande de tissu recouvrant à peine ses mamelles, elle portait aussi un pantalon ouvert à l'arrière de manière à ce qu'on voie ses cuisses et une belle partie de sa culotte rouge vif, et il pouvait voir la provenance du son: elle portait des bottes manière cowboy à haut talons.

Elle s'approcha alors de la table d'opération, fouillant les tiroirs d'un petit meuble à côté.

" Alors, voyons... Nanomachines, nanomachines, où êtes vous cachée ?... "

Nava s'était assis par terre, genoux pliés. I se tenait les genoux, laissait tomber son regard aux alentours: seules quelques feuilles l'avaient rejoint dans son étrange périple.

Bon sang de bong sang, mais qu'est ce que je fais ici..

En effet, il s'angoissait de plus en plus: il était prisonnier de l'inconnu. Il se trouvait quelque part...c'était son unique certitude...Il avait arrêté de zieuter les murs et les plafonds, car rien de tout ça ne paraissait le rassurer. Il devait être dans une sorte d'hopital, oui, ou quelque chose y ressemblant... Quelques étagères et armoires trônaient dans la piece, mais il n'avait pas le coeur à être curieux. Surtout maintenant.

Pour s'ajouter à tout cela, des voix et des pas se firent désormais entendre. Cela aurai aussi bien être le son de son salut ou de s perte. Il prit la sage décision de voir arriver, seuleent ensuite on envisagerait...

Même s'il comprit que c'était une jeune femme, certainement une adolescente, qui s'introduisait dans la piece, elle avait l'air d'avoir autant le droit d'être ici que lui.Cela n'aurait donc pas été judiciex de se faire remarquer:elle avait peut-être une arme, ou alors elle n'était  pas seule. Prudence...

Derrière un bureau, ils'aventura à la guetter. Elle était jeune, de dos, elle était accoudée à une table, elle devait y chercher quelque chose...Seul le terme "nanochirurgie" parvint à ses oreilles,  qui ne l'avancait guère dans sa quête de réponses à ce qu'il faisait là. Néanmoins, ce n'était certainement pas une infirmière, ni une doctoresse, vu sa facon de s'habiller, ce devait être une adolescente un poil allumeuse. En effet, dans ses recherches, elle trifouillait dans les tiroirs et se penchait toujours un peu plus. Hypnotisé, il avait parcouru ses jambes des yeux depuis ses élégantes bottes jusqu'à un partie de sa culotte rouge vif, posée sur ses fesses, obnibulante pour le jeune homme qui espérait plus de son inspection.

Resté discret jusque là, il leva la tête pour essayer d'apercevoir son tronc et sa tête. La curiosité est un vilain défaut et on en paie toujours le prix: il se cogna violement la tête contre un tiroir encore ouvert, dans un brui sourd.

Aïe, merde

Quoiqu'il puisse lui arriver désormais, cela ne devait certainement plus être de son ressort.

Karen était totalement absorbée dans sa fouille des tiroirs, fouinant un peu partout à la recherche de matériel qu'elle pouvait récupérer.

" Mais merde à la fin, où ils ont planqué tout ça ?... "

Tournant le dos à Nava encore cachée, elle se coucha de manière perpendiculaire sur la table d'opération, faisant disparaître sa tête de l'autre côté de la table en agitant ses jambes dans les airs, les fesses exposées.

" P't'être là dedans ? "

On entendit un pianotement, puis un panneau coulissant qui s'ouvre.

" Tiens, je crois que j'ai trouvé quelque chose. "

Elle se releva enfin, fière, tenant des flacons et une boîte de seringues vides dans ses mains. Elle s'épousseta le pantalon, en embrassant la boîte transparente contenant le précieux matériel médical.

" Hihi, jackpot ~ "

Au "clang" sonore, elle se retourna, surprise, ayant un hoquet d'exclamation. S'ensuivait une voix masculine, qui provenait de dessous un bureau. Elle s'approcha, doucement.

" Y-Y'as quelqu'un ?... "

Elle se mit à genoux, en inspectant le bureau, et elle vit deux jambes derrière celui-ci. Son sang ne fit qu'un tour, et elle attrapa les pieds de cet inconnu pour le tirer hors de sa cachette par-dessous le bureau, et s'assit immédiatement dessus pour l'immobiliser.

" Ah-Ha ! J'te tiens ! "

Elle regarda alors le type. Un jeune fringué assez bizarre. Probablement un junkie qui avait trouvé sa came sur place et avait élu cet endroit comme nouveau domicile.

" Tiens, t'as pas une tronche de paparazzi toi. LOOOOOOUUU !! VIENS VOIIIIR !! "

Elle mit ses mains en porte voix, et aussitôt une deuxième fille rappliqua. C'était des pas lourd et métallique, comme si un soldat approchait en trombe. Mais dans l'encadrure de la porte apparut une jeune fille aux cheveux roses, aux traits noirs assez étrange sur le visage, comme si il était fendu.



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" Qu'est ce qui se passe ? T'en as trouvé ? "

" T'as vu, j'ai trouvé un autre voyeur. Tu crois que c'est encore un des leurs ? "

" Non, il serait jamais venu tout seul. Débrouille toi avec lui, je retourne surveiller l'entrée. "

Elle repartit, tandis que Karen maintenait toujours l'intrus en place.

" Bon, qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi ? "

Nava avait le coeur qui s'agitait, les tempes qui se gonflaient et se vidaient à une allure folle. Il respirait fortement, la situation avait complétement viré de bords en l'espace de quelques secondes, et il s'en voulait encore terriblement d'avoir été ausi stupide et voyeur...

Néanmoins, il se voyait quelque peu rassuré apparemment, elle ne possédait pas d'armes de plus, même si elle avait eu l'opportunité d'appeler de l'aide, elle avait renvoyé sa copine. Elle n'avait pas du tout l'air impressionnée par Nava...Heureusement?

Quoi qu'il en soit, elle était sur lui. Mater son cul l'avait tout de même excité, mais dans une telle situation, il pouvait espérer que, primo, cela allait vite retomber, secondo, elle ne s'en rendrait pas compte...



Faut pas croire que...je suis pas un junkie ou un clodo,je viens de Kyoto...et puis, comment dire...pouf, je suis arrivé là...

Sérieusement, il n'espérait tout de même pas qu'on croie ses paroles après ce qu'il venait de débité...

Sauriez me dire où on est ?

Parce que j'en ai strictement aucune idée...

Elle arqua un sourcil. D'où il sortait ce type ? D'abord, elle avait même pas parlé de junkie, et en plus il savait même pas où on étais.

" Bordel, il est tellement shooté qu'il se souviens même plus d'où il est, c'est grave ça ! T'es à Tekhos, t'as compris ? Tekhos ! "

Elle croisa les bras. C'était pas possible de trouver un défoncé pareil, pourtant il semblait pas être drogué.

" Tokyo ? C'est quoi ça ? "

Elle se frotta l'arête du nez. C'était bien beau, mais il devait encore y avoir plein d'objets intéressant à voler ici, a l'instar de son matériel déjà dégotté.

" Bon, tant que t'es là, tu va pas rester là à ne servir à rien. "

Elle se releva, et porta sa botte sur l'entrejambe de Nava, en appuyant dessus avec insistance, prenant appui sur son genou.

" Alors, dis-moi où ils ont planqué toutes les jolies seringues et le matériel de cette baraque, ou tu va finir castré mon gentil voyeur. "

Fit-elle avec un sourire sadique.

Taiquosse? C'est où çà?

A chaque précision, il devenait paradoxalement de plus en plus déboussolé. Il n'avait jamais entendu parler de cet endroit. Plongé alors encore dans ses réflexions qui resteraient sns réponses. Elle appuya sur ses parties, les plus fragiles qu'un homme puisse posséder.

Elle, non plus, ne connaissait pas Tokyo, tout ce qui l'importait c'était ses seringues.

" Alors, dis-moi où ils ont planqué toutes les jolies seringues et le matériel de cette baraque, ou tu va finir castré mon gentil voyeur. "

Mais j'en sais rien, je vous dit que je viens d'arriver, d'être, je ne sais pas moi, téléporté de Tokyo, jusqu'ici...J'ai pas de seringues

Soudain, il prit conscience de TOUT ce qu'elle avait dit...

Me castrer? Mais pourquoi, j'vous dit que je n'ai rien du tout...

Au final, elle était bien plus dangeureuse qu'il n'y paraissait...Il était dans de beaux draps. Il ne pouvait s'échapper: elle contrôlait à 100% la situation, et où aurait-il pu bien fuir? Il ne connaissait rien de l'endroit...
Il s'était retrouvé, lui, d'une vingtaine d'année, parti pour se ballader en forêt à la merci d'une jeune fille, adolescente qui avait l'air à moitié folle et capable de mettre à excécution ses menaces...

Il était tellement dans ses taches de toutes les couleurs qu'il savait même pas où était Tekhos, il en tenait vraiment une belle couche. Même Karen, après s'être prise aux moins cinq bouteilles de Koltova cul-sec d'affillée elle était pas comme ça.

Seulement, il prenait plaisir à détourner ses questions et, assez irritée, elle appuya un peu plus sur l'appareil reproducteur gonflé de Nava, pour lui indiquer qu'elle hésiterait pas à brutaliser cette partie de son anatomie si il ne faisait pas ce qu'elle demandait.

" Bon, j'en ai marre, soit t'arrêtes de voir la Sainte Vierge à poil, soit je te renfonce la queue, c'est compris ?! Maintenant, tu va me dires où est planqué le matos intéressant, ou tu va sentir ma botte passer ! "

Elle agita la boîte sous le nez de Nava.

" Alors, où sont planquées toutes les nanomachines, hein ? Allez, réponds ! "

Nava était vraiment dans la merde noire...Elle le croyait toujours saoûl, menteur alors qu'il disait la vérité. Et ce n'était pas le genre de femme a hésité quand il s'agissait de donner des coups de pieds dans quelque chose. Nava sentait son émasculation proche...Domage,vraiment...

Mais je vous jure...

Je vous ai entendu parlé de nanochirurgie, je ne sais pas ce que c'est. Mais si vous voulez trouver des seringues, je veux bien chercher...Tant que vous ne m'éclatez rien....

Je ne suis pas ivre! Je suis perdu!

Par pitié, ne me tuez pas, je dis la vérité. Est-ce que j'ai l'air pété?ivre?

Il découvra les creux de ses coudes pour prouver sa bonne foi, mais il n'osa pas faire sentir son haleine du moins...

Le problème dans ses situations, c'est que, même quand on a ses propres couilles en danger, la vue d'une magnifique paire de seins vous remonte le moral de votre sexe...

Nava avait la verge qui gonflait et de plus en plus en danger...A force, le ridicule de la situation devient normal, une simple habitude qu'on écart très vite...

Elle continuait de fusiller Nava du regard. Non mais il se prenait pour qui, ce junkie qui continuait encore à refuser de lui répondre ?

C'est en voyant ses bras qu'elle compris que au final, il devait juste être complètement crétin. Mais au moins, il pourrait toujours servir à quelque chose.

" Bon, ça va. "

Elle donna une bonne pression sur le sexe de Nava, par simple plaisir sadique, sans pour autant réussir à lui faire mal. Elle le prit ensuite par les épaules et le fit se relever.

" Bon, t'as bien vu ce que je cherche, pas vrai ? Cherche n'importe quoi avec une étiquette marqué "nano" ou "nanomachines" dessus, le reste tu t'en tapes. Quand t'en trouves, tu m'appelles. Ah et au fait... "

Elle pointa du doigt la bosse dans le pantalon de Nava

" Tu ferais mieux de faire quelque chose pour ça, parce que sinon les tissus vont vraiment péter tu sais. "

Elle se retourna, en continuant d'inspecter la pièce, se penchant par-dessus les bureaux pour fouiner.

Sauvé! ou presque...

Il pouvait l'aider à chercher ce qu'elle voulait, ses nano-machins, ou je ne sais quoi...

Il arriverait bien à glâner deux trois trucs ici ou là de toutes façons...Cependant il était toujours en érection, et elle lui avait bien fait remarquer, mais à côté d'une telle fille habillée ainsi, et debout, c'était encore plus visible...

Il ne voulait bien sûr pas se faire remarquer dans cet état, mais il fallait bien demander où chercher, il n'était pas du coin non plus...

Timidement:

Euuuh, excusez-moi, y a un endroit où je dois chercher en particulier?

Il en tenait vraiment une couche. En se relevant en jetant des dossiers par terre, elle se retourna vers le voyeur a qui elle avait pour l'instant épargné ses parties génitales.

" Mais j'en sais rien moi, fouille partout ! Ils doivent bien avoir stocké leur matos quelque part ! Alors bouges-toi un peu, ou alors tu ressortiras d'ici sans couilles ! "

Elle gardait toujours tout près d'elle la boîte contenant les seringues et les flacons remplis de liquide, tandis que Lou revenait dans la salle.

" Dis Karen, on devrait se bouger non ? Il est déjà une heure du matin. "

" C'est bon, ils reviennent pas avant 6 heures, on as encore tout le temps de tout rafler ! "

" Tiens, il est toujours là, lui ? "

" Oui, il va nous aider à les trouver. "

" D'accord, mais perds pas ton temps avec. Tu pourras après qu'on aura trouvé assez de nanomachines. "

" Je fais ce que je veux, compris ? Tu te prends pour ma mère, maintenant ? "

Lou fit demi-tour, sans broncher, et retourna à son poste.

Karen se tourna alors vers Nava.

" T'attends quoi ? Cherches, au lieu de me reluquer comme un gros pervers ! "

Il se mit à chercher sérieusement: on lui avait tout bien expliqué comme à un débile, il savait quoi et où chercher.. Une question de plus et il aurait fini pitoyablement sa vie dans cette pièce à l'allure d'entrepôt délabré...

A gauche, à droite, en haut et e bas, il fouillait tout de fond en comble, bruyamment.

Arrête de faire du bruit, sinon, tu sais ce qui va t'arriver...

*gulps*

Apres de nombreux et infructueux tiroirs, il en avait ouvert un contenant une boîte dotée d'un cadenas, avec l'inscription

SERINGUES 0.2mm NANOCHIR.

Dis, c'est pas ça que tu veux?

Il lui lança la boîte et elle commença son examination

Qu'est ce qu'elle voulait dire ta copine par "ne perds pas trop ton temps avec lui"?

Elle attrapa les nanomachines en vol, visiblement satisfaite de cette nouvelle découverte. Elle le déposa sur la table d'opération, avec l'autre paquet.

" T'es pas si inutile finalement ! "

Elle se demandait bien à quoi pouvait bien servir ces nanomachines là. Bah, Lou était capable de tout analyser, alors elle le saurait tôt ou tard. Pouvoir se faire de la nanochirurgie gratuite à domicile, c'était top.

En se frottant les mains d'envie devant les boîtes, elle fut interrompue dans sa contemplation du précieux matériel médical par une question de Nava. Décidément, il tenait vraiment à être chiant celui-là.

" Rien, elle voulait rien dire. Bon, on as plus rien à faire ici. Faut fouiller ailleurs, et toi tu me suis. "

Elle prit les boîtes dans ses bras, avant d'aller fouiller les différentes salles, sans grand succès, avant d'arriver à une porte cadenassée, qu'elle tenta de forcer. Un écriteau à néon marquait "Stockage du matériel médical" sur cette même porte.

" Merde, alors qu'on va toucher le jackpot !... Toi, ouvres moi cette porte c'est un ordre ! "

Ouf, c'était bien ça. Déjà une chance en moins de perdre ce qui lui appartenait.

Elle avait répondu de mainère plutôt évasive à sa question. Bon, il n'allait pas lui redemander ça, et puis, au fond, lui aussi s'en foutait...

" Merde, alors qu'on va toucher le jackpot !... Toi, ouvres moi cette porte c'est un ordre ! "

*Mais merde, je suis pas son clebs, bordel...Franchement, dans d'autres circonstances, elle aurait déjà ramassé une claque celle-là*

Je veux bien essayer, mais je ne crois pas que ca va marcher...

En effet, il l'avait quand même abimée, mais la porte n'avait pas cédé...Il faudrait pousser une armoire dessus, comme celles dans la pièce mais Nava ne voulait pas s'épuiser non plus...Surtout pour rien au final...