Un viol pas si non-consentant [Libre / hentai uniquement]

J'avais tellement bu ce soir. La tournée des bars avec les autres filles étaient un des seuls moments "humain" que je me permettais : je buvais jusqu'à pus soif, sans arrêt, en prenant verre après verre de quoi me remplir l'estomac et les veines d'alcool. En général, je tenais bien la bière, alors je préférai plutôt les alcools forts : vodka, whisky, saké... tout pur et en double dose. Il était tard, et j'avais abandonné les autres filles pour un beau gosse que j'avais vu au bar. On était allé aux toilettes et il m'avait baisé... mais c'était décevant au possible. Il grognait tellement, et moi je sentai rien. Il y allait fort, et moi je sentai rien. Il m'avait même léché l'intimité, et moi... bin je sentai absolument rien. Au point qu'à la fin, je l'ai laissé se finir à la main.

J'étais partie du bar, la culotte encore à la main, ma robe moulante dévoilant mes formes, et mes cheveux en pétard comme après avoir été passé sous un rouleau compresseur. Je gueulai dans la rue, afin d'avoir un peu d'attention, mais même Pupuce n'était pas là. Je m'ennuyai : il n'y avait rien à faire à cette heure-ci, à par continuer à boire, mais après un tel fiasco sexuel, j'avais juste envie de rentrer chez moi. Je passai les différentes rues en titubant, grognant sur le premier venu en lui jettant ma culotte à la gueule. J'étais vraiment en rogne ! Et la tête me tournait.

Je me retrouvai dans une ruelle, assise par terre, complètement saoul. J'avais envie de sexe, là, de suite. Et aussi de dormir. J'en pouvais plus. Je n'avais même plus la force de me masturber, je l'aurai fais autrement. Comment j'allais bien pouvoir me soulager ? La tête me tournai de plus en plus, j'étais même plus capable de bouger cette fois.

Pleine nuit, dans le quartier de la Toussaint....Gabriel avait horreur de ça, il était de garde et donc se retrouvait là, à devoir se  coltiner la récupération des poivrots pour les cellules de dégrisement. Travail on ne peut plus gratifiant, il s'était fait gerbé dessus en tout début de soirée et désormais, il avait plus ou moins du mal à digérer ce boulot, oui, il savait très bien qu'il était là à faire ce travail de merde catr il avait fait une connerie, mais ce n'était pas une raison, putain de bordel de merde ! Oui, il avait bien aidé le réseau de prostitution en étant un homme d'affaire dans cette histoire, mais de là à lui filer un mois de nuits de garde en plus de ses horaires normales.... Il ne disait pas qu'il ne les avait pas mérité, loin de là, mais ce n'était toujours pas une raison de le faiore...mais Chika n'avait apparemment pas apprécié qu'il aille voir des catins au lieu d'aller la voir elle, il savait très bien ce qu'il en était, mais il n'était pas intéressé, sur le plan amoureux et il n'était pas intéressé en règle générale, une amie, rien de plus !

Il déambulait dans les ruelles, à la recherche de mieux à faire que son boulot, se prenant, au gré des bars, à un moment une culotte dans la gueule, allez savoir pourquoi, mais la jeune femme semblait pas nette....il avait alors pris la décision de la suivre, juste pour aller jeter un œil au fait du pourquoi elle avait ôté sa culotte et en quoi il l'avait mérité dans la gueule, et aussi parce qu'elle semblait tellement pétée qu'il pourrait apparemment s'amuser sans se faire chier en parlotte ! Il la suivit donc jusqu'à la voir s'effondrer, il se précipita vers elle pour voir si elle allait bien, mais attention, si elle lui gerbait dessus, il lui passerait l'envie de recommencer !

Il vérifia, non c' »était bon, elle était juste complètement ronde, comme une queue de pelle !  Enfin, il l'observait : cheveux en bataille, l'haleine à rendre ivre un autre gars rien qu'en une exhalation, mais bon que voulez vous, là, ilne pensait pas en tant qu'agent en service mais comme homme, tout simplement, alors quelque chose d'autre lui vint en têtre, elle était là, complètement pétée, autant en profiter un peu....

Sa main s'égara doucement vers une partie de son anatomie particulièrement mise en valeur par sa belle tenue, mais première chose à faire, cette culotte qu'il avait pris dans la gueule, il savait quoi en faire exactement ! Il sourit et lui pinça le nez jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche pour respirer, pour la lui fourrer entre les lèvres, doirt dans le gosier, de quoi la faire se taire, et de qjuoi retenir tout vomi qui aurait pu s'en échapper.

« On va s'amuser.... »

Il sourit en  se remettant à lui masser la poitrine, délicieusement ferme et bien assez généreuse comme cela ! Oui, elleétait parfaitement bien adaptée à sa paume, et son contact était des plus intéressants....

Tiens, quelqu'un est là ? J'entrouvre les yeux. Un beau garçon, aux cheveux blonds en pique et une petite barbe de trois jours sur le visage. C'était un beau garçon, très beau. Il me regarda en détail : je devais faire peine à voir, dans cet état. Je n'aimai pas ça, mais en même temps, je m'en foutai : j'étais là, offerte, et s'il crachait sur la marchandise, il le regretterait rapidement. Après tout, un appel de ma part, et Pupuce viendrait immédiatement s'occuper de son cas.

Mais finalement, ce mec n'était ni un gentleman, ni un branle-bite : il commença par caresser ma poitrine, doucement, tenant dans sa main la culotte que j'avais porté il y a quelques minutes. J'aimai jouer le rôle de la petite vierge indécise, alors pendant qu'il me pelottait, je murmurai des petits :

« Non... non... laissez-moi... »

Mais à peine avais-je commencé qu'il me boucha le nez, m'obligeant à ouvrir la bouche en grand, et m'enfonça ma culotte dedans. Je ne pouvais plus faire de bruit ou râler. Quelle dommage. Mais j'arriverai bien à l'enlever, à un moment. Finalement, il se mit à masser à nouveau mes seins, de manière plus ferme, plus assurer. Mmhhh, c'était bon : mon corps répondait déjà à ces caresses en frissonnant de toute part. Après quelques minutes où il profita sans vergogne de mes monts de chaire, je fis mine de me débattre, en faible femme que je devais être pour lui alors. Laissant vaguement tomber mes mains sur les siennes, je tentai de les diriger plus bas : mon intimité était en feu, et la cyprine coulait à flot. Fallait-il vraiment qu'il passe par les préliminaires ?

Avant qu'il ne lui ait mis sa culotte dans sa bouche elle avait poussé de légers cris, il n'avait alors même pas cherché à comprendre, mais ce problème était réglé, et pas qu'un peu, au final, il avait le champ complètement libre !  Surtout que vu l'état de la jeune femme, elle pourrait bien tenter de se débattre sans vraiment de succès, il doutait très sérieusement qu'elle ait la force physique nécessaire à se débarrasser de lui !

Preuve en furent ses mouvements pour se libérer, ne faisant que dériver ses mains vers son ventre, alors qu'il descendait toujours jusqu'à son intimité, ses mains glissant enfin sur ses cuisses pour se glisser  vers son entrecuisse, il était déjà trempé ! Il n'en revenait pas...heu....ouais, elle était soit vraiment en manque, soit victime d'une quelconque produit genre GHB ou dérivé. Et ça ne le dérangeait pas outre mesure. Oui, il avait très peu de scrupules.

Doucement, il laissa errer ses mains là bas, avant d'engouffrer deux doigts dans sa grotte humide, commençant à tester un peu l'intérieur de son corps, alors qu'il la surveillait, oui, il la surveillait, car qui sait ce que l'on pourrait faire, soumise à l'&adrénaline, elle pouvait d'un seul coup sembler plus vigoureuse, sait-on jamais, il ne voulait pas non plus se prendre un coup de latte au mauvais endroit !

« Dis donc, tu sembles déjà vouloir allez plus loin, ma belle, regarde comme tu mouilles.... »

Il sortit les doigts pour les lui montrer, qu'elle s'en rende compte...

Il avait finalement glissé sa main sur mes petites lèvres trempées comme le serait une simple petite pouffe un peu alcoolisée... bon je l'étais un peu, mais tout de même. A peine avait-il effleuré que je gémissais au travers de ma culotte. Je me crispai de tout mon long sous cette caresse qu'il poursuivit, avant de s'arrêter et de me montrer ses doigts imbibé de cyprine.

« Dis donc, tu sembles déjà vouloir allez plus loin, ma belle, regarde comme tu mouilles.... »

Mais bien entendu, abruti, j'avais envie que tu me prennes, de suite, là, dans cette position, ou une autre. Peu importe, mais que je sente ton membre frétiller en moi. Fallait-il que je lui fasse un dessin ? Les violeurs de nos jours, bon qu'à parler et à jouer avec l'intimité d'une femme qui se contractait déjà à l'idée d'être prise dans cette petite ruelle.

Mais en bonne fille-fille qui devait se montrer un minimum récalcitrante (des années de combat fémininiste ne devaient pas être réduis à néant à cause d'une simple caresse manuelle entre les cuisses), je fixai les doigts de mon "aggresseur" en faisant mine de pleurer. Je retirai doucement la culotte de ma bouche, reprenant mon souffle, avant de dire, d'une voix faussement brisée par la peur, et réellement brisée par le désir :

« P... pitié... je ferai ce que vous voulez... mais ne me faîtes pas de mal... »

Si avec ça, mon violeur restait de marbre, je n'hésiterai pas à prendre le relais en prenant les choses en mains par moi-même. Après tout, c'est moi qui avait besoin de sexe, pas ce violeur amateur qui mettait du temps à me prendre alors que j'étais déjà prête à l'acceuillir. Je poussai tout de même le cinéma en tentant de reculer, poussant mon dos contre le mur de la ruelle, mettant en avant ma poitrine et écartant les cuisses pour dévoiler d'avantage mes lèvres saillantes et désirants enfin recevoir les derniers outrages.

Prenons pour faire le point. Il état dans une ruelle, sur une jeune femme plus que sexy, qui n'était pas en position de l'empêcher de commettre un acte charnel plus ou moins contre la volonté de cette dernière. Pas de GHB, juste, à l'haleine, une bonne dose d'alcool...ça promettait des réjouissances, enfin bon, il n'allait pas râler, hein ! Et elle non plus, elle aurait pu tomber sur moins arrangeant, moins commode, et beaucoup violent que lui ! Il était quelqu'un de bien après tout...

Elle parvint à se défaire de son bâillon improvisé se débattant quelque peu, mais faiblement, vive les joies de l'éthanol dans le sang... Un vrai bonheur, je vous assure ! Il sourit devant sa lutte plus que sommaire, et encore plus devant les larmes qui se mettaient à goutter le long de ses joues, pas des larmes de crocodiles, juste quelques larmes sans doute de peur mêlées à un peu de honte... Et comble de tout cela, la voix brisée, la peur sans doute, elle le suppliait de ne pas lui faire de mal. Souriant, il la lâcha un peu pour défaire ceinture, bouton, et braguette.Il lui balançait régulièrement de légers chocs électriques pour rendre plus sensible aux caresses son corps, au cas où, pour juste lui prouver à elle qu'elle n'aurait pas nié !  Rien qu'effleurer son corps pouvait ainsi devenir une caresse plus qu'érogène.

« Chut, je ne vais pas te faire de mal, ne t'en fais pas... »

Il avait parlé d'un ton qui se voulait plus que rassurant, presque protecteur pour être précis, il s'agissait de la calmer, qu'elle s'apaise.

« Je vais même te faire beaucoup de bien... »

Hop petit électrochoc entre les cuisses avant de faire sortir le monstre de sa cage. Il se pencha sur elle, allant mordre doucement sa poitrine au travers du tissu, puis, gêné, il arracha carrément le décolleté de sa robe écartant toute manière textile pour atteindre de ses dents directement la chair alors qu'il se mettait en position pour, d'un coup de rein, lui saisissant les hanches, entre en elle relativement brutalement.

Il commença un mouvement de  vas et viens alors qu'il laissait glisser  ses mains de ses hanches à ses fesses, les saisissant fermement.

Enfin, il avait compris : il se leva et commença a enlever sa ceinture, son pantalon. Il faisait durer le plaisir, c'était clair ! Il devait se dépêcher, je ne tiendrai pas longtemps comme ça. Il tenta de me rassurer en me murmurant des mots doux qu'un violeur mélodramatique sortirait. Je sentai comme des coups de chocs électriques dans tout le corps, comme si j'avais touché un petit câble à nu. C'était étrange. Et finalement, lorsqu'il déballa son affaire, je sentis mon sexe se prendre un coup de jus plus puissant. Il se pencha sur moi et attrappa mon téton entre ses dents, arracha une partie de ma robe, et s'en prit directement à mon corps. Il faisait finalement preuve d'initiative brusque ! C'est ce que j'attendais !

Il me saisissa les hanches et enfonça son dard violement dans mon corps. En le sentant comme cela, je ne pus me retenir : j'attrappai ses épaules, encercla son corps avec mes jambes, et gémit d'un petit orgasme. La tête me tournait, je ne savais plus vraiment où j'étais : chambre d'hôtel, toilettes miteuses, coin de rue ? J'en avais rien à faire : je sentai finalement ce sexe me traverser le corps, c'est tout se qui importait. Je regardai le ciel en gémissant faiblement, la bouche ouverte et les yeux perdus dans le vide. J'avais jouis simplement avec un coup de rein. Il fallait qu'il continue de cette manière, sinon j'allais devenir folle.

Il entreprit de ramoner mon vagin avec son membre, en laissant glisser ses mains sur mes fesses. Je serrai mes jambes d'avantage : je ne pouvais plus jouer la comédie, j'avais juste envie qu'il me prenne aussi violement que possible. Je pris sa tête et l'obligea à se placer sur ma poitrine. Je perdai la tête. Je devais jouer la pauvre victime de viole, mais... mon dieu, je ne tenai plus.

« Arrête donc le fairplay : je suis une pauvre femme dans une ruelle isolée, agis donc en homme, bordel ! Je m'en fous du gentil garçon : dépêche toi d'être le grand méchant loup ! »

C'était dis : impossible pour moi de tenir plus longtemps. Il avait intérêt à s'activer les hanches, les dents, tout ce qu'il pouvait utiliser pour m'exciter et me faire jouir. Je ne pouvais souffrir aucun refus !

Ses propos lui firent l’effet d’une claque et d’un seul coup, il changea de comportement et glissa ses lèvres sur l’un de ses boutons de chair ornant son buste pour le mordre violemment et tirer dessus, comme s’il cherchait à le lui arracher sans autre forme de procès. Elle voulait des ébats plus violents ? Soit, elle les aurait, mais pas sans quelques douleurs !

Il accentua son mouvement de hanches, de simplement brusque, cela devint sauvage et avec ces mouvements de hanches secs et violents vinrent une conséquence logique de ce durcissement de la « sanction » pour état d’ébriété manifeste : ses mâchoires se resserrèrent légèrement plus fort sur son téton. Putain ce que c’était bon cette parodie de viol !

Parodie de viol, en effet, il suffisait d’entendre ses propos pour s’en convaincre ! Elle voulait être tronchée comme la dernière des catins, pourquoi se priver d’un tel plaisir alors ? Si c’était ce qu’elle voulait…

Il la gifla. Elle n’était qu’une putain, alors elle écartait les cuisses, se laissait faire et la fermait, c’était aussi simple que cela. Le temps qu’il avait mis à la gifler n’était que la preuve qu’il avait pris acte de ce qu’elle disait, non pas qu’il lui obéit d’une manière ou d’une autre, mais si c’était vraiment sensé…

« Tu te tais et tu gardes les cuisses ouvertes… »

Il sourit et lui lâcha les fesses, venant lui malaxer la poitrine, y enfonçant ses ongles volontairement  alors qu’il venait lui mordre lecoup, elle en aurait des marques, ça, elle pouvait lui faire confiance ! Il allait tout faire pour ! Il accéléra ses coups de reins, il allait l’empêcher de marcher droit pendant quelques temps !

Enfin, il s'était réveillé : il activa ses hanches, me prenant sauvagement entre les poubelles et le mur sur lequel mon dos s'appuyait. Ses dents serrèrent davantage mes tétons, à tel point que j'avais l'impression qu'il allait me les arracher. Il était rare que je me laisse aller à être la "victime", mais là, j'avais juste besoin de ça. Ne pas m'imposer, me laisser faire... Jusqu'à une certaine limite qu'il dépassa soudainement : une gifle... Je le regardai avec fureur, mais je compris qu'il entrait dans la peau de son personnage : le violeur pervers qui ne contrôlait plus son corps, ses désirs.

Son sourire pervers accentua la sensation d'être soumise. Il relâcha la pression autour de mes fesses et empoigna ma poitrine qu'il malaxa avec fureur, tandis que ses ongles allaient me laisser des marques sur la peau. C'était certain. Mais au moins, j'arrivai à sentir son membre chaud et palpitant me transperçait le corps à chaque coup de reins. Je m'en léchai les babines, savourant chaque action du "violeur". Enfin, je pris mon pied. Maintenant qu'il avait intégré le personnage, c'était à mon tour.

Je fis mine de me débattre, alors que mon vagin se resserrait autour du sexe qui lui faisait subir un ramonage sans concession. Mon corps tout entier semblait mimer une tentative de s'extraire de son emprise, alors qu'il pouvait sentir que son traitement me plaisait réellement. Mes lèvres, totalement imbibées, se déformaient sous les coups de reins, me faisant gémir à chaque mouvement. Ma cyprine coulait le long de la colonne de chaire, alors que mes mains frôlaient la zone sensible qu'il maltraitait entre mes cuisses.

Mais ce n'était pas suffisant : il fallait ajouter un peu de difficulté à son entreprise, et donc plus de satisfaction pour moi. J'arrivai à placer mon pied sur son torse, tant bien que mal. Il n'agrippait que ma poitrine, il me fut simple de le repousser vivement en poussant sur ma jambe. Me libérant du sexe, je fis mine de ramper vers l'opposé de mon agresseur, tendant mes belles fesses bien galbées vers le haut. L'invitation était claire, j'espérai qu'il me prenne comme ça. C'était le minimum qu'il pouvait faire, après m'avoir mis une baffe, après tout.

Le jeune homme la sentait se débattre après cette gifle, ça ne l’avait apparemment pas calmée ! Tant pis pour elle, lui il adorait cette lutte entre les deux alors qu’il se prenait un putain de pied ! il souriait à la voir se débattre sans effet sous lui. Enfin, sans effet… c’était quelque chose.

Le jeune homme continuait d’aller et venir violemment en elle, se foutant royalement qu’elle ait envie d’autre chose. Il se foutait qu’elle ait envie de douceur ou qu’il lui fasse mal, il se faisait plaisir, et ça, ça c’était l’essentiel. Il tenta de la mordre à nouveau, mais elle se dégagea brusquement, comme si elle tentait de fuir…

Mais son cul relevé comme ça…. Putain ça donnait envie de l’enculer à sec. Il se jeta sur elle pour la retenir, la saisissant par les hanches avec force et fermeté, il lui écarta bien les fesses, voyant son petit anneau rectal frémir. Etais-ce de peur de la pénétration à sec, ou d’impatience, il n’en savait rien et il s’en foutait.

« Et c’est parti pour la péné anale de ta vie ! »

Il y alla franco, d’un coup de rein, il s’enfonça en elle, écartant les parois qui n’avaient pas encore été même préparées à cela et commença à ramoner, une main venant lui donner une fessée pendant les vas et viens, de temps à autre avant de revenir sur sa hanche, l’autre venant saisir son sein et le malmener de la main.

Il y allait franco, sans la moindre retenue, complètement débridé, il lui martelait les parois anales, comme si tout ce qu’il désirait, c’était lui faire mal en prenant son pied, un pied d’enfer, soit dit en passant !