Nom/Prenom/Surnom : Athénaïs/Athé
Âge : 18 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Orientation sexuelle : Attirée par hommes et femmes, en pratique ça reste voir
Description physique :Alianis mesure un mètre soixante-quatre pour cinquante-sept kilogrammes. De longs cheveux bruns tombent sur le bas de ses reins. Elle a les yeux noirs jais, ce qui tranche joliment avec son teint porcelaine. Elle a le visage plutôt rond, un petit nez, des lèvres fines et un grand front qu'elle cache avec une frange. Elle a quelques petterondeurs qu'elle assume pleinement, dont une poitrine moyennement généreuse et un galbe fessier qu'elle ne regrette en rien. De longues jambes complètent son physique qui pourrait être considéré comme banal, mais qui peut se révéler plein de surprise.
Vestimentairement parlant, on peut vraiment dire que la jeune femme fait dans l'originalité. Non contente du classicisme au niveau humain, elle s'est lancée très tôt dans le cosplay et peut parfois en abuser. Sa tenue type : Un haut cintré qui lui donne un air coquin qu'elle n'assume pas vraiment, une jupe à volant ou en tulle, selon son humeur et des collants colorés et assez design, tout cela faisant qu'on la remarque assez facilement. Elle n'est pas du genre à se maquiller, se préférant largement au naturel, et ne tient pas à ressembler à une geisha. Niveau parfum, la jeune femme reste tout de même très discrète, préférant les odeurs fruité à celles fleuris, qu'elle trouve bien trop entêtante à son goût.
Caractère :Mentalement parlant, Athénaïs est quelqu'un d'assez difficile à cerner. Souriante, sociable, elle a un très bon contact avec les gens. Pourtant, elle ne se dévoilera jamais vraiment, gardant secret son passé et ses sentiments les plus profonds. Elle est très attentive et compréhensive, quoi que cela dépend des jours, car elle a aussi un fort caractère, et ne se laissera jamais malmener si elle ne le souhaite pas ou si on ne lui en a pas donner l'ordre. C'est une jeune femme gourmande, mais, malheureusement pour elle, sa morphologie fait qu'elle doit faire attention pour ne pas grossir. Elle est curieuse et assez cultivée pour tenir une conversation sensée. Cependant, comme le dit le proverbe, le calme cache souvent la tempête. La jeune femme cache profondément en elle un grain de folie qui se remarque par ses goûts vestimentaires, mais qui peut également se refléter dans ses attitudes. La plupart du temps, cela se remarque lorsqu'elle mélange les langues lorsqu'elle parle, et le pire, c'est qu'elle ne s'en rend pas forcément compte.
Cependant, c'est une jeune femme qui a aussi ses peurs, celle de la solitude étant la plus présente depuis que sa mère l'a abandonnée. Elle est également arachnophobe et claustrophobe, ce qui n'arrange pas vraiment les choses parfois.
Elle a un petit grigri, enfin, petit, ce n'est pas le mot puisque ce sont ses premiers chaussons de danse classiques, qu'elle emmène à chaque fois qu'elle sait que quelque chose d'important va se passer pour elle.
Histoire : D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vécu sur cette île... Ou presque Il faut dire que je n'ai pas vraiment de souvenirs d'avant mes douze ans. Je n'ai jamais connu mon père. Il aurait abandonné ma mère avant ma naissance, mais, bien sûr, je n'ai aucun moyen de vérifier cette information. Je ne suis pas née sur l'île, évidemment. Ma mère et moi y sommes venues, je n'avais que cinq ans. Elle était riche, aimait le luxe et les excès, tout le contraire de moi, qui préférait le calme et la douceur de ma petite chambre.
Forcément, je ne peux décemment parler de moi sans parler un peu de mon parcours scolaire. A vrai dire, je n'ai jamais réellement fait d'efforts à l'école, j'étais douée, c'est tout... Bon, sauf dans les matières scientifiques, je dois l'admettre. Mais je ne m'y intéressais pas, et c'était plus du "jemenfoutisme" qu'autre chose. J'étais passionnée par les matières plus littéraires, plus évasives, et plus particulièrement les langues étrangères, pour lesquelles j'avais et j'ai toujours, une affection toute particulières, et dans lesquelles je me donnais à fond.
Parlons amour... Ou pas. A vrai dire, ce n'est guère une chose qui m'a intéressée jusqu'ici. J'avais toujours accordé plus de crédit à mes études, et voire ce que faisait parfois ma mère m'avait, à vrai dire, un peu dégoûtée. Souvent, je me suis fait traitée de coincée, ou autre terme voulant signifier grosso modo la même chose. Mais, je n'y avais jamais vraiment fait attention... Peut-être que j'aurais dû...
Ma mère était une négociatrice en produit de luxe jusqu'à il y a peu de temps. Je n'ai jamais vraiment eu le droit de m'en mêler avant mes seize ans, âge auquel j'en ai profité, j'avoue. Petite, je m'adonnais surtout à l'école, en tant que bonne élève, en particulier les langues étrangères, dans lesquelles j'excellais. Ma grande passion était est et sera toujours la danse. J'ai commencé à neuf ans, par la danse classique, puis le jazz avant d'acquérir un style plus personnel vers l'âge de quinze ans.
Ce que j'ignorais encore à l'époque, c'est que ma mère dilapidait sa fortune en vêtements, pour moi mais surtout pour elle, au jeu et dans les boîtes de striptease. Tout cela jusqu'à ce qu'elle n'ait plus rien. Elle a disparu, sans rien dire, même pas un petit mot, me laissant seule avec la maison, mes vêtements et ses dettes. J'ai très mal pris cette séparation et me suis refermée sur moi, comme une huître. Être abandonné par une mère pour des questions d'argent est une chose que je ne souhaite à personne.
A présent, j'essaie de m'en sortir, entre les études de langues et les petits boulots que l'on veut bien me donner. On m'a déjà proposer des choses plus ou moins douteuses, que j'ai toujours refusé, par peur ou par lâcheté sans doute...Peut-être que celà va changer, après tout, je ne demande que cela, voire plus.
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