Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

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Snow Burton

Humain(e)

Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

mardi 12 juin 2012, 18:15:43

Ce soir, c'est le grand soir. Le grand soir pour quoi ? Nous accueillons au sein de notre organisation, un nouveau membre. J'aime tout particulièrement à m'occuper de l'intégration de certains, ma soif de pouvoir prenant souvent le dessus, mais bien souvent, je n'ai pas eu à la faire, les candidats étant parfait pour le poste.
Vael m'a "gentiment" déposé un bout de papier sur la table, avec pour seule inscription "  Gabriel Valmy". Je n'ai pas plus d'informations sur son identité, à savoir son métier ou quelques caractéristiques physiques pour le reconnaître plus facilement lorsqu'il entrerait dans la pièce. Après tout, à cette heure-ci, je doute que beaucoup de personnes ne tentent à se faufiler dans ces locaux.
En effet, j'ai choisis pour l'heure, de le recevoir dans la salle de réunion d'un grand restaurant, que j'ai réservé pour la soirée entière. Nous ne serons donc pas dérangé et le lieu est suffisant agréable pour que nous puissions y converser tout en se restaurant ou en buvant quelques verres.
Je fixe le bout de papier longuement, appréciant l'écriture de Vael et je m'approche du bar à notre disposition afin de pouvoir déposer deux verres sur la table basse, auxquels je rajoute quelques bouteilles de différents alcool, ne connaissant aucunement les préférences de mon invité. Je regarde la pendule, il ne devrait plus tarder à présent et je m'approche de la fenêtre donnant sur la grande rue.
Elle fourmille de monde à cette heure pourtant tardive de la nuit et je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire en sachant que tous les badauds qui trainent leur lourde carcasse, ne se doutent pas une seule seconde de ce qui peut se tramer aux détours des ruelles qu'ils fréquentent aussi souvent.
Notre organisation commence à recéler de quelques personnages fort intéressants, qui auront un impact tout particulier sur le déroulement de leur tranquille petite vie. Même si la police tentera forcément un jour de démanteler notre réseau, nous serons bientôt bien trop nombreux pour qu'elle puisse faire tranquillement son travail.
Ces flics alors, qu'est-ce qu'ils peuvent être stupides à ne jamais voir ce qui se trame sous leur gros nez empâté. Et lorsque ça leur tombe dessus, ils font mine de ne pas comprendre pourquoi. Quelques souvenirs de mes différentes confrontations avec eux me reviennent en mémoire et je serre les dents de frustration de ne pas avoir pu les corriger comme il se devait lorsque je les avais sous la main.
Mais un jour, je réparerai cet oubli et lorsque j'en tiendrai un entre mes doigts, il ne m'échappera pas aussi facilement.

Ce sont les bruits de quelques pas qui me sortent de mes pensées et quelqu'un frappe à la porte. J'informe l'inconnu d'entrer et c'est un homme grand et robuste, aux cheveux blonds qui fait son entrée.

- Gabriel Valmy je suppose ? Entrez et fermez la porte derrière vous. Venez donc vous asseoir.

Je lui désigne le fauteuil proche du canapé sur lequel je prends place et approche nos deux verres du bord de la table alors qu'une nouvelle personne entre dans la pièce. Un serveur me demande si, maintenant que mon invité est là, nous désirons quelque chose d'autre. Je le congédie aimablement en constatant que derrière le bar, plusieurs victuailles sont déjà à notre disposition et lui somme de ne plus jamais, en aucun cas, venir nous déranger. Il acquiesce et referme la porte derrière lui.
Assise dans mon canapé, je me munis d'un calepin et d'un stylo et je pose le regard sur Gabriel, sans sourire aucun, je m'éclaircis la gorge.

- Bien. Alors comme ça vous désirez rejoindre le voile de la nuit, hum ? Quelles sont vos compétences, votre métier, qui feraient que vous auriez l'étoffe pour cela ?

Et je patiente qu'il formule sa réponse, mon regard se baladant sur sa petite personne, constatant qu'il n'a rien du flegme des hommes d'affaire et encore moins de leur allure.


Mieux me connaitre ? C'est par ici => http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8727.0

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 1 mercredi 13 juin 2012, 01:49:01

« Bon les gars je file plus tôt, j'ai un rendez vous important ! »

Les collègues au central firent la moue. Gabriel avait décidé de partir plus tôt aujourd'hui encore, et ses horaires, il en faisait quoi ? Bah apparemment il le réduisait à l'état de verre pilé et l'enfonçait tout simplement dans le fondement du crétin qui faisait en sorte de le faire terminer tard tous les soirs, chose qu'il n'hésita pas à répéter à haute voix et à couper le signala avant de monter sur sa moto, un gros cylindre, la nouvelle qu'il s'était troué le cul à payer ! Assez de chevaux sous le capot pour améliorer son record de vitesse d'intervention.....

Pour le coup, il avait une lourde veste en cuir bien usée, un jean  rapé au niveau des genoux et délavé, aux pieds, des ranjos.....un vrai loubard, mais en même temps, pour une bonne moto, la tenue de biker pouvait être recommandée ! Et pas qu'un peu ! Il avait gardé son holster dessous, et il avait foncé au travers de la ville pour arriver à l'heure qu'on lui avait donné. Mais il était toujours un poil hésitant, le voile de la nuit lui offrait une opportunité monstrueuse, à lui de la saisir, et il serait, contre de menus services, grassement rémunéré et ne manquerait plus de pognon !

Oui, il s'agissait de corruption, et alors ? L'argent n'avait pas d'odeur ! Peu lui importait d'où venait ce qu'il se mettait dans les poches, l'essentiel était de s'en mettre dedans ! Pour le reste, ce que certains appelaient de la destruction de preuve de l'obstruction dans une procédure, de dissimulation de preuves,disons que c'était aussi des bonus ! Il suffisait de savoir doser exactement ce qu'il pouvait faire ou non sans se faire gauler !Et ça, ce n'était en rien facile !

Bon alors il devait y être, l'endroit avait été réservé au nom de Burton – comme Tim, oui - , une salle dans un resto' chicos. Oh nom de dieu ! Heu.....vous voyez sa tenue, elle n'était pas forcément adaptée pour ces lieux, enfin bref, il n'allait certainement pas se démonter pour autant. Il gara sa moto et se prépara à entre, attachant le casque à l'antivol. Puis, il entra dans les lieux ! On le conduisit dans une salle privée, une salle de réunion, où on le fit entrer sur une injonction féminine.

Il y avait dans salle une fort jolie jeune femme qui alliait le chic des belles tenues avec une prestance naturelle et une autorité qu était indescriptible. Elle avait dit d'entrer, il avait, contre toutes ses attentes, obéissant à sa demande de fermer la porte et de s'asseoir !  On aurait pu se croire devant la maitresse et son toutou. Et cela lui faisait enrager !

Il se croyait vraiment dans un rendez vous important chez la DRH. C'était plutôt flippant. Surtout qu'il avait compris qu'il n'avait pas droit à l'erreur. Bon, au moins les questions ne manquaient pas d'originalité ! Il n'aurait aucune difficulté à répondre à ces questions. Mais elle faisait preuve d'une discourtoisie accablante en ne donnant même pas son nom.Enfin bon, on sentait qu'elle se faisait chier un peu à faire ça, enfin, c'était l'impression qu'elle donnait !

Ramenant sa cheville droite sur son genou gauche, il se tut quelques instants avant de parler. Et quand il l'ouvrit ce fut d'un ton posé et calme.

« Bon, commençons par le début, je me demandais juste à qui je m'adresse, c'est sans doute la moindre des choses, non ? - Il fit une pause, en se rendant compte que c'était sorti tout seul ! Et comme si il voulait vite passer outre, il rajouta, bien vite. - Je suis flic, et ce que je peux fair....hum, j'ai pas mal de relations dans la pègre car j'ai été membre de gangs, etvu que je suis flic, je peux toucher aux preuves et aux suspects, je suis sur que si on me paye bien, je peux arranger pas mal de problèmes avec la police, à commencer par les vôtres ! »

Il ne mentionnait pas l'électricité, car il ne lui faisait pas confiance, quoi de plus normal ? Il ne put retenir un sourire charmeur !

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 2 mercredi 13 juin 2012, 17:16:37

Il entre, en silence et c'est tout à son honneur et je fais une légère grimace en constatant son allure débraillée. La classe n'est visiblement pas donnée à tout le monde mais heureusement pour lui, elle n'est pas un critère prédominant à son acceptation au sein de l'organisation.
Il prend place sur le fauteuil que je lui désigne et il prend une pause pour le moins anodine. Presque décontractée, il ne manquerait plus qu'il sorte un cigare de sa poche et ne se mette à le fumer tranquillement. Je souris à cela, ne faisant que confirmer mes premières pensées concernant le personnage. Peut-être un peu rustre, voire même vulgaire, j'en viendrai presque à penser qu'il occuperait un poste comme videur ou encore garde du corps. Bien que son allure pour ce dernier, ne soit nullement recommandée.
Je fais la grimace lorsqu'il mentionne le fait que je ne me sois pas présentée et sur l'instant, j'ai comme un étrange frisson. Un mauvais pressentiment. Comme si la suite de ses paroles risquaient de me mettre encore plus en colère. Et effectivement, je sens tous mes poils se hérisser sur les bras lorsqu'il m'informe de sa profession. Un flic ?? UN FLIC ??? J'aurai dû m'en douter par Merlin ! Le haut le coeur qui m'a prit à peine avait-il franchit le pas de la porte aurait dû me mettre sur la voie.
 Je me tape la tête de mon calepin, ignorant copieusement sa présence et je suis prise d'une furieuse envie de l'immoler sur place. Mais je prends une forte inspiration, Vael n'apprécierait certainement pas que j'ai pu porter atteinte à la vie d'une de ses recrues. Quoi que... Je pourrai trouver un moyen fort agréable de me faire pardonner par la suite...

Je secoue la tête, reportant, contrainte et malgré, mon attention sur l'individu, qui déjà, aura su provoquer tout un flot d'émotions en moi et pour sa gouverne,  aucunement les meilleures. Je me penche sur la table pour saisir une bouteille au hasard, me souciant peu de son contenu pour le peu qu'elle contienne un alcool bien fort et toujours dans le silence le plus total, je remplie mon verre de moitié avant de le porter à mes lèvres et de l'avaler d'une traite, faisant la grimace en constatant qu'il s'agit de cette saloperie fabriquée par les moines qui n'est autre que de Chartreuse. Je repose le verre un peu trop brusquement sur la table et lui adresse un regard noir.

- Un... flic ? C'est bien ce que vous venez de dire non ? Par deux fois même, si ma mémoire ne me joue pas des tours....

Je serre les dents et il peut voir sans conteste à quel point sa réponse ne me plait guère. Je laisse mon regard vagabonder dans le vide afin de calmer mes ardeurs qui tentent à dégager une violence surhumaine par chacun des pores de ma peau et je tente à me rappeler des mots de Nigel, mon psychiatre. Je prends une nouvelle inspiration, trouve un intérêt soudain à l'étiquette de la bouteille qui trône devant moi et je me relève brusquement en râlant.
Si je lui donne mon nom, il saura parfaitement me reconnaître, étant une des journalistes les plus redoutée dans le monde des chers petits poulets et je ne tiens pas à ce qu'il nourrisse la même haine que moi à mon égard. Du moins, pas pour le moment, car je sais que je ne saurai longtemps contenir ce qui me dévore de l'intérieur.

- Que vous côtoyez la pègre, que vous ayez été membre de gangs et autres petits groupes d'individus de bas étage, à vrai dire, je m'en contrefous. Si vous êtes capable de tourner le dos à vos petits amis à képi, qu'est-ce qui ne me fait pas dire que vous jouerez également un double jeu avec nous. -je me penche sur la table, toujours debout, les mains à plat sur le verre sombre - je n'ai subitement pas confiance en vous. Etrange non ?

Et je redresse, croisant les bras sur ma poitrine en attente de sa réaction. Après tout, il doit tenir compte du fait que c'est moi et moi seule ce soir, qui procèdera à l'avis favorable - ou non - de son intégration. Et pour l'heure, j'ai comme une petite idée sur la décision que j'apporterai sur son dossier.
La bouteille de Chartreuse sur la table, me donne soudainement envie d'être saisie pour effacer ce sourire grotesque sur son visage. Charmeur qui plus est ? Certainement avec les petites péronnelles sans cervelle. Certainement pas avec moi.


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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 3 mercredi 13 juin 2012, 22:11:05

Apparemment la nouvelle ne la faisait pas sauter au plafond, quoi de plus normal ? Il était normal qu'elle trouve la présence d'un flic saugrenue, déplacée, désagréable, hautement improbable et bien d'autres qualificatifs du même genre ! Mais voilà, il était là. Deux possibilités s'offraient à elle :  D'abord, elle pouvait le croire, peu probable, certes, mais bon,il y a bien parfois des miracles par ci par là, en suite, elle pouvait très bien penser qu'il se fichait de sa trogne, qu'elle avait fort jolie jusqu'à ce qu'elle décide apparemment qu'il soit la plus mauvaise chose qui lui soit arrivée de la journée. Quand une femme pense ce genre de chose, ça se voit tout de suite au fond de ses yeux, et les yeux de la jeune femme étaient parfaitement clairs à ce sujet. Un regard noir, noir comme un ciel d'orage, il risquait de finir foudroyé si il faisait un pas de trop, dans un sens comme dans l'autre, au sens figuré, bien évidemment !

Semblant avoir besoin d'un remontant elle prit un digestif, chartreux, très bon, mais très fort, elle en fit d'ailleurs une grimace. Bon, alors il était si mal barré que cela ? Oh nom de dieu....quelle idée avait il eu de vouloir arrondir ses fins de mois ? Il se sentait un peu pris au piège...il aurait dû raconter une connerie, ça serait passé tout seul comme une lettre à la poste, mais voilà, il avait joué franco et il en pâlissait légèrement sous ce qu'il comprenait, il avait faut ce faux pas, où étaient les tueurs ? Bonne question.....il ne les aurait sans doute pas. Serrant les poings jusqu'à s'en faire blanchir les phalanges. Il est sous le choc de sa connerie, elle sous celui de la vérité il faut croire, car, comme si elle ne parvenait pas à croire, elle répéta ce qu'il avait dit au sujet de son métier, oui, il était flic, oui, il avait sans doute du le dire deux fois, et alors ? Il ne voyait pas où était le problème sinon dans le fait qu'il avait dit la vérité. Elle par contre, ne lui donnait toujours pas son nom. Il était sérieusement ennuyé par cela, tout simplement parce qu'il jouait franc jeu et pas elle !

Bon, cela apparaissait très clairement à ses yeux, c'était sans doute foutu et il n'avait plus rien à faire ici, il s'attendait d'un instant à l'autre à se voir intimer l'ordre de sortir, et franchement, il ne se priverait pas un seul instant pour partir, par contre il ne garantissait pas  qu'il ferait en sorte qu'elle sorte tranquille d'ici, rameuter les collègues était si facile !  Il ne proférerait pas cette menace mais elle avait l'air intelligente, elle l'avait sans doute compris, debout, devant lui, comme à un interrogatoire de police, ça avait le don de le mettre mal à l'aise, mais en même temps, quoi de plus normal, il était habitué à interroger, pas à être interrogé !

Elle reprit la parole pour descendre ses états de service, libre à elle, il n'y accordait pas vraiment d'importance, même si elle se trompait lourdement en qualifiant par extension en qualifiant Ryo et Jinta de criminels de seconde zone, enfin bref, mais il fallait remarquer qu'elle marquait un très bon point, elle n'avait aucun moyen de lui faire confiance. Et bim, dans le mille, d'ailleurs, comme si il l'attendait, ce qui était plus ou moins le cas, au tournant, il ne put passe retenir et il lui lança, du tac au tac :

« Je vous retourne le compliment, madame l'impolie ! »

La fin était exagérée et volontairement insultante, mais au point où il en était, il ne voyait pas une seule bonne raison de se retenir.

« Vous n'avez aucune raison de me faire confiance, je n'en ai aucune pour vous faire confiance, cette méfiance réciproque est un statu quo qui devrait tenir non ? Si vous ne vous méfiiez pas de moi, je vous croirai stupide ou je vous accuserai de mentir ouvertement. Mais si vous voulez des raisons, en voici deux : »

Il sortit de sa veste un téléphone portable, modifia son champ électromagnétique, il y eut un grésillement, il venait de rendre tout appareil électrique, ou électronique  dans le coin, complètement inutilisable. Preuve qu'il n'avait pas de micro ou autre sans doute, de la fumée s'échappait de son appareil !

« Déjà, preuve que je n'ai pas de micro sur moi pour espionner, ensuite, je vais faire appel à quelque chose qui s'appelle le bon sens ! Je ne pense pas que si j'avais voulu vous tromper, je me serai prétendu flic, déjà, et ensuite, je compte bien qu'on me paye assez pour que je ferme ma gueule, et si j'étais réellement venu en tant que flic, je pense que ça aurait fait un moment que j'aurai appelé les collègues pour une garde à vue, où vous auriez tout avoué, jusqu'à votre plus infimes secrets, j'ai des moyens pour vous faire parler dont vous n'avez même pas idée. Attention, ce n'est pas une menace, juste une explication ! Je vous ai donné des raisons de moins me méfier de vous, et vous, que pouvez vous me donner, en retour, comme échange de bon procédé ? »

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 4 jeudi 14 juin 2012, 17:16:46

Bien, alors comme dirait l'autre, va y'avoir du sport.
De toute évidence, personnage au caractère bien trempé, il va tenter de rivaliser avec le mien. Autant dire que les choses vont être à proprement dire, sympathiques. Il faudrait peut-être penser à ôter des environs tout objet tranchant ou contondant. Et la table aussi. Et les nombreuses chaises. Hum... M'est avis que tout objet dans cette pièce serait susceptible de devenir une arme de destruction massive. Autant tenter alors de calmer le jeu, si cela peut se faire. Bien que je n'en ai nullement l'envie. Après tout, s'il a su retenir l'attention de Vael,  c'est qu'il a du certainement apporter les preuves suffisantes à éveiller son intérêt. Ou alors, il s'est contenté de me filer le bébé en me laissant me dépatouiller avec. Ce qui ne serait pas pour m'étonner à vrai dire.
Et bien, je vais avoir du boulot je crois. Je ne suis pas prêtes d'aller retrouver mes nouveaux draps de coton égyptien, qui me tentent affreusement depuis que je les ai installé ce matin...

C'est donc, ses premières paroles, enfin, celles qui suivent les miennes, qui lancent les hostilités. Bien, monsieur fait du zèle et semble s'accommoder de la chose. Sauf que, forte de mon égocentrisme et de ma forte susceptibilité, je n'apprécie que moyennement autant d'arrogance lorsqu'elle ne vient pas de moi et qu'elle m'est d'autant plus adressée.
Je fais quelques pas dans la pièce, les bras croisés dans mon dos, tentant de faire l'impasse sur sa petite raillerie. Madame l'impolie... non mais j'vous jure.
 Je secoue la tête en esquissant un sourire et porte finalement mon attention de nouveau sur lui lorsqu'il sort un téléphone portable de sa poche. Soudainement, tous mes sens se mettent au garde à vous. Ma condition de sorcière me confère toutes les qualités nécessaires à repérer les changements d'énergie environnant et cette fois-ci, ça semble venir de lui. Son téléphone grésille et une étrange fumée s'en échappe, comme s'il venait de griller. Je fais la moue, lui tournant le dos pour partir fouiller dans mon sac, un étrange pressentiment en tête. Je cherche mon téléphone et pousse finalement un juron silencieux. HS. Je le remets à sa place et calmement, reviens vers lui, prenant mon verre au passage que je remplie d'un martini, faisant la grimace en repoussant la bouteille de chartreuse et m'adosse au bar, près de son fauteuil.

- Premièrement, on dit mademoiselle quand on est vraiment poli, même s'il est probable que la politesse ne soit pas ce que l'on vous apprends en premier à l'école de police. Et deuxièmement, félicitation pour la petite montée d'énergie électrostatique dans la pièce. Vous maîtrisez donc l'électricité ? C'est tout ?

Un léger sourire en coin, je m'écarte du bar d'un mouvement des hanches et repars m'asseoir sur le canapé face à lui, croisant les jambes en avalant une gorgée de mon verre. Voilà la raison pour laquelle Vael m'a confié le soin de procéder à son intégration. Il possède un pouvoir psychique et  quoi de mieux qu'une sorcière pour établir le profil parfait de ce personnage ? Je reprends une nouvelle gorgée et repose le verre sur la table, sentant toutefois la colère qui me caractérisait, s'amenuiser légèrement, sans pour autant disparaitre. Les mots qu'il prononce, ne sont en rien agressifs. Il s'explique posément même, ce qui me déstabilise quelque peu, mais je n'en viens pas pour autant à lui sauter au cou en lui souhaitant la bienvenue.

- L'argent est effectivement un appât de choix pour un homme tel que vous. Quand on juge par vos vêtements, on en viendrait presque à croire que c'est une nécessité de vous en procurer plus. Soit, je veux bien croire que vous soyez disposé à entrer dans notre organisation et à garder vos agissements secrets, mais...

Je mordille légèrement l'intérieur de ma joue en réfléchissant, fixant un point dans l'air d'un air vaguement distrait et me penche sur la table pour attraper la télécommande de la chaine hifi et la fais glisser sur le bois pour qu'elle arrive proche de lui.

- Montrez-moi donc en quoi vos "talents" pourraient nous être utiles. Je les trouve bien moindre. Peut-être suis-je même plus puissante que vous. A n'en pas douter même. Mais je vous en prie, faîtes-moi donc une petite démonstration.

Vous devez certainement vous demander ce qui me pousse à engager tout de même la conversation avec lui, alors que son statut de flic me révulse. Peut-être est-ce justement ce petit plus magique qu'il possède, cette chose qui autrefois m'a fait défaut et m'a conféré le droit de me voir traiter de menteuse et de folle dans tous les petits poulaillers d'Angleterre. Lui, il est comme moi, en moindre partie bien sur, mais il aurait été là, il aurait alors su que je ne mentais pas et aujourd'hui, peut-être n'aurai-je pas cette aversion pour les forces de l'ordre.
Mais c'est loin à présent tout cela. Le mal est fait. Il est flic, il le restera, même s'il fait preuve de la plus grande dévotion à mon égard, qu'il se révèle être un membre de l'organisation brave et fidèle, je ne pourrai jamais accepté qu'un jour il ait décidé de rejoindre le clan adverse. Même s'il ne s'agissait qu'une couverture pour agir crapuleusement dans l'ombre.
De plus, les flics ne m'ont jamais aimé. Je ne peux m'empêcher de leur mettre des bâtons dans les roues et pour cela, ils ne cessent sans cesse, d'essayer de mettre la main sur moi. Peine perdue évidemment, mes papiers ayant subitement été imprimé dans la nuit. Heureusement que nous avons encore la liberté d'expression.... Aussi, je me décide finalement à me présenter, un léger sourire en coin.

- Oh et je suis le bras droit de l'organisation. Accessoirement, je serais "au-dessus" de vous, si vous venez à passer cet entretien avec brio
. - mon sourire s'élargit - Je suis Snow Burton.


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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 5 jeudi 14 juin 2012, 19:29:36

Bon, et bien apparemment il avait réussi son coup avec l'électromagnétisme, mais elle l'avait compris et ça, bah c'était pas glop, mais logique ! Très logique ! Comme quoi, il se sentait un peu idiot tout de même, il aurait pu en parler dès le début ! Mais il ne l'avait pas fait ! Il le regrettait légèrement, enfin bon, ce qui était fait était fait. Il ne pouvait pas revenir en arrière et en avait m^me pas l'intention, elle était donc mademoiselle et non pas madame, peut être, mais ça, il n'en avait strictement rien à cirer. Dans le doute, la politesse imposait un madame, on revenait sur le mademoiselle si elle infirmait cette parole, mais avant ce détail, pas de changement ! C'était ainsi que l'on parlait dans nos règles de politesses à la française ! Mais après, si elle n'était pas capable de penser aux règles de courtoisie qui étaient d'usage dans un pays dont la langue était si riche, et où il était si facile de faire du mal à quelqu'un par les mots !

Par contre, il lui conseillait d'éviter d'enquiller les verres comme ça, il il ne buvait pas pour rester lucide, sobre et concentré, mais si elle continuait à enchaîner les verres d'alcool fort, elle allait finir par rouler sous la table basse, et Gabriel ne la relèverait pas. Elle lui faisiat par la même remarquer que ses capacités étaient moindres que les sienne, et alors, elle pouvait être impératrice d'un royaume perduqu'il n'en aurait rien eu à faire, il aurait fermer son claque merde et serait resté totalement silencieux, peut aurait-il émis un sifflement admirateur, mais guère plus, ça aurait été déjà) pas mal.

Concernant ses motivations, libre à elle de les descendre en flèche, mais il doutait qu'elle puisse comprendre l'intérêt de sa tenue, elle en était sans doute incapable, du genre femme fatale, se mettant en valeur, faisant tourner la tête au moindre mouvement de hanches, il ne pensait pas qu'elle ait une quelconque compréhension de ce qu'était l'utilité d'une tenue. Quand on bosse dans le quartier de la Toussaint, les beaux habits signifient souvent que l'on va se faire agresser d'ici deux ou trois pâtés de maison ! Il était habillé pratique, voilà tout.

Pendant qu'il pensait à tout ça, la suite venait comme sur un plateau d'argent une télécommande de chaîne Hi-fi avec laquelle il devait faire mumuse, il n'était pas un tout auquel on apprenait à faire le beau, elle le prenait pour un abruti, ça il n'appréciait pas et le ne laisserait pas passer, oh non, il y avait des limites à tout, on pouvait lui faire faire bien des choses, mais pas des démonstrations comme un animal de cirque, comme une puce savante, un perroquet qui parle trop, ou un éléphant sur une boule ! Et ce, peu importait qu'elle soit le bras droit, le bras gauche, la couille droite ou la couille gauche !  Peu importe qu'elle soit plus haute dans la hiérarchie, de toute manière, cela ne changeait rien pour lui ! Peu imporait qu'elle s'appelle Snow Burton....


SNOW BURTON ?? Oh nom de dieu !  Il se leva d'un bon avant de fouiller dans son blouson en cuir pour sortir un calepin, le sien et le tendre à la jeune femme, Kenji n'en reviendrait pas !  Sa plume acérée ses articles souve,t scandaleux vis à vis de la police, cette haine qui transparaissait derrière chaque phrase, il adorait, surtout qu'il ne le prenait pas pour lui, mais pour la masse des moutons, et il n'avait jamais vu quelqu'un autant faire enrager ses collègues qu'elle avec ses écrits !  C'était un peu la bête noire du service ! Mais elle faisait souvent mouche !  Kenji allait devenir vert en voyant ça, si elle était d'accord bien sur !

«  Vous êtes Snow Burton ? La Snow Burton ? J'adore ce que vous faites ! Cette manière de faire enrager les autres flics tout ces cons avec leur matraque en travers du rectum, moi j'adore ! Et je ne suis pas le seul ! Vous accepteriez de me signer un autographe s'il vous plaît ? Contre une ou deux affaires juteuses à vous mettre sous la dent pour de prochains articles ? Si je raconte à Kenji Wakanabe -  Un des plus influents Yakuza de l'est de Seikusu -  que je vous ai rencontré il va être vert de jalousie !  C'est un véritable honneur ! »

Il lui aurait bien serré la main, mais elle n'aurait pas été particulièrement d'accord. Bon,,,  revenons un peu sur cette démonstration !  Il regarda la télécommande et la fit s'élever en jouant sur les champs et les polarités et la chaîne démarra sans aide physique. Puis, il fit changer les station radio, changer les chansons qui passaient sur le CD avant de faire s'illuminer , grésiller puis finalement fumer l'appareil. Suite à cela, il réceptionna la télécommande dans sa main et en visa les piles  pour former un globe d'énergie au creux de sa main.

« Par contre, vous avez tort au sujet de ma tenue, c'est choix, je ne pense pas que vous vous donniez souvent la peine de vous déplacer dans seikusu en pleines heures de pointe, car c'est l'enfer, c'est l'avantage de la moto, et avec la moto, mieux vaut une bonne veste en cuir et un bon jean, de plus dans le quartier de la Toussaint, avec une tenue pareille, je pense que vous vous feriez agresser avant ùmême d'avoir franchi le premier pâté de maison ! »

Il se mit à faire danser cette boule d'électricité  dans les airs, lafaisant se diviser et se reformer, il la contrôlait parfaitement. Il jouait avec comme un gosse.

« Dans le même ordre d'idée je peux aussi l'absorber sur les lignes à hautes tensions, sur du deux cents vingt volts sur les batteries de voiture, partout où elle est !Ah et pour vous montrer la totalité j'aurai besoin que vous me donniez la main, ça vous prendra moins d'une dizaine de secondes ! »

Ouais, un vrai gosse avec ce troisième bras de la nature qu'était son pouvoir personnel !

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 6 dimanche 17 juin 2012, 17:59:09

Marrant comme une situation pour le moins désagréable, peut subitement vous sembler toute autre lorsque quelque chose attire votre attention ou attise votre curiosité. Etant une sorcière appliquée, je ne peux que vouer de l'intérêt à ceux qui disposent de quelques pouvoirs surnaturels, tels qu'ils soient. Peut-être pour me glorifier d'être bien plus puissante que mon vis à vis ou tout simplement pour tenter d'en apprendre quelque chose.  Qui sait, sait-on jamais, sur un hasard.
Je le regarde donc faire, patiemment, ne manquant pas de me mordiller par instant la lèvre en constatant qu'un tel don doit être particulièrement utile en certaines circonstances. Notamment lorsque l'on veut pirater un distributeur de billets. Ca marcherait ? Oh... va falloir que je chope le truc, ça sera bien moins contraignant que de gagner sa vie.
Alors qu'elle avait précédemment rendue l'âme suite à sa précédente démonstration, la chaîne hifi entonne une musique criarde, avant de, cette fois-ci pour de bon, passer l'arme à gauche et les bras croisés sur ma poitrine, je fais une moue approbatrice. Bien entendu, je concentre au maximum ce qu'il vient de faire, n'allant pas m'étendre dans une description détaillée de ses moindres gestes, mais je l'avoue, c'est tout de même on ne peut plus intéressant. Très intéressant même. Mais étrangement, j'ai comme envie de lui jeter un seau d'eau à la tête - et pas seulement parce qu'il m'agace - mais également parce que tout le monde sait que l'électricité et l'eau ne font pas bon ménage. Tentant non ? Bon, je me retiens. Après tout, nous n'en sommes encore qu'aux balbutiements de notre rencontre. Tentons de voir si les choses deviennent plus électriques par la suite (sans mauvais jeux de mots) pour abattre ma carte maîtresse.

- En effet. C'est plutôt intéressant. Et vous semblez vous amuser comme un petit fou. Si un jour je fais griller mon four, je saurai qui appeler pour le remettre en route - et je lui adresse un léger sourire sarcastique - non, vraiment, je trouve ça très intéressant.

En toute sincérité, une fois n'est pas coutume. Attention, je risquerai de me montrer amicale. Ca ne serait que faillir à ma réputation. Aussi, je reprends place au fond de mon fauteuil, jetant un dernier coup d'oeil à la chaine hifi qui laisse échapper à présent quelques volutes de fumée et je glisse ma main dans la poche de ma veste pour en tirer mon étui à cigarettes, une étrange envie me prenant d'en porter une à mes lèvres. Je l'allume silencieusement et inhale la fumée dans un soupir. Rien de plus agréable.

Je me suis donc à présent présentée et attend une quelconque réaction de sa part, mais certainement pas celle-ci. Il bondit sur ses pieds et j'ai comme un élan de panique en me recroquevillant sur moi-même, levant le bras en l'air comme pour sauver ma cigarette qui semble être soudainement très importante à mes yeux. Il va peut-être falloir que je révise l'ordre de mes priorités moi.
Il me tend alors brusquement un calepin de sa poche et je hausse un sourcil tout en ne le quittant pas du regard, la bouche ouverte comme un poisson  hors de l'eau. Je m'en saisis toutefois et il m'explique alors la raison de son engouement. Et là, une étrange chose se passe. J'ai presque la sensation de me retrouver dans ces dessins animés où lors d'une situation cocasse, un étrange corbeau passe derrière votre tête en croassant. Et bien imaginez-donc la scène, vous comprendrez ce que je ressens. Le silence demeure pesant tandis que j'oscille mon regard entre le flic et la table, comme si je cherchais une échappatoire et je ne peux réprimer un souffle de s'échapper d'entre mes lèvres avant d'éclater subitement de rire. La scène est on ne peut plus ridicule, mais j'avoue qu'elle aide considérablement à détendre l'atmosphère. Je peine quelques minutes à rependre le contrôle de moi-même et finis par me calmer en toussotant légèrement dans mon poing.

- Hem. Un autographe hum ? - je griffonne alors quelques mots sur le papier, retenant un nouveau fou rire de justesse - C'est la meilleure celle là.

Ayant terminé, je lui tends son calepin sur lequel il pourra lire "Bienvenue. Snow Burton". Il peut savoir à présent que, malgré la suite des évènements, même si l'on fini par s'étriper sur la moquette, je considère toutefois qu'il a sa place au sein de l'organisation. Bien entendu, l'entretien est loin d'être terminé mais il faut savoir de toute façon, à partir du fait où nous vous concédons le droit de nous rencontrer en privé, vous pouvez vous considérer comme accepté. Le reste n'est que pure formalité et destiné surtout à mieux vous connaître. Au risque souvent qu'on se vole dans les plumes. Nous signerons cependant les contrats à la fin. Je désire m'assurer de certaines choses d'abord. Certes, vous constaterez que mes méthodes sont peu orthodoxes et suscitent souvent le désappointement mais elles sont néanmoins très efficaces. Laissez-moi illustrer mes dires pour comprendre.
Je me relève donc, un sourire amusé aux lèvres et me rapproche de lui en roulant des hanches, prenant une démarche féline, témoignant clairement que je m'apprête à faire quelque chose qui ne plaira certainement qu'à moitié, m'arrêtant à ses côtés, la main en coupe contre ma bouche, comme si je m'apprêtais à lui révéler un secret.

- Vous ne manquerez pas d'embrasser chaudement Kenji Wakanabe de ma part surtout.

Et je continus d'avancer dans la pièce, me plaçant derrière son fauteuil, les coudes posés sur le dossier. Je joue un instant avec les mèches de ses cheveux et laisse mes doigts glisser dans son cuir chevelu avant de m'arrêter sur ses tempes que je malaxe un instant. La situation peut paraître complètement ahurissante, mais je prépare seulement mon terrain. Je me penche alors doucement vers l'avant et m'oriente vers son oreille pour murmurer quelques mots.

- Bien, vous comprendrez que je reste tout de même septique et quelque peu suspicieuse. Même si vous semblez de toute évidence, vous ficher complètement de tous les poulets de la basse cour. J'ai besoin de m'assurer que vous ne me cachez rien. Vous permettez que j'aille faire un petit tour ?

Et je prononce alors quelques mots, sans attendre sa réponse, qui me propulsent immédiatement dans son esprit.
Par ce petit tour de passe-passe, je ne peux voir aucunement ses souvenirs ou autres, mais simplement ses pensées du moment et ce qu'il projette de faire, dans l'immédiat ou dans un futur proche. Ne contrôlant rien, les images défileront comme lors d'une représentation cinématographique et je saurai dés lors, tout ce qui anime sa petite caboche.
Oui, je sais, c'est vicieux. Et alors ? Je ne suis pas Snow Burton ?


Mieux me connaitre ? C'est par ici => http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8727.0

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 7 dimanche 17 juin 2012, 23:23:58

Alors, elle en pensait quoi, la mademoiselle Burton de sa démonstration ? Bien ? Passable ? Correcte ? Selon lui, c'était plus que correct ! Mais hélas, en la matière, il n'avait pas vraiment son mot à dire. Mais elle n'avait pas tout vu, et ne verrait sans doute pas tout, ne serait-ce que parce qu'elle refusait de jouer les cobayes humains. Enfin, elle devait savoir ce qu'elle faisait, non ? Par contre ça commençait à durer un peu trop en longueur. Il va finir par s'en aller, parce que demain, debout cinq heures du mat', et c'est pas le fait qu'elle se foute de sa gueule tant en parlant de sa particularité que de sa demande d'autographe....

L'un dans l'autre, il en avait marre d'être pris pour un jambon quand même ! Et surtout par une dinde qui, même canon à tomber, lui donne furieusement à penser que, elle vivante, il n'arriverait à rien, mais pas officiellement, de cette manière insidieuse dont seules femmes sont capables, non, pas toutes les femmes, les garces plutôt, et elle a l'air d'être, mine de rien, une foutue garce, malgré le fait qu'il se laisse à penser qu'elle ait ri de bon cœur à la demande d'autographe. Elle lui rendit d'ailleurs son calepin sur lequel des mots siples sont inscrits :  « Bienvenue, Snow Burton ». Okay, c'est bon, formalité remplisse, on retourne bosser, ou plutôt, ce soir, on va sauter la colloc', si ça ne la dérange pas, et ensuite, hop, dodo ! Grosse journée demain....

Mais bon, d'ici là, elle semble bien s'amuser, elle. Et en plus, non content de courir dès qu'elle tentait de le faire marcher, il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir les yeux rivés sur les hanches pendant qu'elle se déplaçait avec une grâce empruntée tout droit à une panthère ou une bestiole du même acabit ! Donc un mélange de beauté et de dangerosité, ne vous méprenez pas, il n'avait pas peur d'elle, peut être aurait-il du, mais rien qu'à sa manière de se mouvoir, il ne doutait pâs un seul instant que si elle souhaitait le tuer, elle le ferait sans hésiter le moindre instant ! Et en pensant à cela, il en eut un très long frisson qui lui parcourut l'échine, pas de peur ou de frayeur, mais d'excitation !  Oui, d'excitation, pas sexuelle, mais de l'excitation, il aimait le danger, aimait s'y confronter, aimait frôler la mort sans la toucher, il suffisait de voir comment il conduisait sa foutue bécane pour s'en persuader ! Un vrai marteau !  Et on pouvait aussi voir ça au travers de sa manière de mettre fin à une fusillade ! Enfin bref, cette impression de danger était tentante ! Et l'excitation pure  finit par atteindre un autre niveau, elle était des plus attirantes et des plus désirables ! BREF !

Concernant le fait d'embrasser Kenji, heu, ouais, peut être, si il avait dix grammes d'alcool dans le sang, sinon, heu, il se contenterait de transmettre cette idée à distance....même si en fait, il lui montrerait juste le calepin qu'il avait fourré dans sa veste en cuir. Il avait beaucoup de chances sans doute, il se demandait pas si il en parlerait pas même dans le milieu de la flicaille, en enjolivant et en inventait des détails. En parlant de détails, string, culotte ou shorty ? Question bête mais qui avait son importance, mine de rien ! Il sourit à cette idée alors qu'elle le mettait mal à l'aise en se glissant derrière lui, jouant avec ses cheveux, qu'elle arrête ou il lui saute dessus !

Elle lui glissa aussi à l'oreille qu'elle ne lui fais pas encore confiance, logique !  Normal même ! Le contraire aurait été stupide, elle voulait savoir ce qui lui passait par la tête, après quelques mots, ilse sentit d'un seul coup devenir tout engourdi.

Premier flash d'images, Snow avec les trois possibilités, trois Snow, celle avec une culotte,une jolie culotte noire, avec de la dentelle, la même chose version string, et enfin version shorty....ou alors, une quatrième possibilité, carrément rien, même si c'était la moins possible des quatre ! Enfin bref, les quatre, tour à tour, arrivaient de cette même d »marche f »line qu'elle avait eu il y avait quelques instants avec la pensée saugrenue qu'elle pourrait ptetre le lui laisser et le lui dédicacer, dans le cas ou ce soit l'une des trois première hypothèses....ouais, le premier cerveau reprenait le dessus un moment, forcément.

Deuxième flash de pensées : un film pornographique, c'était cela qui se déroulait dans sa tête, mais c'était étrange, les protagonistes semblaient avec des têtes connues :  la première était celle de Gabriel, et l'autre variait entre Snow, Hitomi, sa colloc', et d'autres visages, corps, positions.....drôles de pensées, mais vous vous attendiez à quoi venant de la tête d'un mâle ?

Troisième flash :  Gabriel en train de se mettre des baffes pour retrouver sa lucidité et se rappeler qu'il était là pour affaires et pas pour refaire la scène de la baie des ^petits cochons à même le sol !

Dernier flash, une sardine grillée.......oui, une sardine grillée, en fait c'était tr_ès simple, il perdait le contrôle. Le principe de son pouvoir était qu'il fallait le contenir, si il n'était plus lui même ou autre, inutile, cela ne servirait à rien, il se libérerait tout seul sous peu malgré lui, envoyant bien plus qu'une châtaigne sur quiconque serait à proximité....

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 8 mercredi 20 juin 2012, 23:11:58

Il y a toujours des risques non négligeables à fouiller dans la tête des gens. Heureusement, je ne suis pas très impressionnable et je ne trouve que rarement attrait aux différentes pensées vaseuses que j'ai l'habitude de voir. J'ai, une fois, eu la désagréable surprise de voir dans l'esprit d'un de mes amants du moment, lorsqu'il dormait, qu'il projeté de prendre le joli petit ensemble en dentelle rouge que j'avais laissé sur le sol après nos ébats, histoire d'en faire certainement un trophée par la suite, ou autres idées perverses dont je ne veux absolument pas entendre parler.
Je me suis alors levée doucement et totalement nue, je l'ai contemplée en restant un instant debout au milieu de la pièce. J'ai revêtu mon ensemble dans le silence le plus total, pour ensuite le réveiller assez brusquement en faisant tomber - par mégarde - la lampe de la table de chevet. Il s'est réveillé en sursaut, affichant un sourire goguenard en me voyant apprêtée de cette tenue qui le faisait apparemment en tout point fantasmer et j'ai tout de même eu la décence de le laisser se rhabiller, avant de le mettre dehors à grands coups de pied dans le cul. Namého ! Me voler mes jolis ensembles qui peuvent à eux-seuls, payer un mois de loyer en les vendant sur ebay !
Bref, toute cette petite histoire sans réel intérêt pour la notre, mais juste histoire de dire que l'on ne sait jamais sur quoi on peut tomber en fouillant l'esprit des gens et plus précisément, celui hypertrophié des hommes.

Me voici donc les doigts sur ses tempes, me plongeant dans une sorte de transe, alors qu'il en est de même pour lui, histoire qu'il ne se lève pas en plein milieu de ma petite contemplation. Je me concentre suffisamment pour évacuer les différents parasites qui affluent et bien rapidement, j'arrive au fait. C'est moi que je vois. L'image est encore un peu flou mais elle ne tardera pas à s'éclaircir. Je ne suis pas étonnée de me voir, je suis la dernière personne qu'il a aperçu sur l'instant mais là, si je n'étais pas suffisamment accroché, je tomberai à la renverse. C'est donc bien moi qui apparait et en petite tenue s'il vous plait. Et comme si un modèle ne suffisait pas, voilà que je défile en petite culotte, en string, en shorty et totalement nue ! Je déglutis avec difficulté, sentant la prise que exerce sur ses tempes se raffermir, tant et si bien que j'ai soudainement envie de le lui traverser la boite crânienne.
Mais voilà déjà qu'une deuxième flopée d'images arrivent et cette fois-ci, je sens comme une étrange chaleur m'envelopper alors que j'assiste en direct au dernier Marc Dorcel. Acteur principal, notre cher flic, tant qu'à faire ! Et qui sont les jolies demoiselles sans aucune pudeur s'ébattant avec lui ? Je vous laisse tout du moins deviner l'une d'entre elle... puisque l'autre, je ne saurai la reconnaître. Certainement une amie proche... Extrêmement proche sur l'heure je vous dirais même, à en juger par les acrobaties qu'elle.... Mais c'est moi là ?! Je m'apprête à sortir de ses pensées pour lui en coller une sévère, mais déjà, je suis prise d'une nouvelle pellicule.
Ah ! Visiblement, il tente à se convaincre que ce n'est ni le lieux ni l'endroit, pour avoir de pareilles pensées et il se tape copieusement le front en tentant de les évincer de son esprit en même temps qu'elles réapparaissent par instants, en quelques petits clichés.
Et finalement, il y arrive plutôt bien, parce que c'est de la poiscaille que je vois à présent. Une sardine plus précisément.
Constatant alors, que ses pensées ne sont pas tournées vers une éventuelle trahison, je me déloge de son esprit, restant un instant appuyée contre le dossier du fauteuil, la tête entre mes mains, le temps de revenir plus rapidement à moi. Je prends une profonde inspiration avant de ne bouger que le petit doigt et me redresse. Restant un instant immobile à fixer l'arrière de son crâne. J'ai une soudaine envie de lui agripper la chevelure et lui dire entre quatre yeux, ce que je pense que ces minables petites pensées.
Mais c'est lorsque je tourne la tête vers le miroir contre le mur, que je retrouve réellement la réalité. J'arbore une jolie tinte rosée sur le haut de mes joues et mon regard est subitement devenu brillant. Je m'éclaircis la gorge, tentant de reprendre contenance et après une nouvelle inspiration, je passe proche de lui, le frappant derrière la tête suffisamment fort pour qu'il la penche vers l'avant.

- Dîtes-donc, faut le dire si vous n'en avez rien à foutre de ce que je vous raconte ? Vous préférez peut-être que je m'allonge directement sur la table pour signer le contrat ?

Et mon regard se fait noir avant que je ne lui tourne le dos pour faire quelques pas dans la pièce, réfléchissant quelques instants à ce que j'ai vu. Visiblement, la flicaille, c'est de l'homo-sapiens comme les autres, ça peut être d'autant plus amusant d'en jouer avec lui. Je me retourne alors, un sourire étrange au coin des lèvres et je croise les bras sur ma poitrine.

- Et pour information, ils ne sont pas noirs, mais rouge. Une petite faim apparemment ?

Je me saisis alors d'un napperon sur la bar à côté de moi et le maintiens entre mes mains un instant, tout en prononçant quelques paroles inaudibles. Immédiatement, l'objet prend une teinte grisâtre, afin d'arborer l'apparence d'une sardine, que je rejette à ses pieds, sourire aux lèvres.

- Je vous comprends, se prendre pour un étalon, en rêve,  ça creuse....


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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 9 samedi 23 juin 2012, 16:12:41

Une tape derrière la tête le ramène vraiment àla réalité, il manqua un battement...heu, ouais, que venait-il de se passer exactement ? Il avait eu une absence ? Étrange, il n'était ni sujet à la narcolepsie, ni sujet à diverses autres absences, certes, il n'écoutait pas forcément tout ce qu'elle disait, mais bon, il ne méritait peut être pas cette tape derrière la tête, même si ça avait le don de réveiller ceux qui n'étaient pas là ! Mais si on pouvait éviter d'aider à la circulation du sang de cette manière, il n'était pas contre du tout ! Il était m^pme pour, surtout qu'il n'avait rien fait pour mériter ça !

Bon, qui, un peu, surtout quand il compris à quoi elle faisait allusion, m^me si le fait qu'elle semblait avoir lu dans ses pensées le tracassait un tant soit peu ! Non, impossible, peut être qu'elle avait juste dit ça pour le provoquer, après tout, elle avait été provocante depuis quelques minutes, alors pourquoi ne pas continuer ? Elle pouvait très bien dire ça juste pour la provoc', donc inutile de s'inquiéter, mais la mention de la jeune femme allongée sur la table pour signer le contrat était on ne peut plus alléchante, il fallait le reconnaître ! Mais bon, là n'était pas le sujet, il s'en faisait pour rien, alors pas de soucis. Surtout qu'elle sembla ne plus vraiment s'intéresser à lui pour parcourir la pièce de long en large, comme si elle était à son tour perdue dans ses pensées !  C'était un comble, elle faisait exactement ce qu'elle venait de lui reprocher, enfin bon, déstresse, Gab, calme toiu, ; reste cool, calme, zen, ne dit rien qui pourrait te foutre dans la merde !

Il conserva donc le silence jusqu'à ce qu'il soit estomaqué par ses dires suivant, un sourire aux lèvres, un sourire étrange, presque amusé j'aurai tendance à dire, bon Gabriel, il restait plus ou moins sur le cul, cette fois ci, elle avait vraiment lu dans ses pensées, car il avait très bien compris ce dont elle avait parlé, et elle l'avait dit en toute connaissance de ses pensées, cette fois ci, le doute n'était plus vraiment permis...quoique, ça devait être un putain de hasard, donc inutile d'en faire une histoire, car cette coïncidence ne voulait rien dire, même si......TOI L'INCONSCIENT, FERME TA GUEULE ! Et y a pas que l'inconscient qui se la ferma d'ailleurs, car même si c'était une hasardeuse hypothèse qu'elle avait pu faire et était tombée juste, bah elle avait mis dans le mille ! Il eut d'ailleurs une pensée rectificatrice des images pour voir le rouge à la place du noir....étrangement, il trouvait que ça collait plus avec le reste de la personne qui était aguicheuse à souhait, provocante dans ses actes et ses paroles, et cette idée d'un rouge - pas délavé hein, bien pétant bien vif, un peu couleur sang, mais en mieux -  bah c'était autrement plus....attirant, d'autant quand on savait ce que signifiant le rouge, traditionnellement, c'était la couleur de l'amour, des chaudières....BREF !

Comme si cela ne suffisait pas elle prit un napperon pour le transformer en sardine et le jeter devant lui, il le regarda incrédule, cette fois ci, plus de doute possible, elle lisait vraiment dans les pensées, et si intérieurement c'était une putain de tarte dans la gueule qu'il se prenait, il en fallait plus pour démonter l'apparente suffisance de Gabriel, qui au lieu de rester comme ça, bouche ouverte. Il continua de sourire en coin, évidemment, pourquoi se débiner ? Seuls ses yeux étaient preuve de son côté un poil effrayé par les dons de la jeune femme. Était-il vraiment un livre ouvert pour elle ? Pouvait-elle absolument tout voir en lui ? Il espérait que non, où il risquerait de se faire liquider !

« Euh....... »

Ouep, réponse hautement évolué de personne particulièrement cultivée, mais comment pouvait-on voir les choses autrement après tout ? Il ne fallait pas rêver !  Il n'était qu'un homme ayant un certain talent pour l'électricité ! Mais pourquoi ne pas être devenu électricien ? Ptêtre parce que c'était encore bien moins payé que flic, qui n'était pourtant pas un salaire à décourager la corruption ! Mais bon, il fallait perte clarifier un ou deux détails, et pour ça, il grilla la sardine sur place dans un bruit de décharge de taser, mais en bien plus puissant niveau voltage, vous vous en doutez ! Bientôt, l'odeur de la cuisson leur monta au nez, hum, odeur de sardine grillée qui allait imprégner les vêtements....

« Bon, et bien si vous voulez manger, c'est cuit! Je vous laisse manger !  Vous verrez, je ne pense pas m'être planté sur la cuisson ! Et heureusement que vous ne vous accrochiez pas à moi pendant mon « basence » sinon, vous auriez fini dans le même état....donc quoiqu'il se passe, si vous me croisez évanoui ou endormi, ou même agonisant, ne me touchez pas, car cela risquerait d'être la dernière chose que vous feriez de votre vie ! »

Bon, exagérait un poil, mais en même temps, il fallait prévenir, e même qu'implicitement, il s'agissait d' »une menace, si elle tentait quelque chose, il la grillerait sur place ! Oui, il n'hésiterait pas, ou du moins, il ne pensait pas hésiter un seul instant. Puis il ajouta, sur une note plus légère, pour ne pas non plus trop donner de poids à cette menace :

« Après, pour le contrat, si vous voulez que l'on fonctionne de cette manière, je ne vais pas refuser hein !  Mais bon, je pensais plutôt signer un papier, quoique signer des documents me compromettant autant que vous, je trouve cela passablement stupide, non pas que je ne vous fasse pas confiance, enfin si, un peu, mais ce n'est pas le sujet...mais disons que si ce genre de documents est découvert, je suis foutu, et vous aussi, alors, vous croyez vraiment que je puisse signer quoique ce soit, comme ça, sans être sur que je puisse me fier à vous, car si je donne des preuves que je vous fais confiance, j'ai rien en eu en sens contraire ! »

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 10 dimanche 24 juin 2012, 19:32:34

Amusant de constater comme il reprend peu à peu ses esprits, quelque peu étonné de toutes mes remarques qui doivent certainement lui faire prendre conscience que j'aurai peut-être été susceptible de lire dans ses pensées. Car oui, l'avantage d'un pareil sortilège, c'est que la personne visée ne se rend pas réellement compte de ce qui a pu se passer. Ca évite bien souvent les désagréments de se retrouver face à une furie qui n'accepterait que moyennement la chose.
Evidement, les références que je fais le laisseront bien rapidement croire ce à quoi il pense, la chose est faîte pour, mais commençant à cerner le personnage, je ne le pense pas capable de s'en offusquer plus que de raison. Après tout, je devais bien m'assurer que je n'avais pas à faire à une taupe, qui une fois dans nos rangs, se chargerait d'aller divulguer toutes nos petites affaires à ses supérieurs. Cependant, vous me direz, que je n'ai vu que les pensées qui alimentaient son esprit sur le moment, mais sachez que tout humain qui se respecte, lorsqu'il a quelque chose à se reprocher, laisse sa petite tête fourmiller de questions en permanence. En fouillant son esprit comme je l'avais fais, j'aurai très certainement vu apparaitre des bribes de ses intentions si elles avaient été mauvaises. Hors, à part me voir à poil dans sa caboche, je n'ai rien vu de bien alarmant. Même si une fois de plus, je persiste à dire qu'il devrait mériter une bonne correction pour avoir eu l'audace d'imaginer pareilles choses.

Une fois de plus, il fait état de ses pouvoirs et la petite sardine qui repose sur le sol, se voit grillée sur l'instant. Le geste me fait sourire, même s'il me dégoûte quelque peu. J'ai toujours eu une sainte horreur du poisson cuit. Je l'ai toujours préféré cru et agrémenté d'une petite sauce japonaise, mais ça, c'est un détail on ne peut plus insignifiant et je vous l'accorde, ennuyeux à lire. Aussi, je me contente juste de sourire et m'approche pour balayer la chose du pied avant de la faire disparaître d'un sortilège informulé. C'est que l'odeur finirait fortement par m'incommoder, non mais !

- Sachez, mon cher Monsieur Valmy, que vous trouver agonisant sur mon chemin, n'aurait aucunement empêchée ma petite vie de continuer. Au pire, je vous aurai enjambé si vous contraignez vraiment mon passage. Je ne crains donc pas de recevoir une quelconque décharge. Essayez cependant de pas tomber en syncope dans ce salon, se serait fort incommodant.

Et je lui adresse un léger sourire en coin avant de me diriger vers le bar pour me pencher derrière celui-ci pour prendre une nouvelle bouteille que je dépose sur la table basse. Cette fameuse table basse sur laquelle je me proposais à signer les contrats, d'une manière peu orthodoxe afin de mettre en évidence le fait que j'avais su capter un certain fantasme dans sa petite tête.
Dans une lenteur criminelle, je croise les jambes, après lui avoir adressé un bref regard et approche le goulot de la bouteille de mon verre que je remplis de moitié. J'ai cette fâcheuse tendance a peut-être un peu trop boire, la chose n'ayant que peu d'effet sur mon self contrôle, l'habitude aidant. J'approche donc le récipient de mes lèvres et en avale une première gorgée avant de froncer les sourcils sous sa remarque. Décidément, il me prend vraiment pour une idiote. Comme si j'étais capable de laisser la moindre marque d'une quelconque alliance entre les membres du voile. Réplique typique de flic. Aussi, je roule les yeux au ciel en poussant un soupir.

- Est-ce que vous douteriez de notre intelligence par hasard ? Non, parce que franchement, je commence à le croire. Sachez que tout pacte qui sera passé entre nous, disparaîtra aussitôt pour être ancré dans des archives bien plus secrètes que vous ne le pensez. Pourquoi pensez-vous que je me charge de votre cas ? J'ai mis moi-même en place un certain dispositif permettant de faire la chose, sans risquer le moindre soucis par la suite.

Je me penche sur la table, laisse mes mains voleter au-dessus du bois avant de me stopper dans ma manoeuvre et de relever le regard vers lui.

- Et n'allez pas encore imaginer que je vais sceller un pacte avec vous d'une quelconque manière charnelle, vous ne feriez encore qu'alimenter vos hormones déjà en bien constante ébullition.

Nouveau sourire et je reprends où j'en étais. Mes gestes produisent un souffle à travers la pièce avant que n'apparaissent sur la table, deux feuilles de papier et une plume écarlate, d'où perlent quelques gouttes toutes aussi vermeille. N'allez pas vous imaginer n'importe quoi, ce n'est pas du sang. Nous ne sommes pas dans une mauvaise série B pendant laquelle la pauvre victime vend son âme au diable. Quoi que... le principe de ce soir est sensiblement similaire. Je relève la tête vers lui et plisse légèrement le regard.

- Constatez par vous-même la manière dont j'ai fais apparaitre ces documents. Lorsque vous les aurez signé, ils disparaîtront immédiatement pour n'apparaître que sous ma propre demande. Vael a certainement ses propres manières d'accord mais je justifie la mienne comme étant la plus sure. Si vous voulez bien vous donner la peine ? Oh ! Vous savez écrire j'espère ? Sinon une croix suffira.

Et je ne me dépeins pas de mon sourire, me penchant légèrement en avant en laissant une vue plus que plongeante sur mon décolleté avant de me relever délicatement et de passer proche de lui, la main sur son épaule.

- Imaginez que vous me vendez votre âme... Je vous promets, j'en prendrai grand soin. Il est très doux de me faire don de sa personne. Je suis un être on ne peut plus délicat... La plupart du temps...

Et je laisse un petit rire cristallin s'échapper d'entre mes lèvres avant de partir près de la porte pour prendre dans le petit frigo quelques glaçons, tournant le dos à mon "invité", le laissant faire ce pour quoi il est venu.


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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 11 lundi 02 juillet 2012, 15:12:18

Ça, c'était rassurant !  Après tout, au moins il savait une chose, il n'avait pas à craindre qu'elle ait une envie de le poignarder dans dans le dos. Ou du moins pas dans l'immédiat ! C'était déjà ça, même si c'était hélas bien maigre, d'autant que jusqu'à présent, il n'avait pas eu quoi que ce soit pour faire confiance à la jeune femme. Il avait la désagréable impression qu'elle avait su ce qu'il pensait, et donc qu'elle savait combien elle pouvait lui faire confiance, mais quand il s'agissait du contraire.....moins facile !

Par contre elle sembla ne pas apprécier ses doutes sur ses capacités, prenant cela comme un manque de confiance en son intelligence, mais pas du tout, il n'avait pas confiance en elle tout court, son intelligence, il s'en foutait royalement !  Elle lui disait qu'il pouvait croie que ce serait bien dissimulé. Les archives secrètes ne l'étaient pas, au moins pour deux personnes sans doute, et là, c'était le hic, il n'avait pas confiance en ces personnes.

De toute manière, changeante comme elle l'était, cette jeune femme retourna sur un ton qu'il prit comme étant moqueur, voir méprisant ! Bon, elle lui rappelait qu'elle avait aucune intention d'écarter les cuisses, dans d'autres circonstances, Gabriel aurait sans doute rajouté qu'écarter les fesses pouvait très bien suffire, mais il craignait de finir par s'en prendre une !

Et elle en rajoutait une couche, reparlant de ces contrats. Rappelant qu'elle les conservait en lieu sûr, désolé, mais ça ne lui suffisait pas, et ce, malgré le décolleté plongeon et que la vue plus que que superbe attirait forcément regard et convoitise de Gabriel, mais avant qu'il n'ait pu correctement l'apprécier, la jeune femme la lui retira, ajoutant, en lui touchant l'épaule, que c'était comme lui vendre son âme, jouant sur cette idée à la plus grande indifférence de Gabriel. Il n'avait aucune intention de signer.

« Non. »

Il se leva pour prendre lui aussi à boire, elle ne serait pas la seule à savourer un peu d'alcool. Il sourit et prit doucement une bouteille, une bière ambrée à l'apparence absolument superbe, pour s'en verser dans un erre, un minimum de correction que diable, pas à la bouteille ! Il se rassit et regarda les papiers.

« Je signerai, c'est certain, mais quand j'aurai eu une garantie. Ne montez pas sur vos grands chevaux, je ne pense pas à ça. En fait je veux une preuve que je peux vous faire confiance, d'ici là, vous quoique vous disiez pour me convaincre de signer sans me montrer que je peux vous faire confiance ! »

Il but d'un trait, posa son verre sur la table basse et resta silencieux, croisant les bras. Attendant quelque' chose, une preuve de la part de la jeune femme.

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 12 jeudi 05 juillet 2012, 01:09:35

Non mais quel emmerdeur ! Je vous jure !
En même temps, avouons qu'il n'a pas totalement tord. Rien ne lui prouve qu'il peut me faire confiance, mais s'alliant lui-même à notre organisation, comment pourrais-je n'avoir que serait-ce l'idée de le dévoiler à qui que se soit ? Après tout, je nous mettrai tous en péril dans ce cas.
Je fais donc une halte dans mon avancée, roulant les yeux au ciel en poussant un soupir excédé. Comment lui prouver ma bonne foi ? Punaise... ces mots là, bien que prononcés dans ma tête, me donnent froid dans le dos. Comme si c'était dans mon habitude de prouver quoi que ce soit à quiconque ! Surtout à un flic ! Corrompu ou pas, là n'est pas la question !
Je me retourne donc, croise les bras dans mon dos et avance de nouveau vers lui, lorgnant sur le derrière de son crâne où j'ai subitement envie de donner un nouveau coup bien plus violent que l'autre et réapparait finalement dans son champ de vision. Je m'arrête près de la table basse et lui fait face.

-Bien. Je vois de toute évidence que vous êtes bien plus têtu que je ne le pensais. Ou chiant... au choix. Mais c'est tout à votre honneur. Après tout, je suis loin d'être une personne de confiance d'ordinaire.

Je m'assieds alors sur la table basse, juste en face de lui et penche légèrement la tête en lui adressant un léger sourire avant de croiser les jambes. Dans ma tête, tout un tas de questions se posent et j'essais de faire le tri afin de trouver la solution adéquate. Malheureusement, il semblerait que je peine à trouver ce que je cherche.
Je glisse ma main sur la table et saisis la feuille de contrat que je parcoure des yeux. Du bout de mon index, je laisse la pulpe de mes doigts laisser apparaitre clairement les petites lignes qui d'ordinaire, ne se laissent pas lire. Celles qui expliquent clairement qu'en cas de trahison la mort s'impose, qu'ils se doivent de nous prêter allégeance aussi souvent que nécessaire et bla et bla. Bref, tout le baratin qui stipule qu'ils ne seraient que des pantins entre nos mains. Bien évidemment, la plupart du temps, personne ne pense à lire ces petites lignes et je dois avouer que nous n'avons jamais eu à les appliquer. Mais je trouve déjà plus honnête qu'il en prenne connaissance.
Cependant, j'ai comme dans l'idée qu'il demandera toujours plus. Après tout, ça ne prouve en rien MA bonne foi, mais seulement celles du contrat. Je me mords donc l'intérieur de la joue et balaie la salle du regard, toujours en recherche d'idées. Lorsque je repose mon regard sur lui, je finis par lui adresser un nouveau sourire avant de me pencher légèrement vers l'arrière, prenant appui sur le plat de mes mains.

- Soit et uniquement parce que Vael semble penser que vous êtes quelqu'un qui pourrait nous être vraiment utile, dîtes-moi ce qui pour vous, prouverait que vous pouvez avoir confiance en moi.  J'ai beau chercher, je ne trouve pas et puisque c'est votre confiance que je cherche, vous devez bien avoir une idée sur comment l'obtenir, non ?

Et je hausse un sourcil avant de prendre mon verre sur la table et de tapoter nerveusement mes ongles dessus. Allez mon grand, accouche.


Mieux me connaitre ? C'est par ici => http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8727.0

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 13 samedi 07 juillet 2012, 04:06:29

Elle avait l'air exaspérée. Qu'avait-il fait exactement pour cela ? A son humble avis absolument rien, mais apparemment ce n'était que son avis, rien qu'à voir la façon dont elle leva les yeux au ciel suffit à le lui faire comprendre !Bon sang, mais il demandait juste un moyen d'avoir confiance en elle, qu'est-ce qui lui garantissait que ce papier ne serait pas jeté en pature à ses collègues ou modifié par magie une fois signé.... Normal en somme !

Elle sortit de son champ de vision, bon dieu ce que sentir la personne dans son dos e foutait mal à l'aise, vous avez ce genre de pressentiments qui vous laisse supposer que tourner le dos à une personne comme elle est des plus mal avisé, il ferait ben de se retourner, mais voilà, elle revint devant lui, il se détendit un peu, ses épaules entre autre se relâchèrent, bon sang il en avait eu un énorme frisson qui était descendu le long de toute l'échine. Cette femme devait être un vrai monstre pour lui causer de telles sensations ! Enfin bref, passons.

Concernant ses paroles, il avait fait son choix, en fait, il prenait les deux termes, il était chiant et têtu, et il l'assumait complètement, il était chiant parce qu'il était têtu, il était têtu car il e lâchait pas le morceau, et parce qu'il refusait de cesser, il en devenait chiant, mais en même temps, c'était plus ou moins la meilleure manière de faire son boulot de flicaille, non ? Enfin bref, peu importait cela, elle lui disait elle même qu'il avait raison d'être comme cela, pour une fois qu'ils étaient d'accord, il n'allait certainement pas la contredire !

En tout cas, elle avait désormais montré une chose, elle était vraiment une magicienne, en effet, elle venait de faire apparaître les petites lignes en bas du contrat. Il fallait qu'il apprenne ce truc, c'était trop fort ! Il put les lire et constata que si ça ne changeait pas vraiment la donne, cela la clarifiait juste, belle preuve d'honnêteté, mais guère plus. Ne savait-elle donc pas quoi faire pour prouver qu'il pouvait avoir confiance ? Ou n'avait-elle pas les moyens de lui assurer qu'il pouvait avoir confiance en elle ? C'était presque décevant !

Oui, c'était décevant qu'elle se mette à demander ce qu'elle avait à faire pour prouver qu'il pouvait lui faire confiance, preuve que d'elle même, elle ne pouvait pas lui monter cela. Elle avait donc besoin de s'en remettre à lui pour savoir quoi faire, houla, elle ne devait pas apprécier d'en arriver là, il ne savait pas pourquoi, lais il sentait venir le coup en traître enfin bref. Il se plongea dans une petite réflexion de ce qui pourrait lui permettre

« Hum, les possibilités sont nombreuses....par exemple, il y aurait m'offrir un moyen de vous empêcher de me nuire d'une quelconque façon,  ou faire en sorte que je n'ai pas à me sentir mal à l'aise lorsque vous tourne le dos. Une autre solution reviendrait aussi à faire les eux, et dans tous lescas, me tendre votre poignet... »
[/b]
Il comptait bien faire en sorte que sa main sur le poignet de la jeune femme lui fasse ressentir si elle mentait ou non quoiqu'elle fasse, il y avait des choses que l'on ne pouvait pas faire mentir, les impulsions électriques du corps humain par exemple.

« Bien sur, vous imaginez bien que j'ai une préférence pour le premier cas plus que pour le decon, après, ce ne sont de des exemples, mais cela peut vous mettre sur une piste ! »

Snow Burton

Humain(e)

Re : Je vais t'intégrer moi... (PV Gabriel Valmy)

Réponse 14 dimanche 08 juillet 2012, 03:17:51

Fais chier ce con !
Qu'est-ce qu'il lui faut de plus ? Que je joues les madame Irma en lui dévoilant de quoi l'avenir sera fait ? Même moi je ne sais pas comment vont se dérouler les choses prochainement. Je ne sais même pas comment je vais me fringuer demain matin alors bon... Pas même le dénouement de cette soirée, c'est pour vous dire.
Mais soit, s'il veut des preuves, va bien falloir qu'on en trouve hein ? On va pas y passer la nuit non plus. Lui comme moi avons d'autres chats à fouetter. Et après tout... Si il ne signe pas, je suis bonne pour me prendre un savon par Vael. Non pas que je ne sois pas contre quelques réprimandes de temps à autres, mais le connaissant, il risquerait de pousser le bouchon un peu loin. Alors concédons donc aux exigences de monsieur, je me chargerai par la suite, de lui faire comprendre mon ressentie, une fois que j'aurai le joli papier entre les mains.

Lui offrir un moyen de m'empêcher de lui nuire ? Et puis quoi encore ! Et puis, qu'est-ce qu'il entend par là d'abord ? Je soupire et trouve finalement la solution. Peut-être pas la bonne, mais ça ne coute rien d'essayer.  Je reprends la feuille de papier en main et me saisis de la plume que je fais tourner un instant entre mes doigts. La parole d'une sorcière, lorsqu'elle est signé avec son sang, est inviolable. Avec cela, il peut se garantir une totale sécurité avec moi. Tout du moins, quant au fait de divulguer les éventuelles informations quant à sa fonction de flic véreux. En dehors de ça, je vais pas me gêner pour le faire tourner en bourrique. Je vais pas non plus signer de mon sang, que je serai douce comme un agneau en sa présence. Seulement honnête et c'est déjà énormément me demander.

Je place donc la plume sur mon poignet et prononce une rapide formule en faisant la grimace sous la pointe qui se gorge de mon sang. Je l'applique ensuite sur le parchemin et noircis de quelques mots :
" Moi, Snow Burton, appose une note spécifiant tenir au secret à jamais, l'appartenance de Gabriel Valmy au sein de l'organisation. Nulle faille ne sera toléré sous peine de châtiment retentissant. Ce pacte demeure actif tant que les deux protagonistes siègent au sein du groupuscule."
Et je repose la plume sur la table basse, secoue la feuille quelques instants pour sécher le sang qui prend dés lors une teinte bien plus sombre, avant de lui rejeter sur les genoux.

- Est-ce que ça suffira ou il faut en plus que je scelle la chose devant un sorcier de haut niveau ? Non parce que bon, j'en ai un sous la main si il faut.

Mes mots sont tintés de sarcasme bien évidemment mais au moins, il peut me faire confiance sur le premier point. Ce serment, apposé sur ce document, est inviolable. Si jamais je venais à le rompre, la peine encourue serait funeste pour moi. Mon honneur s'en verrait sali et je ne donne pas cher de ma peau en suivant. Bien entendu, il en va de même pour lui, la chose est dans les deux sens. Mais l'honneur d'une sorcière vaut bien plus que celle d'un simple flic. Oui, je me tanne d'éloges, mais c'est dans ma nature.
Il me demande également de lui tendre mon poignet et je sais déjà pourquoi il me demande de faire ça. Les impulsions électriques contenues dans mon corps, suffiront à lui prouver si je mens ou pas. Après tout, pourquoi pas. Aussi, je hausse les épaules et enlève ma veste, dévoilant mon bustier et je pose mon bras sur son genou avant de me rapprocher sur la table, mes genoux entre les siens. Mon regard plongé dans le sien, je lui adresse un léger sourire.

- Vas-y mon grand. Fais donc ce que tu as à faire...

Et mon regard s'obscurcit légèrement sous une lueur de défi. Il m'amuserait presque à se montrer aussi soupçonneux, mais après tout, je ne peux pas lui enlever ça. Je suis rarement personne de confiance.... Comptez sur moi cependant, pour lui faire ressentir tout un tas d'énergie électrique lorsqu'il commencera sa manoeuvre. Il y a tellement d'éléments qui peuvent entrer en ligne de compte lorsque l'on cherche à capter l'électricité qui s'échappe du corps humain. Oh oui... et surtout lorsque l'on arrive à en manipuler quelques unes soi-même...


Mieux me connaitre ? C'est par ici => http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8727.0


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