Une Vampire, un mec électrique, une strip-teaseuse pas vraiment humaine, et maintenant un démon. Je devrais peut-être faire une liste de toutes les créatures imaginables et cocher au et à mesure de mes coucheries ? En tous cas, pour un démon, je ne le trouve pas effrayant. Bien sûr il a des ongles qui pourrait faire très mal, il n'aurait pas à beaucoup se forcer pour me casser en deux, et il sans doute des milliers d'autres moyens de me blesser ou de me tuer. Mais jusqu'ici il ne semble pas vouloir me faire plus de mal que je ne lui en demande.
À l'écouter j'ai raison, et je suis privilégiée d'une certaine manière. Enfin, plus privilégiée qu'en me faisant limer de bon cœur par une des plus grosses bites de ma vie. J'aurais peut-être dû dire ça à voix haute, s'il aime vraiment ce genre de compliments. J'aurais bien d'autres occasions, du moins j'espère. J'ai été trop bien élevée pour parler comme ça, même quand ça reflète bien mon humeur. Mais puisque j'ai affaire à un démon, et que ça lui plaît, j'ai bien envie de me lâcher, juste pour voir. Après tout je me suis quand même laissée sauter pour un bouquin et du whisky, c'est un départ une trombe.
Et puisque j'ai affaire à un démon il y a un prix à payer, un caprice à satisfaire. Je n'ai pas le temps de m'inquiéter qu'il passe aux aveux. M'envoyer en l'air avec lui, sans relation sentimentale, et à la seule condition qu'on soit tous les deux disponibles et disposés à le faire ? En fait ce qui me titille c'est qu'il n'ait jamais fait ça. Accroupie devant lui, à caresser gentiment son gros membre, je relève le visage avec un grand sourire excité.
- J'ai jamais eu de vrai sex friend. J'ai baisé avec tous mes colocataires, j'ai eu quelques coups réguliers. Mais un vrai sex friend, jamais. Alors je crois que je vais sauter sur l'occasion !
Et mes lèvres sautent sur son meilleur ami qui se réveille. Je ne retient pas mes petits gémissements feutrés en le suçotant et le léchant sur tout sa longueur alors qu'il se dresse. Il est encore couvert du délicieux mélange de son sperme et de ma cyprine, un régal. Je sens la grosse lance de chair gonfler sous mes lèvres, se lever, durcir et se réchauffer. Mes mains, parce qu'il faut bien les deux, viennent prendre le relais que je lève à nouveau les yeux.
- Je ne dis pas que ça va rentrer tout seul, mais tu t'y prends bien je devrais le supporter. Par devant j'ai eu du mal au début, après j'ai pris mon pied... Par contre je suis gourmande, mais je ne pense pas que j'en redemanderai vingt fois de suite.
Je reviens m'occuper de son membre avec un sourire amusé. C'est drôle de faire ça, discuter pendant une fellation. En tous cas je ne crains pas de voir tomber un silence gêner.
- Je ne suis qu'à moitié Japonaise, je viens d'Irlande. L'île des trèfles à quatre feuilles, des moutons, des vertes prairies, de la Guiness, des lutins farceurs... Et des jolies rouquines.
Je dois me dresser sur les genoux pour garder son membre à portée de ma bouche. Je penche la tête pour venir glisser ma entre ses bourses, puis remonter son sexe sur toute sa haute. Parvenue au sommet je prend son gland dans ma bouche, bien grande ouverte, pour le suçoter et le presser sur ma langue. Puis le libère pour reprendre mon souffle, et me relever en prenant soin de garder au moins une main sur cette belle grosse queue. Ma poitrine en sueur glisse sur son corps alors que je lui parle.
- Je n'ai jamais remercié ma mère pour ce que je tiens d'elle, mais j'en profite. Et j'en fais profiter.
Même pour une femme, ça peut paraître choquant de parler de sa mère dans une telle situation. Je suis quand même en train de me frotter à un homme nu, qui vient de me prendre et de jouir en moi. Mais je ne tiens pas d'elle que pour mes cheveux, mes yeux et mes tâches de rousseur. Bien sûr elle a toujours été très décente, très secrète sur ses aventures. Mais en grandissant je n'ai pas eu de mal à comprendre pourquoi elle a autant d'amis d'un bout à l'autre de l'hémisphère nord.
Assez parlé d'elle, on a pas fini de profiter.
" Est-ce qu'on peut s'installer un peu plus confortablement ? Que puisse commencer à t'occuper de mon cul pendant que je te suce ? "
J'adore parler comme ça ! Ça me fait presque autant frissonner que la sensation de son gros sexe dans ma main.