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Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech) -FINI-

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Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 15 jeudi 26 avril 2012, 22:50:25

Apparemment un arrangement est sur la bonne voie. Il y a toujours moyen de trouver un accord à l'amiable qui satisfait les deux partenaires. Je la vois se baisser, avant de commencer à déboutonner mon pantalon. Je devine bien ses intentions et j'en suis bien content. Elle risque d'être surprise quand elle va s’apercevoir de la taille de mon membre, bien qu'elle doit déjà avoir une petite idée de la chose, vu qu'elle l'a eu en main. Elle libère soudain ma verge, je soupire de soulagement. Enfin, il était temps, je commençais à être drôlement à l'étroit la dedans !

Regardant mon engin d'un regard hésitant, elle le prend bientôt en bouche, commençant une fellation que je ne peux qu'apprécier. je soupire de plaisir. Je la laisse faire. Puis elle  dégrafe son soutien gorge, dévoilant sa généreuse poitrine. J'ai une folle envie de les tâter, mais ce sera apparemment pour plus tard, peut être. Elle fait glisser ma verge entre ses seins. Sentir la chair chaude de ses attributs frotter contre mon sexe est une sensation merveilleuse.

- C'est du sur mesure, un vrai travail d’orfèvre.

J'appose une de mes mains sur sa chevelure flamboyante, accompagnant ses mouvements de va et vient. Je savoure chaque instant comme si c'était le dernier. Je sens le plaisir monté petit à petit.

- La dégustation est elle à votre goût ?

je la laisse faire encore quelques minutes, histoire d'être bien chaud, avant de vouloir passer à la suite. C'est que j'ai moi aussi envie à ses attributs.

- Je crois que sa suffira, J'aimerais à mon tour goûter aux spécialités de votre maison.

Sur ces mots, je me baisse pour la soulever à bout de bras. Je la porte jusqu'a mon bureau et la dépose sur celui. Je fais de la place en virant les dossiers par terre. Tant pis, je rangerais plus tard. Je déboutonne ma veste avant de la jeter sur une chaise. Je viens embrasser la jeune femme sur la bouche, mêlant ma langue à la sienne. Puis, je descends dans son cou, mordillant de temps à autre. Je continue de descendre vers sa poitrine, caressant ses seins de mes mains. Ils sont gros, ferme et bien arrondies, parfait en somme. Je viens ensuite les embrasser, pendant que ma bouche s'occupe de l'un, ma main vient s'occuper de l'autre, pinçant les tétons, les mordillant, les suçant ou juste en les léchant. J’agrandis mes ongles pour venir effleurer la chair de sa poitrine du bout de ceux ci.

Puis je descends encore, enlevant les pans de son chemisier rentré dans sa jupe. J'embrasse son ventre presque plat avant de relever sa jupe. Je découvre alors un magnifique string en dentelle.  Je caresse alors ses cuisses, pour venir remonter sur ses hanches, avant de passer vers l’intérieur de ses cuisses. Puis, je commence à caresser son entrejambe à travers le tissu. Je sens les parois de sa vulve a travers son string. J'écarte un peu le tissu afin de mieux explorer l'endroit. Je laisse aller et venir mes doigts le long de l'entrée de son antre. Puis, je viens passer ma langue juste dessus. Ma langue écarte les parois de sa vulve pour venir caresser l'entrée de son vagin, avant de remonter pour venir titiller son clitoris.

- He bien, je crois qu'il y a la un magnifique écrin..

Tiens je luis ferais bien le serpent...

Yamagashi Hitomi

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 16 vendredi 27 avril 2012, 14:19:45

Même si cette situation ne me plaît pas vraiment, je dois au moins reconnaître qu'il a les moyens de ses prétentions. De gros moyens qui ne demandent qu'à s'investir. Et son petit compliment est sans doute l'un des plus amusants que j'ai entendus sur ma poitrine. En forçant un peu le rythme je pourrais sans doute le faire jouir mais je n'y tiens pas vraiment. Il ne me laisserait sans doute pas m'échapper aussi facilement, et il même s'il réagit je pense qu'il lui en faut beaucoup pour être satisfait. Et il n'a pas l'air pressé. Sa main accompagne ma tête alors qu'un autre aurait sans doute tenté d'imprimer un rythme plus marqué.

- La dégustation est elle à votre goût ?
- Un vrai délice.

Il ne m'a pas conquise, ni par la force ni par la douceur, mais de ce côté-là je ne suis pas déçue. Si je fais la fine bouche c'est au sens propre, pour l'exciter un peu plus. Il finit par s'écarter pour échanger les rôles. Je suis curieuse de voir ce que ses critères de modestie définissent comme "pas mauvais".

Il me soulève à bout de bras, avec douceur et fermeté. Un frisson apaisant me parcoure de la pointe des pieds au sommet de la tête. Les hommes forts ne me laissent pas de glace, mais c'est par la douceur qu'ils me font vibrer. Comme les vieilles balades chantées par des groupes de hard rock, pleine de tendresse portée par l'intensité de leur musique. Bien sûr tout est relatif. En débarrassant son bureau et retirant sa veste il ne fait pas dans la finesse. Son baiser est fougueux, et bref. Sa bouche se lance vite dans l'exploration de mon corps.

J'ai encore le goût son membre sur la langue, et ses caresses achèvent de m'enivrer. Assise au bord de son bureau je me laisse aller en arrière, appuyée sur une main, pour lui offrir ma poitrine. Vraiment pas mauvais, et il ne rechigne pas à embrasser la chair qui étreignait son membre il y a encore une poignée de secondes. Mes soupirs se font plus profonds sous ses caresses, que ses ongles relèvent d'une touche mordante qui me fait frissonner.

Après cette étape enivrante il reprend sa descente et libère mon chemisier que je laisse glisser de mes épaules. Mais il n'a pas repris la route pour faire marche arrière. Je me dandine assise alors qu'il relève ma jupe, découvrant bientôt mon string, puis fait courir ses doigts sur ma peau. Il a de la chance, je ne porte presque jamais de strings. Trop petits à mon goût, je préfère les sous-vêtements qui couvrent un peu plus : ceux que l'ont doit enlever en prenant garde à ne pas gâcher le plaisir.

Ses doigts reviennent à l'intérieur de mes cuisses pour caresser la fine étoffe déjà humide. Les cuisses largement écartées je laisse s'envoler un soupir un peu plus marquer à ce contact. Il écarte la lingerie pour cette fois caresser ma peau sensible. Je passe une main dans ses cheveux pour l'inviter à poursuivre, ce qu'il fait. Sa langue passe d'abord sur la frontière de mon intimité, avant de s'y aventurer timidement. Puis elle remonte pour flatter le petit bouton de ma fleur offerte.

- He bien, je crois qu'il y a la un magnifique écrin.
- Vous "croyez" ?

Un petit coup de blizzard de la reine des glaces, le dernier, promis. Je baisse la tête pour lui adresser un demi-sourire calculé.

- Je m'en voudrais de vous laisser dans le doute.

Puis je presse légèrement ma main contre sa tête, pas assez pour la faire avancer. Mais il suit. Et alors qu'il me goûte, je me régale. Pas mauvais du tout. Sa langue est une vraie anguille, qui ne se glisse en moi qu'en douceur au début. Un magnifique écrin, mais pour une pièce de belle taille. Il met beaucoup de soin à préparer l'accueil. Et alors que sa langue commence à s'agiter avec plus d'ardeur, n'oubliant pas de revenir exciter mon clitoris de temps à autres, je la récompense de mon nectar. Mes doigts toujours enfoui dans ses cheveux massent, et parfois se crispent juste assez que mes ongles grattent son cuir chevelu.

- Que pense un gourmets de mes spécialités ?

Difficile d'aligner autant de mots entre deux soupirs. D'autant que la chaleur ne cesse de monter. Les yeux fermés je laisse ma tête dodeliner, cahotée par les vagues frissonnante qui m'électrisent. Comme quoi il suffit de se concentrer sur l'essentiel pour dépasser une première impression peu convaincante. Il sait vraiment y faire, et je dois me retenir pour ne pas me laisser dépasser. Encore quelques minutes, quelques mesures de plus dans le jeu de sa langue, et je pourrais jouir. Pourtant je ne veux pas, pour l'instant du moins. Lui non plus ne m'a pas laissée démontrer toute l'habileté de ma langue. Mes doigts tirent doucement ses cheveux pour attirer son attention.

- Je crois que... que mon écrin est... Hmmmmm...

Difficile d'aligner autant de mots, même en les soupirant.

Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 17 jeudi 10 mai 2012, 00:11:08

Je sens ses doigts et surtout ses ongles venir frotter mon cuir chevelu, alors que je m’affaire sur sa fleur.

- Il est un met fin, à ne pas mettre entre toutes les mains...


Petit compliment, à juste titre, car le nectar de sa fleur est très appréciable, avec un petit goût sucré indescriptible. Je la sens gémir sous mes coups de langue. Visiblement elle apprécie la chose, en même temps je ne connais personne en plus de 2000 ans de vices qui n'ait eut à se plaindre  de mes services. Je peux passer des heures sur cette partie du corps. Il faut dire que certaines dames du monde infernal sont très difficiles et capricieuses et les faire planer n'est pas de tout repos, même si en général nous n'avons pas que deux partenaires pendant ce temps la. Déjà, je sens sa peau moite et son liquide séminal plus abondant et voila qu'elle semble vouloir arrêter la, les préparatifs. Je pensais qu'elle aurait résistait un peu plus longtemps pour une femme disposant d'un tel caractère. Tant pis, cela en deviendrait, je l'espère plus intéressant par la suite.

- Oui, oui, votre écrin est très bien taillé, je crois même qu'il pourrait recevoir les meilleures bouteilles...

Je me lève, la toisant du regard, avant de poser mes mains sur la table, de par et d'autre de son corps. Je me rapproche de plus en plus de son visage, collant mon corps au sien, avant de lui glisser quelques mots à l'oreille.

- J'ai même ici une bouteille qui pourrait parfaitement convenir, je crois, pour votre écrin...

Sur ces mots, je l'embrasse, empoignant sa belle chevelure rousse et soyeuse. Des cheveux ondulés et doux comme la soie. Ma verge dur comme le bambou, vient se frotter contre sa vulve. Ma langue vient descendre vers son cou, laissant une trace de salive, avant de revenir vers sa poitrine. J'allonge alors ma langue d'une bonne vingtaine de centimètres, afin de parcourir ses seins nus et moites, tel un serpent, ondulant entre les dunes, titillant ses tétons déjà durcis au bout rose.

Je rentre alors ma langue, avant de me reculer un instant, pour diriger mon membre contre l'entrée de son vagin. Je presse mon gland pour le faire rentrer doucement dans son antre. Je marque une courte pause, avant de continuer à la pénétrer. Je la sens serrer et je prends mon temps, pour qu'elle s'habitue à la taille de ma hampe. Je continue à rentrer en elle, arrivant à la moitié. Je la laisse souffler un peu, avant de continuer presque jusqu'au bout. Je sens le fond de son vagin, avant de pouvoir rentrer complétement et je la laisse respirer un peu. Elle est si serré, que la sensation de plaisir en est décuplé. Je commence alors de lents mouvement de va et vient en elle.

- J’espère que cela n'est pas trop douloureux ?

Du coup, je ne regrette absolument pas mon coup, même si la méthode à complétement foiré, il faudra que je la travaille à l'avenir. Je me sens même honteux, une méthode indigne d'un stratège et rusé administrateur aussi réputé que moi. Heureusement que j'ai pu rattraper le coup. Tant pis, je ferais exécuter toute la sécurité  et le groupe de direction du groupe de supermarché. J'y mettrais des hommes à moi, enfin des démons bien entendus.

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 18 dimanche 13 mai 2012, 23:54:17

J'aurais peut-être du le prévenir, car je le sens un peu déçu quand il se relève. D'accord, je devrais faire en sorte que ça se finisse vite, mais maintenant qu'on en est là autant profiter. Il ne m'a pas faite jouir avec sa langue, mais j'espère que je vais pouvoir accueillir son énorme... bouteille. Une fois encore il ne cherche pas à forcer ce qu'il lui est déjà acquis de toutes façons. Le sentir son corps si près du mien, son souffle près de mon oreille, me fait frissonner. Contrairement à ce que j'ai dit je me laisse faire quand il m'embrasse. Je me laisse posséder par sa main ferme qui dont les doigts se resserrent dans mes cheveux. Peut-être pour me donner bonne conscience ? Ou simplement pour le frisson d'être entre les mains d'un homme qui pourrait faire ce qu'il veut de moi par la force ?

Et je sais très bien ce qu'il veut, je le sens le réclamer juste à l'entrée de mon intimité. je n'attends que ça, moi aussi. Mais une sacré surprise m'attend avant ça. Une langue qui vient onduler sur ma poitrine comme une anguille. Après la strip-teaseuse qui n'est pas vraiment humaine, le colosse monté comme un bélier de siège, la Vampire la démone et la sorcière... Eux et tous les autres. Dans les griffes de quel monstres suis-je encore tombée ? Un gros monstre, qui se replace entre mes cuisses pour passer la vitesse supérieure.

Il avance lentement le bassin, presse doucement son gland entre mes lèvres intime. J'ai beau être excitée et mouillée comme un ouragan, ça fait déjà mal. Je serre les dents pour étouffer une plainte, et m'agrippe au bord du bureau en espérant oublier la douleur, mais je sais qu'elle ne fait que commencer. Il pousse lentement son énorme membre en moi. Arrivé à la moitié je ne tiens plus, peut-être justement parce qu'il s'arrête.

- Ha !

Le minimum, je ne veux pas me plaindre plus. Et quoi ? Je pourrais peut-être lui dire d'arrêter ? Après tout ce cirque il serait sans doute moins bien disposé à mon égard. S'il décidait que mon avis importe peu, je ne vois comment je pourrais l'empêcher de me fendre en deux. Peut-être pire, d'ailleurs. je ne sais toujours quel monstre me tient entre ses cuisses. Mais je ne veux pas m'accrocher qu'à la peur ou la prudence. Ce serait assez pour endurer, pas pour répondre. Et je veux répondre. C'est tout ce que j'ai et je dois me convaincre que ça suffit. Je lui ai fait miroité une femme qui en veux, pas une petite joueuse incapable d'assumer ce qu'elle a provoqué.

Je prend de grandes inspirations pour encaisser alors que sa hampe recommence à bouger. Elle est tellement grosse que j'ai même du mal à ne pas glisser en arrière sur le bureau. Je tremble de partout, des bras tellement je serre le bord du bureau, des jambes tant la douleur est insoutenable dans le bas de mon corps. Chaque fois que mes poumons se vident j'ai l'impression qu'on va me coller la tête sous l'eau. Mais je ne laisse pas échapper la moindre plainte, pas encore. S'il reste aussi tendre dans ses gestes, mon tendre écrin finira par mieux supporter sa grosse bouteille.

Encore quelques instants insupportable et enfin je le sens presser au plus profond de moi. Ça y est, le pire est passé. Je ne dis pas que c'est soudain le pied intégral, mais je peux commencer à apprécier la suite. Je laisse échapper un long soupire soulagé alors qu'il recule, puis trésaille quand il commence à revenir. C'est déjà plus facile à encaisser. D'un mouvement à l'autre la douleur diminue, apaisée par la chaleur que diffuse cet énorme membre.

- J’espère que cela n'est pas trop douloureux ?

C'est plus le moment de se poser la question, mais autant répondre tant que je contrôle encore ma voix. Bientôt il se sentira assez à l'aise pour accélérer, et j'aurais du mal à ne pas hurler comme une folle. Je relève le visage. Je dois être rouge comme une tomate, les larmes aux yeux.

- Ça va... Allez-y doucement... Encore un peu... Ha ! Haaaaaaaaaaaa....

Je sens son membre qui revient, d'une seul mouvement toujours lent et régulier. Propulsé vers l'avant, il doit toujours forcer un peu pour trouver son chemin vers le haut. Un instant je regrette de ne pas l'avoir d'abord aiguillé vers mon autre orifice. Pour moi le plaisir de la sodomie vient plus de l'idée que des sensations. J'aurais eu aussi mal, mais je m'y serai faite un peu plus vite. C'est bien la première fois que je pense une chose pareille. De toutes façons ça ne m'étonnerait qu'on y vienne.

Je me penche doucement en arrière. Surtout pas de mouvements brusque. Il fait l'effort de rester délicat pour ne pas me déchirer, et je n'ai pas plus envie que lui que ça se produise. Je pose d'abord les coudes sur le bureau alors qu'il accélère très légèrement le rythme. Puis quand mes épaules touchent enfin le bureau, je lève les bras et les repli pour attraper le rebord du meuble derrière ma tête. Au moins comme ça il ne me décollera pas les fesses du bureau chaque fois qu'il arrivera au fond... Et enfin, je commence à sentir que ça devient bon.

Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 19 vendredi 18 mai 2012, 19:22:37

Je continue de lents mouvements de va et vient. De temps en temps je m'arrête complétement, le temps pour elle de ne pas trop avoir mal et surtout de faire durer le plaisir. je préfère toujours avoir une personne consentante comme partenaire, plutôt qu'une proie qui va se débattre au début avant de se laisser faire.

 Profitant de ce laps de temps, ma main droite vient s'approcher de son pubis, caressant son clitoris. A l'aide de mon pouce, j'effectue un mouvement circulaire autour de ce dernier, frôlant juste le dessus du bourgeon. je sors ma hampe nervuré  avant de venir frotter celle ci contre son clitoris, lentement. Mon autre main vient caresser son ventre et sa poitrine, remontant jusqu’à son cou. Ce faisant je viens déposer quelques baisers sur la bouche de la jeune femme, avant de l'embrasser plus longuement. Je rentre l'un de mes doigts dans son vagin, afin de venir caresser la partie supérieur interne, derrière le clitoris.

J'ai encore envie de m'occuper d'elle. Je redescends avant de déposer quelques baisers sur son bourgeon. Puis j'effectue un suçon, avant de le mordiller doucement. Mes doigts viennent la pénétrer, effectuant quelques mouvements de va et vient. Ma langue vient ensuite lécher le bord de ses lèvres, avant de s'introduire à l’intérieur. J'en profite pour laper le liquide séminal qui se fait petit à petit plus dense. J'allonge alors une nouvelle fois ma langue, la faisant avancer à l’intérieur de son vagin, se frayant un passage entre les parois humide de son sexe. Ma langue se terminant comme une langue de serpent, je viens caressait chaque recoin de son vagin, avant d'arriver devant l'entrée de son utérus que je devine. Je rentre alors ma langue goutant le liquide salé sucré. Puis je m'amuse à la faire rentrer et sortir dans son antre, me baladant de temps en temps le long de ses lèvres ou autour de son clitoris.

Je remonte ensuite sur son ventre, laissant ma langue explorer son corps, avant de revenir sur ses seins. Je viens les embrasser et les mordiller doucement, avant de  redescendre pour finir mon travail. Ma langue revient s'occuper de sa fente, avant de descendre sur ses cuisses, que je mords également, laissant une trace rouge, mais doucement. Je reviens ensuite infiltrer ma longue langue en elle. Je me demande si elle va résister longtemps à ce traitement. Il n'y a rien de mieux que de donner une chose plaisante à quelqu'un avant de la lui retirer subitement, faites le plusieurs fois et la personne tombera sous votre pouvoir.

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 20 mardi 22 mai 2012, 20:03:58

Cette énorme queue est un véritable supplice, mais à mesure qu'il s'adoucit le plaisir prend le pas sur la douleur. Et mon partenaire prend bien soin de me ménager en gardant des mouvements lent ou en marquant de petites pauses. Allongée sur le dos, le visage empourpré par la chaleur et l'intensité de ses ébats finalement doux, je laisse s'envoler des gémissements fiévreux. J'amène parfois un doigt replié jusqu'à ma bouche pour le mordre quand il revient un brin trop vite en moi. Mais je n'ai aucune envie qu'il arrête ou même qu'il se retienne un peu plus.

Quand sa main narguer mon clitoris une vague de frissons me fait trembler sur le bureau. Un meuble massif, qui ne risque pas de craquer ou grincer sous mon poids. Ça me change des tables et des bureaux du lycée, dont certains commencent vraiment à être mal en point. Finalement, après sa tentative de chantage un peu maladroite, il a vraiment montré de quoi gagner mes faveur. Dans cette pièce tout est bizarre, et puissant, du bureau whisky en passant par cette horloge un peu effrayante. Il me suffit de pas grand chose pour me dire que tout est là pour me plaire, et surtout lui.

Ses yeux étranges et ses doigts griffus ne m'ont pas vraiment effrayée car il n'est pas le premier à me surprendre avec ce genre de chose. En fait, compte-tenu de mes expériences depuis que je suis arrivée en ville, pour me surprendre il aurait fallu que pantalon cache un vagin. Mais je ne pense pas que j'aurai été troublée de la bonne manière. Quoique je n'aurais pas refusé, ne serait-ce que par curiosité. En tous cas j'ai bien d'autres choses à penser avec le peu de neurones qui me restent en fonction. De ma poitrine au creux de mes cuisses il est partout. Ses caresses mesurées et ses assauts aussi lourds que délicat me cuisent le cerveau. Je ne pense qu'à une chose : j'en veux plus, et aussi vite que je pourrais le supporter.

Sans coup férir il se retire soudain, et la sensation de vide que laisse son membre n'a d'égal que sa taille. Ma, ou plutôt mes réactions sont immédiates. Je ne peux pas retenir un gémissement soulagé en me redressant sur les coudes, mais je ne suis pas contente de ce qu'il vient de faire. Je n'ai pas le temps de lui demander pourquoi qu'il vient presser ses lèvres contre les miennes. Sa lance brûlante, trempée de ma propre cyprine, frotte contre mon intimité. En me redressant juste encore un peu je pourrais la sentir presser sur mon ventre du haut des lèvres au niveau du nombril... au moins.

Ses petites baisers ne me laissent pas le temps de me plaindre ou de réclamer le retour de son membre. Puis il m'embrasse vraiment, toujours aussi ferme et tendre à la fois. Un de ses doigts se glisse en moi, alors que je profite de son baiser pour me redresser un peu plus. Je n'oublie pas pour autant qu'il vient de faire un pas en arrière. On ne recule pas pour mieux sauter quand on est déjà au-dessus du vide. Est-ce qu'il a très mal choisi son moment ? Ou au contraire sait-il dans quel état il est en train de me mettre ?

Je pose les mains sur le bureau pour rester assises, penchée en arrière, aussi offerte que possible. Je ne veux pas lui en demander plus, pas encore, même si j'ai bien cru que j'allais jouir tout à l'heure. Ses lèvres dévalent mon corps et je profite de cette accalmie pour souffler. Après tout c'est lui qui vient de redescendre d'un cran, littéralement. Malgré ça je tremble toujours autant, bientôt plus encore.

- HoOoOo !

Je ne sais pas d'où il sort cette langue mais la surprise est plus qu'agréable. Tout mon corps en frissonne de plaisir, et d'aise car les deux sensations se distinguent. Après les ravages de sa grosse lance, ce massage apaisant m'assomme presque. J'espère que ce n'est qu'une accalmie avant la reprise des hostilités, et j'en profite tant que je peux. Mais il ne me laisse toujours pas souffler. Plus ça va plus je me dis qu'il essaie de me tourmenter. Il donne et il reprend, un pas en avant et un pas en arrière. Ce qui colle avec tout ce qui s'est passé et me fait penser que ses maladresses de mise en scène n'avaient rien d'involontaires.

Il est déjà trop tard, je suis tombée dans le piège. Je ne peux plus résister et je n'en ai pas vraiment envie. Il m'excite tellement que je n'ai pas le courage de me plaindre quand il me frustre. D'ailleurs il ne me frustre pas complètement. Sa langue s'échappe de mon intimité, vient se balader sur les reste de mon corps, puis revient. Même quand il me mordille je n'ose pas me plaindre, car dans mon état je serais bien fichue de lui dire de mordre plus fort. D'ailleurs le retour de sa langue en moi m'enlève toute envie de me plaindre.

Je subis allègrement son petit manège, qui me fait tourner chaque fois un peu plus près de l'orgasme. Ce n'est pas le premier être surhumain que je rencontre. Si j'ai bien appris une chose sur eux c'est qu'ils n'ont pas le même sens de la mesure que les humains. Leurs petits jeux peuvent facilement passer pour de sales coups... Et même quand ils croient en donner trop peu c'est déjà presque assez. En tous cas ça m'a souvent fait cet effet, et j'ai du me retenir de peur de décevoir.

Mais cette fois je n'ai pas de raison. Il est venu me chercher, et il n'a pas été des plus sympas. En d'autres termes il ne m'a donné de raison de l'attendre. D'un autre côté je n'aime pas jouir toute seule. Enfin si, j'aime, c'est logique, mais ça me donne l'impression de laisser mon partenaire à la traîne.

- Ha !... Je... Je vais... Jouir !...

Faut-il que je sois gentille pour le prévenir ! D'autant qu'il serait bien capable de me priver encore de ce que je veux. Mais il n'a pas intérêt à traîner, je sens déjà que mon corps se crispe et que ma voix m'échappe. J'espère que les murs sont épais, sinon dans une poignée de secondes tout le magasin va m'entendre crier.

Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 21 dimanche 27 mai 2012, 01:59:36

Finalement elle semble bien apprécier mes caresses, je dirais même plus, ses gémissements et les crispations de ses muscles ne laissent aucun doute, elles les adorent. Alors que je m'interroge sur le temps qu'il lui reste avant de succomber à mes caresses buccales sur son sexe, je la sens monter soudainement de plus en plus. Plusieurs signes qui ne trompe pas lorsqu'une femme prend du plaisir, lié également à ses paroles me font penser que la jouissance est proche. Il est vrai que ma langue fourchue rencontre beaucoup plus de cyprine qu'auparavant.

De plus, je sens la jeune femme tressaillir lorsque ma langue ou mes doigts touchent certains points de son antre. Encore un peu, et ce sera la délivrance pour elle. Si il y a bien une chose en laquelle je ne suis pas ingrat et surtout avare c'est bien le sexe. Même en présence d'humains ou de partenaires femelles inférieures, je ne peux m'empêcher de penser à leur donner du plaisir et même à les satisfaire du mieux que je peux. Peut être un défaut dirons certains ? Je dirais plutôt un avantage d'après ce que j'en connais. On dit souvent de moi que je suis trop ambitieux, quitte à passer outre les ordres, mais également égoïste parfois, cela je l'accorde, mais je n'en ai que faire. Un démon n'a pas ces préoccupations en tête.

Soudain, ce fut l'orgasme, ma partenaire poussa un long râle, alors que les muscles de son vagin se contractaient sur ma langue. La jeune femme eut quelques spasmes, comme des réflexes involontaires du au plaisir. Je sentais plus de liquides séminal sur ma langue que je m'empressais de laper alors que je ramenais ma langue à une taille normale. Je la laissais ensuite reprendre ses esprits, en profitant pour me débarbouiller la bouche pleine de sa cyprine.

J'ouvrais le deuxième acte déposant plusieurs baisers sur son ventre que je sentais brûlant. Je ne la lâchais pas des yeux, tout en continuant à remonter le long de son corps. J’arrivais bientôt sur sa poitrine généreuse et moite comme tout son corps, l’embrassant un peu plus intensément avant de revenir toujours  plus avant sur son cou, alors que mon gland caressait déjà  l’entrée de son sexe. Je remontais encore, faisant ainsi frottait ma longue hampe toujours bien dur contre ses lèvres et son pubis. Je lui arrachais un baiser, avant de m’approcher de son oreille.

-   Ce n’est que le début…

 Je déposais ensuite un autre baiser, avant de l’embrasser à pleine bouche, frottant toujours ma lance turgescente sur le dessus de sa grotte. Je dirigeais ensuite mon gland contre l’entrée de son vagin comme précédemment, avant de le rentrer d’un coup sec. J’avançais ensuite ma hampe en elle jusqu’au trois quarts, arrivant au fond de son vagin. Le fait de l’avoir fait jouir précédemment avait certes facilité la pénétration, mais aussi d’avoir excité ma partenaire au maximum. J’allais et venais lentement en elle, accélérant au fur et a mesure. La pénétration était beaucoup plus facile que précédemment, bien que mon sexe de démon était toujours assez à l’étroit dans un vagin de mortel.
Je labourais littéralement ma partenaire à chaque coup de rein, avant de soulever  le haut de son corps de mes mains puissantes, afin de le ramener vers moi. J'en profitais ainsi pour baladais ma langue sur sa poitrine alternant avec quelques baisers sur ses lévres et son cou. Je continuais ainsi à la pénétrer, alternant  entre des mouvements rapides et des mouvements plus lents mais plus profond, jusqu'au fond de son antre. 

Mon corps devenait chaud comme la braise et  bientôt de la sueur perlait le long de mes jambes et de mon bassin. Je pressais les fesses pulpeuses et fermes de la jeune femme de tout mon long, avant de remontait mes mains. Mon dieu elle avait un corps de rêve, il était difficile de passer outre.  Je me demandais bien si ma partenaire, en tant que professeur exerçait ce genre de programme avec ses élèves.

Bien sur je pouvais jouir en elle dans peu de temps ; mais je savais me retenir et surtout pour moi, bien sur, tenir plus longtemps et surtout je comptais jouir en elle quand elle aurait un deuxième orgasme…et non pas avant, à moins qu'elle n'ait quelques astuces dans sa besace.


« Modifié: dimanche 27 mai 2012, 14:15:48 par Adramelech »

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 22 dimanche 27 mai 2012, 17:34:32

La prochaine fois que je viens dans ce magasin je vole un rayon entier. Je suis à moitié sonnée mais ça me semble une bonne résolution. la meilleure serait encore de la voler lui, mais je me vois mal le tasser dans mon sac et il n'a pas l'air assez sentimental pour se laisser embarquer. En tous cas sa langue m'a mise K.O une seconde. Je reprends vite pied en sentant ses lèvres sur mon ventre, puis son énorme engin contre mes lèvres intimes. Il vole un baiser à ma bouche grande ouverte, essoufflée.

- Ce n’est que le début…

Je me redresse pour accueillir ses prochain baisers, et j'y répond tant que je peux.

- J'espère bien.

Sa hampe démesurée va revenir en moi. Ça va faire mal, mais ça va être encore meilleur qu'avant. Sa langue était moins grosse, pourtant elle valait en taille des membres qui m'ont fait crier de plaisir. Je ne sais pas si je serais capable de crier et c'est un mystère que je compte vite élucider. Apparemment je ne suis pas la seule. Je baisse les yeux pour le voir diriger son sexe droit sur le mien. Je ne peux pas me retenir de serrer un peu les dents en me souvenant de la douleur. Mais s'il y va doucement je devrais...

- Haaaa !

Il s'est enfoncé d'un coup, ou plutôt il m'a défoncée ! Mes fesses en ont glissé sur le bureau. Je me mords la lèvre et ferme les yeux aussi fort que je peux pour ne pas crier à nouveau. Au moins le mystère est élucidé. Il commence à aller et venir en moi, doucement. La douleur se calme peu à peu mais je sens qu'il accélère. Dressée sur les coudes je serre les poings. Ça fait tellement mal que j'en ai les larmes aux yeux. Je sens que mes jambes s'engourdissent, et malgré tout ce que je mouille sa grosse queue me brûle de l'intérieur. Ça fait trop mal ! C'est trop... Trop bon !

Ce n'est pas tous les jours qu'on me baise comme ça ! Je crois même que c'est la première fois. La douleur me donne l'impression de me faire violer, et j'arrive à peine à tenir sur mes coudes. Je ne suis plus qu'une poupée de chiffon trempée de sueur entre les bras de ce type, et j'aime ça. C'est tellement intense ! Je tremble de peur, de douleur mais aussi d'excitation. À chaque coup de rein j'ai peur de m'ouvrir en deux comme une bûche. Je n'ai pas la force de bouger, mon corps est complètement traumatisé par ce qu'il est en train de subir. Ça me fait tourner la tête, ma volonté est partie en morceaux.

Mon terrible amant me redresse pour profiter de ma poitrine, je suis tellement brisée que mes bras pendent mollement sur le bureau. La tête balançant en arrière je manque de m'étouffer avec ma propre salive. J'arrive à relever la tête pour l'avaler. Je ne me savais ni maso ni élastique, ce mec est en train de me faire découvrir des choses sur moi-même. Mais plus que jamais il me donne envie d'être plus qu'un mannequin désarticulé juste bon à se faire remplir.

Mes jambes ne m'obéissent plus, je me bats pour lever la main et agripper son épaule. Mon autre main va se crisper sur ma propre cuisse. Je me griffe presque pour essayer de retrouver des sensations sous le bassin. Je hisse ma tête aussi près que possible de celle de Monsieur pas-mauvais-mais-très-gâté-par-la-nature.

- Hin ! Continue ! Pitié ! T'arrêtes surtout pas !

Ma jambe droite retrouve un semblant de vigueur, que je mets immédiatement à profit. Je la serre contre la hanche. Je sens à nouveau sa peau qui frotte contre la mienne. Et je constate au passage que son membre a beau venir taper au plus profond de moi, il n'a pas la place d'entrer entièrement. Alors je l'attrape et serre tant que je peux, ce qui n'est pas beaucoup. Mais cela suffit à rendre sa hampe encore plus dure et palpitante. Je garde la main entre mes cuisses, contre l'entrée de mon vagin comme pour le prolonger. Je sens qu'il ne va plus tenir longtemps, et moi non plus.

Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 23 lundi 28 mai 2012, 23:09:16

Pendant un moment, je sens ma partenaire moins réactive. Peut être du au fait qu'elle venait juste d'avoir un orgasme ? Je comptais bien avoir ma part également. Elle a beau être excité, j'ai tout de même eu un peu de mal au début. Il faut dire que mon membre est de grosse taille, du moins par rapport aux humains.

Je continue à la besogner rapidement, faisant monter le plaisir en moi. Puis sentant que je ne vais pas tarder à venir, je ralentis un moment, histoire de faire durer le moment plus longtemps. Ma partenaire en profite pour reprendre ses esprits, ce qui n'est pas pour me déplaire, bien au contraire. Je dépose plusieurs baisers passionnés dans son cou, avant de remonter sur sa joue et sur sa bouche. Je l'embrasse de façon bestial, mordillant ses lèvres. L'une de mes mains vient saisir la jeune femme par la nuque, prolongeant un baiser déjà long. Mon autre main descend le long de sa colonne, arrivant en haut de ses fesses. Je continue mes mouvements de va et vient, alors que l'un de mes doigts descend entre ses fesses, frottant le long de sa raie.

Mon souffle devient plus rapide et plus court, mon front commence à perler de sueur, tout comme ma partenaire d'ailleurs, qui vient maintenant enserrer mon bassin entre ses jambes, comme pour m'empêcher de partir. Voila en plus qu'elle contracte les muscles de son vagin, enserrant ma verge en elle. Elle me supplie de continuer à la défoncer comme un animal. Pour ça je ne me fais pas prier. J’accélère un peu la cadence, alors qu'elle vient écarter les lèvres de son sexe avec l'une de ses mains. Mon gland se trouve serré, poussant a chaque fois un peu plus contre l'entrée de son utérus. Elle me pousse à aller plus loin, je finis chaque pénétration en forçant un peu plus à chaque fois, afin d'enfoncer complétement mon gourdin en elle.

- Encore un peu, la dernière ligne droite est proche

J’accélère encore un peu, sentant la jouissance à porter de main. Un peu encore, j'y suis presque. l'orgasme arrive, violent, parcourant mon corps de spasmes, je sens ma hampe rentrer un peu plus profondément, forçant le passage de son utérus avant de déverser ma semence au plus profond de son être en de longues et puissantes saccades. Je pousse de longs râles ralentissant les mouvements avant de m'immobiliser complétement.

Le plaisir est intense, mais hélas trop court, comme d'habitude. Pourquoi diable est ce toujours plus court pour les hommes ? Je reprends mes esprits, tentant de ralentir mon souffle. Je soupire un bon coup, restant encore un peu en elle pendant quelques instants. Je lui redonne un baiser avec la langue, avant de doucement et lentement retirer ma hampe. Je m'appuie alors contre mon bureau, le corps couvert de sueur.

- Haaah, sa fait du bien...

Maintenant que j'ai eu ce que je voulais, elle est libre de s'en aller. A moins qu'elle n'ait envie d'une deuxième manche ? La dessus je ne dirais pas non, mais il me faudrait deux, trois minutes de pause avant ça, après à elle de voir.

Yamagashi Hitomi

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 24 mardi 29 mai 2012, 16:47:59

La dernière ligne droite est tellement intense que j'en perds encore mes forces. Je dois m'agripper à lui des deux mains pour ne pas me laisser balloter dans les sens. Ce n'est plus une lance ou un gourdin qui me pénètre : c'est un marteau-piquer. Il me burine le ventre à tel point que je pourrais me demander comment mes entrailles arrivent à tenir en place. Je pourrais si j'étais capable d'aligner une réflexion aussi complexe. Heureusement que j'en suis incapable, cette réflexion en particulier aurait de quoi me refroidir d'un coup.

Mais j'ai la tête sans dessus-dessous. Il n'y a plus que ce corps puissant et brûlant qui s'active contre le mien, son énorme queue qui me harcèle de douleur et de plaisir. Elle va et vient frénétiquement en moi, et je sens que je vais exploser d'un coup à l'autre. Je ne sais pas à quels genre d'animaux ont pourrait nous comparer, mais des bêtes voraces. Ma respiration est saccadée par les coups de boutoirs de mon partenaire, étranglée par ma propre salive que je n'arrive pas à avaler correctement.

Et soudain tout mon corps se tend à me faire trembler de tous mes membres. Le souffle coupé je me cramponne tellement fort que mes ongles doivent le griffer. Je jouis, sans vergogne, tellement fort que cette fois je me fous royalement d'être seule à décoller. De toutes façons je ne tarde pas à sentir le membre de mon amant cogner une derrière fois pour libérer une longue giclée de sperme, puis une autre. Je n'arrive pas plus à reprendre mon souffle que mes esprits. Il me remplie comme une gourde et m'embrasse. Je pourrais mourir, j'en ai presque envie tant c'est bon.

Il me dépose sur le bureau avant de se retirer. Mon cœur cogne dans ma poitrine et mes poumons aspirent tous l'air qu'ils peuvent. mes yeux roulent, faisant tourner le monde autour de moi. Je suis K.O., au bord de l'inconscience, mais je me sens tellement bien.

- Haaah, sa fait du bien...

Pas très fin de sa part, mais vu mon état et le pied que j'ai prise je serais vraiment hypocrite de le lui reprocher. De toutes façons je n'en ai ni la force ni l'envie. Je reste allongée sur le bureau, les jambes pendantes dans le vide, incapable de seulement lever un bras pour lui faire signe. Je laisse mon corps se reposer. La chaleur de son sperme apaise la douleur de mon vagin malmené. Les spasmes qui secouent mes membres se changent peu à peu en frissons plaisants. Je me laisse flotter sur la vague de plaisir qui s'éteint lentement.

Mais comme mes esprits se rassemblent tant bien que mal j'en vient à un troublant constat. Il a eu ce qu'il voulait. Bon gré, mal gré, il s'est bien amusé. Et en tant que sa "victime" je ne suis sans doute pas tenue de rester. Mais ai-je vraiment envie de partir ? La question demande un peu de réflexion, et un petit check-up. Je me lève du bureau pour faire quelques pas, d'abord mal assurés. Après ce que je viens de vivre, l'expression "se faire casser les pattes arrières" a pris tout son sens. J'ai les jambes qui tremblent et le sens de l'équilibre tout aussi engourdi. Mais j'arrive à traverser la pièce pour atteindre son bar.

Toujours sans un mot, et lui tournant le dos, je nous verse un verre chacun. J'en profite pour me masser machinalement le mollet droit, du bout du pied gauche, pour en chasser les fourmis invisibles qui le picote. Je me remets plutôt bien de cette intense expérience. Mais la bouteille à la main je repense à la sienne, et à mon petit écrin. Attention, Hitomi : il ne faut pas abuser des bonnes choses ! Surtout quand elles font cette taille. D'un autre côté, ce serait du gâchis de ne pas en profiter encore un peu.

Je me retourne, un verre dans chaque main, et vais rejoindre cet homme dont je n'arrive désespérément pas à me souvenir du nom. En chemin ne me gêne pas pour dévorer des yeux son corps musclé et viril, perlant de sueur. Ses pectoraux qui se soulèvent lentement alors qu'il finit de reprendre son souffle. Ses bras encore tendus par l'effort. Son gros sexe qui se repose tranquillement entre ses cuisses. Après l'avoir vu au sommet de sa forme, d'aucune penserait qu'il pendouille tristement. Je préfère me dire que ce grand gaillard a bien mérité une petite pause. Étant celle qui l'a fatigué, je ne suis pas peu fière de mon fait.

Mes yeux remontent vers les siens alors que je lui tend son verre de whisky. Je sirote une petite gorgée qui me brûle délicieusement la gorge. Je ne sais pas trop quoi lui dire, et je ne veux pas retomber dans nos jeux maladroits. Mais je ne tarde pas à froncer les sourcils sur un regard faussement sévère. Mon index vient doucement taper contre ses pectoraux.

- Menteur !

Mon doigt descend pour caresser son petit téton d'homme avant se quitter, à regret, sa peau chaude et humide. Plus la peine de mâcher mes mots, d'autant que cette fois ce n'est pas pour l'envoyer bouler. bien au contraire.

- C'est pas le tout d'avoir une langue à rallonge et un gourdin d'homme des cavernes : il faut aussi savoir s'en servir. Et "pas mauvais", c'est très loin en dessous de la vérité.

Il faudra aussi que je pense à récupérer mon bouquin, mais ça presse pas.

Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 25 samedi 02 juin 2012, 01:44:23

Alors que je m’appuie contre mon bureau, ma belle plante s'en va vers mon bar. Je sais déjà qu'elle va s'en verser un verre. Elle prends une bouteille , après avoir observer les grands crus, avant d'en remplir deux verres. Elle revient alors vers moi en me tenant un verre, doublement voire triplement servi. Une grand dose, décidément, j’apprécie de plus en plus cette femme au caractère bien trempée;

- Merci ma belle...

Je viens sentir le breuvage et je le reconnait sans hésitation.

- Oh, un 40 ans d'âge Irlandais, mademoiselle à du goût, autant que moi !

Alors qu'elle revient vers moi, je l'aggripes soudainement, avant de l'enlacer contre moi et de l'embrasser fougueusement. Tout cela en basculant ma partenaire vers l'arrière, la tenant entre mes bras, échangeant nos salives mais également le fin breuvage qui ne fait désormais plus qu'un. Je la raméne ensuite à la verticale, rattrapant son verre qui tombe de sa main, le lui redonnant. Mais il manque un truc. Un bon alcool, une bonne séance torride et... et...un cigare bien sur ! Je ne la sens pas trop sur ce coup la, malheureusement.C'est pourquoi je viens ouvrir un tiroir de l'autre coté de mon bureau, saisissant une boite ne bois remplis de cigarette. J'ouvre la boite en lui tendant les cigarettes.

- Cigarette ? Je sais que tu n'aimes pas les cigares, mais peut être aimeras tu ces cigarettes, ce sont des Japonaises, les meilleures.

Sur la base du papier blanc on pouvait lire la marque écrit en lettres d'or. Je bois deux ou trois gorgées du breuvage, me réchauffant le gosier. Un silence s'installe entre nous, avant que soudainement, Hitomi ne perce ce dernier. Elle me fait le reproche d'être un menteur ! Voila autre chose...bon sa je le savait depuis longtemps, c'est un caractère très courant chez les démons. Si courant, que sa en est devenu une marque de fabrique. Je fais mine de m'étonner, la laissant faire. J'aime bien de temps en temps me laisser dominer par mes partenaires...

- Ha ha ha !

Ces paroles me font rire? Décidément elle ne manque pas de culot, j'en ai écartelé pour plus d'un. Mais celle ci a quelque chose de spécial que je ne saurais décrire.

- Eh bien que veux tu de plus ? Peut être quelque chose de plus tendre, de plus doux ? Je sais le faire, mais si tu désires être comblé, ce sera réciproquement...Je pourrais même te donner beaucoup plus que cela dans les domaines que tu désires, mais toujours à condition...cela ne dépendra que de toi

Voila comment retourner définitivement la situation. Surtout qu'elle ne sait pas que je suis un démon...


Yamagashi Hitomi

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 26 dimanche 03 juin 2012, 17:57:27

- Je ne fumes pas... Et tu m'as un peu essoufflée.

Maintenant que mes neurones sont revenus à la maison je ne peux pas m'empêcher de me demander. À qui, ou à quoi suis-je en train de parler ? Les yeux rouges, la langue et le sexe démesurés. La vitesse à laquelle il a rattrapé mon verre quand je l'ai lâché, sans en renverser une goutte. Il est fort, puissant, dépravé, il a des goûts de luxe. Mon petit compliment le fait rire. Et visiblement il ne craint pas de se faire surprendre à piéger des femmes pour leurs soutirer des faveurs sexuelles, ni à les faire crier dans son bureau. Mais il n'a pas l'air insouciant, plutôt suffisant. Il se croit... Non : il se sait intouchable, et irrésistible.

J'en ai un frisson. Qu'est-ce qu'il m'aurait fait si j'avais tenté de m'enfuir ? Comment réagirait-il si je décidais soudain de me rhabiller pour partir ? Il a l'air satisfait, et il reste charmeur. Pourtant je ne suis déjà plus aussi à l'aise qu'il y a une seconde. Je n'ose pas lui demander ce qu'il est de peur d'avoir une réponse. Et il m'offre plus, il me propose ce que je veux, comme je veux.

- Mais toujours à condition...cela ne dépendra que de toi.

Ça ressemble un peu trop à un marché, et bien plus sérieux que celui qu'il me proposait pour oublier le méfait dont je n'ai toujours aucun souvenir. Ça me fait peur mais je m'efforce de le cacher en sirotant une petite gorgée de whisky. Jusqu'ici lui tenir tête m'a plutôt bien réussi. Intouchable, et irrésistible : c'est comme ça que je me sentais en faisant mine de reculer juste pour qu'il approche. C'est forcément ce qui lui a plu. Ce qui nous a plu, parce que pour moi ça n'avait rien d'un calvaire.

Ce que je veux, ce que je désire, tout dépend de moi. S'il me piège ces mots sont l'appât, mais ils sont tout ce que j'ai pour rester dans la course. Je lève mon verre jusqu'à mes lèvres. Cul-sec, ma belle ! C'est reparti pour un tour ! Je savoure la délicieuse brûlure de l'alcool dans ma gorge, et la puissance des arômes qui empoissent lourdement ma bouche. Plutôt que d'aller me frotter à lui pour l'exciter, et déjà peut-être assouplir ses conditions, je viens poser mon verre sur le bureau. Le livre que j'ai soi-disant volé est toujours posé là. Avec un sourire je caresse sa couverture avant de me tourner vers le tentateur qui n'a pas eu tellement de mal à me faire céder.

- Finalement je l'ai peut-être vraiment volé, ce livre. Mais pour ma défense j'adore l'histoire.

Je ne vois pas pour quelle raison cet argument l'intéresserait. De toutes façons je ne veux pas le convaincre que ce livre est bon ou que je ne suis pas une voleuse. Je m'approche de lui à pas très lents, avec un déhanché qui n'en finit pas de tanguer d'un bord à l'autre.

- Des aventures de monstres, de sorciers et de vampires. Des complots perfides, des alliances et des trahisons, des combats acharnés... Des marchés de dupes.

Avec un petit sourire amusé, juste au cas où j'ai vu assez clair dans son jeu. J'arrive assez près pour la suite.

- Mais surtout...

Je dévore son corps des yeux en caressant ses abdos d'une main légère. Puis mon regard se lève vers le sien.

- Du sexe, à n'en plus finir... Fort, brûlant, raffiné...

Je baisse un instant les yeux sur son verre de whisky en me mordillant la lèvre, puis remonte à nouveau.

- Enivrant.

Je me dresse sur la pointe des pieds pour murmurer à son oreille, comme si c'était un secret.

- Si je voulais plus tendre et plus doux : je collectionnerais les ours en peluche.

Avant de m'écarter je passe la langue sur son cou pour goûter sa sueur. Fort et brûlant, raffiné et enivrant. Ça vaut pour mon livre, pour son whisky, mais aussi pour lui. J'espère qu'il pense la même chose pour moi... Enfin, pas si "forte" veut dire "grosse", vu comme je dois m'accrocher pour garder la ligne ce serait un drame personnel. En tous cas ma main descend sur quelque chose de gros et le caresse pour lui redonner des forces.

- Dit-moi : à quelles conditions tu accepteras de jouir dans ma bouche ? Et dans mon cul ?

D'habitude je suis un peu plus fine, mais après ce qu'il m'a mis je serais bien étonnée de le choquer. Comme si j'avais déjà sa réponse ou si je m'en moquais, ce qui est un peu le cas, je commence à descendre le long de son corps en déposant de petits baisers. Sa transpiration me fait tourner la tête, l'odeur et le goût d'un homme. Sous sa peau ses muscles sont encore chaud et vibrants, signe que son excitation n'est pas encore retombée. Ou c'est la mienne qui me fait penser ça ?
« Modifié: dimanche 03 juin 2012, 18:07:19 par Yamagashi-sensei »

Adramelech

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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 27 lundi 04 juin 2012, 23:16:54

Hitomi fait une allusion au livre soi disant volé, l'objet du délit.

- Tu peux le reprendre, si tu veux, en fait je ne suis même pas d'ici ! Je remplace un ami qui est parti en vacances, je voulais juste m'amuser un peu...

Je lui fais un grand sourire, qui devrait lui faire comprendre bien vite mes propos. Je lui dit franchement la vérité ou presque.  Même après cela, je ne pense pas qu'elle veuille repartir tout de suite, je le lis dans ses yeux et il y a encore bien du désir.

- Tu te demandes surement qui je suis exactement ou plutôt quoi ? Je vais te le dire, je suis un démon. Oui tu as bien entendu comme le diable, Satan ou Lucifer, mais en moins puissant bien entendu.

Je crois que pour le moment, sa suffira pour les révélations. Je préfère ne pas dévoiler mon identité véritable pour l'instant, qui sait si elle n'est pas une exorciste possédant une couverture ? Les chasseurs de démons rivalisent d’ingéniosité et de ruse pour nous traquer, nous les démons. Et ce n'est pas pour une histoire de cul que je dérogerais à ma ligne de conduite.

- Comme ça maintenant tu sais a qui tu as affaire, mais ne t’inquiètes pas je ne vais pas te faire de mal, au contraire...De toute façon tu avais bien du constater que je n'étais pas humain.

Voila ensuite qu'elle me fait son petit numéro. Je bois mon verre, par petite gorgée, histoire de le faire durer.

- Si ce n'est que cela, je serais ravi de pouvoir te l'apporter, d'ailleurs c'est également ce que je recherches !

Je la laisses me caresser, ses mais se baladent le long de mon corps me procurant une délicieuse sensation. Elle vient ensuite m'embrasser dans le cou. Je le lui offre, sans réticence. Elle pose la main sur mon entrejambe et un frisson me parcoure l'échine.

- J'aime les femmes qui parlent crûment, sa me donne envie de les punir...

- je vois ou tu veux en venir. Tu as de la chance car tu es très jolie et parfaite à mon goût, du coup je pense que tu n'auras pas besoin de trop te forcer pour me convaincre de réaliser tes phantasmes. Disons que la seule chose qui me conviendrais serait une sorte de ce que l'on appelle aujourd'hui : sexe friend. C'est quelque chose que je ne connais pas, mais apparemment c'est assez sympa. Nous pourrions nous retrouver de temps en temps selon les envies et réaliser de nouvelles parties de sexe.

Comme pour répondre à ses attentes, mon sexe commençait à se dresser un peu.

- Je crois bien que mon meilleur ami est lui aussi convaincu...Prends les commandes et si tu arrives à me satisfaire et à me soumettre  à tes désirs, je comblerais tes attentes. Mais tu crois pouvoir supporter mon membre dans ton cul ? Tu avais déjà du mal à le recevoir par devant alors par derrière tu va douiller, il te faudra des coussins pour t'assoir pendant une semaine ! Pour le reste, tu n'as pas a t'inquieter, je peux remettre le couvert 20 fois de suite si il le faut.

Même si cette fois la, il y a bien longtemps, il l'avait fait avec une démone et une succube expérimenté en plus, une fille à Lilith ! Cette remarque me fit rire, j'avais déjà eu des partenaires qui avaient eu le fondement complétement démoli par la grosseur de ma verge et qui marchaient en canard par la suite.

- Mais dis moi, quelque chose m'intrigues, tu es ici au Japon, mais je n'ai jamais vu de rousse aux yeux bleus dans ce pays, d'ou viens tu exactement ?


« Modifié: lundi 04 juin 2012, 23:45:49 par Adramelech »

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 28 mardi 05 juin 2012, 21:50:35

Une Vampire, un mec électrique, une strip-teaseuse pas vraiment humaine, et maintenant un démon. Je devrais peut-être faire une liste de toutes les créatures imaginables et cocher au et à mesure de mes coucheries ? En tous cas, pour un démon, je ne le trouve pas effrayant. Bien sûr il a des ongles qui pourrait faire très mal, il n'aurait pas à beaucoup se forcer pour me casser en deux, et il sans doute des milliers d'autres moyens de me blesser ou de me tuer. Mais jusqu'ici il ne semble pas vouloir me faire plus de mal que je ne lui en demande.

À l'écouter j'ai raison, et je suis privilégiée d'une certaine manière. Enfin, plus privilégiée qu'en me faisant limer de bon cœur par une des plus grosses bites de ma vie. J'aurais peut-être dû dire ça à voix haute, s'il aime vraiment ce genre de compliments. J'aurais bien d'autres occasions, du moins j'espère. J'ai été trop bien élevée pour parler comme ça, même quand ça reflète bien mon humeur. Mais puisque j'ai affaire à un démon, et que ça lui plaît, j'ai bien envie de me lâcher, juste pour voir. Après tout je me suis quand même laissée sauter pour un bouquin et du whisky, c'est un départ une trombe.

Et puisque j'ai affaire à un démon il y a un prix à payer, un caprice à satisfaire. Je n'ai pas le temps de m'inquiéter qu'il passe aux aveux.  M'envoyer en l'air avec lui, sans relation sentimentale, et à la seule condition qu'on soit tous les deux disponibles et disposés à le faire ? En fait ce qui me titille c'est qu'il n'ait jamais fait ça. Accroupie devant lui, à caresser gentiment son gros membre, je relève le visage avec un grand sourire excité.

- J'ai jamais eu de vrai sex friend. J'ai baisé avec tous mes colocataires, j'ai eu quelques coups réguliers. Mais un vrai sex friend, jamais. Alors je crois que je vais sauter sur l'occasion !

Et mes lèvres sautent sur son meilleur ami qui se réveille. Je ne retient pas mes petits gémissements feutrés en le suçotant et le léchant sur tout sa longueur alors qu'il se dresse. Il est encore couvert du délicieux mélange de son sperme et de ma cyprine, un régal. Je sens la grosse lance de chair gonfler sous mes lèvres, se lever, durcir et se réchauffer. Mes mains, parce qu'il faut bien les deux, viennent prendre le relais que je lève à nouveau les yeux.

- Je ne dis pas que ça va rentrer tout seul, mais tu t'y prends bien je devrais le supporter. Par devant j'ai eu du mal au début, après j'ai pris mon pied... Par contre je suis gourmande, mais je ne pense pas que j'en redemanderai vingt fois de suite.

Je reviens m'occuper de son membre avec un sourire amusé. C'est drôle de faire ça, discuter pendant une fellation. En tous cas je ne crains pas de voir tomber un silence gêner.

- Je ne suis qu'à moitié Japonaise, je viens d'Irlande. L'île des trèfles à quatre feuilles, des moutons, des vertes prairies, de la Guiness, des lutins farceurs... Et des jolies rouquines.

Je dois me dresser sur les genoux pour garder son membre à portée de ma bouche. Je penche la tête pour venir glisser ma entre ses bourses, puis remonter son sexe sur toute sa haute. Parvenue au sommet je prend son gland dans ma bouche, bien grande ouverte, pour le suçoter et le presser sur ma langue. Puis le libère pour reprendre mon souffle, et me relever en prenant soin de garder au moins une main sur cette belle grosse queue. Ma poitrine en sueur glisse sur son corps alors que je lui parle.

- Je n'ai jamais remercié ma mère pour ce que je tiens d'elle, mais j'en profite. Et j'en fais profiter.

Même pour une femme, ça peut paraître choquant de parler de sa mère dans une telle situation. Je suis quand même en train de me frotter à un homme nu, qui vient de me prendre et de jouir en moi. Mais je ne tiens pas d'elle que pour mes cheveux, mes yeux et mes tâches de rousseur. Bien sûr elle a toujours été très décente, très secrète sur ses aventures. Mais en grandissant je n'ai pas eu de mal à comprendre pourquoi elle a autant d'amis d'un bout à l'autre de l'hémisphère nord.

Assez parlé d'elle, on a pas fini de profiter.

" Est-ce qu'on peut s'installer un peu plus confortablement ? Que puisse commencer à t'occuper de mon cul pendant que je te suce ? "

J'adore parler comme ça ! Ça me fait presque autant frissonner que la sensation de son gros sexe dans ma main.



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Re : Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech)

Réponse 29 samedi 09 juin 2012, 01:40:38

La jeune femme accepta sa proposition avec joie après avoir énuméré bon nombre de ses aventures. Elle n'était donc pas aussi prude qu'elle en avait l'air, surtout au début.

- Voila une chose réglé, passons donc maintenant au plus intéressant...

Le démon regarda Hitomi commençait à caresser son membre qui devenait plus dur. Elle s'y prend bien, et je ne mets pas longtemps à bander dur; Cependant je la laisse m'astiquer un peu le manche pendant quelques minutes. C'est si plaisant.

- De toute façon, il n'y a que les succubes qui peuvent tenir autant de temps ! je ne t'en demande pas temps, juste de passer du bon temps.

Elle m'apprends qu'elle vient d'Irlande de par sa mère. Cela explique donc la couleur orangé de ses cheveux et ses tâches de rousseurs. Ce n'est pas pour me déplaire et puis au moins cela me change des filles du coin, cheveux raides comme des baguettes, peu de formes et pas très cochonnes. Pour une fois que je peux me taper une Irlandaise ! Surtout qu'elle a des formes à faire bander un cimetière.

- Je vois, je n'y suis jamais allé, mais je pense que je vais changer d'avis très vite !

Elle continue de s'occuper de mon gourdin déjà bien en forme et elle me suggère de continuer notre activité sur un support plus confortable.

- Bien sur, j'ai moi même fais installé récemment un petit sous sol très intime. Cela me sert de réception lors de soirées un peu arrosée et surtout très coquines

J'appuie alors sur un bouton de ma télécommande. celui ci laisse entrevoir un bouton derrière mon bureau. J'appuie dessus et le plancher s'ouvre, laissant apparaitre un escalier en colimaçon, éclairé par une lumière tamisé. J'invite alors ma partenaire à se relever et à me suivre, la devançant dans les escaliers. Nous arrivons bientôt dans une salle de séjour souterraine aménagé ou se trouve plusieurs canapés aux styles différents, ainsi que des lits avec des coussins et des draps de soies. des rideaux séparent certains espaces, afin de donner plus d'intimité. Un vrai lupanar 4 étoiles en quelques sortes !

- J'ai hâte de gouter à ce joli petit cul

je lui assène une petite tape sur les fesses, avec un regard alléché. Déjà un serviteur arrive avec un plateau rempli d'alcools de toutes sortes et un autre avec des confiseries, des fruits et des plats de toutes sortes. Ils déposent les plats sur des longues tables avant de nous laisser.

- Voila mon petit chez moi, qu'en penses tu ? En plus il y a plein d'options ! et je peux même faire venir des invités, enfin plutôt des esclaves...

Je l'embrasses, avant de lui rouler une pelle puis de la faire chuter sur l'un des lits douillets entouré de coussins.  Puis  je la rejoins, avant de la faire venir au dessus de moi pour venir me sucer, pendant que je m'occupe de son entrejambe et plus particulièrement de son petit cul. J'écarte ses fesses et je lape son vagin, avant de remonter légèrement sur son anus qui me parait bien étroit pour accueillir mon membre. l'un de mes doigts vient caresser le pourtour de son orifice anal, avant de venir chatouiller l'entrée. Je plonge alors délicatement mon doigt à l’intérieur. Elle est déjà bien humide de ce coté la, mais il en faudra plus. Mon doigt vient explorer l'entrée de son anus, avant de faire quelques va et vient. Je le ressors avant d'y enfourner ma langue. Il est bien propre et serré comme il faut. déjà ma langue d'humain, vient s'allonger d'une dizaines de centimètres pour explorer son fondement. j'introduis au fur et a mesure un doigt, deux doigt puis bientôt trois doigts en même temps que ma langue. mes trois doigts viennent effectuer un mouvement de va et vient, écartelant son orifice, afin de le préparer à mon engin imposant.

- Dis moi quand tu te sens prêtes !

Moi en tout cas, je suis plus que prêt  à l'enfourner


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