Comment ça "voleuse" ?! (Adramelech) -FINI-

Je sais même pas pourquoi tout ça me surprend. Je veux même pas repenser à tout ce qui s'est passé. J'ai l'impression d'être dans une version déjantée et débridée d'Alice au Pays des Merveilles. Et au lieu d'une petite reine qui me coure après en ordonnant qu'on me coupe la tête, c'est moi qui fait les yeux doux au roi pour qu'il me fende les fesses. Mélinda serait jalouse de voir à quel point je me lâche avec ce mec... Ce démon.

J'ai largement dépassé ce genre de détails. En le suivant dans son donjon j'ai l'impression de descendre vers la nuit des temps pour m'arrêter à la Rome antique. C'est la décadence absolue. Je ne sais pas si je suis à me place mais je suis survoltée. Je fais un saut dans un autre monde pour essayer une autre vie, une vie des plus dissolues.

- J'ai hâte de gouter à ce joli petit cul.

Sa petite fessée me fait vibrer d'une excitation dont j'ai un peu honte au fond de moi. Un joli petit cul. J'ai l'impression de n'être plus que ça, et ça me plaît ! C'est peut-être sa proposition de sex-friend qui me fait ça ? Je suis encore libre comme l'air, et il n'y aura pas sentiments entre nous. Je ne le connais pas, je n'habite pas avec lui, on ne travaille pas ensemble, je ne lui doit rien. C'est un coup, et rien qu'un coup. Un bon et gros coup ! Et aucun faux-semblant ne viendra tenter de justifier nos relations purement sexuelles. Je peux enfin libérer la dépravée depuis si longtemps enchaînée à mes manques affectifs.

Et il a même des serviteurs, des esclaves, et des montagnes de bouffe ! Je suis vraiment bien tombée. Et ma moralité aussi : à zéro. Juste pour l'image je cueille un grain de raisin que je fait rouler sur mes lèvres, avant de le happer d'un coup de langue pour le laisser éclater dans ma bouche. J'ai à peine le temps d'apprécier le jus sucré et acide que le maître des lieux vient le goûter à mes lèvres, puis c'est moi qu'il gloutonne avant de me pousser un lit. Je prends ça comme une invitation à me vautrer paresseusement, ce à quoi il ne tarde pas à répondre.

En un tournemain, de ses mains, je me retrouve à quatre patte au-dessus de lui, tête-bêche. Plus de séduction ni de jeux, juste le désir impérieux de jouir. Il se montre beaucoup moins tendre que là-haut. Pas violent, seulement ferme et empressé. Et je dévore son membre avec un appétit redoublé. Je ne me suis jamais laissée aller ainsi à mes bas instincts. Je suis une bête de sexe, une prédatrice affamée, acharnée à s'accoupler le plus vite possible, autant de fois que possible. Et avec les vingts fois qu'il m'a annoncées, mon mâle à de la marge.

Je me gave, je m'empiffre de sa grosse queue encore chaude et humide de tout ce que je lui ai fait. Je presse avec avidité mes lèvres et ma langue sur tout sa longueur, je la force dans ma bouche à m'en étouffer. Mon petit œillet s'ouvre timidement sous les assauts de sa langue. De toutes façons tant pis pour mon joli petit cul : qu'il le veuille ou non il ne pourra pas y couper. C'est corps, c'est moi la patronne : je veux et j'ordonne !

Et il obéit sagement. Plus je m'excite plus mon petit trou se détend. Plus les doigts du démon se font nombreux et agités, plus il s'élargit. Assez ? Je ne sais pas. En tous cas son gros engin passera d'autant mieux que je le noie de salive chaude.

- Dis moi quand tu te sens prêtes !

Prête ou pas je veux qu'il me porte comme une chaussette, même si je ne suis pas à sa taille. Et le simple fait de formuler ma pensée par cette image débile montre bien que mes facultés d'analyse sont aux abonnés absents. Essoufflées, j'abandonne son membre et me lance sur le côté dans un même mouvement. Je tourne la tête avec regard furieusement enfiévré. Je ne sais pas moi-même si je supplie ou si j'ordonne, au moins un peu de chaque.

- Maintenant ! Je te veux dans mon cul !

C'est trop bon de seulement le dire ! Et quitte à souffrir je préfère sa queue que son poing. Il en était déjà à trois doigts, il ne manquait pas grand-chose. Quand il passe derrière moi je prends une grande inspiration, que je retiens jusqu'à sentir son sexe force le passage. Ça va faire un mal de chien, mais je ne me suis jamais sentie aussi chienne.

Ma partenaire s'y prend très bien, inondant ma hampe de salive. Pas un endroit n'est à l'abri des ses caresses. Pendant ce temps je continue de m'affairer sur son petit trou qui devient de moins en moins timide. La voila qui s'écarte vers le coté, me présentant son arrière train, je me relève doucement prenant mon temps. Je viens ensuite vers elle, prenant position sur mes genoux. Mon dard vient frotter contre sa raie, alors qu'un filet de salive vient s'écouler sur son dos. Je diriges ensuite ma hampe vers son anus, pressant mon gland contre l'entrée de celui çi.

- Prépares toi à la sodomie de ta vie !

Je pousse mon membre afin de le faire rentrer dans son cul. Malgré la préparation, il a un peu de mal a rentré, mais la résistance cède peu a peu et voila bientôt mon gland qui glisse en elle. Je fais une petite pause avant de continuer à avancer, petit à petit, cm par cm. Je n'ai rentré que la moitié et je sens déjà que je suis au fond. Je pousse encore un peu, pour faire rentrer 4 ou 5 cm de plus. Pour le reste on verra après. Je sens les muscles de son anus qui enserre mon barreau de chair encore plus fort que quand je l'ai pris par devant. Je lui laisse un peu de temps pour s'habituer à la grosseur de mon engin.

L'une de mes mains en profite pour se faufiler en dessous de ma verge qui lui écartèle littéralement les entrailles. Je sens sa fente et je viens caresser son clitoris. Mon autre main vient caresser ses seins. Je commence alors de lents mouvements de va et vient. Elle est encore très serré et je l'entends gémir, gémissements qui ressemblent encore plus à des gémissements de douleur que de plaisir mais sa devrait s'atténuer par la suite. En même temps je l'avais prévenu et c'est elle qui désirait se faire enculer.

J’accélère un peu les mouvements, faisant entrer et sortir mon membre recouvert luisant de salive et de liquide séminal. Je pousse quelques râles de plaisir, sous le coup.

- Ah la vache qu'est ce que c'est bon !

je la prends par les hanches, malaxant ses fesses rebondies qui se trouvent malmener par mon engin; Je la culbute telle une câtin et rien que de repenser à son visage lubrique me demandant de la prendre par le cul, m'excite plus encore.

Je m'arrête un moment afin de me relever en fléchissant mes jambes, prenant appui sur mes pieds. De par cette position, je me place un peu au dessus d'Hitomi et la pénétration se fait plus profonde. J'ai l'impression de l'empaler avec ma queue et que celle ci peut a tout moment la traverser de part en part. J'appuie un peu plus sur ses reins pour qu'elle se courbe un peu plus, alors que j’accélère un peu la cadence. Je peux presque rentrer entièrement mon gourdin dans son anus désormais.

Il laisse son gland contre l'entrée de juste assez longtemps pour me laisser envisager une dernière fois que je vais le regretter.

" Prépares toi à la sodomie de ta vie ! "

Je suis trop occupée à respirer pour répondre. Et je fais bien, parce qu'il commence immédiatement à pousser. Je resserre les doigts sur les draps de satin.

" Ha ! "

Ce n'est que le début et ça fait déjà affreusement mal. Un peu moins que par devant, sans doute parce que je savais ce qui allait me tomber dessus, enfin dedans. Mon pauvre petit cul a du mal à encaisser le membre qui qui reprend son exploration. Je tremble de douleur et je serre les dents. Mes bras ne veulent plus me porter, et mes jambes ne tiennent encore que pour maîtriser un tant soit peu ce qui leur arrive. Je m'efforce de ne respirer lentement et profondément mais c'est loin d'être facile. Quand je le sens enfin arriver au fond je n'ai pas le temps de me faire une fausse joie qu'il se tasse un peu plus.

Puis l'énorme pieu enfoncé dans mes entrailles s'immobilise, ne laissant que sa chaleur et les palpitations de ses veines étouffées. Rien que de savoir qu'il est au bout j'arrive à me détendre un tout petit peu. Il doit à peine le sentir, mais pour moi c'est phénoménal. J'en laisse échapper un long soupir douloureux, qui ne se coupe de surprise que lorsqu'une main vient jouer avec ma fente et mon clitoris. Délicate attention, qui ne suffit malheureusement pas. Son membre recommence à bouger. Et c'est seulement à ce moment que je me félicite de l'avoir bien lubrifié. Il glisse difficilement, mais il glisse.

- Ah la vache qu'est ce que c'est bon !
- Niah !... Bordel !... J'espère bien !

Cette fois c'est pas pour le frisson de la grossièreté. Mais si j'ai demandé ma torture je crois que je ne lui pardonnerais pas de ne pas prendre son pied. Je profite de chaque petit sensation qu'il m'offre, regrette qu'il abandonne si vite ma poitrine et mon sexe. Son massage vigoureux au rythme de ses allés-et-venus n'est pas un luxe, loin de là.

Soudain il s'arrête pour changer de position. Mon corps se cambre pour suivre le mouvement imposé par son membre. Je me retrouve les fesses en l'air et le visage contre le matelas. Autant dire que je crie de surprise et de douleur.

" Haaaaa ! Tu vas m'déchirer ! "

Mais étrangement, je sens assez vite que ça commence à aller mieux. Peut-être parce que je suis arquée dans cette position, ou que je n'ai plus à forcer sur les bras malgré les tremblements ? Ses mains qui pousse au bas de mon dos aident aussi. Si la douleur ne se tait pas, l'excitation monte. Je suis en train de me faire sod... Non : de me faire enculer ! Je me fais dépouiller par la plus grosse queue que j'ai jamais prise, comme je ne l'ai jamais accepté avec une autre. Et j'ai demandé ça ! C'est plus une punition qu'une récompense, mais j'arrive à lever une main entre mes cuisses pour rétablir l'équilibre.

Je n'ai pas à beaucoup m'affairer sur mon clitoris, les coups de rein font le travail pour moi. Et je commence à prendre un réel plaisir dans la douleur.

" Ha ! Oui ! Défonce-moi ! "

Je ne peux rien dire de plus compréhensible tant ma voix devient chevrotante. Je ne me suis jamais sentie aussi rabaissée, à tel point que la honte que je devrais ressentir ne fait que pousser un peu plus le plaisir. Je veux qu'il me laboure comme pour me punir, que la prochaine fois que je le verrais tout mon corps tremble de peur instinctivement. De toutes façons quand il aura joui et qu'il me relâchera, je pense que je ne serais plus capable de tenir debout.

Je sens son corps presque tremblotant, accueillir mes assauts répétés, plus profonds encore. malgré tout elle à l'air de plutôt bien apprécier  et elle redemande, m'incitant à la baiser toujours plus.

" Ha ! Oui ! Défonce-moi ! "

Eh ben si c'est comme cela, on va y aller plus rapidement. Mes mouvements de hanches se font soudainement plus intenses, alors que j’accélère la cadence, ramonant ses entrailles encore plus vite.

- Comme ça, tu la veux !

je me sens à l'étroit mais heureusement les parois de son anus semblent s'accoutumer au fur et à mesure à la large taille de mon pilori de chair. je me demande parfois comment elles peuvent prendre du plaisir, alors qu'elles sont presque fendu en deux. sa c'est une autre histoire. les gémissements de ma petite Irlandaise se font moins soutenue, mais plus longs, comme des petit cris plaintifs. je me penche alors, pour caresser son dos, avant de revenir sur ses seins, ralentissant un moment la cadence. J'en profite alors pour ressortir mon pieu, jusqu'au gland. Je contemple ma hampe nervuré, dont je vois le sang pulser le long des nervures, pleine de liquide séminal Puis je la pénètre  tout d'un coup d'un violent coup de rein, je pousse encore un peu pour m'enfoncer jusqu'au bout, jusqu’à ce que mes bourses pendantes viennent se coller contre son son vagin.

- HAN ! Cela t'apprendras à voler dans les magasins !

Je continue ensuite en glissant lentement ma hampe en elle, il faut bien qu'elle savoure un peu et puis il faut alterner de  temps en temps. Je viens caresser un peu son visage, avant de faire rentrer un doigt dans sa bouche.

Je la laisse ainsi pendant quelques secondes avant de repartir de plus belle, pilant littéralement son anus comme un marteau piqueur. Je sens le plaisir monter de plus en plus, et je ralentit au bout d'une minute, pour ne pas jouir tout de suite.

Je remonte ensuite son buste, pour qu'elle colle son dos tout contre moi. J'ai une petite idée en tête. Je me tourne vers la droite, ou un grand miroir nous fait face. Elle peut ainsi contempler nos ébats et surtout son magnifique corps recouvert de sueur se faire ramoner par derrière.

- Alors que vois tu, la vue te plait ? laisse toi aller, ici personne ne fait attention...

Puis, je la saisit par l’intérieur des cuisses avant de lui écarter les jambes. Ainsi, la portant à bout de bras, toujours face au miroir, je me lève du lit et continue à la pénétrer debout. Je peux maintenant l'embrasser dans le cou et j'en profite pour l'embrasser. Puis je regarde le miroir moi aussi, je relève un peu son bassin, face au miroir pour qu'elle ait une bonne vue de mon pieu allant et venant dans son anus et de son sexe trempée.

- Je vais bientôt gicler dans ton cul !

J’accélère  la cadence avant de pousser de grands râles et de ralentir doucement avant de jouir dans son anus? Je sens ma semence monter et arroser ses entrailles. Ma hampe palpite et de la semence blanchâtre s'écoule de son anus pour venir dégouliner sur le sol. Je reste un peu ainsi, avant de retirer ma hampe pleine de foutre de son anus, un dernier petit jet sort de mon sexe avant tâcher le sol.

Puis je m'assoie, haletant, avant de faire venir un serviteur qui vient avec un plateau de boisson et de nourriture. Je lui fais signe de s'en aller, une fois les chariots installer.

- je vais faire une pause, n'hésite pas a te servir a moins que tu ne veuilles te reposer ?

J'aurais dû fermer ma grande gueule. Maintenant je pousse un long hurlement saccadé par les coups furieux de démon que j'ai, dans tous les sens, tiré par la queue. Mon corps a beau s'adapter aussi vite qu'il peut je ne tiens pas. Je suis complètement effondrée, je n'ai même plus la force de me toucher pour tirer un peu plus de plaisir. Je suis écrasée de l'intérieur par son énorme sexe. Il finit par adoucir le tempo, et amplifier ses mouvements presque jusqu'à se retirer. Et mes entrailles sont tellement contentes que j'en pousse un long gémissement soulagé. Il me touche aussi, me caresse la poitrine et le dos, mais je ne le sens qu'à peine.

Et soudain mon corps se réveille, je hurle en m'agrippant au bord du lit de toutes mes forces. Un coup sec, violent, qu'il pousse ensuite comme un forcené. Ses mouvements redeviennent lents, assez pour que je reprenne vaguement mes esprits après cette nouvelle vague de douleur. Mais c'est par instinct que je lèche et suçote le doigt qu'il m'offre. J'arrive même à me redresser pour le suivre, et encaisser à quatre pattes le sprint suivant. Je crois que niveaux sexe, je suis officiellement à toute épreuve. Parce que toutes les manipulations de ce mec ont fini par porter leurs fruits. À force de me pilonner et de ménager, de me pousser ou de me pencher, de forcer doucement ou brutalement le passage, je commence à m'y faire.

Mais il a encore une surprise en réserve. Je me laisse prendre par ses mains une fois de plus pour me retrouver face à un miroir, portée une poupée. Ça fait bizarre de me voir sous cet angle, et surtout de voir le pieu de chair derrière mes cuisses écartées. Il mérite bien le nome de "troisième jambe".

" Alors que vois tu, la vue te plait ? laisse toi aller, ici personne ne fait attention... "

Ce que je vois ? Ce que je regarde, plutôt. La femme qui se fait prendre en face de moi a mon visage, mais je ne la reconnais pas. Elle est en sueur, les cheveux collés à peau. Elle se cramponne aux avant bras de son amant pour jouer dans le rythme auquel il la fait aller et venir. Entre ses cuisses ouvertes, ses lèvres gonflées bavent un mélange de cyprine et de sperme. Et derrière, ou en-dessous, elles se fait écarteler le cul par la grosse lance de chair sur laquelle elle se laisse empaler. Mais surtout elle me transperce du regard avec un sourire ravi et fatigué. C'est elle qui répond à ma place.

" Je vois... une chienne... "

C'est tout ce que j'arrive à gémir. Et c'est tout ce que je vois. Une chienne qui a fait sa bêtise, qui a été punie, et qui en a redemandé. Je devrais regretter à cause de la douleur. Mais me voir comme ça, voir mon propre corps comme un objet, un jouet que je m'amuse à laisser traîner entre toutes les mains. Cette idée me faisait horreur avant, je la refusais ou je la camouflais. C'est tellement évident maintenant que je le vois. Maintenant que je me vois frissonner de plaisir et de souffrance le long de cette queue délirante, j'accepte la réalité. Je n'ai pas à avoir honte ou peur. Je n'ai plus à me justifier. Tout ce qui compte, c'est que ça m'excite !

" Je vais bientôt gicler dans ton cul !
- Vas-y... Remplie mon cul... Haaaaaaaaaaaaaaa... "

Je ne suis pas en train de jouir, du moins pas physiquement. Mais c'est tout comme. La douleur que je ressens ne gâche rien du spectacle, bien au contraire. Je regarde en direct ce mec qui me secoue comme si j'étais le prolongement de la main qui le branle. Je voix son pieu s'enfoncer en moi, je le sens tressauter avant de me souiller de l'intérieur comme j'adore ça. Et le spectacle ne perd rien quand je vois le foutre déborder de moi, dégouliner le long de ses bourses pour goutter au sol. Malgré le soulagement pour mon cul si malmené, je suis déçue de voir qu'un dernier jet m'a échappé.

Quand il me repose je m'agenouille à côté du lit, les fesses bien relevée. Je me cambre pour tourner la tête et me regarder encore dans le miroir. Mes yeux fixent avec fascination mon trou dilaté qui se rétracte, chassant toujours plus de sperme. Je vais y risquer un doigt, qui me fait frémir de douleur quand il prélève un peu de liquide blanc et épais. Puis je reviens à mes propres yeux pour voir mon visage alors que je goûte. C'est peut-être pour ça que je ne l'avais jamais fait devant un miroir ? Je devais avoir trop peur de passer de l'autre côté. Trop peur d'admettre que si mon corps n'est bon qu'à ça, c'est pour ça que c'était si bon.

" je vais faire une pause, n'hésite pas a te servir a moins que tu ne veuilles te reposer ? "

Je croise les bras sur le lit pour y poser ma tête. Un sourire comblé aux lèvres le lève les yeux vers ce mec dont, pour clarifier encore ma révélation, je n'ai même pas cherché à retenir le nom.

" Je tiens plus sur mes jambes... Et je peux plus m'asseoir. "

Je reprends un peu mon souffle avant de me traîner sur le lit à la force des bras. De toutes façons, qu'on remette ça ou que je m'en aille, je dois me reposer. Autant en profiter pour apprendre quelques petites choses.

" T'en as beaucoup, des esclaves ? "

Je regardais la jeune femme reprendre son souffle et surtout ses esprits. Je contemplais son anus dilaté par mon membre épais, d’où s'échappait encore ma semence, créant une flaque de liquide blanc épais. Je regardais le spectacle avec un sourire aux lèvres, satisfait de notre partie de jambe en l'air. Elle vient ensuite s'allonger sur le lit a coté de moi. Je fais signe à un esclave de venir afin qu'il nous serve un verre de vin à tous les deux. Je tends l'un des verres à ma partenaire. elle me pose des questions. Je n'ai rien a caché la dessus.

- Mmh, quelques uns, mais pas tellement, j'ai plus de serviteurs que d'esclaves personnels. je préfère laisser plus de libertés à mes serviteurs afin qu'ils me soient plus fidèles que de les soumettre totalement. J'ai bien quelques esclaves sexuelles, mais je m'en lasse vite et j'en change souvent. Quand aux autres esclaves, ils sont en mon palais et ce sont souvent d'anciens serviteurs qui ont mal agi envers leurs  maitres et que l'on m'a vendu.

Un deuxième chariot rempli de fruits, de petits fours et d'autres mets tout aussi délicieux, s'approcha ensuite de la place ou je me trouvais, poussé par un autre esclave. Ce dernier  prit ensuite congé de son maitre.

- Veux tu manger quelque chose ?

je saisis une grappe de raisin, croquant un grain. Puis, je bu une gorgée de vin, un vin jaune et moelleux, délicieux.

- Tu fais sa souvent avec tes éleves ? Si c'est le cas, les élèves doivent apprécier tes cours et surtout les cours spécialisés ou de soutien

Mon sexe, recouvert de cyprine et de sperme, reprit sa forme normale, enfin normale est un bien grand mot pour un démon, car il restait tout de même de très bonne taille. Je faisais face à la jeune femme, qui me posait toujours d'autres questions, auxquels je répondais.

- C'est étrange, je t'ai dit que j'étais un démon et cela n'as pas l'air de trop te perturber. Bien des gens sont effrayés par ma simple présence d'habitude, alors quand je dis réellement qui je suis, il y en a beaucoup qui prennent leurs jambes à leur cou. Cela m'améne à penser que ce n'est pas la première fois que tu rencontres un être non humain. Ai je tort ?

Être allongée sur le ventre ne m'aide pas à retrouver mon souffle. Mais la seule idée de me retourner ou de m'asseoir me ferait presque tomber dans les pommes. Cela dit la douleur s'estompe, je sens mon anus peine à se remettre de la véritable agression qu'il vient de subir. Je ne m'en plains pas, du moins pas sur le principe. Même si je sens à peine mes jambes.

Je relève la tête pour écouter la réponse du Démon. Je devrais être effrayée ou ne pas croire un mot de ce qu'il dit. Mais au final je ne vois pas bien ce que je pourrais y changer, et je m'estime vernie de n'avoir pas subi plus que je n'en ai demandé. C'est quand même un Démon.

" D'où le petit jeu du chat et de la souris au lieu de me faire bêtement écarter les cuisses... En même temps on aurait été déçus tous les deux. "

Moi un peu plus, parce que si je n'avais pas pu me préparer psychologiquement à ce qui m'attendait physiquement : je serais déjà bonne pour un suivi post-traumatique. En même temps, une queue aussi grosse, c'est de la folie. Et même si j'ai un peu de curiosité malsaine, je ne lui demande pas ce qu'il aurait fait si je n'avais pas été coopérative.

Je fais signe aux esclaves, ou serviteurs, d'approcher les chariots du lit où je suis encore allongée. Puis je les remercie d'un sourire avant qu'il ne partent. C'est que je ne sais pas trop comment m'y prendre, déjà que chez Mélinda j'ai encore du mal. L'esclavage que je connais est légal et syndiqué.

Je commence à grignoter des petits fours du bout des dents, et des yeux c'est encore lui que je grignote. Même au repos, son sexe reste impressionnant.

" Ça dépend de l'humeur, et des élèves. Mais c'est vrai que des fois, si je m'écoutai, ils n'apprendraient pas que l'Anglais... "

Et c'est à son tour de m'avouer un brin de surprise, bien légitime pour un Démon. Quelque part je suis contente de moi, parce que même si ça jure avec la réputation de ce genre de créatures, ça n'a pas dû le déranger tant que ça que je l'accepte comme il est. Et puis il montre un peu d'intérêt pour ma petite vie, hors des coucheries j'entends. Je lui répond avec un petit clin d'œil et un sourire espiègle.

" Je suis Irlandaise. J'ai grandi dans une maison où il y avait un lutin, près d'une forêt infestée de fées et leprechauns, et j'ai même vu une banshee un jour. Tout le monde m'a toujours dit que c'était des histoires, alors je fais semblant de ne pas trop y croire... Mais c'est vrai que depuis que je suis arrivée à Seikusu je croise beaucoup de gens qui sortent de l'ordinaire. Il y a quelques temps, j'ai même rencontré une démone... Ou une demi-démone, je sais pas trop. J'ai pas demandé : ça gâcherait le mystère. "

Je me cambre un peu plus pour envoyer ma main faire délicatement l'état des lieux entre mes fesses. Je pense qu'en redemander serait vraiment de la gourmandise, malgré la déception que m'inspire l'idée d'abandonner comme ça le mec le mieux membré que j'ai connu. Mais je plains ses esclaves sexuelles : si elles se forcent ça doit vraiment leur faire très mal. Et je me rend compte que moralement je place la barre beaucoup plus bas que d'habitude. Ma vie devient vraiment un truc de dingue.

" Je me doute bien que la plupart des autres femmes n'auraient pas réagi comme moi à tout ce qui vient de se passer. Mais dans les jours qui ont suivi mon arrivée au lycée j'ai rencontré deux femmes qui se sont avérées capable de se faire pousser une bite à volonté. La première m'a complètement choquée, la deuxième déjà beaucoup moins. Alors je préfère ne pas me demander ce qui m'attend et en profiter quand ça arrive... Sinon je sortirais plus de chez moi. "

Je sens que mes orteils recommencent à réponde. Je roule sur le côté pour replier un peu les jambes. Et je n'en fini pas de sourire à mon démoniaque sex-friend.

" Et aujourd'hui ça m'a valu une très grosse et très bonne surprise... Peut-être un poil trop grosse, je te le cache pas. "

Je reprend un petit four.

" J'espère que c'est pas gênant qu'une humaine soit aussi à l'aise avec un Démon ? Je voudrais surtout pas te vexer. "

Un Démon vexé : ça ne doit pas faire des soirées très agréables. Mais ce qui m'inquiète surtout en ce moment, c'est qu'il puisse vouloir abandonner notre plan sex-friend.

- He bien oui, c'est tout de même plus sympa de ne pas passer tout de suite aux choses sérieuses.

Je n'en dis pas plus, mais je pense qu'elle devine la suite. Il est assez évident que si elle n'avait pas cédé à un moment ou à un autre, je ne l'aurait pas laisser repartir comme ça. J'aurais quand même pris ce que je voulais, ce que je considère être mon dû, consentement ou pas. C'est sur qu'elle en aurait encore plus bavé si je l'avais prise de force.

Elle se laisse tenter par ma proposition, invitant maladroitement les serviteurs à faire venir les chariots prés d'elle. Elle ne doit pas avoir l'habitude de parler à des esclaves ou à des serviteurs, ce que je peux comprendre, surtout quand on voit des membres de sa propre race être asservi. Deux des esclaves qui nous servent sont des humains, les autres sont d'autres créatures telles que des elfes, des démons inférieurs ou d'autres humanoïdes de basse classe.

- Quelque fois j'envie la vie des humains ha ha ha !

Je fais allusion à sa remarque et je la vois regarder mon sexe au repos, étendue sur l'une de mes cuisses.

- Tu veux un autre petit four, peut être ? Quelque chose de plus consistant ?

Mon sourire se fait un brin pervers, mais c'est elle qui a commencé.

Elle me raconte que son pays d'origine est riche de créatures étranges en tout genre, ce qui l'a aidé à se familiariser avec les rencontres non humaines qu'elle a effectué depuis lors. Elle me raconte également quelques unes de ses aventures que j'écoute avec curiosité.

- Intéressant, au moins sa permet de sortir de l'ordinaire. Sa m'a l'air d'être assez original la vie de prof, je tenterais bien l’expérience un de ces quatre. Je n'ai jamais testé.

Elle se demande si elle ne m'a pas vexé. Je rigole aux éclats.

- Ha ha ha ! Il m'en faut plus que ça pour me vexé, et puis j'aime bien aussi passer des bons moments, cela change des rapports de domination/soumission.  J'ai eu quelques histoires et même quelques enfants avec d'autres créatures ou des humaines auparavant et j'ai l'habitude. 

Finissant ma coupe, je remplis cette dernière d'une autre lampée de vin jaune.

- Je sais, on me le dit souvent, même les démones. Certains démons sont encore plus membrés que moi, c'est dire la marge qui reste...

Ma main vint alors se poser sur la cuisse de la jeune femme. la peau douce et encore moite, du à l'effort d'il y a encore une dizaine de minutes, est très agréable. Je la caresse tout en continuant à discuter et à boire des petites gorgées de liquide.

Si même les démones ont du mal, alors je n'ai pas à rougir. Enfin, je dois quand même avoir les fesses encore un peu rouges. Et certains en auraient de plus grosses ? Je baisse la tête en me bouchant les oreilles.

" Je veux même pas imaginer ! "

Puis presque immédiatement je relève les yeux vers lui.

" Mais ça doit être... Enfin, je veux dire : pour eux ça doit pas être pratique. Ils arrivent à marcher droit avec des trucs aussi gros entre les jambes ? Et pour baiser ? Ils doivent être obligés de danser : un pas en arrière, et un en avant, et un en arrière... Ou alors c'est la femme qui... "

Je me dresse à quatre pattes sur le lit pour reculer, puis avancer, puis recommencer une ou deux fois. Au passage je devrais être capable de rentrer à la maison sans trop avoir l'air de sortir d'une journée à cheval. Je tourne à nouveau les yeux vers mon démoniaque sex-friend pour remuer la tête avec un grimace réprobatrice.

" Non, ça doit vraiment pas être pratique. "

Inutile de préciser que la femme en question ne doit pas être capable de faire ce que je viens de faire. Déjà, avec la sienne, je ne sentais plus mes jambes. Je me rallonge, sur le flanc.

" Pour la vie de prof, les heures sup' avec les plus mignons : normalement on a pas le droit. Et on passe plus de temps à préparer les cours et corriger des copies qu'à reluquer des lycéens en émoi... D'ailleurs il va falloir que je rentre... "

La fin était un soupire de déception. Mais je me redresse avec un sourire.

" Mais si tu veux voir un cours du soir, je peux peut-être trouver quelque chose pour t'introduire... Même si ce ne serait peut-être pas une bonne idée. Tu es un peu imposant de frêles jeunes filles. "

Mes paroles la font rougir encore plus et cela me fait rire, alors que je la vois se boucher les oreilles.

- Ha ha ha, bien sur, enfin sa dépend, je ne suis pas aller vérifier personnellement. Disons que certains sont plus animaux que humanoïdes donc leur membre peut se rétracter à l’intérieur de leur corps. Après je pense que sa doit être l'habitude qui joue...

Je la vois alors mimer le passage à l'acte, et je souris encore une fois prêt à pouffer de rire.

- Je te rassure, la plupart du temps c'est beaucoup plus direct, le démon mâle prend la femelle même sans son consentement, après à elle de s'adapter, c'est pour cela que tu as de la chance de tomber sur moi. Beaucoup de démons ne sont que des créatures sans cervelle, imitant les animaux mais avec des instincts beaucoup plus pervers.

- Et puis la plupart des démones savent changer de forme afin de s'adapter à la taille de leurs partenaires, ou même juste de leur membre. Le plus dur étant pour les non démones comme les humaines.

Elle se recouche a coté de moi et je viens l'enlacer dans mes bras, la collant contre mon torse. Elle me raconte un peu sa vie de prof qui n'a pas l'air très amusant.

- Vraiment ? je pensais que sa serait plus sympa...Si tu le dit on se verra une autre fois.

Elle se redresse alors vers moi avec une idée en tête.

- Oh oui, ce serait bien...Mais je suis sur que tu peux trouver de jeunes filles avides de sexe; le reste devrait aller. Eh puis rien ne m'empêche de regarder tes "cours particuliers" !

- Je suis sur que le fait de savoir que je ne sois pas loin, ne te laisserait pas de marbre...De toute façon je te contacterais. Et puis si tu veux me revoir pour jouer n'hésite pas, c'est très facile. Tu te places devant un miroir et tu récite mon nom 3 fois et j'apparaitrais.

Je lui tendis un morceau de papier avec mon nom dessus "Adramelech"

- Fais cependant attention de ne pas attirer l'attention sur ma personne, tu peux comprendre que certaines personnes ne sont pas très tolérantes envers les êtres de ma race.

" C'est mieux qu'un numéro de téléphone... "

Alors ça marche vraiment comme ça, les Démons ? Il faudra que je trouve un endroit pour l'appeler. À l'appartement ça risque d'être problématique. Je l'embrasse sur la joue.

" Ne t'inquiète pas, je ne suis pas du genre à me vanter de mon tableau de chasse. Ou à tenir un registre... "

Je détourne les yeux une seconde, perplexe.

" ... Ce serait déjà un annuaire. "

Puis je me lève, les jambe encore arquées. Je crains déjà la prochaine fois qu'il poussera son énorme queue dans mon corps délicat. Elle me tarde aussi. Je me tourne vers lui avec un clin d'œil et un sourire.

" Et puis je sais que tout le monde n'est pas aussi gentil que moi. "

Au-delà de sa condition de Démon, ses proportions rendraient jaloux à peu près tous les hommes que j'ai laissé me passer dessus. Alors sa langue, son corps musclé et la façon dont il joue de l'ensemble : inacceptable pour le commun des mortels.

" Bon... Maintenant qu'on est sex-friends, je pense que le moment est venu d'appliquer la règle numéro un : coucher, mais pas dormir ensemble. "