sa commence mal [pv mik]

C’est la rentré! Quelle horreur, je venais d’arriver la veille dans cette ville horrible de la campagne. Ici tout est calme presque mort quel ennuie pour moi une vrai citadine! Je n’ai pas eu le temps de me reposé que c’est déjà la rentré. Je n’ai même pas appelé mon père à mon arriver toujours aussi furieuse contre lui de m’avoir exilée. Il est 10 heure, j’ai vraiment hésiter à venir ce matin, mais étant nouvelle dans ce lycée mieux vaut tout de suite se mettre les prof dans la poche avant de pouvoir choisir librement.

Je n’ai absolument aucun stresse face à ma nouvelle école, me faire des nouveau amis n’est absolument  pas mon but et je ne pense pas que les élèves ici ont la même mentalité que les jeune de Tôkyô. J’entre dans l’établissement évidemment tout les élèves me remarquent, je sens les regards d’envieuse des filles et de désire chez les garçon, comme c’est amusant. Je me dirige vers l’accueil pour savoir où se trouve la salle de cours. Malheureusement la secrétaire m’annonce que ma rentré est demain. Evidemment je m’énerve très vite en lui expliqué que sur ma feuille c’était bien aujourd’hui qui y était indiqué. Sa commence bien! Excédé je déboule dans les couloir le regard noir, je cherche un endroit où m’isolé. J’aperçoit alors l’escalier qui mène au toit. J’adorais aller sur le toit dans mon ancien lycée, j’aimais me retrouvé le plus haut possible comme si je pouvait touché les étoile. J’arrive sur le toit et m’étire le ciel est magnifiquement bleu, juste quelques beaux nuage blanc flottent par ci par là

« haaaaaa quelle sale journée! Je sens que ce lycée va beaucoup m’énerver! »

C’était une journée ensoleillée, trop  pour la passer dans un cours de littérature, surtout avec un prof qui nous déteste. Mik avait donc séché le cours pour profiter de cette belle et chaude journée, avant que l’hiver ne s’installe. Il avait donc décidé d’aller profiter de l’air pur dehors, sur le toit de la cage d’escalier, environ trois mètres plus haut que le toit du bahut, les lunettes de soleil  devant les yeux, il relaxait…

Tout à coup, la porte de la cage d’escalier s’ouvrit et claqua. Mik s’approcha du bord et regarda la personne qui venait d’arriver sur le toit. Une jeune femme, une nouvelle, il l’aurait remarqué si non. Avec sa mini-jupe, elle avait tout pour faire fondre un bonhomme de neige! Il s’assit alors sur le rebord, la jambe gauche pendante et le pied droit appuyé sur le rebord, le bras droit accoté sur son genou.

<On a eu une mauvaise journée?>

Je n’avais pas remarquée qu’il y avait déjà quelqu’un sur le toit. Pour la tranquillité c’est raté! Le garçon avait l’aire d’avoir à peu près le même âge que moi, plutôt mignon, il avait des lunettes de soleil peu un trop arrogant. Il s’était assit moi je continuait à l’examiner silencieusement, peu être que lui au moins était un peu plus intéressant que tout ces élève trop sérieux de cette école.

« je me suis trompé de jour…. Alors déjà que je n’aime pas venir à l’école alors quand c’est pour rien cela m’énerve encore plus! Je suis désolé j’ai peut être interrompu ton petit moment de solitude »

Un petit rire sortit de sa bouche. Il retira ses lunettes et les posa sur sa tête. Toujours assis, il posa les mains sur le rebord, laissant pendre ses deux jambes dans le vide.

<Je comprends, ça doit être assez frustrant.>

La solitude peut être amusant, jusqu’à un certain point. À vrai dire, il détestait être seul, mais il n’avait pas eu le choix, comme le fait d’être au cour n’était pas dans le choix d’option…

<Bah, je voulais pas être seul au départ, mais les autres étaient trop coincés pour sécher le cours de littérature alors^^>

Mik sauta de son perchoir puis atterrit au sol.  Un léger sourire en coin sur les lèvres puis dit.

<Toi t’es de la ville à coup sûr^^>

Ce garçon n’aimais pas beaucoup l’école non plus. Excellent je serais tombé sur la seule personne un peu intéressante ici. Le jeune sauta pour ce retrouvé devant moi, il avait assez d ’allure finalement, sur de lui et plutôt mignon: un peu comme moi en faite. Cependant je me demandais ce qu’il faisait tout seul. Il n’avait pas d’amis où alors les jeunes ici sont tous ennuyant. J’était plutôt mal barré dans cette ville. Il remarqua tout de suite que j’était de la ville, cela me semble évident de toute façon je n’ai rien à voir avec ces bouseux de la campagne.

« tu a l’œil! Mais je pense que sa peut ce voir. Effectivement je suis de Tôkyô, mon père m’a envoyé ici pour me punir et il n’aurais pas put trouver mieux comme punition! »

Je m’approchait du rebord, la sonnerie venait de retentir je pouvais apercevoir les élèves sortir de l’établissement. Tous ridicule je me demande bien de quoi peuvent-t-il parler entre eux à part des cours.

« je pense que je suis plutôt mal barré ici moi! Il n’y a vraiment rien à faire, je sens que je vais mourir d’ennuie. Dit moi tu ne connaitrait pas des gens amusant ici? »

Mik écouta la jeune femme, les bras croisés puis sourit en coin. Sacré punition en effet, pour une citadine, rien n’était plus humiliant et emmerdant que de venir à la campagne, pour tout un semestre voir plus, c’était vraiment l’enfer! Lui qui avait connu la ville et les soirées endiablées dans les discothèques et les bars, surtout à Tokyo, la vie paisible à la campagne pouvait lui donner  son coup de grâce.

<Eh bah? Qu’as-tu fais de si horrible pour te retrouver ici?>

Des gens intéressants, ici? Il n’y en avait pas beaucoup, voire pas du tout. Ici, soit s’était les Yakuzas, soit s’était les jeunes studieux, trop coincés pour prendre un verre une fois de temps en temps… Les Yakuzas ça ne devait pas être si mal, excepté les rites d’initiations et le fait de devoir tuer et voler… Quoi que ce dernier n’avait jamais déplu à Mik.

<Des gens intéressants, tu parles à part moi?^^  Ici y’a pas grand monde d’intéressant, tous sont trop occupés à finir leurs travaux pour s’amuser…>[/b]

Qu’Est-ce que j’ai fait de mal? Je me le demandait bien, mise à part mon petit job clandestin je ne voyait pas et de toute façon m’envoyer vivre seule , même dans une ville de campagne était un gros risque pour mon père, cet idiot. De toute façon il était bien évident que je ne parle en aucun cas de ma prostitution à ce garçon, c’était encore beaucoup trop tôt pour ce faire des client dans le lycée

« he bien ma famille est assez aisée et je pense que je ne répondait pas du tout au exigence de mon père, je pense que je ne prend pas les chose assez au sérieux pour eux. Et dieux comme leur vie est banal et monotone! »

il se disait être la seule personne intéressante ici. Quel petit prétentieux! C’était très amusant de voir quelqu’un de la campagne  essayer d’être cool, malheureusement il m’en fallait beaucoup plus pour m’impressionné

« tu te dit être un personne intéressante mais tu te retrouve aussi seule que moi une nouvelle. C’est assez contradictoire tu ne trouve pas? Mais tu es plutôt marrant! Je m’appel harmonie et toi? »

<Justement, je suis si intéressant que je ne m’abaisse pas à m’afficher avec ce genre de coincés du cul^^ Moi c’est Mik, enchanté, Harmonie.>

Il regarda les jeunes sortir dehors, parlant de choses et d’autres, tous ceux là pensaient à leur avenir, sacrifiant le présent, mais le futur est et restera un mystère jusqu’à ce qu’il devienne présent. Comme le proverbe Japonnais dit : En atteignant le but, on a manqué tout le reste. Voilà pourquoi Mik s’était arrêté de poursuivre un but, quel qu’il soit, et de commencer à faire tout ce qui plaisait.

< De toute façon, mon but ici n’est pas de me faire des amis, ni de réussir ma vie, je n’en ai que faire de la réussite scolaire, je suis heureux et tout va bien. Le seul moment où je peux l’être plus, c’est quand de jolies filles sont autour de moi, et là, je suis au comble^^>

Mik s’accota sur le garde-fou puis regardait les environs, puis soupira.

<Je ne suis pas d’ici moi non plus, je viens de Kamakura, une ville sur le bord de l’océan. Ce n’est pas Tôkyô, mais c’est toujours plus divertissant qu’ici^^>

Ce jeune homme qui semblait être si différent des autre se prénommait donc Mik. Ça ne sonnait pas très japonais comme prénom, peut être était-il étranger comme moi. Apparemment le faite qu’il n’ai pas d’ami ici ne semblait pas lui posé de problème ni son échec scolaire non, visiblement ce garçon errait sans réel but se laissant entrainer par le temps qui passe. Cependant je semblait être au gout de ce jeune homme car il me le fit remarquer à plusieurs reprise.

« jolie fille? Merci c’est gentil! Mais enfin je ne doit pas être la seule dans se bled à être mignonne, en tout cas si c’est le cas j’espère au moins qu’ici les hommes sont mieux!

mik venait donc de Kamakura, je ne connaissait cette ville que de noms car mon père possédait une usine là-bas, mais ce qui me plaisait c’est qu’il y avait la mer chez lui, cette pensé me rendit mélancolique je regardait le ciel, la seule chose que me faisait un peu pensé à la couleur de l’eau

 « Kamakura…. Comme la mer doit être belle là-bas! Les plage de Tokyo sont si pollué c’est vraiment domage! »

La plage, ce fut une belle partie de vie pour Mik, qui s'amusait à faire des feux la nuits avec ses potes, passer des nuits folles à boire... Ahh ce que c'Était le bon temps.

<Bah, de l'eau c'est juste de l'eau^^ Mais c'est vrai que mon ancienne vie me manque, j'y ai fait beaucoup de bêtise^^>

Évidemment, Mik ne regrettais rien de celles-ci, peut-être la marque qu'il a dans le dos depuis à peu près d'un an. Cette brûlure sera toujours là, comme le souvenir de sa famille exterminée...

<Alors, à Tôkyô, tu faisais quoi pour passer le temps? Boîte de nuit? Shopping? Mecs?^^>

La cloche venait de sonner, signifiant le début des cours. Les jeunes rentaient à la course. Certains, plus lent, marchaient, riant et parlant à voix hautes, racontant des blagues sans intérêts... DEs insectes qui n'ont rien su d ela vie, se disait Mik...

Apparemment ce type n’était pas un grand rêveur pour répondre une ânerie comme celle-ci. Je note aussi que se jeune homme semble avoir fait beaucoup de bêtise dans sa vie passé, petit joueur! je pense qu’il ne sais même pas de quoi il parle. Il a surement dut se prendre 2 ou 3 cuite et se taper quelque fille mais rien de bien méchant. Je  rigolai d’un rire un peu moqueur.

«  des bêtise tu dit? Je ne te connais pas mais j’aimerais bien sa voir ce que tu as fait de si spéciale! Car crois moi j’en connais un rayon sur les bêtise! »

la cloche retentie, je l’observais toujours assise pour voir s’il avait juste une grande gueule et allait rejoindre gentiment ces camarade ou s’il allait rester là à discuter avec moi. Et c’est avec grand plaisir qu’il ne bougeât pas d’un centimètre et qu’il continuait à me parler.

« Tôkyô…. Pour tout te dire les gens là-bas sont comme le reste de ce pays attaché une politesse hypocrite ne pensant qu’au travail. J’ai voulu voir ailleurs des chose plus amusante: la nuit, les soirées, l’alcool. Toute ces chose facile à avoir et qui ne vous fatigue pas psychologiquement. J’ai fait des tas de chose que j’aurais put regretter, seulement si je ne l’ai avait pas faite je crois qu’a cette heure ci je serait chez moi en train d’étudier et prête à me suicidé

les mots sortaient naturellement de ma bouche, j’aurais put importuner mik avec mes plaint de jeune fille gâtée en pleine crise mais je ne m’en souciais même pas, jusqu’au moment ou je croisa son regard. Je devient aussi rouge qu’une tomate avec l’impression d’en avoir beaucoup trop dit

« haaaaa!! Excuse moi!! Je te raconte ma vie, mais je doit surement t’ennuyer avec mes vieille histoire! Désoler! »

Un rire retentit. En effet, elle parlait beaucoup, mais Mik aimait bien les femmes bavardes.

<Pas besoin de t'excuser pour ça, j'adore quand les femmes me parlent un peu d'elles, c'est mieux que les discrètes qu'il faut leur arracher les mots de la bouche^^>

Mik la regarda, le genre de bêtise qu'il avait fait était  bien plus grave qu'elle ne semblait le croire...

< quel genre de bêtise? le genre qui me force à porter une arme sur moi au cas où j'aurais droit à des représailles, le genre de bêtise qui m'on valu un tir dans le mollet gauche, et une brulûre de gang dans le dos. Oh certes j'ai bien fait  des bêtises genre me battre avec un ivrogne dans un bar quelques fois... J'ai même saccagé une usine lors de mes 15 ans. Le proprio a dû payer environ 3 millions de  Yens pour les dégats^^>

Au cas où elle ne l'aurait pas cru, il souleva légèrement sa chemise, laissant paraître un peu de ses abdominaux, mais aussi un couteau de chasse d'une trentaine de centimètres, puis rabaissa sa chemise. Il regarda vers le bas, deux étages séparles séparaient du sol...

<Le problème c'est que dans ce pays, ou t'es Yakuza, ou t'es un employé de bureau, Y'a plus de marge d'erreur... Plus rien pour ceux qui veulent s'amuser sans necéssairement toucher à la drogue, au meutre ect.>

Je l’écoutais attentivement, sa vie n’était finalement  pas si banale que sa et ses bêtise n’était pas du tout du même style que les mienne. Il avait fait plusieurs chose plutôt dangereuse et même si la plupart des fille aurait pris peur, ces histoires m’intéressait beaucoup. De toute façon j’était plutôt connue pour mes mauvaises fréquentation. En tous cas ce mik sortait du commun et c’est-ce qui me plaisait beaucoup chez lui . J’ai toujours était attiré pour les chose passablement dangereuse, oui, je peut dire que cela m’existait beaucoup. Pour joindre ses parole à l’acte il leva  son t-shirt, j’ai puis examine en détaille un corps parfaitement sculpté, ce garçon m’étonne de plus en plus.

« hé Ba toi t’a pas l’air d’un un garçon facile. Tu ne paye pas de mine pourtant! Dit moi. J’espère que tu ne raconte pas tout sa avec toute les filles à qui tu parles la plupart prendraient leur jambes à leur coup crois moi. Ta vie à plutôt été mouvementé, j’ai presque honte de t’avoir raconter la mienne tellement elle me parait ennuyante à coté de la tienne!

pourtant quelque chose nous rassemblait tout les deux: lui comme moi essayons de nous en sortir dans ce système ou lorsque tu n’es pas dans les normes tu es vite mis de côté

moui tu as raison. Cependant je veux croire et j’essaie de vivre comme je l’entend et sans devoir ressemblé à tout prix à une mafieuse ou à une secrétaire. Evidemment nous ressemblons plus à des anarchiste qu’a de simples jeune vivant leur vie à fond. Mais je pense que ton cas et différent, j’ai l’impression que tu as beaucoup souffert par le passé ce qui n’est absolument pas mon cas, je suis tout simplement trop capricieuse

Mik sourit à la remarque d’harmonie. Certes, il avait connu son lot de souffrances dans sa jeunesse, mais qui n’en avait pas connu? La souffrance est relative à chaque personne, un peu trouver une situation souffrante, alors que quelqu’un d’autre peu la subir sans broncher, car il a déjà connu pire.

<Ta vie n’est pas ennuyante, elle est juste différente,  j’ai connu la belle vie, libre de faire ce que je veux, mais j’ai dû le faire seul. Alors que toi, tu avais ta famille, tu as eu ton lot de problèmes, j’ai eu le mien^^>

L’anarchie… la seule politique que Mik a toujours apprécié. Elle préconise la liberté… Le seul problème, c’est qu’il n’y a rien pour imposer une limite; viol, meurtres et j’en passe… De toute façon, Churchill l’a dit : La démocratie n’est pas la meilleure politique, c’est la moins pire.  Mais, une goutte d’anarchie, de désordre, dans tout ce qui est ordonné et bien structuré peu faire du bien parfois.

<De toute façon, le passé c’est l’histoire, mais le présent est un cadeau de la vie, il faut donc en profiter à fond!>

Il s’allongea alors sur le dos, posant ses mains derrière sa tête, la journée était très belle, sans aucun nuage pour cacher le soleil… Aller en cours aurait été un péché. Pourtant, si peu de gens étaient parti profiter du soleil. Il était tout de même content de se trouver là, en ce moment.

Une famille? J’en disposais d’une c’est vrai  mais est-ce qu’on appelé sa une famille: mon père ne pense qu’ ‘a son argent , ma mère se préoccupe plus du regard du voisinage qu’au bien être de sa famille, mon frère grand chirurgien ne donne que des nouvelles une foi pas an et pour finir une petite sœur qui suis gentiment les trace de sa mère. Pourtant ce n’était pas mon genre de me plaindre, par fierté, c’est pour cela que j’ai vite fuis leur monde qui ne me convenais pas. On ne choisie pas sa famille. Et finalement la seule chose dont j’ai put suffire c’est le manque d’une vrai famille.

 « oui tu doit avoir raison. »

Je fouillait dans mon sac pour trouver mon paquet de cigarette, j’en prend une. J’en propose une à mik, puis allume la mienne. Après une taf je m’assoie par terre et regarde autour de moi, sa serait vraiment dommage de perdre une si belle journée posé sur un toit, même si cet endroit est assis apaisant je pense qu’il est grand temps de faire autre chose, et puis quelqu’un allait bien nous surprendre au bout d’un moment.

 « he bien monsieur l’aventurier ne serait-il pas temps de passer à autre chose de plus marrant, perdre une si belle journée à ne rien faire serait vraiment du temps de perdu, et la vie est bien trop courte pour laisser une minute défiler sans rien faire! »