Bien qu’occupé à satisfaire le mastodonte, Mélisende ne perdait pas de vu les deux autres demoiselles et leurs tourmenteurs.
L’aînée, enchaînée dans un coin, eu un geste de crainte en voyant le régulateur arrivé avec un sceau d’eau et une seringue de cuivre. Malgré ses refus, elle dut se mettre à genoux alors que la machine lui injectait de l’eau par l’anus, la remplissant telle une outre. La torture de l’eau, une pratique courante au Moyen-âge qui visait à faire avouer aux femmes qu’elles étaient des sorcières. La pauvre fille devait contracter son anus au maximum pour empêcher l’eau de s’évacuer ne faisant que renforcer la douleur. La magicienne se demanda si le régulateur allait la posséder dans cet état ou non.
Pour la plus jeune, c’était les brulures à la cire de bougie. Une pratique plus commune qui, cependant, faisait toujours effet.
L’ensorceleuse observait chaque mouvement, chaque gémissement, écoutait chaque plainte, chaque cri, augmentant d’autant son propre plaisir. Le mastodonte se recula et diminua la taille de son membre qui restait quand même imposant. Malgré cela, Mélisende savait qu’à cette taille elle pourrait le contenir en elle. Elle se mit alors à quatre pattes au milieu de la pièce afin de pouvoir suivre la séance des deux autres filles.