Mélisende observait la scène telle une simple spectatrice n’ayant aucun pouvoir sur le tableau qui se jouait devant elle. Elle regarda l’inséminateur faire la piqure à la prisonnière et fut surprise de la réaction. Les seins de la femme devinrent beaucoup plus importants, presque trop importants au vu du corps qui les portait. Du lait se mit à sortir des tétons et à couler sur le corps de l’exalté. La magicienne aurait bien aimé le lécher mais c’était un peu tôt pour intervenir.
Une fois détachée, elle rampa vers Mélisende, suppliante et complètement en chaleur mais le régulateur la repoussa vers l’inséminateur qui lui présenta son membre imposant pour la tenter et le lui refusa. Plaquée au sol, il se mit à la frapper avec la badine la faisant crier de rage, d’impuissance et de plaisir.
La sorcière nota cependant que la pauvre fille éprouvait un certain plaisir et une grande envie. Elle voyait la cyprine qui coulait de son vagin sur ses cuisses et sur le sol. L’autre exaltée regardait la scène avec dégoût mais aussi avec quelque chose d’autre dans le regard que la jeune femme reconnue sans peine, l’envie. Cependant, elle tenta d’encourager sa compagne à ne pas céder à la tentation.
« Retiens-toi ! Ne cède pas ! Surtout ne dit rien ! »
C’était stupide de donner un tel conseil car la fille par terre ne pourrait jamais s’y soumettre. Mélisende laissa l’inséminateur s’amuser et se dirigea vers celle toujours attachée au mur qui avait, elle aussi, été mise à nue.
La sorcière s’approcha d’elle comme un serpent avec froideur, ondulation et sans un bruit. Arrivée près d’elle, l’exaltée lui jeta un regard noir, plein de colère et de haine. Mélisende lui répondit par un grand sourire. Elle s’appuya au mur en continuant de regarder la scène. Elle déplaça sa main vers l’intimité de la prisonnière et se mit à la caresser sans la pénétrer.
« Toi aussi tu en as envie n’est-ce pas ? Je le sens. Je n’aurai même pas eu besoin de mettre ma main pour le savoir. L’odeur de ta cyprine envahit tout l’air autour de toi. Tu devrais avoir honte ! Toi ! Une grande guerrière de te retrouver dans un tel état. Là, tu n’es plus rien d’autre qu’une chienne en chaleur qui mouille, rien d’autre et tout dépend de moi ici. Dis-moi ce que je veux et je te donnerais ce que tu veux ! »
En prononçant ses mots, elle appuya plus fortement sur le sexe de la guerrière provoquant une nouvelle vague d’excitation violente. La cyprine inonde la main de la magicienne et coula au sol. Mélisende sourit.
« Eh bien ! Tu es encore plus réactive que ta compagne ! Vraiment, tu devrais avoir honte de toi ! »
Mélisende prit un air consterné et soupira. Elle retira sa main mais resta près de la femme et continua d’observer la scène y prenant d’ailleurs un malin plaisir.