A présent qu’il s’était débarrassé de sa chemise, il pouvait mieux sentir la poitrine de Marine alors qu’ils s’enlaçaient. Mais ce n’était toujours pas assez à son gout, il y avait toujours cette robe au milieu, et surement aussi son soutien-gorge. Mais il ne fallait pas trop se presser, chacun tomberaient le temps voulu …
« Je t’aime, je veux être à toi, mon amour ! »
Kei avala sa salive. Il ne pensait qu’elle lui dirait ça maintenant. Elle était bien moins timide que lui. Cependant, grâce à la lumière de la lune, il vit ses larmes briller dans le noir. Il les essuya avant de retourner l’embrasser avec passion. Bien sur, elle n’eut pas besoin de se répéter une seconde fois. Ses mains se positionnèrent sur ses épaules, alors que sa langue continuer de jouer avec celle de la belle. Il fit passer ses pouces sous chaque bretelle, puis il fit lentement glisser sa robe noire sur son sublime corps. A cet instant, il quitta la bouche de Marine, ayant toujours la ferme intention d’y revenir plus tard, et l’embrassa à divers endroits, notamment son cou, son épaule.
Le plus doucement possible, il descendait ses baisers. Il posa ses lèvres un peu au dessus de ses seins, pensant qu’il était encore trop tôt pour tenter de s’y aventurer. Il se décolla un instant d’elle et ses baisers se remirent à pleuvoir sur son ventre. Il voulait lui faire monter le plaisir petit à petit, et espérait vivement y arriver. En tout cas, une chose était sûre : ça marchait très bien pour lui …
Lorsqu’il remonta vers son visage, il le fit tout aussi lentement que lorsqu’il y était monté. A la seule différence qu’il ne chercha pas à éviter sa poitrine, bien qu’il ne la toucha pas vraiment non plus. Il attrapa juste le petit bout de tissu qui reliait les deux bonnets, faisant mine de l’enlever avec les dents. Mais il n’insista pas trop dessus, le faisant juste doucement claquer contre la peau de Marine. Alors qu’il se redressait, il lui passa une main dans son dos, y traçant des lignes imaginaires, alors qu’avec l’autre il caressait ses seins avec envie.
« Je te veux, mon amour … »