TERMINE -- Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis

La belle Terrienne si blanche, toute petite qu’elle était en comparaison de lui, se montra bien plus ouverte à ses ardeurs que Jack ne l’aurait pensé, contrôlant sa descente dans une caresse douce et brûlante qui descendit sa hampe avec lenteur dans un frisson interminable et une longue sérénade de gémissements et de soupirs auxquels vinrent se mêler les siens. Elle le rendit fou d’extase en se joignant ainsi à lui, et il l’admira, ses yeux dans ses rubis brillants, presque cachés par le poids de la jouissance pesant sur ses paupières. Il haletait quand elle termina d’un coup sec et dans un cri et il éclata d’un rire léger avant de lui rendre son baiser langoureusement.

Elle revint se blottir contre lui dans ce même baiser et leurs silhouettes se joignirent avec un appétit nouveau et extatique, les mesures des premières caresses s’étant évanouies dans la rencontre intense de leurs corps. Le brun gardait une main dans les cheveux blancs de son amante avec une douce autorité et garda l’autre à ses fesses, empoignant leur charme généreux avec une délicate perversité pour accompagner ses mouvements de bassin et les synchroniser davantage aux siens.

« Tu es sacrément gourmande, » gloussa-t-il doucement contre ses lèvres dans un interlude haletant. « Plus que je l’aurais cru. Et tu es… hmmmm… Tu es délicieuse, Rubis. »

Il ondulait son bassin en glissant au fond de la baignoire encore humide, et il relâcha finalement la fasse blanche que son entrain avait rosi de passion pour ramener ses jambes un peu plus, levant les genoux pour emprisonner sa belle dans la douce prison de ses étreintes et rendre leur rapprochement inaltérable. Il la serra contre lui, l’embrassa encore et accentua ses mouvements, les claquements humides de leurs désirs conjoints se faisant plus sonores et plus intenses à chaque instant qui passait. Il l’aidait à s’élever haut pour ressentir la tension de son périnée ferme sur toute la longueur de sa verge et la laissait redescendre à son rythme, et de moins en moins délicatement, les gémissements de l’albinos et les râles du vétéran s’alourdissant et se mélangeant entre leurs souffles fébriles.

Finalement, les baisers s’arrêtèrent. Il tira sa tête à lui, la posa sur son épaule et dans le creux de son cou avec une poigne passionnée tandis que leur danse se faisait plus rock que twist, l’instinct et la recherche du plaisir culminant de l’acte prenant le pas sur leur méconnaissance, la nouveauté de leur relation ou les sensibilités. Il n’y avait plus de lèvres étrangères pour étouffer les ahanements et grognements rauques du brun qui se donna entièrement à l’œuvre, pendant que la jeune affamée qu’il avait fait sienne pour la nuit chevauchait sa virilité dans la même frénésie.

Tandis que la jolie albinos se mouvait avec douceur et sensualité contre le corps du mystérieux brun venu d’ailleurs, elle frissonna légèrement en sentant la main de son invité caressait sa chevelure en gardant bien l’arrière de son crâne dans la puissante paume de sa main, tandis que sa seconde main s’occupait fermement de ses belles fesses bien rebondies et douces tout en se mouvant lui aussi contre la demoiselle, faisant danser son arme bien chargée dans le doux étui de velours de son hôtesse qui ne put retenir des gémissants de plaisir s’échapper d’entres ses lèvres alors qu’ils s’embrassaient langoureusement.

Puis la jeune femme se mit doucement à rougir en entendant les mots de l’homme extraterrestre lui disant amusé qu’elle était une petite gourmande bien gourmande d’ailleurs avant de rajouter qu’elle était aussi délicieuse, la faisant rougir un peu plus, venant arrêter leur baiser quelques secondes pour le regarder en se pinçant les lèvres un peu gênée.

« Je… Je… » essaya t-elle de répondre alors que ses joues rougissaient tout en le regardant dans les yeux, un peu gênée par ses mots mais aussi ceux qu’elle s’apprêtait à dire « Je… C’est pas ma faute si tu me donne tant envie aussi… Et que tu es si… Tentant et délicieux aussi… »

Avoua t-elle gênée en le regardant dans les yeux avant de reprendre ensuite timidement leur baiser, jouant à attraper ses lèvres entres les siennes, venant les mordiller un petit peu avant de les saisir pour mieux reprendre leur baiser langoureux.

Mais quand la mignonne demoiselle sentit le voyageur galactique se mouvoir doucement pour changer légèrement de position afin de mieux la saisir contre lui tout en continuant d’onduler en elle, son membre si dur en elle qui glissait dans toute la longueur de son intimité chaude et humide, elle se mit à gémir plus fort en le sentant en elle se mouvoir doucement, allant plus vite petit à petit au rythme des soupirs de la belle qui s’amplifièrent à chaque accélération de hanche du séduisant brun stellaire. Et quand il l’aida à jouer de ses jolies hanches pour jouer de son basin en montant et descendant sensuellement sur son membre  afin de glisser avec gourmandise sur son flingue prêt à dégainer, la jolie terrienne gémissait de plus belle en disant des petits « oui » en gémissant tant c’était délicieux de s’enfiler avec délice sur sa belle arme.

Et a un moment ils cessèrent de s’embrasser, annonçant bientôt que les choses allaient passer la vitesse supérieure et dégénérées. Rubis regarda tendrement Jack en caressant avec douceur ses cheveux, le regardant un peu curieuse de la suite en se pinçant doucement les lèvres. Mais la jolie albinos n’eut pas à attendre très longtemps pour savoir ce qui allait passait, sentant la main du mystérieux brun caressait ses cheveux un moment avant d’attirer sa tête vers lui pour venir la caler entre son épaule et son cou, serrant avec passion sa tête contre lui alors qu’il entama une danse bien plus mouvementé qu’il y a encore quelques minutes.

Le corps des deux amants pour cette nuit s’entrechoquaient avec une telle passion et force que ça en résonner dans la salle de bain. Quant à l’eau de la baignoire, elle s’agita en venant se jeter sur les parois de celle-ci telle une mer déchaînée tant leur danse était aussi énergique qu’un bon petit rock dansant. Ces deux êtres si natures et doux en manque de tendresse se donnaient l’un à l’autre avec passion et envie, leurs corps ondulants et dansants ensemble, les faisant gémir et soupirer de plaisir sous chacun de leur geste.

Jack se donnait avec une telle fougue et force que Rubis miaula de bonheur intensément, se donnant elle aussi à lui en dansant sur son membre puissant sur lequel elle s’enfilât avec une telle envie gourmande, sentant son arme bien dure et chargée en elle qui pulsait de retenue en caressant le tissus charnel de son doux étuis de velours. Ne s’embrassant plus, la jolie albinos jeta son dévolu sur le cou du mystérieux brun, venant l’embrasser avec tendresse en le suçotant par moment, gémissant en sentant son corps la prendre avec envie et désir d’une chaleur brûlant, la faisant gémir de plus belle de doux « oui » en venant agripper ses mains dans son dos en le griffant doucement tant le désir ardent prenait possession d’elle dans cette nuit où elle était entièrement au voyageur galactique qui avait bien l’attention de la garder pour lui et rien que pour lui ce soir.

La douce et réservée albinos était devenu une chatte blanche à l’appétit mordant. Elle dévorait le cou de Jack et lui griffait le dos en miaulant d’un plaisir qu’elle ne contenait plus, se frottant à lui et s’élançant à loisir sur le pieu de chair qu’elle adulait de son extase. La transe lubrique des deux amants, qui ne se connaissaient que d’aujourd’hui et laissaient s’exprimer pleinement leur désir physique au mépris de leurs caractères inconnus, bannissait tout raisonnement et toute mesure, et les plongeait dans un même désir, une seule envie, celle de se complaire dans leur intimité temporaire, le temps d’un soir, pour s’oublier et laisser la jouissance et la plénitude marquer leur rencontre impromptue.

Dans un élan d’audace affamé, Jack se mit à diriger leur danse plus qu’ils ne s’accordaient. Lâchant sa tête, la laissant à ses suçons malicieux et à la vénération de son ample physique, il attrapa encore une fois ses fesses à deux mains, les empoignant fermement, les écartant dans le même geste et, prenant appui sur ses pieds, poussant sur ses jambes et ses reins, il entama un nouveau tempo. Le twist puis le rock laissèrent place à une basse électronique entêtante et à un jazz anarchique quand il commença à la lever et la tirer à lui pour percuter leurs aines dans un concert de suppliques et de râles avides. Il l’attirait à lui et se précipitait en elle, la quittait pour mieux revenir à elle dans une répétition effrénée.

Seule la recherche du plaisir absolu les animait encore et ils s’abandonnèrent à cette lutte furieuse et à la fureur des assauts de l’étranger à cette seule fin. Il y eut une tension croissante, un souffle plus lourd à chaque instant, l’impression de danser sur un fil tendu et étroit dont ils pourraient tomber à tout moment s’ils s’arrêtaient, s’ils ralentissaient seulement. Jack ne ralentit pas plus qu’il n’escomptait s’arrêter, et il vint rechercher au fond d’elle, à chaque butée humide, la culmination de ce fourmillement lascif qui animait tout son être depuis le secret de son bas-ventre.

Vint le moment où il la sentit se tendre et défaillir, et il relâcha ses fesses blanches, rougies par ses mains et par les chocs, et la serra contre lui fermement, la gardant contre lui, immobile, tandis qu’il coulissait frénétiquement en son fourreau brûlant. Le fourmillement gagna son ventre, monta de ses reins à sa nuque, éclata dans son crâne. Il l’entendit, la sentit exulter dans le creux de son cou et il s’élança encore dans d’ultimes coups secs qui ralentirent rapidement jusqu’à ce qu’il se libère de sa démence dans une longue série de pulsions viscérales au fond de son être. Un soupir gémissant sorti du fond de sa gorge accompagna les siens et il resta là un instant, en tension contre elle, avant de se relâcher progressivement, laissant sa virilité se décrocher d’elle et ses bras se détendre, lui rendre sa liberté pour mieux amener une main dans ses cheveux et la caresser avec douceur. Il se relâcha entièrement et sa tête bascula au bord de la baignoire, les yeux mi-clos et un sourire sur le visage.

Il resta ainsi un instant à la caresser de ses mains en silence, reprenant ses esprits et son souffle tandis qu’elle, de ce qu’il sentait et entendait d’elle, faisait de même. Il finit par rouvrir un œil et par redresser la tête pour aller rechercher son visage, et il croisa son regard rouge sang avec un sourire amusé et affectueux. Il se pencha encore un peu pour venir chercher ses lèvres.

« Je m’étais juré d’être sage, » murmura-t-il, « mais ton charme m’a subjugué. »

Alors qu’elle commença à griffer doucement le dos du voyageur galactique tout en couvrant son cou de baisers et de doux suçons, étouffant ainsi ses gémissements suppliants de mielleux et chauds « oui » à l’encontre de son bel invité qui la prenait avec fougue en empoignant ses fesses avec une telle force, tandis qu’elle embrassa de son intimité la sienne en lui faisant visiter l’intérieur de son antre dans de gourmands vas et viens, la jolie hôtesse aux cheveux de neige put sentir l’explorateur venu d’ailleurs passer à une autre danse plus effrénée voire sauvage.

Sa tête libérée de la puissante main du mystérieux brun stellaire, la jolie albinos garda tout de même sa tete lovée dans son cou auquel elle témoignait toute sa douceur et l’envie ardente qui la brûlait dans cette danse jazzy électronique bien swinguante que menait son partenaire de danse avec une expertise à toute épreuve qui pourrait en faire jalouser plus d’un et faire crier d’extase plus d’une. De temps en temps la mignonne terrienne bougea légèrement la tête pour venir embrasser le haut du cou du séduisant extraterrestre auquel elle déposa également de doux baiser sur son oreille de ses lèvres délicates, avant de venir redescendre tout en longeant son cou de tendres baisers mêlés à de timides coups de langues, revenant se placer ensuite dans le creux de son sou pour venir y faire étouffer ses gémissements et petits cris qui se firent plus présent et surtout intense en terme de sonorité. Les mains de la demoiselle n’étant pas en reste, car elles continuaient de griffer plus intensément les omoplates du voyageur des étoiles, alternant parfois dans de sensuelles caresses dans tous son dos pour aller jusqu’à sa nuque, avant de revenir placer ses mains quelques part dans son dos musclé pour s’y aggripe de ses ongles de tigresse des neige.

Quand aux mouvements de bassins et puissants coup de reins de Jack, Rubis y répondit en claquant avec intensité son bas-ventre au sien, lui envoyant électricité et chaleur à chaque coups reçus qui résonnaient dans tout son chaud intérieur douillet qui accueillait son beau calibre, la faisant gémir et soupirer de plaisir plus fort d’une voix miaulante et chaude, en demandant toujours plus dans ses mouvements et sa voix qui laissait entendre aux oreilles du mystérieux brun que la mignonne albinos était dans le même état d’extase que lui, arrivant bientôt au moment où il sera temps pour le séduisant invité de la jolie hôtesse de faire usage de son arme dans son champ de tir mis à disposition rien que pour lui ce soir.

Et quand le moment arriva pour le voyageur extraterrestre de dégainer à plein feu dans la base de lancement de la belle terrienne, cette dernière se cambra de tout son corps en sentant le moment où son arme était braquée en elle prête à tirer, aggripant son dos de ses griffes en ressentant sa prise autour de lui afin de rester coller à lui, soupirant chaudement dans son cou dont elle colla ses lèvres contre la peau de celui-ci pour venir y crier tout le bonheur qu’elle sentait venir de par la mise à feu, gémissante en le sentant libérer ses belles fesses bombées de son emprise pour venir l’emprisonner de tout son buste dans ses bras musclés en la serrant bien contre lui. Puis la fusillade fut lancée et les tirs fusèrent de toute part, accompagné des cris et soupirs de la demoiselle et son invité, tremblant d’extase tout deux dans ce spectacle brûlant et enivrant, sentant les balles rebondir dans l’ensemble du terrain de tir de Rubis qui gémissa de plus belle en agrippant de toutes ses forces Jack qui parsemait de projectiles l’intérieur de son antre, les faisant jouir ensemble dans cette délicieuse danse armée.

Tandis qu’un sourire se dessinait sur les lèvres de la demoiselle quand elle sentit les puissants bras de l’explorateur stellaire relâcher doucement leur étreinte pour venir placer une de ses puisantes mais douces mains dans ses cheveux en la caressant avec tendresse, la jolie albinos déposa un doux baiser dans le creux du cou du mystérieux brun en reprenant son souffle doucement après cette danse et arquebusade passionnée de la rencontre de leurs deux corps mais aussi de leurs personnes en besoin de tendresse ce soir.

Profitant des douces caresses dans sa chevelure de neige, Rubis resta lové tendrement contre Jack dont elle avait relâché la prise de ses ongles dans son dos pour venir le caressait doucement, espérant ne pas lui avoir faite trop de mal ni laisser trop de traces. Et doucement, elle le sentit se mouvoir, se mouvant elle aussi pour redresser légèrement son petit corps ainsi que sa tête, le regardant redresser sa tête et croiser son regard avec un beau sourire auquel elle répondit en souriant avec douceur en rougissant légèrement.

Puis elle rougissa encore plus en le voyant se rapprocher pour venir chercher ses jolies lèvres rosées, alors qu’il lui murmurait qu’il n’avait pu être sage à cause de son charme qui l’avait subjugué. À ses mots, la demoiselle baissa doucement la tête sans quitter son regard et sans pouvoir l’empêcher d’accéder à ses lèvres, venant se pincer doucement les lèvres avant de lui répondre dans un murmure doux et timide à son tour.

« Je… Je suis désolée de t’avoir… Fait dévier de tes… Promesses envers toi-même… »

S’excusa t-elle en le regard de ses jolis petits yeux désolée tout en continuant de rougir, venant passer doucement une de ses mains dans ses cheveux pour les caresser avec douceur.

« Mais… Je… Je… Je vais paraître un… un peu égoïste peut-être… Mais… Je suis contente que… Tu es failli à tes promesses… »

Avoua t-elle en rougissant de plus belle en le regardant avec un petit sourire timide en ne cessant de caresser ses cheveux, venant tendrement poser un baiser sur ses lèvres en fermant les yeux dans un geste d’une tendresse infinie alors qu’elle laissa de nouveau son corps tomber contre le sien.

Même après tout ça, Rubis continuait de rougir et de bégayer, comme si elle n’osait pas assumer et exprimer tout ce que son corps disait à sa place. Elle était mignonne, séduisante à sa façon, de par sa douceur et ses mimiques émues et timides. Quoi qu’il en soit, et aussi difficile que ça lui soit, elle osait lui dire qu’elle était heureuse qu’il ait cédé à sa promesse de retenue. Si elle le connaissait, elle aurait su que ce genre de vœu ne tenait jamais longtemps en ce qui le concernait, et que la première occasion propice justifiait de céder au charme d’une femme nubile et consentante en règle générale.

Il la recueillit lorsqu’elle vint se laisser tomber contre lui et retrouver ses lèvres, glissant une main dans son dos, la caressant doucement en dansant avec sa langue avec langueur. Et s’il avait très clairement épuisé son zeste en elle, elle put sentir que la vigueur de son compagnon imprévu n’était pas épuisée, elle, son corps viril restant ferme et prêt à se redresser aux premiers frottis, tapotant contre son périnée par sursauts excités à son contact.

Mais Jack ne chercha pas à remettre le couvert immédiatement. Il attrapa même le pommeau de douche du bout des doigts, et joua avec le mitigeur du pied pour rallumer l’eau. La pluie tiède s’écoula sur le dos perlé de sueur de l’albinos et ruissela sur elle comme sur lui, délassant leurs muscles éprouvés, réveillant leurs esprits, effaçant lentement les traces de leur abandon lubrique et participant à reprendre la toilette déjà commencée.

Le voyageur venu d’ailleurs et la Terrienne se détachèrent une fois de plus. Jack prit le savon en premier et le glissa dans le dos de Rubis avant de progressivement glisser sur ses jambes, puis son ventre, sa poitrine… Il la savonna avec douceur et sans précipitation avant de le lui passer, la relâchant, passant ses mais derrière sa tête et se laissant aller pour se faire savonner à son tour.

Lorsqu’elle eut fini, il la rattrapa par le menton, se redressa encore à la force de ses abdominaux puissants, l’embrassa tendrement et claqua gentiment une fesse rosie en gloussant joyeusement.

« Va ! Je te retiens alors que tu te préparais à te faire à manger. Je vais essayer ces habits et je te rejoins. »

Lorsque Rubis se laissa tomber contre Jack après lui avoir donner un tendre baiser sur ses lèvres, elle frissonna légèrement en sentant le  séduisant brun répondre à son tour à son baiser, venant l’embrasser langoureusement mais avec douceur, alors que sa grande main glissa dans son petit dos en la caressant. Profitant de ce moment de douceur, la demoiselle ferma les yeux quelques instants, caressant doucement la chevelure du voyageur galactique en rougissant doucement quand elle sentit sa vigueur qui répondait déjà présente pour un prochain rendez-vous.

Rouvrant doucement ses prunelles écarlates en sentant son invité se mouvoir, la jolie albinos put voir que celui-ci s’était armé du pommeau de douche pour reprendre leur lavage. Assise contre lui et toujours collé à lui, elle put également le sentir bouger légèrement une de ses jambes, jetant un regard curieux au-dessus de son épaule, pouvant voir son pied jouait avec le robinet, ce qui fit rire doucement la jolie demoiselle qui trouva cela très amusant et qui se fit la réflexion qu’il était aussi agile des pieds qu’elle, repensant au nombre de fois où elle avait pu faire faire ça ou ramasser quelque chose avec ses pieds par-terre. À ses pensées la belle terrienne  esquissa un doux sourire en reportant son regard sur le voyageur venus d’ailleurs, avant qu’ils ne se s’écartent un peu l’un de l’autre afin de se laver.

Ce fut le séduisant brun qui lança la danse en premier, venant savonner avec le savon et ses mains le corps de la jolie albinos qui rougissa au contact de ses grandes mains sur son corps de poupée, le tout avec une délicatesse et des mouvements lents et doux. Ensuite, ce fut au tour de l’hôtesse de reprendre la danse en venant savonner son invité, passant doucement le savon sur son corps d’une main tandis que l’autre passer par-dessus le passage du savon afin de faire prendre mousse à celui-ci. Les gestes de la belle demoiselle étaient doux et lent comme ceux de Jack, caressant avec douceur la peau de l’homme stellaire de sa petite main, s’occupant de sa barbe au visage en premier, avant de glisser dans son cou, sur ses épaules, ses bras, son torse puis ensuite son dos en se collant à lui tout en l’enlaçant, avant de se redresser un peu et reprendre le savonnage du reste de son corps en faisant ses hanches et terminant par ses jambes.

Et quand le savonnage fut finie et qu’ils furent rincer tout deux, Jack saisisa Rubis par le menton tout en se redressant pour venir l’embrasser avec tendresse, faisant doucement frissonner la jeune femme sous son tendre baiser qui sursauta très légèrement en sentant une des mains du mystérieux brun venir claquer avec douceur une de ses jolies fesses en riant, avant de lui dire de retourner à ses occupations dont il l’avait retenue, ajoutant qu’il la rejoint après s’être habillé. Riant doucement à ses mots, la jolie albinos hocha doucement la tête en souriant amusée, commençant à se relever.

« C’est vrai que tu m’a détourné de ma mission principale pour une mission bonus… »

Dit-elle en riant toujours amusée tout en se relevant donc doucement, en faisant attention quand elle prit appuie sur les rebords de la baignoire pour en sortir, dévoilant ainsi son beau corps nue de toute sa hauteur avec ses jolis formes à en faire tomber plus d’un. Et une fois sortie de la baignoire, attrapant délicatement une serviette, la mignonne demoiselle sécha son petit corps avant de récupérer son kimono noir court qu’elle avait sur le dos quand son bel invité sonna à sa porte, l’enfilant doucement avant de l’attacher à sa ceinture. Puis une fois cela fait, elle reporta son regard sur le voyageur galactique qui avait vraisemblablement profiter du spectacle pour mieux la zieuter, la faisant rougir doucement avant de venir passer une main dans son cou en le regardant.

« Je… Je… Je retourne donc à la cuisine… Tu… Heu… Prend ton temps et… Bon habillage. »

Dit-elle les joues toujours un peu rouges en le regardant timidement avant d’esquisser un petit sourire et sortir de la salle de bain, retournant donc dans la cuisine voguer à ses occupations de préparation d’un dîner qui consistait à préparer un plat typique japonais de nouilles avec des légumes et de la viande marinée, le tout servi dans une soupe.

Revenant donc la cuisine, Rubis retrouva les aliments posés sur le plan de travail et sa casserole d’eau qui attendait impatiemment d’aller dire des mots d’amour à sa plaque de cuisson pour se mettre à bouillir de passion avant d’accueillir les nouilles dans son jacuzzi personnelle assaisonné au sel, poivre, paprika, quelques herbes et de l’huile de sésame. Une fois que l’eau fut mise sur le feu, la jeune femme coupa quelques légumes comme des carottes, poireaux, ciboulettes, radis, champignons, bambous avant de s’occuper de depiueuter quelques petits pois et sortir quelques algues sèches de ses placards. Une fois l’eau bouillante, elle mit avec délicatesse les légumes préparer dans l’eau frémissante avec la viande de bœuf mariné afin de laisser mijoter tout ça pour donner du goût au bouillon avant d’y ajouter les nouilles, s’occupant patiemment du repas pendant que son charmant invité et amant de ce soir terminait de se préparer dans la salle de bain avant de la rejoindre… Enfin, c’était peut être déjà le cas mais dans ce cas elle ne le savait pas, du moindre pas encore.

Ce moment de totale perdition avait achevé d’instaurer une complicité flagrante entre eux. Leur toilette mutuelle et leur petit échange annonçaient une suite délicieuse à la soirée en cours. Jack avait même oublié sa culpabilité et son remords alimentés par ses mensonges. Être avec Rubis lui plaisait et lui faisait un peu oublier son angoisse, celle qui le gagnait dès qu’il pensait à ce vaisseau spatial caché dans un immeuble industriel désaffecté ou à ces calculs fatidiques qui l’attendaient toujours. Alors, il préférait se perdre dans ses instincts, et suivre la belle albinos du regard comme elle sortait de la baignoire, s’essuyait et se rhabillait doucement et avec soin. Dire qu’elle se rhabillait était cependant vite dit, puisqu’elle avait fait le choix de ne remettre que le petit kimono de soie bien court sans récupérer ni remettre ses dessous. Lui voyait là-dedans une porte ouverte, un consentement et une invitation à d’autres fuites fantasmatiques plus tard dans la soirée, et il sourit doucement en la détaillant, la faisant rougir et bégayer comme elle filait à ses devoirs d’hôtesse.

Lorsqu’elle fut sortie, Jack prit un instant pour reprendre ses esprits et il se releva finalement pour sortir à son tour, tranquillement, attrapant la serviette qui lui était destinée et se tamponnant la peau avant de se retourner, toujours nu, vers les vêtements laissés là. Il les prit un à un pour les analyser. Il avait eu un aperçu des modes locales et de la ressemblance générale des vêtements avec ce à quoi il était habitué. Il ne fut pas surpris, donc, mais il examinait surtout leur taille. Il constata vite que l’enfilage risquait d’être intéressant, et il s’y mit délicatement, refusant de craquer ce don généreux et se couvrant d’un slip noir qui soutenait et moulait fessier et entrejambe avec un brin d’indécence, avant de glisser le long de ses larges jambes celles du blue jean qu’il remplit largement. Il ignorait si c’était volontaire, mais le t-shirt marron qu’il enfila ensuite lui donnait la même impression de s’étirer à même sa peau pour dessiner grossièrement sa musculature, soulignant la puissance de son abdomen, de son torse et de son dos et accentuant l’épaisseur de ses bras. Il y avait un miroir, et il s’y observa un instant, dubitatif, avant de se déplacer un peu. Il n’irait pas courir un marathon ou faire des acrobaties avec ça, mais ça le couvrait, et c’était propre.

Il avait pris son temps et, en sortant à son tour de la salle de bains, il put sentir le fumet du bouillon épicé dans lequel les ramens finissaient de cuire. Il retrouvait le séjour du petit appartement et l’observa avec un regard nouveau. Ce n’était plus juste le salon de la gentille fille chez qui il se réfugiait pour la nuit, mais celui d’une amante généreuse et gourmande qui lui promettait un séjour terrien bien moins sombre qu’il l’avait initialement songé. Il alla jusqu’à la cuisine, où il la vit veiller sur le plat qui finissait de cuire en lui tournant le dos. Il s’approcha en silence et vint se coller à son dos en glissant ses mains sur son ventre, l’une descendant contre son pubis et l’autre montant à sa poitrine pour la caresser sensuellement tandis qu’il se penchait sur elle et venait inonder le creux de son cou de baisers, avant de se redresser et de trouver ses lèvres pour les savourer tendrement.

« Ça sent rudement bon. »

Elle se retourna et il resta contre elle, accueillant son étreinte et soutenant son regard. Ah ! S’il n’était pas si pressé de filer de cette planète reculée, il se laisserait volontiers tenter par un séjour plus long ici. Mais chacun d’eux avait rendez-vous avec son destin, et Jack savait pertinemment ce qui arrivait lorsqu’il s’attachait trop et se laissait tenter par la monogamie, les pensées intrusives, la peur, l’angoisse, l’hypervigilance, la tension, le rejet. Non, il valait mieux qu’il s’en aille au plus vite. Il pouvait profiter de cette nuit au moins.

Un signal sonore les interrompit.

« On dirait que le repas est prêt. »

Il se pencha encore sur elle pour l’embrasser et se recula, la laissant s’occuper de préparer les couverts et récupérant les siens lorsqu’elle eut fini, prêt à la suivre où elle souhaitait aller pour manger. Son regard alternait entre le plat succulent de toute évidence et elle, et l’appétit de l’un à l’autre ne variait pas.

Concentrée sur la préparation des nouilles ramens, la jolie hôtesse en mode cuisinière veillait sur la casserole frémissante avec sérieux et joie, un petit sourire comme à son habitude sur ses jolies lèvres rosées. Ça faisait plusieurs années qu’elle n’avait pas préparer un repas pour quelqu’un et ça lui faisait quelque chose à son petit cœur de douce demoiselle, ressentant un brin de nostalgie en se rappelant des souvenirs de l’orphelinat où elle aidait à la préparation des plats dans les cuisines avec les employés mais aussi quelques camarades, lui rappelant tout un tas de bons moments parfois burlesques selon qui était en cuisine avec elle.

Ses jolis souvenirs lui faisait autant chaud au cœur que mal, se rappelant d’une époque où tout allait bien avant sa descente en enfer qui la fit fuir ici au Japon. D’ailleurs en y repensant, elle se rappelait des rares moments où elle avait cuisiné pour celui qui l’avait attiré dans ses filets, se rappelant des débuts où il était « gentil » avec elle avant de changer de registre et passer à un autre trait de caractère des moins sympathiques, lui permettant de la maintenir sous sa coupe. En pensant à cela, la jolie albinos ferma les yeux un bref instant, essayant de chasser ses pensées et souvenirs-ci de sa tête, ne voulant pas y penser en se gâchant la soirée avec cette partie de sa vie si proche mais si douloureuse dont elle avait pu enfin sortir.

Oui, elle avait put enfin en sortir, tout ça était fini, elle était ici au Japon, loin de la Suède, loin de son passé, à l’abri de cet homme qui ne pourra plus lui faire de mal physiquement, même s’il continuait à la torturer chaque nuit dans ses cauchemars, au moins il ne risquait pas de prendre l’avion pour venir la chercher depuis l’au-delà, quoique même si quelque part depuis le pays des songes c’était presque ça. Dans tous les cas, il ne pourrait pas venir physiquement et dans la réalité la frapper de nouveau en la forçant à faire des choses qu’elle ne voulait pas, non, tout ça était bel et bien fini. Oui, c’était fini tout ça et elle était enfin en sécurité, libre de ses mouvements et enfin sereine ainsi que plus confiante pour refaire confiance à la gente masculine a présent. Rêvant naïvement d’une belle et grande histoire d’amour, et ce malgré son passé pas tout rose ni idyllique, la grande rêveuse et romantique qu’elle était espérait un jour avoir cette chance de vivre cela elle aussi, pour de vraie cette fois et avec quelqu’un de vraiment sincère. Mais en attendant le prince charmant sur son cheval blanc, elle pouvait au moins recevoir un peu de tendresse et douceur dans les bras d’un gentil homme quand elle se laissait aller à son besoin d’affection, besoin qu’elle avait débridé depuis peu de temps en fait et qui l’avait fait rencontrer quelques hommes qu’elle pouvait compter sur les doigts d’une seule main, dont Jack faisait partie à présent.

Les yeux toujours clos alors qu’elle gardait une oreille sur l’eau frémissante dans la casserole tout en étant donc dans ses pensées, Rubis n’entendît pas Jack s’approchait d’elle dans un silence religieux. Mais en revanche, elle le sentit parfaitement l’enlacer de dos en passant ses mains sur ses zones sensibles en la caressant avec sensualité tandis qu’il logeait sa tête dans son cou pour l’embrasser, la faisant légèrement frissonner et gémir doucement à ses gestes de tendresse. Rouvrant doucement ses jolies mirettes rougeâtres en sentant son bel invité se redresser, la mignonne hôtesse le regarda avec tendresse, avant de nouveau fermer les yeux quand son charmant convive vint ensuite chercher ses lèvres pour l’embrasser tendrement, venant complimenter l’odeur qui régnait dans la cuisine, la faisant sourire touchée mais aussi avec malice avec une soudaine envie de taquinerie.

« Quoi donc ? Le plat ou moi ? »

Demanda t-elle d’une voix taquine en rougissant un peu alors qu’elle se retourna, passant ses bras autour de lui tandis que ses mains venaient se loger dans son dos et caressaient sensuellement le creux de celui-ci, le regardant avec un regard pétillant amusée mais toujours aussi doux. Tout en regardant le séduisant brun qu’elle enlaçait après avoir lancé sa mignonne taquinerie, la jolie albinos qui se sentait si bien ainsi se demandait si un jour elle aura la chance de pouvoir se sentir heureuse comme là et avoir la bonne fortune d’être dans les bras de quelqu’un pour plus qu’un soir ou deux, est-ce qu’elle aura le bonheur et la joie d’être aimée sur le long terme tout en aimant en retour ?

À ses pensées, Rubis baissa un peu la tête en souriant toujours mais fermant doucement les yeux, venant blottir sa tête contre le torse de Jack, essayant de chasser ses pensées de son esprit et se concentrer sur autre chose, comme le moment présent. Et le moment présent ce soir lui permettait de profiter d’une douce soirée en bonne compagnie et dans les beaux bras d’un gentil gars souriant et tendre, aussi affectueux, tactile et nature qu’elle vraisemblablement.

La demoiselle resta ainsi lové contre lui quelques secondes, rouvrant les yeux en relevant sa tête pour regarder le voyageur venu d’ailleurs, esquissant un doux sourire en le regardant avant d’entendre le signal sonore qui indiquait que le temps du timer était écoulé et donc que le plat était fin prêt. Ce qui fut confirmer par le séduisant brun qui avait la mignonne albinos contre lui qui hocha doucement la tête à ses mots, avant de frisonner doucement au tendre baiser qu’il lui donna et de s’éloigner d’elle ensuite, la laissant ainsi s’occuper de la suite des préparatifs.

Sortant les couverts nécessaires des placards, Rubis en passa quelques uns à Jack pour profiter de ses bras pour avoir un petit coup de main pour les amener à table, tandis qu’elle s’occupa de verser le contenu de la casserole dans un grand saladier avec des ustensiles qui leurs permettront de pouvoir se servir à table. Le saladier dans ses bras, la jolie demoiselle esquissa un sourire envers son bel invité et l’invita à la suivre jusqu’à la table de la cuisine à quelques mètres à peine de là, venant donc déposer le dit saladier et les couverts afin de mettre la table pour ensuite servir les nouilles ramens dans les bols a cet effet avec leur bouillon et leurs garnitures de légumes et viande marinée. Et une fois cela fait, les deux amants de ce soir s’installèrent ensemble à table, se zieutant tous les deux tout en zieutant la tablée, sans dire un mot.

Esquissant un doux sourire en regardant Jack tout en rougissant un peu, Rubis prit ses baguettes en main et hocha doucement la tête.

« Bon appétit Jack… »

Dit-elle avec tendresse en hochant encore la tête, espérant que ce plat typique du pays lui plaira un peu au moins, avant de jouer de ses baguettes avec délicatesse et venir goûter au contenu de son bol qui était chaud comme il faut, évitant ainsi de pouvoir se brûler la langue ou le palet, et qui tout comme le fumée qu’il dégageait durant sa cuisson était délicieusement bon. Tout en dégustant ce met, la jolie hôtesse se demandait ce qu’elle pourrait offrir comme désert à son bel invité, repassant dans sa tête les fruits et mochis qu’elle avait au frais ou dans les placards, songeant ensuite par hasard à cause d’un film à elle-même, se mettant à rougir comme une tomate à cette pensée et se pinçant les lèvres, fermant les yeux pour chasser cette drôle d’idée de sa tête avant de reporter les nouilles à ses lèvres en poursuivant le repas.

Après une tendre retrouvaille, Jack dut ainsi laisser l’albinos s’occuper du plat fini et se séparer d’elle pour un moment. Il l’aida en s’occupant de disposer les couverts là où elle le lui indiqua, toujours étonné de voir les similitudes flagrantes entre sa normalité et la sienne. Ils avaient beau vivre dans des mondes très éloignés sur le plan technologique, leurs vies, leurs sociétés semblaient bien analogues.

Il réfléchit à ces histoires, ces rumeurs, ces légendes urbaines circulant partout à propos des failles et de la manière dont elles avaient disséminé les peuples et les races à travers les univers, à travers l’espace, le temps et les dimensions. Certains illuminés avançaient des théories panspécistes très farfelues, mais, maintenant qu’il se retrouvait sur cette Terre si étrange et si familière à la fois, il ne savait pas trop quoi penser. D’un coup, toutes ces conneries ne sonnaient plus si connes.

Mais il n’avait pas beaucoup de temps pour y penser. Rubis l’invitait à passer à table, et il sortit de ses songes pour s’installer face à elle. Ils échangèrent un regard et la belle rougit, le laissant dans une réflexion attendrie, lui souriant avec douceur tandis qu’il se laissait remarquer à quel point sa présence lui facilitait la traversée de cette catastrophe qu’il avait vécu. Il ne pensait presque pas à son vaisseau, camouflé, verrouillé, mais à la merci d’un chercheur un peu trop curieux. Demain, il faudrait qu’il lui dise au revoir et qu’il s’en aille. Pour l’instant, il voulait juste profiter de cet abandon égoïste et insouciant encore un peu.

« Bon appétit, Rubis. »

Il prit les baguettes à son tour, soudainement interpellé par les ustensiles. Il ne s’était jamais servi de baguettes pour manger. Mais ça ne devait pas être si sorcier, si elle s’en servait ? En silence, et en en profitant qu’elle ait le regard perdu dans son plat, il regarda sa main et sa position, et il chercha à reproduire rapidement gestes et posture. Après quelques mouvements gauches, il trouva le truc, ou à peu près du moins, et plongea les baguettes à son tour, tirant une tranche de viande et des nouilles juteuses de son plat pour les amener à sa bouche autant qu’il amenait sa bouche à elles.

Il trouva ainsi une méthode confortable et on peut dire qu’il était devenu un usager confirmé des baguettes avant la fin du repas. Sa capacité d’apprentissage avait toujours été un point fort, chez lui, en tout cas dans ses domaines de prédilection. Et il n’éveilla pas de soupçons, ainsi, pendant qu’ils savouraient le plat de ramens en silence, silence seulement troublé par leurs bruits d’aspiration et de mastication et par le son des baguettes raclant jusqu’au bout le fond des délicieux bols.

« C’était vraiment délicieux, » commenta-t-il lorsqu’il eut terminé un deuxième bol. « Je devrais ramener la recette chez moi. »

Repus, il se recula sur la chaise en frottant son ventre et sourit avec franchise à Rubis, qui finissait elle aussi de son côté. Il pencha la tête légèrement en l’observant sans un mot pendant un instant, lui tendant son bol. Elle mit leurs bols dans le saladier et il se releva finalement pour prendre celui-ci, emportant tout à l’évier et faisant la vaisselle avec elle avec un naturel déconcertant. Lorsque tout fut nettoyé et mis à sécher, il s’essuya les mains et se racla doucement la gorge en songeant à la suite du programme.

La décence exigerait qu’ils se couchent, à présent, pour être reposés demain et pour ne pas trop troubler le programme de la belle et gentille Rubis. Mais Jack ne savait pas s’il pourrait dormir, maintenant, et seul. De toute évidence, un même trouble parcourait les pensées de son hôtesse et, en le remarquant en elle, il finit par prendre sa main et par l’attirer à lui. Il se baissa lorsqu’elle fut face à lui, et il l’attrapa par les cuisses pour la soulever avec une aisance déconcertante, saisissant ses lèvres pour l’embrasser langoureusement avant de soupirer contre elles :

« Où est ta chambre ? »

Le repas se passa dans un silence presque religieux avec pour seuls sons le bruit de leurs baguettes et celui du repas dégustait, un vrai repas typique à la japonaise dans le plus grand des calmes on pouvait dire.

La belle Rubis qui avait retrouvée sa blancheur de porcelaine après ses pensées qui l’avait fait rougir suggérant de la transformer en désert à la fin du repas, jeta un regard discret de temps en temps tout le long du repas à Jack, se demandant s’il s’en sortait avec les baguettes car tout comme elle il était étranger à n’en pas douter par son physique atypique pour le pays  et elle se demandait donc s’il était habitué aux ustensiles de repas nippons, ne sachant pas depuis combien de temps il était au Japon et donc sa maîtrise ou non de ces instruments. La demoiselle fut rassurée de voir qu’il s’en sortait à merveille avec les baguettes, mais cela ne l’empêcha pas de le zieuter de temps en temps tout de même tout le long du repas après avoir vérifier que tout se passait bien.

Et à la fin du repas, tandis qu’elle terminait son bol de soupe, la jolie hôtesse put entendre son bel invité complimenter le repas, la faisant sourire avec tendresse en le regardant alors qu’elle déposa doucement son bol sur la table, hochant doucement la tête pour le remercier.

« Je suis ravie que ça t’ai plue et je serais ravie de te donner la recette Jack. »

Répondit la belle albinos au séduisant brun, ses yeux écarlates scintillant de ravissement aux mots du voyageurs aux belles mirettes qu’elle contempla quelques instants. Puis doucement la jolie demoiselle se redressa de sa chaise pour signer la fin du repas et commençait à débarrasser la table, prenant en souriant avec douceur le bol que lui tendit l’homme extraterrestre pour le mettre dans le saladier avec le reste de la vaisselle. Mais quand elle s’apprêta à prendre le saladier rempli pour l’amener au lavabo de la cuisine, la belle terrienne fut devancée par le beau voyageur stellaire qui vint se saisir de celui-ci tel un gentleman et l’amena à sa place jusqu’au coin d’eau à côté du plan de travail. Et ensuite, une fois à l’évier, ils firent ensemble la vaisselle et le séchage des ustensiles comme si ils avaient fait ça toute leur vie ensemble, dans une ambiance joyeuse et agréable, se zieutant de temps en temps tout en poursuivant cette tâche de nettoyage.

Une fois cette mission accomplie et finie, ils allaient pouvoir attaquer la suite de la soirée, dont chacun ignoraient le déroulé, en tout cas consciemment. Inconsciemment, ils en avaient peut être une idée dans un coin de leur tête et par leurs corps qui n’étaient pas fatigués après cette journée mais qui étaient même au contraire sûrement bien recharger en énergie après leur bain des plus gourmand et coquin.

Rubis était toute aussi perdue dans ses pensées divergentes tout comme Jack, croissant son regard en tournant sa tête pour le regarder et rougissant doucement en sentant ses yeux bleus océans sur elle se posaient en l’admirant. Le brun venu d’ailleurs vint aussitôt attraper la main de la mignonne albinos pour l’attirer à lui en la faisant doucement frémir au contact de leur peau, pour ensuite venir se saisir d’elle avec une telle rapidité et aisance naturelle déconcertante pour la prendre dans ses bras et la porter délicatement, avant de venir attraper ses jolies lèvres avec passion pour l’embrasser langoureusement tout en lui demandant le chemin vers sa chambrine.

À ses mots, la jolie hôtesse terrienne rougissa de plus belle mais souria tendrement contre les lèvres de son invité de l’espace, répondant avec tendresse à son baiser tout en passant ses bras autour de son cou, venant glisser une de ses mains dans sa chevelure brune qu’elle caressait avec douceur, soupirant d’aise dans leur baiser tout en frissonnant de tout son être d’envie de lui.

« À… À côté de la salle de bain, la porte juste à côté… »

Répondit-elle tout en continuant de l’embrasser d’une voix chaude et douce, bougeant légèrement sa tête pour montrer que c’était sur la droite tout comme la salle de bain, ne quittant pas des yeux le beau regard brûlant de son bel invité qui la regardait avec envie, qui se mit ensuite en marche jusqu’en dans la chambre en traversant tour l’appartement de sa jolie hôtesse.

Et une fois pénétrait dans la chambre dont les murs étaient bleu pâle et qui était meublée d’un grand lit avec un bon matelas le tout recouvert de linge de lit en satin de couleur noir avec des reflets bleutés, entourés comme meubles d’une commode sur laquelle trônait tout un tas de livres ainsi qu’une grande armoire de couleur sombre toutes les deux, le petit couple d’amants de ce soir se dirigèrent ensemble vers le lit où Jack déposa Rubis en se positionnant au-dessus d’elle. Une fois sur le lit tout les deux, ne se quittant pas un instant du regard, la jolie demoiselle aux yeux écarlates caressa tendrement les cheveux du mystérieux brun stellaire au-dessus d’elle, avant de laisser ses deux petites mains de porcelaine glisser le long de sa nuque pour ensuite venir caresser son torse par-dessus le t-shirt moulant qu’il portait, se pinçant les lèvres tout en faisant ça avant de poser ses deux mimines en bas du vêtement de l’homme extraterrestre.

« Je ne voudrais pas avoir l’air impudente… Mais je pense que tu ne vas pas avoir besoin de ça ce soir Jack… » dit-elle d’une voix chaude en le regardant en rougissant un peu, venant l’embrasser ensuite délicatement avec tendresse en rajoutant contre ses lèvres d’une voix un peu taquine « Puis c’est pas du jeu d’être autant habillée alors que moi j’ai presque rien… »

Rubis ne se montra pas farouche, prête à remettre le couvert avec lui maintenant qu’ils étaient repus, reposés et visiblement déjà en manque de leurs contacts réciproques. Jack n’aurait su dire ce qui l’excitait tant chez elle. Il se savait très gourmand et endurant, et il était réputé pour cela auprès de ses amantes régulières, mais il songeait aussi à certaines théories qui disaient que les gens étaient plus poussés à s’accoupler avec des personnes génétiquement éloignées, et on pouvait dire que Rubis était probablement fort éloignée sur ce point, même si leurs deux espèces humaines semblaient parfaitement similaires. Qui sait ? Peut-être qu’il n’était, depuis le début, que la victime d’une réaction chimique qu’il justifiait par son désir de réassurance et de chaleur humaine ?

Il n’avait cependant ni l’envie ni le temps d’y penser. La passion de l’albinos avait la qualité essentielle de l’éloigner de toutes ses réflexions. Elle l’aidait à oublier sa situation pour le captiver dans un présent de délices et de volupté. Il se laissa guider, trouva la porte de la chambre et s’y dirigea prudemment en lui laissant son cou pour pouvoir regarder où il allait.

Arrivés dans la chambre noire et bleue, propice au repos mais, ce soir, scène inévitable d’efforts tardifs, il déposa la belle dans son petit kimono de soie noir sur les draps sombres. Dans la pénombre et sur ce fond, la blancheur de sa peau ressortait nettement, comme pour le guider à elle, le pousser à dévoiler son épiderme laiteux pour inviter sa lumière lunaire à les magnifier. Il l’admira un instant, bras à demi pliés, perché au-dessus d’elle, tandis qu’elle le caressait à nouveau, et manifestait par son cheminement son désir de le sentir avant de l’exprimer de ses mots. Il lui sourit à ses paroles et se releva, à genoux entre ses cuisses.

« Tu veux surtout te rincer l’œil, » la taquina-t-il.

Le t-shirt si équivoque passa par-dessus sa tête pour dévoiler à nouveau son torse musclé, et il resta là un instant, sans lui laisser le loisir d’y toucher, en laissant glisser ses mains sur ses jambes. Il les remonta doucement jusqu’à buter sur sa ceinture nouée, qu’il entreprit de défaire avec douceur en taisant ses protestations d’un chuchotement.

« Tu voudrais râler, c’est ça ? Rassure-toi, » lui dit-il malicieusement en ouvrant la ceinture et en écartant les pans de son kimono, « ton attente va en valoir la peine. »

Il se recula à genoux jusqu’au pied du lit, amenant ses genoux au bord avant de rebasculer en avant. Il passa sa tête entre ses cuisses, les embrassant doucement en s’avançant, glissant sa bouche jusqu’à ses adducteurs, suçotant les lèvres de sa vulve avec gourmandise avant de lentement glisser sa langue entre elles. Il l’ouvrit en douceur et la caressa du périnée au clitoris sans se presser aucunement, prenant place et s’installant pour la suite qui ne tarda pas, lorsque le bout de sa langue commença à laper et rouler autour de son bouton d’amour pendant qu’un pouce discret venait caresser l’autre bout de son sexe, taquinant le creux de son vagin et la massant sensuellement.

Ainsi commença-t-il à la gratifier de ce cunnilingus pour lequel il avait, manifestement, une belle expérience, réveillant ses désirs et excitant ses passions d’une manière nouvelle, bien décidé à la faire jouir sans pénétration pour qu’elle en veuille encore davantage. Il donnait sans détour et sans ménager son confort et son énergie, se guidant à ses réactions et à ses gémissements et ne se concentrant, pour un temps, que sur le plaisir de la Terrienne et sur le don d’un orgasme qui ne ferait qu’en initier bien d’autres.

Riant amusée à ses mots sur le fait qu’elle voulait se rincer l’œil, la jolie demoiselle hocha doucement de la tête en rougissant légèrement tandis qu’elle regardait son bel invité se relever en lui souriant, l’admirant de toute sa splendeur dans la pénombre de la chambre, seulement éclairée par la lumière lunaire qui transparaissait au travers des rideaux et un petit fuseau de lumière qui s’échappait d’entre le bâillement de la porte qui donnait sur le reste de l’appartement de la mignonnette.

Elle pouvait ensuite l’admirer enlever son t-shirt avec une facilité déconcertante, lui permettant donc de zieuter en toute impudence le torse musclé du brun stellaire  alors qu’il restait bien assez éloigné d’elle pour ne pas la laisser y toucher, jouant de cela visiblement avec une pointe de taquinerie alors que lui avait le loisir de pouvoir caresser ses jambes, la faisant doucement frissonner sous ses caresses agréables.

Le fait qu’il reste bien droit en l’empêchant de toucher son torse amusa fortement la demoiselle qui fit mine de protester en faisant une petite bouille pour rentrer dans son jeu, alors qu’elle pouvait sentir ses mains continuaient de parcourir son corps à elle, se retenant de gémir sous ses caresses pour garder sa frimousse protestante. Puis Rubis sentit les mains de Jack doucement se glisser sur son kimono tout en lui parlant et la taquinant la fois, venant ensuite se saisir de la ceinture de son vêtement afin de la défaire pour la déballer tel un cadeau de noël, la faisant doucement rougir en se retrouvant à nue dévoilée ainsi à lui.

Mais la jolie hôtesse n’avait pas finie de rougir, regardant son séduisant invité reculer plus bas sur le lit jusqu’à en atteindre le bord, le voyant ensuite se baisser pour venir placer sa tête entre ses cuisses qu’il commença à embrasser. La mignonne albinos se pinça les lèvres en le regardant alors que le rouge lui monta aux joues, comprenant bien ce qu’il allait faire ensuite, appréhendant un peu car elle n’était pas habituée à ce genre d’attention. Les hommes en général, que ce soit ceux avec qui elle est était contrainte de faire des choses ou ceux qu’elle avait choisie elle-même qui faisait partis des rares hommes dont elle s’était laisser tomber dans leurs bras par besoin de tendresse, la grande majorité pensaient plus à leur propre plaisir que le sien, n’ayant donc peu de fois eu droit à ce genre d’attention.

Évidemment qu’elle était un peu gênée mais elle était aussi soucieuse, se demandant comment elle allait réagir et priant pour qu’elle ne fasse pas trop de bruits ou de gestes brusques par mégarde. Mais ses pensées diverses furent bientôt chasser et loin de son esprit quand Rubis sentit Jack commençait à s’affairer à câliner de sa bouche et sa langue son intimité, la faisant fermer les yeux en laissant tomber sa tête en arrière sur le lit, relâchant ses lèvres qu’elle avait garder pincer pour commencer à les entrouvrir afin que des soupirs et gémissements de plaisir commencent à s’en échapper.

Le chant plaintif de bien-être de la belle demoiselle ne faisait que commencer, montant rapidement dans les tours à mesure que le voyageur galactique s’aventura sur chaque parcelle du jardin secret de l’albinos, la faisant gémir plus fort et plus vite, cambrant davantage son corps sous chacun de ses gestes lingual et buccales sans oublier son pouce qui venait la cajoler sensuellement en s’invitant dans la partie.

Tout cela provoquait comme réaction chez la jolie terrienne en plus d’une cambrure plus prononcé de son basin et même de tout son corps un agrippage des draps qu’elle tira entre ses doigts, autant de mains que de pieds sous l’extase qu’elle ressentait en cet instant. Ensuite, doucement et timidement, elle vint poser une de ses mains dans la chevelure du séduisant extraterrestre, caressant tendrement ses cheveux en gémissant et soupirant plus fort, l’encourageant ainsi à continuer avant de se mettre à chuchoter de doux et chauds « oui » à mesure qu’il s’occuper d’elle avec plus de fougues sans se ménager, la faisant monter en température alors que des picotements gagnaient doucement son bas-ventre, pouvant sentir en elle l’orgasme commencer à pointer timidement le bout de son nez, mais restant bien cacher pour le moment en attendant son heure, car la partie ne faisait que commencer finalement. 

Jack fit fi des appréhensions et de la timidité de la belle, se donnant pour elle sans une hésitation et lui donnant ce que son expérience pouvait du bout de sa langue. Il la sentit réagir vite et positivement à son initiative, lui démontrant qu’elle était bien proche des Humaines de son coin de galaxie et de la plupart des humanoïdes qu’il connaissait, et s’affaira à la stimuler progressivement mais sûrement, à susciter en elle une excitation qui s’exprima de plus en plus dans ses gémissements et ses approbations soupirantes.

Une main dans ses cheveux lui indiqua de ne pas se retirer. Il n’y comptait pas et se sentit plutôt encouragé à la provoquer davantage, soupirant et lâchant des gémissements de plaisir en continuant de la laper goulûment. Il la sentait, juste là, se retenir, comme si elle ne pouvait s’autoriser à jouir en son absence, sans que le mâle ne vienne la pénétrer et jouir en elle de concert. Ne savait-elle pas qu’elle pouvait jouir encore et encore et se perdre dans les méandres du plaisir, et qu’elle avait le droit de se lâcher égoïstement sous les attentions de son amant ? Si non, il se fit un devoir de l’en informer.

« Lâche-toi, Rubis, » grogna-t-il ainsi contre son clitoris. « Je veux t’entendre jouir. Je veux te sentir couler sur ma langue. »

C’était direct et abrupt mais il escomptait que la provocation la bouscule et l’encourage justement à se laisser aller. Il revint à son ouvrage sans plus s’arrêter désormais, bien déterminé à la travailler jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et jusqu’à ce que ses défenses psychiques désuètes cèdent pour lui permettre de s’épandre dans toute la gloire de son plaisir solitaire. Et il continua, ignorant ses retenues et ses contritions jusqu’à la sentir enfin se relâcher, s’abandonner et se laisser exploser dans un orgasme puissant qu’il accompagna de baisers et de succions jusqu’à ce sa sensibilité devienne insupportable et qu’elle le repousse de sa main.

Alors, il arrêta, se recula, se redressa avec un sourire et, s’essuyant le menton du dos de la main, il la regarda se tordre et reprendre son souffle en souriant, satisfait de lui, avant de revenir vers elle, et de se glisser entre ses jambes toujours ouvertes pour se dresser au-dessus d’elle, bras tendus, à quatre pattes. Il ne la touchait pas, ne s’allongeait pas contre elle, mais elle pouvait facilement baisser la tête et le regard pour constater la raideur de son large corps viril entre leurs deux corps, nourri par l’ardent désir de se joindre à son écrin féminin.

Il attira son attention d’un pouce glissé entre ses lèvres et ses dents, pressé contre sa langue de manière obscène pendant que leurs regards se croisaient.

« Tu es belle quand tu es sur ton nuage, » lui souffla-t-il avec un sourire et un regard ardent. « Je compte t’y garder un moment, Rubis, ma beauté. »

Il laissa sa bouche tranquille, glissa sa main sur sa joue, tandis que son bassin s’abaissait et que son glaive retrouvait son fourreau, la pénétrant d’un geste direct et assuré, s’enfonçant profondément en elle avant de coulisser lentement et lascivement, se plongeant toujours plus loin et plus à l’aise jusqu’à l’emplir à nouveau totalement, sa garde pressée contre les lèvres intimes qui l’embrassaient amoureusement dans un désir humide.

C’est vrai, elle était gênée et se retenait, ne sachant vraiment quoi faire entre se laisser aller et se retenir. Pourtant, malgré ce paradoxe en elle, la jolie albinos gémissait de plus en plus, mais oui, elle se pinçait les lèvres pour parfois faire taire ses petits cris, privant parfois son séduisant amant de ses petits chants de sirène.

Il était évident qu’elle n’était pas habituée à ce genre de traitement comme à se libérer totalement de toutes barrières de logique, le comble pour une demoiselle pas si novice que ça direz-vous. Mais voilà, la demoiselle était aussi sensible et timide qu’une jeune pucelle dans ce genre de gestes affectifs destinées à la gente féminine. D’où sa retenue dans son lâcher prise, retenue qui parfois yoyotait en se débridant un peu dans certains soupirs mélodieux chantait par la jeune femme, mais également dans son geste pour venir caresser la chevelure du bel extraterrestre entre ses cuisses.

Et en entendant les mots de Jack, Rubis rouvra doucement les yeux en redressant sa tête naturellement pour jeter un regard vers lui, rougissant comme une tomate en voyant sa chevelure qu’elle caressait et la position de sa tête. Laissant retomber ensuite sa tête en arrière en fermant les yeux tout en se pinçant les lèvres, gênée de sa réaction et se sentant bête sur le moment, elle oublia bien vite ses pensées sans grande importance en sentant le galactique brun se remettre à l’ouvrage en accélérant la cadence, la faisant soupirer plus fort en se cambrant davantage en ayant son cœur battant à tout rompre dans sa poitrine.

Doucement mais sûrement, la mignonnette relâchait prise, n’arrivant plus à contrôler ses cries et les réactions de son corps qu’elle bridait malgré elle inconsciemment et malgré les encouragements provoquants de son bel amant lui demandant de se lâcher qui furent enfin récompenser. Comme quoi tout arrive à point à qui sait attendre comme dirait le proverbe. La belle albinos chantait à s’en casser la voix, caressant avec plus de fougue la tignasse du séduisant brun entre ses cuisses, cambrant son corps à son maximum tout en tirant sur les draps au point de réussir à les défaire à force de tirer dessus.

Et ce ne fut pas finit, non, loin de là. Miaulant le prénom de son invité ainsi que de chauds « oui » à s’en casser la voix cette fois, la mignonne hôtesse commença à trembler de tout son corps en continuant à caresser les cheveux du bellâtre s’occupant de son jardin secret avec passion, au point de la faire plus que mouillée à force de persévérance dans les soins qu’il offrait à la fleur de la belle albinos. Cela la fit exploser dans un violent orgasme qui la saisit de puissants spasmes dans tout son être tout en la faisant gémir d’extase, prise de picotements dans tout son bas-ventre et dans l’arrière de son crâne à en avoir chaud aux oreilles, avant de ne plus pouvoir supporter tout ce délicieux supplice en repoussant de sa main gracile et tremblante la tête de l’extraterrestre.

Se recroquevillant légèrement tout en se calmant de tout son corps, Rubis gémissait rapidement tout en haletant à la même vitesse, son cœur tambourinant dans sa poitrine alors que le rouge sur ses joues avait pris place autant par reprise de conscience de son environnement que par les multiples sensations délicieuses qui l’avaient traversées durant tout ce divin moment que lui avait offert Jack, qui pouvait être fier de lui d’avoir réussit à pousser sa mignonne hôtesse dans ses retranchements et lui avait offert un orgasme des plus explosifs on pouvait dire.

Alors que le galactique brun remonter sur le lit pendant que la belle albinos reprenait son souffle doucement en gardant ses yeux fermés, essayant de calmer doucement autant son palpitant cardiaque que son rythme respiratoire, elle put sentir son pouce se glissait entre ses jolies lèvres rosées en venant toucher sa langue tout en faisant bouger légèrement son visage vers lui. Rouvrant doucement les yeux par ce geste des plus coquins tout en la faisant rougir doucement, le voyant sourire satisfait alors qu’il vint se positionner au-dessus d’elle, tandis qu’elle reprenait doucement son souffle tout en rougissant en le regardant dans ses jolis yeux bleus pétillants de fierté, Rubis se mit à rougir encore plus sous les paroles de Jack alors que son petit cœur se mit à battre doucement autant à cause de ses mots que l’appréhension de la suite qu’il lui promettait en cet instant.

Frissonnant par la suite en fermant ses mirettes quelques instants en sentant la main du bellâtre venir se glisser ensuite sur sa joue pour la caresser, la jolie demoiselle soupira doucement en sentant le basin de son amant contre le sien, qui en peu de temps qu’il en faut pour dire ouf la pénétra en un instant. Glissant avec délice et lenteur en elle, elle pouvait ressentir l’ensemble de son épée rentrer dans son chaud fourreau ainsi que tout les détails qui entourait celle-ci, ressentant chaque veines gonflés contre ses parois intimes tandis qu’elle sursautait légèrement sous chacune des pulsations de son glaive dansant dans son étui. 

Rubis cambra tout son corps en sentant Jack se mouvoir en elle, rouvrant doucement les yeux timidement pour le regarder, soupirant et gémissant doucement à chacun de ses vas et viens auxquels elle répondait en ondulant son basin contre le sien, ses pétales humides se collant contre le bas-ventre de son bel invité. Puis, soudain d’un geste un peu tremblant et timide, elle vint posait une de ses mains sur les hanches de Jack, tirant légèrement sur le tissus de son pantalon et son sous-vêtement qu’il avait légèrement abaissé, sûrement avant de remonter vers elle avant de ne faire qu’un avec elle. 

« Jack… Je… Tu… On peut enlever ça aussi s’il-te-plaît ? Je… J’ai envie de te sentir complètement contre moi… Je… Je veux sentir ta peau contre la mienne… Jack s’il-te-plaît… »

Quémanda la jolie demoiselle aux prunelles écarlates avec un regard timide ainsi que les joues rouges en le regardant, avant de venir déposer son autre main sur la sienne qui était sur sa joue. Puis doucement, elle caressa avec tendresse sa main en le regardant de son regard timide mais suppliant, venant tourner légèrement sa tête en direction de sa main tout en fermant lentement ses paupières, posant doucement ses lèvres dans la paume de sa main dans laquelle elle déposa un tendre baiser comme appuie ultime à sa douce supplication adressé à l’homme extraterrestre en cet instant d’ivresse charnelle à venir.

Emporté par la passion, Jack avait à peine glissé ses vêtements sur ses cuisses, dans un geste d’impatience passionné qui, cela dit, fut reçu avec une frustration toute compréhensible. Certes, Rubis ne le réprimanda pas et ne cessa pas de déguster l’instant de tout son être et de tous ses sens, mais lui devait bien prendre acte de sa précipitation.

Alors, après un instant, il retira sa main du visage de l’albinos et cessa brièvement ses mouvements en elle pour se retirer brièvement, poussant boxer et pantalon sous ses genoux puis à ses pieds avant de s’en débarrasser négligemment. Il revint vite à elle, redescendant contre elle et retrouvant sa place en elle dans un geste, dans des retrouvailles viscérales qui les relancèrent de plus belle dans leur danse.

Leurs corps entièrement nus entrelacés et joints dans une même recherche de plaisir chauffèrent ensemble dans une vague de joie comme ils se trouvaient peau à peau à l’horizontale, engagés dans un balancé conjoint de leurs bassins rythmé par leurs soupirs gémissants. L’homme d’outre-monde oubliait ses peines et ses peurs dans ce moment de pure communion et se laissa perdre dans les charmes de la belle au yeux rouges, se pliant sur elle pour l’embrasser à pleine bouche, enlacer leurs langues lascives, tandis qu’il passait une main sur un sein érigé pour le caresser et le palper avec enthousiasme.

Avec tendresse, assez vite, leur échange s’accéléra, s’affermit, et la douceur initiale céda peu à peu la place à la convoitise d’une jouissance supérieure. Les gestes de Jack se faisaient plus fermes et puissants, ses soupirs devinrent des râles graves, ceux de Rubis des gémissements poussifs, et la main baladeuse glissa bientôt sur ses flancs, dessinant une fesse douce de sa paume large et chaude avant de descendre jusqu’à sa cuisse et de la tirer en l’air, levant sa jambe, la hissant sous son bras tandis qu’il poussait plus loin et plus fort encore à un rythme plus franc encore. Et dans ses yeux, elle pouvait lire la passion lubrique d’un homme conquis pas les charmes de son amante.

« Oh Rubis, » gémit-il, « oh oui… oui… »