Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis

La jolie albinos riait amusée en regardant le grand brun à côté d’elle qui riait aussi, visiblement tout aussi surpris et amusé qu’elle de cet incroyable hasard des mêmes gestes et réflexes qu’ils ont eut.

Sa tête toujours penchée après lui avoir dit qu’elle avait été ravie de le rencontrer et qu’elle espérait qu’il trouve ce dont il avait besoin dans l’ouvrage, la demoiselle remarqua le tic qu’avait le mystérieux voyageur galactique en se pinçant les lèvres, ce qui la fit sourire avec tendresse d’amusement car elle avait exactement le même tic, ce qui était amusant a constater. Est-ce que c’était quelque chose que tous les tactiles et gens trop natures avait en commun se demanda t-elle quelques instants avant de sortir de ses songes en entendant la voix de Jack la remerciait chaleureusement de son aide. La demoiselle lui répondit alors avec un doux sourire en serrant sa main dans la sienne tandis qu’elle hocha légèrement de la tête pour lui signifier que c’était rien.

« Je t’en prie Jack… C’était un plaisir, j’ai passé une très belle soirée. Et j’ai été ravie de pouvoir t’aider, j’espère sincèrement que tu trouveras ce dont tu as besoin dans ce livre. »

Lui répondit-elle avec douceur en le regardant tandis qu’elle redressait sa tête, sentant sa main serrer la sienne avant de la lâcher tout doucement alors qu’il recula à reculons en lui faisant ses adieux. Rubis esquissa un doux sourire comme à son habitude avec un regard émue également en le regardant s’éloigner, levant doucement sa main pour le saluer et lui dire au revoir avant qu’il ne se retourne pour partir.

« Au revoir Jack Marston. Passe une belle soirée et… À une prochaine fois ! »

Dit-elle avec douceur de ses yeux pétillants de sincérité qui pouvaient rivaliser avec le scintillement des étoiles dans le ciel nocturne tandis qu’elle regardait pendant quelques instants ce mystérieux extraterrestre s’éloignait au loin dans la direction opposée à la sienne, avant de se retourner elle aussi et prendre la direction inverse pour rentrer chez elle en cette soirée des plus atypique mais bien agréable.

***

Rubis était rentrée chez elle sans encombres, personne de supplémentaire ne l’avait importunée pour la soirée, la laissant se balader dans les rues sous le ciel nocturne avant d’arriver au parc près de chez elle qu’elle traversa en admirant la cime des arbres qui dansaient sous la brise du soir, avant d’arriver devant la porte de son immeuble qu’elle poussa délicatement pour y pénétrer et monter ensuite les escaliers pour monter au 7e étage, évitant l’ascenseur comme la peste car elle aimait pas particulièrement cet engin qu’elle n’avait empreinté que le jour de son déménagement il y a deux semaines à peine d’ailleurs.

Ouvrant la porte de chez elle une fois arrivée sur le palier, elle pénétra dans son appartement et referma derrière elle, admirant son salon qui était légèrement en chantier mais dans un chantier ordonné. C’est à dire qu’il y avait les meubles d’installer : canapé, bibliothèques, commode, tables et chaise dans la partie cuisine, … Mais il y avait encore des cartons à côté des bibliothèques qui n’avaient pas finies d’être remplies sur lesquelles se trouvait quelques livres et vinyles qui attendaient d’être rejoint par d’autres compères qui attendait sagement dans les cartons que la demoiselle les déballe à son rythme.

La jolie albinos se dirigea vers un des cartons qu’elle ouvra légèrement pour y saisir une de ses lampes en forme d’étoile et l’admirer en souriant avant de regarder tout autour d’elle en se demandant bien où elle pourrait les installer, ayant penser aux murs à certains endroits mais se disant que c’était peut être trop enfantin non ? Bon, elle verrait bien puis de toute façon elle en avait accrochés quelques une sur son balcon comme dans la tradition de son pays où on disait qu’il fallait accrocher des lanternes en forme d’étoiles pour guider les voyageurs perdus, tradition qui tenait particulièrement au cœur de la jeune femme et qui avait enrichis son amour pour les étoiles et l’astronomie ainsi que l’univers étrangement. Reposant sa jolie étoile lumineuse dans son carton qu’elle referma avec délicatesse en songeant à tout cela, la demoiselle se dirigea ensuite vers sa salle de bain pour s’y déshabiller et prendre une douche avant d’enfiler une culotte shorty et un débardeur noir en coton en guise de tenue pour dormir mais n’étant pas prête à aller rencontrer le sommeil pour le moment qu’elle fuyait comme la peste car elle redoutait le terrible moment où des fantômes viendraient la hanter dans ses cauchemars.

Pour s’occuper, elle ouvra un carton et sortit quelques livres qu’elle vint poser sur les étagères de sa bibliothèque, s’occupant l’esprit et avançant petit à petit dans son emménagement avant de se rappeler qu’elle devait vérifier quelque chose. La jolie albinos se stoppa dans son rangement et alla dans sa chambre prendre une pochette qu’elle ouvra pour vérifier tous les papiers qu’il y avait dedans.

« Cv… Lettre de motivation… Lettres de recommandations… Certificats de travail… Attestations de mes capacités physiques… Certificat médical… Fiches de salaires… Papiers de séjours… Passeport a jour… Carte d’identité… Annonce de l’offre d’emploi… J’ai tout ! »

S’exclama t-elle avec joie en refermant la pochette avant de la reposer sur sa commode dans sa chambre, chantonnant presque que tout soit bien organisé et correct pour une audition dans un bar qui recherche une nouvelle serveuse, impatiente de pouvoir candidater dans un nouvel endroit en espérant être retenue avant la fin de son contrat dans le bar dans lequel elle était actuellement qui allait bientôt se passer de ses services. Il lui avait bien proposer un nouveau contrat mais la demoiselle avait envie de changement et quelque chose lui disait au plus profond d’elle d’aller postuler dans ce bar, c’était comme si quelque chose l’attirait là-bas, que quelque chose l’attendait même, en tout cas c’est ce qu’elle ressentait en étant passer devant très rapidement en voyant les papiers pour l’offre d’emploi accrochés sur la devanture de l’établissement. Si elle savait comme elle avait raison et qu’il y avait en effet le destin qui la poussait là-bas, que sa vie allait changer autant en mieux mais aussi en pire malheureusement… Mais ça elle le découvrira bien assez tôt et ce serait bien difficile pour elle mais ça en vaudra la peine, ho oui, vraiment la peine mais bon, chaque chose en son temps, revenons au présent et donc actuellement.

Et le présent appelait la demoiselle en effet ! Quelqu’un sonnait à son interphone et cela la surprit. Qui ça pouvait être à cette heure ? Et surtout qui ? Car elle avait emménager il y a peu donc c’était assez étonnant et elle ne voyait pas qui ça pouvait être. Quelqu’un de perdu ?  Un voisin qui a perdu ses clés ? Des plaisantins peut-être ? La jolie demoiselle n’en avait pas la moindre idée et pour le découvrir il fallait aller répondre à l’interphone donc, ce qu’elle fit bien sûr.

« Heu… Oui ? Bonsoir ? »

Demanda t-elle d’une voix douce et un peu hésitante, se demandant qui allait répondre de l’autre côté et elle esquissa un doux sourire en entendant la voix de Jack, la reconnaissant sans même qu’il ait eu à lui dire même si il le précisa dans le doute et il valait mieux en effet. Elle écouta avec attention ce qu’il disait, comprenant qu’il avait trouvé son adresse dans l’annuaire, l’impressionnant de savoir qu’elle était déjà dans le nouvel annuaire après son emménagement, elle eut de la chance d’emménager pour l’impression de la nouvelle édition de l’annuaire dit donc, se retrouvant déjà dedans avant d’attendre la prochaine mise à jour dans quelques mois. et bien sur elle lui répondit sans hésiter tout en lui ouvrant la porte qui se déverrouilla à l’appuie du bouton sur le combiné de son interphone.

« Pas de soucis Jack ! Tu as bien fais voyons, ne t’inquiète pas. Je t’ouvre, tu n’as qu’à monter via l’ascenseur ou les escaliers, je suis au 7e étage, c’est le dernier étage de l’immeuble de toute manière.  »

Dit-elle un peu amusée avant de raccrocher le combiner en l’entendant pousser la porte d’entrée de l’immeuble. Cela pouvait semblait étrange qu’une jeune et innocente demoiselle laisse un parfait inconnu même après quelques heures passées en sa compagnie montait chez elle pour y passer la nuit, mais Rubis était comme ça, prête à aider quand il fallait en ne pensant absolument pas à mal. Évidemment qu’elle savait que les hommes étaient en majorité tous de grands méchants loups, pour certains même d’horribles monstres qui vous manipule et joue avec vous… Elle l’avait appris à ses dépend même, mais malgré ça, elle restait toujours aussi innocente, avenante et prête à toujours aider, elle était comme ça cette petite demoiselle.

Puis la sonnette retentit quelques minutes après avoir raccrocher le combiné, Rubis se dirigeant vers la porte avant de se souvenir d’un détail important en venant jeter un œil à son corps dans une tenue un peu… Pas adaptée à recevoir quelqu’un. Elle fila rapidement dans sa chambre et attrapa un kimono court de couleur noir dans son armoire et l’enfila à toute vitesse en venant fermer la ceinture bien comme il faut, se retrouvant couverte des épaules jusqu’à 30 centimètres au dessus des genoux, longueur courte mais correcte tout de même, puis elle retourna à la porte qu’elle ouvrit en accueillant en souriant son premier invité dans son appartement fraîchement emménagé.

« Heu.. Re-bonsoir Jack ! Je… Je t’en prie entre ! »

Dit-elle avec un doux sourire en penchant la tête pour le saluer et l’inviter à rentrer avant de refermer la porte derrière lui et l’inviter à s’asseoir sur le canapé.

« Je t’en prie prend place et dis moi ce que tu souhaite boire, j’ai de tout ici : café, thé, alcool, jus de fruits ou soda, eaux… De tout quoi ! »

Ajouta t-elle en riant avec douceur en le regardant avant de remarquer qu’il était légèrement mouillé, filant rapidement à la salle de bain prendre une serviette sèche et lui ramenait en lui tendant avec délicatesse, toujours en souriant avec tendresse.

« Tiens avant que tu n’attrape froid… »

Dit-elle avec tendresse en lui tendant la serviette qu’il attrapa en frôlant ses mains, la faisant doucement rougir avant qu’elle ne se sauve vers sa cuisine ouverte, en allant chercher ce qu’il lui avait dit vouloir boire, avant de le rejoindre et s’assoir sur le canapé à ses côtés en écoutant ce qu’il avait à lui raconter de cette étrange excuse qui l’empêcher de rentrer chez lui.

Il fallait bien l’avouer : Jack espérait ne pas avoir à trouver un abri humide dans une ruelle détrempée de Seikusu pour pouvoir y trouver un peu de repos. Il espérait vraiment que son petit mensonge fonctionnerait. Il fallait aussi dire qu’il commençait à s’en vouloir de mentir constamment à cette adorable Terrienne. Bien sûr, il ne pouvait pas juste lui dire qu’il venait de l’espace et qu’il cherchait sa région d’origine tout à l’heure, alors il devait mentir. Mais la justification ne rendait pas l’exécution moins amère.

Heureusement pour lui, Rubis fut aussi douce et altruiste qu’auparavant et elle l’invita à aller jusqu’au septième étage sans attendre. Un bip et un bruit métallique annoncèrent le déverrouillage de la porte, et l’étranger se glissa à l’intérieur après un regard circulaire alentour, s’assurant de n’avoir pas été suivi avant de s’engouffrer pour de bon dans l’entrée de l’immeuble, et de s’y enfermer. Il se retrouva dans un petit espace où étaient affichés plusieurs documents dans le dialecte local, à côté d’une série de boîtes qui semblaient destinées à recueillir des notes. Celle de Rubis était là, 7B.

« 7B. C’est parti. »

Au bout du chemin se trouvaient des portes coulissantes métalliques, avec un bouton qui semblait servir de bouton d’appel. Au-dessus, un écran indiquait le numéro 4. Ça devait être l’ascenseur. Il appuya sur le bouton et un bruit lui fit savoir que la machine fonctionnait. Les numéros décrurent jusqu’à arriver au numéro 1. Les portes s’ouvrirent pour donner sur une petite cabine aveugle, et il s’avança dans l’embrasure, curieux. C’était très rustique, mais il ne savait pas à quoi s’attendre. Il se doutait bien que ça devait fonctionner puisque les locaux s’en servaient, mais son appréhension le retenait. Lorsque la porte se referma sur lui, il recula, laissa la cabine vide disparaître, et il hésita encore un peu avant de se tourner vers la porte qui portait un pictogramme à degrés. Des escaliers, certainement. Ouvrir la porte le lui confirma. Septième étage ? Plutôt comme ça que dans ce cercueil préhistorique !

Très dynamique, Jack ne se précipita pas trop, même si son ascension fut plutôt rapide. Il ne voulait pas s’essouffler. Il pensait déjà déranger et il ne voulait pas avoir l’air d’un bœuf à l’agonie en entrant. Quand il déboula finalement sur le palier, il repéra le 7B et, ne sachant trop si les boutons servaient à sonner ou à autre chose, il toqua, attendit un peu et vit l’obstacle s’écarter pour dévoiler Rubis.

Dès qu’il l’aperçut, la rougeur que le vétéran avait voulu s’épargner le gagna quand même. Récemment douchée sûrement, elle avait les cheveux encore humides et le teint frais. Plus encore, elle avait troqué ses vêtements de ville pour une tenue certainement très confortable, mais très courte, le petit kimono léger pour lequel elle avait opté en catastrophe remontant bien haut sur ses cuisses au point de presque oublier de remplir sa fonction entendue : cacher le tanga et le débardeur qui seuls la couvraient. Il déglutit légèrement. Ce n’est pas qu’il était timide avec les femmes, mais il ne s’y attendait pas, et, en toute honnêteté, la Terrienne ne manquait pas de titiller cette part masculine en lui qui aimait la compagnie et les charmes féminins.

« Euh… Il est un peu tard pour les stimulants et le sucre. »

Il gloussa, découvrant le séjour tandis qu’elle fermait la porte derrière lui. Il fut étonné de voir l’appartement aménagé, mais une série de cartons encore à moitié plein témoigner d’une installation toujours en cours. Manquait-elle de temps ou vivait-elle dans le désordre ? Ou bien venait-elle d’emménager ? Mais comment l’aurait-il trouvée dans cet annuaire public en papier ? Leur administration était-elle si efficace ? Il avait peut-être du respect à prêter à ces gens pour cette efficacité improbable…

Il identifia le long meuble tapissé semblant dédié au repos, comme un canapé commun en fait, et s’y dirigea pour s’asseoir à un bout.

« Je te prendrais bien de l’eau, s’il-te-plaît. »

Même s’il en avait déjà reçu pas mal. D’ailleurs, elle le remarqua et elle disparut sans un mot avant de revenir avec une serviette et la lui presser sur le crâne. Avait-il fait une bévue en venant mouillé chez elle ? Il ne demanda pas son reste et participa au frottage pour se sécher autant qu’il le pouvait. Mais il remarqua, à ses paroles, qu’elle pensait d’abord à sa santé et il la regarda filer à nouveau, interdit, avec un petit sourire. Quelle personne bizarrement douce et altruiste ! Elle ne méritait pas qu’il l’utilise et qu’il lui mente. Son sourire se tordit en un regret coupable, et il soupira en finissant de se frotter, retrouvant son sourire avant qu’elle revienne et abandonnant la serviette pour prendre le verre avec un hochement de tête.

« Merci. »

Il en but quelques gorgées doucement pendant qu’elle s’installait à côté de lui, silencieuse, attentive, entièrement tournée vers lui. Il savait qu’elle devait attendre une explication à son malheur et il tira parti du moment pour y réfléchir, posant le verre doucement, ralentissant chaque geste pour avoir un maximum de temps pour parfaire son histoire dans le secret de ses pensées. Mentir, encore ! Mais il n’avait pas le choix. Il rassemblait tout ce qu’il savait de ce monde, tout ce qu’il avait vu jusque là et pouvait observer chez elle pour trouver quelque chose de crédible.

« La police a bouclé ma rue. Ils ont dit qu’il y avait une… fuite de gaz. »

Il avait remarqué le bruit d’une pompe à gaz dans son coin cuisine et n’en revenait pas que les logements aient ce genre d’installation à un tel niveau de développement, mais ça lui donnait une bonne excuse.

« Je ne peux pas rejoindre mon immeuble avant demain. Quelque chose à propos des… bouchons… et de fonctionnaires fainéants… »

Il avait passé une seule journée ici, mais il avait entendu ces deux termes bien plus d’une fois, alors même qu’il avait passé des heures au planétarium. Il considérait que c’étaient des choses très courantes et problématiques puisque les gens semblaient contrariés en en parlant. En tout cas, en croisant le regard sang de la belle, il ne remarqua pas de doute évident et il jugea que son explication avait été correcte. Il prit une autre gorgée d’eau pour réhydrater sa gorge sèche.

« J’espère vraiment ne pas gêner. Tu avais l’air prête à te coucher. »

Comme d’habitude, il se gratta l’arrière du crâne, un peu gêné, en s’efforçant de sourire.

« Je ne voudrais pas abuser. »

Il n’avait même pas pu se doucher, mais il n’osait pas en parler à ce stade.

Après avoir invité le mystérieux voyageur galactique à rentrer chez elle et à s’installer sur le canapé, la demoiselle proposa en bonne hôtesse qu’elle était quelque chose à boire à son invité surprise en lui proposant un large éventails de boissons selon ses préférences. Et quand elle entendit la remarque du grand brun comme quoi il était tard pour les stimulants et le sucre, elle ria doucement également en accompagnement à son gloussement, trouvant cette phrase incroyablement drôle mais si véridique à la fois, ce qui l’avait beaucoup amusée.

Tandis qu’elle se déplaçait vers la cuisine, Rubis entendit Jack lui dire qu’il lui prendrait bien de l’eau, ce qui la fit doucement rire de nouveau en allant chercher un verre et lui verser de l’eau fraîche de source des montagnes.

« Monsieur préfère l’eau de sources à l’eau de pluie alors mmmh ? »

Demanda t-elle sur un ton taquin en riant doucement amusée, plaisantant un peu par rapport à la pluie qui tombait dehors et dont il avait pu goûter les délicieuses goutes sûrement. Ce que la jolie albinos remarqua en voyant qu’il était mouillé, abandonnant son verre sur le plan de travail de la cuisine avant de filer en vitesse à la douche pour aller chercher une serviette et la ramener pour qu’il se sèche, venant lui tendre avant de la poser naturellement sur sa tête et l’aider à se sécher les cheveux un petit peu avant de le laisser continuer seul et partir récupérer le verre d’eau qu’elle lui amena en souriant, hochant la tête à son remerciement pour lui dire que ce n’était rien.

Puis la mignonne demoiselle s’installa à côté de son mystérieux invité, l’écoutant avec la plus grande attention lui expliquer plus en détail les raisons qui faisait qu’il ne pouvait accéder à son logement. Rubis pencha doucement la tête avec un regard compatissant en comprenant bien qu’il était embêté avant d’avoir une petite mine inquiète au sujet de la fuite de gaz puis de redresser sa jolie tête en la hochant doucement pour dire qu’elle comprenait bien que tout cela était embêtant surtout si les bouchons et les fonctionnaires se mêlés à la partie, la faisant doucement secouer sa tête en levant les yeux au ciel avec un petit sourire amusée tandis qu’elle venait poser avec douceur sa main sur son épaule pour le tapoter légèrement dans un geste tendre pour le rassurer et lui dire qu’elle comprenait bien son désarrois par rapport aux deux derniers points des plus agaçants pour tous les gens qui vivent ici.

Rubis pencha de nouveau sa tête en enlevant sa main de l’épaule de Jack, hausant un sourcil en le voyant se gratter la tête gêné tandis qu’il lui disait espérait ne pas la gêner car elle semblait sur le point d’aller se coucher avant d’ajouter qu’il ne voulait pas abuser. La demoiselle souffla doucement par le nez amusée tout en esquissant un doux sourire avant de secouer à la négative la tête en le regardant dans les yeux.

« Tu ne me gènes absolument pas Jack et tu ne n’abuse pas, pas d’inquiétude, tout va bien. »

Dit-elle d’une voix douce en venant poser sa main avec douceur sur la sienne pour le rassurer, sonnant ainsi le retour de la demoiselle tactile et si nature.

« Et si cela peut te rassurer je n’étais pas sur le point de me coucher, je me suis juste habillé pour être… Plus à l’aise on va dire. Je dors très peu en général et je m’endors rarement si tôt d’ailleurs car je travaille aussi la nuit en temps habituel. »

Ajouta t-elle pour le rassurer sur sa tenue et  qu’il ne s’en veuille pas d’être venue la voir alors qu’il avait besoin d’aide malgré l’heure tardive, au contraire, elle était heureuse de pouvoir l’aider.

Soudain Rubis posa un doigts sur ses lèvres de son autre main en le regardant, clignant plusieurs fois des yeux avant de lui dire avec douceur en souriant.

« Donc ne t’inquiète pas et détend toi, d’accord ? Comme tu n’as pas pu rentrer chez toi, j’imagine que tu veux peut être prendre une douche ou peut-être que tu as faim ? Je n’ai pas vraiment de vêtements d’hommes à te proposer pour te changer si besoin mais sache que j’ai quand même quelques t-shirts, chemises et même des kimonos d’homme. »

Lui informât-elle en le regardant avec un tendre sourire avant de rire sur ses dernières paroles.

« Si tu te demandes pourquoi j’ai des vêtements pour homme chez moi, c’est tout simplement parce-que le magasin où J’ai commander a fait une erreur dans la commande et… je n’ai pas oser faire de réclamations car l’employé qui a fait l’erreur se faisait déjà remonter les bretelles donc je ne voulais pas lui attirer plus d’ennuis qu’il en avait. »

Finit-elle par dire en riant un peu gênée à son tour avant de venir se frotter la nuque de sa main dont le doigts était posée sur ses lèvres alors que son autre main était encore restée sur celle de son invité de ce soir, le regardant ensuite avec douceur en souriant doucement amusé, attendant de savoir ce qu’il désirait de faire en espérant avoir réussie à le mettre plus à l’aise.

Fidèle à son image de personne douce et généreuse, Rubis ne le coupa pas une seule fois pendant ses explications. Et si Jack resta à l’affût d’un signe de doute dans son regard, elle sembla accepter son histoire de bon cœur, et elle lui témoigna même un soutien mesuré d’une main sur son épaule. Il se sentait certes coupable de mentir, mais rassuré de pouvoir conserver sa couverture et bénéficier d’un abri pour la nuit. Certainement, demain, il pourrait partir.

Et puis, elle mit fin à l’essentiel de son tracas en lui précisant qu’elle était simplement plus à l’aise dans cette tenue et qu’elle travaillait souvent la nuit. Il pencha la tête sur le côté, surpris et curieux.

« Ah ? »

Il s’apprêtait à lui en demander plus lorsqu’elle le coupa d’un entrain soudain. Elle semblait vouloir absolument faire taire toutes ses inquiétudes en le sommant ainsi de les mettre de côté et de ne pas se sentir de trop. Sans doute sa nature si douce lui empêchait-elle d’en faire davantage et de lui dire de but en blanc de se taire et d’apprécier le moment ?

Quoi qu’il en soit, elle prenait son confort très à cœur, au point qu’elle s’engagea d’un seul coup et sans hésiter sur le chemin qu’il n’avait voulu emprunter en lui proposant de prendre une douche ici, et même de manger un peu. L’extraterrestre voulut d’abord protester et dire qu’il n’en valait pas tant, mais il se rappela son assurance et se tut. Et puis, il avait vraiment faim et bien envie de se laver.

En tout cas, si son histoire sur la raison de la présence de vêtements d’hommes chez elle ressemblait à sa propre tentative de dissimuler une vérité impossible à dire, il ne le lui fit pas remarquer et fit ainsi qu’elle l’avait fait, acceptant le récit de la commande mal remplie en hochant la tête avec un sourire.

« Au final, c’est bien pratique ! »

En plus, il aurait des habits de rechange, de quoi passer plus inaperçu à la mode locale. Les autorités devaient rechercher un alien bizarre, gris ou vert avec une grosse tête et de gros yeux noirs, à en juger par ce qu’ils affichaient de leurs rencontres passées avec les extraterrestres. C’était bizarre, d’ailleurs, le planétarium n’en avait pas parlé. Ça avait l’air d’être un sujet assez important pour être adressé. C’était peut-être trop récent, et ils allaient peut-être moins vite que les gens de l’annuaire ?

« Et bien… J’accepte ta charmante proposition, Rubis. Merci. Vraiment. »

Finissant son verre d’eau, il se laissa guider par la maîtresse des lieux en s’efforçant autant que possible de ne pas bloquer sur le joli bord de lingerie qu’il aperçut lorsqu’elle se leva et lui tourna le dos. Il garda le regard sur l’arrière de son crâne en dépit de la tentation de savourer le mouvement de son corps en sablier afin qu’elle le guide jusqu’à la salle de bains, une installation sommaire mais visiblement efficace. Ou bien ils étaient en avance, ou bien eux avaient fait peu de progrès en la matière depuis qu’ils avaient commencé à rejoindre les étoiles. Elle lui montra en tout cas la baignoire avec son climatiseur et sa douchette, et son système de réglage de température, et tout un tas de gadgets qui étaient, semble-t-il, courants ici, dans ce pays, le Japon, alors que c’était quasiment inconnu ailleurs. Vraiment ?!

Il l’écouta lui annoncer le fonctionnement de chaque chose comme un cadet à une formation décisive, en silence, mains dans le dos et en hochant la tête presque constamment, et elle le laissa bientôt tranquille en lui annonçant qu’elle allait préparer à manger.

Jack se rappellerait-il de toutes ces options ? S’il pouvait naviguer l’espace, il le pouvait sans doute. Ah ! Zoe aurait pu l’aider. Elle en avait plus que lui dans la caboche, c’était certain ! Mais il pouvait le faire. Ceci dit, il était si concentré sur cette tâche qu’il n’avait pas réalisé que la distraite Rubis avait oublié un petit détail en sortant : les vêtements de rechange. Et, s’il voulait sortir pour manger, il allait en avoir besoin.

Quoi qu’il en soit, ignorant ce soucis et ses répercussions, Jack se déshabilla prestement afin d’affronter, enfin, l’intimidante douche japonaise. Il mit ses affaires sales en ordre, pliées rapidement sur le côté pour ne pas faire fouillis, et se risqua à mettre un pied dans la baignoire ; puis l’autre. Il tint bientôt au milieu de la cuve carrée, légèrement baissé, géant dans une maison trop petite pour lui, et il se pencha encore sur le fameux panneau électronique.

C’est à ce moment que quelques tapes pressées résonnèrent sur la porte, et le vétéran, toujours inconscient de la situation, pensait que Rubis venait lui demander si tout allait bien à travers. Aussi répondit-il :

« Oui ? »

Il se figea en entendant la porte s’ouvrir et de petits pas se précipiter avant de stopper net. Il marqua une brève pause avant de tourner son visage légèrement rouge d’embarras et son regard rond vers celle qui s’était transformée en un épouvantail de tomates portant un tas de linge plié bien trop grand pour elle. Il évalua sa position et, heureusement, il se présentait de profil et sa cuisse légèrement avancée dissimulait sans doute à la vue de la jeune femme le corps viril de son invité ; quoique, selon l’angle, compte tenu du gabarit proportionnel à sa stature générale, la perspective d’une œillade impromptue ne pouvait être exclue.

Il éructa légèrement pour décoincer sa gorge et parvint finalement à articuler, en bougeant pour cacher son sexe entre ses grosses paluches.

« Tu… Hm ! Tu peux les poser où tu veux. Fais… Fais comme chez toi, je… Désolé. »

Il la laissa faire, tête basse, en-dessous de tout ; mais pas à cause de ce qu’il avait fait, plutôt à cause de ce qu’il pensait à faire. Car, comme elle s’apprêtait à quitter la pièce en catastrophe, l’arrêter le démangeait. Et il ne put s’empêcher de jouer mentalement à pile-ou-face* : il cédait à pile, il la laissait filer à face. Et, alors qu’elle prenait la porte, son esprit fit pile.

« Rubis ? »

Il la sentit s’arrêter et, osant remonter son regard jusqu’au sien, il formula presque malgré lui :

« Viendras-tu m’aider avec mon dos ? »

Il se trouvait vraiment excessif, mais il se trouvait dans une situation vraiment inédite et son réflexe en tant qu’homme d’action face à des conditions si critiques avait toujours été de profiter pleinement de la compagnie qu’il avait. Après tout, si la belle albinos répondait « oui », il n’aurait rien à se reprocher ; sans doute.



* Je l’ai vraiment joué à pile-ou-face, c’est vraiment trop tendu.

Sa main posée sur celle de son invité galactique tandis que son autre main frottait sa nuque en étant gênée d’avoir avouée qu’elle avait quelques vêtements d’hommes chez elle mais pas parce-qu’elle aurait pu vivre avec quelqu’un ou que ça aurait pu appartenir à un potentiel petit ami, non. Ce qui la gênait c’était d’avouer que c’était des vêtements d’une commande passée dans un magasin dont un vendeur se serait tromper dans les tailles, chose qu’elle n’a pas osait dire en faisant des réclamations afin d’éviter des ennuis au dit vendeur.

Cette histoire pouvait sembler des plus rocambolesques et tirée par les cheveux mais c’était la vérité le pire : la jolie demoiselle n’avait pas osait piper mots pour éviter des ennuis à un pauvre vendeur qui n’était pas à sa première bourde dans le magasin où elle a commandé, donc pour lui éviter plus d’ennuis qu’il en avait, elle avait récupérer la commande sans rien dire, se disant qu’au pire ça lui servira si elle veut dormir avec des trucs ample.

Mais qui l’aurait cru que cela puisse lui servir un jour pour aider quelqu’un hein ? Même elle, elle ne l’avait pas vu venir celle-là et c’était donc avec joie qu’elle proposait ses vêtements d’homme pour aider Jack qui allait en avoir bien besoin après une douche. Entre t-shirt, chemise, kimono et même un pantalon ample, le mystérieux brun allait avoir le choix pour se vêtir après sa douche, enfin si habillage il y a du moindre. N’est-ce pas ?

Donc la demoiselle était là, assise à côté de lui, lui souriant avec douceur d’un petit sourire amusé de lui avoir avoué cette histoire amusante et gênante à la fois, démontrant le trop plein de gentillesse et de bienveillance de la jolie albinos, mais cela faisait son charme aussi.

Et en voyant Jack hochait la tête en souriant tout en lui disant que tout cela était bien pratique après que Rubis lui ait raconté cette drôle d’histoire, cette dernière hocha doucement de la tête à la positive en riant doucement amusée. Puis quand le voyageur galactique répondit qu’il acceptait la charmante proposition de la demoiselle tout en la remerciant ensuite, la jeune femme esquissa un tendre sourire en faisant une légère révérence de sa mignonne petite tête, faisant ainsi danser les mèches de ses cheveux légèrement humides encore de par la douche de la demoiselle il y a quelques minutes encore.

« Je t’en prie Jack, c’est avec grand plaisir. Fais comme chez toi et détend toi, je m’occupe de tout. »

Répondit la jolie albinos au grand brun assis à côté d’elle, qui après cela finissa son verre avant de se lever et se laisser guider par sa charmante hôte en tenue légère qui n’avait pas remarquée que sa lingerie se voyait par moment sous son kimono, le guidant vers la salle de bain comme si de rien n’était en ne se doutant pas un seul instant qu’elle mettait ce pauvre homme à rude épreuve qui se retenait tant bien que mal de ne pas zieuter la jolie demoiselle sous ses yeux.

Arrivée dans la salle de bain, Rubis explique avec un sérieux sans faille digne d’un professeur de chimie les différentes options de la douche japonaise à Jack, lui expliquant bien chaque option et ce qu’elles font selon ce qu’il veut. Et elle en profite au passage pour lui expliquer le fonctionnement de deux-trois autres choses typiquement japonais comme les toilettes japonaise et leur fonctionnement très gadget pour certains et fort utiles pour d’autres. Et elle lui explique qu’elle n’a pas encore de douche car le propriétaire n’a pas finie de la réparer donc il n’y a que la baignoire qui fonctionne et elle s’excuse pour cela car elle se doute bien que ça ne va pas être fort pratique, car même pour elle c’est délicat alors qu’elle a un bien plus petit gabarit que lui avoue t-elle en plaisantant avant de lui sortir quelques serviettes et lui montrer le meuble où il y en a d’autres si besoin.

Puis après toutes ces explications la demoiselle fila à toute vitesse de la salle de bain pour laisser son invité tranquille se déshabiller et prendre sa douche peinard, se préparant elle pour aller cuisiner quelques nouilles japonaises avec des légumes et de la viande marinée en soupe. Tandis qu’elle sortait tranquillement les ingrédients dont elle avait besoin avant de mettre l’eau à bouillir pour la soupe des nouilles, Rubis se rappela d’un détail qui n’était pas des moindre : les vêtements. Bon sang ! Elle avait oubliée de sortir les vêtements et les apporter à Jack !

Se rappelant de ce détail, la jolie albinos se hâta d’aller dans sa chambre et fouiller dans son armoire pour en sortir les vêtements qu’elle avait plié proprement et repasser. Puis une fois dans ses bras, elle se hâta d’aller à la salle de bain et de toquer un peu avec empressement, gênée de son oublie et de devoir déranger son invité dans la salle de bain.

Et quand la demoiselle entendit le voyageur galactique lui répondre au travers de la porte, elle s’empressa d’ouvrir la porte pour rentrer dans la salle de bain afin de lui donner les vêtements dont il pourrait avoir besoin. Mais c’est là que les choses commencèrent doucement à se gâter : alors qu’elle s’apprêtait à s’excuser de son oublie et de le déranger, elle se stoppa en devenant rouge tomate en voyant le grand brun nu dans la baignoire.

Il était certes de profil mais elle avait une très belle vue sur une partie de son dos et son torse ainsi que de ses jambes, qu’elle en cligna plusieurs fois des yeux avant de détourner doucement le regard sur la pile de vêtements. Timidement, la jolie albinos hocha doucement la tête en entendant les paroles du mystérieux brun avant de poser les vêtements à côté des serviettes sur le meuble de la salle de bain en venant s’excuser d’une petite voix gênée toute timide.

« Je… Désolée j’ai… J’ai oublié les vêtements tout à l’heure… Je… Désolée de t’avoir dérangé et je… Heu… Je les pose ici… Voilà… »

Termina par dire la jeune femme en tournant les talons, n’osant pas regarder son invité dans la baignoire qu’elle avait dérangé juste avant qu’il ne se lave, gênée autant de l’avoir dérangée que d’avoir oublier de lui donner les vêtements plus tôt.

Et tandis que Rubis s’apprêtait à sortir de la salle de bain, la main sur la poignée de la porte, elle entendit la voix de Jack l’appelait. Elle stoppa sa main sur la poignet et tourna légèrement sa tête pour le regarder, croissant son regard alors qu’elle avait encore les joues bien rouges mais malgré cela, la demoiselle esquissa un beau sourire en le regardant.

« O-Oui Jack ? »

Demanda t-elle d’une voix douce toujours un peu gênée de la situation juste auparavant. Et quand la jolie demoiselle entendit la demande de son mystérieux invité, elle cligna plusieurs fois des yeux, ses joues toujours aussi rouges, puis elle hocha doucement de la tête en souriant tout en relâchant la poignet de la porte.

« B-bien sûr Jack, je t’aiderais avec plaisir. »

Répondit-elle d’une voix douce en revenant vers lui en passant une main dans sa nuque, avant de pencher doucement la tête et attraper une éponge sur le meuble tout en avançant vers lui.

« Je… Heu… Tu veux que je te frotte le dos avec l’éponge ? A-avec ou sans produit ? Ou… Tu veux autre chose peut-être ? »

Demanda t-elle de sa voix toute douce avec ses joues encore légèrement rosées alors qu’elle continuait de s’avancer en regardant Jack dans les yeux avant de détourner un peu le regard toute timide et prendre un tabouret pour venir s’asseoir à côté de la baignoire près de lui, pour être prête à l’aider pour son dos, ne se doutant pas un instant que tout cela allait peut être se transformer en bien plus qu’un simple frottage de dos mais en un potentiel bain de minuit selon ce qui arrivera.

Oui, Jack se sentait culotté, orgueilleux, et se voyait même un peu comme un profiteur en cet instant. Il avait menti à Rubis et, maintenant, il voulait voir si elle était intéressée à l’idée de s’occuper de lui d’un peu plus près de que ce que pouvait impliquer la donation de quelques vêtements, de l’écoute et un dîner tranquille. Sur le Masterclass, chez lui, avec ces filles qu’il ne connaissait que trop bien dans son équipage, c’eut été une question parfaitement sereine, bon enfant, qui aurait probablement reçu une réponse positive et joueuse.

De Rubis, il ne savait rien, mais il en saurait bien assez bien assez tôt lui semblait-il, car, après un clignement d’yeux surpris, interdit, elle avait lâché la poignée et, toujours un peu gênée mais de plus en plus assurée, sans hésiter, elle s’était approchée, plus rose que rouge, échaudée plutôt que refroidie, et elle avait pris d’elle-même les devants pour lui demander ce que lui, il voulait. Avec ou sans éponge ? Avec ou sans savon ? Et puis, cette question ouverte. Que voulait-il, vraiment ?

Il la regarda avancer, prendre ce petit tabouret et s’installer au bord de la baignoire. Timide, elle soutenait pourtant son regard, fixement, peut-être pour s’empêcher de poser son regard plus bas, comme lui s’en était empêché parce que la vue lui donnait trop d’idées. Par effet-miroir, il devinait son trouble, la chaleur qui était montée en elle quand elle avait posé les yeux sur son dos fort et marqué, sur ses bras épais, sur ses jambes puissantes, sur ses fesses qu’on lui disait bien rondes et fermes, un plaisir à empoigner. Il déglutit sous le coup d’une nouvelle tentation, mais cette tentation était paradoxalement plus facile à accueillir. Elle était plus facile parce qu’il avait déjà cédé à la première, mais aussi parce qu’elle n’avait pas reculé, et parce qu’il voyait la tentation réciproque. Pourquoi cette question ouverte sinon pour lui donner l’opportunité d’abuser un peu plus encore, de l’attirer entre ses filets, de la plonger dans une soirée et une nuit bien plus délicieuses qu’elle aurait pu l’imaginer avant qu’il sonne à sa porte ?

Alors, il osa retirer les mains de cette ostentatoire attraction que l’allonge équivoque de son lascif corps viril, qu’il avait  du mal à contenir mais avait gardé à un seuil leur épargnant la raideur candide et conquérante du rut. Elle ne baissait pas les yeux, de toute façon, alors il s’avança, et se retourna devant elle, et s’assit lentement, douchette en main. Et il marqua un temps d’arrêt avant de lui passer l’éponge, puis le savon, et, comme elle prenait ce dernier, il passa sa main sur la sienne avec douceur et se laissa aller à la tenter plus encore.

« Tu devrais t’asseoir au bord, peut-être ? Tu serais plus à l’aise. »

Assise au bord, les jambes écartées de part et d’autre de sa massive silhouette, elle serait effectivement plus à l’aise, mais dans une position bien plus complexe car bien plus propice aux contacts de diverses natures. En vérité, c’était bien là que reposait la tentation du geste, dans la recherche de ces contacts charnels plus nombreux, de la peau de ses cuisses frottant ses épaules, de ses mains trouvant ses pieds et ses chevilles pour y glisser tendrement, d’une tête posée contre elle, contre son opulente et confortable poitrine pour lui donner l’occasion de passer du dos aux épaules, puis au torse, puis au reste.

« Mais je crois que tu devrais abandonner cette jolie chemise de nuit que tu portes, » gloussa-t-il. « Il ne faudrait pas l’abîmer. »

Il s’était glissé au bord de la baignoire et avait finalement allumé le jet, une pluie légère et faible tombant sur sa peau, constellant son torse et s’écoulant jusqu’à son aine avant qu’il passa à ses épaules et au haut de son dos. Et, calmement, il avait tourné la tête sur le côté, et roulé ses yeux dans sa direction.

« Tu viens ? »

Après s’être assise à côté de la baignoire, la demoiselle reposa ses yeux sur Jack tandis qu’il s’installait le regardant dans les yeux, en tout cas, elle faisait tout son possible pour le regarder en haut et pas avoir les yeux qui descendent car elle devait le reconnaître que la vue était pas mal mal vu comment son invité était plutôt bien battit contrairement aux hommes japonais.

Cela étant dit, la jeune femme ne pouvait pas dire en avoir côtoyer intiment beaucoup non plus d’hommes locaux du pays. Depuis quelques années qu’elle était là maintenant, depuis 3 bonnes années précisément, elle recommençait depuis peu à fréquenter des homme, souvent n’allant pas plus loin qu’un verre généralement et rarement au-delà. Cela faisait pas plus de 3-4 fois que ça avait dépasser le verre et le plus si affinité mais ça été tout de même arrivé. 2 fois c’était dans les bras d’un japonais qu’elle terminait la nuit et les 2 autres c’était des étrangers comme elle dont un touriste.

Ce n’était pas méchant de sa part mais elle avait donc pu remarquer la différence de carrure entre les japonais et les étranger, et cela sans avoir à passer la nuit dans leurs bras car rien que visuellement la différence sauter aux yeux il fallait dire.

Et c’était quelque chose qui l’avait un tant soit peu marqué en arrivant dans ce pays, le Japon, de constater cette différence de carrure physique et même de caractère des hommes de ce pays contrairement aux hommes de chez elle, en Suède, où les gars étaient bien plus grands, bien imposants  en général et aussi pâle qu’elle souvent mais il y avait plus de blonds et roux que de bruns. Ici, au Japon, les teints de peaux étaient plus variés mais la plupart des japonais étaient plutôt bruns aux yeux foncés et pas très impressionnant physiquement en terme de mastoquerie, enfin, à part quelques gars quand même bien musclés à qui il valait mieux ne pas chercher des ennuis et qui baignaient peut être dans des choses pas très claires, mais ça c’est une autre histoire hein.

Donc pour reprendre notre histoire, la demoiselle albinos avait donc remarquer cette différence physique entre les hommes du pays et les étrangers. Et elle était plus sensible aux hommes étrangers, peut être à cause de son origine et l’habitude de voir des hommes plus imposants physiquement, même si pendant quelques années après avoir quitter son pays il y a 3 ans, elle ne faisait pas vraiment attention à ça et fuyait même les hommes comme la peste, de peur qu’on lui fasse encore du mal ou qu’on l’oblige à faire des choses qu’elle ne veut pas… Puis aussi parce-qu’elle avait été bien dégoûter de la gente masculine à cause de son passé. Mais maintenant depuis quelques mois cela va un peu mieux mais elle reste prudente tout de même, en tout cas elle essaie, s’autorisant parfois à se laisser tomber dans des bras quand elle ressent un fort besoin de tendresse et de douceur.

Étant donc plus sensible aux hommes bien battis par nature on va dire, la jeune femme avait donc pu remarquer que son invité était dans la catégorie des très très très bien battis et elle ne pouvait pas dire qu’elle était totalement insensible à son charme, physique comme mental. Et ce moment très intime dans la salle de bain entre lui et elle était plutôt dangereux donc… Déjà le fait qu’ils s’étaient tenus la main au planétarium et ne se l’étaient pas lâcher jusqu’à la fin en sortant du lieu avait laisser planer une certaine ambiguïté pour eux deux, consciente ou inconsciente, mais la situation actuelle qui se jouaient entre eux en cet instant était d’une ambiguïté aussi de la même trempe.

Après donc s’être installer près de la baignoire, Rubis regardait Jack installait dans cette dernière qui lui passa doucement l’éponge et le savon pour qu’elle puisse l’aider à frotter son dos avant de lui conseiller de peut-être s’asseoir sur le rebord de la baignoire pour être plus à l’aise tout en gloussant ensuite en lui disant qu’elle devrait peut-être enlever son joli kimono de satin noir pour éviter de l’abîmer. Un peu surprise par ce qui se passait et les mots du voyageur galactique, la demoiselle cligna plusieurs fois des yeux avant de rougir un peu et finit par hocher la tête quand le grand brun dans la baignoire lui demanda si elle venait.

Doucement la demoiselle se leva de son tabouret et posa l’éponge avec le savon sur celui-ci afin de se redresser. Et une fois droite, timidement en rougissant un peu, elle déserra la ceinture de son kimono et le laissa s’ouvrir, dévoilant ainsi son débardeur et shorty noir en coton avec un peu de dentelle aux extrémités de chacun laissant ainsi voir un peu plus de peau diaphane de la demoiselle qui se retrouva dans cette petite tenue devant son invité.

Puis elle plia proprement son kimono et le posa sur un meuble à côté avant de se baisser  légèrement pour récupérer l’éponge et le savon sur le tabouret pour venir ensuite s’asseoir sur le rebord de la baignoire, les jambes écartées derrière le dos de Jack, ayant donc une jambe de chaque côté autour du mystérieux brun ainsi positionné sur le rebord de la baignoire pour mieux l’aider à frotter son dos bien sûr. Et doucement la jeune femme entreprit donc de frotter avec douceur le dos du voyageur galactique, toujours ses joues légèrement rosées et le cœur battant un peu par la situation et sa position aussi qui pouvait être plus qu’équivoque.

« E-Est-ce que ça va comme ça ? »

Demanda la jeune femme, ouvrant enfin la bouche après quelques minutes de silence, laissant entendre de nouveau sa jolie et douce voix, se souciant de savoir si son frottage de dos convenait à son mystérieux et séduisant invité qui actuellement ne la laissait pas de marbre dans cette situation et ainsi positionné tout deux.

« Tu… Tu veux que je frotte plus fort ? Ou moins ? Plus vite ? Ou plus lent ? Tu veux peut-être que je t’aide avec autre chose ? »

Demanda t-elle en plus de sa précédente question, voulant savoir ce qui conviendrait le mieux à Jack et ce qu’il voudrait ensuite, essayent sûrement de ne pas penser à la situation et au fait qu’elle se disait qu’il avait la peau douce et qu’elle aimait bien sentir ses muscles sous l’éponge ou même sous ses doigts quand ceux-ci les frôlaient sous l’éponge. Ce bain de minuit allait être des plus torride sûrement et elle était loin de s’en douter la jolie demoiselle… Ou peut-être bien que si ?

L’acceptation ouvrait la voie à la détente et Jack se sentait progressivement plus détendu. Après avoir reconnu une attirance réciproque, il se sentait aussi moins coupable de la tenter, se confortant dans l’idée que leur rapprochement n’était pas que pour son bien à lui, mais aussi un plaisir inavoué pour elle.

La sentant se lever, il avait ramené ses jambes pliées vers lui et s’était penché dessus, les entourant de ses bras pour exposer son large dos, attendant sagement qu’elle vienne se glisser derrière lui, jambes bien écartées pour pouvoir l’entourer de ses gambettes avant de s’emparer de ses ustensiles et de commencer à lui frotter le dos. Le naufragé avait coupé l’eau et la laissa frotter sa peau avec douceur, laissant la caresse de son passage le bercer, la surface spongieuse du gant le massant légèrement tandis qu’une bonne odeur se diffusait lentement entre eux. Plus que ça, la sensation de crasse se dissipait, et il réalisait enfin à quel point il s’était senti sale et comme cette impression l’avait retenu.

Quand elle lui demanda si tout allait bien, il répondit par un gémissement de plaisir explicite. Elle semblait toujours intimidée par la situation, mais il pouvait sentir que le fond de sa voix était moins troublé, plus tranquille, en paix avec ce qui se produisait. Sans doute ses propres sensations causaient-elles la persistance de sa timidité. Jack n’était pas un grand penseur, mais il connaissait les gens et il sentait, instinctivement, que Rubis n’avait plus guère de barrière à surmonter, et la main pressant contre le tissu pour sentir le relief de sa musculature en disait long sur la tentation d’en venir aux mains nues de son côté.

Alors, quand elle lui demanda encore si elle pouvait faire mieux, si elle pouvait faire autre chose même pour lui, il réfléchit une seconde sans vraiment s’attarder sur le vague reliquat de doute persistant en lui. Il lâcha ses jambes et les étendit avant de basculer doucement en arrière. Ses bras glissèrent derrière ses jambes avant de s’enrouler autour d’elles avec tendresse et son dos mousseux de savon se pressa contre elle. Il releva la tête vers elle, la pressant contre sa poitrine généreuse en faisant en sorte de pouvoir croiser son regard. Sous cet angle, bien qu’il n’y ait pas tout de suite pensé, elle avait une vue plongeante sur son corps, dans sa totalité.

« Tu veux bien frotter devant aussi ? »

Il soutint son regard avec intensité et parvint à attraper le gant du bout des doigts pour le tirer des siens.

« Avec tes mains. »

Et il laissa une pause d’une seconde avant d’en rajouter, puisqu’il avait l’impression d’en avoir la marge :

« On dirait que j’ai trempé tes habits. Tant qu’à faire… Mets-toi à l’aise. Viens. »

n entendant comme première réponse à sa première question un gémissement de plaisir de la part du mystérieux brun, la demoiselle esquissa un doux sourire derrière lui en continuant à frotter tout en en ayant toujours ses joues un peu rosées par la situation mais rassurée de savoir, enfin, de pouvoir entendre qu’elle lui faisait du bien en frottant son dos avec douceur pour aider son invité dans son bain. Puis quand la jolie albinos posa sa seconde question ensuite pour savoir si c’était bien comme elle faisait ou s’il voulait autre chose, c’est là que les choses prirent une tournure qu’elle n’avait pas prévue, en le sentant enlacer ses jambes de porcelaine avec douceur tandis qu’il se laissa tomber contre elle, son dos contre son son bas ventre et une partie de son torse tandis que sa tête se logeait confortablement contre sa voluptueuse et confortable poitrine.

Rubis cligna 3 fois des yeux face à ce qui se passait avant de rougir doucement en regardant la tête de Jack, croissant son regard tandis qu’il lui souriait totalement détendu en lui demandant une autre aide pour frotter le devant aussi. Ce qui instinctivement fit que la demoiselle reporta son regard sur le reste du corps du voyageur galactique avant de rougir un peu plus en zieutant ce corps terriblement musclé et bien fait tout en tombant sur le bas de son ventre et ses jambes avant de remonter très vite son regard vers son visage pour le regarder en déglutissant doucement en se pinçant les lèvres, un peu gênée mais pas indifférente.

Et avant qu’elle ne puisse répondre, elle sentit le grand brun installé entre ses cuisses saisir l’éponge gant entre ses doigts pour lui ôter tandis qu’il précisait qu’il voulait qu’elle s’occupe du devant avec les mains, ce qui n’aida pas à faire descendre le rouge des joues de la jolie albinos qui avait le cœur qui battait un peu vite à cette demande particulière. Une seconde à peine passa, ne laissant toujours pas le temps à la demoiselle de répondre avant que le bel invité de notre petite hôte aux cheveux de neige lui fasse remarquer en souriant toujours que ses vêtements étaient trempées par sa faute et qu’elle devrait peut être se mettre à l’aise, l’invitant ensuite à le rejoindre dans le bain à présent.

À ses mots accompagnés de cette invitation, Rubis regarda Jack en statuant au même niveau de rouge sur ses joues avant de déglutir une seconde fois doucement car elle n’était pas indifférente face à son invité. Puis timidement elle hocha doucement la tête en venant caresser son visage d’une de ses mains avant de passer ses petites mains autour d’elle pour tirer son débardeur en coton et dentelle noire bien trempé, dévoilant ainsi en rougissant toujours la peau de porcelaine de son torse nue ainsi que sa généreuse poitrine qui rebondissait sous l’effet du vêtement retiré.

La jolie demoiselle se retrouva en shorty à présent au bord de la baignoire tandis que ses jambes encerclais de chaque côté son séduisant invité et en essayant de doucement bouger une de ses jambes pour la ramener vers elle et retirer timidement sa petite cullote en coton et dentelle noir également tout comme son débardeur, Rubis manqua de tomber et glissa en avant en fermant les yeux ben par réflexe. Et par chance pour elle, les réflexes de Jack étaient bien aiguisé et il l’avait rattraper pour pas qu’elle ne se blesse, se retournant légèrement pour se retrouver à moitié torse tourné vers elle tout en la saisissant dans ses bras.

La jolie albinos rouvra ses yeux doucement avant de se rendre compte de la situation et de la position dans laquelle elle était : chaque jambe de chaque côté du mystérieux brun, son basin contre la moitié du sien et une moitié de son dos tout comme son torse à elle qui se retrouva coller à moitié contre une partie du sien bien musclé et mouillé, se retrouvant donc très proche ainsi et bien collé alors qu’elle avait instinctivement jetait ses bras en avant et se retrouva les mains plaqué contre les épaules de son invité.

Timidement, les joues toujours un peu rouge, elle cligna plusieurs fois des yeux en baisant doucement la tête mais sans quitter son regard avant d’enfin émettre un son.

« Je… Désolée j’ai glissé en voulant enlever… Mon… Shorty… Désolée …  »

S’excusa t-elle avant de rajouter d’une petite voix en relavant la tête, ne quittant pas ses yeux.

« Je… Je ne t’ai pas fais mal en glissant ? »

Demanda t-elle un peu inquiète avant de sentir les doigts des mains de Jack se resserraient autour de sa taille, la faisant doucement frisonner avant de serrer doucement ses doigts sur ses épaules du musclées sur lesquelles elle avait posée ses mains en se rattrapant.

« Je… Heu… Tu veux toujours que je m’occupe de te… De m’occuper de ton torse ? »

Demanda t-elle timidement en se pinçant les lèvres en le regardant, un peu gênée de la situation mais pas indifférente du tout face au voyageur galactique avec lequel elle était entrain de partager un bain, avec toujours son shorty sur le dos qui allait sûrement pas passer les minutes qui suivent à rester si l’invité de la demoiselle lui donne un coup de main pour être plus à l’aise pour mieux s’occuper de son bain et l’aide qu’elle peut lui apporter.

Après avoir invité Rubis à le rejoindre dans le bain lui-même, prétextant qu’elle était maintenant mouillée, ce qui n’était que de sa faute, Jack soutint le regard de l’albinos avec intensité. Il vit bien la gêne l’inonder, le rouge grimper de sa poitrine à ses joues dans un coup de chaleur brutal et éprouvant, mais il voyait aussi très bien à ses yeux que la surprise n’était pas désagréable, que la timidité s’en mêlait plus que toute autre chose, et qu’elle était somme toute tentée, très tentée de le rejoindre.

Elle ne dit pas oui, mais elle hocha la tête explicitement et finit par se mettre en action. Jack se redressa légèrement, retirant sa tête de son ventre et du galbe douillet de sa poitrine pour ne pas l’encombrer, mais il garda son regard tourné vers elle. Il ne la voyait guère, mais il en voyait bien assez. Les jolis seins ronds de la Terrienne retombèrent après avoir été emportés par les frottements du haut de coton, légèrement stimulés par celui-ci, et il se sentit palpiter, son corps viril réagir instinctivement à cette préparation très claire à un rapprochement charnel des plus complets.

Il se tourna légèrement pour la regarder lorsqu’elle commença à déplacer sa jambe, devinant qu’elle allait la passer derrière lui ou au-dessus de sa tête pour les joindre et se débarrasser de ce bas devenu trop encombrant pour ses désirs partagés de contact peau-à-peau. Peut-être la déséquilibra-t-il lui-même ? Il l’ignorait. Il sentait néanmoins que la manœuvre n’était pas sûre. La sorte de céramique constituant la cuve du bain était trop lisse, glissante, et le danger ne manqua pas de les rattraper.

Il la vit perdre l’équilibre et réagit en une seconde. Il pivota en faisant attention de ne pas la frapper et la faire partir en arrière. Un bras se leva et passa dans son dos pour l’en empêcher. Elle partit en avant et l’autre bras voulut la rattraper, mais ses fesses glissèrent finalement en premier, la faisant choir d’un coup contre lui. Ses cuisses se fermèrent sur lui en même temps que ses paupières et elle faillit le gifler en agitant les mains de peur, mais tout se passa bien. Il se recula légèrement, évita le pire, et attendit qu’elle rouvre les yeux.

Immédiatement, elle chercha à s’excuser et à vérifier qu’elle ne lui avait pas fait mal. Il fit les yeux ronds avec amusement et secoua la tête sans un mot. Bien sûr qu’elle ne lui avait pas fait mal !

« Et toi ? Tu vas bien ? »

Il chercha à la rassurer tout autant qu’à la ramener à ses dispositions en passant ses mains sur elle. Un bras glissa dans son dos et enlaça sa taille, sa grande main se posant sur son flanc, pendant que l’autre glissait sur son tibia et le remontait pour épouser l’angle de son genou et caresser sa cuisse ferme tendrement. Elle lui demanda s’il voulait encore être nettoyé, mais son regard, son corps et sa question elle-même en disaient long sur ses intentions. Elle voulait qu’ils oublient ça et passent à autre chose, mais elle n’oserait pas le réclamer. Il devait faire le premier pas, et ça lui allait très bien.

« Maintenant que tu es bien calée contre moi, passe donc cette jambe ! »

Il glissa la main qui tenait son flanc dans son dos et caressa son autre cuisse, se tordit et plia son bras vers l’arrière pour soulever son mollet et l’encourager à tendre la jambe et à la lever. Il l’accompagna, bougea pour lui faciliter la tâche, et la jambe passa au-dessus de lui, et vint retomber doucement de l’autre côté. Il ne lâcha pas son regard entretemps. Sa langue glissa plus d’une fois sur ses lèvres pincées qu’il ne pouvait s’empêcher de mordiller.

Entre ses jambes, sa raideur était presque achevée et taquinait les mollets de la belle. Lorsqu’il ramena sa main dans son dos et la souleva pour l’emporter avec lui et l’asseoir sur sa cuisse pendant qu’il se remettait assis confortablement, elle ne put confondre la masse chaude se pressant entre les galbes de ses cuisses. Mais il ne la laissa pas vérifier, la tenant toujours de ce bras dans son dos pendant que son autre main grimpant à sa poitrine et se saisissait d’un de ses seins pour le palper, et caresser son mamelon dur du pouce en le faisant rouler sous son gras.

Lorsqu’il en eut érigé le téton timide, il porta sa main à son menton, leva son visage vers le sien et se pencha sur elle, joignant leurs lèvres et entrouvrant les siennes pour l’encourager à faire de même, passant le bout de sa langue entre elles pour qu’elle vienne danser avec et scelle le départ d’une soirée bien plus complexe et délicieuse qu’elle l’aurait cru de prime abord.

Quand la demoiselle rouvra ses jolies mirettes après sa chute malheureuse ou heureuse pour l’invité même s’il manqua de peu de se prendre une gifle le pauvre homme, elle s’enquérit tout de suite de savoir comment il allait, voulant savoir si elle lui avait fait du mal en tombant tout en se rattrapant à lui. Le voyant la regarder avec des yeux rond mais amusé en secouant la tête à la négative à sa questionnette, la jolie albinos esquissa un sourire rassurée en voyant les réactions du mystérieux brun, soulagée de ne pas lui avoir fait de mal dans sa chute.

Puis quand elle entendit la réponse verbale de son invité qui se souciait d’elle en voulant savoir si elle allait bien, le jolie hôtesse se mit doucement à rougir un peu plus avant d’esquisser un tendre sourire touchée par ses mots et son inquiétude, hochant doucement la tête en le regardant avec tendresse en lui répondant d’une voix tout aussi tendre et émue par sa sollicitude.

« Oui je vais bien merci… Plus de peur que de mal comme on dit ! »

Répondit-elle en terminant ses quelques mots en souriant amusée avant de rire doucement malgré la timidité dû à la situation. Puis la demoiselle rougissa un peu plus tout en frissonnant en sentant une des mains de Jack dans son dos tandis que l’autre caressait sa jambe tout le long remontant de son tibias à sa cuisse, lui faisant avoir une légère chaire de poule qui n’était pas si déplaisante bien au contraire, qu’elle s’en pinça doucement les lèvres en le regardant.

Et quand Rubis entendit son bel invité lui demander de lui donner sa jambe maintenant qu’elle était bien installé, elle cligna un peu des yeux et n’eut pas le temps de réagir ou répondre même que celui-ci entreprit de lui attraper la jambe avec délicatesse pour la ramener vers lui, amenant ses deux jambes ensembles afin de l’asseoir sur lui sur l’une de ses cuisses tandis que la demoiselle ne bougea pas et se laissa faire comme une gentille donzelle tout le long de la manœuvre tout en gardant ses mains de porcelaine sur ses épaules musclées, les serrant un peu avec ses petits doigts délicats sous l’effet de la manœuvre et aussi de l’effet qu’il lui faisait, réagissant donc instinctivement avec ses petites mains qui serraient tendrement les épaules bien batties du voyageur galactique qu’elle ne quitta pas des yeux un seul instant, le rouge toujours présent aux joues mais qui diminua doucement au fur à mesure.

Mais la suite fit monter la température de plusieurs crans d’un coup pour la jolie albinos et le mystérieux brun, qui pour la défense du monsieur avait entreprit de masser de sa main qui caressait la jambe de la demoiselle de passer à un de ses seins, jouant avec un de ses tétons du bout de ses doigts, faisant ainsi gémir doucement la jeune femme qui s’en pinça les lèvres de nouveau en le regardant, essayant de faire taire ses petits gémissements alors que tout son corps se trouva envahie d’une frisson des plus agréables. Et quand l’homme extraterrestre attrapa le menton de la jolie mignonnette tout en penchant son visage vers le sien, faisant doucement trembler les yeux écarlates de cette dernière qui pouvait sentir son cœur s’emballait par son geste et son regard qui suivit d’un tendre baiser auquel la demoiselle répondit en entrouvrant également avec douceur ses lèvres rosées et frisonna doucement en sentant la langue de son invité s’invitait justement entre ses lèvres pour caresser la sienne.

À ce geste, Rubis ferma doucement les yeux et répondit à son baiser en caressant avec tendresse la langue de Jack, l’embrassant en gémissant doucement tandis qu’une de ses mains quitta son épaule pour venir caresser ses cheveux avec tendresse et l’autre descendit de ses épaules pour venir toucher avec sensualité le cou de son séduisant invité avant de venir caresser avec tendresse son torse du bout de ses doigts, se collant davantage à lui tandis que le rouge quitta doucement ses joues et qu’elle se débrida un peu plus dans ce bain de minuit qui annonçait une délicieuse soirée en perpective qu’aucun des deux n’avaient vu venir mais qu’ils acceptaient volontiers avec joie, ayant besoin tout deux de tendresse et douceur dans ce monde de brutes aujourd’hui et particulièrement ce soir.

Jack sentit l’hésitation, l’appréhension, la timidité fondre maintenant que leur contact s’était rapproché et que les choses s’engageaient avec plus de légèreté dans la direction d’une soirée des plus délicieuses en leur compagnie mutuelle. L’albinos avait abandonné progressivement sa retenue. Les caresses avaient été un facteur indéniable, mais le baiser avait presque été un déclencheur, le témoignage d’affection et de désir agissant comme un signal, une réassurance dans l’idée que sa personne était désirée, mais aussi respectée et aimée. Et si son visiteur impromptu se montrait bien cavalier avec elle, il n’était pas faux en la matière : volage et libéré depuis la perte de sa Lina, il s’attachait pourtant vite, et Rubis l’avait marqué, suscitant tant son désir que sa sincère affection.

Le baiser, doux et tendre, ne fut qu’une introduction à leur plaisir à venir. Déjà, gémissante, la belle Terrienne laissait progressivement libre cours à ses instincts nubiles, osant amener une main à ses cheveux, puis à son torse, afin de se délecter librement des reliefs musculeux qu’elle avait admiré et appréhendé jusque là, se contentant d’un dos dont la robustesse ne faisait office que d’amuse-bouche. L’alien éprouva leurs baisers, poussa à une langueur accrue, la douceur et la tendresse restant pour évoluer pas à pas vers un contact plus gourmand, plus viscéral. S’il devait passer une nuit sur Terre, et s’il devait la passer avec elle, il ne ferait pas preuve de retenue polie et explorerait les envies et les délices de la belle aux cheveux blancs jusqu’à satiété.

Son menton relâché une fois le baiser bien engagé, il revint à sa poitrine lentement, passant dans son cou, faisant un détour par son épaule, le creux de son aisselle et son flanc, remontant le long de son ventre pour glisser ses doigts entre ses seins généreux et reprendre pour un temps ces caresses qui l’avaient stimulée si promptement. Et puis, bien vite mais sans presser les appels de leurs corps de plus en plus réceptifs et volubiles, il interrompit l’union de leurs lèvres avides pour la regarder droit dans les yeux, sans cesser ses caresses et son plaisir. Il n’y eut pas besoin de mots, la main dans son dos descendant à sa cuisse suffisant à la lui faire lever, la douce albinos se dressant brièvement le temps de repasser sa jambe autour de lui tandis qu’il saisissait sa taille fine et la portait au devant de son corps.

Elle atterrit entre ses jambes dans une position de tailleur relâché, ses reins bien posés contre ses mollets, ses jambes de part et d’autre de lui. Leurs regards ne se séparaient pas, mais ils avaient bien conscience de l’existence de ces sexes découverts entre eux, l’un dressé dans une raideur conquérante, l’autre ouvert à la moite exploration de ses profondeurs. Les larges mains de l’homme glissèrent sur le torse de la belle, caressant ses épaules et ses seins rebondis avant de se porter à ses flancs, et de l’attirer à lui encore. Les corps se joignirent, la pression du désir masculin faisant corps contre leurs bas-ventres tandis qu’ils se retrouvaient pour un autre baiser. Doucement, sans un mot mais avec intention, Jack invitait Rubis de ses mains à balancer son bassin lentement, initiant un frottement chaste mais terriblement coquin entre la hampe chaude et la vulve humide.

Rubis se mit à frissonner doucement en sentant Jack caressait son corps avant de revenir de nouveau cajoler sa poitrine, faisant gémir davantage la demoiselle dont les gémissement étaient légèrement étouffés par leur baiser qui devint plus passionnel petit à petit. Tandis qu’elle avait les yeux fermés durant quelques instants, la jolie albinos rouvra ses belles mirettes pour regarder le mystérieux brun qu’elle embrassait tout en caressant avec douceur ses cheveux et son torse musclé, tandis que ce dernier interrompit l’union de leurs lèvres durant quelques instants en la regardant intensément, la faisant doucement rougir sous le poids de son doux regard désireux.

Puis la demoiselle frissonna de nouveau, ayant une légère chaire de poule des plus agréables en sentant une des mains du voyageur galactique caressait son dos, se dirigeant ensuite vers sa cuisse pour venir lever doucement sa jambe, faisant réagir la Mignonnette aux cheveux de neige qui se leva instinctivement pour se laisser installer contre lui.

Alors que son séduisant invité la tenait par la taille tandis qu’elle déplaçait sa jambe pour passer autour de lui chacune de ses jolies gambettes de nouveau, l’intimité de la jolie hôtesse se retrouva face à celle de l’extraterrestre à cause de la position en tailleur qu’il avait, permettant ainsi de faire les présentations avant que leurs deux intimités se mettent à danser ensemble en cette délicieuse soirée.

Rubis frissonna de nouveau en ayant les yeux qui se plissèrent très légèrement en sentant les mains de Jack caressait son corps de nouveau, ne le quittant pas des yeux en gémissant doucement à cause de ses mains qui vint ensuite l’amener contre lui pour l’embrasser de nouveau, tandis que leurs deux corps se retrouvèrent collés l’un contre l’autre, faisant gémir de nouveau la jolie demoiselle quand elle sentit l’ensemble de la virilité bien dressée de désir de son bel invité contre sa fleur chaude et humide de désir également à son égard.

Et quand le basin de la jolie albinos fut guidé par une douce invitation à se balancer doucement contre celui du séduisant brun, la mignonne terrienne aux yeux écarlates gémissa de nouveau en sentant les premières salutations physiques de leurs deux intimités, venant agripper avec plus de passion les cheveux bruns mais aussi le torse musclé de l’homme extraterrestre avec qui la demoiselle partageait un bain des plus coquins.

À ce contact, Rubis ondula doucement son corps contre celui de Jack, venant frôler et caresser son bas-ventre contre le sien, faisant ainsi de nouveau se toucher sa jolie fleur contre la belle lance bien rigide du voyageur galactique. Gémissante de nouveau à ce délicieux contact sous leur baiser, la mignonne demoiselle ondula de nouveau, faisant ainsi se frotter moins timidement leurs deux intimités l’une contre l’autre, pouvant sentir le bout de la lance du mystérieux bellâtre se faufiler entre ses pétales chaudes et accueillantes, permettant ainsi de le titiller un peu plus et l’inviter à commencer de danser doucement avec elle, permettant ainsi d’entamer une danse gourmande et torride à venir en perpective pour eux deux.

Les hésitations de Rubis s’éclipsèrent totalement. Elle s’exécutait avec assurance, suivait ses commandes silencieuses avec un allant qu’on aurait pu qualifier d’enthousiasme, et le rouge de la gêne avait définitivement laissé la place à un rosé charmé, son regard cessant de le fuir pour laisser ses yeux exprimer enfin l’entière gravité de ses sensations. La voir ainsi ciller de plaisir, l’entendre gémir contre ses lèvres achevèrent de l’exciter pour de bon, comme un signal instinctif donné de la part féminine, nubile et demandeuse de l’albinos, à cette part masculine, virile et volontaire de son visiteur d’outre-monde.

Ses balancements avaient initié un frottis parfaitement volontaire et intentionnel de sa part entre leurs deux sexes apprêtés et sensibles. Leurs lèvres s’étaient séparées afin qu’elle puisse trouver sa posture et son souffle, lui faire profiter de ses gémissements tendres et séducteurs, tandis qu’elle s’agrippait à lui, le touchait maintenant sans hésiter ni cacher son plaisir et son appréciation. Il l’encourageait, l’aidait à s’élever, à redescendre en douceur, mais il la suivait désormais, la laissant agir comme elle l’entendait, la belle sachant bien mieux que lui comment elle serait capable d’épouser au mieux l’épaisse longueur de sa hampe de ses lèvres humides.

Leurs regards se croisèrent et le brun caressa doucement son menton avant d’en glisser le bout entre ses lèvres entrouvertes. Il la laissa le mordiller et le suçoter, leurs regards fixés l’un dans l’autre, l’intensité de leur plaisir partagé se transmettant et s’amplifiant par écho. Et il passa l’autre bras sur le côté, s’appuyant sur le bord de la baignoire et y prenant appui pour entamer ses propres mouvements, ondulant son bassin au rythme de celui de son hôtesse, dans un geste miroir qui allongeait leurs caresses charnelles et intensifiait leurs frottements soudain encore moins innocents. Lorsqu’il entra dans la danse, toute prétention possible au jeu coquin était abandonnée, et leur danse entrait dans une phase bien plus langoureuse et sensuelle.

Il laissa sa bouche pour redescendre, ne se privant pas de gratifier sa poitrine de palpations gourmandes avant de glisser dans son dos, et de l’attirer à lui le plus possible, leurs frottements devenant plus intenses encore. Un bruit humide qui ne venait pas du fond d’eau prisonnier de la baignoire commença à se faire entendre et les gémissements de Rubis s’accompagnèrent des râles rauques de Jack. Une vague de chaleur s’emparait de lui et engourdissait son esprit, sa tête s’alourdissant dans un doux vertige avant qu’un frisson descende son échine pour exploser dans ses reins, se répandant à son aine et à son sexe, le faisant pulser de désir et d’une envie irrépressible.

Ses deux mains, cette fois, se portèrent aux reins de la belle aux yeux rouges. Il se redressa pour l’embrasser en descendant sur ses fesses rondes et fermes, les épousant de ses paumes en venant les soupeser, puis les redresser, les écarter légèrement et finalement la soulever elle-même, l’invitant à l’aider si elle le voulait, ou à se laisser faire si elle préférait être la demoiselle ingénue à la merci des appétits viscéraux de son mâle impérieux. Il l’éleva au-dessus de son nombril et son manche pressa son bouton d’amour jusqu’à lui échapper, la verge se déployant sous elle d’une tension résolue avant qu’il ne la laisse redescendre doucement, son gland trouvant sans aucun mal le creux de son vagin mouillé et y pressant doucement avant qu’elle ne se glisse autour de lui sous l’effet de la gravité. Jack grogna de plaisir et monta une main à ses cheveux, les saisissant à l’arrière de son crâne avec intensité en la fixant avec un appétit vorace tandis qu’il la laissait tomber et se planter sur lui dans un spectacle d’une volupté tantrique fascinante.

Quand Rubis sentit Jack se mouvoir lui aussi en répondant aux douces ondulations de son corps de porcelaine, ondulant lui aussi contre elle, permettant ainsi à leurs deux corps de se caressaient tendrement, elle caressa un peu plus intensément sa chevelure tandis que sa main continuait de toucher tendrement l’ensemble de son torse, avant de venir reposer la main qui s’occupait de caresser celui-ci sur son épaule tandis que ses lèvres quitta quelques instants les siennes dans une douce complainte à cause de l’arrêt de leur baiser si délicieux.

Puis la jolie demoiselle se mit à gémir doucement de nouveau en sentant les mains du mystérieux brun caressait son joli petit corps de petite déesse des neiges, frissonnant ensuite en sentant ses lèvres s’occupait de sa voluptueuse poitrine laiteuse qui pointait davantage de désir à son contact, la faisant gémir bien fort quand il joua à la palper de ses lèvres et sa langue, faisant instinctivement cambrer le dos de l’albinos contre le bas-ventre du brun venu d’ailleurs, permettant à leurs intimités de se toucher encore plus et les stimuler davantage par ce contact délicieux qui leur envoya à tout deux un bon coup de courant dans tout leurs corps, les informant ainsi du départ imminent de la danse qu’ils allaient partageaient incessamment sous peu.

Et quand la mignonne hôtesse sentit les mains de son bel invité se posaient de nouveau sur ses reins en reprenant leur passionnel baiser, faisant gémir de nouveau la belle demoiselle à la reprise de ce délicieux contact, elle gémissa de nouveau et bien plus fort en sentant les mains du voyageur galactique venir s’installaient sur ses fesses bien rebondies avec lesquelles ils jouaient entre ses mains, ce qui ne déplaisait pas à la demoiselle qui vint agripper avec plus de passion les cheveux brun de l’extraterrestre qu’elle attrapa entre ses doigts délicats, venant ensuite faire de long et doux vas et viens de sa main dans sa chevelure galactique tandis que leurs deux corps s’apprêtaient à passer à l’étape supérieure dans ce rafraîchissant et torride bain de minuit.

Ensuite, Jack comme tout bon guide charmeur qui se respecte, vint aider Rubis à se soulever pour que sa douce et humide fleur puisse plus facilement rencontrer son puissant membre prêt à compter fleurette à la belle intimité de la demoiselle en cette soirée.

En parfaite confiance avec le séduisant brun, la mignonne albinos le laissa la placer comme il faut avant de reprendre la relève en venant faire glisser sa main de ses cheveux à son visage qu’elle vint caressait avec tendresse en regardant tendrement ses merveilleux yeux bleus océans dans lesquels elle se laissa noyer quelques secondes en l’embrassant avec passion. Puis toujours en ne le quittant pas des yeux, profitant de ses beaux yeux bleus apaisants, la jolie demoiselle se laissa glisser sur la belle arme bien aiguisée de son invité qui écarta sans encombre les pétales bien humides de sa fleur qui l’accueillait à bras ouvert si l’on peut dire.

Tandis que Rubis se laissa tomber doucement sur le membre bien dur de Jack qui glissa en elle avec une facilité déconcertante, gémissante et soupirante de plaisir au rythme des grognements de son bel invité qui vint à son tour saisir sa chevelure, elle ondula doucement son basin pendant qu’elle se laissa tomber avec grâce et lenteur le long de la rampe du mystérieux brun afin de lui procurer quelques sensations durant cette délicieuse descente qui allait leur permettre de pouvoir se mettre à danser ensemble dans quelques instants.

Et une fois que la jolie albinos fut parfaitement connecté avec le voyageur galactique, lâchant un petit cri d’extase en terminant dans un atterrissage légèrement bruyant et gourmand terminant dans un claquement érotique entre leurs deux bas-ventre enfin bien collés l’un à l’autre, Rubis caressa avec tendresse le visage de Jack et ferma les yeux quelques instants en l’embrassant langoureusement tandis qu’elle commençait à onduler de tout son petit corps contre le sien avec envie, permettant ainsi  à leurs deux intimités d’enfin se caressaient alors que leurs ventres et leurs torses se frôlaient dans de délicieuses caresses douces qui signalait le top départ de leur danse de ce soir.