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Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

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Marguerite Clairbois

Humain(e)

Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

vendredi 01 mars 2024, 23:11:06

Sur le sentier sinueux, Marguerite avance d'un pas léger, laissant ses yeux se perdre dans la beauté de la nature qui l'entoure. La robe de laine de la jeune fille la protège de la fraicheur de cette matinée printanière. Son corset, délicieusement ajusté, met en valeur ses formes généreuses. Les rayons du soleil filtrent à travers les arbres, illuminant sa chevelure châtain et faisant briller ses grands yeux expressifs. Soudain, un objet inhabituel attire son regard : un coffre abandonné dans un fossé, semblant juste attendre qu'elle le découvre.

Marguerite s'arrête, observe la malle renversée et semble hésiter. Une lueur de curiosité mêlée à une pointe de culpabilité l'envahit. Elle meurt d'envie d'aller fouiller dedans ... mais est-ce que ca n'appartiendrai pas à quelqu'un d'autre ? Ca pourrait être vu comme du vol, non ? Elle pourrait être punie par les dieux ! Ou attrapée par la milice et attachée à un pilori devant tout le monde ?!!
Pourtant ... l'image d'un petit ruban sur l'étal d'un colporteur du village lui revient en mémoire. Un petit accessoire mignon que la pauvre Marguerite n'a pas les moyens de s'offrir ...

Les mains moites, elle s'approche du coffre, luttant contre ses propres réserves morales. Mais l'appât du gain finit par l'emporter. Elle se penche, pose ses mains délicates sur le couvercle et ignorant les avertissements silencieux de son instinct, essaye d'ouvrir le précieux contenant.

Et soudain, sans qu'elle n'ait le temps de réagir GNAP !

Le couvercle s'était ouvert sur une gueule béante et vient de se refermer sur le corps de la pauvre paysanne, la faisant basculer en avant et gobant la moitié supérieure de son corps.

Un hurlement étouffé s'échappe des lèvres de la pauvrette alors qu'elle se retrouve engloutie jusqu'à la taille. L'horreur la saisit alors qu'elle réalise ce qui vient de se produire. La substance gluante et visqueuse du mimique la recouvre et laisse sur sa peau une sensation écœurante. Ses jambes et ses fesses dépassent du coffre et s'agitent dans une danse désespérée. C'est bien en vain qu'elle tente de se libérer de l'emprise de la créature insidieuse.

- Au secours ! A l'aide !

Elle appelle à l'aide, dans l'espoir que quelqu'un entendra ses cris étouffés au milieu de cette forêt isolée. La panique la submerge, amplifiée par le dégoût de sa situation. Une personne passant par là à ce moment là aurait droit à une bien drôle de scène, celle d'une paire de jambes s'agitant en l'air alors que déjà une langue rose et gluante commencait à s'enrouler autour d'une cuisse et remonter le pan d'un jupon, laissant entrevoir les rondeurs secrètes de la jeune fille.



« Modifié: lundi 04 mars 2024, 18:21:10 par Marguerite Clairbois »

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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 1 samedi 02 mars 2024, 01:39:05

(PoV : Fang)

Jusqu’à maintenant, la journée se déroulait assez mal.
A peine levée ce matin, j’ai appris une nouvelle : un type du clan s’est fait la malle. Bon c’est pas le premier à nous quitter, mais ce con s’est dit qu’en plus de faire ça ‘discrètement’, il allait en profiter et se tailler avec une partie de notre blé. Autant dire qu’on a pas trop apprécié, et qu’on a rapidement débuté la chasse à l’homme !

A la lisière de la forêt, j’essuie ma lame sur les vêtements du gars en question sans plus de cérémonie. Il a tenté de se justifier, mais j’ai décidé de ‘couper’ court à la conversation. J’ai clairement d’autres chats à fouetter ! Je récupère la bourse pleine de pierres précieuses qu’il nous a pris et repart, me disant qu’au moins je n’ai perdu qu’une partie de la matinée à courir après ce naze. Il n’aura même pas été foutu de fuir correctement ! Bon débarras.

Ce n’est qu’après quelques minutes de marche que j’entends un truc. Enfin un truc… une voix féminine. Un appel à l’aide ? Ça y ressemblait. Je m’arrête, réfléchissant aux options qui s’offrent à moi… l’ignorer et continuer ma route, ou aller voir et peut-être m’amuser un peu… c’est un coin paumé ici, on ne peut pas dire qu’elle a du bol de se retrouver dans une sale situation dans le coin.

« … »

Bon allez, je peux toujours aller voir de quoi il retourne. J’essuie une tache de sang que j’ai sur la joue d’un revers de ma manche tandis que je me dirige vers la source du cri. Au moins avec la tenue que je porte je me déplace sans trop de difficulté peu importe le terrain, c’est l’avantage de cette tunique légère. Il ne me faut pas bien longtemps pour trouver… une fille coincée dans un coffre ? Quel drôle de spectacle.

J’avance encore un peu, observant le fossé où la scène se déroule, avant de mieux comprendre de quoi il s’agit. Un mimic ! On ne voit pas ça tous les jours tiens. Et visiblement lui ne voit pas de la chaire fraîche tous les jours non plus, sa longue langue profitant des cuisses de sa victime… oh, jolie ! La jupe de la jeune femme est remontée par la langue toujours plus envahissante, laissant apparaitre des fesses plus qu’appétissantes. Et la bave que la créature fait couler à profusion dessus rend tout ça encore plus excitant… je devrais peut-être profiter du spectacle tiens… ou encore mieux, y prendre part. Mais hors de question d’approcher de ce genre de créatures.

« Moué… »

Je continue d’observer la scène, m’imaginant la fille coincée là-dedans couverte de bave. Il parait que c’est un excellent lubrifiant, du moins selon certains. D’autres sont persuadés que c’est aussi un aphrodisiaque. Je ne sais pas s’il y a une part de vérité là-dedans, mais je vais vite en avoir le cœur net… voilà, l’angle est parfait. Maintenant que j’ai bien étudié la posture de la fille et changé d’angle, je sais par où attaquer… et vu le peu de profondeur, je n’attends pas et saute de là où je suis, lame pointée vers le bas, atterrissant sur la créature et la transperçant sur le coup. Elle pousse un long cri et recrache sa victime en essayant de s’ouvrir, mais se retrouve bloquée par ma lame que je tourne d’un coup sec.

Je regarde l’ex-victime tandis que le faux coffre continue de se vider de son semblant de sang. Dit donc, y’a pas que son cul qui donne envie ! Je retire ma lame de la créature et la replante aussi tôt à un autre endroit, et recommence mon manège plusieurs fois. Je ne m’arrête qu’une fois sûre que cette chose est morte, puis regarde à nouveau cette beauté.

« T’as de la chance que je sois passée par ici toi… il parait que ces bestioles bouffent leurs victimes après avoir joué avec. Ça aurait été un sacré gâchis… »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 2 samedi 02 mars 2024, 10:13:19

Marguerite se retrouve alors jetée, baignant au milieu d'une mixture écœurante de bave et de sang à côté du monstre désormais inerte qui l'avait engloutie. Elle frissonne, ses cheveux en désordre collent à son visage maculé. Ses vêtements autrefois proprets sont désormais imprégnés de cette substance visqueuse, s'agrippant à sa peau comme une seconde couche indésirable et révélant bien malgré elle les formes généreuses dont la nature l'a dotée. Elle se redresse péniblement à quatre pattes, un mélange d'incompréhension et d'écœurement sur le visage.

Ce n'est que lorsqu'un cliquètement métallique provenant de sa sauveuse qu'elle lève enfin le regard et découvre sa sauveuse. Point de chevalier blanc aujourd'hui mais une silhouette féminine, fière et impressionnante. Les muscles puissants de l'aventurière roulant sous sa tunique et sa lame ensanglantée font forte impression sur la fragile paysanne qui ignorait qu'il existait des femmes à qui on donnait le droit de tenir une épée.

Sa vision se brouille de larmes alors que toujours à genoux, elle s'exclame.

- Merci, merci infiniment d'être venue à mon secours !

Elle continue de trembler d'émotion la pauvrette. A moins que ce soit de froid. Ou peut-être est-ce l'effet étrange de chaleur qu'elle ressent malgré elle au contact des fluides écœurants et qui la font se sentir étrangement sensiblement sensible face à la caresse du vent ?  Quoi qu'il en soit, la paysanne ne peut s'empêcher de ressentir une profonde gratitude envers cette femme, si courageuse et intrépide. Ses yeux brillent d'admiration alors que la figure imposante de l'aventurière se penche vers elle. Elle sait qu'elle lui doit probablement la vie.

- Je ne sais pas ce que je pourrais faire pour jamais vous remercier.

La vérité c'est que la jeune paysanne ne possède rien, ou presque. Les quelques maigres économies qu'elle dissimule sous une latte du plancher de sa petite masure seront bien dérisoires comparées à la richesse manifeste de l'étrangère qui se paye le luxe de porter bottes, armes en métal et des accessoires si beaux.

Lentement Marguerite se relève et rajuste tant bien que mal ses vêtements souillés sur son corps bien involontairement dénudé. Echevelée, sa jolie tresse pend inerte sur le côté de son visage, dépouillé de l'ornement floral dont elle l'avait décoré. Elle est pied nus également. Elle a perdu ses sabots de bois en se débattant après avoir été happé. Ils gisent ci et là, à quelques mètres de la scène. Elle se sent vulnérable, exposée dans sa tenue souillée, mais en même temps, elle ne peut s'empêcher de ressentir une étrange sensation. Malgré sa situation précaire, malgré la honte qui la tenaille à l'idée d'être ainsi dévoilée dans un état si peu flatteur, Marguerite ne peut s'empêcher de trouver quelque chose de troublant dans cette scène.

« Modifié: lundi 04 mars 2024, 18:21:27 par Marguerite Clairbois »

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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 3 samedi 02 mars 2024, 11:15:17

Je continue d’observer cette fille, une paysanne sans doute, sans prêter plus attention que ça au mimic. Je me permets même de donner un coup de pied dans le cadavre du monstre, histoire de le renverser dans un tas de rochers, tandis que sa victime est toujours à genoux, en larme. Je lèverais surement les yeux au ciel devant un tel spectacle si celui du corps de cette fille ne m’intéressait pas autant. Dans l’état où ils sont, ses vêtements peinent à cacher sa lourde poitrine qui m’a l’air particulièrement bien… lubrifiée.

Je l’entends me remercier d’être venue à son secours, mais je la vois surtout trembler. C’est pas si étonnant après ce qu’il vient de se passer, à part s’il s’agit d’autre chose ? J’ai bien envie de vérifier, surtout qu’elle semble chercher un moyen de me remercier… et la voir se relever ne fait que me conforter dans cette envie : je la veux.

« Je vais vous prendre au mot et vous permettre de me remercier comme il se doit. »

Je plante mon épée dans le sol et m’avance vers elle en la détaillant du regard, un regard libidineux qui se pose sur ses courbes généreuses et ne cherche pas à être discret. Je lui souris, avant de subitement poser une main sur l’un de ses seins et le malaxer lentement. Si moelleux…

« Une théorie circule… comme quoi la bave de mimic serait aphrodisiaque. Couverte comme vous l’êtes, vous allez vite vous sentir mal si je vous laisse ici comme ça. Une chance pour vous que j'ai du temps devant moi... »

Ma prise se fait plus ferme, et je viens finalement glisser ma main sous le vêtement pour toucher directement sa chaire et venir titiller son téton. Mes yeux sont concentrés sur les siens, cherchant à lire sur son visage ce qu’elle ressent et si elle va se montrer docile ou non. Et de mon côté, je sens déjà l’excitation me gagner et mon membre gagner en volume…

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 4 samedi 02 mars 2024, 13:25:34

Aphrodisiaque ! Comme si la jeune paysanne pouvait connaître le sens de pareil mot bien trop savant. En revanche, elle comprend immédiatement ce qui se passe lorsque la femme s'avance vers elle avance une main vers ses rondeurs à peine cachées.

Une expression de choc et de surprise se lit sur son visage pendant un instant. C'est à peine si un murmure s'échappe de ses lèvres alors que déjà elle subit les caresses de la guerrière.

- Mais ... ? Vous êtes une femme ... ?

Elle n'a pas le temps de s'interroger davantage car un long frisson l'interrompt. Ses lèvres laissent s'échapper un gémissement dont l'origine ne laisse planer aucun doute, ils se sont manifestés à l'instant précis où les doigts de l'inconnue avaient commencé à toucher l'extrémité sensible de ses rondeurs dévoilées. La jeune paysanne ne cherche pas à échapper à l'étreinte dominatrice de la femme aux cheveux bleus mais on la sent aux abois. Elle se contorsionne, se dandine, soupire au moindre contacte.

Une crainte superticieuse se lit sur le visage de la jeune femme dont les joues rosies et le souffle court trahissent l'excitation qu'elle ressent bien malgrès elle.

- Êtes vous une fée ? Est-ce que vous m'avez envoûtée ?


Les légendes qui entourent le beau peuple abondent dans le pays ! Il parait qu'ils enlèvent les jeunes femmes imprudentes. Les histoires sur ce qu'elles subissent une fois enlevées dans les bois varient grandement, entre l'horrifiant, le sordide et le ... gentiment polisson. Contrarier une fée serait, dit-on, la pire des choses qu'on pourrait faire ...

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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 5 dimanche 03 mars 2024, 11:15:06

Je souris en voyant les premières réactions de la paysanne. Elle semble totalement perdue, tiraillée entre ses habitudes sexuelles et le désir qui monte en elle. Elle laisse même échapper ses premiers gémissements, me prouvant que la bave doit commencer à faire son effet. On dirait que je vais bien m’amuser.

« Tu vas me faire croire qu’aucune femme ne t’a jamais touchée ? »

Si c’est une première, elle ne va pas être déçue… surtout lorsque j’irais lui glisser mon pénis sous le nez, ou ailleurs. Mais d’abord je profite de son état pour tourner autour d’elle et me glisser dans son dos, avant de tirer sa tunique vers le bas d’un coup sec et révéler ses deux appétissants seins. Et, sans plus attendre, je les agrippe pour jouer avec… vu sa réaction lorsque j’ai titillé son téton il y a quelques secondes de ça, je suppose que la température va grimper en flèche chez cette beauté.

Je commence à approcher mon visage de son cou lorsqu’elle vient me poser une question surprenante. Une fée ? Un envoutement ? Je ris à la question. Je devrais sans doute éviter de lui dire que je suis une semi-démone, à part si j’ai envie de la voir paniquer et devoir lui courir après. Je viens tout de même murmurer à son oreille, tout en pressant ses seins l’un contre l’autre :

« Perdue ! Et je ne t’ai même pas envoutée. C’est la bave de cette créature qui te met dans tous tes états… ou juste ton envie de moi, va savoir. »

Et maintenant que c’est dit, je viens lui mordiller l’oreille tout en pinçant ses tétons. Je me montre clairement plus douce qu’à l’accoutumée, prenant un certain plaisir à faire monter lentement la pression chez cette pauvre fille. D’ailleurs je me dis que je peux sans doute lui poser quelques questions embarrassantes, voir comment elle y réagit…

« J’espère que je ne suis pas intervenue trop tôt…la langue de cette créature avait l’air de vouloir se glisser en toi tu sais. Mais peut-être que tu aurais aimé ça ? »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 6 dimanche 03 mars 2024, 12:17:17

Le visage de Marguerite est couleur pivoine. Et pourtant elle ne bouge pas quand l'inconnue la dénude jusqu'à la taille et prend possession de son corps avec autorité et assurance. Elle gémit et avoue avec honte.

- Si ...

Oui Marguerite a déjà profité d'ablutions dans la rivière pour perdre quelques caresses avec certaines camarades de son âge. Ce n'était pas grand chose. Des baisers volés. Des caresses joueuses. Des jeux presque innocents de jeunes filles qui s'exploraient. Ils ne sont pas allés bien loin.  Qu'une femme éprouve et manifeste spontanément du désir pour elle reste une nouveauté. La paysanne aurait elle cédé aux avances d'une femme en temps normal, si elle n'avait pas été enduite au préalable de cette substance qui lui fait perdre la tête ... ? On ne le saura sans doutes jamais car dans le cas présent, excitée comme elle était maintenant, jamais elle ne serait en mesure de dire "non".

La situation est si embarrassante ... et à la fois si délicieuse pour elle ! Son corps est sur des charbons ardents. Sentir les mains étrangères sur elle et le souffle chaud de la femme sur son cou lui fait littéralement perdre la tête. Elle lève une main et vient la poser sur la nuque de l'inconnue, soupirant d'aise alors qu'elle offre son corps avec impudeur. Travaillée par un feu intérieur qui gagne peu à peu en intensité, la paysanne s'arque boute, se dandine et presse ses fesses joliment rebondies contre les hanches de la femme qui la ceinture. Elle ne se doute pas un seul instant que la raideur contre laquelle elle s'appuie est celle d'un organe bien masculin et non une boucle de ceinture ou on ne sait quel accessoire.

Les murmures de l'étrangère la troublent. C'est la bave la responsable de tout ce qui arrive ... ?

- Non ce n'est pas  ... je ...

Marguerite devrait protester alors, si ce n'est pas elle la responsable de cette excitation ! Elle ne devrait pas la femme profiter d'elle. Dire non à cette envie irrépressible. Et pourtant le début de sa phrase meurt entre ses lèvres. Ce n'est même plus la simple gratitude qui la font accepter de livrer son corps, mais bel et bien l'envie pressante et immédiate de luxure. Elle se sent glorieusement sale à cet instant, prête à toutes les inepties qui la feraient rougir de honte en temps normal.

L'ultime suggestion perverse glissée à son oreille aurait du couvrir la jeune fille de honte. Oser imaginer la langue de cette créature s'insinuer en elle auraient du la faire bondir d'horreur et emettre les protestations les plus véhémentes. Et pourtant c'est une autre image qui s'impose à son esprit enfiévré alors que la femme murmure ces mots provocateurs. Elle finit par lâcher dans un souffle alors qu'une de ses mains se referme sur celle de la femme, l'incitant à garder une prise ferme sur son sein.

- Non c'est la vôtre que je veux sentir.



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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 7 lundi 04 mars 2024, 01:25:36

Un sourire se dessine sur mon visage en l’entendant. Ses deux gros seins toujours bien calés dans mes mains, je la vois de plus en plus se laisser aller et baisser sa garde : elle vient de franchir la première étape en m’avouant avoir déjà eu des relations avec d’autres femmes. Une autre question aurait été de savoir jusqu’où… mais on va garder ça pour plus tard, j’aime jouer avec elle – et pas qu’avec son corps.

« Alors pourquoi t’en offusquer ? Profite donc de l’instant comme je le fais. »

Et c’est ce qu’elle finit par faire en commençant à se mouvoir contre moi. Je la sens même venir caler ses fesses contre moi, et plus précisément mon pénis qui a déjà bien du mal à tenir en place à la simple idée de ce que j’ai envie de lui faire. Soit l’effet de la bave est très puissant, soit elle a certaines prédispositions à la luxure… et si c’est le cas, elle cache bien son jeu derrière son visage d’ange.

Elle murmure un léger ‘non’, sans lui donner suite, et finit par agripper l’une de mes mains pour m’encourager à continuer. Si seulement toutes celles sur qui je jetais mon dévolu était aussi arrangeante… ça me faciliterait grandement la vie, même si parfois un peu de résistance est amusant. Et maintenant que j’en rajoute une couche en parlant de la langue de l’immonde créature, l’une de ses dernières barrières tombe : elle me dit sans détour qu’elle préfère ma langue !

« Dans ce cas, tu l’auras… et je t’offrirais autre chose également… »

Je donne un petit coup de hanche contre ses fesses pour lui faire comprendre de quoi je parle. Les lèvres toujours proches de son oreille, je murmure à nouveau.

« Je veux également sentir ta langue et tes lèvres dessus… »

Je donne un coup de langue sur son cou, avant de presser sa poitrine de mes mains.

« … puis sentir tes seins frotter contre… »

L’une de mes mains lâche son sein et vient directement se glisser entre ses cuisses, cherchant à se glisser sous ses vêtements.

« … puis je te prendrais. »

Je la relâche soudainement et fait un pas en arrière, commençant à me dévêtir devant elle. Je suis bien moins pudique qu’elle, continuant de la fixer comme si de rien n’était.

« Montre moi où tu veux que je glisse ma langue. »

La phrase sonne comme un ordre, et ça en est un. Elle qui se montre si docile, je suis persuadée que ça doit un minimum lui plaire de se faire diriger ainsi.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 8 lundi 04 mars 2024, 14:27:19

Les paroles susurrées à l'oreille de Marguerite la font frissonner. L'étrangère l'invite à se laisser aller, elle l'encourage à profiter de l'instant. C'est bien plus qu'il n'en fallait à la jeune paysanne pour s'enflammer. Une fois la surprise de se faire aborder par une femme passée, la gratitude et l'excitation font le reste . Et peut être aussi un tout petit rien de perversité dans sa nature aussi ...

Alors que son attitude change, qu'elle se meut, se frotte contre l'inconnue avec une lubricité qu'elle ne cherche plus à cacher, Marguerite entends les promesses de la femme. "Je t'offrirais autre chose" dit elle. Elle évoque "quelque chose" qu'elle a à lui offrir et naturellement, la paysanne qui n'a jamais entendu parler de telles choses ne comprend pas de quoi elle parle.  Elle offre son corps aux caresses de sa sauveuse, laisse la main invasive s'infiltrer sous son jupon. Elle sent le frôlement des doigts contre la fine toison qui surplombe la fente plus que jamais accueillante. Ce toucher furtif suffit à faire se tordre et gémir la jeune femme qui serait littéralement prête, à cet instant, à tout accepter pour pouvoir ce libérer de ce désir infernal.

Mais c'est trop tôt. L'inconnue est joueuse. Après avoir tant fait monter le désir de la jeune femme, la voilà qui l'abandonne.  Distante d'un mètre ou de cent, qu'est-ce que ca peut bien changer pour la pauvre Marguerite dont le corps et l'esprit exigent la satisfaction de leurs besoins immédiats. Elle se retourne vers la femme. Yeux brillants, visage rouge, sa poitrine exposée se soulève et s'abaisse au rythme d'une respiration saccadée et fébrile. Pas un instant elle ne songe à cacher son corps exposé et lève vers celle qui l'abandonne si cruellement un regard suppliant.

On la sent sur le point de se jeter vers l'avant, de saisir la femme plus grande et forte qu'elle par le col, pour se hisser jusqu'à elle et presser ses lèvres contre les siennes. Mais c'est à ce moment là que l'inconnue se dévêtit et que la vue du membre qui devrait être masculin fait écarquiller les yeux de la paysanne.

Plusieurs réactions contradictoires s'expriment tour à tour sur le visage de la campagnarde. De la surprise. De l'incrédulité. Peut-être même un soupçon de peur à un moment. Mais c'est finalement le désir qui prend place et s'installe définitivement sur son expression.

- Woaw

Finit elle par articuler.

La voix de autoritaire de celle qui se prétend être une femme la fait frissonner. Avec une once de bravache,  Marguerite prend l'initiative de se laisse tomber à genoux devant elle. Elle saisit le membre dans sa main menue, et commence à y imprimer un mouvement de va et vient machinal. Elle lève ses yeux vers l'inconnue et lui souffle avec un ton étrangement décidé malgré son attitude timorée et soumise.

- Pardonnez moi mylady, mais ... ce n'est finalement plus votre langue que je veux ...

Et avec timidité, comme si elle en attendait l'autorisation, elle approche ses lèvres du membre, prête à y déposer un baiser. Elle Laisse ensuite  le galbe de ses lèvres pleines caresser le membre avant, si on le lui permet, d'y risquer la langue. Un premier coup, d'abord léger, prudent et doux. Avant qu'elle finisse par fermer les yeux et ose poursuivre de manière plus franche la caresse buccale. Si elle se montre maladroite avec la gente féminine, il crève les yeux que Marguerite s'y entends en revanche très bien pour rendre hommage à l'attribut de ces messieurs.

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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 9 samedi 09 mars 2024, 01:38:27

Je continue de faire chauffer l’inconnue, bien aidée par la bave de mimic avouons-le, mais aussi son admiration pour celle qui l’a sauvée. Ou son désir de la remercier comme il se doit… ou un mélange des deux ? Peu importe en réalité : j’ai envie d’elle, et elle est plus que disposée à me laisser prendre mon pied avec elle. Ça a du bon de tomber sur une belle gosse consentante de temps en temps.

Maintenant que je la sens brulante, je fais quelques pas en arrière pour me déshabiller. Je n’ai pas l’intention de laisser mes vêtements restreindre mes mouvements lorsque je vais la prendre, ni de trop les souiller d’ailleurs… même si en voyant leur état, le reste du gang comprendra bien vite que ‘quelqu’un’ aura eu le droit à mes ‘faveurs’. Ce n’est pas un secret que j’ai tendance à prendre ce qui me fait envie.

Et elle, elle me fait très envie. Son jolie cul rond et lubrifié par la bave… sa poitrine aussi lourde que douce quand je la prends en main… et son air surpris et lubrique en voyant ma queue qui n’attend qu’elle pour entièrement se dresser ? Est-ce que finalement je vais devoir forcer le destin ? Après quelques secondes de blanc, elle lâche un woaw tout ce qu’il y a de plus honnête et mon pénis réagit en conséquence, se mouvant dans un sursaut en son honneur. Et contre toute attente, la voilà déjà à genoux devant moi. Je l’aime déjà cette petite, bien foutue et serviable comme je les aime… et directe en plus ! Je souris à ses paroles, la regardant faire face à mon membre en le masturbant.

« Mais tu es toute pardonnée ma chère… je t’en prie, soit celle qui utilise ta langue. »

Je n’ai pas besoin de le dire deux fois, car la voilà en train de goûter à mon pénis. D’abord du bout des lèvres, savourant la découverte, puis un peu moins timidement. Il faut dire que je suis maintenant parfaitement en érection, ce qui doit lui faciliter la vie… à part pour la taille, mais elle se débrouille très bien. Je continue d’admirer le spectacle en respirant un peu plus rapidement, ayant même la bonté de ne pas attraper sa tête pour m’enfoncer jusque sa gorge. Je veux la voir se dévergonder par elle-même, passer de la paysanne innocente à une créature lubrique sans limite…

« Puisque tu ne veux plus ma langue, je me dois de reformuler… montre moi où tu veux que je glisse ma queue… »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 10 samedi 09 mars 2024, 10:52:05

A présent autorisées à le faire, les lèvres de Marguerite travaillent à satisfaire la dame, coulissant avec volupté le long du membre masculin. Alors qu'une main tient fermement la base de la hampe en érection, son autre main s'attarde sur le corps de sa sauveuse, caressant son ventre, ses hanches et risquant de timides effleurement au niveau de ses fesses.

L'attention qui lui est portée semble faire plaisir à sa sauveuse qui adresse un sourire et des paroles appréciatrices pour ses offices. La paysanne sent son cœur palpiter de fierté.

Alors que sa tête réalise de lents et réguliers va et viens, la paysanne s'interroge. Pourquoi se sent elle aussi réjouie à l'idée de profiter de cette si superbe queue ? Elle ne saurait elle même l'expliquer. Est-ce la joie de l'inattendu ? L'attraction du mystère caché ? La crainte du qu'en dira t'on si on les voit ainsi ?

Cette dernière pensée fait rouvrir les yeux à la jeune femme qui n'avait cesser de prodiguer les hommages les plus doux à sa sauveuse. Elle retire ses lèvres du membre pour le lever son regard vers celui de la femme. Alors qu'elle continue de masturber la tige luisante de salive, elle demande.

- Mylady, vous n'avez point peur qu'on n'nous trouve et qu'on n'nous dérange ?

Il ne manquerait plus qu'une bande de pécores mal dégrossis du coin ne tombent sur ce spectacle assurément impie à leurs yeux. Elles seraient à coups, à minima, interrompues dans leurs ébats et Marguerite ne voudrait ABSOLUMENT PAS que des rumeurs étranges se mettent à courir sur elle dans la région.

Alors avec un temps de retard (car elle avait la bouche occupée à ce moment là et n'avait pas envie d'interrompre sa si belle oeuvre), elle réagit à la proposition de la femme.

- Qu'diriez vous qu'nous nous éloignions un p'tit peu dans les bois ? Quelques pas à peine, qu'nous soyons point dérangées.

La campagnarde ponctue sa proposition d'une œillade entendue et d'un coup de langue appuyé sur le gland frémissant de la dame.

- Qu'je puisse vous montrer où j'aim'rais voir vot' queue.


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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 11 lundi 18 mars 2024, 19:36:28

Je profite des délices offerts par la jeune paysanne, bien contente d’être tombée sur une personne si docile et  si couverte d’aphrodisiaque.  Un point positif pour elle : elle ne semble pas lutter contre l’effet de la bave de la créature, bien au contraire elle embrasse désormais la sensation en s’occupant de mon érection. Une bien belle façon de remercier sa sauveuse, non ?

Je la sens aussi chercher à explorer mon corps, mais plus timidement. C’est amusant de la sentir me toucher avec une certaine retenue alors qu’elle accueille presque tout mon membre dans sa jolie bouche. Mais visiblement quelque chose la tracasse, car elle s’arrête soudainement de me sucer pour me poser une question. Je la regarde avec un petit air d’incompréhension, me disant d’abord qu’elle réfléchit beaucoup pour quelqu’un qui a l’air submergé dans ses désirs sexuels… mais peut-être l’est-elle moins que ce que je pensais. En tout cas, je suis ravie de la voir continuer à me masturber.

« Ca m’importe peu. Si quelqu’un nous dérange, j’en ferais mon affaire. Et si quelqu’un veut en profiter pour se joindre à nous… »

Je dirais bien que je le laisserais la prendre, qu’elle finisse en sandwich entre nous… mais dans l’immédiat, je la veux pour moi toute seule. Je ne partage que si j’en ai envie, et ce n’est pas du tout le cas actuellement. Et la petite me propose alors de nous enfoncer dans les bois pour être tranquilles.

« … très bien, si ça te met plus à l’aise… j’essaierais de résister à mon envie de glisser ma queue entre tes jolies fesses le temps de trouver un coin qui te convient. Mais il faudra me dire pourquoi tu crains soudainement d’être vue… »

Avouons aussi qu’ici il n’y a pas vraiment de surfaces très adaptées à une partie de jambe en l’air. S’allonger dans les cailloux ? C’est pas terrible. S’appuyer contre une surface verticale ? Il faudrait déjà qu’il y en ait. Dans un sens elle a raison, nous serions mieux à l’orée de la forêt. J’attrape rapidement mes affaires, mon érection pointant toujours vers elle. Je la suis, ajoutant pour faire échos à ses dernières paroles :

« Je suis sûre que tu vas trouver la position idéale pour que je comprenne où tu veux ma queue, sans même avoir besoin de mots… »

Marguerite Clairbois

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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 12 mardi 19 mars 2024, 20:03:29


- J'connais du monde dans la région !

Se défend la jeune paysanne, presque offensée qu'on lui pose cette question.

- Les gens pens'raient quoi ? Ils diraient bien des choses !

Bien des choses vraies, sans doutes. C'est bien là le problème. Marguerite a déjà une petite réputation dans le coin qui est loin, trèèèès loin d'être immaculée. Se faire surprendre par un chalant du coin en pleine nature, à quatre pattes en train d'être culbutée par une femme qui n'en est pas totalement une, ca risquerait d'empirer encore les choses pour elle.

Ainsi, il n'y a pas besoin de lui dire à deux fois quand sa sauveuse agréé à son idée.

-Super, vous l'regretterez pas !

Claironne t'elle, tout en déposer un rapide baiser sur les lèvres de la femme et en s'éloignant par petits bas bondissants en direction des bois.

Il n'y a objectivement pas très loin à aller. Rapidement, la densité des fougères et la pénombre du sous bois jouent leur rôle. Le sol, en pente légèrement douce, est couverte d'un doux humus et de pierres rondes et moussues. Les arbres à l'écorce veloutée forment un rideau naturel qui leur promet une grande tranquillité.

Au milieu de tous ces décors, Marguerite n'a donc que l'embarras du choix. Elle jette sa robe de côté, se retrouvant sans honte dans le plus simple appareil. Elle trépigne d'impatience en attendant que sa sauveuse, nue également, la rejoigne. La vue de son amante provoque chez elle un sourire d'envie, son regard ne pouvait s'empêcher de rester fixé sur la virilitée raidie qui darde dans sa direction.

- C'est une chance incroyable qu'vous ayez ça ... Jamais d'ma vie j'en ai vu d'telle !


Une chance incroyable pour qui ? Pour Marguerite c'est certain. Et pour sa sauveuse sûrement aussi ! Sans davantage de préambules Marguerite se positionne. Elle se met à quatre pattes, genoux et mains posées sur une pierre moussue et ronde, croupe tournée en direction de la presque-inconnue. Lui montrer sans un mot lui avait t'elle demandé et c'est ainsi qu'elle s'exécute. L'invitation ne saurait être plus claire !

Nyoras Club

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Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 13 vendredi 29 mars 2024, 01:13:12

Oh, elle connaît du monde dans la région. C’est logique pour une paysanne dans un sens. Il doit y avoir les habitants de son village, peut-être une paroisse ou un truc du genre… et tout ça ne doit pas être si loin d’ici. En tout cas je l’imagine mal partir en expédition cette petite. Quant à ce que les gens penseraient…

« Je suppose que ça pourrait être embêtant pour vous. J’en déduis que la sexualité dans votre village est un sujet assez tabou… ? »

En bref, que ce village a l’air terriblement ennuyant. Ou que beaucoup jouent les prudes alors qu’ils ne le sont pas. En tout cas en la voyant elle, je suis sûre que beaucoup dans son village ont envie de lui passer dessus. Mais pour une fois je suis de bonne humeur alors je lui accorde son souhait, qui n’a de toute manière rien de gênant si ce n’est de repousser notre partie de jambe en l’air d’à peine quelques minutes.
Et… elle vient de m’embrasser ? Ok, là je suis surprise. C’est très rare que quelqu’un m’embrasse, sans doute parce qu’en général je prends ce qu’on refuse de me donner… je lui souris, et me met donc à la suivre dans un coin qu’elle juge plus sûr. Je crois que je n’ai jamais eu une partenaire sexuelle aussi enjouée. J’en suis à me demander si je ne vais pas l’embarquer avec moi cette petite… surtout qu’elle parle sans détours.

« Vraiment ? Il va falloir rendre ce moment mémorable alors, que vous vous en souveniez longtemps… »

Maintenant qu’elle a trouvé le coin parfait pour nos ébats, elle prend position. Aucune subtilité ici : elle se met à quatre pattes, m’offrant une vue splendide sur ses fesses et un accès direct à son intimité que je meurs d’envie de combler. Je me mets à genoux derrière elle, et pose mon membre raidit entre ses fesses. Mes mains se posent sur celles-ci et les écartent, et je me déhanche lentement pour me masturber avec. Quelle douceur… et les fluides du mimic aident clairement, lubrifiant ses instruments du plaisir.

« Vous avez un corps magnifique. Irrésistible même. Dans d’autres circonstances, j’aurais tout fait pour coucher avec vous aussi. »

Avec ou sans son consentement, mais ça c’est un détail. Du moins pour moi. Mais puisqu’aujourd’hui je l’ai pour moi seule et qu’elle est plus que volontaire, je vais me montrer un minimum tendre. Je recule mes hanches et fait glisser mon pénis contre ses lèvres intimes, appuyant lentement… et ce, jusqu’à commencer à la pénétrer. L’intérieur est chaud, très chaud même, sans doute grâce à l’aphrodisiaque. Mais il est aussi très accueillant, et je m’y glisse avec une certaine facilité malgré ma taille.
Mes mains tenant désormais ses hanches, je murmure avec amusement :

« Vous avez raison, je ne le regrette vraiment pas… »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Réponse 14 jeudi 04 avril 2024, 14:26:35


La sexualité dans son village est elle un tabou pour Marguerite  ... ? La question fait un instant lever les yeux de la fausse-innocente qui semble réfléchir pendant quelques secondes.

- Beeeeeen ... j'sais pas. J'suis sûre que toutes les filles aiment s'faire culbuter mais qu'il faut l'cacher quand même. Parce que ca fait mauvais genre, vous voyez ?


Pour sûr, Marguerite en connait des autres femmes qui ne ratent jamais une occasion de tromper leur mari ou de laisser les étrangers leur trousser le jupon. Mais ca se dit pas ! Question de correction sans doutes ... ? Et puis il parait que c'est un péché aux yeux des bons dieux, raison pour laquelle les jeunes femmes du village vont faire la queue à confesse pour s'agenouiller devant le prêtre et supplier qu'il accorde le pardon. Etrangement les hommes aussi sont prêts à saisir toutes les occasions possibles pour se faire du bien. Mais eux on les montre moins du doigt, évidemment.

Voilà pourquoi, elle parait pleinement satisfaite de bouger jusqu'à un endroit plus discret ! Son enthousiasme est visible alors qu'elle se positionne et offre sa croupe à l'étrangère, de la même façon qu'elle s'offrirait à n'importe quel homme. La promesse que sa sauveuse lui offre un moment mémorable la fait avoir un rire joyeux.

- Il l'est d'jà mémorable ! Jamais j'avais vu une femme avec une bite. Et la votre est magnifique !

Elle jette un regard par dessus son épaule, observant l'aventurière se positionner derrière elle avec un air impatient. Elle se mord la lèvre alors que le membre féminin entameun délicieux va et viens le long du sillon de ses fesses. Le compliment qu'elle lui fait lui arrache un nouveau sourire.

- Dans d'autres circonstances ... ? Si vous aviez pas de bite vous voulez dire ?

L'idée la fait rire un peu alors qu'elle agite ses fesses et accompagne pendant quelques secondes le mouvement imprimé par son amante.

- Jamais j'aurais cru qu'une femme puisse m'plaire ... 

Les mouvements de la femme derrière elle s'arrêtent. Marguerite frémit d'anticipation, se cambre davantage et sent soudain fang entrer en elle. La sensation, divine, lui arrache un cri de joie et de plaisir.

- ... mais vous, vous avez juste c'qui faut !

Conclut t'elle avant de reculer son bassin et de s'empaler davantage encore sur le membre planté en elle. Sans surprises, l'intimité ruisselante de Marguerite est chaude et accueillante. Elle s'accommode sans peine au sexe qui la pénètre, s'écartant sur son passage pour former autour de lui un cocon de chair chaude avide de le faire jouir. Enthousiaste, la paysanne entame un mouvement vif d'avant en arrière qui accompagne ceux de Fang. Chaque à coup est l'occasion pour elle se gémir, de se cambrer et de soupirer.   

- Oh oui. C'est bon ! Allez y plus fort s'il vous plait !

« Modifié: dimanche 14 avril 2024, 10:59:50 par Marguerite Clairbois »


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