Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Retrouvailles [Astrid]

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Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 15 mercredi 02 mars 2022, 23:15:52

Presque brusquement, le comportement poli de Toshio change sous l’excitation. L’homme qui me tenait gentiment la main il y a quelques minutes, se retrouve maintenant à m’insulter copieusement en cognant contre mes fesses. Mes hanches, frottant sur son sexe, semblent lui faire perdre la tête. Il force contre mon cul, se perdant dans les méandres de la luxure. Dans cette position, je ne vois pas son visage, je ne peux que sentir son chibre écartelé les contours de mon anus excité. Toshio ne prête aucune attention de mon plaisir, ses coups de rein affamés claquent sur mes fesses, sa main serre ma gorge, coupant presque ma respiration et forçant mon corps à se cambrer un peu plus vers lui. Ses va et vient sont profonds et élargissent le chemin, exactement comme Hideo lui a demandé. Il me défonce, me faisant heurter le capot à chaque passage dans un bruit clinquant. Hidéo est à coté, observant la scène avec un air approbateur et sadique. Il aime me voir dans cette position de faiblesse, le cul en arrière, soumise à son chauffeur qui se branle dans mon trou béant. Je le vois descendre sa fermeture éclair et ressortir sa queue qui me donne tant envie. Il voit tout le désir de petite dépravée que j’ai pour son entrejambe plus qu’imposante. Hidéo se soulage sur le bas coté pendant que son chauffeur lui ouvre le passage en me besognant violemment.

Une chaleur irradiante monte en moi, je sens de nouveau l’orgasme pointé le bout de son nez. « Encore. Putain, encore plus fort. » Et Toshio bouge plus fort, plus instansément. Les muscles de mon anus se contractent, mes jambes se mettent à trembler, je sens tout mon corps se crisper sous les coups de butoirs. Voyant le plaisir m’emporter, Toshio en profite pour se rapprocher de mon visage et glisser sa langue entre mes lèvres. Il sent le tabac froid et l’eau de cologne bon marché, le mélange est très désagréable. Mon excitation retombe légèrement. Un peu dégoutée d’embrasser un homme deux fois plus vieux que moi, je tente de le repousser, mais sa main sur ma gorge m’en empêche. Beaucoup trop excité par la perversité de la situation, le gros sexe du chauffeur se contracte lui aussi dans mon dos et pendant qu’il me donne un coup de rein ultime, des insultes crus sortent de ses lèvres, agrippant un peu plus fort mon cou entre ses doigts. Le sperme qui me remplit me surprends presque autant de lui, le liquide chaud et visqueux comble le trou qu’il a ouvert avec force. L'orgasme que je désire tant, m'a encore une fois été refusé.

Après s’être vidé correctement, Toshio se retire, admirant presque son chef-d’oeuvre. Mon visage tombe sur le capot, trouvant un peu de réconfort dans le fraicheur de celui ci. Ma respiration essaye de retourner un rythme normal après cette baise aussi bestiale qu’inattendue. La voix d’Hidéo me ramène à la réalité. J’ouvre les yeux et suis son doigts qui désigne le sol, il prends son énorme bite en main et l’exhibe d’un mouvement lubrique devant mes yeux. Je le rejoins avec impatience, la faiblesse de mes jambes me soutenant à peine.

A genoux, sa bite devant mon visage, les genoux égratignés par les cailloux, je le regarde d’en bas, comme une bonne petite soumise. Je sens mon anus défoncé pulsé, dégoulinant de sperme sur le gravier, essayant tant bien que mal de retrouver une forme normale. Comme il me l’a demandé, je sors légèrement ma langue, venant lapper son gland. Le gout d’urine encore chaude envahit sur mes papilles, provoquant un mouvement de recul. Jusque là, la punition d’Hidéo était certes surprenante mais je me doutais que son intérêt premier serait pour mon cul qu’il a vu se faire défoncé il y’a des années, par contre lécher son urine, le nettoyer après qu’il ait pisser, ça c’est humiliant. Alors même que mon cul est béant, suintant de sperme, je ne me suis jamais senti aussi sale. Ne voulant pas m’arrêter pour autant, j’humidifie mes lèvres et reprends son nettoyage, ouvrant ma bouche pour le glisser au fond. L’urine se mélange à ma salive, laissant un arrière gout âcre dans ma gorge. Tout en le regardant, je m'enfonce sur sa grosse queue, avant de la ressortir de ma bouche et d’utiliser ma langue pour caresser son méat. Je sais le pouvoir que je peux avoir sur lui, je sais à quel point il a apprécié la fellation précédente, je sais comment il serait facile de reprendre le contrôle, mais j'attends patiemment, le laissant se convaincre que c'est lui qui dirige, qu'il a le pouvoir, juste pour voir la suite de ses idées perverses.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 16 mardi 08 mars 2022, 13:15:51

“Elle a joui ?”

Je m’adresse à mon chauffeur, je ne fais pas confiance à Astrid. Toshio encore hagard, secoue la tête en signe d’ignorance. Les doigts gourds, le regard vide, il s’affaire à remonter son pantalon et à ranger son sexe désormais flasque. Je ne lui en veut pas, difficile d’être concentré quand on démolit le cul d’une aussi jolie petite pute.

“Peut-être qu’on devrait l’attacher à un arbre, et faire payer les automobilistes pour l’enculer à la chaîne…” Je la regarde s’avancer en titubant vers moi, déjà détruite, et pourtant toujours demandeuse, le regard vitreux, la bouche légèrement entrouverte. Elle chute, plus qu’elle ne s’agenouille devant moi. “Elle en fout partout”, murmure Toshio qui se rapproche d’un pas lourd, les yeux rivés sur son œuvre. A mes pieds, Astrid sort sa petite langue rose. Cette même petite langue avec laquelle elle me fouillait l’anus, quelques minutes plus tôt. Je frissonne, m’avance d’un pas pour claquer mon chibre sur la gueule de mon ancienne fiancée, souillant son joli visage de pisse froide, avant de s'immobiliser, pour lui permettre de m’obéir.

“Là, là, lèche bien la pisse, ma puce, ma queue est bien sale…”

L’espace d’un instant le doute, le dégoût même se peignent sur le visage de la jeune femme, avant de s’effacer. Je m’étonne d’être presque surpris de la facilité avec laquelle Astrid se plie aux plus scabreux de mes ordres, et du revers des doigts de ma main droite, je caresse délicatement sa joue, grogne d’aise lorsqu’elle enfourne de nouveau mon sexe souillé entre ses lèvres avides. “Pu-tain, quelle salope tu fais.” d’elle-même, Astrid enfonce mon énorme vit jusqu’à la garde, faisant glisser mon gland au fond de sa gorge. Ma main libre se perd et se crispe dans ses cheveux lorsqu’elle l' extrait pour chatouiller mon méat de l’extrémité de sa petite langue. La sensation est particulière, entre la gêne et le plaisir. Je grogne, mordillant ma lèvre inférieure, puis me penche vers l’avant, lui crachant sèchement au visage, avant de forcer le passage de ses lèvres d’un coup sec du bassin, me servant de ma prise sur sa chevelure brune pour la maintenir en place.

“Bouge pas…Ca vient.”

Il me faut quelques secondes de concentration et de relâchement pour finalement parvenir à expulser un petit jet de pisse résiduel, directement dans la gorge d’Astrid. Dans le dos d’Astrid, Toshio s’est rapproché. Il a retrouvé ses esprits, et me désigne les petites fesses d’Astrid du menton. Peinant à comprendre, je fronce les sourcils, entamant dans le même temps des mouvements brusques du bassin pour baiser la gorge de ma proie, sans même la regarder. Lorsque Toshio abaisse sa fermeture éclair, je comprends, souris, et hoche la tête. Je baisse les yeux vers Astrid, que je sens suffoquer, hoqueter sur ma grosse bite. De nouveau, sa salive dégouline sur mes bourses gonflées.

“On va te nettoyer aussi, va…” Le regard brûlant, Toshio dirige son sexe amoli vers Astrid, qui lui tourne le dos. “Ecarte ton cul avec tes mains. Montre ton trou sale à Toshio, petite conne.” Toshio attend quelques secondes puis, qu’elle s'exécute ou non, il grogne d’aise alors qu’un jet dru et coloré gicle de son méat vers les petites fesses meurtries d’Astrid. La pisse brûlante, tâche son chemisier, s’insinue dans son sillon fessier, percute le trou souillé et béant de la jeune femme. De mon côté, galvanisé par l’instant, je baise sa petite bouche avec rage, écrasant mes couilles contre son petit menton couvert de bave.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 17 dimanche 13 mars 2022, 13:36:57

La scène est sale. Hideo maintient mes cheveux d’une main pour mieux me cracher dessus, sa salive dégoulinant sur mon visage déjà souillé par son sperme et son urine, avant d’investir de nouveau mes lèvres. Il marmonne quelques mots que je n’entends pas et m’immobilise sur sa queue. Quelques secondes passent avant que je sente un liquide fluide me bruler la gorge. Putain, il me pisse dans la bouche. Le salaud a décidé de m’humilier encore plus en me forçant à boire son urine. Ses coups de bassin secs et profonds ne me laissent pas le temps de recracher et m’obligent à avaler le liquide chaud. Je fronce les sourcils et tousse sur sa queue, dégoutée par le gout resté sur ma langue.

Ravi, Hidéo me regarde m’étouffer sur sa bite, un sourire sadique sur les lèvres. Dans mon dos, je sens Toshio se rapprocher et défaire sa braguette. Hidéo force de nouveau contre ma glotte et me coupe la respiration en m’annonçant la suite des événements. Je n’ai même pas le temps de réagir que déjà, je sens la brulure de l’urine chaude humidifié mon chemisier, puis sur le bas de mon dos. L’urine de Toshio coule jusqu’a mes fesses, se mélangeant avec le sperme qui dégouline de mon anus, sous le regard lubrique d’Hidéo. J’essaye de protester d’un mouvement de tête, tentant de retirer sa queue de ma bouche pour arrêter le chauffeur, mais Hideo me maintient avec force. Il veux que l'urine me nettoie de partout, il veux me sentir trempé de pisse froide et odorante. Son gland tape contre ma glotte comme pour m’empêcher de m’échapper.

Souriant et soulagé, Toshio secoue sa queue molle au dessus de moi pour lâcher les dernières gouttes et recule de quelques pas pour admirer le résultat. Avec les forces qu’il me reste, je repousse le jeune homme qui me baise la bouche avec passion. Hors d’haleine, je m’assois sur mes talons, regardant Hideo d’en bas et entame de déboutonner ma corsage trempée, dévoilant mon soutien gorge en dentelle noire pour décoller le tissu mouillé de mon dos. Un frisson de froid me parcoure, ma chemise ouverte et trempée d’urine, je me rappelle que je suis presque nue sur un chemin de terre au bord d’une route. En m’appuyant sur le sol, je réussis tant bien que mal à me relever et attrape la queue tendue d’Hidéo d’une main, la serrant fort juste sous son gland. Mon autre main vient saisir la base de sa mâchoire pour l’approcher de moi. « Alors c’est ça que tu aimes? Souiller tes partenaires de sperme et d’urine? Tu es au moins tout aussi pervers que moi. » Et sans lui demander son autorisation, je plaque mes lèvres souillées contre les siennes, forçant l’entrée pour que nos langues se rencontrent. J’ai déjà comprit que le gout de son propre sperme ne le dérangeait pas, voir même qu'il l’excitait, alors j’en profite pour qu’il goute aussi au jet souillé d’urine qu’il a forcé dans ma bouche. Mon visage sali se colle au sien, mélangeant nos fluides respectifs. Ma main sur sa bite le dirige vers la voiture pour qu’il puisse s’assoir sur le capot sans que nos lèvres ne se quittent. Ma langue entrelace la sienne dans un bruit obscène et mouillé. Ca n’est qu’une fois que l’air commence à me manquer que je lâche ses lèvres, haletante contre lui. Un léger nuage de buée sort de ma bouche quand je sépare d’Hidéo, témoignant de la fraicheur environnante. Je n’accorde pas un regard à Toshio, seul à quelques pas de nous, sa bite molle entre les jambes. Grâce au luxueux mélange de salive et de sperme qui macule déjà son épais chibre, ma main n’a aucun mal à entamer un lent mouvement de haut en bas sur Hidéo. Mon corps se colle à lui pour chercher un peu de chaleur et mes lèvres se rapprochent de son oreille. « Hidéo, s’il te plait. Baise moi. » Les yeux vitreux, les joues maculées de mascara noir séché, le cul à l’air trempé de pisse, je le supplie presque. « J’ai besoin de jouir. Fais moi jouir. » Mon mouvement de main sur sa bite dure s’accentue, voulant le rendre assez fou pour qu’il me prenne là maintenant, sur le capot de la voiture.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 18 samedi 26 mars 2022, 10:35:23

Quelle magnifique petite poupée de stupre. Les yeux rieurs, ma grosse queue enfoncée jusqu’aux couilles entre les lèvres de la jeune femme, je la besogne avec nonchalance, mes doigts glissés dans ses longs cheveux châtains. Mais brusquement, la poupée se rebelle et de ses petites mains blanches, elle appuie sur mes cuisses pour me repousser vers l’arrière. Surpris, je recule d’un pas, sourcil froncé. Est-ce que c’est déjà trop, pour elle ? Je comprends bien vite qu’il n’en est rien. Pantelante, la chatte ruisselante de pisse, Astrid fait glisser son soutien-gorge sur ses épaules d’albâtre, dévoilant son opulente poitrine, compressée dans un élégant soutien-gorge. Putain, j’avais oublié qu’elle avait d’aussi grosses loches. La fausse ingénue se redresse, non sans difficulté, avant de me rejoindre pour empoigner ma grosse bite. Elle sait y faire, et je grogne d’aise, les lèvres serrées.

“Putain ouais.” Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle se montre aussi entreprenante et bordel, ça me plaît. Un grand sourire s’épanouit sur mon visage, lorsqu’elle le rapproche du sien avec autorité. Elle pue la pisse. “J’aime donner ce qu’elles méritent aux sales petites putes comme t… Mhhhh…” Impossible de terminer ma phrase; se redressant sur la pointe des pieds, Astrid a écrasé sa petite bouche entrouverte contre la mienne. Dégueulasse. Le goût de mon foutre, je le connais. Ma pisse, ça m'était jamais venu à l’idée de la goûter, et je grimace de dégoût, incapable pourtant, de décoller mes lèvres des siennes. C’est âcre, acide et odorant. Mais une fois encore, je me rends compte que ça m’excite. Les yeux mi-clos, j’accueille sa petite langue fureteuse entre mes lèvres, y presse fiévreusement la mienne, alors qu’elle m’attire, puis me pousse vers le capot. “T’es vraiment, sale Astrid…” Ma voix a faibli. Sensation vertigineuse. Je sens que le contrôle m’échappe en partie. Astrid me tient à sa merci, fourrant sa langue entre mes lèvres, branlant fermement ma grosse bite. Presque sans m’en rendre compte, je me retrouve adossé, puis assis sur le capot de mon véhicule les yeux écarquillés. Mon cœur bat la chamade. Mais lorsque nos lèvres se séparent, encore reliées par un long filet de salive souillée, je fronce les sourcils. Ma main empoigne ses cheveux, pour tirer sa jolie petite gueule vers l’arrière, et je lui crache au visage.

“C’est pas toi qui décide quand je te baise, sale pute.” Une gifle sonore accompagne mes propos. Mon autre main glisse dans son dos et mes gros doigts s’insinuent dans son sillon fessier, jusqu’à glisser sur le renflement de l’orifice poisseux et dilaté d’Astrid. Sans hésiter, j’y glisse majeur, index et annulaire, pour la fouiller sans ménagement. Le trou est tiède, bien distendu. Shlick shlick. Toshio a bien travaillé.  A mon tour, je rapproche mes lèvres de son oreille. “Tu n’as pas bien poussé, il reste du foutre dans ton cul, sale chienne. Peut-être qu'on devrait directement pisser dans ton cul, la prochaine fois.” Je l’embrasse de nouveau, plus délicatement, cette fois-ci. Agité par des sentiments contradictoires, j’ai envie de lui faire autant de mal que de bien. “Viens-là, ma puce.” Le ton est doux, mais impérieux. Je la repousse doucement, pour me redresser et intervertir nos positions, l’incitant à s’asseoir sur le capot, face à moi “Retire ça”, je lui souffle, en désignant son soutien-gorge, alors que j’abaisse sèchement mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles.

Enfin, je m’avance entre ses jambes, le souffle court, venant percuter sa petite chatte souillée de mon gros gland, l'y frotter sournoisement pendant de longues secondes. “Je veux te voir quand je t’encule, petite pisseuse.”, je lui précise, avant de fourrer mes gros doigts souillés du foutre de Toshio dans sa petite bouche entrouverte. “Nettoie, connasse.” De la paume de mon autre main, j’appuie fermement sur son abdomen pour la maintenir en place, avant de présenter mon chibre devant sa petite corolle défoncée et suintante et de pousser, en grognant comme un vulgaire animal, mon front heurtant le sien dans l’opération. “Hmmm…. Ha… Astrid, putain, ton trou…” Mes doigts quittent sa bouche pour empoigner sa hanche gauche et me donner une meilleure prise. Malgré le travail de Toshio, la petite chienne est encore trop serrée pour mon énorme chibre, et je dois forcer pendant de longues secondes. “Pousse chienne, pousse bien pour la grosse queue. Là…. Hmm... !” Lorsqu’enfin elle se détend, je glisse brusquement en elle jusqu’à la garde, écrasant mes bourses pleines contre sa vulve détrempée, manquant de gicler dans l’opération. Le coeur battant, le front collé à celui d’Astrid, mes yeux plongés dans les siens, je reste immobile l’espace de quelques secondes, avant d’imprimer un mouvement lent, mais profond à son bassin, fouillant ses entrailles avec délectation, les doigts enfoncés dans la chair de ses hanches pâles, me délectant de l'infâme bruit mouillé de ma pénétrations.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 19 dimanche 03 avril 2022, 12:21:29

La salive d'Hidéo coule sur mon menton pendant que ma joue rougit instantanément. Sa gifle ne m’a pas fait mal, ça n’est pas le but de sa violence, elle est juste là pour tenter de me remettre à ma place, à la place de chienne qu’il m’a attribué. Les yeux d’Hidéo sont remplis de colère, de fougue et d’envie. J’essaye d’y desceller un peu de tendresse ou de compassion mais il n’en est rien. Son visage reste crispé, tendu, comme s’il était encore en train de décider de comment il allait continuer de me punir. Mon léger contrôle de la situation n’aura pas duré. Les gros doigts sadiques d’Hidéo finissent par me remplir le cul, testant l’ouverture de mon trou. Je perds très rapidement la tête et pose mon front sur son épaule en gémissant. Mon orgasme est tout près, à portée de ses doigts. Ma respiration s’accélère, l’air chaud quittant ma bouche entrouverte avec difficulté. Je sens une chaleur violente m’envahir, mes hanches roulent sur lui pour les emmener plus loin en moi. Ses mots crus résonnent dans mes oreilles comme une caresse. Putain, même s’il décidait de me remplir de pisse, je le laisserais faire. Il échange nos positions, m’installant sur le capot, toujours les yeux rivés sur mon corps. Comme indiqué, je retire mon soutien gorge et libère ma poitrine excitée. Mes seins se dressent fièrement vers lui, ma peau pâle contrastant avec la couleur rosé de mes aréoles. Je suis complètement nue devant lui pour la première fois. Ses doigts s’infiltrent dans ma bouche, me faisant gouter à la pisse et au foutre de Toshio. Ma langue excitée s’enroule autour de ses phalanges, me délectant presque du gout sans me rendre compte de la perversité de mes gestes.

Hidéo finit par exaucer mon voeu, forçant son énorme membre contre mon cul ouvert. Il a du mal à passer, je sens son gros gland essayer d’écarter mes chairs. Je bloque ma respiration quelques secondes pour pousser mon sphincter à s’ouvrir un peu plus. Celui ci finit par céder et accueille sa queue jusqu’au fond de mon trou. Le geste m’arrache un lourd soupir d’extase pendant que son pubis vient taper contre le mien. Sans m’en rendre, mes mains posés dans son dos viennent le griffer, laissant une trace rouge sur leur passage.

« Putain… Hidéo. Elle… Elle est si grosse. » Si sa bite ne heurtait pas le fond de mon cul, on aurait pu croire que nous nous enlacions tendrement, que nous étions un joli couple qui s’est arrêté sur le bas coté pour se câliner romantiquement. Mais les lents mouvements d’Hidéo trahissent nos ébats.  « Si j’avais… » Je rouvre les yeux, perdue dans mon propre plaisir. J’ai failli lui dire. Pour combler le reste de ma phrase en suspens, je colle de nouveau mes lèvres salées contre les siennes, ma langue allant chercher la sienne avec envie. SI j’avais su… Si j’avais su qu’il en avait une grosse, si j’avais su qu’il était si pervers, si j’avais su qu’il baisait aussi bien. C’est là où ma phrase allait en venir, mais je l’ai retenue à temps. En espérant qu’Hidéo ne se rende pas compte de mon erreur, qu’il n’aies pas vraiment entendu la portée de mes mots. Si j’avais su, est ce que je l’aurais quand même trompé? Est ce que j’aurais quand même été découverte ce mardi après midi avec la bite d’un autre planté dans mon cul? Peut être. Est ce que sa bite à lui seul suffirait à me combler? En tout cas, elle semble le faire parfaitement aujourd’hui.

La sensation de sa longue queue gonflée qui s’écrase contre les pourtours dilatés de mon anus me rends folle, l’un de mes mains vient se perdre dans les cheveux d’Hidéo, serrant fort pour maintenir son visage contre le mien. Mes gémissements sont à l’unisson avec ses grognements, tous les deux la bouche entrouverte, cherchant de l’air presque désespérément. Ma deuxième main vient se glisser entre nos corps et touche du bout de mon index, mon clitoris gonflé. Cette simple caresse me fait bomber la poitrine et l’écrase contre son torse. « Mmh… Je vais venir. » De la mouille chaude et fluide finit par dégouliner de ma chatte, lubrifiant sa queue avant de former une petite flaque sur le capot. « Encore... Hidéo. Encore. » Mes caresses s’intensifient, mon doigt tourne plus vite sur mon petit bouton rose, je sens les muscles de mon anus se contracter à chaque mouvement. Dans un long gémissement rauque, je m’abandonne aux plaisir de l’orgasme, ma cyprine inondant Hidéo, ne pouvant pas retenir mon extase plus longtemps après toutes les stimulations du jeune homme. Mon corps se crispe, tremble légèrement entre ses mains avant de retomber sur lui, inerte et exténuée.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 20 vendredi 08 avril 2022, 16:00:07

Insensible à la morsure de l’air frais sur mes couilles, indifférent à la proximité de l’autoroute, dont le ronronnement accompagne nos soupirs, je fouille sournoisement l’anus d’Astrid, alternant lents va-et-vient, ondulations presque circulaire pour la dilater davantage et mouvement plus brusques du bassin pour m’enfouir profondément dans ses entrailles tièdes, écrasant mes grosses bourses pleines contre sa pauvre petite corolle malmenée et poisseuse de pisse. De ses ongles, une Astrid extatique me laboure le dos, sa jolie poitrine tressautant à chaque nouveau coup de butoir, son bassin accompagne langoureusement le mouvement de mes hanches. Nos fronts se heurtent, je cherche son regard, plonge mon regard trouble dans le sien.

“... Su ? Je sais ma puce, je sais.” Mes propres mots m’étonnent, alors que je réalise que, quelque part je la comprends. Même si ça n’efface pas ma rage, ma rancœur et ma jalousie. Astrid et moi sommes pareil. Deux âmes corrompues, dépendantes à la dopamine, au plaisir sale, honteux et brutal, au sexe qui souille l’âme et le corps. “Mais ça ne t'aurait pas suffit. Ca ne t’aurait jamais suffit, sale chienne, tu…” Mais Astrid s’est redressée, juste assez pour plaquer de nouveau ses lèvres souillées contre les miennes. Avec avidité, j’accueille sa petite langue, que je caresse, que je suçote du bout des lèvres. Cette langue qui fouillait mon cul, quelques minutes plus tôt. Je grogne contre sa bouche entrouverte. Les jambes fléchies, je remue plus vigoureusement en elle, jusqu’à faire claquer mes hanches contre son pubis. Elle est suffisamment ouverte pour que je la défonce, désormais. Du revers de la main, je caresse un court instant sa bouille d’ange, avant d’empoigner la chair tendre de son cou et de serrer, pour la priver partiellement d’oxygène. Mon regard trouble passe de ses traits crispés par l’imminence de son orgasme, aux oscillations obscènes de la peau de son ventre diaphane sous l’effet de mes coups de butoir dans son petit anus. Je lui crache à la gueule, une fois de plus, avant de l’embrasser derechef, frissonnant lorsque ses petits tétons érigés s’écrasent contre mon torse.

“Putain. Tu pisses de mouille, sale pute”. Quelle tarée. Elle en fout partout, à se branler frénétiquement. Ça coule, ça gicle presque sur ma grosse bite, sur mes couilles et sur ma caisse neuve. “Jouis ma belle, jouis. Pour. moi.” Je la ravage, désormais. Les yeux écarquillés, rivés sur sa jolie petite gueule, je martèle son anus éclaté avec une surprenante facilité, la faisant littéralement tressauter sur le capot. Lorsqu’elle se cambre, ma main glisse dans son dos, pour la serrer contre moi. Retenant mon orgasme pour le coordonner avec le sien. Lorsque je sens son anus se contracter nerveusement sur mon gros chibre, un long râle rauque s’échappe de mes lèvres entrouvertes. Mon propre corps se cambre à son tour, à la rencontre de celui de mon Astrid alors que je me vide longuement en elle, tapissant son cul de longues giclées de foutre épais et brûlant, alors qu’elle même explose, éclaboussant mon pubis de sa cyprine. “Ton trou putain, ton sale trou…”, je murmure bêtement, avant de lier de nouveau mes lèvres aux siennes, étouffant ses soupirs avec avidité. Les mouvements de mon bassin s’apaisent progressivement, jusqu’à ce que le flot de mon foutre se tarisse et que, foudroyé par l’orgasme, je m’effondre à mon tour sur elle de tout mon poids, ma grosse queue palpitante toujours profondément fichée en elle.

“Hmm.”

Un frisson me sort de ma torpeur. Au prix d’un effort surhumain, je me redresse, posant mes deux mains des deux côtés du visage d’une Astrid échevelée et épuisée. Je la trouve d’autant plus belle, maintenant que je l’ai souillée. En soupirant, je parviens à me mettre debout, faisant glisser ma grosse queue débandée au dehors de son anus défoncé, qui ne tarde pas à dégorger de foutre, alors que je m’éloigne en titubant de ma victime. Rapide regard sur l’avant de ma voiture. je ne sais pas par quel miracle, mais la carrosserie semble n’avoir pas été enfoncée. Tant mieux.

“Toshio. N’oublie pas de laver le capot, après nous avoir déposés”.

Je résiste à l’envie puissante de prendre Astrid dans mes bras, pour la porter jusque dans la voiture, tant elle a l’air vulnérable, désormais. Mais elle ne mérite pas que je prenne soin d’elle. Seulement que je lui fasse mal. Peut-être que je devrais lui faire lécher le capot...Je consulte ma montre. Réunion avec les actionnaire dans trente minutes. Pas le temps. Je la désigne du menton à mon chauffeur, en remontant sommairement boxer et pantalon sur mes hanches.

“Rhabille-moi ça. Banquette arrière, on la dépose et on rentre au siège."


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