J’ai peut être un visage innocent, mais oui, j’aime le sexe violent. J’aime quand ça bute, quand ça serre, quand ça claque et quand je ne sens plus mes jambes. Ma tête de chaton laisse penser aux gens que je suis une petite chose pure, c’est faux. Alors oui, se faire sodomiser dans les toilettes publiques de la salle des fêtes de Kyoto, c’est pervers, sale et dégradant. Mais putain, qu’est ce que c’est bon. J’en ai rencontré des mecs qui voulaient me faire l’amour comme une princesse, d’autres qui voulaient m’attacher à des barreaux et me baiser, mais des mecs qui me prennent violemment le cul au bout de 10 minutes de rencontres, y’en a pas eu beaucoup. Ryo était de ceux là. Ceux qui sont violent et brutes et machos et ingérables. Ceux qui me font jouir comme jamais. Mon cul claque encore, j’entends la violence des coups, je sens la trace de la brulure sur ma peau, je sais que j’aurais des traces de mains pendant quelques jours, je sais que mon cul se souviendra de cette soirée pendant un bout de temps.
Les petits joueurs de la cabine d’à coté ont commencé à jouer eux aussi. La fille couine, fort, n’ayant pas peur d’être reconnue. Je n’arrive pas à savoir si c’est ma collègue, je ne peux pas vraiment me concentrer sur autre chose que mon plaisir charnel. J’entends à peine le mec d’à coté parler. Ryo ne me laisse pas vraiment le temps de réfléchir entre chaque coup de butoirs, il accélère encore, se pressant dans mon dos, m’insultant de gouffres à bites au passage. Il m’a ouverte complètement, je ne sens plus mes jambes tant le plaisir et la douleur sont intenses. Sa grosse bite me fait mal à chaque passage, les fluides naturels aident à lubrifier, mais la frénésie de l’acte a rendu mon cul irritable. Je vais quand même vers un deuxième orgasme, toujours la main sur mon clitoris torturé. Ryo aussi est prêt à exploser, je le sens, il devient fou. Sa cadence ralentit, mais ses coups continuent d’être plus appuyer, plus loin dans mon rectum. L’orgasme revient quand il me pénètre durement, après une fessées douloureuse. Je n’arrive pas à retenir un long gémissement cette fois, mon cul pulse, ma chatte mouille, j’ai l’impression d’être une putain de femme fontaine tellement je suis trempée. La jouissance me coupe le souffle, me fait tourner la tête, m’envoie au 7ème ciel. Je jouis par le cul, contractant mon sphincter autour de sa bite. Moment d‘absence.
Une pellicule de sueur traine sur mon visage, mes cheveux s’y collent, rendant la scène floue. Ryo me tient par les cheveux et éjacule abondamment sur mon visage avant de me relâcher. Je m’affale au sol, respirante et à bout de souffle. Putain, c’était bon. Mon cul est défoncé, la peau de mes fesses est probablement à vif, mais bordel. Il me scrute de haut, avec sa bite mollassonne et crache son venin en exigeant ma bouche. Je ne vais pas faire que lui obéir. Je ne suis pas soumise comme ça à un mec que je ne connais pas. Je n’ai aucun respect pour mon corps quand il s’agit de plaisir, mais je ne suis pas qu’un bout de chair qu’on baise et qu’on balance à son gré. Je le relève sur mes jambes qui me tiennent tant bien que mal et pousse Ryo contre la porte de la cabine. Le visage flou, pleine de substances épaisses, je dégage mes yeux et ma bouche de tout ce foutre et me colle à lui, autant pour m’approcher que pour me maintenir. J’attrape sa bite au passage et je serre fort, l’empêchant de bouger ou de gesticuler.
« Me dis pas quoi faire, Inspecteur. C’est toi qui as décidé de me prendre le cul, c’est à moi de décider maintenant. » Récupérer un peu de contrôle, juste un peu. Je le serre fort, debout contre lui, sur les pointes des pieds, mon visage dans son torse. Son propre foutre sur mon visage dégouline un peu sur sa chemise. Bien fait pour lui, il ressortira aussi sale que moi. Et je commence à le branler fermement mais lentement. « Ne bouge pas. » A travers mon tee shirt, mes seins se collent à lui. J’essaye de récupérer une respiration normalement pendant que ma deuxième main descends pour rejoindre la première, passant dessous pour attraper et malaxer ses testicules. « Je te sucerais quand j’aurais décidé de te sucer ok? » Mes grands yeux se soulèvent vers lui, défiants. Petite chose fragile ouais, mais femme à caractère aussi. Je continue de l’astiquer avec patience, je veux l’entendre gémir sous mes doigts avant de continuer.