Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 15 dimanche 09 janvier 2022, 16:34:04

Astrid encaisse admirablement. C'est un modèle de petite suceuse professionnelle qui pourrait en apprendre à beaucoup. Sa surprise remise, elle montre autant d'ardeur à l'avaler qu'à le branler. Fort heureusement, elle ne se laisse "presque" pas totalement faire. Ses ongles meurtrissent les cuisses de Ryo qui grogne en se contractant. Elle ne veut pas crever étouffée dans cette rue, par un chibre trop envahissant. En revanche, elle exprime clairement sa volonté et son appétit de la plus précise des façons. Ryo baisse les yeux sur le petit bout de femme qui s'applique à lui procurer un plaisir fou. Son gros gland posé sur la langue de la jeune femme qui serre ses lèvres autour de lui est quasiment grotesque. Il est énorme pour cette bouche délicate et pourtant elle peut le gober sans difficulté.

"Ouais ... si c'est c'que tu veux ..."


Astrid s'évertue à le masturber rapidement. Ses succions saccadées produisent un sifflement gras explicit. Elle a faim de foutre. Et Ryo n'est pas long à venir. Elle est trop bonne, trop experte pour qu'il résiste plus longtemps. Et puis, cet arrêt inopiné n'est pas le meilleur endroit non plus pour s'adonner à ce genre d'activité ... bien qu'il ait eut urgence.

Le flic serre ses poings et tout son corps se tend quand il libère la pression. Sa semence jaillit en de nombreux jets riches et salés. La quantité de foutre délivré est ahurissante. Les joues d'Astrid gonflent sous l'afflux de sperme et pour anticiper tout retrait, il lui saisit la tête à pleines mains. Le gargouillis qu'elle émet est dégueulasse. Elle veut bouffer? Qu'elle avale! Le surplus dégouline le long de son menton.

"Non non, tu bouffes tout."

Ryo lui cabre la tête en arrière et racle sa peau fine d'un doigt pour ramener dans sa bouche ce qui s'en est échappé. Il la laisse déglutir et après avoir jeté un coup d'œil de part et d'autre pour s'assurer qu'il n'y ai toujours personne (bien que cela ne le dérange pas pour autant), il retourne à sa place, derrière le volant, après s'être arrangé.

"T'es belle comme ça!"

... ouais ... la gueule défaite  et l'haleine qui sent le foutre ... parfaite! Une vraie salope.

"Tu te souviens de ta promesse hein? Tu sais que ça va être comme ça toute la nuit ..."

Il redémarre, fait demi tour et reprend la route vers l'adresse qu'elle lui a indiqué. Pas vraiment loquace, il conduit, satisfait de s'être purgé de cette manière. Il a du bol d'être tombé sur cette nympho. Il n'avait rien prévu pour la nuit et se demandait de quelle manière il pouvait encore tirer profit de cette môme. La baiser était une évidence mais il pensait déjà qu'il pourrait l'utiliser d'une manière plus productive. il connaissait un paquet de mecs qui paieraient chers pour troncher une girl next door pareille. Ils approchaient de leur destination.

"Et si tu me racontais comment t'es devenue la petite salope que tu es maintenant?"

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 16 mercredi 12 janvier 2022, 20:01:08

La petite Astrid mignonne et gentille a disparue depuis bien longtemps. Mes yeux pétillent d’excitation, mes cheveux sont plein de bave et de foutre mélangé, ne parlons même pas de mon entre jambe qui est en train de tremper mon jean. J’aime le sexe certes, mais j’arrive toujours à me retrouver dans des situations ou j’en ai plus qu’espérer. A bout de nerf, Ryo réponds à mon appel désespéré et me remplit comme prévue. Sa semence s’éparpille partout dans ma bouche. Je ne demandais qu’à avaler mais je ne m’attendais pas à autant. En quelques secondes, mes joues sont pleines à craquer, j’essaye de déglutir ce que je peux, mais ça m’étouffe à moitié. Des gouttes glissent le long de mes lèvres, ce qui n’échappe pas à Rio. De ses doigts dominateurs, il fait en sorte que je n’en perde pas une goutte, ramassant le trop plein entre ses phalanges. J'avale le tout avec difficulté sous son regard obscène. L’excitation du moment l’emporte sur tout le reste. Je tousse légèrement, essayant de dégager mes voies respiratoires abusées. Si c’est comme ça toute la nuit, autant que j’appelle le boulot tout de suite pour leur dire que je ne serais pas en état de bosser.

Je ris en l’écoutant, affalée sur son siège en cuir. « Tu veux savoir comment j’ai découvert que j’aimais le sexe? J’étais très sage et innocente en grandissant. Mon père fait partie de l’aristocratie anglaise. » Je lui jète un regard amusée, persuadée que le « innocente » ne convient clairement pas de me décrire. « Et puis en arrivant au Japon, je me suis rendue compte que je pouvais faire ce que je voulais. Et j'ai commencé à laisser des inconnus me baiser violemment dans des toilettes publiques. » Après s’être vidé, Ryo arrive enfin à se concentrer sur la route, il ne restait que quelques blocs pour arriver chez moi.

C’est un grand immeuble en verre. Très moderne. Pas du tout mon style d’architecture mais c’est le bâtiment le plus sur de toute la ville. Des badges partout, des cameras de surveillance, une alarme si besoin et des sorties de secours dans tous les coins. Mon père n’a pas laissé ces détails au hasard, il a choisi l’appartement le plus sécurisant pour sa petite fille. Et je viens d’y faire entrer le grand méchant loup. Roulant des hanches, juste par envie de me faire mater le cul, je me dirige vers l’ascenseur, suivi de près par Ryo. J’habite au quatrième étage, donc le chemin ne sera pas long. Je réussis quand même à trouver le moyen de m’appuyer sur lui dans la cabine d’ascenseur, frottant mon entrejambe contre sa cuisse.  « Et oui, je me souviens bien de ma promesse. » Sur ces mots, je me hisse sur les pointes de pieds et vient embrasser l’inspecteur. Ca n'est pas un baiser romantique de film, non c’est un gros patin entremêlé de salive et d’un peu de foutre, celui ou les langues se mélangent d’une façon perverse. Mes mains glissent sous son tee shirt, griffant ses abdominaux saillants avec mes ongles. Bordel, j’ai très envie de le marquer. Mes lèvres quittent les siennes dans un filet de bave pour descendre le long de son cou et venir le mordre. Un succion apparait sur sa peau, pas sure qu’il appréciera le geste, mais le fait d’avoir laissé une marque sur son corps me plait. Lui qui avait déjà marqué le mien de traces écarlates et de foutre, il méritait aussi d’avoir une trace de baise. Ca n’était probablement rien comparé à ce qui m’attendait une fois à l’intérieur de mon appartement, mais l’intention me satisfait. « Redis moi ce que tu comptes me faire une fois arrivé. Dis moi comment tu veux me prendre par tous les trous. » L’ascenseur monte rapidement. Quand il sonna « 4ème étage », j’attrape la boucle de la ceinture de Rio et l’entraine dans le couloir.

Tremblante de désir, j’ai du mal à trouver la serrure avec ma clé d’appartement, je sens l’impatience de Ryo dans mon dos. Je me doute que si je n'ouvre pas la porte dans les prochaines secondes, il n'hésitera pas à me prendre la, sur le pas de la porte. La serrure finit par céder et presque soulagée, je rentre dans l'appartement avec lui. Celui ci n'est pas gigantesque, un salon- salle à manger - cuisine tout équipée et remplie de livres et de feuilles qui trainent, une chambre avec un grand lit en métal et une petite salle de bain. Le tout est entouré de grandes baies vitrées fumées, on peut voir l'extérieur mais l'extérieur ne peut pas nous voir. Je dépose ma veste à même le sol et me retourne vers lui, l'air défiant. A quelques pas de lui, je passe mon tee shirt par dessus ma tête et découvre ma poitrine nue. Mes tétons sont tendues et dures comme jamais, excitée par le début de soirée. Son regard brulant me dévisage pendant que je prends mes seins en main et tire sur les extrémités, gémissant sous la stimulation. Je suis debout, à moitié nue, en plein milieu de mon appartement, à me toucher face à un étalon qui a prévu de défoncer. Ca c'est une première.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 17 jeudi 13 janvier 2022, 09:45:02

Mouais ... pas mal. Les beaux quartiers, Ryo n'y traine pas plus que nécessaire. Sa zone à lui, c'est les quartiers pourris où les ruelles sentent la pisse et où personne n'est à l'abri d'un coup de couteau. Des places sont disponibles à l'endroit qu'Astrid lui indique et il y gare sa Mustang. Il suit la jeune femme jusqu'à un immeuble bien foutu. Elle se déhanche comme une chienne. Sa petite histoire est des plus simple mais convient parfaitement au flic en rut. Sans qu'elle le voie, il sort une pochette de sa poche, l'ouvre, se la colle sous le nez et s'envoie quelques grammes de coke. Il renifle, s'essuie du dos de la main tandis que l'effet de la drogue est immédiat. C'est bien plus efficace qu'un viagra et avec ça, il a de quoi tenir longtemps.

Dans l'ascenseur, la sangsue se colle à lui pour lui rouler une galoche d'anthologie, un truc bien baveux qui sent son propre foutre. Il est évident qu'elle est dans le même état que lui, elle l'explore, le marque, c'est une petite revanche qui le fait sourire même s'il tressaille à son contact. Bordel qu'elle sait y faire! Il s'imagine cette salope se faire troncher par des inconnus dans des chiottes publiques, il voudrait voir ça de ses yeux ... A sa question, il répond par des actes, il la chope par le cou et la plaque à la paroi de l'ascenseur. Il la hisse sur la pointe des pieds et se courbe pour coller son visage au sien.

"J'vais t'enculer jusqu'à ce que tu m'supplies d'arrêter ... et je m'arrêterai pas. Je vais défoncer ta gueule de salope et te remplir de foutre, et si tu t'avises de me demander de te baiser la chatte, j'te fisterais comme un bâtard t'as compris? Je giclerais pas ailleurs que dans ta bouche et t'avaleras tout bien gentiment parce que t'es faite pour ça et pas autre chose."

Il s'excitait lui-même à dicter ces dépravations et elle aussi apparemment. Au 4ème, elle l'entraina derrière elle et mit un temps fou à ouvrir la porte de son appartement. Ryo s'était dit que le type qui arriverait à s'introduire dans cet immeuble sans se faire gauler n'était pas né. Sympa l'appart! Sitôt entrés, Astrid retire son t-shirt et lui fait face, fatalement désirable. Putain, ces nibards! Il retire son lourd blouson de cuir et le laisse tomber à terre. En quelques pas, il est dans le coin cuisine et s'empare d'un torchon bien plié sur le plan de travail. il revient vers la fille. Elle est toute petite devant lui ... Il la met au sol, sur le dos, sans efforts, lui tire les bras en extension, au dessus de la tête, et lui noue les poignets à un pied de la table basse du salon. Bordel, elle est foutrement bien gaulée! Il la mate en se désapant, vire ses grolles et se met au dessus d'elle, la queue bien raide, odorante et déjà suintante. Il s'agenouille sur son ventre, les genoux de part et d'autre du petit corps malmené, et glisse son sexe entre les mamelles qu'Astrid vient de molester. Elles sont douces, chaudes. Le tunnel qui les séparent est accueillant et il s'y loge en écartant les chairs. De lui-même, il referme les seins d'Astrid sur sa queue, sans parvenir à la faire disparaitre. Il faudrait que la jeune femme est les capacités d'une vache laitière pour ça et ce n'est pas le cas. Il se branle entre ses seins, les presse sans ménagement, y coulisse facilement.

"Rhhhhaaa! Merde!!!"

Astrid est dans une position inconfortable où elle ne peut que subir les envies de Ryo. Elle est attachée et utilisée. Son amant l'utilise comme objet de plaisir. Si elle se cabre, il pèse sur elle pour la ramener à sa position initiale, si elle tire sur le nœud, il lui verrouille les coudes, accentuant la pression sur ses bras. Si elle cherche à parler, il lui enfonce son gland dans la bouche en la guidant par les cheveux qu'il torsade autour de son poignet. Ryo accélère et les loches d'Astrid tressautent à chaque à-coups. La sensation est grisante et quand elle atteint son paroxysme, Ryo abandonne cette poitrine confortable et s'assoit dessus pour forcer les lèvres de la chienne.

"Suce salope!"

Elle peut gigoter tout ce qu'elle veut, il la coince entre ses cuisses. La masse de cheveux foncés d'Astrid occupe son entre jambe. Vicieusement, Ryo pèse en avant et donne du bassin. Ses coudes sont en appui sur la table basse et il est bien.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 18 vendredi 14 janvier 2022, 12:31:00

C’est l’histoire du petit chaperon rouge qui se fait baiser par le grand méchant loup. Le petit chaperon rouge a l’air tout innocente et le grand méchant loup a juste envie de tirer un coup, il prévoit de forcer le petit chaperon à le baiser comme il faut mais au final, le petit chaperon se retrouve être bien plus perverse que prévue et ils finissent par former un couple démesuré mais au combien obscène et jouissif. Je me sens comme le petit chaperon rouge, petite, fragile et innocente, face à la montagne de muscle devant moi. Quand il me saillit le cou pour me plaquer contre la paroi de l’ascenseur, mes pieds touchent à peine le sol. Mais ses mots, putain, ses mots. Ils ont le don de me faire gémir d’impatience. Je l’imagine déjà m’enculer violemment sur le canapé, à quatre pattes, haletante, soumise et lui fort, viril, à claquer contre mon cul. Son programme me plait beaucoup. Une fille normale aurait probablement prit peur en l’écoutant. Pas moi, moi ça m’excite.

Une fois arrivé dans l’appartement, Rio m’observe de sa hauteur, le regard brulant de désir. J’ai l’impression qu’il va me dévorer sur place. Il bifurque vers ma cuisine pour attraper quelque chose puis revient vers moi. En quelques secondes, il me pousse légèrement et je tombe au sol. Ses bras habiles bloquent les miens au dessus de ma tête et les entourent d’un torchon. Il m’attache à la table basse puis admire le résultat. Menottées au pied de la table, les bras attachés ensemble qui bloquent mes épaules, je ne peux utiliser que mes jambes et mon bassin. Ryo fait de moi son petit jouet immobile. Mes seins pointent, ils sont durs et tendus, ils ne demandent qu’a être maltraités. Ryo doit entendre mes pensées puisqu’il se positionne au dessus et se loge entre les deux. Son énorme bite comble l’espace et va et vient dans l’étau qu’il forme avec mes seins, étalant des fluides poisseux sur ma peau douce. C’est vulgaire. Je me tortille sous lui, essayant d’accompagner les mouvements de Ryo mais il ne me laisse pas faire. Son corps sur mon bassin m’empêche de me redresser comme je voudrais. A moitié nue, à même le sol, attachée, il peut faire ce qu’il veux de mon corps. La sensation d’être sa petite soumise me gagne, c’est ce que je redoutais un début de la soirée et pourtant me voilà en position de faiblesse. L’inspecteur a fini par obtenir ce qu’il veux, une bonne petite salope obéissante. Je sens ses yeux sur mon corps, il a l’air content de son coup. Moi qui voulais paraître forte et inaccessible, la situation a très vite basculé, je ne connais pas vraiment l’homme au dessus de moi et pourtant c’est lui qui a toutes les cartes en main. Je ne pensais pas qu’être ainsi me plairait autant. J’ai déjà fais des jeux sexuels qui finissait attachés mais toujours avec une sécurité autour. Là, la situation est dangereux, le mec est dangereux aussi. Je me retrouve sans défense face à Ryo et sa perversité.

Mais la flaque qui mouille mon pantalon depuis quelques heures montre l’étendue de ma perversité. Cette position de faiblesse me plait et m’excite au final, savoir qu’il peux disposer de mon corps comme il le souhaite, c’est ça la vraie soumission et le fait que je sois trempée montre juste une chose: C’est ce que j’attendais de Ryo au final, c’est exactement ce que je voulais qu’il me fasse. J’essaye de soulever les fesses pour le rapprocher de moi mais en vain. Le poids de Ryo pèse sur mes hanches et même mes coups de bassins les plus violents ne le font pas bouger d’un centimètre. C’est lui qui décide maintenant. Les aller et retour entre mes seins continuent et échauffent ma peau. Je tire la langue et lèche le gland de mon coup du soir à chaque coup de bassin. Ryo prends un plaisir fou, positionné ainsi mais il en veux plus. Et encore une fois, il force le passage entre mes lèvres.

On ne voit plus que des cheveux emmêlés sur le bas ventre de Ryo, il s’est placé au fond de ma gorge en un coup de bassin. Les cuisses de part et d’autre de mon visage, je n’ai pas le choix que d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue pour l’accueillir. La position est très inconfortable, si j’avais l’impression de me faire baiser la bouche dans la voiture, la sensation est encore différente maintenant. Ma tête, appuyée sur le sol, fait butoir pendant que Ryo roule des hanches pour s’enfoncer dans ma gorge. Une fois de plus, son énorme bite me remplit et tape sur ma glotte. Je m’étouffe littéralement sur sa bite. L’inspecteur, en appui sur ses avant bras, peut profiter de la vue de mon visage déformée. Ma propre salive s’accumule dans ma gorge mais je ne peux ni la cracher ni l’avaler. Quand j’essaye de tousser, sa queue s’enfonce un peu plus loin dans ma gorge. Je ne peux pas le repousser, mes jambes commencent à s’agiter, le manque d’oxygène commence à se faire sentir. Dans un dernier espoir de pouvoir respirer sans m’évanouir, je lui lance un regard suppliant et ancre légèrement mes dents dans sa bite, pas pour le blesser, même pas pour lui faire mal, juste pour lui faire comprendre qu’il faut qu’il se retire une seconde sinon son jouet ne fonctionnera plus.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 19 vendredi 14 janvier 2022, 17:23:50

Astrid morfle et le spectacle est foutrement bandant. Ryo lui baise la gueule qu'elle n'en peut déjà plus. Elle va le mordre? Le regard qu'il lui lance signifie qu'elle n'en a pas intérêt. Il se retire quand même de moitié et la laisse se démerder pour respirer et se reprendre alors qu'il n'occupe qu'une partie de sa bouche. Pas facile pour elle d'y arriver mais c'est aussi le but. Elle a promis et lui aussi. Ce sera une nuit mémorable et la jeune femme aura à puiser dans ses réserves pour soutenir ce que le flic va lui imposer. Et ça commence maintenant. L'accalmie est de courte durée et il reprend méthodiquement l'assaut de la gorge offerte. Il martèle puissamment, s'y introduit dans un torrent de fluides qui s'écartent sur son passage. De la salive en quantités massives mélangée à ses propres résidus. Elle en déglutit, en rejette à chaque coup de pompe. Des bulles ridicules se forment à ses narines, aux coins de sa bouche. Les sons de gorge qu'elle produit annonce la difficulté qu'elle a à encaisser. Mais il ne s'arrête pas pour autant, se tord et se démène pour l'amener à cette putain de rupture où elle suppliera qu'il arrête. Oh, il a deviné qu'elle va tenir. Ses déhanchements ne certifient pas que de la rébellion. Elle est excitée comme une puce et il la suspecte d'être capable de jouir rien qu'en se faisant plomber la gueule.

A nouveau, il la libère et se retire totalement dans un suintement écœurant. Un spectateur extérieur dirait que la scène est dégueulasse. Un producteur de porno la classerait dans la catégorie "gonzo" avec une mention extrême. Ryo la regarde douiller.

"Reprend toi petite salope, tu sais que c'est seulement le début. Va falloir être endurante et te dire que t'as c'que tu mérites."

 Il lui prend la mâchoire d'une main et ses gros doigts serrent ses joues.

"Ouvre cette petite gueule de chienne!"

Putain, qu'il la kiffe! Il revient entre ses seins et les enduit d'humeurs alors qu'il les prend à nouveau. Plus fort, trop fort, l'amplitude de ses mouvements terrasse cette jolie poitrine qui rougit sous les frottements. Peut être qu'Astrid ouvre la bouche pour se plaindre et il en profite pour s'y engouffrer, prend directement possession de sa gorge , et plus loin, de son œsophage. C'est là qu'il se videra quoiqu'il arrive, dans son ventre. Il en fera un sac à foutre et elle rotera du sperme pour un moment. Ryo a déjà envoyé des putes à l'hosto pour moins que ça. Astrid semble avoir des limites extensibles et il compte bien toutes les broyées. Son facefuck est monstrueux et dans un mouvement brutal, il glisse et pousse la table basse. Astrid est en hypertension et il s'affale sur sa gueule, rampe. Les genoux du flic enserrent les épaules de la pute et son bassin est bien cadré au dessus de sa gueule. Bordel qu'il la défonce! Elle bave tellement qu'y en a partout. Elle essaye de gueuler, il ruine toute velléités de protestations en investissant sa sale petite face de chienne. Il se loupe, entre de travers, presse au mauvais endroit, ressort, bourrine dans le creux de ses joues. Le rythme est intense, incontrôlable, saccadé, brutal. Quand il se foire et glisse hors de ses lèvres magiques, elle n'a que de précieuses secondes pour reprendre son souffle. Il l'agonise d'injures, de vulgarités tellement vraie que ça sonne érotique. Les salope, chienne, cochonne, bouffeuse de bites, de foutre et autres insanités fusent, comme pour accentuer l'acte obscène.

Quand la sauce monte, Ryo gueule comme une Bête, lui attrape la tête à pleine main et se loge le plus loin possible. Il s'y vide en de longs spasmes violents. La quantité de foutre délivrée est à la hauteur de l'attente. Astrid déborde. Ryo rage et pompe pour la faire avaler ce que le corps de la jeune femme tente de rejeter. Après trois derniers coups de reins titanesques, Ryo bascule sur le côté, la libérant enfin de son étreinte impitoyable.

"Putain! Comment tu fais pour me mettre dans cet état!! Rappelle moi c'que t'es déjà? Une ...?"

Il tourne la tête vers elle. Elle est ravagée ... mais vivante. Ce qu'elle a enduré, peu auraient pu le subir. Ryo ne lui délie pas les poignets et se lève. ce petit bout de femme l'impressionne. Son corps porte les traces de ce qu'elle vient de soutenir avec brio. Normalement, il devrait lui cracher dessus ou mieux, lui pisser à la gueule. C'est ce qu'il ferait avec une pute de trottoir mais là, non ... peut être après.

"Y'a de l'alcool ici?"

Ok un whisky ira bien. Il s'en sert un verre qu'il s'envoie sec puis remplit un autre verre d'eau fraiche. Il le porte à Astrid, la redresse (un peu ... pas facile les mains liées) et l'aide à boire par petites gorgées.

Il s'assoit ensuite contre un fauteuil et la mate.

"T'es encore plus canon quand t'es souillée."

Finalement, il boit directement au goulot de la bouteille de Scotch.

"Alors dis moi petite trainée ... tu regrettes ou tu t'éclates?"


L'éclat luisant qui brille au fond de ses yeux exprime toute sa perversité. Qu'elle ne se loupe pas dans sa réponse ...

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 20 samedi 15 janvier 2022, 19:06:31

C’est la fellation la plus rude que je n’ai jamais eu à faire. J’ai pourtant un peu d’expérience dans cette pratique, mais attachée par terre, coincée entre son bassin et le sol, celle ci ne sert à rien. Ryo en profite et s’amuse de la situation. Plus la salive et le foutre sortent de ma bouche dans des bruits obscènes, plus il est satisfait. Il se déchaîne sur moi, oubliant probablement que j’ai besoin de respirer pour vivre. Ses hanches poussent son chibre plus loin dans ma gorge, comme si c’était possible d’ouvrir les muqueuses de mon oesophage. Les quelques secondes de repos qu’il m’offre, pour mieux investir ma poitrine, je les passe à tousser et à expulser toute la salive accumulée dans le fond de ma gorge. « Connard. » Je ne peux m’empêcher de l’insulter. Ryo semble presque possédé, intéressé uniquement par la profondeur de son mouvement de bassin. Ca coule le long de mes joues, ça colle sur mon menton, j’ai le visage maculée de liquides poisseux. La brulure dans ma gorge ne s’en va pas vraiment, comme s’il y était toujours planté.

Le fait que je l’insulte en m’étouffant n’a même pas l’air de le déranger et il revient à la charge avec plus d’entrain. Je me retrouve coincée sous son bassin, les bras tendus à l’extrême en arrière, incapable de bouger le haut de mon corps. Ryo appuie sur ma glotte, forçant le passage vers mon oesophage. La position devient gênante, j’essaye d’articuler un mot, gigotant des épaules pour le pousser mais il n’entends rien, tape plus fort et bourre mes joues comme jamais. J’encaisse comme je peux mais arrive au bout de mes limites. J’entends à peine la vague d’insultes et son râle puissant signalant l’orgasme approchant et je me fais surprendre par le flot de sperme sortant de sa queue. Le liquide visqueux s’échappe de la commissure de mes lèvres, le reste finit dans mon estomac, avalé entre deux coups de butoirs.

Putain, il m’a défoncé. J’ai mal à la mâchoire et à la nuque. A bout de souffle, ma tête bascule en arrière, calé contre le sol. « Une… Une salope. » Lui dis je, dans un murmure fatigué, sans vraiment utilisé ma voix. Même l’air frais qui entre dans mes poumons me fait mal. Il doit m’avoir fait des bleus jusque dans le fond de la gorge. Je ferme les yeux une seconde. Mes seins et mon visage sont tachés de fluides secs et de traces rouges, probablement des traces d’échauffement. Il a du aussi me faire des bleus aux épaules. Tout mon corps est endolori, je me dandine par terre, essayant de définir quelle partie est la plus douloureuse. Je le regarde, partagée entre la fatigue et la stupeur. Presque gentiment, il me relève la tête pour me faire boire de l’eau, sans pour autant me détacher. Ca l’excite. Il adore ça. Me voir frotter mon cul contre le sol froid, sachant que c’est lui qui a provoqué ce bordel. Il n’attends que ça. Que je lui dises que c’est trop pour moi. Ce sadique veut que je lui dise que je n’en peux plus, qu’il a été trop brutal, trop violent pour mon petit corps fragile. Il pourra toujours taper plus fort, toujours aller plus loin, je ne le supplierai pas d’arrêter. Ca lui ferait trop plaisir. Je ne sais pas si je dois l’insulter et lui demander de me détacher ou si je dois le supplier l’enlever mon pantalon et de me baiser. Aucune de ses deux solutions ne me conviennent vraiment, mais la chaleur dans mon bassin me trahit. Je ne peux pas vraiment ignorer que la situation m’a plu aussi, que mon jean est trempé de plaisir, que mes seins endolories en demandent encore plus, que je ne veux pas que la soirée se termine maintenant.

Les sourcils froncés, la respiration toujours courte, je réalise que j’adore ça aussi. J’aime son regard sur moi. J’adore qu’il me regarde de haut, fier de m’avoir souillée ainsi. La soumission a toujours été un aphrodisiaque pour moi, laissée les hommes profité de mon cul comme ils veulent me procure plus de plaisir que je ne l’ai imaginé. Mais je n’aurais jamais imaginé prendre autant de plaisir à me faire humilier ainsi. D’autant plus avec un mec rencontré le soir même dans une soirée merdique. Essayant de ne pas laisser paraitre mon ébahissement, je pousse mon corps vers le haut, relâchant l’extension sur mes épaules. Moins gênant mais toujours pas confortable. « Pourquoi y’a que toi qui a le droit à un whisky? C’est plutôt moi qui mérite un prix. » Les premiers mots qui sortent de ma bouche sonnent gras, encore enrobés de foutre et de salive. Je tousse légèrement, éclaircissant ma voix. Le goût sur mes lèvres est salé, épais, légèrement amer. Je ne veux pas vraiment répondre à sa question, alors je l’évite. « Enlève moi mon jean. Il me gêne. » Je comprends bien toute la portée de sa question. Il me demande clairement si je veux continuer ou non mais je ne suis pas encore prête à lui avouer combien j’ai aimé ça.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 21 dimanche 16 janvier 2022, 18:07:43

"Ouais t'as raison, tu mérites bien quelque chose..."

Il verse une mesure de scotch dans son verre et lui donne à boire, en une fois. C'est du bon. Si c'est elle qui l'a choisi, elle a bon goût. Lui aussi s'en ressert. La profondeur tourbée du breuvage affine ses sensibilités, dégage le trouble du mauvais whisky consommé plus tôt. Additionné au rail de coke qu'il s'est envoyé, le mélange est détonnant. Sa clairvoyance prend le dessus sur tout le reste. Il vit cet instant de pur sexe à cent pour cent. Les effets sont décuplés, les envies irrépressibles. La gamine paye sa témérité et si elle survit à cette nuit, il se jure d'en faire sa pute personnelle. Elle arrive encore à être autoritaire après cette défonce buccale hors-norme. Affaiblie mais toujours là. Bordel, qu'est ce qu'elle a prit!

Ryo obtempère et lui retire son jean qui porte l'indécence de son plaisir. Il en sent l'entrejambe, imbibé de ce qu'elle n'a pu contenir. Il continue en s'accroupissant devant elle. Sa voix est sourde, presque menaçante, lourde de tout le vice qu'il inclut dans ses mots.

"C'est vrai ... Tu mérites de te faire prendre comme la dernière des chiennes, de t'faire trouer la rondelle ... de n'être plus qu'un sac à foutre, que tu le veuilles ou non. Tu vas couiner ma salope! Putain ouais, t'aurais pas dû faire c'te promesse!"


En  quelques gestes, il la détache mais seulement pour un court instant. Il a récupéré un autre torchon et après s'être assuré de l'avoir bien immobilisé, il lui noue chaque poignet à une cheville. Qu'elle soit consentante ou pas pour continuer, il s'en fout. Si elle gueule, il lui enfoncera un truc dans la bouche. il se relève et va se passer un coup d'eau sur la figure. Quand il revient, il l'observe à ses pieds. Dans cette position, où elle arrive à rester sur le dos ou forcement, elle bascule d'un côté. Si elle veut se détendre, elle doit fléchir ses jambes pour reposer ses bras, et donc offrir une vue imprenable sur son cul et sa chatte. Si au contraire, elle fatigue des cuisses, elle tendra les jambes et nécessairement les bras, ouvrant un angle parfait pour se faire ravager. mais d'abord ...

Ryo s'agenouille derrière elle. Ses genoux touchent les épaules d'Astrid et il lui guide la tête en arrière.

"Ouvre ta gueule!"


Et d'un coup brutal ... "HAN!" empale sa gorge jusqu'à la garde. Le geste est brusque et il comprend bien qu'elle éructe et se torde. Ce n'est pas pour autant qu'il se retire.

"Si tu mords, tu morfles."

Il lui prend les seins à pleines mains. Il peut sentir son petit cœur battre la chamade. Bien logé dans cette gorge de velours, il s'abaisse ensuite sur elle et vient insère un doigt dans sa chatte, puis deux, puis trois qu'il crochètent pour se maintenir dans son vagin. Qu'elle gigote, il faudra bien qu'elle assume cette position et se calme . Ryo entreprend un doigtage poussé, elle est tellement trempée  qu'il glisse en elle trop facilement.

"Putain que j'ai envie de t'fister!!"

Il s'acharne dans sa gueule, aussi fort que dans sa chatte. Il veut qu'elle supplie, qu'elle craque, c'est sa conception du sexe. Egoïste, arrogante, et ce qu'il vit avec elle, il ne l'a que très peu expérimenté, ses partenaires cédant toujours bien avant. Quand il retire  ses doigts suintants de la chatte molestée, c'est pour venir saisir ce cou gracile. Putain qu'il est violent! Il se sent bouger en elle, écarteler les chairs tendres. C'est une véritable destruction à laquelle il s'adonne. il plonge dans un bouillon de foutre et de salive. Il adore l'entendre déglutir, tousser puis s'étouffer dans des gargouillis dégueulasses.

Après de nouvelles longues minutes de ce traitement inhumain, il se retire et la fait pivoter pour présenter son cul. Il étale les fluides d'Astrid sur sa rondelle et une fois bien calé entre ses cuisses, pulvérise le passage de ses reins. Ce n'est pas maintenant qu'il va devenir doux et c'est brutalement qu'il s'emmanche dans son cul.

"C'te gueule de pute que t'as ..."

Terminée Astrid, partie la jeune femme au regard pétillant, dissoute la salope de l'ascenseur.  Sa partenaire n'est plus qu'un réceptacle à bites complètement détruit. Sa gueule porte les stigmates de ce qu'elle supporte.

Ryo a les mains ancrées à ses épaules et l'encule de toutes ses forces. Ses coups de reins sont durs, puissants, vicieux. La place qu'il s'est faite entre ses fesses laisse un orifice béant à chaque fois qu'il en glisse.

"HAN!" pilonne.
"HAN!" ravage.
"HAN!" martèle.

Ce n'est  qu'une succession de pénétrations monstrueusement sordides. Quand il relâche les fines épaules, c'est pour enfoncer ses doigts dans la gorge martyrisée, pour lui serrer le cou ou pincer ses tétons. Astrid a fait l'erreur de lui offrir son intimité, la retour de bâton est disproportionné.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 22 lundi 17 janvier 2022, 08:44:37

Il doit vraiment aimer ma gorge, ou pire mon oesophage. Je n’ai plus aucun contrôle sur la situation, mes petites remarques ne l’éteignent plus vraiment. Ryo m’écoute mais il n’enregistre pas, il est perdu dans son tourbillon de domination et de perversion. Son regard devient fou, sa poitrine se soulève lourdement, sa queue se tends presque un peu plus. Je n’ai plus affaire à un homme, mais une espèce de bête prêt à fourrer sa queue dans n’importe quel trou. Il a encore l’air d’avoir des idées en tête. Je trouvais déjà l’idée de m’attacher à la table basse originale, mais là, mes jambes attachées à mes poignets, c’est… Osé. L’air frais de l’appartement me fait frissonner et passe mon cul et ma chatte exposés. C’est inconfortable. Mes joues deviennent rouges comme si j’étais timide. Je me sens encore plus petite et fragile que d’habitude, à tout moment, il peut me briser. Là, dans cette position obscène, je suis exposée au monde entier. On se connait depuis 5 minutes et déjà, il m’envoie dans un univers d’humiliation et de perversion que je ne connais pas du tout. Et le pire dans tout ça, c’est que je le laisse faire et que j'aime ça.

Ma mâchoire est crispée sous ses coups de butoirs. Une petite seconde, je me demande s’il ne veux pas me la luxer pour être sure d’entrer plus facilement. Sa queue va toujours plus loin, toujours plus fort. Il ne me ménage pas, en même temps, je pense que Ryo ne sait pas ce que c’est le sexe normal. Je gémis contre lui, mes cordes vocales vibrants sur son gland, quand il me mets 3 doigts. Je n’ai pas ou peu été stimulé ce soir, toute mon excitation est du à la bite de Ryo dans ma gorge et à mes poignets attachés, ce qui ne m’aide absolument pas à garder mon calme. Je plie les jambes pour lui laisser un peu de place, mais la position est compliquée, entre sa bite dans ma gorge, son corps au dessus de moi et ses doigts dans ma chatte, j’ai peu de manoeuvres. Mes fesses se dandinent contre le sol, mon bassin essaye d’accompagner les mouvements de l’homme mais il est trop intense pour que je puisse trouver un rythme correct. Et la pression dans le fond de ma bouche n’aide en rien, il est encore en train de m’étouffer. Sa queue tape contre ma glotte, un peu trop loin. Un relent de bile monte dans ma bouche, par je ne sais quel miracle, Ryo me laisse une demi seconde de répit pour pouvoir déglutir de nouveau. Le mélange est étrange, probablement à cause de tout ce foutre que j’ai avalé.

Je n’ai pas le temps de récupérer de sa séance de doigtage démesuré qu’il me retourne, sa grosse bite luisante face de mon anus. Il étale ma cyprine dessus, mon trou est resté dilaté par la sodomie précédente mais trinque quand même quand il s’enfonce dans mes entrailles. C’est si fort que ses couilles viennent claquer contre la peau de mes fesses. Tout mon corps porte déjà des marques rouges des violences de Ryo, mon cou des traces de doigts, mes seins des traces de bites et de morsures, mes poignets des traces de brulures du tissu. Une chaleur sourde monte en moi. Tant de violence me désoriente, m’accable, me tiraille mais ça m’excite aussi follement. Je ne peux même pas me toucher dans cette position, mes mains ont agrippés à mes chevilles, la jouissance vient du plus profond de moi. Je mouille énormément, ça dégouline sur la bite de Ryo et lubrifie le passage. « RYO! Attends, attends, putain c’est trop ! » Je lui hurle dessus, presque agonisante sous lui. Je me perds entre le plaisir et la douleur, ma jouissance monte, toujours plus forte, toujours plus puissante sous les coups de queue, je n’arrive même plus à déglutir correctement tellement le plaisir est intense, un filet de bave s’écoule de mes lèvres, atterris sur ma poitrine en le regardant. Ses doigts se referment sur ma gorge, coupant ma respiration quelques secondes et j’explose. Des jets de cyprine arrosent le ventre de Ryo, tout mon corps tremble comme une feuille, mon oeillet béant se resserre d’un coup, accompagnant les spasmes de mon corps. Je jouis encore et encore pendant qu’il continue de me culbuter. « Détache moi Ryo je t'en supplie. » Ma limite est dépassée, je n’en peux plus. Mon anus est dilaté au maximum, on pourrait presque y glisser un poing. L’arrosage continue malgré mes plaintes, une flasque se créé sous mes fesses. Je n’ai jamais joui comme ça, ça n’a jamais été aussi… Mouillé. J’ai l’impression de lui avoir pisser dessus.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 23 lundi 17 janvier 2022, 15:57:30

Mais c'est qu'elle en fout partout la chienne! Astrid craque, submergée par un orgasme qui surprend Ryo tout autant. Enfin, elle supplie. Le flic l'a amené au point qu'il voulait. une bonne baise se termine pour lui par la défaite de sa partenaire. Il ne conçoit pas qu'elle s'en sorte sans avoir ramasser. Mais celle-là, c'est une perle! Elle a prit cher, très cher et elle s'en est satisfaite en plus. Elle inonde Ryo de son plaisir, son corps est parcouru de vagues intenses qu'il peut ressentir tant elle se contracte autour de lui. Fiché dans son cul qu'il continue à pilonner, il s'est délecté de ses hurlements, de son abdication. Lui aussi est au bout du rouleau mais pour d'autres raisons. Sa queue pilonne une masse brulante et les contractions d'Astrid ne font que décupler son plaisir. Il beugle comme une bête quand il ne tient plus et se retire de ce cul divin pour se positionner au dessus d'elle. Il fléchit les jambes et se présente devant le visage détruit.

"OUVRE TA PUTAIN D'GUEULE!"

Et il s'y vide encore une fois abondamment, en d'énormes quantités de sperme, ajustant son tir pour qu'elle n'en perde pas une goutte. il tremble, son corps est électrisé et quand enfin il termine, il s'effondre sur elle à genoux, l'écrasant sous son poids. Sa grosse queue vient s'écraser sur e joli visage, molle à présent. Il se contorsionne un peu, il lui fait mal comme ça. les membres d'Astrid sont tendus à l'extrême. En un tour de main, il défait les nœuds. Merde! c'était serré fort et elle en porte les marques, en plus d'avoir tiré dessus comme une folle. il a l'impression d'avoir un cadavre sous lui. Il se redresse péniblement et s'envoie une rasade de whisky. Pas besoin de parler pour l'instant, il voie bien qu'elle récupère et lui aussi à besoin de souffler un peu. Il utilise un torchon pour essuyé la sueur qui le couvre, il a vraiment donné. Il se demande même s'il était déjà allé aussi loin. Bordel! Dans cet état il aurait pu la buter ... l'alcool et la dope, ça avait du bien mais en contrepartie, un accident était vite arrivé ...

Astrid est encore par terre. La petite chose brisée est délicieusement séduisante à ses yeux. Ryo va s'asseoir sur un canapé confortable et frissonne.

"Il pèle chez toi. Traine pas et viens me tenir chaud! A moins que t'es envie qu'on recommence de suite? Non?"

De toute manière, qu'elle vienne ou pas de change rien. il se lève et vient l'attraper par le poignet pour la tirer avec lui sur le sofa. Qu'elle ne réagisse pas assez vite n'est pas un problème. Il a pour lui la force brute. Elle est toute petite sur lui et plus encore alors qu'elle reste prostrée. Elle sent fort, elle sent son odeur à lui mélangée à ses plaisirs à elle. Il lui tire les cheveux en arrière pour contempler son visage. Superbe!

"J'kiffe ta gueule d'amour."

il ne va pas lui rouler une galoche, c'est pas son truc les papouilles mais il est soudainement prit d'un sentiment étrange. Surement pas de la honte ni de la culpabilité, il s'est éclaté et recommencera c'est sûr. Ce n'est pas non plus de la compassion alors quoi donc? il hausse les épaules et tente d'oublier cet intermède passager bien qu'un petit truc lui reste dans le fond de l'esprit. Il arrive à saisir son blouson qu'il avait jeté sur l'accoudoir du canapé et sort d'une poche son paquet de clopes. c'est le moment idéal pour s'en griller une. Alcool, cigarette, une pute et une bonne séance de baise, le top!

Quand il termine, il se lève et porte sa victime à la salle de bain. Il entre avec elle dans la cabine de douche et allume l'eau à la température la plus élevée qu'ils puissent supporter. C'est réparateur et il se lave en la regardant faire. Elle s'anime un peu, c'est bien. Par pur formalisme bien que ça ne lui corresponde pas, il demande quand même.

"Ca va ?"

Faut croire que non vu comme elle a l'air de douiller ... Mais ... elle a promis, il lui rappellera encore et encore. A elle d'assumer.

"J'ai la dalle, t'as un truc à manger? T'en profiteras pour réfléchir et choisir pour tout à l'heure: la bouche ou le cul? On a pas fini, il nous reste encore un peu de temps. Pense même pas à me demander de te fourrer la chatte, c'était pas dans le deal. Et puis ... t'as pas besoin de ça pour jouir, hein salope?"

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 24 mardi 18 janvier 2022, 17:28:35

Je suis affalée sur lui en train de fumer sa clope, je ne sais pas qui tient chaud à qui. Mon corps ne me réponds pas vraiment, j’ai pris si chère que j’ai l’impression de ne plus sentir aucun de mes muscles. Quand il m’agrippe pour admirer mon visage défait par sa faute, il sourit largement, très heureux du résultat. Bien que j’ai appréciée sa baise violente, je ne peux m’empêcher de lui lancer un regard noir. C’est quand même un connard. Certes, j’ai joui comme jamais et oui c’est un très bon coup mais il a du bol d’être tombé sur quelqu’un qui a réussi à encaisser ses putain de coups de butoirs. Il aurait pu me briser en deux ou m’étouffer pendant la partie de baise qu’il ne s’en serait même pas rendu compte. Quand j’aurais assez de force, je l’engueulerai comme il faut. Mais pas maintenant, maintenant je souffle et récupère, la tête presque blottie contre son torse, baignant nos fluides sexuels respectifs. Ca n’a rien de romantique, mais c’est apaisant.

Presque gentleman, il me porte jusqu’à la salle de bain. J’ai l’impression de ne rien peser dans ses bras, il me soulève comme si j’étais un poids plume. L’eau chaude m’aide à retrouver mes esprits, j’ai la tête encore embuée, résultat d’un orgasme trop puissant et d’une maltraitance corporelle intense. Je ne suis pas sure d’avoir déjà eu un orgasme aussi puissant, l’ayant inondé de cyprine, sans même avoir toucher ma chatte ou mon clitoris. Je porte ma main à mon cou, essayant de détendre mes muscles. Il y est allé très fort, toute ma peau est endolorie, je pense qu’elle va finir par bleuir dans la nuit. Un col roulé va être de circonstance demain. J’ouvre grand la bouche et récupère de l’eau chaude. Je la passe partout à l’intérieur, fais un espèce de gargarisme étrange et recrache par terre. L’eau qui sort est blanchâtre avec quelques traces de sang, ma main glisse sur la bouche et je récupère un peu de sang à la commissure de mes lèvres. Il a du l’endommager en forçant le passage. Je sais que ça va cicatriser, mais ça laissera aussi des traces. Tout mon corps a l'air d'être devenu un bleu ambulant. Ryo va griller ma couverture de petite fille sage avec ces conneries. Déjà qu'il m'a exposé souillé et dominé à la soirée de tout à l'heure, maintenant il va falloir que je cache toutes les traces avant d'arriver à l'hôpital demain matin.

Je suis surprise de sa question. Je ne pensais pas qu’il serait considérateur de mon état. « Oui ça va. Tu m’as… défoncé putain. » J’essaye de reprendre contrôle de mon corps, massant mes poignets sensibles. Des jolies traces circulaires se sont formés autour, tel des brulures. Un petit gémissement de douleur me prends quand je commence à bouger mes jambes. Aoutch, ça, ça fait mal. L’eau chaude qui passe sur mon visage, détends mes muscles mais n’apaise pas vraiment les douleurs. Un frisson me parcoure quand je sens l’eau brulante passé entre mes fesses, sur mon anus béant. Putain, j’ai survécu à deux sodomies violentes coups sur coups sans préparation au préalable et surtout sans m’évanouir. Putain ça relève presque du miracle. « Je dois avoir des trucs à grignoter dans le frigo, tu pourras te servir après. » J’attrape sa main qui le nettoie et la pose sur mon ventre. « Mais d'abord, tu prends soin de moi. Je n’ai pas la force de me laver et c’est de ta faute. Passe tes mains partout pendant que je réfléchis à ta proposition. Mais vas y doucement. » Il ne sait probablement pas comment faire doucement, mais je vais lui montrer. Je sais bien qu’un mec comme lui n’en a rien à foutre de ma condition physique, mais s’il pouvait au moins me nettoyer de tout son sperme et de notre sueur, on aura quand même déjà gagner un peu. Je ne suis pas sure qu’il ait connu beaucoup de femmes, des vraies femmes. Pas des putes qu’il a trouvé dans la rue, ou des meufs prêtes à tout pour lui faire plaisir pour échapper à une prune ou une arrestation. Je me doute qu'il doit régulièrement baiser ses meufs là, parce que pour qu’une femme soit consentante pour se faire tringler comme ça, il faut qu’elles aient une sacré motivation… Ou un sacré esprit pervers. Ou alors, il ne les voit qu'une seule fois et après elles ne veulent plus jamais entendre parler de lui. Ca aussi c'est fortement possible.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 25 mercredi 19 janvier 2022, 16:42:59

Astrid fait preuve d'une extraordinaire capacité de récupération. Ryo l'observe . Elle se livre à un examen de son corps. On voit bien là l'experte médicale. Son corps porte les sévices de la sauvagerie du flic et il faudra qu'elle fasse avec pour quelques jours tout au mieux. Elle frémit quand l'eau chaude atteint son anus meurtri et il sourit sadiquement. Ce petit cul est un appel à la défonce et il compte bien le détruire à nouveau. Il sait dans quel hosto elle bosse et il s'imagine déjà des petits jeux bien hard dans les locaux hospitaliers. Enfin ... il n'y est pas encore et il n'est pas à l'abri qu'elle refuse de le voir à nouveau après cette nuit de folie.

La laver? Pourquoi pas. Ca lui redonnera la trique. Il pense un instant à ce reprendre un rail de coke mais décide que non, il pourrait vraiment la tuer là. Autant faire avec ce qui lui reste de vigueur. Les effets de la poudre ne se sont pas totalement dissipés et il sait qu'il peut encore au moins  tenir une passe. Ses grosses mains se ruent à l'assaut du corps d'Astrid. Il la savonne sans douceur, appuyant ses gestes quand ses doigts glissent entre les cuisses tremblantes, qu'il empoigne les seins de la jeune femme ou glisse un doigt dans sa raie des fesses. C'est là que les dégâts sont les plus marqués. Le sphincter a craqué et saigne un peu. il est distendu et les contractions qu'il affirme prouvent toute la difficulté qu'il a à revenir à sa fermeture initiale. Ryo insère un doigt dans le trou béant et s'amuse à ramoner le conduit. Putain, il l'enculerais bien sous la douche mais un gargouillement lui rappelle qu'il a aussi envie de bouffer. il termine donc de la laver et la rince sans ménagement. La douche, c'est bien mais pas trop longtemps non plus.

Il sort de la cabine et lui jette une serviette tandis qu'il se sèche lui aussi. C'est rapide et en laissant des marques humides au sol, il retourne à la cuisine où il ouvre le frigo. il fronce les sourcils. C'est ça des trucs à grignoter? Il a faim et pourrait bouffer un bœuf. Les trucs qu'il sort nourriraient à peine un bébé ... Il croque ce qui lui parait comestible et referme la porte du frigo un peu irrité.

"Alors? Tu choisis quoi?"

Il va s'installer sur le canapé et attend, les pattes écartées. il se branle tranquillement pour garder une certaine raideur. Lui aussi à douiller. Sa queue est marquée, rougie. De fines craquelures laissent même perler de microscopiques gouttes de sang. Il passe un bras sur le dossier et guette l'apparition d'Astrid dans l'encadrement de la porte de la salle de bain. Il n'a aucune préférence pour la suite. Qu'il lui bourre la gueule ou le cul, c'est pareil. Il va l'utiliser tout simplement pour se vider les couilles. Il regarde juste un peu dans le salon ce qui pourrait lui servir à pimenter un peu leurs ébats.

"J't'attends Astrid!"

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 26 jeudi 20 janvier 2022, 17:30:41

Pour une fois, Ryo décide d’obéir. Enfin obéir est un grand mot. Il n’a clairement pas comprit le mot doucement et s’amuse même à appuyer là ou ça fait mal. Ses grosses mains sont agréables quand elles passent dans mon dos et sur mes fesses meurtris, un peu moins quand il me pétrit les seins comme s’ils lui appartenaient. Je gémis quand il introduit un doigt dans mon rectum. Putain, doucement j’avais dis. Il continue à jouer avec quelques secondes regardant mon visage se déformer par la douleur. Salaud. Mais il est interrompu par l’appel de la bouffe. Presque contrarié, le flic finit de me rincer et sort de la douche sans un mot, mettant de l’eau partout sur son passage. J’attrape la serviette pour me sécher, grommelant dans son dos. Je sais qu’il n’est là que pour m’utiliser et à vrai dire, je suis en train de faire la même chose, mais son manque de civilité commence à me taper sur les nerfs. La petite aristocrate que je suis n’aime pas être prise pour une conne.

J’espère qu’il ne s’attends pas à un poulet frites dans le frigo parce que ça n’est pas le cas. Dans le meilleur des cas, il y aurait des sandwichs à manger, peut être quelques fruits, des yaourts aussi mais rien de très consistant pour un mec de sa taille. La plupart de mon temps étant passé à l’hôpital, je ne me dérange pas à aller faire des courses compliqués et encombrantes, les quelques produits qui jonchent mon frigo sont des intemporelles. Pendant qu’il inspecte mon frigo, je me sèche avec une serviette moelleuse. C’est la chose la plus douce qui me soit arrivé ce soir. Mon corps endolori se réveille doucement, l’eau chaude ayant bien décontracté mes muscles. Je regarde mon visage dans le miroir embrumé de la salle de bain, passant une lingette démaquillante sur mes yeux de panda. Ryo a fait coulé de longues trainées noires de mascara sur mes joues à force de baiser ma gorge. Je dois frotter un peu pour qu’elles partent, elles ont eu le temps de s’incruster dans ma peau.

Il hurle du salon, confortablement installé sur le canapé. Quand je reviens vers lui, il a sa queue en main et l’astique passablement pour garder son érection. Comment un mec peut autant m’énerver dans son comportement et m’exciter dans ses gestes? Je devrais avoir envie de lui en coller une pour m’avoir défoncer comme il l’a fait mais là maintenant, j’ai juste envie de lui remonter dessus et de m’empaler sur sa bite. Je frémis seule avec mes pensées perverses. « Tu es toujours un connard comme ça? » Je m’approche de lui, en me séchant les cheveux avec la serviette. La force de mes jambes est revenue, mais si c’est lui qui continue de me baiser, je ne suis pas sure de pouvoir me relever après. « Mon cul. Juste mon cul. » Je m’assoie sur lui, mes cuisses de part et d’autre des siennes et lâche la serviette à coté de nous. « Mais laisse moi t’utiliser un peu aussi. » J’attrape ses deux poignets dans une de mes mains et les cale derrière sa tête. En un mouvement, il peut me repousser et prendre le contrôle mais j’essaye de garder bonne figure devant lui. Mon autre main prends sa queue et la guide jusqu’à ma chatte toujours mouillée pour récupérer des fluides lubrifiants. Je ne l’enfonce pas à l’intérieur, je me souviens de ses paroles, je sais très bien que si j’ose me pénétrer la chatte avec, il me punira et en profitera pour reprendre le contrôle. Puis je la dirige vers mon anus dilaté. Mon bassin ondule dessus pour la laisser s’enfoncer toute seule. Ma tête part en arrière, profitant de la sensation. Quand elle est enfoncée assez loin pour que mes hanches puissent faire tout le boulot, ma deuxième main vient rejoindre la première, continuant de maintenir ses poignets. J’appuie de tout mon poids dessus, comme pour essayer de l’immobiliser. Mon cul monte de haut en bas sur son pieu, épousant parfaitement ses courbes. Le rythme est plaisant, pas trop lent, pas trop rapide, ni trop violent, un rythme de croisière pour me faire venir rapidement. Je sens les muscles de mon oeillet se dilater de nouveau et recevoir sa bite avec plaisir. Mes joues redeviennent rouges d’excitation. Cette fois, ça n’est pas son plaisir qui m’intéresse, mais le mien.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 27 samedi 22 janvier 2022, 17:52:12

Ryo hausse les épaules.

"Un connard? Là? Il te faut pas grand chose ... j'suis cool et tu prend ton pied."

Elle s'approche de lui et il sourit quand elle annonce son choix. Excellent d'ailleurs, même si entre les deux propositions, le résultat aurait été similaire. Astrid décide de prendre les choses en main, par précaution peut être? Non, plus par désir de revanche. Ca se lit dans ses yeux et elle le dit juste après s'être installée sur ses cuisses. ce n'est pas un reproche mais juste l'envie de montrer qu'elle en veut encore, qu'il n'a pas totalement la main mise sur elle. Elle se raccroche à cette petite once de libre arbitre qui survit encore en elle. Ryo approuve et la laisse faire, appréciant à nouveau le contact de ce petit corps chaud. Astrid s'active rapidement à lustrer la queue du flic avec son plaisir avant de se l'enfiler dans le cul. Elle s'éclate. Son simili-show de domination fait sourire Ryo et il ne se dégage pas des petites mains fragiles. Ca viendra après. La jeune femme le chevauche vigoureusement, en rythme. Elle n'a eu aucun mal à le prendre en entier et il profite de la profondeur qu'elle lui offre pour son plus grand bonheur. Ce petit cul est la huitième merveille du monde, confortable, accueillant, ouvert et si  bon à exploser.

Elle prend son pied à nouveau, pour elle, rien que pour elle. L'expression d'extase qui s'affiche sur son visage indique toute l'euphorie sexuelle qui la tient à ce moment. cette chevauchée dure de longues minutes sans que Ryo intervienne. Lui aussi s'éclate et sa queue frémit à chaque secousse. Quand il la sent prête à venir, il se libère les poignets d'un mouvement et vient refermer ses bras autour du corps qui s'échauffe sur lui. Il la laisse néanmoins aller jusqu'au bout et quand son orgasme la dévaste, il lui donne seulement une consigne toute simple.

"T'arrêtes pas!"

Elle se tord, violemment, son cul sensible doit demander une accalmie qui lui est interdite. Chaque millimètre doit en être terriblement sensible mais elle n'a pas le droit de s'arrêter. Ce n'est qu'au second orgasme qui termine de l'achever qu'il consent à la relâcher. La chose molle qui transpire à nouveau sur lui ne bouge plus cependant il sent son cœur battre la chamade et sa poitrine se soulever anarchiquement alors qu'elle tente de reprendre son souffle.

"Une vraie pute pour jouir alors qu'tu t'fais enculer."


C'est une évidence.

Mais maintenant, c'est à son tour et le petit câlin sur le canapé vient de prendre fin. D'un geste brusque, il la retourne sur le dos, enfoncée dans les coussins du canapé, la plie en deux en lui ramenant ses cuisses sur la poitrine et l'empale d'une unique poussée ultra violente. Il lui perce les tripes, l'achève, et pour éviter qu'elle gueule, lui couvre la bouche. Il martèle aussitôt comme un marteau pilon, puissant et régulier, s'abattant dans ce cul de la plus brutale des manières. Il passe les jambes d'Astrid sur ses épaules, la soumettant complètement à la sauvagerie de ses instincts primaires. Il glisse, son front heurte le visage d'Astrid, i se redresse, lui serre le cou, fou et accélère. Ses abdos le brûlent, ses cuisses aussi sont en feu, sa queue broie les entrailles de la jeune femme qui est secouée comme une chiffe molle. Il se retient et quand la sauce monte après cette débauche furieuse, il s'extraie du trou béant qu'il pulvérise et grimpe plus haut. Il la saisit par les cheveux et hurle.

"AVALE SALE PUTE!"


Elle n'offre aucune résistance et c'est dans sa gorge qu'il va se déverser en beuglant. il s'avachit sur sa gueule d'ange détruite et n'en sort que quand il la sent suffoquer. Il se tient debout à côté d'elle, une lueur meurtrière dans les yeux. Coke, alcool, sexe ... Ryo est fou. Il se calme difficilement avant de foncer se passer la tête sous l'eau froide.

"PUTAIN!"

il revient en trombe au salon voir si elle est vivante. Oui. Soulagement malgré tout. Elle a salement morflé. Beaucoup trop en fait mais elle devrait s'en sortir.

Le grand flic se rhabille et revient la voir.

"C'était une bonne partie de baise. Les salopes comme toi courent pas les rues. Si t'as envie de me revoir, tu sais où je bosse."

Il récupère un double du badge d'accès qu'il trouve près de la porte d'entrée et se barre, la laissant détruite et souillée.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 28 lundi 24 janvier 2022, 19:36:29

Mon orgasme me dévaste. Putain, c’est quoi le troisième? Le quatrième de la soirée? Je sens mon cul pulsé autour de sa queue, essayant de se refermer sans pouvoir. Mon corps n’est plus qu’un petit bout de chair transpirant. Ses bras se referment sur moi, une seconde, je trouve ça presque réconfortant jusqu’à il m’ordonne de continuer. Haletante, sa bite toujours plantée dans mon cul, je le regarde presque ébahie. Continuer? Ma jouissance précédente m’a rendu beaucoup plus que sensible, mon état de fatigue est avancé et mon fondement a déjà prit assez cher. J’ai presque du mal à comprendre ses mots. Comme je mets du temps à réagir, il m’entraine vers le haut pour me pousser à continuer. Je gémis de douleurs, toutes mes muqueuses intérieures se contractent et je sens toute la longueur de sa bite me fouiller. Avec toutes les forces qu’il me reste, je lui obéis et continue d’aller et venir au dessus de lui mais la douleur prends le dessus sur tout. Chaque mouvement entraine un bruit de succion obscène et me ravage un peu plus. Bien que je prends cette queue depuis déjà quelques minutes, j’ai l’impression que mon cul se ressert encore autour de son gros chibre, le rendant plus étroit. Je plante mes ongles dans ses épaules et me perds dans les abîmes de la douleur. Mais malgré tout, après quelques secondes, je me surprends à prendre du plaisir, sentant la jouissance venir réchauffer mon bas ventre. Putain ce connard va réussir à me faire venir une énième fois en me forçant à continuer. L’orgasme me prends de court, peu de temps après le dernier. Tout mon corps tremble, mon anus se contracte sous la pression, emprisonnant Ryo à l’intérieur. Un nouveau jet de cyprine l’inonde et le trempe, lui et le canapé. Je le garde au fond de mon oeillet, assise sur lui, la tête posée sur son épaule tout en essayant de me calmer. Mon coeur menace de sortir de ma poitrine, mes mains sont moites et une particule de sueur recouvre tout mon corps. Ca y est. Il m’a vidé. Toute mon énergie est passé dans ce dernier orgasme imprévu. J’entends à peine ses mots qui me traitent de pute. Mais il ne doit pas avoir vraiment tort.

Mais mon répit est de courte durée. Ryo m’a laissé prendre mon plaisir seule, même s’il semble avoir apprécié mon petit jeu, il n’a pas encore joui, malgré le fait que sa queue soit toujours un pic bien bandant. Il me balance sur le dos, reprenant ses droits sur mon cul béant. Pendant plusieurs minutes, il devient fou. Son visage est déformé par la violence et le plaisir, je pense qu’il ne me voit même plus, il ne voit plus que sa grosse queue qui percute le fond de mon cul. Fatiguée par cette baise qui dure depuis trop longtemps, je le laisse faire, accusant ses coups de butoirs violents en gémissant. Mon anus est dilaté déjà à son maximum, mais surtout je sais que je ne pourrais pas arrêter Ryo dans cet état, au risque de prendre encore plus cher. Je le laisse m’utiliser, gardant mes bras sur les siens pour encaisser. Il me crie une nouvelle fois d’ouvrir la bouche, j’exécute sans poser de questions et le laisse se vider sans compassion dans ma bouche, m’empêchant d’avaler quoi que ça soit tellement il est loin. Ca passe de travers, une partie de son sperme se retrouve dans mes poumons, l’autre dégouline sur mes lèvres et le long de mon menton. Je tousse comme jamais en le voyant s’éloigner en criant.

C’était la baise la plus violente de ma vie. Mais surement l’une de celles ou j’ai le plus joui aussi. Mon corps a perdu toute force et toute motivation à bouger, je m’allonge sur le coté, tentant de retrouver une respiration normale. Je l’entends revenir vers moi et se rhabiller, mais je ne le calcule pas vraiment. Il marmonne des mots crus sur la soirée et m’indique ou le trouver si je veux recommencer. Puis j’entends la porte se fermer au loin, signe qu’il est finalement parti. La soirée n’était pas censée se terminer comme ça, ça n’était même pas censé commencer ainsi. Je ne sais pas si j’ai envie de le revoir, je ne sais même pas comment je vais survivre jusqu’à demain avec tous ces bleus et éraflures. Peut être plus tard, quand j’aurais récupéré de tout ça. Ou peut être pas, parce que c’est quand même un gros connard. Epuisée et douloureuse, je ne prends même pas la peine de me rhabiller ou de me lever jusqu’à mon lit. L’objectif principal est de dormir. J’attrape un oreiller, un plaid et me cale dans le canapé. Si ma soirée s’est avérée beaucoup beaucoup plus mouvementé de prévue, ma nuit elle devrait être très calme.


Répondre
Tags :