Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Astrid Grace le jeudi 16 décembre 2021, 02:11:08

Titre: Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le jeudi 16 décembre 2021, 02:11:08
Un pot de fin d’année pour remercier le secteur publique? Sérieusement? Donc en plus de nous payer comme des chiens, ils nous obligent à venir à leur pot à la con pour qu’on sourit et qu’on soit mignon sur les photos. C’est mon chef qui nous a obligé à venir. Il a réunit toute l’équipe médicale et a fait son speech sur comment montrer à l’administration qu’on est reconnaissant de leur effort. Intérieurement, ça m’énerve. Extérieurement, on est quand obligée d'y aller si on veux faire bonne impression devant le chef de service donc je suis en train de voir avec mes collègues, quelle voiture on va prendre pour y aller. En plus, c’est dans le quartier malfamé de la ville. Par chance, Teresa est d’accord pour qu’on prenne la tienne. Je vais pouvoir boire pour oublier, c'est la seule bonne nouvelle de la soirée. Je pense qu’ils s’attendent tous à ce que je montre mon plus beau visage médiatique, celui que j’ai présenté partout en Angleterre, mais ce soir, je n’ai aucune envie de faire des efforts.

Et évidemment, c’est du mousseux qui pique. Super, vraiment. Très bonne soirée en perspective. Je réussis à trouver un peu de réconfort en discutant avec mes collègues, celles ci sont en train de scanner la salle pour trouver quelqu’un de baisable ce soir. L’une d’entre elle me regarde en riant. « T’inquiètes pas Astrid, on va aussi te chercher un prince charmant. » Chaton, si tu savais. J’aime me faire attacher avec des cordes et me faire prendre dans tous les sens alors que ta position favorite c’est l’amazone et tu penses être « originale ». Je lui souris gracieusement, replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille avec un air timide. Elles matent une bande de pompiers un peu plus loin, effectivement, ils ont l’air d’être plutôt bien montés, pas dégueulasses à regarder mais c’est clairement le genre de mecs qui se regardent baiser et bandent pendant 3 secondes. Non merci.

« Astrid? Vous pouvez venir s’il vous plait? » Pourquoi le chef de service me demande? Qu’est ce qu’il me veut, qu’est ce que j’ai fais? «  Il nous faut un jeune médecin pour aller parler au maire, pour recevoir ses compliments avec le sourire et prendre une jolie photo. J’ai pensé à vous comme vous êtes habituées à être sous les projecteurs. » D’accord, donc personne d’autre n’a voulu y aller et c’est tombé sur moi. Je m’enfile un premier verre de punch pour passer l’information. Il n’est même pas bon évidement. «  Et je serais toute seule avec lui? » , «  Non non, ils ont demandé à des policiers et des pompiers de venir aussi, mais vous allez être la jolie attention du groupe. » Comme d’habitude, sois jolie et tais toi. C’est ce que je sais faire de mieux en même temps. Le chef de service me conduit à un journaliste qui me sourit en me regardant de haut en bas. Je vois dans son regard le bilan: joli minois pour la photo, décolleté plongeant, cul rebondi. Je prends un deuxième verre de punch pour compenser, le gout ne passe toujours pas. Peut être qu’un troisième aidera. Bientôt je me retrouve entre 2 gars gigantesques, l’un d’entre eux a l’air d’être un pompier débile qui reluque mon décolleté depuis 5 minutes et l’autre a l’air d’être un flic ripoux. Je me sens minuscule et cette situation est presque effrayante. Un troisième verre de punch y passe. Je commence à avoir un petit flou devant les yeux, rien de bien méchant. Le gout est beaucoup mieux bizarrement. Je ne suis pas ivre, mais je sens une chaleur montée tranquillement dans mon corps, une chaleur plaisante. Le journaliste nous fait monter quelques marches pour rejoindre le maire, je monte la première, balançant mon cul devant les yeux des deux autres derrière. Dans le fond, je crois que j'espère que ça les a excité un peu, juste pour ma satisfaction personnelle.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le jeudi 16 décembre 2021, 12:08:36
"Un whisky!"

"Navré monsieur, nous n'avons que du punch."


"Tu déconnes? Bordel, quelle bouffe de chiotte!"

L'officiant chargé de servir les boissons se recroqueville derrière sa table. Ryo le toise de son plus mauvais regard.

"Alors explique moi pourquoi le maire en a un lui, de verre de sky?"

"Sa ... sa réserve personnelle monsieur ..."

"Un whisky! ... Où j'tarrache la tête!"

Le type se liquéfie et obtempère, blanc comme un cul.

Son verre de whisky à la main, Ryo se cale dans un coin en maugréant. Il pensait encore pouvoir éviter cette année la corvée de représentation organisée par la mairie. Mais le préfet de police de la ville a insisté pour qu'il y participe, cadeau empoisonné, les deux ne pouvant pas se blairer. Seulement, un chef reste un chef, et Ryo ne se voyait pas, encore, lui exploser la gueule pour exprimer son mécontentement. Donc, présence obligatoire, tenue correcte exigée, y font chier! Ryo est d'humeur exécrable et les personnes présentes qui le connaissent l'évitent avec soin.
Dans son métier, Ryo est un excellent flic. Quand il s'investit dans un affaire, il se donne de faire un boulot remarquable, seulement ses méthodes restent contestables. Et il tire toujours un profit personnel de ses résultats. Le flic est violent, une brute épaisse et il est régulièrement présenté au tribunal pour justifier ses faits et gestes.

Notre homme laisse son regard errer sur la foule présente. Ces profiteurs s'agglutinent autour du buffet médiocre qui va filer la chiasse a une bonne partie des participants. Pour le maire aussi, c'est un sketch. L'homme joue son prochain mandat, flatte, apaise ses interlocuteurs. Il noie les problèmes qu'on lui expose dans une marre de flatteries répugnantes et de statistiques ubuesques. Les différentes autorités des services publics lui collent aux basques et repoussent les fonctionnaires qui auraient vraiment besoin de lui parler.

Les collègues de Ryo sont regroupés dans un autre coin. Tous venant du commissariat de la Toussaint, ce sont des flics blasés qui n'ont qu'une envie, rentrer chez eux.

Les pompiers aussi sont là. Ces crétins arrogants exhibent leurs muscles, rient fort et courent après les jolis petits lots qui gloussent comme des oies. Ca sent le gangbang à plein nez. Les idiotes qui cèderont à leurs avances ne savent pas qu'une partie des soldats du feu présents leur passeront dessus.

"Inspecteur, il faudrait que vous rejoigniez le maire pour la photo de groupe." Un sbire de l'équipe municipale ...

"Hein? Y'a d'autres flics ici. Faut voir avec eux."

"Ils viennent de partir monsieur ..."


Bande de bâtard! Ryo rumine, fait chier! Après j'me barre!

Sur l'estrade, le maire gratifie Ryo d'un regard stupide. Un abruti de pompier gonfle le torse et raconte des conneries. D'autres personnes se serrent autour de l'édile.

"Serrez vous un peu, les grands derrière!"


Le photographe gesticule et dirige ce beau bordel sans efficacité. Ryo tire la gueule. Un connard marche sur ses mocassins cirés et le flic le repousse d'un geste brusque. Il a fait l'effort de se fringuer et porte un costume sombre correct, col ouvert, sans cravate. Le débile de pompier se pose à ses côtés et lui désigne d'un regard enfiévré la petite qui vient se coller devant eux. Et quoi? On la viole sur place? Crétin ....

Ryo la mate, plus pour éviter de regarder le pompier qu'autre chose. Joli p'tit cul ouais. Pas moche, une petite fonctionnaire baisable, un bon coup d'un soir. De sa position, et de sa taille, il la surplombe. Malgré son air sérieux, elle arbore un décolleté de salope, selon les critères de Ryo. Il y glisserait bien sa queue tiens!

"Mais serrez vous messieurs dames, on ne va pas y arriver!"

Ben change de métier connard!

Tous se retrouvent compressés. La petite fonctionnaire se retrouve adossée à Ryo, petite créature à l'ombre d'un géant. Le bas du  dos de la fille frotte l'entrecuisse du flic qui bande instantanément. Chienne! Ryo s'en cogne, rien à foutre, d'autant plus qu'elle ne s'éloigne pas de lui. Au contraire? Elle parait coincée aussi s'amuse t'il à souffler à son oreille. Tiens ... son haleine est chargée d'alcool. Ryo affiche un rictus de prédateur.

"Vous êtes en chasse et vous venez de trouver votre proie? Ou alors vous préférez vous faire traquer?"

Sa trique est monstrueuse. la Bête tapie en lui s'éveille. Cette fille ne lui dit rien, un morceau de viande à baiser, c'est tout. Si elle braille, ce qui n'a pas l'air d'être son cas, personne ne dira trop rien, Ryo fait peur.

La photo est prise et on dirait que Ryo glisse sa langue dans l'oreille de la fille. C'est terminé! On en a refait quelques unes et au final, leurs bobines de débiles semblent bonnes pour le photographe.

"Encore un verre? je suis l'inspecteur Nagata. Ryo. J'ai remarqué votre intérêt poussé pour le punch, continuons ... si vous le voulez bien."

Tout naturellement, il l'entraîne par le coude vers un coin du buffet où l'officiant s'empresse de leur servir un punch , et un whisky.

"Vous connaissez les lieux? Par là-bas c'est les toilettes, entre autres. Dans quel service travaillez vous?"

A l'écart, le pompier de la photo les mate d'un air mauvais. Ce putain de flic lui a piqué sa cible.




Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le vendredi 17 décembre 2021, 01:12:12
La photo prends des plombes. Tout le monde bouge dans tous les sens, tout le monde se pousse, tout le monde se rentre dedans. Le maire est en plein milieu avec son plus beau sourire niais. L’un des idiots sur l’estrade me bouscule de l’épaule, ils font tous minimum une tête de plus que moi, je recule d’un pas et me retrouve coincée devant le flic ripoux. Aaaah le flic ripoux et apparemment, sa queue qui bande dans mon dos. Intérieurement, je souris légèrement. Donc il suffit qu’une jeune femme s’approche un peu trop près du grand loup pour qu’il bondisse. Et bien, il ne lui en faut pas beaucoup à celui là. Je ne m’avance pas pour autant, voulant voir jusqu’ou sa queue peut grossir. Je le sens bouger dans mon dos avant de venir me susurrer des idioties sur les chasseurs et les proies. Je sais bien comment cette soirée va finir pour la plupart des pompiers et de mes collègues, j’ai bien compris que tout le monde voulait se la coller ici et que c’était un peu le seul réconfort de tous pour être venue dans ce quartier pourri, mais je ne suis pas une putain de proie. Je lève la tête pour le regarder d’un air mauvais. Je dois avoir l’air d’une peste coincée mais je m’en fiche.

C’est sur cet air qu’il me donne son nom et me propose un nouveau verre. Mon intérêt pour le punch est limité mais bon, je n’ai pas rien de mieux à faire de toute façon et j’ai bien envie de voir ou Monsieur Nagata le Ripoux va me mener. Je lui ai quand même donné une trique d’enfer sur une estrade, il me doit bien un verre de punch gratuit.

«  Je m’appelle Astrid, je suis Interne à l’hôpital de Seikusu. »

Pourquoi il m’indique ou sont les toilettes? Il cherche à être poli ou c’est juste l’endroit ou il veux m’emmener pour me montrer ce qu’il a dans le caleçon. Je sirote mon quatrième verre de punch. Je ne suis toujours pas ivre, mais l’alcool commence à monter, je le sens. Je pense que Monsieur le Ripoux essaye de mon bourrer la gueule pour pouvoir me bourrer la gueule lui même ensuite. Je ne suis pas vraiment d’accord avec cette idée, ça n'est pas lui qui décide de la suite des événements, c'est encore moi qui contrôle.

Une de mes collègues m’adresse un signe de l’autre coté de la pièce. Elle est avec des pompiers justement qui l’entourent comme si elle était une proie. Du menton, je lui demande si tout va bien et elle me renvoie un pouce en l’air. Je ris et me déconcentre sur Ripoux. Bon qu’est ce que je fais de lui? Il a encore une trique d’enfer, il a l’air d’être plutôt bien monter et je suis sure qu’il baise violemment. Ma décision est prise, je finis mon verre et m’approche de lui. Je me lève sur la pointe des pieds et colle mon torse au sien pour qu’on ne voit pas mes mains navigués. Je pose ma main sur sa bite en caressant légèrement à travers le tissu. «  Bon et qu’est ce que tu comptes faire avec ça? »
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le vendredi 17 décembre 2021, 14:54:53
Une infirmière, non, un médecin ... Même chose ... une salope en perspective, et pas sauvage pour deux sous derrière ses lunettes de première de la classe. Elle a le regard vif et ne perd pas un instant pour venir se coller à lui de la plus sulfureuse des façons. Une vraie chienne! Ses nibards sont loin d'être ridicules, Ryo se promet de les baiser, eux aussi. Et quand la main de la jeune femme vient se poser sur sa queue pour la caresser, il sait qu'il a décroché le gros lot.

"Ce que je compte faire avec ça? Te déboiter et te remplir de foutre."

Pas besoin de prendre des gants avec elle. Elle n'a pas hésité à entrer sur son terrain de jeu et à engager le service. Ryo lui saisit le poignet et le maintien tandis qu'il mate les alentours. La dinde du fond se fait emmener par deux pompiers vers les chiottes. Un collègue d'Astrid, tout du moins il le suppose, les ayant vu ensemble, les observe. Dos à lui, elle parait sagement discuter avec Ryo. Si l'autre savait que sa chaste collègue venait de saisir la queue d'un inconnu à un pot de la mairie, il en crèverait de jalousie.

"Astrid ... c'est un prénom à se faire piner sans tarder ça."

Sans un mot de plus, il se déplace pour passer un main dans le dos de la jeune femme et la guide hors de la salle de réception. Une fois sortis, il bifurquent dans le couloir de droite vers les toilettes, première porte, les hommes. Il y entraine Astrid, l'endroit est propre et une cabine est déjà occupée. Il s'en échappe des gloussements aigus et des voix masculines qui chuchotent. Ryo pousse Astrid dans la deuxième cabine. Le regard de l'interne lui plait, la détruire va être un grand moment. Pas besoin de parler plus que ça. Ils sont adultes, consentants et veulent la même chose.

Enfin, peut être pas la même chose car Ryo a une conception bien précise de ce qu'il veut depuis qu'elle a frotté son cul contre lui. Et il va le prendre sans attendre.

"Tourne toi!"


Joignant le geste à la parole, il la retourne face à la cuvette et la penche en avant qu'elle puisse prendre appui sur la chasse d'eau. Le flic la débarrasse de son bas sans chercher à lui ôter son haut.

"Putain! Quel cul!"


Et c'est vrai, une belle paire de fesses rien que pour lui! Ryo se défroque en laissant tomber son pantalon sur ses chevilles. Il farfouille dans sa poche et en sort un tube de vaseline. Les nénettes ont toujours un bordel pas possible dans leur sac, lui n'emporte que l'essentiel donc, vaseline ...

Il s'en tartine la queue et sans prévenir, en étale une grosse quantité contre la rondelle d'Astrid. L'instant d'après, il presse son gland contre son rectum et, lubrifié comme il est, s'y enfonce d'un coup malgré sa taille hors norme. Qu'importe qu'elle aime ou pas, il va la sodomiser comme une Bête. En deux coups de reins, il l'investit plus encore, avant de l'agripper par la taille et s'acharner dans son cul. Son sexe monstrueux déforme le sphincter d'Astrid qu'il sent trembler autour de lui. Un dernier grognement indique qu'il vient de l'empaler jusqu'au fond. Les muqueuses brulantes du rectum de la jeune femme l'enserrent fermement et d'une dernière poussée vient buter contre ces fesses accueillantes. Il est tout en elle. Si elle gueule, il lui collera sa grosse paluche sur la bouche.

"Putain! Si on m'avait dit que j'enculerai une salope comme toi dans les chiottes du maire aujourd'hui, j'y aurai pas cru!"

Dans la cabine d'à côté, les voix et gloussements cessent d'un coup.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le vendredi 17 décembre 2021, 22:30:25
C’était pas vraiment comme ça que j’avais prévue de passer ma soirée. Ni que ça dégénérerait aussi vite. Je ne connais presque pas ce mec, j’ai bu 4 punchs médiocres dont 2 avec lui, je suis dans un quartier pourri de Kyoto entouré de flics et de pompiers qui attendent que la soirée finisse en partouze. Je ne comprends pas grand chose à ce qui se passe, mais apparement, tout le monde était au courant que ça allait finir comme ça. Ok, j’ai joué avec le feu en caressant l’inspecteur devant le buffet. Totalement ma faute, c’est vrai. Mais la tournure des évènements me dépasse un peu. Pourtant, ses mots me font frissonner. Quand il me parle de me remplir, de me démonter, je ne peux m’empêcher d’aimer ça. Mon air d’ange m’a souvent sorti des situations comme celles ci, prétextant l’innocence ou la timidité. Mais là, mon comportement m’a rattrapé. J’ai pratiquement attaqué le mec, il a réagit au quart de tour, un besoin primitif de sexe s’est fait sentir dans son regard et j’allais en subir les conséquences.

Mon prénom roule sur sa langue comme une insulte. Ca m’excite encore. Il me dirige vers les toilettes, je croise le regard d’un de mes collègues, lui sourit sagement et lui adresse un petit signe de la main. J’espère qu’il ne comprendra pas ce qui se passe, qu’il s’imaginera que Ryo me montre juste ou sont les toilettes, ou l’architecture de la salle, j’en sais rien. Tout autre scénario que celui qui va se passer maintenant. L’inspecteur me dirige vers la deuxième cabine et ne perds pas de temps. En deux - deux, j’ai le cul à l’air au dessus de la chasse d’eau. Je l’entends fouiller dans ses poches en commentant mon cul, ouvrir un tube et mettre un liquide froid entre mes fesses. Je pensais savoir à quoi m’attendre mais c’est plus violent que ce que j’imaginais. Il se fraie de force un passage dans mon cul sans me demander mon avis. J’aime ça évidement, sinon j’aurais jouer avec quelqu’un de mignon et adorable qui aurait fini par du sexe vanilla dans un lit à baldaquin.

Je mords mon poignet pour atténuer un gémissement, de douleur ou de plaisir, même moi je ne sais pas trop. Il est violent, il est massif, il est gros. Surtout dans mon cul sans préparation. Ca fait très très mal mais c’est aussi extrêmement bon. Je ferme les yeux essayant de garder les vocalises qui veulent sortir de ma bouche. Putain, c’est bon. Mais il y a du monde à coté. 3 personnes je dirais. Surement ma collègue avec les deux pompiers. Je ne veux pas qu’elle reconnaisse ma voix, je ne veux surtout pas qu’elle connaisse mes gémissements. Il commente encore comment sa soirée a changé, comment je suis une salope. Ouais, c’est pas faux. Me faire enculer dans les chiottes de cette putain de salle de réception, c’était vraiment un comportement de salope. Il est tellement gros. J’allais avoir du mal à m’assoir les prochains jours. Encore un coup de butoirs, il est dans le fond. Putain de merde. Mes orteils se rétractèrent, je rejette la tête en arrière, la bouche déformée et mon corps se mit à trembler comme une feuille. Putain d’orgasme. Je ne lui dis rien, c’est mon corps qui parlait et réagissait pour moi. Ce soir, j’étais une salope qui aimait se faire prendre le cul salement.

L’équipe d’à coté écoute le coït, ils ne font plus de bruits, ils ne disent plus rien. Je les imagine une seconde, nus comme des vers en train de se branler les uns les autres en gloussant puis d’entendre dans la cabine d’à coté que quelqu’un est en train de enculer violemment. Les voilà, ébahis, presque impressionnés par tant d’audace ou d’inconscience. Moi aussi j’écouterais, probablement la main sur mon clitoris. En parlant de clitoris, j’appuie une de mes mains contre le mur des toilettes pendant que l’autre glisse entre mes cuisses, cherchant le graal. Un deuxième orgasme est en jeu, j’y mets du mien et le caresse en cercles. Mes gémissements ont de plus en plus de mal à ne pas sortir de ma bouche, je me mords la lèvre, très fort, j’aurais surement un bleu demain mais un gémissement sort quand même. « Putain de merde. » Une petite voix sourde sort de ma gorge, trahissant mon plaisir. Elle est déformée par la douleur et la luxure. J'espère que ses quelques mots ne me trahiront pas.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le samedi 18 décembre 2021, 17:49:38
La sodomie, c'est le plus intense des plaisirs en matière de sexe. C'est l'intime conviction de Ryo qui ne rate jamais une occasion de s'y adonner. D'habitude, ses partenaires sont ou des putes (des vraies qui tapinent) ou le genre de nénettes s'en rapprochant. Il ne les paye pas, usant de ses fonctions pour les défoncer gratuitement mais il n'en tire aussi qu'une satisfaction moyenne. Alors se dégoter ce soir un petit lot qui le change de ses habitudes et qui encaisse comme jamais, c'est une aubaine.

"Vas-y bordel! Dis le que tu prends ton pied à te faire sodomiser."

Il lui claque une fesse qui rougit aussitôt et qui garde la marque de sa main. Il a une furieuse envie de lui faire mal, de serrer son cou mais il se rappelle in extremis qu'il s'agit d'une fille "normale". De frustration, il ancre ses doigts dans les hanches d'Astrid et se met à la pilonner brutalement. Il n'y va pas de main morte et termine comme ça de lui écarteler l'anus. Elle a joui comme une chienne, il l'a senti dérailler autour de lui. Seulement, c'est loin d'être fini, il a de la ressource. le grand flic sodomise sa proie comme si la fin du monde approchait. Il cogne dur et profond dans ces entrailles accueillantes. C'est impossible que sa queue l'emplisse sans qu'elle couine de douleur. il est tombé sur une perle rare.

Dans le box d'à côté, une voix masculine demande.

"T'es chaud mec! Elle a un bon cul?"

Ryo ne répond pas tout de suite. Il grogne et donne tout ce qu'il a pour la pulvériser. Il avance d'un pas et plie Astrid sur les chiottes. Arcbouté sur elle, il martèle rapidement. Les bruits qui suintent de leur cabine sont évocateurs. Il plonge sa queue dans ce cul offert, leurs chairs claquent, clapotent, enduites du plaisir de la jeune femme qui est inondée.

"Ouais, elle a un cul d'enfer. Un gouffre à bites. C'est une habituée de la sodo, ça se voit."

Ca devient rude. Le coït anal dure de très longues minutes où toutes les limites sont dépassées. L'intensité, la brutalité, la profondeur de la pénétration, la vulgarité, tout y passe. Astrid est une petite chose ravagée qui n'a plus qu'une fonction, donner son cul.

Après une série de va et viens rapides, Ryo est prêt à exploser. Sa conception du partage du plaisir est limitée. La chair de sa victime porte la marque de ses doigts quand il les a fiché dans sa chair. Elle a les cheveux défaits. L'auréole de son anus est à présent rouge et irritée. Le chibre de Ryo s'y fraye un passage sans pitié. Elle suinte toute sorte de liquides visqueux.

"PUTAIN!"

Il est temps. Ryo s'extirpe d'elle et la laisse glisser au sol, détruite. Il la tient juste par les cheveux et se branle fiévreusement devant sa gueule de pute. Quand ça vient, il braille et lui gicle une abondante quantité de foutre épais sur le profil. Il la repeint de sperme qui s'accroche aux cheveux, coule dans son cou, pendouille de son menton.

"BORDEL! Des putes comme toi, y'en a pas deux!"

Ryo a les jambes qui tremblent. Il s'affale sur Astrid, écrasant sa gueule sur la cuvette des chiottes. Un vrai sac à foutre. Il se relève difficilement et la contemple. il a envie de lui pisser dessus pour clôturer cette folie.
Le flic na pas fait attention que dans la cabine d'à côté, la fille se fait aussi tringler.

"Est-ce que tu suces aussi bien que tu te fais enculer?"

Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le lundi 20 décembre 2021, 13:18:48
J’ai peut être un visage innocent, mais oui, j’aime le sexe violent. J’aime quand ça bute, quand ça serre, quand ça claque et quand je ne sens plus mes jambes. Ma tête de chaton laisse penser aux gens que je suis une petite chose pure, c’est faux. Alors oui, se faire sodomiser dans les toilettes publiques de la salle des fêtes de Kyoto, c’est pervers, sale et dégradant. Mais putain, qu’est ce que c’est bon. J’en ai rencontré des mecs qui voulaient me faire l’amour comme une princesse, d’autres qui voulaient m’attacher à des barreaux et me baiser, mais des mecs qui me prennent violemment le cul au bout de 10 minutes de rencontres, y’en a pas eu beaucoup. Ryo était de ceux là. Ceux qui sont violent et brutes et machos et ingérables. Ceux qui me font jouir comme jamais. Mon cul claque encore, j’entends la violence des coups, je sens la trace de la brulure sur ma peau, je sais que j’aurais des traces de mains pendant quelques jours, je sais que mon cul se souviendra de cette soirée pendant un bout de temps.

Les petits joueurs de la cabine d’à coté ont commencé à jouer eux aussi. La fille couine, fort, n’ayant pas peur d’être reconnue. Je n’arrive pas à savoir si c’est ma collègue, je ne peux pas vraiment me concentrer sur autre chose que mon plaisir charnel. J’entends à peine le mec d’à coté parler. Ryo ne me laisse pas vraiment le temps de réfléchir entre chaque coup de butoirs, il accélère encore, se pressant dans mon dos, m’insultant de gouffres à bites au passage. Il m’a ouverte complètement, je ne sens plus mes jambes tant le plaisir et la douleur sont intenses. Sa grosse bite me fait mal à chaque passage, les fluides naturels aident à lubrifier, mais la frénésie de l’acte a rendu mon cul irritable. Je vais quand même vers un deuxième orgasme, toujours la main sur mon clitoris torturé. Ryo aussi est prêt à exploser, je le sens, il devient fou. Sa cadence ralentit, mais ses coups continuent d’être plus appuyer, plus loin dans mon rectum. L’orgasme revient quand il me pénètre durement, après une fessées douloureuse. Je n’arrive pas à retenir un long gémissement cette fois, mon cul pulse, ma chatte mouille, j’ai l’impression d’être une putain de femme fontaine tellement je suis trempée. La jouissance me coupe le souffle, me fait tourner la tête, m’envoie au 7ème ciel. Je jouis par le cul, contractant mon sphincter autour de sa bite. Moment d‘absence.

Une pellicule de sueur traine sur mon visage, mes cheveux s’y collent, rendant la scène floue. Ryo me tient par les cheveux et éjacule abondamment sur mon visage avant de me relâcher. Je m’affale au sol, respirante et à bout de souffle. Putain, c’était bon. Mon cul est défoncé, la peau de mes fesses est probablement à vif, mais bordel. Il me scrute de haut, avec sa bite mollassonne et crache son venin en exigeant ma bouche. Je ne vais pas faire que lui obéir. Je ne suis pas soumise comme ça à un mec que je ne connais pas. Je n’ai aucun respect pour mon corps quand il s’agit de plaisir, mais je ne suis pas qu’un bout de chair qu’on baise et qu’on balance à son gré. Je le relève sur mes jambes qui me tiennent tant bien que mal et pousse Ryo contre la porte de la cabine. Le visage flou, pleine de substances épaisses, je dégage mes yeux et ma bouche de tout ce foutre et me colle à lui, autant pour m’approcher que pour me maintenir. J’attrape sa bite au passage et je serre fort, l’empêchant de bouger ou de gesticuler.

« Me dis pas quoi faire, Inspecteur. C’est toi qui as décidé de me prendre le cul, c’est à moi de décider maintenant. » Récupérer un peu de contrôle, juste un peu. Je le serre fort, debout contre lui, sur les pointes des pieds, mon visage dans son torse. Son propre foutre sur mon visage dégouline un peu sur sa chemise. Bien fait pour lui, il ressortira aussi sale que moi. Et je commence à le branler fermement mais lentement. « Ne bouge pas. » A travers mon tee shirt, mes seins se collent à lui. J’essaye de récupérer une respiration normalement pendant que ma deuxième main descends pour rejoindre la première, passant dessous pour attraper et malaxer ses testicules. « Je te sucerais quand j’aurais décidé de te sucer ok? » Mes grands yeux se soulèvent vers lui, défiants. Petite chose fragile ouais, mais femme à caractère aussi. Je continue de l’astiquer avec patience, je veux l’entendre gémir sous mes doigts avant de continuer.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le lundi 20 décembre 2021, 18:54:10
Le déplacement à ce pot de merde valait le coup au final. il faudrait que Ryo pense à noter dans quel centre travaille Astrid pour aller la voir directement là-bas. Le fantasme de l'infirmière ou de la médecin qui se fait troncher à côté d'un patient entrain de crever, le pied! Elle a du chien la cochonne, et quand elle se relève, le visage enduit de foutre, un sourire se dessine sur le visage du flic. Il a fait du beau boulot. Il l'a tartinée comme un salaud. Il s'est vidé les burnes jusqu'à la dernière goutte sur cette gueule de coincée.

Elle peine à tenir sur ses jambes, s'essuie tant bien que mal. C'est inutile, elle est défaite. Sortir des chiottes sans se faire remarquer va être un exercice difficile pour elle. Elle pue la souillure et ses fringues n'ont plus l'état nécessaire pour se montrer en public.

Et elle vient se coller à lui. Les trucs crados, il en a l'habitude. La sodo par exemple, ca passe pas avec toute les filles. Parfois, y'a de sales surprises. Oh? Elle le provoque? Sa petite vengeance pour s'être faite culbuter sans prévenir? C'est marrant. Elle lui serre la queue et les couilles et passe de salope soumise à un délice de domination. Déconne pas ma grande, ta nuque doit pas être bien solide. Ryo se retient violemment de ne pas lui envoyer une tarte en pleine gueule pour la remettre à sa place. Et puis ... y'a les débiles d'à côté ...

Il lui chope les seins à travers son t-shirt maintenant ruiné. Putain qu'elle est foutue. Et dire qu'elle se cache derrière cette façade de cul-bénie. Ouais, les plus grandes putes sont celles qu'on ne soupçonne pas.

Elle branle bien. Ses petits doigts fins ont fort à faire avec le mastard de Ryo et elle s'en tire à merveille. Sa vigueur revient rapidement et à nouveau, il se tient raide, prêt à l'emploi. L'homme grogne et donne un cou de poing dans la paroi de la cabine. De l'autre côté, un des mecs, inquiets, demande.

"Hey mec, t'es flippant. Ca va ?"

"C'te pute m'astique comme une reine bordel!"

"Elle ressemble à quoi?"

"Libraire coincée, fringuée comme une bourgeoise, boutons fermés jusqu'au col, tu vois le genre. Et derrière, t'as la pire des chiennes de Seikusu. Tu la fous sur le trottoir, t'es riche à crever en trois mois!"

"Euuuuh ... ok, la nôtre s'est barrée. On a fini ... On peut...?"

"Sais pas ... Attend qu'elle me vide encore."

Ryo ramène son attention à la cochonne et passe ses doigts d'acier autour de son cou.

"J'ai bien envie de faire passer une petite annonce là-bas, dans la salle de réception ... Tu aimerais?"

Il l'a laissé faire son petit numéro, maintenant, c'est terminé!
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le jeudi 23 décembre 2021, 15:53:59
Sa queue glissait entre mes mains et mon torse contre le sien ne l'empechait clairement pas de bouger, mais ses mouvements étaient limités. Ma petite technique de « je te maintiens contre la porte et décide de la suite » fonctionnait mieux que ce que j’avais espérer. Il prenait du plaisir entre mes doigts, je le sentais. Elle reprenait de la vigueur, malgré l’effort considérable qu’elle venait de fournir. Une vraie machine de baise. Le but était de faire gémir Ryo, mais il préférait hurler son plaisir sur tous les toits avec des insultes plutôt que de gémir gentiment. Je le branle plus rapidement, regardant ses traits du visage se déformé par l’extase. Il n’est pas très difficile à lire. Ses mains à lui se dirigent vers mes seins et entreprend de les tripoter durement. Je me décolle légèrement de lui, retrouvant quelques sensations dans mes jambes pour le laisser jouer avec ma poitrine pleinement.

Après un ébat relativement court et une jouissance peu convaincante, notre voisine de cabine se barre après avoir ramasser ses affaires. J’ai à peine le temps de regarder à travers la fine entreouverture entre les portes. Une tignasse blonde. Sa collègue? Peut être. Les pompiers n’ont pas l’air très satisfaits, écouter Ryo baiser un cul a du les beaucoup trop les exciter pour qu’ils en restent là. Maintenant, ils veulent savoir si Ryo veux bien partager son jouet.

« Je ne suis pas une bourgeoise. » Lui dis-je, serrant sa bite plus fort dans mon poing. « Tu veux me partager maintenant? Tu as peur que ta bite ne puisse pas me satisfaire toute seule? » Je supporte tous les noms, toutes les insultes. Mais libraire coincée alors qu’il venait de m’enculer dans des chiottes publiques, ça me vexe. Je le lâche tout juste avant qu’il vienne dans ma main. Il essaye de passer ses doigts autour de mon cou, je le repousse et l’écarte du passage. Je me faufile hors de la cabine, remonte rapidement mon jean et procède à me laver les mains et le visage dans le lavabo des toilettes. Je me regarde dans le miroir, mes joues sont rouges cramoisi, mon tee shirt n’est plus qu’un bout de tissu tout froissé et mon mascara a quelque peu collé sur le borde mes yeux. J’essuie tant bien que mal ce que je peux puis me retourne.

L’endroit est plutôt propre et pas trop mal entretenu pour un lieu public dans le quartier de la Toussaint. Je me dirige vers la porte de sortie et je tourne le verrou vers la salle. Personne n’entrera pour nous déranger. On va pouvoir commencer jouer. Les deux pompiers ont comprit qu’il se passait quelque chose donc ils sortent la tête de la cabine. Ryo est encore dans la cabine, la porte ouverte à regarder ce qui se passe, le pantalon aux chevilles et la queue dressée comme un pic. L’un d’entre eux comprends le manège et s’approche de moi. Grand, musclé, pas degueu à regarder. Alors effectivement, il a pas l’air d’avoir inventé l’eau chaude mais de toute façon, c’est pas ce qu’on lui demande ce soir. Je pose ma main à plat sur son torse et le pousse doucement pour que ses fesses reposent sur le lavabo. Son engin repose tranquillement sur sa cuisse, moitié fatigué, moitié excité de nouveau. « Tu vois, ça c’est quand on demande gentiment Inspecteur. » J’attrape la bite du pompier et étale un peu de sperme qui suinte sur tout le gland. Elle n’est pas énorme, mais elle est longue et bien proportionnée. Je ne comprends pas pourquoi la petite blonde s’est barré sans demander son dut. Après l’avoir branler quelques secondes, je descends à genoux devant celle-ci. Le pompier me regarde avec des yeux ébahis. Je donne un coup de langue sur son gland, appréciant ses réactions. Il a déjà la tête de quelqu’un qui va pas tarder à jouir. Ca explique mieux le départ anticipé. Puis je le prends en bouche, d’abord le premier tiers, juste pour le lubrifier, puis plus profond, toujours plus profond jusqu’à attendre le fond de ma bouche. SI sa bite ne me remplit pas, la longueur par contre, reste correcte, j’ai du mal à tout avaler sans m’étouffer. Le mec se débat déjà et gémit, je le sens gonfler dans ma gorge, il passe une main dans mes cheveux pour m’inciter à faire des va et vient, que j’applique à la lettre. Comparé à Rio, c’est un chaton calme et posé.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le samedi 25 décembre 2021, 23:01:40
Ryo se marre même s'il est surpris. La nénette a son petit caractère et démontre qu'elle ne se laisse pas faire. Bon, il ne peut pas la passer à tabac pour lui prouver qu'il n'aime pas être contrarié. Elle n'est pas une pute de la Toussaint et il aurait du mal à expliquer devant un juge pourquoi il l'aurait déglinguée. Et puis Ryo apprécie quand même ce petit élan de rébellion très mignon. La cochonne est une allumeuse de première et sait y faire. Le flic n'arrive pas à définir ce qui lui plait le plus. Qu'elle se soit laissée déboiter le cul sans sourciller ou alors qu'elle le provoque, risquant de prendre bien plus méchamment.

Ryo observe son petit manège. Il croit même un instant qu'elle va se barrer alors qu'elle ne fait que verrouiller la porte. Elle a du charme, à se trimballer comme ça, du foutre plein la gueule et débraillée. Il la mate dans la glace. Elle est susceptible? Qu'importe. Il la sodomisera à nouveau et tout se passera bien. Concernant les femmes, le raisonnement de Ryo est relativement limité. Elles sont toutes des chiennes à traiter telles quelles. Et précisément, Astrid se comporte comme une catin, à teaser les débiles d'à côté qui réagissent au quart de tour. Un des deux la rejoint pour s'offrir une séance de branlette rapidement suivie d'une bonne pipe. Le type est minable, se laisse faire, passif. C'est pas la conception d'une bonne baise ça. Encore un peu et il va être gentil! Le deuxième s'approche et se masturbe avec un air ahuri. La blonde a dû avoir peur devant leurs bobines de crétins. Astrid fait du bon boulot, sa technique parait expérimentée. Avoir une bite dans la bouche doit être un besoin naturel pour elle. Le pompier n'est pas impressionnant, des abdos en béton ouais mais un chibre de caniche comparé à Ryo. Il gémit, Ryo tourne la tête, dégouté et se refagotte avant de fouiller ses poches à la recherche d'une clope qu'il s'allume avec son zippo. Il a soudainement envie de détruire le pompier et une lueur meurtrière anime son regard.

"Fais un effort connard! Elle s'active pour toi là!"

L'autre le regarde interloqué, il vient de glisser ses doigts dans les cheveux d'Astrid et l'incite "gentiment" à aller plus vite. Le pompier couine, s'étrangle et avec un râle aigu, jouit directement dans la gorge de la jeune suceuse. Il tremble en serrant les poings et spasme comme privé d'air.

"Putain, mais t'es nul à chier!"

Ryo pointe du doigt le deuxième.

"Toi! Fais voir c'que tu sais faire!"

Le gosse vacille et se précipite sur Astrid, la queue dressée. Moins cool que son pote, il force les lèvres souillées de la fille pour investir sa bouche d'une poussée sèche. Un coup d'oeil à Ryo qui hausse un sourcil. Le type baise la bouche d'Astrid comme un lapin. Ses mouvements sont rapides et fractionnés comme s'il n'arrivait pas à aller jusqu'au bout. Ryo marmonne.

"Mais vous êtes puceaux ou quoi ?"

Le premier des deux gars osent répondre.

"Ben ... on a déjà donné avec la blonde donc on est plus trop en forme. C'était chaud de vous entendre tous les deux mais ..."

Il est interrompu par son pote qui jouit à son tour dans le cocon qu'il remplit. Le type a l'air explosé, les yeux rouges et tout transpirant.

"Bordel ... quelle horreur!"

Ryo en souffre pour la petite. Deux beaux gosses aussi minables, c'est terrible quand on aime la bite.

"Ok, on va reprendre! Vous deux, dégagez! Et regardez faire les adultes!"

On apprend vite de ces erreurs. Ryo essaie d'afficher un sourire potable, il sourit rarement, et s'approche d'Astrid après avoir écrasé sa clope dans le lavabo.

"Salut! Moi c'est Ryo! T'es super canon et j'kiffe ton style. Est ce que tu acceptes qu'on passe un bon moment ensemble? J'me suis planté et j'm'en excuse, t'es pas une bourgeoise coincée, t'es ..."

Il lui murmure un truc dans l'oreille que les deux idiots ne peuvent pas entendre.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le dimanche 02 janvier 2022, 10:47:29
A la base, le but du jeu était juste de montrer à Ryo que je n’étais pas un bout de chair qu’on baise. Mais là, ça ressemblait quand même plutôt à une punition pour moi. Le premier pompier était précoce. Ils sont beaux, ils sont forts, mais au lit, ils ne valent pas grand chose. Je continue de sucer le pompier avec application, levant les yeux vers lui. J’ai à peine commencer qu’il est déjà dans tous ses états. Il gémit comme si sa vie en dépendait. Il s’est jamais fait sucer ou quoi? Je comprends mieux pourquoi la blonde est partie. Elle a préféré fuir plutôt que de continuer une baise nulle et égocentrique. Je ne m’amuse même pas, sa bite grossit encore un peu dans ma bouche, je continue à gober ce que je peux, faisant des allers retours vigoureux sur sa queue. Quelques minutes de ce traitement et il gicle dans ma gorge sans prévenir. Une pipe dans 5 minutes, quel désastre. Ryo leur hurle dessus, je souris discrètement. Même lui se fache devant tant de médiocrité, on devait s’amuser avec des pompiers en forme, je devais lui montrer que j’étais une perverse qui pouvait être dominante. Là, je peux juste lui montrer mes talents de suceuse de petites bites. Le deuxième prends le relai dans ma bouche, pas mieux monté, voir même moins bien. Lui utilise ma bouche comme un échappatoire à une vie pourrie. Il me besogne les lèvres rapidement, les mains derrière ma tête. Je ne suis plus qu’un trou, mais un trou qui peut toujours respirer malgré la vitesse des coups de butoirs. Sa trique n’est pas très impressionnante, je fronce les sourcils en le regardant. Pathétique.

Ryo humilie le premier pendant que le deuxième se vide dans ma gorge lui aussi. Il me regarde, tout penaud, cherchant sa respiration. Je ne suis même pas essoufflée. Un peu dégoutée de pris en bouche deux mecs pas interessants, je recrache dans le lavabo tout le sperme que je n’aies pas avaler. Ils valent même pas la peine que je leur fasse ce plaisir. De l’autre coté de la pièce, Ryo est tout aussi malheureux que moi. Il va falloir tout faire par soi même ici.

Ryo s’approche de moi, incitant les deux idiots à se barrer. Il sent la clope et la sueur. Même s’il m’a défoncé le cul il y a 10 minutes sans me demander mon avis, je reste plus attirée par lui et sa grosse bite que par les deux autres. Ryo me sourit, tout près de moi, presque gentil lui aussi. Il va me sortir que je suis belle et que je sens bon aussi? C’est pas vraiment ce que je veux. Joueuse, je lui dis. « Parce que tu me demandes mon autorisation maintenant? C’est de voir les deux idiots me baiser la bouche sans passion qui te rends gentil? » Il me murmure des mots sales à l’oreille, reprenant son « bourgeoise coincée » de tout à l’heure. «  T'es pas une bourgeoise, t’es une belle salope qui mérite juste d’être baiser violemment. » Là, il a tout comprit. Ca c’est le Ryo que j’ai rencontré il y a peu. Je ris sous ses mots et défais sa braguette d’une main, la deuxième vient caresser son visage, presque affectueusement. Je sors sa bite de son jean et me remets à branler. Cette fois, j’ai très envie qu’il vienne, là dans ma main.

« Qu’est ce que tu penses de partir d’ici? J’ai un appartement et si tu as une voiture, je te promets de te sucer et de te laisser fouetter mon cul jusqu’au petit matin. Deal? »
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le dimanche 02 janvier 2022, 22:11:05
Elle a la gueule de la petite amie qui s'accroche à son mec dans l'espoir d'une bonne grosse pétée. Ses yeux puent le sexe, son haleine aussi. Ses lèvres sont luisantes et brillent encore du foutre qu'elle vient de recracher. On ne cache pas longtemps sa vraie nature quand on est sous l'emprise d'une passion aussi dévorante que celle du cul. Elle le branle déjà, retrouvant cette grosse queue qui vient de lui exploser le fion. Elle sait y faire la garce et Ryo se raidit aussi vite qu'au premier coup. Il n'en faudrait pas beaucoup pour qu'il se retrouve à nouveau à la pilonner contre les lavabos mais la proposition qu'elle lui fait le fait reprendre son contrôle.

"Ton deal est valable, ça m'va. Et comme tu ne parles que de ta bouche et de ton cul, c'est d'eux que je m'occuperais toute la nuit. J'épargnerai ta petite chatte, à moins que tu ne me supplies de la défoncer quand ton cul te fera trop mal. Maintenant habille-toi, ma voiture est devant l'entrée."

Le flic s'extrait de la sangsue et passe sa chemise dans son pantalon qu'il reboutonne. Sa queue le serre et ne risque pas de débander avec ce qu'il a en tête. Il enfile sa veste et ne prend la peine de se regarder dans le miroir. Quand Astrid est prête, le constat est mitigé. Elle a beau eut faire des efforts, ses vêtements ne sont franchement pas nets, sa gueule d'ange est défaite et sa démarche est incertaine.

Quand ils sortent enfin des chiottes, Ryo la garde à ses côtés et lui verrouille un bras dans le dos dans un geste qui se veut gentiment protecteur mais en vérité, contraignant pour elle. Il l'oblige à le suivre, collée à lui ... trop collée à lui. Il se branle des idées préconçues de la soumission. Là, c'est sa manière à lui de signifier à Astrid qu'il prend la main. Pour sortir, ils sont obligés de traverser le hall festif. Répondre à quelques commentaires, saluer trois connards, remercier le maire pour son invitation et ... se barrer, sans avoir lâcher sa chienne. Beaucoup de regards intrigués se sont posés sur eux dont ceux des dix pompiers présents que les deux abrutis des chiottes ont rejoint. Ils regardent Astrid comme on regarde son premier porno. La réputation de la jeune femme va faire le tour de la brigade... Faudra que Ryo gère ça, que ces connards foutent pas trop la merde.

Sa Mustang est garée en travers sur une place handicapé. Sa bagnole est un de ses rares plaisirs. Il l'entretient comme une vraie pouliche. Celui qui y toucherait serait un homme mort. Il ouvre la porte côté passager et laisse Astrid s'installer.

"Mets pas ta ceinture!"

A son tour il s'assoit et en un tour de clé, fait démarrer le gros V8 qui rugit. De nombreux invités quittent la réception. Certains fument devant le bâtiment, d'autres discutent, mais tous tournent la tête, leur attention attirée par la grosse américaine.

Ryo s'arrange et déboutonne son fût. Il extrait sa queue qui darde vers le haut. Puis d'une main, il saisit la nuque d'Astrid et guide sa tête vers le membre qui va lui défoncer la gueule.

"C'est où chez toi?"

Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le lundi 03 janvier 2022, 15:53:15
Evidement, Ryo est d’accord. Je lui propose le deal du siècle. J’ai bien compris que les pompiers n’auraient pas une endurance suffisante ni le moindre utilité pour me satisfaire. D’ailleurs, pendant que Ryo parlait, ils en ont profiter pour se barrer, ne laissant de leur passage que les traces de sperme sur mes lèvres. Branquignoles. Ryo se rhabille dans mon dos pendant que j’examine mon visage. Je sais très bien que nous allons devoir passer par l’entrée principale et que tout le monde va voir l’étendue des dégâts. J’essaye d’améliorer la situation actuelle en essayant le maquillage qui a coulé de mes yeux et en nettoyant avec un peu d’eau les trainées de sperme dans mes cheveux mais le résultat n’est pas brillant. J’ai toujours la tête d’une meuf qui vient de se faire défoncer. Mes jambes ont l’air de bien vouloir me soutenir maintenant mais mon cul me fait un mal de chien, probablement toujours ouvert par le souvenir de Ryo. A la sortie, l’inspecteur passe un bras autour de moi pour me maintenir à lui. J’essaye de lui donner un coup de hanche pour l’éloigner mais il ne démords pas, resserrant son emprise. Si j’ai réussi à avoir un moment de dominance il y a peu, je pense que c’est fini. Il me surplombe de toute sa masse et de toute sa force, je ne peux même pas me débattre.

Un sourire pour le maire, un signe de la main puis un doigt d’honneur discret aux pompiers, je me laisse entrainer par le flic sans essayer de me rebeller. Je ne vois aucun de mes collègues dans le hall, ils ont du partir, ennuyés par ce banquet qui ne sert à rien. Tant mieux, au moins, personne ne m’aura vu sortir des toilettes déphasée, l’hôpital ne pourra pas commérer demain. Quand aux pompiers, à vrai dire, ils pourront dire ce qu’ils veulent, soit personne n’y croira, soit ils se foutront la honte en racontant comment ils ont éjaculer en 30 secondes, mais ça ça n’est pas mon problème.

Gentleman, ce qui est d’ailleurs étrange, Ryo m’ouvre la portière de sa voiture pour que je m’installe mais une fois en position, le naturel revient au galop et il colle mon visage contre sa queue. «Quartier des affaires. A coté du palais de Justice, le grand immeuble vitré. » Instruction rapide pour qu’il prenne la route pendant que je m’occupe de la masse devant mes yeux. Ma langue sort de ma bouche pour humidifier sa bite, léchant de la base jusqu’au gland. Son odeur masculine remonte dans mes narines, un mélange de sueur, de foutre et de sexe, putain que c’est bon. Arrivé en haut du gland, je le prends en bouche du bout des lèvres et entame des succions légères. Je m’installe sur le siège, à genou sur celui ci, le cul moitié en l’air. A chaque changement de vitesse, Ryo attrape le pommeau de vitesse à coté de moi et m'appuie dessus avec son coude, j’engloutis un peu plus de sa bite jusqu’à ce que mon souffle chaud touche son pubis. Sa bite est en le fond de ma gorge, de la salive déborde de partout, ça coule même sur son jean. J'engloutis sa queue avec passion, essayant à chaque aller retour d'aller un peu plus mais quand son bout touche ma glotte, je sais que je ne pourrais pas aller plus loin. Il n'a pas éjaculer depuis qu'il est venu dans mon cul, je l'ai amené une fois presque à bout avant de l'abandonner et il se l'aies infligé à lui tout seul en rangeant son matériel après l'histoire des deux pompiers. S'il tient tout le chemin sans gicler, ça sera une belle performance. Inquiète de son bien être (un peu) et désirant lui montrer toute l'étendue de mes capacités (beaucoup), j'accélère le mouvement, ma main glissant sur ses boules pour les prendre en main et les malaxer. Je sens mon entrejambe se mouiller un peu plus, après avoir pris sa bite dans le cul et avoir sucer 3 mecs dans la même soirée, je mérite un peu d'attention aussi. Ma deuxième main s'aventure dans mon jean à la recherche de ma chatte. Il a promit de pas y toucher ce soir, mais moi je n'ai rien dis. J'enfonce deux doigts au fond de mon vagin vigoureusement. Un gémissement sort bizarrement de ma gorge, faisant vibrer mes cordes vocales sur sa bite. Putain, la soirée n'était pas prévue comme ça, mais qu'est ce que c'est bon
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le mardi 04 janvier 2022, 14:04:53
Ça, c'est le top pour un mec. Être au volant d'une grosse bagnole puissante avec une fille spécialisée dans la fellation qui s'occupe de toi. Astrid n'a pas mis longtemps à s'arranger pour faire office de sa bouche de la meilleure des façons qui soit. Sa tête va et vient entre les cuisses de Ryo qui savoure ce moment d'exception. Les efforts qu'elle fait et l'ardeur qu'elle y met son louable. C'est une affamée qui retrouve dans la pipe des sensations qui la font tripper. Elle ne cache pas son enthousiasme et le plaisir qu'elle prend à le sucer. Elle s'applique, gémit, le prend entre ses lèvres après l'avoir léché consciencieusement.

Le grand flic se régale de la tournure de cette soirée. Pour des moments pareils, il signerait chaque année pour ces représentations à la con.

"Va plus vite."

La position assise ne facilite pas les choses. Elle a beau avoir une technique de pornstar, Ryo en veut toujours plus. Il tente de s'étirer un peu mais faute de concentration manque d'emboutir un abri bus. Il rétrograde, se rétablit dans l'axe de la route. Sa manœuvre lui a fait s'appuyer sur Astrid. Le son étouffé qui s'échappe de sa gorge enfonce encore plus l'homme dans sa perversité. Il lui a promis de lui défoncer la gueule et l'adresse qu'elle lui a donnée n'est pas toute proche. Il n'arrivera pas tenir jusque là. Il tente bien d'écarter les cuisses et d'appuyer sur la jolie tête qui s'y acharne mais n'y parvient. Il laisse échapper un grognement de frustration et claque sa grosse main sur les fesses d'Astrid qui se dandine au gré de ses coups de volants. Il n'en peux plus.

"PUTAIN!"

Plus possible de continuer comme ça. il bifurque dans une rue plus sombre et s'arrête entre deux containers poubelles. Personne ne se promène ici à cette heure-là. Par les cheveux, il tire Astrid en arrière, coupe le contact et sans se refroquer, fait le tour de la Mustang pour ouvrir la portière du côté passager.

"Viens par là, petite salope!"

Il fait pivoter la jeune femme, qu'elle reste assise sur le fauteuil cuisse mais face à l'extérieur. Il la penche en avant, frotte sa queue contre ce visage adorable et force le passage de ses lèvres sans ménagement. L'angle est plus adapté. Ses grosses mains lui prennent la tête fermement, et en un coup de reins, il investit le goulet étroit de sa gorge. Ça râpe, il écarte les muqueuses, tape du gland dans les tissus tièdes, cherche le chemin , pour finalement se loger au plus profond d'elle. Il la bloque, ondulant du bassin pour ressentir chaque millimètre de chair qu'il malmène. Il ne relâche pas. Elle peut s'étouffer, dégueuler, s'évanouir, ce n'est pas le problème de Ryo. Il libère une main pour venir serrer sa gorge et commence à y ramoner. Il s'y sent bouger. il y prend toute la place et le cou d'Astrid gonfle à chaque passage. C'est sale et toute la salive qu'elle n'ingère pas pend de son menton jusqu'au sol. Quand il la laisse reprendre son souffle, c'est bref. il l'a promis, elle va morfler. Mais n'est-ce pas ce qu'elle aime. il lui baise la gueule à un rythme égal et soutenu. Le nez d'Astrid s'écrase sur ses abdos à chaque pénétration. Vicieusement, il fait parfois exprès de cogner de travers, de heurter son gland au mauvais endroit. Elle encaisse admirablement et quand il accélère; les gargouillis indistincts de la fille résonnent plus forts et plus visqueux dans la rue.

"Ouais, t'es vraiment la meilleure des bouches à foutre que je connaisse!"
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le samedi 08 janvier 2022, 13:24:15
La concentration de Rio a l'air compliqué. Quelques grands coups de volant et je comprends qu’on a failli se prendre un mur. Je continue de le pomper, branlant la base de sa queue rapidement. L’inspecteur n’a pas l’air d’aimer la frustration, son visage se tords entre plaisir et restriction. Il n’a pas la place pour bouger comme il veux, il en veux plus. Il écarte les jambes, ne coince la tête sous son coude, mais rien ne convient vraiment. La voiture continue d’avancer sans que je puisse voir ou nous allons, nous sommes probablement à plusieurs blocs de chez moi, mais je n’ai aucune idée d’ou.

Soudain, une grande claque sur mon fessier vient me surprendre. « Haaann… » Ca fait délicieusement mal, la trace rouge de sa main reste encrée dans ma peau. Putain le salaud. Son jouet s’échappe de ma bouche et sort de la voiture. Un instant, je ne comprends pas ce qui se passe et fronce les sourcils en le voyant. Qu’est ce qu’il a? Qu’est ce qu’il fait? Le flic fait le tour de la voiture et m’attire de nouveau vers lui. La frustration a eu raison de lui, ça me fait doucement rire. Le nouvel angle est… différent. Cette fois, Ryo utilise toute sa concentration pour me défoncer. Je sors la langue, prête à le recevoir comme il faut mais ça n’est plus vraiment moi qui décide de ce qui se passe. Ryo utilise ma bouche comme un putain de trou. Il va et vient entre mes joues avec force, je n’ai même pas le temps d’avaler ma salive entre chaque coup de butoir. Elle dégouline le long de mon menton, s’étalant par terre. Sa queue obstrue mes voies respiratoires, j’essaye de respirer pendant sa besogne, mais j’ai de plus en plus de mal. J’aime le sexe violent et les fellations barbares mais après la rude sodomie et les deux pipes dans les toilettes, mon corps commence à fatiguer malgré moi. Mon maquillage coule de nouveau sur mes joues et se mélange a la salive déjà présente, je lève les yeux vers Ryo, la bouche grande ouverte, presque suppliante pour avoir une seconde de pause. Le mec est endurant, ça on peut pas le nier, mais il est surtout très puissant, beaucoup plus que je ne l’aurais imaginé. J’aurais peut être du m’en douter vu le commencement de la soirée. Mes narines se retrouvent une nouvelle fois sur son ventre, ses mains sont plantés dans mes cheveux, et maintenant sa queue au fin fond de ma gorge. Pendant une petite seconde, je vois des étoiles, mon cerveau se mets à tourner. Je perds presque connaissance, là sur sa bite. Je ne suis même pas sure que ça l’arrête, je me réveille quelques secondes plus tard, la bouche défoncée. Il me tient par les cheveux, admirant le résultat tant attendu de sa vigueur. Il a l’air d’être fier en plus. Pas moi. Ca me vexe un peu. J’en ai pourtant pris quelques unes, des tout aussi grosses, mais peut être pas aussi violemment. Rio est un sadique, il veux juste prendre un maximum de plaisir en posant le moins de questions possible.

Mes ongles se plantent dans la chair de sa cuisse. J’ai besoin de respirer. Mes mains repoussent les siennes sur mon crâne, reprenant un peu le contrôle de la fellation. D’une main, j’attrape sa queue entre mes mains et dépose le gland sur ma langue tendue, les yeux levés vers lui. Mon souffle est court, j’halète dessus. Mes grands yeux remplis de luxure le regardent avec passion et soumission. J’ai compris qui était le dominant, il n’a pas besoin d’en dire plus. Mais s’il ne veux pas que je meurs la gueule ouverte sur sa bite, il va me laisser faire. Je reprends ma branlette rapidement, il sait que je me débrouille bien. Son gland posé dans ma bouche ouverte, ma main allant et venant sur sa queue, j’attends qu’il vienne là comme ça, sur le bord d’une voiture dans une ruelle sombre. « Jouis dans ma bouche. » Je lève mon visage innocent vers lui, refermant mes lèvres autour de son gland pour le suçoter. Putain j’en ai tellement envie. Je sais que c’est lui qui décide, je sais que j’aurais pas mon mot à dire, mais je connais aussi mes talents en pipe, je ne suis pas une actrice porno mais que ma technique est plutôt bonne. L’air froid qui sort de mes poumons atterrit sur la peau sensible de sa queue, provoquant un frisson incontrôlable. « S’il te plait. »
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le dimanche 09 janvier 2022, 16:34:04
Astrid encaisse admirablement. C'est un modèle de petite suceuse professionnelle qui pourrait en apprendre à beaucoup. Sa surprise remise, elle montre autant d'ardeur à l'avaler qu'à le branler. Fort heureusement, elle ne se laisse "presque" pas totalement faire. Ses ongles meurtrissent les cuisses de Ryo qui grogne en se contractant. Elle ne veut pas crever étouffée dans cette rue, par un chibre trop envahissant. En revanche, elle exprime clairement sa volonté et son appétit de la plus précise des façons. Ryo baisse les yeux sur le petit bout de femme qui s'applique à lui procurer un plaisir fou. Son gros gland posé sur la langue de la jeune femme qui serre ses lèvres autour de lui est quasiment grotesque. Il est énorme pour cette bouche délicate et pourtant elle peut le gober sans difficulté.

"Ouais ... si c'est c'que tu veux ..."


Astrid s'évertue à le masturber rapidement. Ses succions saccadées produisent un sifflement gras explicit. Elle a faim de foutre. Et Ryo n'est pas long à venir. Elle est trop bonne, trop experte pour qu'il résiste plus longtemps. Et puis, cet arrêt inopiné n'est pas le meilleur endroit non plus pour s'adonner à ce genre d'activité ... bien qu'il ait eut urgence.

Le flic serre ses poings et tout son corps se tend quand il libère la pression. Sa semence jaillit en de nombreux jets riches et salés. La quantité de foutre délivré est ahurissante. Les joues d'Astrid gonflent sous l'afflux de sperme et pour anticiper tout retrait, il lui saisit la tête à pleines mains. Le gargouillis qu'elle émet est dégueulasse. Elle veut bouffer? Qu'elle avale! Le surplus dégouline le long de son menton.

"Non non, tu bouffes tout."

Ryo lui cabre la tête en arrière et racle sa peau fine d'un doigt pour ramener dans sa bouche ce qui s'en est échappé. Il la laisse déglutir et après avoir jeté un coup d'œil de part et d'autre pour s'assurer qu'il n'y ai toujours personne (bien que cela ne le dérange pas pour autant), il retourne à sa place, derrière le volant, après s'être arrangé.

"T'es belle comme ça!"

... ouais ... la gueule défaite  et l'haleine qui sent le foutre ... parfaite! Une vraie salope.

"Tu te souviens de ta promesse hein? Tu sais que ça va être comme ça toute la nuit ..."

Il redémarre, fait demi tour et reprend la route vers l'adresse qu'elle lui a indiqué. Pas vraiment loquace, il conduit, satisfait de s'être purgé de cette manière. Il a du bol d'être tombé sur cette nympho. Il n'avait rien prévu pour la nuit et se demandait de quelle manière il pouvait encore tirer profit de cette môme. La baiser était une évidence mais il pensait déjà qu'il pourrait l'utiliser d'une manière plus productive. il connaissait un paquet de mecs qui paieraient chers pour troncher une girl next door pareille. Ils approchaient de leur destination.

"Et si tu me racontais comment t'es devenue la petite salope que tu es maintenant?"
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le mercredi 12 janvier 2022, 20:01:08
La petite Astrid mignonne et gentille a disparue depuis bien longtemps. Mes yeux pétillent d’excitation, mes cheveux sont plein de bave et de foutre mélangé, ne parlons même pas de mon entre jambe qui est en train de tremper mon jean. J’aime le sexe certes, mais j’arrive toujours à me retrouver dans des situations ou j’en ai plus qu’espérer. A bout de nerf, Ryo réponds à mon appel désespéré et me remplit comme prévue. Sa semence s’éparpille partout dans ma bouche. Je ne demandais qu’à avaler mais je ne m’attendais pas à autant. En quelques secondes, mes joues sont pleines à craquer, j’essaye de déglutir ce que je peux, mais ça m’étouffe à moitié. Des gouttes glissent le long de mes lèvres, ce qui n’échappe pas à Rio. De ses doigts dominateurs, il fait en sorte que je n’en perde pas une goutte, ramassant le trop plein entre ses phalanges. J'avale le tout avec difficulté sous son regard obscène. L’excitation du moment l’emporte sur tout le reste. Je tousse légèrement, essayant de dégager mes voies respiratoires abusées. Si c’est comme ça toute la nuit, autant que j’appelle le boulot tout de suite pour leur dire que je ne serais pas en état de bosser.

Je ris en l’écoutant, affalée sur son siège en cuir. « Tu veux savoir comment j’ai découvert que j’aimais le sexe? J’étais très sage et innocente en grandissant. Mon père fait partie de l’aristocratie anglaise. » Je lui jète un regard amusée, persuadée que le « innocente » ne convient clairement pas de me décrire. « Et puis en arrivant au Japon, je me suis rendue compte que je pouvais faire ce que je voulais. Et j'ai commencé à laisser des inconnus me baiser violemment dans des toilettes publiques. » Après s’être vidé, Ryo arrive enfin à se concentrer sur la route, il ne restait que quelques blocs pour arriver chez moi.

C’est un grand immeuble en verre. Très moderne. Pas du tout mon style d’architecture mais c’est le bâtiment le plus sur de toute la ville. Des badges partout, des cameras de surveillance, une alarme si besoin et des sorties de secours dans tous les coins. Mon père n’a pas laissé ces détails au hasard, il a choisi l’appartement le plus sécurisant pour sa petite fille. Et je viens d’y faire entrer le grand méchant loup. Roulant des hanches, juste par envie de me faire mater le cul, je me dirige vers l’ascenseur, suivi de près par Ryo. J’habite au quatrième étage, donc le chemin ne sera pas long. Je réussis quand même à trouver le moyen de m’appuyer sur lui dans la cabine d’ascenseur, frottant mon entrejambe contre sa cuisse.  « Et oui, je me souviens bien de ma promesse. » Sur ces mots, je me hisse sur les pointes de pieds et vient embrasser l’inspecteur. Ca n'est pas un baiser romantique de film, non c’est un gros patin entremêlé de salive et d’un peu de foutre, celui ou les langues se mélangent d’une façon perverse. Mes mains glissent sous son tee shirt, griffant ses abdominaux saillants avec mes ongles. Bordel, j’ai très envie de le marquer. Mes lèvres quittent les siennes dans un filet de bave pour descendre le long de son cou et venir le mordre. Un succion apparait sur sa peau, pas sure qu’il appréciera le geste, mais le fait d’avoir laissé une marque sur son corps me plait. Lui qui avait déjà marqué le mien de traces écarlates et de foutre, il méritait aussi d’avoir une trace de baise. Ca n’était probablement rien comparé à ce qui m’attendait une fois à l’intérieur de mon appartement, mais l’intention me satisfait. « Redis moi ce que tu comptes me faire une fois arrivé. Dis moi comment tu veux me prendre par tous les trous. » L’ascenseur monte rapidement. Quand il sonna « 4ème étage », j’attrape la boucle de la ceinture de Rio et l’entraine dans le couloir.

Tremblante de désir, j’ai du mal à trouver la serrure avec ma clé d’appartement, je sens l’impatience de Ryo dans mon dos. Je me doute que si je n'ouvre pas la porte dans les prochaines secondes, il n'hésitera pas à me prendre la, sur le pas de la porte. La serrure finit par céder et presque soulagée, je rentre dans l'appartement avec lui. Celui ci n'est pas gigantesque, un salon- salle à manger - cuisine tout équipée et remplie de livres et de feuilles qui trainent, une chambre avec un grand lit en métal et une petite salle de bain. Le tout est entouré de grandes baies vitrées fumées, on peut voir l'extérieur mais l'extérieur ne peut pas nous voir. Je dépose ma veste à même le sol et me retourne vers lui, l'air défiant. A quelques pas de lui, je passe mon tee shirt par dessus ma tête et découvre ma poitrine nue. Mes tétons sont tendues et dures comme jamais, excitée par le début de soirée. Son regard brulant me dévisage pendant que je prends mes seins en main et tire sur les extrémités, gémissant sous la stimulation. Je suis debout, à moitié nue, en plein milieu de mon appartement, à me toucher face à un étalon qui a prévu de défoncer. Ca c'est une première.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le jeudi 13 janvier 2022, 09:45:02
Mouais ... pas mal. Les beaux quartiers, Ryo n'y traine pas plus que nécessaire. Sa zone à lui, c'est les quartiers pourris où les ruelles sentent la pisse et où personne n'est à l'abri d'un coup de couteau. Des places sont disponibles à l'endroit qu'Astrid lui indique et il y gare sa Mustang. Il suit la jeune femme jusqu'à un immeuble bien foutu. Elle se déhanche comme une chienne. Sa petite histoire est des plus simple mais convient parfaitement au flic en rut. Sans qu'elle le voie, il sort une pochette de sa poche, l'ouvre, se la colle sous le nez et s'envoie quelques grammes de coke. Il renifle, s'essuie du dos de la main tandis que l'effet de la drogue est immédiat. C'est bien plus efficace qu'un viagra et avec ça, il a de quoi tenir longtemps.

Dans l'ascenseur, la sangsue se colle à lui pour lui rouler une galoche d'anthologie, un truc bien baveux qui sent son propre foutre. Il est évident qu'elle est dans le même état que lui, elle l'explore, le marque, c'est une petite revanche qui le fait sourire même s'il tressaille à son contact. Bordel qu'elle sait y faire! Il s'imagine cette salope se faire troncher par des inconnus dans des chiottes publiques, il voudrait voir ça de ses yeux ... A sa question, il répond par des actes, il la chope par le cou et la plaque à la paroi de l'ascenseur. Il la hisse sur la pointe des pieds et se courbe pour coller son visage au sien.

"J'vais t'enculer jusqu'à ce que tu m'supplies d'arrêter ... et je m'arrêterai pas. Je vais défoncer ta gueule de salope et te remplir de foutre, et si tu t'avises de me demander de te baiser la chatte, j'te fisterais comme un bâtard t'as compris? Je giclerais pas ailleurs que dans ta bouche et t'avaleras tout bien gentiment parce que t'es faite pour ça et pas autre chose."

Il s'excitait lui-même à dicter ces dépravations et elle aussi apparemment. Au 4ème, elle l'entraina derrière elle et mit un temps fou à ouvrir la porte de son appartement. Ryo s'était dit que le type qui arriverait à s'introduire dans cet immeuble sans se faire gauler n'était pas né. Sympa l'appart! Sitôt entrés, Astrid retire son t-shirt et lui fait face, fatalement désirable. Putain, ces nibards! Il retire son lourd blouson de cuir et le laisse tomber à terre. En quelques pas, il est dans le coin cuisine et s'empare d'un torchon bien plié sur le plan de travail. il revient vers la fille. Elle est toute petite devant lui ... Il la met au sol, sur le dos, sans efforts, lui tire les bras en extension, au dessus de la tête, et lui noue les poignets à un pied de la table basse du salon. Bordel, elle est foutrement bien gaulée! Il la mate en se désapant, vire ses grolles et se met au dessus d'elle, la queue bien raide, odorante et déjà suintante. Il s'agenouille sur son ventre, les genoux de part et d'autre du petit corps malmené, et glisse son sexe entre les mamelles qu'Astrid vient de molester. Elles sont douces, chaudes. Le tunnel qui les séparent est accueillant et il s'y loge en écartant les chairs. De lui-même, il referme les seins d'Astrid sur sa queue, sans parvenir à la faire disparaitre. Il faudrait que la jeune femme est les capacités d'une vache laitière pour ça et ce n'est pas le cas. Il se branle entre ses seins, les presse sans ménagement, y coulisse facilement.

"Rhhhhaaa! Merde!!!"

Astrid est dans une position inconfortable où elle ne peut que subir les envies de Ryo. Elle est attachée et utilisée. Son amant l'utilise comme objet de plaisir. Si elle se cabre, il pèse sur elle pour la ramener à sa position initiale, si elle tire sur le nœud, il lui verrouille les coudes, accentuant la pression sur ses bras. Si elle cherche à parler, il lui enfonce son gland dans la bouche en la guidant par les cheveux qu'il torsade autour de son poignet. Ryo accélère et les loches d'Astrid tressautent à chaque à-coups. La sensation est grisante et quand elle atteint son paroxysme, Ryo abandonne cette poitrine confortable et s'assoit dessus pour forcer les lèvres de la chienne.

"Suce salope!"

Elle peut gigoter tout ce qu'elle veut, il la coince entre ses cuisses. La masse de cheveux foncés d'Astrid occupe son entre jambe. Vicieusement, Ryo pèse en avant et donne du bassin. Ses coudes sont en appui sur la table basse et il est bien.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le vendredi 14 janvier 2022, 12:31:00
C’est l’histoire du petit chaperon rouge qui se fait baiser par le grand méchant loup. Le petit chaperon rouge a l’air tout innocente et le grand méchant loup a juste envie de tirer un coup, il prévoit de forcer le petit chaperon à le baiser comme il faut mais au final, le petit chaperon se retrouve être bien plus perverse que prévue et ils finissent par former un couple démesuré mais au combien obscène et jouissif. Je me sens comme le petit chaperon rouge, petite, fragile et innocente, face à la montagne de muscle devant moi. Quand il me saillit le cou pour me plaquer contre la paroi de l’ascenseur, mes pieds touchent à peine le sol. Mais ses mots, putain, ses mots. Ils ont le don de me faire gémir d’impatience. Je l’imagine déjà m’enculer violemment sur le canapé, à quatre pattes, haletante, soumise et lui fort, viril, à claquer contre mon cul. Son programme me plait beaucoup. Une fille normale aurait probablement prit peur en l’écoutant. Pas moi, moi ça m’excite.

Une fois arrivé dans l’appartement, Rio m’observe de sa hauteur, le regard brulant de désir. J’ai l’impression qu’il va me dévorer sur place. Il bifurque vers ma cuisine pour attraper quelque chose puis revient vers moi. En quelques secondes, il me pousse légèrement et je tombe au sol. Ses bras habiles bloquent les miens au dessus de ma tête et les entourent d’un torchon. Il m’attache à la table basse puis admire le résultat. Menottées au pied de la table, les bras attachés ensemble qui bloquent mes épaules, je ne peux utiliser que mes jambes et mon bassin. Ryo fait de moi son petit jouet immobile. Mes seins pointent, ils sont durs et tendus, ils ne demandent qu’a être maltraités. Ryo doit entendre mes pensées puisqu’il se positionne au dessus et se loge entre les deux. Son énorme bite comble l’espace et va et vient dans l’étau qu’il forme avec mes seins, étalant des fluides poisseux sur ma peau douce. C’est vulgaire. Je me tortille sous lui, essayant d’accompagner les mouvements de Ryo mais il ne me laisse pas faire. Son corps sur mon bassin m’empêche de me redresser comme je voudrais. A moitié nue, à même le sol, attachée, il peut faire ce qu’il veux de mon corps. La sensation d’être sa petite soumise me gagne, c’est ce que je redoutais un début de la soirée et pourtant me voilà en position de faiblesse. L’inspecteur a fini par obtenir ce qu’il veux, une bonne petite salope obéissante. Je sens ses yeux sur mon corps, il a l’air content de son coup. Moi qui voulais paraître forte et inaccessible, la situation a très vite basculé, je ne connais pas vraiment l’homme au dessus de moi et pourtant c’est lui qui a toutes les cartes en main. Je ne pensais pas qu’être ainsi me plairait autant. J’ai déjà fais des jeux sexuels qui finissait attachés mais toujours avec une sécurité autour. Là, la situation est dangereux, le mec est dangereux aussi. Je me retrouve sans défense face à Ryo et sa perversité.

Mais la flaque qui mouille mon pantalon depuis quelques heures montre l’étendue de ma perversité. Cette position de faiblesse me plait et m’excite au final, savoir qu’il peux disposer de mon corps comme il le souhaite, c’est ça la vraie soumission et le fait que je sois trempée montre juste une chose: C’est ce que j’attendais de Ryo au final, c’est exactement ce que je voulais qu’il me fasse. J’essaye de soulever les fesses pour le rapprocher de moi mais en vain. Le poids de Ryo pèse sur mes hanches et même mes coups de bassins les plus violents ne le font pas bouger d’un centimètre. C’est lui qui décide maintenant. Les aller et retour entre mes seins continuent et échauffent ma peau. Je tire la langue et lèche le gland de mon coup du soir à chaque coup de bassin. Ryo prends un plaisir fou, positionné ainsi mais il en veux plus. Et encore une fois, il force le passage entre mes lèvres.

On ne voit plus que des cheveux emmêlés sur le bas ventre de Ryo, il s’est placé au fond de ma gorge en un coup de bassin. Les cuisses de part et d’autre de mon visage, je n’ai pas le choix que d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue pour l’accueillir. La position est très inconfortable, si j’avais l’impression de me faire baiser la bouche dans la voiture, la sensation est encore différente maintenant. Ma tête, appuyée sur le sol, fait butoir pendant que Ryo roule des hanches pour s’enfoncer dans ma gorge. Une fois de plus, son énorme bite me remplit et tape sur ma glotte. Je m’étouffe littéralement sur sa bite. L’inspecteur, en appui sur ses avant bras, peut profiter de la vue de mon visage déformée. Ma propre salive s’accumule dans ma gorge mais je ne peux ni la cracher ni l’avaler. Quand j’essaye de tousser, sa queue s’enfonce un peu plus loin dans ma gorge. Je ne peux pas le repousser, mes jambes commencent à s’agiter, le manque d’oxygène commence à se faire sentir. Dans un dernier espoir de pouvoir respirer sans m’évanouir, je lui lance un regard suppliant et ancre légèrement mes dents dans sa bite, pas pour le blesser, même pas pour lui faire mal, juste pour lui faire comprendre qu’il faut qu’il se retire une seconde sinon son jouet ne fonctionnera plus.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le vendredi 14 janvier 2022, 17:23:50
Astrid morfle et le spectacle est foutrement bandant. Ryo lui baise la gueule qu'elle n'en peut déjà plus. Elle va le mordre? Le regard qu'il lui lance signifie qu'elle n'en a pas intérêt. Il se retire quand même de moitié et la laisse se démerder pour respirer et se reprendre alors qu'il n'occupe qu'une partie de sa bouche. Pas facile pour elle d'y arriver mais c'est aussi le but. Elle a promis et lui aussi. Ce sera une nuit mémorable et la jeune femme aura à puiser dans ses réserves pour soutenir ce que le flic va lui imposer. Et ça commence maintenant. L'accalmie est de courte durée et il reprend méthodiquement l'assaut de la gorge offerte. Il martèle puissamment, s'y introduit dans un torrent de fluides qui s'écartent sur son passage. De la salive en quantités massives mélangée à ses propres résidus. Elle en déglutit, en rejette à chaque coup de pompe. Des bulles ridicules se forment à ses narines, aux coins de sa bouche. Les sons de gorge qu'elle produit annonce la difficulté qu'elle a à encaisser. Mais il ne s'arrête pas pour autant, se tord et se démène pour l'amener à cette putain de rupture où elle suppliera qu'il arrête. Oh, il a deviné qu'elle va tenir. Ses déhanchements ne certifient pas que de la rébellion. Elle est excitée comme une puce et il la suspecte d'être capable de jouir rien qu'en se faisant plomber la gueule.

A nouveau, il la libère et se retire totalement dans un suintement écœurant. Un spectateur extérieur dirait que la scène est dégueulasse. Un producteur de porno la classerait dans la catégorie "gonzo" avec une mention extrême. Ryo la regarde douiller.

"Reprend toi petite salope, tu sais que c'est seulement le début. Va falloir être endurante et te dire que t'as c'que tu mérites."

 Il lui prend la mâchoire d'une main et ses gros doigts serrent ses joues.

"Ouvre cette petite gueule de chienne!"

Putain, qu'il la kiffe! Il revient entre ses seins et les enduit d'humeurs alors qu'il les prend à nouveau. Plus fort, trop fort, l'amplitude de ses mouvements terrasse cette jolie poitrine qui rougit sous les frottements. Peut être qu'Astrid ouvre la bouche pour se plaindre et il en profite pour s'y engouffrer, prend directement possession de sa gorge , et plus loin, de son œsophage. C'est là qu'il se videra quoiqu'il arrive, dans son ventre. Il en fera un sac à foutre et elle rotera du sperme pour un moment. Ryo a déjà envoyé des putes à l'hosto pour moins que ça. Astrid semble avoir des limites extensibles et il compte bien toutes les broyées. Son facefuck est monstrueux et dans un mouvement brutal, il glisse et pousse la table basse. Astrid est en hypertension et il s'affale sur sa gueule, rampe. Les genoux du flic enserrent les épaules de la pute et son bassin est bien cadré au dessus de sa gueule. Bordel qu'il la défonce! Elle bave tellement qu'y en a partout. Elle essaye de gueuler, il ruine toute velléités de protestations en investissant sa sale petite face de chienne. Il se loupe, entre de travers, presse au mauvais endroit, ressort, bourrine dans le creux de ses joues. Le rythme est intense, incontrôlable, saccadé, brutal. Quand il se foire et glisse hors de ses lèvres magiques, elle n'a que de précieuses secondes pour reprendre son souffle. Il l'agonise d'injures, de vulgarités tellement vraie que ça sonne érotique. Les salope, chienne, cochonne, bouffeuse de bites, de foutre et autres insanités fusent, comme pour accentuer l'acte obscène.

Quand la sauce monte, Ryo gueule comme une Bête, lui attrape la tête à pleine main et se loge le plus loin possible. Il s'y vide en de longs spasmes violents. La quantité de foutre délivrée est à la hauteur de l'attente. Astrid déborde. Ryo rage et pompe pour la faire avaler ce que le corps de la jeune femme tente de rejeter. Après trois derniers coups de reins titanesques, Ryo bascule sur le côté, la libérant enfin de son étreinte impitoyable.

"Putain! Comment tu fais pour me mettre dans cet état!! Rappelle moi c'que t'es déjà? Une ...?"

Il tourne la tête vers elle. Elle est ravagée ... mais vivante. Ce qu'elle a enduré, peu auraient pu le subir. Ryo ne lui délie pas les poignets et se lève. ce petit bout de femme l'impressionne. Son corps porte les traces de ce qu'elle vient de soutenir avec brio. Normalement, il devrait lui cracher dessus ou mieux, lui pisser à la gueule. C'est ce qu'il ferait avec une pute de trottoir mais là, non ... peut être après.

"Y'a de l'alcool ici?"

Ok un whisky ira bien. Il s'en sert un verre qu'il s'envoie sec puis remplit un autre verre d'eau fraiche. Il le porte à Astrid, la redresse (un peu ... pas facile les mains liées) et l'aide à boire par petites gorgées.

Il s'assoit ensuite contre un fauteuil et la mate.

"T'es encore plus canon quand t'es souillée."

Finalement, il boit directement au goulot de la bouteille de Scotch.

"Alors dis moi petite trainée ... tu regrettes ou tu t'éclates?"


L'éclat luisant qui brille au fond de ses yeux exprime toute sa perversité. Qu'elle ne se loupe pas dans sa réponse ...
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le samedi 15 janvier 2022, 19:06:31
C’est la fellation la plus rude que je n’ai jamais eu à faire. J’ai pourtant un peu d’expérience dans cette pratique, mais attachée par terre, coincée entre son bassin et le sol, celle ci ne sert à rien. Ryo en profite et s’amuse de la situation. Plus la salive et le foutre sortent de ma bouche dans des bruits obscènes, plus il est satisfait. Il se déchaîne sur moi, oubliant probablement que j’ai besoin de respirer pour vivre. Ses hanches poussent son chibre plus loin dans ma gorge, comme si c’était possible d’ouvrir les muqueuses de mon oesophage. Les quelques secondes de repos qu’il m’offre, pour mieux investir ma poitrine, je les passe à tousser et à expulser toute la salive accumulée dans le fond de ma gorge. « Connard. » Je ne peux m’empêcher de l’insulter. Ryo semble presque possédé, intéressé uniquement par la profondeur de son mouvement de bassin. Ca coule le long de mes joues, ça colle sur mon menton, j’ai le visage maculée de liquides poisseux. La brulure dans ma gorge ne s’en va pas vraiment, comme s’il y était toujours planté.

Le fait que je l’insulte en m’étouffant n’a même pas l’air de le déranger et il revient à la charge avec plus d’entrain. Je me retrouve coincée sous son bassin, les bras tendus à l’extrême en arrière, incapable de bouger le haut de mon corps. Ryo appuie sur ma glotte, forçant le passage vers mon oesophage. La position devient gênante, j’essaye d’articuler un mot, gigotant des épaules pour le pousser mais il n’entends rien, tape plus fort et bourre mes joues comme jamais. J’encaisse comme je peux mais arrive au bout de mes limites. J’entends à peine la vague d’insultes et son râle puissant signalant l’orgasme approchant et je me fais surprendre par le flot de sperme sortant de sa queue. Le liquide visqueux s’échappe de la commissure de mes lèvres, le reste finit dans mon estomac, avalé entre deux coups de butoirs.

Putain, il m’a défoncé. J’ai mal à la mâchoire et à la nuque. A bout de souffle, ma tête bascule en arrière, calé contre le sol. « Une… Une salope. » Lui dis je, dans un murmure fatigué, sans vraiment utilisé ma voix. Même l’air frais qui entre dans mes poumons me fait mal. Il doit m’avoir fait des bleus jusque dans le fond de la gorge. Je ferme les yeux une seconde. Mes seins et mon visage sont tachés de fluides secs et de traces rouges, probablement des traces d’échauffement. Il a du aussi me faire des bleus aux épaules. Tout mon corps est endolori, je me dandine par terre, essayant de définir quelle partie est la plus douloureuse. Je le regarde, partagée entre la fatigue et la stupeur. Presque gentiment, il me relève la tête pour me faire boire de l’eau, sans pour autant me détacher. Ca l’excite. Il adore ça. Me voir frotter mon cul contre le sol froid, sachant que c’est lui qui a provoqué ce bordel. Il n’attends que ça. Que je lui dises que c’est trop pour moi. Ce sadique veut que je lui dise que je n’en peux plus, qu’il a été trop brutal, trop violent pour mon petit corps fragile. Il pourra toujours taper plus fort, toujours aller plus loin, je ne le supplierai pas d’arrêter. Ca lui ferait trop plaisir. Je ne sais pas si je dois l’insulter et lui demander de me détacher ou si je dois le supplier l’enlever mon pantalon et de me baiser. Aucune de ses deux solutions ne me conviennent vraiment, mais la chaleur dans mon bassin me trahit. Je ne peux pas vraiment ignorer que la situation m’a plu aussi, que mon jean est trempé de plaisir, que mes seins endolories en demandent encore plus, que je ne veux pas que la soirée se termine maintenant.

Les sourcils froncés, la respiration toujours courte, je réalise que j’adore ça aussi. J’aime son regard sur moi. J’adore qu’il me regarde de haut, fier de m’avoir souillée ainsi. La soumission a toujours été un aphrodisiaque pour moi, laissée les hommes profité de mon cul comme ils veulent me procure plus de plaisir que je ne l’ai imaginé. Mais je n’aurais jamais imaginé prendre autant de plaisir à me faire humilier ainsi. D’autant plus avec un mec rencontré le soir même dans une soirée merdique. Essayant de ne pas laisser paraitre mon ébahissement, je pousse mon corps vers le haut, relâchant l’extension sur mes épaules. Moins gênant mais toujours pas confortable. « Pourquoi y’a que toi qui a le droit à un whisky? C’est plutôt moi qui mérite un prix. » Les premiers mots qui sortent de ma bouche sonnent gras, encore enrobés de foutre et de salive. Je tousse légèrement, éclaircissant ma voix. Le goût sur mes lèvres est salé, épais, légèrement amer. Je ne veux pas vraiment répondre à sa question, alors je l’évite. « Enlève moi mon jean. Il me gêne. » Je comprends bien toute la portée de sa question. Il me demande clairement si je veux continuer ou non mais je ne suis pas encore prête à lui avouer combien j’ai aimé ça.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le dimanche 16 janvier 2022, 18:07:43
"Ouais t'as raison, tu mérites bien quelque chose..."

Il verse une mesure de scotch dans son verre et lui donne à boire, en une fois. C'est du bon. Si c'est elle qui l'a choisi, elle a bon goût. Lui aussi s'en ressert. La profondeur tourbée du breuvage affine ses sensibilités, dégage le trouble du mauvais whisky consommé plus tôt. Additionné au rail de coke qu'il s'est envoyé, le mélange est détonnant. Sa clairvoyance prend le dessus sur tout le reste. Il vit cet instant de pur sexe à cent pour cent. Les effets sont décuplés, les envies irrépressibles. La gamine paye sa témérité et si elle survit à cette nuit, il se jure d'en faire sa pute personnelle. Elle arrive encore à être autoritaire après cette défonce buccale hors-norme. Affaiblie mais toujours là. Bordel, qu'est ce qu'elle a prit!

Ryo obtempère et lui retire son jean qui porte l'indécence de son plaisir. Il en sent l'entrejambe, imbibé de ce qu'elle n'a pu contenir. Il continue en s'accroupissant devant elle. Sa voix est sourde, presque menaçante, lourde de tout le vice qu'il inclut dans ses mots.

"C'est vrai ... Tu mérites de te faire prendre comme la dernière des chiennes, de t'faire trouer la rondelle ... de n'être plus qu'un sac à foutre, que tu le veuilles ou non. Tu vas couiner ma salope! Putain ouais, t'aurais pas dû faire c'te promesse!"


En  quelques gestes, il la détache mais seulement pour un court instant. Il a récupéré un autre torchon et après s'être assuré de l'avoir bien immobilisé, il lui noue chaque poignet à une cheville. Qu'elle soit consentante ou pas pour continuer, il s'en fout. Si elle gueule, il lui enfoncera un truc dans la bouche. il se relève et va se passer un coup d'eau sur la figure. Quand il revient, il l'observe à ses pieds. Dans cette position, où elle arrive à rester sur le dos ou forcement, elle bascule d'un côté. Si elle veut se détendre, elle doit fléchir ses jambes pour reposer ses bras, et donc offrir une vue imprenable sur son cul et sa chatte. Si au contraire, elle fatigue des cuisses, elle tendra les jambes et nécessairement les bras, ouvrant un angle parfait pour se faire ravager. mais d'abord ...

Ryo s'agenouille derrière elle. Ses genoux touchent les épaules d'Astrid et il lui guide la tête en arrière.

"Ouvre ta gueule!"


Et d'un coup brutal ... "HAN!" empale sa gorge jusqu'à la garde. Le geste est brusque et il comprend bien qu'elle éructe et se torde. Ce n'est pas pour autant qu'il se retire.

"Si tu mords, tu morfles."

Il lui prend les seins à pleines mains. Il peut sentir son petit cœur battre la chamade. Bien logé dans cette gorge de velours, il s'abaisse ensuite sur elle et vient insère un doigt dans sa chatte, puis deux, puis trois qu'il crochètent pour se maintenir dans son vagin. Qu'elle gigote, il faudra bien qu'elle assume cette position et se calme . Ryo entreprend un doigtage poussé, elle est tellement trempée  qu'il glisse en elle trop facilement.

"Putain que j'ai envie de t'fister!!"

Il s'acharne dans sa gueule, aussi fort que dans sa chatte. Il veut qu'elle supplie, qu'elle craque, c'est sa conception du sexe. Egoïste, arrogante, et ce qu'il vit avec elle, il ne l'a que très peu expérimenté, ses partenaires cédant toujours bien avant. Quand il retire  ses doigts suintants de la chatte molestée, c'est pour venir saisir ce cou gracile. Putain qu'il est violent! Il se sent bouger en elle, écarteler les chairs tendres. C'est une véritable destruction à laquelle il s'adonne. il plonge dans un bouillon de foutre et de salive. Il adore l'entendre déglutir, tousser puis s'étouffer dans des gargouillis dégueulasses.

Après de nouvelles longues minutes de ce traitement inhumain, il se retire et la fait pivoter pour présenter son cul. Il étale les fluides d'Astrid sur sa rondelle et une fois bien calé entre ses cuisses, pulvérise le passage de ses reins. Ce n'est pas maintenant qu'il va devenir doux et c'est brutalement qu'il s'emmanche dans son cul.

"C'te gueule de pute que t'as ..."

Terminée Astrid, partie la jeune femme au regard pétillant, dissoute la salope de l'ascenseur.  Sa partenaire n'est plus qu'un réceptacle à bites complètement détruit. Sa gueule porte les stigmates de ce qu'elle supporte.

Ryo a les mains ancrées à ses épaules et l'encule de toutes ses forces. Ses coups de reins sont durs, puissants, vicieux. La place qu'il s'est faite entre ses fesses laisse un orifice béant à chaque fois qu'il en glisse.

"HAN!" pilonne.
"HAN!" ravage.
"HAN!" martèle.

Ce n'est  qu'une succession de pénétrations monstrueusement sordides. Quand il relâche les fines épaules, c'est pour enfoncer ses doigts dans la gorge martyrisée, pour lui serrer le cou ou pincer ses tétons. Astrid a fait l'erreur de lui offrir son intimité, la retour de bâton est disproportionné.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le lundi 17 janvier 2022, 08:44:37
Il doit vraiment aimer ma gorge, ou pire mon oesophage. Je n’ai plus aucun contrôle sur la situation, mes petites remarques ne l’éteignent plus vraiment. Ryo m’écoute mais il n’enregistre pas, il est perdu dans son tourbillon de domination et de perversion. Son regard devient fou, sa poitrine se soulève lourdement, sa queue se tends presque un peu plus. Je n’ai plus affaire à un homme, mais une espèce de bête prêt à fourrer sa queue dans n’importe quel trou. Il a encore l’air d’avoir des idées en tête. Je trouvais déjà l’idée de m’attacher à la table basse originale, mais là, mes jambes attachées à mes poignets, c’est… Osé. L’air frais de l’appartement me fait frissonner et passe mon cul et ma chatte exposés. C’est inconfortable. Mes joues deviennent rouges comme si j’étais timide. Je me sens encore plus petite et fragile que d’habitude, à tout moment, il peut me briser. Là, dans cette position obscène, je suis exposée au monde entier. On se connait depuis 5 minutes et déjà, il m’envoie dans un univers d’humiliation et de perversion que je ne connais pas du tout. Et le pire dans tout ça, c’est que je le laisse faire et que j'aime ça.

Ma mâchoire est crispée sous ses coups de butoirs. Une petite seconde, je me demande s’il ne veux pas me la luxer pour être sure d’entrer plus facilement. Sa queue va toujours plus loin, toujours plus fort. Il ne me ménage pas, en même temps, je pense que Ryo ne sait pas ce que c’est le sexe normal. Je gémis contre lui, mes cordes vocales vibrants sur son gland, quand il me mets 3 doigts. Je n’ai pas ou peu été stimulé ce soir, toute mon excitation est du à la bite de Ryo dans ma gorge et à mes poignets attachés, ce qui ne m’aide absolument pas à garder mon calme. Je plie les jambes pour lui laisser un peu de place, mais la position est compliquée, entre sa bite dans ma gorge, son corps au dessus de moi et ses doigts dans ma chatte, j’ai peu de manoeuvres. Mes fesses se dandinent contre le sol, mon bassin essaye d’accompagner les mouvements de l’homme mais il est trop intense pour que je puisse trouver un rythme correct. Et la pression dans le fond de ma bouche n’aide en rien, il est encore en train de m’étouffer. Sa queue tape contre ma glotte, un peu trop loin. Un relent de bile monte dans ma bouche, par je ne sais quel miracle, Ryo me laisse une demi seconde de répit pour pouvoir déglutir de nouveau. Le mélange est étrange, probablement à cause de tout ce foutre que j’ai avalé.

Je n’ai pas le temps de récupérer de sa séance de doigtage démesuré qu’il me retourne, sa grosse bite luisante face de mon anus. Il étale ma cyprine dessus, mon trou est resté dilaté par la sodomie précédente mais trinque quand même quand il s’enfonce dans mes entrailles. C’est si fort que ses couilles viennent claquer contre la peau de mes fesses. Tout mon corps porte déjà des marques rouges des violences de Ryo, mon cou des traces de doigts, mes seins des traces de bites et de morsures, mes poignets des traces de brulures du tissu. Une chaleur sourde monte en moi. Tant de violence me désoriente, m’accable, me tiraille mais ça m’excite aussi follement. Je ne peux même pas me toucher dans cette position, mes mains ont agrippés à mes chevilles, la jouissance vient du plus profond de moi. Je mouille énormément, ça dégouline sur la bite de Ryo et lubrifie le passage. « RYO! Attends, attends, putain c’est trop ! » Je lui hurle dessus, presque agonisante sous lui. Je me perds entre le plaisir et la douleur, ma jouissance monte, toujours plus forte, toujours plus puissante sous les coups de queue, je n’arrive même plus à déglutir correctement tellement le plaisir est intense, un filet de bave s’écoule de mes lèvres, atterris sur ma poitrine en le regardant. Ses doigts se referment sur ma gorge, coupant ma respiration quelques secondes et j’explose. Des jets de cyprine arrosent le ventre de Ryo, tout mon corps tremble comme une feuille, mon oeillet béant se resserre d’un coup, accompagnant les spasmes de mon corps. Je jouis encore et encore pendant qu’il continue de me culbuter. « Détache moi Ryo je t'en supplie. » Ma limite est dépassée, je n’en peux plus. Mon anus est dilaté au maximum, on pourrait presque y glisser un poing. L’arrosage continue malgré mes plaintes, une flasque se créé sous mes fesses. Je n’ai jamais joui comme ça, ça n’a jamais été aussi… Mouillé. J’ai l’impression de lui avoir pisser dessus.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le lundi 17 janvier 2022, 15:57:30
Mais c'est qu'elle en fout partout la chienne! Astrid craque, submergée par un orgasme qui surprend Ryo tout autant. Enfin, elle supplie. Le flic l'a amené au point qu'il voulait. une bonne baise se termine pour lui par la défaite de sa partenaire. Il ne conçoit pas qu'elle s'en sorte sans avoir ramasser. Mais celle-là, c'est une perle! Elle a prit cher, très cher et elle s'en est satisfaite en plus. Elle inonde Ryo de son plaisir, son corps est parcouru de vagues intenses qu'il peut ressentir tant elle se contracte autour de lui. Fiché dans son cul qu'il continue à pilonner, il s'est délecté de ses hurlements, de son abdication. Lui aussi est au bout du rouleau mais pour d'autres raisons. Sa queue pilonne une masse brulante et les contractions d'Astrid ne font que décupler son plaisir. Il beugle comme une bête quand il ne tient plus et se retire de ce cul divin pour se positionner au dessus d'elle. Il fléchit les jambes et se présente devant le visage détruit.

"OUVRE TA PUTAIN D'GUEULE!"

Et il s'y vide encore une fois abondamment, en d'énormes quantités de sperme, ajustant son tir pour qu'elle n'en perde pas une goutte. il tremble, son corps est électrisé et quand enfin il termine, il s'effondre sur elle à genoux, l'écrasant sous son poids. Sa grosse queue vient s'écraser sur e joli visage, molle à présent. Il se contorsionne un peu, il lui fait mal comme ça. les membres d'Astrid sont tendus à l'extrême. En un tour de main, il défait les nœuds. Merde! c'était serré fort et elle en porte les marques, en plus d'avoir tiré dessus comme une folle. il a l'impression d'avoir un cadavre sous lui. Il se redresse péniblement et s'envoie une rasade de whisky. Pas besoin de parler pour l'instant, il voie bien qu'elle récupère et lui aussi à besoin de souffler un peu. Il utilise un torchon pour essuyé la sueur qui le couvre, il a vraiment donné. Il se demande même s'il était déjà allé aussi loin. Bordel! Dans cet état il aurait pu la buter ... l'alcool et la dope, ça avait du bien mais en contrepartie, un accident était vite arrivé ...

Astrid est encore par terre. La petite chose brisée est délicieusement séduisante à ses yeux. Ryo va s'asseoir sur un canapé confortable et frissonne.

"Il pèle chez toi. Traine pas et viens me tenir chaud! A moins que t'es envie qu'on recommence de suite? Non?"

De toute manière, qu'elle vienne ou pas de change rien. il se lève et vient l'attraper par le poignet pour la tirer avec lui sur le sofa. Qu'elle ne réagisse pas assez vite n'est pas un problème. Il a pour lui la force brute. Elle est toute petite sur lui et plus encore alors qu'elle reste prostrée. Elle sent fort, elle sent son odeur à lui mélangée à ses plaisirs à elle. Il lui tire les cheveux en arrière pour contempler son visage. Superbe!

"J'kiffe ta gueule d'amour."

il ne va pas lui rouler une galoche, c'est pas son truc les papouilles mais il est soudainement prit d'un sentiment étrange. Surement pas de la honte ni de la culpabilité, il s'est éclaté et recommencera c'est sûr. Ce n'est pas non plus de la compassion alors quoi donc? il hausse les épaules et tente d'oublier cet intermède passager bien qu'un petit truc lui reste dans le fond de l'esprit. Il arrive à saisir son blouson qu'il avait jeté sur l'accoudoir du canapé et sort d'une poche son paquet de clopes. c'est le moment idéal pour s'en griller une. Alcool, cigarette, une pute et une bonne séance de baise, le top!

Quand il termine, il se lève et porte sa victime à la salle de bain. Il entre avec elle dans la cabine de douche et allume l'eau à la température la plus élevée qu'ils puissent supporter. C'est réparateur et il se lave en la regardant faire. Elle s'anime un peu, c'est bien. Par pur formalisme bien que ça ne lui corresponde pas, il demande quand même.

"Ca va ?"

Faut croire que non vu comme elle a l'air de douiller ... Mais ... elle a promis, il lui rappellera encore et encore. A elle d'assumer.

"J'ai la dalle, t'as un truc à manger? T'en profiteras pour réfléchir et choisir pour tout à l'heure: la bouche ou le cul? On a pas fini, il nous reste encore un peu de temps. Pense même pas à me demander de te fourrer la chatte, c'était pas dans le deal. Et puis ... t'as pas besoin de ça pour jouir, hein salope?"
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le mardi 18 janvier 2022, 17:28:35
Je suis affalée sur lui en train de fumer sa clope, je ne sais pas qui tient chaud à qui. Mon corps ne me réponds pas vraiment, j’ai pris si chère que j’ai l’impression de ne plus sentir aucun de mes muscles. Quand il m’agrippe pour admirer mon visage défait par sa faute, il sourit largement, très heureux du résultat. Bien que j’ai appréciée sa baise violente, je ne peux m’empêcher de lui lancer un regard noir. C’est quand même un connard. Certes, j’ai joui comme jamais et oui c’est un très bon coup mais il a du bol d’être tombé sur quelqu’un qui a réussi à encaisser ses putain de coups de butoirs. Il aurait pu me briser en deux ou m’étouffer pendant la partie de baise qu’il ne s’en serait même pas rendu compte. Quand j’aurais assez de force, je l’engueulerai comme il faut. Mais pas maintenant, maintenant je souffle et récupère, la tête presque blottie contre son torse, baignant nos fluides sexuels respectifs. Ca n’a rien de romantique, mais c’est apaisant.

Presque gentleman, il me porte jusqu’à la salle de bain. J’ai l’impression de ne rien peser dans ses bras, il me soulève comme si j’étais un poids plume. L’eau chaude m’aide à retrouver mes esprits, j’ai la tête encore embuée, résultat d’un orgasme trop puissant et d’une maltraitance corporelle intense. Je ne suis pas sure d’avoir déjà eu un orgasme aussi puissant, l’ayant inondé de cyprine, sans même avoir toucher ma chatte ou mon clitoris. Je porte ma main à mon cou, essayant de détendre mes muscles. Il y est allé très fort, toute ma peau est endolorie, je pense qu’elle va finir par bleuir dans la nuit. Un col roulé va être de circonstance demain. J’ouvre grand la bouche et récupère de l’eau chaude. Je la passe partout à l’intérieur, fais un espèce de gargarisme étrange et recrache par terre. L’eau qui sort est blanchâtre avec quelques traces de sang, ma main glisse sur la bouche et je récupère un peu de sang à la commissure de mes lèvres. Il a du l’endommager en forçant le passage. Je sais que ça va cicatriser, mais ça laissera aussi des traces. Tout mon corps a l'air d'être devenu un bleu ambulant. Ryo va griller ma couverture de petite fille sage avec ces conneries. Déjà qu'il m'a exposé souillé et dominé à la soirée de tout à l'heure, maintenant il va falloir que je cache toutes les traces avant d'arriver à l'hôpital demain matin.

Je suis surprise de sa question. Je ne pensais pas qu’il serait considérateur de mon état. « Oui ça va. Tu m’as… défoncé putain. » J’essaye de reprendre contrôle de mon corps, massant mes poignets sensibles. Des jolies traces circulaires se sont formés autour, tel des brulures. Un petit gémissement de douleur me prends quand je commence à bouger mes jambes. Aoutch, ça, ça fait mal. L’eau chaude qui passe sur mon visage, détends mes muscles mais n’apaise pas vraiment les douleurs. Un frisson me parcoure quand je sens l’eau brulante passé entre mes fesses, sur mon anus béant. Putain, j’ai survécu à deux sodomies violentes coups sur coups sans préparation au préalable et surtout sans m’évanouir. Putain ça relève presque du miracle. « Je dois avoir des trucs à grignoter dans le frigo, tu pourras te servir après. » J’attrape sa main qui le nettoie et la pose sur mon ventre. « Mais d'abord, tu prends soin de moi. Je n’ai pas la force de me laver et c’est de ta faute. Passe tes mains partout pendant que je réfléchis à ta proposition. Mais vas y doucement. » Il ne sait probablement pas comment faire doucement, mais je vais lui montrer. Je sais bien qu’un mec comme lui n’en a rien à foutre de ma condition physique, mais s’il pouvait au moins me nettoyer de tout son sperme et de notre sueur, on aura quand même déjà gagner un peu. Je ne suis pas sure qu’il ait connu beaucoup de femmes, des vraies femmes. Pas des putes qu’il a trouvé dans la rue, ou des meufs prêtes à tout pour lui faire plaisir pour échapper à une prune ou une arrestation. Je me doute qu'il doit régulièrement baiser ses meufs là, parce que pour qu’une femme soit consentante pour se faire tringler comme ça, il faut qu’elles aient une sacré motivation… Ou un sacré esprit pervers. Ou alors, il ne les voit qu'une seule fois et après elles ne veulent plus jamais entendre parler de lui. Ca aussi c'est fortement possible.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le mercredi 19 janvier 2022, 16:42:59
Astrid fait preuve d'une extraordinaire capacité de récupération. Ryo l'observe . Elle se livre à un examen de son corps. On voit bien là l'experte médicale. Son corps porte les sévices de la sauvagerie du flic et il faudra qu'elle fasse avec pour quelques jours tout au mieux. Elle frémit quand l'eau chaude atteint son anus meurtri et il sourit sadiquement. Ce petit cul est un appel à la défonce et il compte bien le détruire à nouveau. Il sait dans quel hosto elle bosse et il s'imagine déjà des petits jeux bien hard dans les locaux hospitaliers. Enfin ... il n'y est pas encore et il n'est pas à l'abri qu'elle refuse de le voir à nouveau après cette nuit de folie.

La laver? Pourquoi pas. Ca lui redonnera la trique. Il pense un instant à ce reprendre un rail de coke mais décide que non, il pourrait vraiment la tuer là. Autant faire avec ce qui lui reste de vigueur. Les effets de la poudre ne se sont pas totalement dissipés et il sait qu'il peut encore au moins  tenir une passe. Ses grosses mains se ruent à l'assaut du corps d'Astrid. Il la savonne sans douceur, appuyant ses gestes quand ses doigts glissent entre les cuisses tremblantes, qu'il empoigne les seins de la jeune femme ou glisse un doigt dans sa raie des fesses. C'est là que les dégâts sont les plus marqués. Le sphincter a craqué et saigne un peu. il est distendu et les contractions qu'il affirme prouvent toute la difficulté qu'il a à revenir à sa fermeture initiale. Ryo insère un doigt dans le trou béant et s'amuse à ramoner le conduit. Putain, il l'enculerais bien sous la douche mais un gargouillement lui rappelle qu'il a aussi envie de bouffer. il termine donc de la laver et la rince sans ménagement. La douche, c'est bien mais pas trop longtemps non plus.

Il sort de la cabine et lui jette une serviette tandis qu'il se sèche lui aussi. C'est rapide et en laissant des marques humides au sol, il retourne à la cuisine où il ouvre le frigo. il fronce les sourcils. C'est ça des trucs à grignoter? Il a faim et pourrait bouffer un bœuf. Les trucs qu'il sort nourriraient à peine un bébé ... Il croque ce qui lui parait comestible et referme la porte du frigo un peu irrité.

"Alors? Tu choisis quoi?"

Il va s'installer sur le canapé et attend, les pattes écartées. il se branle tranquillement pour garder une certaine raideur. Lui aussi à douiller. Sa queue est marquée, rougie. De fines craquelures laissent même perler de microscopiques gouttes de sang. Il passe un bras sur le dossier et guette l'apparition d'Astrid dans l'encadrement de la porte de la salle de bain. Il n'a aucune préférence pour la suite. Qu'il lui bourre la gueule ou le cul, c'est pareil. Il va l'utiliser tout simplement pour se vider les couilles. Il regarde juste un peu dans le salon ce qui pourrait lui servir à pimenter un peu leurs ébats.

"J't'attends Astrid!"
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le jeudi 20 janvier 2022, 17:30:41
Pour une fois, Ryo décide d’obéir. Enfin obéir est un grand mot. Il n’a clairement pas comprit le mot doucement et s’amuse même à appuyer là ou ça fait mal. Ses grosses mains sont agréables quand elles passent dans mon dos et sur mes fesses meurtris, un peu moins quand il me pétrit les seins comme s’ils lui appartenaient. Je gémis quand il introduit un doigt dans mon rectum. Putain, doucement j’avais dis. Il continue à jouer avec quelques secondes regardant mon visage se déformer par la douleur. Salaud. Mais il est interrompu par l’appel de la bouffe. Presque contrarié, le flic finit de me rincer et sort de la douche sans un mot, mettant de l’eau partout sur son passage. J’attrape la serviette pour me sécher, grommelant dans son dos. Je sais qu’il n’est là que pour m’utiliser et à vrai dire, je suis en train de faire la même chose, mais son manque de civilité commence à me taper sur les nerfs. La petite aristocrate que je suis n’aime pas être prise pour une conne.

J’espère qu’il ne s’attends pas à un poulet frites dans le frigo parce que ça n’est pas le cas. Dans le meilleur des cas, il y aurait des sandwichs à manger, peut être quelques fruits, des yaourts aussi mais rien de très consistant pour un mec de sa taille. La plupart de mon temps étant passé à l’hôpital, je ne me dérange pas à aller faire des courses compliqués et encombrantes, les quelques produits qui jonchent mon frigo sont des intemporelles. Pendant qu’il inspecte mon frigo, je me sèche avec une serviette moelleuse. C’est la chose la plus douce qui me soit arrivé ce soir. Mon corps endolori se réveille doucement, l’eau chaude ayant bien décontracté mes muscles. Je regarde mon visage dans le miroir embrumé de la salle de bain, passant une lingette démaquillante sur mes yeux de panda. Ryo a fait coulé de longues trainées noires de mascara sur mes joues à force de baiser ma gorge. Je dois frotter un peu pour qu’elles partent, elles ont eu le temps de s’incruster dans ma peau.

Il hurle du salon, confortablement installé sur le canapé. Quand je reviens vers lui, il a sa queue en main et l’astique passablement pour garder son érection. Comment un mec peut autant m’énerver dans son comportement et m’exciter dans ses gestes? Je devrais avoir envie de lui en coller une pour m’avoir défoncer comme il l’a fait mais là maintenant, j’ai juste envie de lui remonter dessus et de m’empaler sur sa bite. Je frémis seule avec mes pensées perverses. « Tu es toujours un connard comme ça? » Je m’approche de lui, en me séchant les cheveux avec la serviette. La force de mes jambes est revenue, mais si c’est lui qui continue de me baiser, je ne suis pas sure de pouvoir me relever après. « Mon cul. Juste mon cul. » Je m’assoie sur lui, mes cuisses de part et d’autre des siennes et lâche la serviette à coté de nous. « Mais laisse moi t’utiliser un peu aussi. » J’attrape ses deux poignets dans une de mes mains et les cale derrière sa tête. En un mouvement, il peut me repousser et prendre le contrôle mais j’essaye de garder bonne figure devant lui. Mon autre main prends sa queue et la guide jusqu’à ma chatte toujours mouillée pour récupérer des fluides lubrifiants. Je ne l’enfonce pas à l’intérieur, je me souviens de ses paroles, je sais très bien que si j’ose me pénétrer la chatte avec, il me punira et en profitera pour reprendre le contrôle. Puis je la dirige vers mon anus dilaté. Mon bassin ondule dessus pour la laisser s’enfoncer toute seule. Ma tête part en arrière, profitant de la sensation. Quand elle est enfoncée assez loin pour que mes hanches puissent faire tout le boulot, ma deuxième main vient rejoindre la première, continuant de maintenir ses poignets. J’appuie de tout mon poids dessus, comme pour essayer de l’immobiliser. Mon cul monte de haut en bas sur son pieu, épousant parfaitement ses courbes. Le rythme est plaisant, pas trop lent, pas trop rapide, ni trop violent, un rythme de croisière pour me faire venir rapidement. Je sens les muscles de mon oeillet se dilater de nouveau et recevoir sa bite avec plaisir. Mes joues redeviennent rouges d’excitation. Cette fois, ça n’est pas son plaisir qui m’intéresse, mais le mien.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Ryo le samedi 22 janvier 2022, 17:52:12
Ryo hausse les épaules.

"Un connard? Là? Il te faut pas grand chose ... j'suis cool et tu prend ton pied."

Elle s'approche de lui et il sourit quand elle annonce son choix. Excellent d'ailleurs, même si entre les deux propositions, le résultat aurait été similaire. Astrid décide de prendre les choses en main, par précaution peut être? Non, plus par désir de revanche. Ca se lit dans ses yeux et elle le dit juste après s'être installée sur ses cuisses. ce n'est pas un reproche mais juste l'envie de montrer qu'elle en veut encore, qu'il n'a pas totalement la main mise sur elle. Elle se raccroche à cette petite once de libre arbitre qui survit encore en elle. Ryo approuve et la laisse faire, appréciant à nouveau le contact de ce petit corps chaud. Astrid s'active rapidement à lustrer la queue du flic avec son plaisir avant de se l'enfiler dans le cul. Elle s'éclate. Son simili-show de domination fait sourire Ryo et il ne se dégage pas des petites mains fragiles. Ca viendra après. La jeune femme le chevauche vigoureusement, en rythme. Elle n'a eu aucun mal à le prendre en entier et il profite de la profondeur qu'elle lui offre pour son plus grand bonheur. Ce petit cul est la huitième merveille du monde, confortable, accueillant, ouvert et si  bon à exploser.

Elle prend son pied à nouveau, pour elle, rien que pour elle. L'expression d'extase qui s'affiche sur son visage indique toute l'euphorie sexuelle qui la tient à ce moment. cette chevauchée dure de longues minutes sans que Ryo intervienne. Lui aussi s'éclate et sa queue frémit à chaque secousse. Quand il la sent prête à venir, il se libère les poignets d'un mouvement et vient refermer ses bras autour du corps qui s'échauffe sur lui. Il la laisse néanmoins aller jusqu'au bout et quand son orgasme la dévaste, il lui donne seulement une consigne toute simple.

"T'arrêtes pas!"

Elle se tord, violemment, son cul sensible doit demander une accalmie qui lui est interdite. Chaque millimètre doit en être terriblement sensible mais elle n'a pas le droit de s'arrêter. Ce n'est qu'au second orgasme qui termine de l'achever qu'il consent à la relâcher. La chose molle qui transpire à nouveau sur lui ne bouge plus cependant il sent son cœur battre la chamade et sa poitrine se soulever anarchiquement alors qu'elle tente de reprendre son souffle.

"Une vraie pute pour jouir alors qu'tu t'fais enculer."


C'est une évidence.

Mais maintenant, c'est à son tour et le petit câlin sur le canapé vient de prendre fin. D'un geste brusque, il la retourne sur le dos, enfoncée dans les coussins du canapé, la plie en deux en lui ramenant ses cuisses sur la poitrine et l'empale d'une unique poussée ultra violente. Il lui perce les tripes, l'achève, et pour éviter qu'elle gueule, lui couvre la bouche. Il martèle aussitôt comme un marteau pilon, puissant et régulier, s'abattant dans ce cul de la plus brutale des manières. Il passe les jambes d'Astrid sur ses épaules, la soumettant complètement à la sauvagerie de ses instincts primaires. Il glisse, son front heurte le visage d'Astrid, i se redresse, lui serre le cou, fou et accélère. Ses abdos le brûlent, ses cuisses aussi sont en feu, sa queue broie les entrailles de la jeune femme qui est secouée comme une chiffe molle. Il se retient et quand la sauce monte après cette débauche furieuse, il s'extraie du trou béant qu'il pulvérise et grimpe plus haut. Il la saisit par les cheveux et hurle.

"AVALE SALE PUTE!"


Elle n'offre aucune résistance et c'est dans sa gorge qu'il va se déverser en beuglant. il s'avachit sur sa gueule d'ange détruite et n'en sort que quand il la sent suffoquer. Il se tient debout à côté d'elle, une lueur meurtrière dans les yeux. Coke, alcool, sexe ... Ryo est fou. Il se calme difficilement avant de foncer se passer la tête sous l'eau froide.

"PUTAIN!"

il revient en trombe au salon voir si elle est vivante. Oui. Soulagement malgré tout. Elle a salement morflé. Beaucoup trop en fait mais elle devrait s'en sortir.

Le grand flic se rhabille et revient la voir.

"C'était une bonne partie de baise. Les salopes comme toi courent pas les rues. Si t'as envie de me revoir, tu sais où je bosse."

Il récupère un double du badge d'accès qu'il trouve près de la porte d'entrée et se barre, la laissant détruite et souillée.
Titre: Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
Posté par: Astrid Grace le lundi 24 janvier 2022, 19:36:29
Mon orgasme me dévaste. Putain, c’est quoi le troisième? Le quatrième de la soirée? Je sens mon cul pulsé autour de sa queue, essayant de se refermer sans pouvoir. Mon corps n’est plus qu’un petit bout de chair transpirant. Ses bras se referment sur moi, une seconde, je trouve ça presque réconfortant jusqu’à il m’ordonne de continuer. Haletante, sa bite toujours plantée dans mon cul, je le regarde presque ébahie. Continuer? Ma jouissance précédente m’a rendu beaucoup plus que sensible, mon état de fatigue est avancé et mon fondement a déjà prit assez cher. J’ai presque du mal à comprendre ses mots. Comme je mets du temps à réagir, il m’entraine vers le haut pour me pousser à continuer. Je gémis de douleurs, toutes mes muqueuses intérieures se contractent et je sens toute la longueur de sa bite me fouiller. Avec toutes les forces qu’il me reste, je lui obéis et continue d’aller et venir au dessus de lui mais la douleur prends le dessus sur tout. Chaque mouvement entraine un bruit de succion obscène et me ravage un peu plus. Bien que je prends cette queue depuis déjà quelques minutes, j’ai l’impression que mon cul se ressert encore autour de son gros chibre, le rendant plus étroit. Je plante mes ongles dans ses épaules et me perds dans les abîmes de la douleur. Mais malgré tout, après quelques secondes, je me surprends à prendre du plaisir, sentant la jouissance venir réchauffer mon bas ventre. Putain ce connard va réussir à me faire venir une énième fois en me forçant à continuer. L’orgasme me prends de court, peu de temps après le dernier. Tout mon corps tremble, mon anus se contracte sous la pression, emprisonnant Ryo à l’intérieur. Un nouveau jet de cyprine l’inonde et le trempe, lui et le canapé. Je le garde au fond de mon oeillet, assise sur lui, la tête posée sur son épaule tout en essayant de me calmer. Mon coeur menace de sortir de ma poitrine, mes mains sont moites et une particule de sueur recouvre tout mon corps. Ca y est. Il m’a vidé. Toute mon énergie est passé dans ce dernier orgasme imprévu. J’entends à peine ses mots qui me traitent de pute. Mais il ne doit pas avoir vraiment tort.

Mais mon répit est de courte durée. Ryo m’a laissé prendre mon plaisir seule, même s’il semble avoir apprécié mon petit jeu, il n’a pas encore joui, malgré le fait que sa queue soit toujours un pic bien bandant. Il me balance sur le dos, reprenant ses droits sur mon cul béant. Pendant plusieurs minutes, il devient fou. Son visage est déformé par la violence et le plaisir, je pense qu’il ne me voit même plus, il ne voit plus que sa grosse queue qui percute le fond de mon cul. Fatiguée par cette baise qui dure depuis trop longtemps, je le laisse faire, accusant ses coups de butoirs violents en gémissant. Mon anus est dilaté déjà à son maximum, mais surtout je sais que je ne pourrais pas arrêter Ryo dans cet état, au risque de prendre encore plus cher. Je le laisse m’utiliser, gardant mes bras sur les siens pour encaisser. Il me crie une nouvelle fois d’ouvrir la bouche, j’exécute sans poser de questions et le laisse se vider sans compassion dans ma bouche, m’empêchant d’avaler quoi que ça soit tellement il est loin. Ca passe de travers, une partie de son sperme se retrouve dans mes poumons, l’autre dégouline sur mes lèvres et le long de mon menton. Je tousse comme jamais en le voyant s’éloigner en criant.

C’était la baise la plus violente de ma vie. Mais surement l’une de celles ou j’ai le plus joui aussi. Mon corps a perdu toute force et toute motivation à bouger, je m’allonge sur le coté, tentant de retrouver une respiration normale. Je l’entends revenir vers moi et se rhabiller, mais je ne le calcule pas vraiment. Il marmonne des mots crus sur la soirée et m’indique ou le trouver si je veux recommencer. Puis j’entends la porte se fermer au loin, signe qu’il est finalement parti. La soirée n’était pas censée se terminer comme ça, ça n’était même pas censé commencer ainsi. Je ne sais pas si j’ai envie de le revoir, je ne sais même pas comment je vais survivre jusqu’à demain avec tous ces bleus et éraflures. Peut être plus tard, quand j’aurais récupéré de tout ça. Ou peut être pas, parce que c’est quand même un gros connard. Epuisée et douloureuse, je ne prends même pas la peine de me rhabiller ou de me lever jusqu’à mon lit. L’objectif principal est de dormir. J’attrape un oreiller, un plaid et me cale dans le canapé. Si ma soirée s’est avérée beaucoup beaucoup plus mouvementé de prévue, ma nuit elle devrait être très calme.