Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

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Astrid Grace

Humain(e)

Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

jeudi 16 décembre 2021, 02:11:08

Un pot de fin d’année pour remercier le secteur publique? Sérieusement? Donc en plus de nous payer comme des chiens, ils nous obligent à venir à leur pot à la con pour qu’on sourit et qu’on soit mignon sur les photos. C’est mon chef qui nous a obligé à venir. Il a réunit toute l’équipe médicale et a fait son speech sur comment montrer à l’administration qu’on est reconnaissant de leur effort. Intérieurement, ça m’énerve. Extérieurement, on est quand obligée d'y aller si on veux faire bonne impression devant le chef de service donc je suis en train de voir avec mes collègues, quelle voiture on va prendre pour y aller. En plus, c’est dans le quartier malfamé de la ville. Par chance, Teresa est d’accord pour qu’on prenne la tienne. Je vais pouvoir boire pour oublier, c'est la seule bonne nouvelle de la soirée. Je pense qu’ils s’attendent tous à ce que je montre mon plus beau visage médiatique, celui que j’ai présenté partout en Angleterre, mais ce soir, je n’ai aucune envie de faire des efforts.

Et évidemment, c’est du mousseux qui pique. Super, vraiment. Très bonne soirée en perspective. Je réussis à trouver un peu de réconfort en discutant avec mes collègues, celles ci sont en train de scanner la salle pour trouver quelqu’un de baisable ce soir. L’une d’entre elle me regarde en riant. « T’inquiètes pas Astrid, on va aussi te chercher un prince charmant. » Chaton, si tu savais. J’aime me faire attacher avec des cordes et me faire prendre dans tous les sens alors que ta position favorite c’est l’amazone et tu penses être « originale ». Je lui souris gracieusement, replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille avec un air timide. Elles matent une bande de pompiers un peu plus loin, effectivement, ils ont l’air d’être plutôt bien montés, pas dégueulasses à regarder mais c’est clairement le genre de mecs qui se regardent baiser et bandent pendant 3 secondes. Non merci.

« Astrid? Vous pouvez venir s’il vous plait? » Pourquoi le chef de service me demande? Qu’est ce qu’il me veut, qu’est ce que j’ai fais? «  Il nous faut un jeune médecin pour aller parler au maire, pour recevoir ses compliments avec le sourire et prendre une jolie photo. J’ai pensé à vous comme vous êtes habituées à être sous les projecteurs. » D’accord, donc personne d’autre n’a voulu y aller et c’est tombé sur moi. Je m’enfile un premier verre de punch pour passer l’information. Il n’est même pas bon évidement. «  Et je serais toute seule avec lui? » , «  Non non, ils ont demandé à des policiers et des pompiers de venir aussi, mais vous allez être la jolie attention du groupe. » Comme d’habitude, sois jolie et tais toi. C’est ce que je sais faire de mieux en même temps. Le chef de service me conduit à un journaliste qui me sourit en me regardant de haut en bas. Je vois dans son regard le bilan: joli minois pour la photo, décolleté plongeant, cul rebondi. Je prends un deuxième verre de punch pour compenser, le gout ne passe toujours pas. Peut être qu’un troisième aidera. Bientôt je me retrouve entre 2 gars gigantesques, l’un d’entre eux a l’air d’être un pompier débile qui reluque mon décolleté depuis 5 minutes et l’autre a l’air d’être un flic ripoux. Je me sens minuscule et cette situation est presque effrayante. Un troisième verre de punch y passe. Je commence à avoir un petit flou devant les yeux, rien de bien méchant. Le gout est beaucoup mieux bizarrement. Je ne suis pas ivre, mais je sens une chaleur montée tranquillement dans mon corps, une chaleur plaisante. Le journaliste nous fait monter quelques marches pour rejoindre le maire, je monte la première, balançant mon cul devant les yeux des deux autres derrière. Dans le fond, je crois que j'espère que ça les a excité un peu, juste pour ma satisfaction personnelle.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 1 jeudi 16 décembre 2021, 12:08:36

"Un whisky!"

"Navré monsieur, nous n'avons que du punch."


"Tu déconnes? Bordel, quelle bouffe de chiotte!"

L'officiant chargé de servir les boissons se recroqueville derrière sa table. Ryo le toise de son plus mauvais regard.

"Alors explique moi pourquoi le maire en a un lui, de verre de sky?"

"Sa ... sa réserve personnelle monsieur ..."

"Un whisky! ... Où j'tarrache la tête!"

Le type se liquéfie et obtempère, blanc comme un cul.

Son verre de whisky à la main, Ryo se cale dans un coin en maugréant. Il pensait encore pouvoir éviter cette année la corvée de représentation organisée par la mairie. Mais le préfet de police de la ville a insisté pour qu'il y participe, cadeau empoisonné, les deux ne pouvant pas se blairer. Seulement, un chef reste un chef, et Ryo ne se voyait pas, encore, lui exploser la gueule pour exprimer son mécontentement. Donc, présence obligatoire, tenue correcte exigée, y font chier! Ryo est d'humeur exécrable et les personnes présentes qui le connaissent l'évitent avec soin.
Dans son métier, Ryo est un excellent flic. Quand il s'investit dans un affaire, il se donne de faire un boulot remarquable, seulement ses méthodes restent contestables. Et il tire toujours un profit personnel de ses résultats. Le flic est violent, une brute épaisse et il est régulièrement présenté au tribunal pour justifier ses faits et gestes.

Notre homme laisse son regard errer sur la foule présente. Ces profiteurs s'agglutinent autour du buffet médiocre qui va filer la chiasse a une bonne partie des participants. Pour le maire aussi, c'est un sketch. L'homme joue son prochain mandat, flatte, apaise ses interlocuteurs. Il noie les problèmes qu'on lui expose dans une marre de flatteries répugnantes et de statistiques ubuesques. Les différentes autorités des services publics lui collent aux basques et repoussent les fonctionnaires qui auraient vraiment besoin de lui parler.

Les collègues de Ryo sont regroupés dans un autre coin. Tous venant du commissariat de la Toussaint, ce sont des flics blasés qui n'ont qu'une envie, rentrer chez eux.

Les pompiers aussi sont là. Ces crétins arrogants exhibent leurs muscles, rient fort et courent après les jolis petits lots qui gloussent comme des oies. Ca sent le gangbang à plein nez. Les idiotes qui cèderont à leurs avances ne savent pas qu'une partie des soldats du feu présents leur passeront dessus.

"Inspecteur, il faudrait que vous rejoigniez le maire pour la photo de groupe." Un sbire de l'équipe municipale ...

"Hein? Y'a d'autres flics ici. Faut voir avec eux."

"Ils viennent de partir monsieur ..."


Bande de bâtard! Ryo rumine, fait chier! Après j'me barre!

Sur l'estrade, le maire gratifie Ryo d'un regard stupide. Un abruti de pompier gonfle le torse et raconte des conneries. D'autres personnes se serrent autour de l'édile.

"Serrez vous un peu, les grands derrière!"


Le photographe gesticule et dirige ce beau bordel sans efficacité. Ryo tire la gueule. Un connard marche sur ses mocassins cirés et le flic le repousse d'un geste brusque. Il a fait l'effort de se fringuer et porte un costume sombre correct, col ouvert, sans cravate. Le débile de pompier se pose à ses côtés et lui désigne d'un regard enfiévré la petite qui vient se coller devant eux. Et quoi? On la viole sur place? Crétin ....

Ryo la mate, plus pour éviter de regarder le pompier qu'autre chose. Joli p'tit cul ouais. Pas moche, une petite fonctionnaire baisable, un bon coup d'un soir. De sa position, et de sa taille, il la surplombe. Malgré son air sérieux, elle arbore un décolleté de salope, selon les critères de Ryo. Il y glisserait bien sa queue tiens!

"Mais serrez vous messieurs dames, on ne va pas y arriver!"

Ben change de métier connard!

Tous se retrouvent compressés. La petite fonctionnaire se retrouve adossée à Ryo, petite créature à l'ombre d'un géant. Le bas du  dos de la fille frotte l'entrecuisse du flic qui bande instantanément. Chienne! Ryo s'en cogne, rien à foutre, d'autant plus qu'elle ne s'éloigne pas de lui. Au contraire? Elle parait coincée aussi s'amuse t'il à souffler à son oreille. Tiens ... son haleine est chargée d'alcool. Ryo affiche un rictus de prédateur.

"Vous êtes en chasse et vous venez de trouver votre proie? Ou alors vous préférez vous faire traquer?"

Sa trique est monstrueuse. la Bête tapie en lui s'éveille. Cette fille ne lui dit rien, un morceau de viande à baiser, c'est tout. Si elle braille, ce qui n'a pas l'air d'être son cas, personne ne dira trop rien, Ryo fait peur.

La photo est prise et on dirait que Ryo glisse sa langue dans l'oreille de la fille. C'est terminé! On en a refait quelques unes et au final, leurs bobines de débiles semblent bonnes pour le photographe.

"Encore un verre? je suis l'inspecteur Nagata. Ryo. J'ai remarqué votre intérêt poussé pour le punch, continuons ... si vous le voulez bien."

Tout naturellement, il l'entraîne par le coude vers un coin du buffet où l'officiant s'empresse de leur servir un punch , et un whisky.

"Vous connaissez les lieux? Par là-bas c'est les toilettes, entre autres. Dans quel service travaillez vous?"

A l'écart, le pompier de la photo les mate d'un air mauvais. Ce putain de flic lui a piqué sa cible.





Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 2 vendredi 17 décembre 2021, 01:12:12

La photo prends des plombes. Tout le monde bouge dans tous les sens, tout le monde se pousse, tout le monde se rentre dedans. Le maire est en plein milieu avec son plus beau sourire niais. L’un des idiots sur l’estrade me bouscule de l’épaule, ils font tous minimum une tête de plus que moi, je recule d’un pas et me retrouve coincée devant le flic ripoux. Aaaah le flic ripoux et apparemment, sa queue qui bande dans mon dos. Intérieurement, je souris légèrement. Donc il suffit qu’une jeune femme s’approche un peu trop près du grand loup pour qu’il bondisse. Et bien, il ne lui en faut pas beaucoup à celui là. Je ne m’avance pas pour autant, voulant voir jusqu’ou sa queue peut grossir. Je le sens bouger dans mon dos avant de venir me susurrer des idioties sur les chasseurs et les proies. Je sais bien comment cette soirée va finir pour la plupart des pompiers et de mes collègues, j’ai bien compris que tout le monde voulait se la coller ici et que c’était un peu le seul réconfort de tous pour être venue dans ce quartier pourri, mais je ne suis pas une putain de proie. Je lève la tête pour le regarder d’un air mauvais. Je dois avoir l’air d’une peste coincée mais je m’en fiche.

C’est sur cet air qu’il me donne son nom et me propose un nouveau verre. Mon intérêt pour le punch est limité mais bon, je n’ai pas rien de mieux à faire de toute façon et j’ai bien envie de voir ou Monsieur Nagata le Ripoux va me mener. Je lui ai quand même donné une trique d’enfer sur une estrade, il me doit bien un verre de punch gratuit.

«  Je m’appelle Astrid, je suis Interne à l’hôpital de Seikusu. »

Pourquoi il m’indique ou sont les toilettes? Il cherche à être poli ou c’est juste l’endroit ou il veux m’emmener pour me montrer ce qu’il a dans le caleçon. Je sirote mon quatrième verre de punch. Je ne suis toujours pas ivre, mais l’alcool commence à monter, je le sens. Je pense que Monsieur le Ripoux essaye de mon bourrer la gueule pour pouvoir me bourrer la gueule lui même ensuite. Je ne suis pas vraiment d’accord avec cette idée, ça n'est pas lui qui décide de la suite des événements, c'est encore moi qui contrôle.

Une de mes collègues m’adresse un signe de l’autre coté de la pièce. Elle est avec des pompiers justement qui l’entourent comme si elle était une proie. Du menton, je lui demande si tout va bien et elle me renvoie un pouce en l’air. Je ris et me déconcentre sur Ripoux. Bon qu’est ce que je fais de lui? Il a encore une trique d’enfer, il a l’air d’être plutôt bien monter et je suis sure qu’il baise violemment. Ma décision est prise, je finis mon verre et m’approche de lui. Je me lève sur la pointe des pieds et colle mon torse au sien pour qu’on ne voit pas mes mains navigués. Je pose ma main sur sa bite en caressant légèrement à travers le tissu. «  Bon et qu’est ce que tu comptes faire avec ça? »

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 3 vendredi 17 décembre 2021, 14:54:53

Une infirmière, non, un médecin ... Même chose ... une salope en perspective, et pas sauvage pour deux sous derrière ses lunettes de première de la classe. Elle a le regard vif et ne perd pas un instant pour venir se coller à lui de la plus sulfureuse des façons. Une vraie chienne! Ses nibards sont loin d'être ridicules, Ryo se promet de les baiser, eux aussi. Et quand la main de la jeune femme vient se poser sur sa queue pour la caresser, il sait qu'il a décroché le gros lot.

"Ce que je compte faire avec ça? Te déboiter et te remplir de foutre."

Pas besoin de prendre des gants avec elle. Elle n'a pas hésité à entrer sur son terrain de jeu et à engager le service. Ryo lui saisit le poignet et le maintien tandis qu'il mate les alentours. La dinde du fond se fait emmener par deux pompiers vers les chiottes. Un collègue d'Astrid, tout du moins il le suppose, les ayant vu ensemble, les observe. Dos à lui, elle parait sagement discuter avec Ryo. Si l'autre savait que sa chaste collègue venait de saisir la queue d'un inconnu à un pot de la mairie, il en crèverait de jalousie.

"Astrid ... c'est un prénom à se faire piner sans tarder ça."

Sans un mot de plus, il se déplace pour passer un main dans le dos de la jeune femme et la guide hors de la salle de réception. Une fois sortis, il bifurquent dans le couloir de droite vers les toilettes, première porte, les hommes. Il y entraine Astrid, l'endroit est propre et une cabine est déjà occupée. Il s'en échappe des gloussements aigus et des voix masculines qui chuchotent. Ryo pousse Astrid dans la deuxième cabine. Le regard de l'interne lui plait, la détruire va être un grand moment. Pas besoin de parler plus que ça. Ils sont adultes, consentants et veulent la même chose.

Enfin, peut être pas la même chose car Ryo a une conception bien précise de ce qu'il veut depuis qu'elle a frotté son cul contre lui. Et il va le prendre sans attendre.

"Tourne toi!"


Joignant le geste à la parole, il la retourne face à la cuvette et la penche en avant qu'elle puisse prendre appui sur la chasse d'eau. Le flic la débarrasse de son bas sans chercher à lui ôter son haut.

"Putain! Quel cul!"


Et c'est vrai, une belle paire de fesses rien que pour lui! Ryo se défroque en laissant tomber son pantalon sur ses chevilles. Il farfouille dans sa poche et en sort un tube de vaseline. Les nénettes ont toujours un bordel pas possible dans leur sac, lui n'emporte que l'essentiel donc, vaseline ...

Il s'en tartine la queue et sans prévenir, en étale une grosse quantité contre la rondelle d'Astrid. L'instant d'après, il presse son gland contre son rectum et, lubrifié comme il est, s'y enfonce d'un coup malgré sa taille hors norme. Qu'importe qu'elle aime ou pas, il va la sodomiser comme une Bête. En deux coups de reins, il l'investit plus encore, avant de l'agripper par la taille et s'acharner dans son cul. Son sexe monstrueux déforme le sphincter d'Astrid qu'il sent trembler autour de lui. Un dernier grognement indique qu'il vient de l'empaler jusqu'au fond. Les muqueuses brulantes du rectum de la jeune femme l'enserrent fermement et d'une dernière poussée vient buter contre ces fesses accueillantes. Il est tout en elle. Si elle gueule, il lui collera sa grosse paluche sur la bouche.

"Putain! Si on m'avait dit que j'enculerai une salope comme toi dans les chiottes du maire aujourd'hui, j'y aurai pas cru!"

Dans la cabine d'à côté, les voix et gloussements cessent d'un coup.
« Modifié: samedi 18 décembre 2021, 17:20:17 par Ryo »

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 4 vendredi 17 décembre 2021, 22:30:25

C’était pas vraiment comme ça que j’avais prévue de passer ma soirée. Ni que ça dégénérerait aussi vite. Je ne connais presque pas ce mec, j’ai bu 4 punchs médiocres dont 2 avec lui, je suis dans un quartier pourri de Kyoto entouré de flics et de pompiers qui attendent que la soirée finisse en partouze. Je ne comprends pas grand chose à ce qui se passe, mais apparement, tout le monde était au courant que ça allait finir comme ça. Ok, j’ai joué avec le feu en caressant l’inspecteur devant le buffet. Totalement ma faute, c’est vrai. Mais la tournure des évènements me dépasse un peu. Pourtant, ses mots me font frissonner. Quand il me parle de me remplir, de me démonter, je ne peux m’empêcher d’aimer ça. Mon air d’ange m’a souvent sorti des situations comme celles ci, prétextant l’innocence ou la timidité. Mais là, mon comportement m’a rattrapé. J’ai pratiquement attaqué le mec, il a réagit au quart de tour, un besoin primitif de sexe s’est fait sentir dans son regard et j’allais en subir les conséquences.

Mon prénom roule sur sa langue comme une insulte. Ca m’excite encore. Il me dirige vers les toilettes, je croise le regard d’un de mes collègues, lui sourit sagement et lui adresse un petit signe de la main. J’espère qu’il ne comprendra pas ce qui se passe, qu’il s’imaginera que Ryo me montre juste ou sont les toilettes, ou l’architecture de la salle, j’en sais rien. Tout autre scénario que celui qui va se passer maintenant. L’inspecteur me dirige vers la deuxième cabine et ne perds pas de temps. En deux - deux, j’ai le cul à l’air au dessus de la chasse d’eau. Je l’entends fouiller dans ses poches en commentant mon cul, ouvrir un tube et mettre un liquide froid entre mes fesses. Je pensais savoir à quoi m’attendre mais c’est plus violent que ce que j’imaginais. Il se fraie de force un passage dans mon cul sans me demander mon avis. J’aime ça évidement, sinon j’aurais jouer avec quelqu’un de mignon et adorable qui aurait fini par du sexe vanilla dans un lit à baldaquin.

Je mords mon poignet pour atténuer un gémissement, de douleur ou de plaisir, même moi je ne sais pas trop. Il est violent, il est massif, il est gros. Surtout dans mon cul sans préparation. Ca fait très très mal mais c’est aussi extrêmement bon. Je ferme les yeux essayant de garder les vocalises qui veulent sortir de ma bouche. Putain, c’est bon. Mais il y a du monde à coté. 3 personnes je dirais. Surement ma collègue avec les deux pompiers. Je ne veux pas qu’elle reconnaisse ma voix, je ne veux surtout pas qu’elle connaisse mes gémissements. Il commente encore comment sa soirée a changé, comment je suis une salope. Ouais, c’est pas faux. Me faire enculer dans les chiottes de cette putain de salle de réception, c’était vraiment un comportement de salope. Il est tellement gros. J’allais avoir du mal à m’assoir les prochains jours. Encore un coup de butoirs, il est dans le fond. Putain de merde. Mes orteils se rétractèrent, je rejette la tête en arrière, la bouche déformée et mon corps se mit à trembler comme une feuille. Putain d’orgasme. Je ne lui dis rien, c’est mon corps qui parlait et réagissait pour moi. Ce soir, j’étais une salope qui aimait se faire prendre le cul salement.

L’équipe d’à coté écoute le coït, ils ne font plus de bruits, ils ne disent plus rien. Je les imagine une seconde, nus comme des vers en train de se branler les uns les autres en gloussant puis d’entendre dans la cabine d’à coté que quelqu’un est en train de enculer violemment. Les voilà, ébahis, presque impressionnés par tant d’audace ou d’inconscience. Moi aussi j’écouterais, probablement la main sur mon clitoris. En parlant de clitoris, j’appuie une de mes mains contre le mur des toilettes pendant que l’autre glisse entre mes cuisses, cherchant le graal. Un deuxième orgasme est en jeu, j’y mets du mien et le caresse en cercles. Mes gémissements ont de plus en plus de mal à ne pas sortir de ma bouche, je me mords la lèvre, très fort, j’aurais surement un bleu demain mais un gémissement sort quand même. « Putain de merde. » Une petite voix sourde sort de ma gorge, trahissant mon plaisir. Elle est déformée par la douleur et la luxure. J'espère que ses quelques mots ne me trahiront pas.
« Modifié: samedi 18 décembre 2021, 09:13:06 par Astrid Grace »

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 5 samedi 18 décembre 2021, 17:49:38

La sodomie, c'est le plus intense des plaisirs en matière de sexe. C'est l'intime conviction de Ryo qui ne rate jamais une occasion de s'y adonner. D'habitude, ses partenaires sont ou des putes (des vraies qui tapinent) ou le genre de nénettes s'en rapprochant. Il ne les paye pas, usant de ses fonctions pour les défoncer gratuitement mais il n'en tire aussi qu'une satisfaction moyenne. Alors se dégoter ce soir un petit lot qui le change de ses habitudes et qui encaisse comme jamais, c'est une aubaine.

"Vas-y bordel! Dis le que tu prends ton pied à te faire sodomiser."

Il lui claque une fesse qui rougit aussitôt et qui garde la marque de sa main. Il a une furieuse envie de lui faire mal, de serrer son cou mais il se rappelle in extremis qu'il s'agit d'une fille "normale". De frustration, il ancre ses doigts dans les hanches d'Astrid et se met à la pilonner brutalement. Il n'y va pas de main morte et termine comme ça de lui écarteler l'anus. Elle a joui comme une chienne, il l'a senti dérailler autour de lui. Seulement, c'est loin d'être fini, il a de la ressource. le grand flic sodomise sa proie comme si la fin du monde approchait. Il cogne dur et profond dans ces entrailles accueillantes. C'est impossible que sa queue l'emplisse sans qu'elle couine de douleur. il est tombé sur une perle rare.

Dans le box d'à côté, une voix masculine demande.

"T'es chaud mec! Elle a un bon cul?"

Ryo ne répond pas tout de suite. Il grogne et donne tout ce qu'il a pour la pulvériser. Il avance d'un pas et plie Astrid sur les chiottes. Arcbouté sur elle, il martèle rapidement. Les bruits qui suintent de leur cabine sont évocateurs. Il plonge sa queue dans ce cul offert, leurs chairs claquent, clapotent, enduites du plaisir de la jeune femme qui est inondée.

"Ouais, elle a un cul d'enfer. Un gouffre à bites. C'est une habituée de la sodo, ça se voit."

Ca devient rude. Le coït anal dure de très longues minutes où toutes les limites sont dépassées. L'intensité, la brutalité, la profondeur de la pénétration, la vulgarité, tout y passe. Astrid est une petite chose ravagée qui n'a plus qu'une fonction, donner son cul.

Après une série de va et viens rapides, Ryo est prêt à exploser. Sa conception du partage du plaisir est limitée. La chair de sa victime porte la marque de ses doigts quand il les a fiché dans sa chair. Elle a les cheveux défaits. L'auréole de son anus est à présent rouge et irritée. Le chibre de Ryo s'y fraye un passage sans pitié. Elle suinte toute sorte de liquides visqueux.

"PUTAIN!"

Il est temps. Ryo s'extirpe d'elle et la laisse glisser au sol, détruite. Il la tient juste par les cheveux et se branle fiévreusement devant sa gueule de pute. Quand ça vient, il braille et lui gicle une abondante quantité de foutre épais sur le profil. Il la repeint de sperme qui s'accroche aux cheveux, coule dans son cou, pendouille de son menton.

"BORDEL! Des putes comme toi, y'en a pas deux!"

Ryo a les jambes qui tremblent. Il s'affale sur Astrid, écrasant sa gueule sur la cuvette des chiottes. Un vrai sac à foutre. Il se relève difficilement et la contemple. il a envie de lui pisser dessus pour clôturer cette folie.
Le flic na pas fait attention que dans la cabine d'à côté, la fille se fait aussi tringler.

"Est-ce que tu suces aussi bien que tu te fais enculer?"


Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 6 lundi 20 décembre 2021, 13:18:48

J’ai peut être un visage innocent, mais oui, j’aime le sexe violent. J’aime quand ça bute, quand ça serre, quand ça claque et quand je ne sens plus mes jambes. Ma tête de chaton laisse penser aux gens que je suis une petite chose pure, c’est faux. Alors oui, se faire sodomiser dans les toilettes publiques de la salle des fêtes de Kyoto, c’est pervers, sale et dégradant. Mais putain, qu’est ce que c’est bon. J’en ai rencontré des mecs qui voulaient me faire l’amour comme une princesse, d’autres qui voulaient m’attacher à des barreaux et me baiser, mais des mecs qui me prennent violemment le cul au bout de 10 minutes de rencontres, y’en a pas eu beaucoup. Ryo était de ceux là. Ceux qui sont violent et brutes et machos et ingérables. Ceux qui me font jouir comme jamais. Mon cul claque encore, j’entends la violence des coups, je sens la trace de la brulure sur ma peau, je sais que j’aurais des traces de mains pendant quelques jours, je sais que mon cul se souviendra de cette soirée pendant un bout de temps.

Les petits joueurs de la cabine d’à coté ont commencé à jouer eux aussi. La fille couine, fort, n’ayant pas peur d’être reconnue. Je n’arrive pas à savoir si c’est ma collègue, je ne peux pas vraiment me concentrer sur autre chose que mon plaisir charnel. J’entends à peine le mec d’à coté parler. Ryo ne me laisse pas vraiment le temps de réfléchir entre chaque coup de butoirs, il accélère encore, se pressant dans mon dos, m’insultant de gouffres à bites au passage. Il m’a ouverte complètement, je ne sens plus mes jambes tant le plaisir et la douleur sont intenses. Sa grosse bite me fait mal à chaque passage, les fluides naturels aident à lubrifier, mais la frénésie de l’acte a rendu mon cul irritable. Je vais quand même vers un deuxième orgasme, toujours la main sur mon clitoris torturé. Ryo aussi est prêt à exploser, je le sens, il devient fou. Sa cadence ralentit, mais ses coups continuent d’être plus appuyer, plus loin dans mon rectum. L’orgasme revient quand il me pénètre durement, après une fessées douloureuse. Je n’arrive pas à retenir un long gémissement cette fois, mon cul pulse, ma chatte mouille, j’ai l’impression d’être une putain de femme fontaine tellement je suis trempée. La jouissance me coupe le souffle, me fait tourner la tête, m’envoie au 7ème ciel. Je jouis par le cul, contractant mon sphincter autour de sa bite. Moment d‘absence.

Une pellicule de sueur traine sur mon visage, mes cheveux s’y collent, rendant la scène floue. Ryo me tient par les cheveux et éjacule abondamment sur mon visage avant de me relâcher. Je m’affale au sol, respirante et à bout de souffle. Putain, c’était bon. Mon cul est défoncé, la peau de mes fesses est probablement à vif, mais bordel. Il me scrute de haut, avec sa bite mollassonne et crache son venin en exigeant ma bouche. Je ne vais pas faire que lui obéir. Je ne suis pas soumise comme ça à un mec que je ne connais pas. Je n’ai aucun respect pour mon corps quand il s’agit de plaisir, mais je ne suis pas qu’un bout de chair qu’on baise et qu’on balance à son gré. Je le relève sur mes jambes qui me tiennent tant bien que mal et pousse Ryo contre la porte de la cabine. Le visage flou, pleine de substances épaisses, je dégage mes yeux et ma bouche de tout ce foutre et me colle à lui, autant pour m’approcher que pour me maintenir. J’attrape sa bite au passage et je serre fort, l’empêchant de bouger ou de gesticuler.

« Me dis pas quoi faire, Inspecteur. C’est toi qui as décidé de me prendre le cul, c’est à moi de décider maintenant. » Récupérer un peu de contrôle, juste un peu. Je le serre fort, debout contre lui, sur les pointes des pieds, mon visage dans son torse. Son propre foutre sur mon visage dégouline un peu sur sa chemise. Bien fait pour lui, il ressortira aussi sale que moi. Et je commence à le branler fermement mais lentement. « Ne bouge pas. » A travers mon tee shirt, mes seins se collent à lui. J’essaye de récupérer une respiration normalement pendant que ma deuxième main descends pour rejoindre la première, passant dessous pour attraper et malaxer ses testicules. « Je te sucerais quand j’aurais décidé de te sucer ok? » Mes grands yeux se soulèvent vers lui, défiants. Petite chose fragile ouais, mais femme à caractère aussi. Je continue de l’astiquer avec patience, je veux l’entendre gémir sous mes doigts avant de continuer.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 7 lundi 20 décembre 2021, 18:54:10

Le déplacement à ce pot de merde valait le coup au final. il faudrait que Ryo pense à noter dans quel centre travaille Astrid pour aller la voir directement là-bas. Le fantasme de l'infirmière ou de la médecin qui se fait troncher à côté d'un patient entrain de crever, le pied! Elle a du chien la cochonne, et quand elle se relève, le visage enduit de foutre, un sourire se dessine sur le visage du flic. Il a fait du beau boulot. Il l'a tartinée comme un salaud. Il s'est vidé les burnes jusqu'à la dernière goutte sur cette gueule de coincée.

Elle peine à tenir sur ses jambes, s'essuie tant bien que mal. C'est inutile, elle est défaite. Sortir des chiottes sans se faire remarquer va être un exercice difficile pour elle. Elle pue la souillure et ses fringues n'ont plus l'état nécessaire pour se montrer en public.

Et elle vient se coller à lui. Les trucs crados, il en a l'habitude. La sodo par exemple, ca passe pas avec toute les filles. Parfois, y'a de sales surprises. Oh? Elle le provoque? Sa petite vengeance pour s'être faite culbuter sans prévenir? C'est marrant. Elle lui serre la queue et les couilles et passe de salope soumise à un délice de domination. Déconne pas ma grande, ta nuque doit pas être bien solide. Ryo se retient violemment de ne pas lui envoyer une tarte en pleine gueule pour la remettre à sa place. Et puis ... y'a les débiles d'à côté ...

Il lui chope les seins à travers son t-shirt maintenant ruiné. Putain qu'elle est foutue. Et dire qu'elle se cache derrière cette façade de cul-bénie. Ouais, les plus grandes putes sont celles qu'on ne soupçonne pas.

Elle branle bien. Ses petits doigts fins ont fort à faire avec le mastard de Ryo et elle s'en tire à merveille. Sa vigueur revient rapidement et à nouveau, il se tient raide, prêt à l'emploi. L'homme grogne et donne un cou de poing dans la paroi de la cabine. De l'autre côté, un des mecs, inquiets, demande.

"Hey mec, t'es flippant. Ca va ?"

"C'te pute m'astique comme une reine bordel!"

"Elle ressemble à quoi?"

"Libraire coincée, fringuée comme une bourgeoise, boutons fermés jusqu'au col, tu vois le genre. Et derrière, t'as la pire des chiennes de Seikusu. Tu la fous sur le trottoir, t'es riche à crever en trois mois!"

"Euuuuh ... ok, la nôtre s'est barrée. On a fini ... On peut...?"

"Sais pas ... Attend qu'elle me vide encore."

Ryo ramène son attention à la cochonne et passe ses doigts d'acier autour de son cou.

"J'ai bien envie de faire passer une petite annonce là-bas, dans la salle de réception ... Tu aimerais?"

Il l'a laissé faire son petit numéro, maintenant, c'est terminé!

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 8 jeudi 23 décembre 2021, 15:53:59

Sa queue glissait entre mes mains et mon torse contre le sien ne l'empechait clairement pas de bouger, mais ses mouvements étaient limités. Ma petite technique de « je te maintiens contre la porte et décide de la suite » fonctionnait mieux que ce que j’avais espérer. Il prenait du plaisir entre mes doigts, je le sentais. Elle reprenait de la vigueur, malgré l’effort considérable qu’elle venait de fournir. Une vraie machine de baise. Le but était de faire gémir Ryo, mais il préférait hurler son plaisir sur tous les toits avec des insultes plutôt que de gémir gentiment. Je le branle plus rapidement, regardant ses traits du visage se déformé par l’extase. Il n’est pas très difficile à lire. Ses mains à lui se dirigent vers mes seins et entreprend de les tripoter durement. Je me décolle légèrement de lui, retrouvant quelques sensations dans mes jambes pour le laisser jouer avec ma poitrine pleinement.

Après un ébat relativement court et une jouissance peu convaincante, notre voisine de cabine se barre après avoir ramasser ses affaires. J’ai à peine le temps de regarder à travers la fine entreouverture entre les portes. Une tignasse blonde. Sa collègue? Peut être. Les pompiers n’ont pas l’air très satisfaits, écouter Ryo baiser un cul a du les beaucoup trop les exciter pour qu’ils en restent là. Maintenant, ils veulent savoir si Ryo veux bien partager son jouet.

« Je ne suis pas une bourgeoise. » Lui dis-je, serrant sa bite plus fort dans mon poing. « Tu veux me partager maintenant? Tu as peur que ta bite ne puisse pas me satisfaire toute seule? » Je supporte tous les noms, toutes les insultes. Mais libraire coincée alors qu’il venait de m’enculer dans des chiottes publiques, ça me vexe. Je le lâche tout juste avant qu’il vienne dans ma main. Il essaye de passer ses doigts autour de mon cou, je le repousse et l’écarte du passage. Je me faufile hors de la cabine, remonte rapidement mon jean et procède à me laver les mains et le visage dans le lavabo des toilettes. Je me regarde dans le miroir, mes joues sont rouges cramoisi, mon tee shirt n’est plus qu’un bout de tissu tout froissé et mon mascara a quelque peu collé sur le borde mes yeux. J’essuie tant bien que mal ce que je peux puis me retourne.

L’endroit est plutôt propre et pas trop mal entretenu pour un lieu public dans le quartier de la Toussaint. Je me dirige vers la porte de sortie et je tourne le verrou vers la salle. Personne n’entrera pour nous déranger. On va pouvoir commencer jouer. Les deux pompiers ont comprit qu’il se passait quelque chose donc ils sortent la tête de la cabine. Ryo est encore dans la cabine, la porte ouverte à regarder ce qui se passe, le pantalon aux chevilles et la queue dressée comme un pic. L’un d’entre eux comprends le manège et s’approche de moi. Grand, musclé, pas degueu à regarder. Alors effectivement, il a pas l’air d’avoir inventé l’eau chaude mais de toute façon, c’est pas ce qu’on lui demande ce soir. Je pose ma main à plat sur son torse et le pousse doucement pour que ses fesses reposent sur le lavabo. Son engin repose tranquillement sur sa cuisse, moitié fatigué, moitié excité de nouveau. « Tu vois, ça c’est quand on demande gentiment Inspecteur. » J’attrape la bite du pompier et étale un peu de sperme qui suinte sur tout le gland. Elle n’est pas énorme, mais elle est longue et bien proportionnée. Je ne comprends pas pourquoi la petite blonde s’est barré sans demander son dut. Après l’avoir branler quelques secondes, je descends à genoux devant celle-ci. Le pompier me regarde avec des yeux ébahis. Je donne un coup de langue sur son gland, appréciant ses réactions. Il a déjà la tête de quelqu’un qui va pas tarder à jouir. Ca explique mieux le départ anticipé. Puis je le prends en bouche, d’abord le premier tiers, juste pour le lubrifier, puis plus profond, toujours plus profond jusqu’à attendre le fond de ma bouche. SI sa bite ne me remplit pas, la longueur par contre, reste correcte, j’ai du mal à tout avaler sans m’étouffer. Le mec se débat déjà et gémit, je le sens gonfler dans ma gorge, il passe une main dans mes cheveux pour m’inciter à faire des va et vient, que j’applique à la lettre. Comparé à Rio, c’est un chaton calme et posé.

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 9 samedi 25 décembre 2021, 23:01:40

Ryo se marre même s'il est surpris. La nénette a son petit caractère et démontre qu'elle ne se laisse pas faire. Bon, il ne peut pas la passer à tabac pour lui prouver qu'il n'aime pas être contrarié. Elle n'est pas une pute de la Toussaint et il aurait du mal à expliquer devant un juge pourquoi il l'aurait déglinguée. Et puis Ryo apprécie quand même ce petit élan de rébellion très mignon. La cochonne est une allumeuse de première et sait y faire. Le flic n'arrive pas à définir ce qui lui plait le plus. Qu'elle se soit laissée déboiter le cul sans sourciller ou alors qu'elle le provoque, risquant de prendre bien plus méchamment.

Ryo observe son petit manège. Il croit même un instant qu'elle va se barrer alors qu'elle ne fait que verrouiller la porte. Elle a du charme, à se trimballer comme ça, du foutre plein la gueule et débraillée. Il la mate dans la glace. Elle est susceptible? Qu'importe. Il la sodomisera à nouveau et tout se passera bien. Concernant les femmes, le raisonnement de Ryo est relativement limité. Elles sont toutes des chiennes à traiter telles quelles. Et précisément, Astrid se comporte comme une catin, à teaser les débiles d'à côté qui réagissent au quart de tour. Un des deux la rejoint pour s'offrir une séance de branlette rapidement suivie d'une bonne pipe. Le type est minable, se laisse faire, passif. C'est pas la conception d'une bonne baise ça. Encore un peu et il va être gentil! Le deuxième s'approche et se masturbe avec un air ahuri. La blonde a dû avoir peur devant leurs bobines de crétins. Astrid fait du bon boulot, sa technique parait expérimentée. Avoir une bite dans la bouche doit être un besoin naturel pour elle. Le pompier n'est pas impressionnant, des abdos en béton ouais mais un chibre de caniche comparé à Ryo. Il gémit, Ryo tourne la tête, dégouté et se refagotte avant de fouiller ses poches à la recherche d'une clope qu'il s'allume avec son zippo. Il a soudainement envie de détruire le pompier et une lueur meurtrière anime son regard.

"Fais un effort connard! Elle s'active pour toi là!"

L'autre le regarde interloqué, il vient de glisser ses doigts dans les cheveux d'Astrid et l'incite "gentiment" à aller plus vite. Le pompier couine, s'étrangle et avec un râle aigu, jouit directement dans la gorge de la jeune suceuse. Il tremble en serrant les poings et spasme comme privé d'air.

"Putain, mais t'es nul à chier!"

Ryo pointe du doigt le deuxième.

"Toi! Fais voir c'que tu sais faire!"

Le gosse vacille et se précipite sur Astrid, la queue dressée. Moins cool que son pote, il force les lèvres souillées de la fille pour investir sa bouche d'une poussée sèche. Un coup d'oeil à Ryo qui hausse un sourcil. Le type baise la bouche d'Astrid comme un lapin. Ses mouvements sont rapides et fractionnés comme s'il n'arrivait pas à aller jusqu'au bout. Ryo marmonne.

"Mais vous êtes puceaux ou quoi ?"

Le premier des deux gars osent répondre.

"Ben ... on a déjà donné avec la blonde donc on est plus trop en forme. C'était chaud de vous entendre tous les deux mais ..."

Il est interrompu par son pote qui jouit à son tour dans le cocon qu'il remplit. Le type a l'air explosé, les yeux rouges et tout transpirant.

"Bordel ... quelle horreur!"

Ryo en souffre pour la petite. Deux beaux gosses aussi minables, c'est terrible quand on aime la bite.

"Ok, on va reprendre! Vous deux, dégagez! Et regardez faire les adultes!"

On apprend vite de ces erreurs. Ryo essaie d'afficher un sourire potable, il sourit rarement, et s'approche d'Astrid après avoir écrasé sa clope dans le lavabo.

"Salut! Moi c'est Ryo! T'es super canon et j'kiffe ton style. Est ce que tu acceptes qu'on passe un bon moment ensemble? J'me suis planté et j'm'en excuse, t'es pas une bourgeoise coincée, t'es ..."

Il lui murmure un truc dans l'oreille que les deux idiots ne peuvent pas entendre.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 10 dimanche 02 janvier 2022, 10:47:29

A la base, le but du jeu était juste de montrer à Ryo que je n’étais pas un bout de chair qu’on baise. Mais là, ça ressemblait quand même plutôt à une punition pour moi. Le premier pompier était précoce. Ils sont beaux, ils sont forts, mais au lit, ils ne valent pas grand chose. Je continue de sucer le pompier avec application, levant les yeux vers lui. J’ai à peine commencer qu’il est déjà dans tous ses états. Il gémit comme si sa vie en dépendait. Il s’est jamais fait sucer ou quoi? Je comprends mieux pourquoi la blonde est partie. Elle a préféré fuir plutôt que de continuer une baise nulle et égocentrique. Je ne m’amuse même pas, sa bite grossit encore un peu dans ma bouche, je continue à gober ce que je peux, faisant des allers retours vigoureux sur sa queue. Quelques minutes de ce traitement et il gicle dans ma gorge sans prévenir. Une pipe dans 5 minutes, quel désastre. Ryo leur hurle dessus, je souris discrètement. Même lui se fache devant tant de médiocrité, on devait s’amuser avec des pompiers en forme, je devais lui montrer que j’étais une perverse qui pouvait être dominante. Là, je peux juste lui montrer mes talents de suceuse de petites bites. Le deuxième prends le relai dans ma bouche, pas mieux monté, voir même moins bien. Lui utilise ma bouche comme un échappatoire à une vie pourrie. Il me besogne les lèvres rapidement, les mains derrière ma tête. Je ne suis plus qu’un trou, mais un trou qui peut toujours respirer malgré la vitesse des coups de butoirs. Sa trique n’est pas très impressionnante, je fronce les sourcils en le regardant. Pathétique.

Ryo humilie le premier pendant que le deuxième se vide dans ma gorge lui aussi. Il me regarde, tout penaud, cherchant sa respiration. Je ne suis même pas essoufflée. Un peu dégoutée de pris en bouche deux mecs pas interessants, je recrache dans le lavabo tout le sperme que je n’aies pas avaler. Ils valent même pas la peine que je leur fasse ce plaisir. De l’autre coté de la pièce, Ryo est tout aussi malheureux que moi. Il va falloir tout faire par soi même ici.

Ryo s’approche de moi, incitant les deux idiots à se barrer. Il sent la clope et la sueur. Même s’il m’a défoncé le cul il y a 10 minutes sans me demander mon avis, je reste plus attirée par lui et sa grosse bite que par les deux autres. Ryo me sourit, tout près de moi, presque gentil lui aussi. Il va me sortir que je suis belle et que je sens bon aussi? C’est pas vraiment ce que je veux. Joueuse, je lui dis. « Parce que tu me demandes mon autorisation maintenant? C’est de voir les deux idiots me baiser la bouche sans passion qui te rends gentil? » Il me murmure des mots sales à l’oreille, reprenant son « bourgeoise coincée » de tout à l’heure. «  T'es pas une bourgeoise, t’es une belle salope qui mérite juste d’être baiser violemment. » Là, il a tout comprit. Ca c’est le Ryo que j’ai rencontré il y a peu. Je ris sous ses mots et défais sa braguette d’une main, la deuxième vient caresser son visage, presque affectueusement. Je sors sa bite de son jean et me remets à branler. Cette fois, j’ai très envie qu’il vienne, là dans ma main.

« Qu’est ce que tu penses de partir d’ici? J’ai un appartement et si tu as une voiture, je te promets de te sucer et de te laisser fouetter mon cul jusqu’au petit matin. Deal? »

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 11 dimanche 02 janvier 2022, 22:11:05

Elle a la gueule de la petite amie qui s'accroche à son mec dans l'espoir d'une bonne grosse pétée. Ses yeux puent le sexe, son haleine aussi. Ses lèvres sont luisantes et brillent encore du foutre qu'elle vient de recracher. On ne cache pas longtemps sa vraie nature quand on est sous l'emprise d'une passion aussi dévorante que celle du cul. Elle le branle déjà, retrouvant cette grosse queue qui vient de lui exploser le fion. Elle sait y faire la garce et Ryo se raidit aussi vite qu'au premier coup. Il n'en faudrait pas beaucoup pour qu'il se retrouve à nouveau à la pilonner contre les lavabos mais la proposition qu'elle lui fait le fait reprendre son contrôle.

"Ton deal est valable, ça m'va. Et comme tu ne parles que de ta bouche et de ton cul, c'est d'eux que je m'occuperais toute la nuit. J'épargnerai ta petite chatte, à moins que tu ne me supplies de la défoncer quand ton cul te fera trop mal. Maintenant habille-toi, ma voiture est devant l'entrée."

Le flic s'extrait de la sangsue et passe sa chemise dans son pantalon qu'il reboutonne. Sa queue le serre et ne risque pas de débander avec ce qu'il a en tête. Il enfile sa veste et ne prend la peine de se regarder dans le miroir. Quand Astrid est prête, le constat est mitigé. Elle a beau eut faire des efforts, ses vêtements ne sont franchement pas nets, sa gueule d'ange est défaite et sa démarche est incertaine.

Quand ils sortent enfin des chiottes, Ryo la garde à ses côtés et lui verrouille un bras dans le dos dans un geste qui se veut gentiment protecteur mais en vérité, contraignant pour elle. Il l'oblige à le suivre, collée à lui ... trop collée à lui. Il se branle des idées préconçues de la soumission. Là, c'est sa manière à lui de signifier à Astrid qu'il prend la main. Pour sortir, ils sont obligés de traverser le hall festif. Répondre à quelques commentaires, saluer trois connards, remercier le maire pour son invitation et ... se barrer, sans avoir lâcher sa chienne. Beaucoup de regards intrigués se sont posés sur eux dont ceux des dix pompiers présents que les deux abrutis des chiottes ont rejoint. Ils regardent Astrid comme on regarde son premier porno. La réputation de la jeune femme va faire le tour de la brigade... Faudra que Ryo gère ça, que ces connards foutent pas trop la merde.

Sa Mustang est garée en travers sur une place handicapé. Sa bagnole est un de ses rares plaisirs. Il l'entretient comme une vraie pouliche. Celui qui y toucherait serait un homme mort. Il ouvre la porte côté passager et laisse Astrid s'installer.

"Mets pas ta ceinture!"

A son tour il s'assoit et en un tour de clé, fait démarrer le gros V8 qui rugit. De nombreux invités quittent la réception. Certains fument devant le bâtiment, d'autres discutent, mais tous tournent la tête, leur attention attirée par la grosse américaine.

Ryo s'arrange et déboutonne son fût. Il extrait sa queue qui darde vers le haut. Puis d'une main, il saisit la nuque d'Astrid et guide sa tête vers le membre qui va lui défoncer la gueule.

"C'est où chez toi?"


Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 12 lundi 03 janvier 2022, 15:53:15

Evidement, Ryo est d’accord. Je lui propose le deal du siècle. J’ai bien compris que les pompiers n’auraient pas une endurance suffisante ni le moindre utilité pour me satisfaire. D’ailleurs, pendant que Ryo parlait, ils en ont profiter pour se barrer, ne laissant de leur passage que les traces de sperme sur mes lèvres. Branquignoles. Ryo se rhabille dans mon dos pendant que j’examine mon visage. Je sais très bien que nous allons devoir passer par l’entrée principale et que tout le monde va voir l’étendue des dégâts. J’essaye d’améliorer la situation actuelle en essayant le maquillage qui a coulé de mes yeux et en nettoyant avec un peu d’eau les trainées de sperme dans mes cheveux mais le résultat n’est pas brillant. J’ai toujours la tête d’une meuf qui vient de se faire défoncer. Mes jambes ont l’air de bien vouloir me soutenir maintenant mais mon cul me fait un mal de chien, probablement toujours ouvert par le souvenir de Ryo. A la sortie, l’inspecteur passe un bras autour de moi pour me maintenir à lui. J’essaye de lui donner un coup de hanche pour l’éloigner mais il ne démords pas, resserrant son emprise. Si j’ai réussi à avoir un moment de dominance il y a peu, je pense que c’est fini. Il me surplombe de toute sa masse et de toute sa force, je ne peux même pas me débattre.

Un sourire pour le maire, un signe de la main puis un doigt d’honneur discret aux pompiers, je me laisse entrainer par le flic sans essayer de me rebeller. Je ne vois aucun de mes collègues dans le hall, ils ont du partir, ennuyés par ce banquet qui ne sert à rien. Tant mieux, au moins, personne ne m’aura vu sortir des toilettes déphasée, l’hôpital ne pourra pas commérer demain. Quand aux pompiers, à vrai dire, ils pourront dire ce qu’ils veulent, soit personne n’y croira, soit ils se foutront la honte en racontant comment ils ont éjaculer en 30 secondes, mais ça ça n’est pas mon problème.

Gentleman, ce qui est d’ailleurs étrange, Ryo m’ouvre la portière de sa voiture pour que je m’installe mais une fois en position, le naturel revient au galop et il colle mon visage contre sa queue. «Quartier des affaires. A coté du palais de Justice, le grand immeuble vitré. » Instruction rapide pour qu’il prenne la route pendant que je m’occupe de la masse devant mes yeux. Ma langue sort de ma bouche pour humidifier sa bite, léchant de la base jusqu’au gland. Son odeur masculine remonte dans mes narines, un mélange de sueur, de foutre et de sexe, putain que c’est bon. Arrivé en haut du gland, je le prends en bouche du bout des lèvres et entame des succions légères. Je m’installe sur le siège, à genou sur celui ci, le cul moitié en l’air. A chaque changement de vitesse, Ryo attrape le pommeau de vitesse à coté de moi et m'appuie dessus avec son coude, j’engloutis un peu plus de sa bite jusqu’à ce que mon souffle chaud touche son pubis. Sa bite est en le fond de ma gorge, de la salive déborde de partout, ça coule même sur son jean. J'engloutis sa queue avec passion, essayant à chaque aller retour d'aller un peu plus mais quand son bout touche ma glotte, je sais que je ne pourrais pas aller plus loin. Il n'a pas éjaculer depuis qu'il est venu dans mon cul, je l'ai amené une fois presque à bout avant de l'abandonner et il se l'aies infligé à lui tout seul en rangeant son matériel après l'histoire des deux pompiers. S'il tient tout le chemin sans gicler, ça sera une belle performance. Inquiète de son bien être (un peu) et désirant lui montrer toute l'étendue de mes capacités (beaucoup), j'accélère le mouvement, ma main glissant sur ses boules pour les prendre en main et les malaxer. Je sens mon entrejambe se mouiller un peu plus, après avoir pris sa bite dans le cul et avoir sucer 3 mecs dans la même soirée, je mérite un peu d'attention aussi. Ma deuxième main s'aventure dans mon jean à la recherche de ma chatte. Il a promit de pas y toucher ce soir, mais moi je n'ai rien dis. J'enfonce deux doigts au fond de mon vagin vigoureusement. Un gémissement sort bizarrement de ma gorge, faisant vibrer mes cordes vocales sur sa bite. Putain, la soirée n'était pas prévue comme ça, mais qu'est ce que c'est bon

Ryo

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 13 mardi 04 janvier 2022, 14:04:53

Ça, c'est le top pour un mec. Être au volant d'une grosse bagnole puissante avec une fille spécialisée dans la fellation qui s'occupe de toi. Astrid n'a pas mis longtemps à s'arranger pour faire office de sa bouche de la meilleure des façons qui soit. Sa tête va et vient entre les cuisses de Ryo qui savoure ce moment d'exception. Les efforts qu'elle fait et l'ardeur qu'elle y met son louable. C'est une affamée qui retrouve dans la pipe des sensations qui la font tripper. Elle ne cache pas son enthousiasme et le plaisir qu'elle prend à le sucer. Elle s'applique, gémit, le prend entre ses lèvres après l'avoir léché consciencieusement.

Le grand flic se régale de la tournure de cette soirée. Pour des moments pareils, il signerait chaque année pour ces représentations à la con.

"Va plus vite."

La position assise ne facilite pas les choses. Elle a beau avoir une technique de pornstar, Ryo en veut toujours plus. Il tente de s'étirer un peu mais faute de concentration manque d'emboutir un abri bus. Il rétrograde, se rétablit dans l'axe de la route. Sa manœuvre lui a fait s'appuyer sur Astrid. Le son étouffé qui s'échappe de sa gorge enfonce encore plus l'homme dans sa perversité. Il lui a promis de lui défoncer la gueule et l'adresse qu'elle lui a donnée n'est pas toute proche. Il n'arrivera pas tenir jusque là. Il tente bien d'écarter les cuisses et d'appuyer sur la jolie tête qui s'y acharne mais n'y parvient. Il laisse échapper un grognement de frustration et claque sa grosse main sur les fesses d'Astrid qui se dandine au gré de ses coups de volants. Il n'en peux plus.

"PUTAIN!"

Plus possible de continuer comme ça. il bifurque dans une rue plus sombre et s'arrête entre deux containers poubelles. Personne ne se promène ici à cette heure-là. Par les cheveux, il tire Astrid en arrière, coupe le contact et sans se refroquer, fait le tour de la Mustang pour ouvrir la portière du côté passager.

"Viens par là, petite salope!"

Il fait pivoter la jeune femme, qu'elle reste assise sur le fauteuil cuisse mais face à l'extérieur. Il la penche en avant, frotte sa queue contre ce visage adorable et force le passage de ses lèvres sans ménagement. L'angle est plus adapté. Ses grosses mains lui prennent la tête fermement, et en un coup de reins, il investit le goulet étroit de sa gorge. Ça râpe, il écarte les muqueuses, tape du gland dans les tissus tièdes, cherche le chemin , pour finalement se loger au plus profond d'elle. Il la bloque, ondulant du bassin pour ressentir chaque millimètre de chair qu'il malmène. Il ne relâche pas. Elle peut s'étouffer, dégueuler, s'évanouir, ce n'est pas le problème de Ryo. Il libère une main pour venir serrer sa gorge et commence à y ramoner. Il s'y sent bouger. il y prend toute la place et le cou d'Astrid gonfle à chaque passage. C'est sale et toute la salive qu'elle n'ingère pas pend de son menton jusqu'au sol. Quand il la laisse reprendre son souffle, c'est bref. il l'a promis, elle va morfler. Mais n'est-ce pas ce qu'elle aime. il lui baise la gueule à un rythme égal et soutenu. Le nez d'Astrid s'écrase sur ses abdos à chaque pénétration. Vicieusement, il fait parfois exprès de cogner de travers, de heurter son gland au mauvais endroit. Elle encaisse admirablement et quand il accélère; les gargouillis indistincts de la fille résonnent plus forts et plus visqueux dans la rue.

"Ouais, t'es vraiment la meilleure des bouches à foutre que je connaisse!"

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-

Réponse 14 samedi 08 janvier 2022, 13:24:15

La concentration de Rio a l'air compliqué. Quelques grands coups de volant et je comprends qu’on a failli se prendre un mur. Je continue de le pomper, branlant la base de sa queue rapidement. L’inspecteur n’a pas l’air d’aimer la frustration, son visage se tords entre plaisir et restriction. Il n’a pas la place pour bouger comme il veux, il en veux plus. Il écarte les jambes, ne coince la tête sous son coude, mais rien ne convient vraiment. La voiture continue d’avancer sans que je puisse voir ou nous allons, nous sommes probablement à plusieurs blocs de chez moi, mais je n’ai aucune idée d’ou.

Soudain, une grande claque sur mon fessier vient me surprendre. « Haaann… » Ca fait délicieusement mal, la trace rouge de sa main reste encrée dans ma peau. Putain le salaud. Son jouet s’échappe de ma bouche et sort de la voiture. Un instant, je ne comprends pas ce qui se passe et fronce les sourcils en le voyant. Qu’est ce qu’il a? Qu’est ce qu’il fait? Le flic fait le tour de la voiture et m’attire de nouveau vers lui. La frustration a eu raison de lui, ça me fait doucement rire. Le nouvel angle est… différent. Cette fois, Ryo utilise toute sa concentration pour me défoncer. Je sors la langue, prête à le recevoir comme il faut mais ça n’est plus vraiment moi qui décide de ce qui se passe. Ryo utilise ma bouche comme un putain de trou. Il va et vient entre mes joues avec force, je n’ai même pas le temps d’avaler ma salive entre chaque coup de butoir. Elle dégouline le long de mon menton, s’étalant par terre. Sa queue obstrue mes voies respiratoires, j’essaye de respirer pendant sa besogne, mais j’ai de plus en plus de mal. J’aime le sexe violent et les fellations barbares mais après la rude sodomie et les deux pipes dans les toilettes, mon corps commence à fatiguer malgré moi. Mon maquillage coule de nouveau sur mes joues et se mélange a la salive déjà présente, je lève les yeux vers Ryo, la bouche grande ouverte, presque suppliante pour avoir une seconde de pause. Le mec est endurant, ça on peut pas le nier, mais il est surtout très puissant, beaucoup plus que je ne l’aurais imaginé. J’aurais peut être du m’en douter vu le commencement de la soirée. Mes narines se retrouvent une nouvelle fois sur son ventre, ses mains sont plantés dans mes cheveux, et maintenant sa queue au fin fond de ma gorge. Pendant une petite seconde, je vois des étoiles, mon cerveau se mets à tourner. Je perds presque connaissance, là sur sa bite. Je ne suis même pas sure que ça l’arrête, je me réveille quelques secondes plus tard, la bouche défoncée. Il me tient par les cheveux, admirant le résultat tant attendu de sa vigueur. Il a l’air d’être fier en plus. Pas moi. Ca me vexe un peu. J’en ai pourtant pris quelques unes, des tout aussi grosses, mais peut être pas aussi violemment. Rio est un sadique, il veux juste prendre un maximum de plaisir en posant le moins de questions possible.

Mes ongles se plantent dans la chair de sa cuisse. J’ai besoin de respirer. Mes mains repoussent les siennes sur mon crâne, reprenant un peu le contrôle de la fellation. D’une main, j’attrape sa queue entre mes mains et dépose le gland sur ma langue tendue, les yeux levés vers lui. Mon souffle est court, j’halète dessus. Mes grands yeux remplis de luxure le regardent avec passion et soumission. J’ai compris qui était le dominant, il n’a pas besoin d’en dire plus. Mais s’il ne veux pas que je meurs la gueule ouverte sur sa bite, il va me laisser faire. Je reprends ma branlette rapidement, il sait que je me débrouille bien. Son gland posé dans ma bouche ouverte, ma main allant et venant sur sa queue, j’attends qu’il vienne là comme ça, sur le bord d’une voiture dans une ruelle sombre. « Jouis dans ma bouche. » Je lève mon visage innocent vers lui, refermant mes lèvres autour de son gland pour le suçoter. Putain j’en ai tellement envie. Je sais que c’est lui qui décide, je sais que j’aurais pas mon mot à dire, mais je connais aussi mes talents en pipe, je ne suis pas une actrice porno mais que ma technique est plutôt bonne. L’air froid qui sort de mes poumons atterrit sur la peau sensible de sa queue, provoquant un frisson incontrôlable. « S’il te plait. »


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