Déesse VS Prêtresse ♥ [PV Elosia Darwell]

Il faisait beau sur Terra ces temps-ci, mais en ces temps-ci, Despina était bien différente d'auparavant. Depuis quelques temps, sa sauvagerie et son arrogance avaient augmenté, comme si elle en voulait à quelqu'un. Et elle en voulait à quelqu'un oui, et ce quelqu'un vivait dans le lieu vers lequel elle lévitait à ce moment précis. Elle se dirigeait à vive allure vers le mont Olympe, pour voir quelqu'un à qui elle en voulait d'une façon très spéciale. Cette façon d'en vouloir était la plus belle qui existait, elle haïssait cet homme parce qu'elle en était tombée amoureuse.

Tout en lévitant vers la maison des Dieux, elle repensa à ces instants dans le lac de la jungle des terres sauvages créées par Aphrodite. Elle soupira, les yeux emplis de haine, elle se dirigeait vers Olympe pour le voir, lui dire qu'elle l'aimait, et que maintenant il devait agir en conséquence, car tout ceci était de sa faute. Quand elle arriva aux grilles du royaume divin, elle éclata de rire, le garde était le même que lorsqu'elle était venu rendre visite à son père, elle se contenta de lui sourire, d'un air "tu tiens à ta vie, misérable garde ?".

Les grilles s'ouvrirent, d'ailleurs elles grinçaient, ce qui fit rire Despina. Elle entra et marcha sur l'avenue principale, le visage couvert par son voile, elle tourna ensuite dans un allée et arriva devant le domicile de cet homme qu'elle méprisait tant. Despina n'était pas du genre à gagatiser, tomber amoureuse, être fidèle, sage, et casée, c'était pour cela qu'elle le méprisait tant, parce qu'en la séduisant, il lui avait volé sa liberté. Sans prendre peine de frapper à la porte, elle entra dans un grand fracas et marcha directement vers le salon du palais du Dieu. Elle y trouva un jeune femme, plutôt belle, qui fit monter un rage suprême en elle. Elle resta immobile face à elle quelques minutes, réfléchissant à quoi dire, puis, d'un ton méprisant, elle demanda :

"Où est Arès ?"

Elosia avait finit de faire sa ronde et d'entrainer sa troupe. Elle avait donc tous le temps de la journée pour faire plaisir à son dieu, Ares, elle poussa un joli soupir, que demander de mieux, que de se retrouver dans le palais à venir au près du maître de maison dès qu'il a besoin de quelque chose. Une bruit de grincement se fit entendre, sans doute encore une divinité voulant faire un tour sur Terra ou sur Terre. Quoi qu'il en soit l'humaine retira sa tenue de combat, elle était très lourde, puis alla vers le salon pour épousseter chauseu chose qui appartenait à son dieu, c'est à dire tous.

D'un coup Despina débarqua faisant sursauter la pauvre prêtresse, qui se demandait qui était cette furie qui demandait quelque chose sans se présenter. Elosia s'inclina devant la divinité et dit avec un ton qui se voulait doux, mais aussi chargé d'irritation.

- Mon dieu est occupé en ce moment, aussi je vous serait gréée de dire votre identité et ce que vous voulez à mon maître.

Elosia c'était contenue, déjà ouvrir d'un coup la porte avait mit de la poussière sur les meuble qu'elle avait mit tant de temps à nettoyer et ensuite si c'était une déesse, autant ne pas chercher les ennuis, mais par contre si elle était un de ces divinité venue chercher la mains de son dieu, elle ne la laissera pas voir un seul instant son amour et tenterait tous pour la mette dehors en la dégoutant à vie de revenir. Elle avait déjà fait ça à un divinité étant dans les plus basses sphère des dieux.

- Si vous voulez quelque chose, à manger ou à boire, demander le moi.

La jeune femme qui se trouvait dans le salon, Despina reconnut son aura, elle savait ce qu'elle ressentait, et puis, elle en avait été informé par les oracles. Cette femme aimait Arès, ce qui emplissait encore plus de haine la Déesse. Elle lui demandait son identité, d'un ton doux, presque naïf dira-t-elle. Despina s'affala alors dans le grand canapé du salon et dit :

"Je m'appelle Despina, fille de Poséidon et de Déméter, Princesse des Mers. Je suis la cousine d'Arès."


Elle planta alors ses yeux bleu, qui avaient une teinte très claire due son énervement, dans ceux de la prêtresse, qui les avait d'un marron très vif. Despina s'avoua a elle même que cette humaine avait un charme a prendre en compte, et qu'Arès ne devait pas y être indifférent. Mais elle ne comprenait pas pourquoi en ce moment tout les dieux tombaient amoureux de leurs prêtresses, de simples humaines. Elle faisait référence à Hadès, qui avait laissé tomber sa demi-sœur pour cette Hana, une misérable humaine, tout comme elle considérait à l'heure actuelle cette prêtresse, qui ne s'était d'ailleurs pas présenté :

"Je pourrais savoir votre nom, chère prêtresse ? Et effectivement, je voudrais bien un verre de nectar, si vous avez cela."

Elle sourit amplement a la jeune femme qui était acharnée à faire la poussière, chose que Despina aurait pu faire d'un claquement de doigt, ou même Arès. Elle se demandait si il avait doté sa prêtresse de pouvoirs, apparemment pas tellement. Elle resta un moment assise, réfléchissant à comment elle allait aborder cette femme, car elle n'avait pas vraiment envie de se battre, même si cela aurait ravit son cousin, elle comptait juste lui faire comprendre quelques petits choses.

Elosia eut ce qu'elle voulait et vit, grâce à un pouvoir cédé par Ares, que la déesse était en colère et avait du méprit envers elle. L'humaine ne fut pas la moins du monde offusquée des propos et de la demande de cette petite gamine, oui car, pour Elosia, cette déesse était une petite capricieuse qui est assez étroit d'esprit. Il serait donc, normalement facile de la faire partir. Après tous c'était quand même une fille et assez proche de son dieu.

- Excusez mon manque de politesse, je m'appelle Elosia ... Elosia Darwel, humble servante du dieu de la guerre.

Elle finit sa phrase par un sourire, qui cachait derrière déjà une personne qui avait tous son plan en tête pour la faire déguerpir et vite. Ne jamais sous-estimer une vulgaire humaine, quand elle devient jalouse, en plus la déesse de par son apparence assez infantile, donnait un charme qu'Elosia n'avait point et cela rehaussait se jalousie.

- Je vais vous le chercher tous de suite, veuillez attendre quelque minutes.

A peine eut-elle fermé la porte qu'elle courut vers les cuisines et trouva le meilleur nectar qu'elle pouvait trouver. Elle regarda aussi dans le coin herboristerie et trouva ce qu'elle voulait, une plante qui donnait envie de dormir. Elle le réduit en poudre et le dissous dans le verre avec le liquide commandé par Despina. Puis elle revint dans le salon, le verre sur un plateau et lui donna le verre en disant.

- Voilà votre nectar, j'espere qu'il saura vous convenir mademoiselle.

Elosia allait s'amuser, dès que la déesse aura prit une gorgée, elle tombera dans les vapes, après ... Elle ne sait pas encore ce qu'elle ferait, mais l'humaine ne permettrait pas que cette "cousine" tente de se rapprocher d'Ares.

Lorsqu'elle se présenta, Despina eut un sursaut, elle vit dans la voix de la jeune prêtresse, qu'elle n'allait pas se montrer coopérative, et bien. Elle partit chercher le nectar, et laissa donc la Déesse seule. Il fallait qu'elle change de plan, car elle n'arriverait apparemment pas à l'influencer, elle était vraiment arrogante, et risquer de vite agacer Despina, malheureusement elle était amoureuse d'Arès, son maître, et n'allait pas lâcher l'affaire facilement, oh non. Lorsque la servante revint avec le plateau, Despina planta son regard dans le sien, et vit que quelque chose clochait, elle allait sûrement la piéger, et elle croyait sûrement que La Maîtresse était naïve, un gamine, ou quelque chose qui allait se laisser piéger. Elle se leva, ne prenant pas la verre et dit alors, d'un ton méprisant et d'un goût de remontrances :

"Et bien, vous comptiez me piéger d'un façon aussi stupide ? Car sachez que si vous m'empoisonnez, Arès sera au courant, et cela ne lui plaira en rien qu'une misérable humaine, pour qui il s'est certes légèrement amoureux, s'amuse à empoisonner sa propre cousine de SANG. Au cas où vous ne le sachiez pas, on m'appelle La Maîtresse, ou La Reine, et ce n'est sûrement pas pour rien qu'on ne prononce pas mon vrai nom, car Despina ne l'est même pas, si je suis crainte à se point, il doit y avoir des raisons. Et jamais un misérable humaine comme vous ne me piégera."

Elle se fichait éperdument que la prêtresse aille rapporter son discours à son amant, car peu importait, comment osait-elle tromper une déesse, cousine de son maître. Elle confiait en Arès et savait qu'il saurait bien discerner son amour et son devoir, et là, la prêtresse venait d'enfreindre une loi primordiale, elle avait prit un initiative contre une divinité, sans avoir consulté son dieu. Prête à la prendre à son propre jeu, Despina prit le verre dans sa main et marcha jusqu'à Elosia, qui la regardait d'un air qui en disait long, elle lui tendit le verre :

"Si je me trompe, buvez la première moitié, je boirai la seconde."

Elosia eut un frisson en voyant les yeux de Despina briller d'intelligence, la prêtresse aurait mieux fait de faire comme avec l'autre déesse, au lieu de chercher compliqué. La pauvre humaine eut le droit de se faire incendier par la Maîtresse, comme elle se plaisait de dire. Une fois le sermon finit, Elosia eut le droit de voir son piège se retourner contre elle, car si la plante avait la faculté d'endormir les dieux, elle avait d'horrible effets aux humains comme la prêtresse, sont visage perdit rapidement des couleur et sa bouche eut pendant un bref instant une crispation de frayeur. Devait-elle continuer ou arrêter tout de suite, elle ne savait pas quoi choisir, si elle avait sut, elle aurait mâchée un antidote.

Elosia prit le verre et regarda le nectar, pour ensuite regarder la déesse, l'humaine savait qu'elle allait se faire punir par son dieu après cela, mais elle voulait aussi prouver sa dévotion envers Ares. Ces mains tremblèrent, faisant légèrement tourner le nectar dans le verre, alors que les yeux de la déesse semblait se délecter de la situation. La pauvre prêtresse était vraiment dans les ennuies jusqu'au cou, elle éloigna le verre un instant pour dire.

- Bien que je ne soit qu'une misérable humaine, j'aime mon dieu plus que vous vous ne pourrez l'aimer.  Aussi je suis prête à tous les sacrifices pour le rendre heureux.

Elosia, dans un élan résolu, bu la moitié du verre et le posa sur la table, elle déglutit et essaya de recracher le nectar, mais les effets de la plante firent vite leurs effets, la pauvre humaine sentit sont corps se réchauffer, la faisant transpirer, ces jambes ne tenait plus, la laissant choir au sol et elle était dix fois plus sensible au sens du toucher. Elle dit avec difficulté.

- Vous voyez, je n'ai pas hésité, ce qui vous prendrait dix minute à la faire, moi je l'ai fait en un instant, voilà la preuve de mon amour pour Ares, aussi divine que vous soyez, ma dévotion est bien supérieur à la votre.

Il fallait dire que ce que l'humaine avait fait, aurait put lui coûter la vie. Mais justement sont destin fut encore plus incertain, car elle traitait la déesse comme si elle était du même niveau que cette dernière, une insulte que personne sur l'olympe n'avait encore laissé passez. Il aurait tout à fait légitime que Despina demande à cette prêtresse des excuse ou reçoivent une punition de cette déesse.

Cette prêtresse commençait vraiment à irriter Despina, elle avait bu le poison et était au sol, à moitié mourante, et si jamais elle la laissait agoniser, Arès lui en voudrait. Despina se baissa donc et ramassa le jeune humaine pour la déposer sur le canapé. Elle la regarda un moment puis se leva, la laissant sur la canapé, et se mit à marcher de long en large dans le grand salon, réfléchissant à sa prochaine réplique, car elle devait peser ses  mots avec Elosia, elle devait faire attention à ce que penserait Arès si elle lui faisait du mal. Elle devait changer de stratégie, elle reprit la parole, essayant de camoufler son ton méprisant :

"Vous avez osé tenter de m'empoisonner, Arès en sera informé, moi je ne boirai pas de cet poison, car si je dors et que vous agoniser, je ne pourrai plus rien faire pour vous soulager."

Alors elle frappa dans ses mains et un servante arriva, elle s'inclina devant Despina, car elle se doutait que la femme qui lévitait dans son salon n'était pas une humaine, elle dit :

"Bonjour Maîtresse, que puis-je faire pour vous ?"

Despina rit intérieurement, car la façon dont la servante s'adressait à elle était marrante, comme si elle savait qui elle était, comme si cette païenne avait apprit à ne pas prononcer le nom de Despina. Elle se concentra pour lui répondre, elle hésitait à demander l'antidote, car cette prêtresse méritait un punition, mais d'un côté, elle avait l'air d'aimer Arès. Despina prit la parole :

"Trouvez moi un antidote contre cette plante dont le nom m'échappe, qui fait dormir les dieux et qui fait agoniser les humains."

Puis elle s'assit sur le fauteuil face au canapé, fixant la prêtresse agonisante, elle ne lui sourit pas, attendant que la servante revienne. Elle devait au moins la sermonner, cette humaine devait comprendre qu'on ne s'adressait pas ainsi à La Maîtresse, et en même temps, elle devait comprendre qu'une Déesse avait le pouvoir de l'écraser comme un cafard. La servante arriva et donna l'antidote à Despina, elle la remercia et la congédia du regard avant de s'approcher de la prêtresse pour lui faire avaler l'antidote. Après quelques minutes à l'observer, elle se remit à marcher et dit à Elosia :

"Considère mon action comme quelque chose d'adulte et réfléchit, car cela fait des siècles que je vis, et jamais quelqu'un a osé me piéger. Maintenant, tu vas poser tes fesses sur ce canapé, et tu vas la boucler un peu, et me respecter, est-ce clair ?"

Pour Elosia, le fait que Despina ne boivent pas et la parle avec mépris, prouvait à l'humaine, que cette déesse n'aimait pas Ares aussi passionnément que la prêtresse, mais elle se laissa faire, quand sa rival demanda a une servante l'antidote, il faut dire que cette plante faisait vraiment des ravage et Elosia ne s'en rendit compte que maintenant, elle perdit la sensation de toucher et de l'odorat. Puis la servante revint avec l'antidote, l'humaine sut une chose, les antidotes ont vraiment mauvais goût et c'est le cas de le dire. Elle fit basculer son corps, pour se mettre comme la déesse l'avait demander et eut un sourire, malgré sa faiblesse.

- Je ne vous respecterait que si vous me promettez que vous ne tenterez rien pour séduire et emporter Ares loin de moi.

Au moins cela avait le mérite d'être clair. Elosia n'hésiterait pas à se battre pour rester dans le cœur de son dieu, cela avait annonçait aussi une mauvaise nouvelle pour l'a prêtresse, elle risque de s'en prendre plein la figure, mais n'était-elle pas la servante du dieu de la guerre ? Elle était à l'image de son dieu indomptable, fière et surtout près à se battre pour une cause, dans le cas présent c'était le cœur de son dieu. Cela montrait aussi quelque chose qui devait frapper la déesse, ce n'était pas Ares qui était le plus amoureux d'une mortelle, c'était le contraire, comment allait réagir Despina devant cet amour contre-nature et qui semble indestructible, sauf par la mort ? C'est la bonne question.

Elosia faisait fausse route, et son arrogance devenait vraiment insupportable. Elle marcha vers la sortie du palais et lévita jusqu'à la place centrale d'Olympe, où elle vit sa mère. Elle dit alors, la voix pleine de rage :

"Mère, j'aime Arès, mère, où est-il ?!"

Sa mère ne sut lui répondre, alors Despina fit demi-tour et rentra à nouveau dans le palais qu'elle traversa jusqu'à la salle d'arme où elle saisit le sabre d'un des prêtresses d'Arès, Justice, de Lame. Elle connaissait cette prêtresse et lui avait conféré un mission assez particulière. Alors elle se planta, face à Elosia, le sabre tendu, les yeux d'un bleu turquoise couronné de rouge, puis elle déclara :

"Tu vois, je n'avais aucune envie de me battre, je ne comptais pas te chasser, je comptais juste voir Arès et l'exposer à un choix. Mais vu ton insolence, je crois que passer au combat serait une meilleure idée, moi je ne risque pas la mort."

Elosia ne fut pas surprise en voyant Despina partir, elle le fut en l'entendant revenir et brandir l'épée d'une des membres de la garde personnel d'Ares, celle de Lame, avec laquelle elle avait des problème d'autorité. Les mots n'avaient pas encore atteint l'oreille de l'humaine, qu'elle savait ce qui allait en découler, elle l'avait prévue aussi la prêtresse défit son ruban sur la tête et se mit en position de combat, Elosia avait un véritable don pour les arts martiaux et avoir une arme ralentissait d'un millième de seconde les mouvements de sa rivale, à cause de la résistance à l'air.

- Vous ne pouvez sans doute pas mourir, mais vous pouvez être blessée. Je ne comptais pas non plus devoir utiliser la force, car c'est assez idiot de devoir se comporter en sauvage, même si je souligne que c'est vous qui avez proposée cela.

Dans une bataille entre une divinité, tous les coups sont permit, surtout ceux qui déconcentre l'adversaire, son don pour trouver les faiblesses allait enfin pouvoir démontrer sont efficacité, même si Lame est uen très bonne épéiste, elle n'avait pas encore réussit à faire abandonner Elosia et ce n'est pas une déesse qui allait faire peur à notre prêtresse.

- Honneur à la déesse Despina.

Encore une phrase pour l'énerver et la pousser à attaquer bêtement. L'humaine se conditionna, elle serre ces poings, écarte un peu les jambes et les fléchirent, même si cette position manquait de grâce elle était assez efficace et offrait une très bonne protection sur les côté et surtout pour les attaques venant du dos, sa faiblesse était l'avant, mais la prêtresse gardait cinq coup d'avance.

Bien sur elle n'avait combattu que Ares qui limitait sa force lors des entrainements, sinon elle serait morte après chaque séance. Mais elle possède une bonne agilité et préférait taper dans les articulations pour paralyser son adversaire. Elle avait développée son art martial personnel répondant au doux nom de Valse des Cerisiers.

Lorsque Despina écouta la réplique d'Elosia, elle comprit tout ce manège, cette femme cherchait avant tout à déstabiliser mentalement. Le problème, c'est que la Déesse ne comptait pas la blesser ni même la tuer, car elle s'attirerait les foudres d'Arès et perdrait tout chance de le conquérir. Elle se mit à alors à tourner autour de son adversaire qui était en position de défense quasi-impénétrable, elle savait que si elle s'approchait elle serait frappée. Une idée sournoise lui vint à l'esprit, elle se tourna vers l'étal des armes et vit deux petites dagues de lancer. Si elle les saisissait, elle serait dévoilée et Elosia changerait de stratégie. Elle se plaça alors derrière la prêtresse et fixa les dagues du regard, encore un avantage divin qu'était la télékinésie. Les dagues s'élevèrent en l'air et volèrent droit sur Elosia juste en l'effleurant, pour ne pas la blesser, alors Despina l'attrapa par les épaules et la colla à elle. Justice vint se placer juste sous son cou, prêt à l'égorger au moindre geste offensif.

Elle se mit alors à respirer l'odeur de ses cheveux, de son cou, et se mit à son oreille, prête à lui murmurer quelques paroles déstabilisatrices. Elle savait pertinemment qu'elle ne devait pas la blesser et Elosia ne savait pas à quel point La Maîtresse était sournoise, oh non. Il fallait qu'elle change de technique, car le combat serait grisant pour Arès mais l'issue en serait moins drôle. Despina lança alors le sabre jusqu'à l'étal avec force pour qu'il tombe dessus, puis elle attrapa les mains de la prêtresse pour lui empêcher de les bouger, elle poussa ses cheveux et se mit à nouveau à respirer sa peau de satin avant d'y poser les lèvres et d'y sucer doucement la peau, y laissant une marque violacée capable de rester plusieurs jours.Alors, elle mit ses lèvres au plus près de son oreille et murmura :

"Jamais je n'abîmerais la prêtresse favorite de mon futur mari, de plus qu'il a du goût, car tu as une odeur et un goût très charmant."

Elle la lâcha alors, la poussant vers le centre de la pièces et elle se remit à lui tourner autour, un sourire inquiétant aux lèvres. Elle savait qu'elle la vaincrait, et elle guettait le meilleur moment pour le faire, que se soit par les mots ou par la force, la Déesse devait sortir de cet entretient triomphante.

Elosia venait de se faire avoir en beauté, elle n'avait pas prit en compte que son adversaire pouvait contrôler les objets autour d'elle, transformant ainsi ces dernier en armes ou en diversion, diversion qui justement a piégé notre petit prêtresse et l'a mise dans une position qui ne la plaisait guère. a cause d'une facteur négligé, tout ces stratégies élaborée étaient partie en fumée, aussi Elosia eut le droit de sentir la froideur de la lame de cette épée, qui deux seconde plus tard vint se planter plus loin.

Elosia voulut à ce moment faire une contre-attaque, mais la déesse fut beaucoup plus rapide et paralysa, via une prise, ces bras, l'humaine était complètement dominé par Despina et elle en profitait bien, la prêtresse voulut bouger quand elle sentit les lèvres de  la Maîtresse se poser sur son cou et aspirer la peau si tendre et douce de l'humaine. Cette dernière fus ensuite jeter au milieu de la salle et elle se retrouva encore avec la déesse qui la tourne autour.

Elosia devait au moins sauvez sa fierté et ne pas décevoir Ares, aussi elle détendit tous ces muscles et d'un mouvement disparue, un courant d'air frôla la déesse, suivit d'un baiser très proche des lèvres, sans les toucher puis elle réapparue derrière la déesse. Dans un combat la prêtresse ne menait pas loin du point de vue de la force, mais elle était aussi rapide que vive d'esprit. sa stratégie maintenant était de taquiner Despina pour la faire craquer avant elle. La déesse put entendre un petit rire, avant que l'humaine revienne au centre de la pièce, toujours détendue.

- Je dois avouer que vous êtes séduisante vous aussi et je comprend mieux, pourquoi vous avez un penchant pour Ares.

Un phrase qui se voulait blessante, mais qui avait aussi une part de compliment. Elosia ne voulait pas perdre, cela se voyait dans ces yeux, il y avait une flamme, celui que les guerrier ont quand un combat est dure, mais excitant.

Parfois, Despina se demandait si Elosia avait conscience de qui elle affrontait. Cette humaine était d'une arrogance extrême et irritait vraiment le Déesse. Mais elle comprenait que c'était son but, que l'énerver, de la faire craquer, et elle n'y parviendrait sûrement pas. Despina, comme l'avait vu Arès dans la jungle, était vraiment très joueuse, et elle ne cédait que rarement, à vrai dire, elle n'avait cédé qu'à Arès dans tout son existence divine. Parfois, elle aimerait avec Anytos avec elle, ou Arion, pour qu'il l'aident à écraser cette misérable humaine. Mais elle ne pouvait se permettre de lui faire du mal. Elle continua à la laisser au centre de la pièces et à lui tourner autour, jetant un oeil sur l'étal d'armes, où elle vit une corde. Elle devait agir rapidement, et sans se faire remarquer de trop par la prêtresse qui était vive et qui éviterait facilement le piège. La solution était de la ligoter, car ligotée fermement, elle ne pourrait s'échapper à la force des bras, car un Déesse allait bien faire ça, on va dire que ce sera un ligotage divin.

Despina s'éleva alors au dessus du sol, le regard fixa sur Elosia, la pensée sur la corde qui qui devait s'élever sans se faire remarquer. Elle lui souriait, d'un air sournois et plein d'idées, il fallait qu'elle agisse rapidement, ou du moins qu'elle détourne son attention. La déesse retomba, elle tourna et se mit face à Elosia, et à la corde, ce qui occultait le plan d'attaque à la prêtresse. Elle lui sourit à nouveau tout en s'élevant dans les airs, la corde faisant de même. Doucement, elle fit se rapprocher la corde dans le silence le plus total, ses yeux prenant une teinte bleu marine, signe de satisfaction. Alors elle frappa des mains et la cordes s'enroula autour d'Elosia. La déesse éclata de rire et descendit pour regarder la corde se resserrer sur la prêtresse, et se nouer. Elle était parfaitement ligotée et à présent toute ouïe, Despina ne pouvait s'empêcher de rire, d'une rire machiavélique. Elle s'éleva dans les airs et commença à parler :

"Tu vois, tu t'attaques à une déesse, et à présent tu es prise comme un rat, je ne vais pas te blesser, ce que je voulais te faire comprendre, c'est que contre la Maîtresse tu n'as aucune chance et qu'Arès est .."

Elle ne finit sa phrase car elle se retrouva clouée au sol, sans le vouloir, elle blêmit, elle savait qu'une seul force divine pouvait lui infliger cette punition. Elle était à présent pâles, les yeux d'un bleu turquoise effrayant, elle tremblait, car elle savait qu'après s'être amusée avec la prêtresse, sa punition ne serait pas si aisée. Après tout, la prêtresse l'avait bien cherché, elle n'était ici que pour voir Arès, pas pour s'entretenir avec cette vermine. Lana l'avait bien prévenu, elle lui avait dit qu'elle n'était pas commode, la peste. Despina soupira, laissant Elosia ligotée, elle dit, d'une voix douce :

"Oh Arès, te voilà enfin !"

La pauvre Elosia ne vit rien venir, enfin si elle le vit venir, mais sachant qu'il avait fallut que son cerveau assimile la nature de l'agression et donne l'ordre à ces jambes d'agir, c'était deux seconde de trop. La prêtresse se trouva ligotée comme une vulgaire esclave, l'humaine réussit quand même à rester debout, malgré que ces chevilles soient eux aussi ficelées. Elle n'avait pas changer son regard, celui de la guerrière qui battait en elle, elle se serait battue même si il fallait utiliser sa tête à al place de ces poingts.

L'humaine ne s'avouait pas vaincus pour autant, nul personne n'allait lui voler son amour envers Ares, que ce soi, une humaine, une créature fantastique ou même une divinité. Elle allait ouvrir la bouche quand elle sentit un aura, un aura trop reconnaissable. Et Despina confirma ces peurs, qu'allait dire son dieu quand il allait savoir ce qu'elle avait fait, bien sur elle ne se serait pas soustrait à une punition, après tout c'était Elosia qui avait commencer les embrouilles.

Quand elle vit son dieu apparaitre, elle s'agenouilla au sol, la tête le touchant et dit d'une voix tremblante.

- Veuillez m'excuser maître.

La pauvre prêtresse se demandait si son dieu allait accepter ces excuses et surtout si ce dernier n'allait pas la renier de son coeur.

Il avait put ressentir, toute cette agitation la, ne lui avait pas echappé, bien au contraire. Les combats, la guerre, n'etaient ils pas sa raison d'étre. Seulement, le lieu n'etait pas accomodé, et les personnes encore moins. Il avait immédiatement reconnue l'energie de la princesse des mers, lorsqu'elle etait arrivée, mais jamais il n'aurait pensé qu'elle en viendrait au mains avec Elosia... La colére le submerga lentement, comment ces deux femmes pour qui il eprouvé quelques chose pouvaient elles s'entretuer ici méme? Comment pouvaient elles croire qu'il laisserai faire cela? Nefret, le serviteur etait venue lui pleurer dans les jalbes, en annoncant que la pretresse etait en train de se faire mettre a mal par la fille de Poséïdon... Ares n'avait fait que le pousser, sans un mots, ce qui etait pire que ses coléres sang habituelle... De plus Raven n'etait pas la pour le calmer avant d'intervenir... Il marcha d'un pas lourd pour rejoindre le grand salon, lieu ou les deux femmes semblaient pratiquer leurs joutes.

Il finit par entrer, devoilant son aura massive, incarnant ce qu'il etait réellement, le Dieu de la Guerre, le Général des troupe d'Olympe. Despina etait la, au centre méme de la piéce. Sa petite levitation prit fin a son arrivé, comme lors de leurs premiére rencontre dans ce desert... Et ELosia reussi a se detacher, se mettant a genoux a ses pieds... Il les regarda d'une lueur sombre, tandis qu'il analysé leurs emotions... Finalement, il claqua des doigts, faisant assoire l'humaine sur l'un des fauteuils, et poussaqnt légérement Despina vers l'autre. Ses yeux envoyés des eclairs, vers toutes les deux. Lentement, et d'une voix forte, il parla..

"Puis je savoir a quoi vous jouez...? ICI, dans MA demeure?!"

Il se tourna d'abord vers Elosia... Sa pretresse, celle en qui il avait toute confiance, voir méme un peu plus. Elle l'avait terriblement déçue, a se laisser aller a combattre une de ses cousines, une déesse qui avait ici sa place... Approchant d'elle il la saisit doucement par le col, mettant son visage face au siens.

"Comment as tu oser ainsi parler a Une déesse Elosia? Ne t'ai je pas enseigner le Respect? Je vais devoir revoir ces leçons la..."

Il la relacha, avant de pivoter vers Despina, approchant de la Princesse des Mers, il fit preuve de puissance de son Aura.

"Et toi?! Comment as tu put toucher a l'une de mes Pretresse? Moi seul ici suis autorisé a les punir si elles doivent l'étre?!"

Il attendit alors des reponses.