Si Bafamelle n’avait pas été dans cet état, elle aurait sans aucun doute reconnu l’
odeurde la femme venant de rejoindre l’assemblée. Une femme qui, par sa simple présence, semblait écraser tous les mâles en rut autour d’elle. Et, de fait, aucun d’entre eux n’osait venir vers elle, comme si sa présence les terrifiait instinctivement. Elle n’était venue ici que pour Bafamelle. Elle se glissa donc près d’elle, et observa tous ces hommes en train de lui faire sauvagement et intensivement l’amour. C’était violent, ardent, et puissant. Alastar observait lui aussi ce spectacle. Bafamelle était par nature une superbe femme, extrêmement belle, et la voir ainsi se faire prendre avait quelque chose de profondément excitant. Le chevalet grinçait et couinait sous les multiples coups de butoir que les hommes étaient en train de lui faire. Il n’y avait, pour Bafamelle, aucune échappatoire possible. Elle était
condamnée à se faire prendre par eux, et ce n’était pas pour la déranger. Une grosse verge était plantée dans sa bouche, et les mains d’un homme se crispaient à sa chevelure, donnant des coups de reins en elle. Dans son dos, on continuait à bourriner son cul ou sa chatte, et, tout autour, des hommes se masturbaient et éjaculaient sur elle, balançant leurs filaments de foutre sur son corps, faisant luire son dos. Le sperme dégoulinait de ses flancs pour tomber sur le sol, glissant le long de la cravache.
Les mâles soupiraient, gémissaient, et la femme blonde leva son fouet, et l’abattit sur le corps de la femme, afin de la faire souffrir un peu... Car elle savait que, chez Bafamelle, cette souffrance ne ferait qu’exprimer son profond plaisir. La femme releva son fouet, et l’abattit encore, continuant à mordre le dos de la femme. Se mordillant les lèvres, la femme se faisait ainsi plaisir, et multiplia les coups. Bafamelle était une Succube, et pouvait donc l’endurer, tout comme ce long gang-bang. Le bandeau autour de ses yeux glissait de plus en plus, et son nez s’enfouissait parfois dans les poils pubiens des hommes venant se relayer dans sa bouche.
Alastar finit par intervenir, son sexe gonflé et tendu. Lorsqu’un homme jouit en elle, l’Incube agit également, et posa ses mains griffues sur les fesses de Bafamelle. Cette dernière put ainsi sentir ses ongles tranchants, répandant des ondes de douleur en elle.
«
À mon tour... »
Un léger sourire sur les lèvres, le Diablotin s’enfonça en elle, sa verge se perdant dans son con. Entre-temps, son corps se transforma, devenant plus rouge, plus
démoniaque. Alastar récupéra sa véritable forme, et poussa un long soupir, sa verge grossissant et enflant dans l’intimité de Bafamelle, la violant sur place. Sa queue caudale ondula sur place, et fila sur le côté de l’Incube. Avec ses mains, le redoutable diable écartait les fesses de la femme, montrant l’accès à sa porte arrière, et sa queue caudale s’y enfonça rapidement. Les trous de Bafamelle étaient déjà très humides et très élargis, et il fut donc assez facile, pour Alastar, de s’y perdre.
«
Haaaa... Ouiii... Allons, Bafamelle, ne me dis pas que tu ne sais pas qui nous a rejoints... »
La mystérieuse femme blonde s’avança, et le bandeau de Bafamelle se retirait, tandis que la femme se tenait juste devant elle, caressant ses cheveux.
«
Ma belle petite Bafamelle... J’ai cru comprendre que tu te languissais de ta Maman... »
Maintenant, il n’y avait plus aucun doute possible. La Polymorphie était l’art de prédilection des démons de Luxure, et la femme devant elle prit sa forme normale, permettant ainsi à Bafamelle de voir...
Onyxian Magoa, sa magnifique et éternelle mère. La Matriarche du clan Magoa venait d’arriver, et, tout autour du trio, les hommes semblaient comme atones. Ils étaient entièrement sous le contrôle de la magie d’Onyxian.
Cette dernière caressa à nouveau les cheveux de sa fille. Alastar continuait à prendre cette dernière, et Onyxian se concentra, puis fit pousser une verge entre ses cuisses, et l’enfonça dans la bouche de Bafamelle.
Autant dire que cette dernière était
très bien entourée !