Verges [Bafamelle]

L’entrepôt sinistre se trouvait le long de la zone portuaire. Entouré par une clôture solide, le bâtiment était le long d’un quai, et de l’herbe sauvage poussait le long des pelouses l’entourant. Pour autant, il n’était pas vide, contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord. Deux élégants vans noirs se tenaient à l’intérieur de l’entrepôt, et avaient délivré passage à de multiples personnes. Ils amenaient avec eux deux jeunes femmes paniquées, un bandeau noir autour des yeux, et les avaient attaché à de solides cordes en chaîne, avant de longuement les violer, à l’aide de drogues et de produits aphrodisiaques. Ils étaient une vingtaine d’hommes, des personnes musclées et solides, extrêmement bien baraquées, et bénéficiant eux aussi de drogues spéciales les rendant plus voraces. Quand ils les prenaient, tous leurs hormones explosaient, et ils devenaient alors de véritables bêtes sexuelles, des pervers affamés et sauvages. Ces deux femmes étaient les deux dernières femmes que le gang avait capturé. Un gang n’ayant aucun nom, même si la police enquêtait sur les vagues de disparition sévissant depuis quelques semaines.

Ils avaient, en tout, capturé une dizaine de femmes, des adolescentes qu’ils récupéraient à la sortie des discothèques, des night clubs, ou même des lycées. Ils étaient reconnaissables par leur haute carrure, n’hésitant pas à frapper les hommes accompagnant ces donzelles, et à les blesser sévèrement. Plusieurs étaient actuellement à l’hôpital, l’un ayant un traumatisme crânien après qu’une bouteille en verre lui ait explosé la tête. Les hommes avaient donc capturé toutes ces femmes, et les avaient emmené dans leur repaire, cet entrepôt, où ils les nourrissaient et les violaient tous les jours. Maintenant, la Cérémonie était arrivée, et toutes les femmes étaient sorties de leurs cellules, attachées sur des poutres autour d’un immense glyphe central, que plusieurs hommes avaient dessiné à la craie, en suivant les instructions du Grand Maître.

Le Grand Maître voyait tout ce qui se passait avec fascination. Les vingt hommes présents avaient tous des tâches réparties. La plupart couchaient avec leurs esclaves, et les autres traçaient prudemment les glyphes. Lui se tenait devant un piédestal, avec un énigmatique livre devant lui. Tous ces hommes étaient musclés, bien bâtis, nus, et au crâne rasé, avec des tatouages complexes filant le long de leur dos, de leurs hanches, ou même sur leurs visages, leurs bras, les épaules…

« Humm-hnnnn…
 -  Haaaa… Haaaaann !! »

Elles étaient prises tous les jours, et toutes les nuits. Des tournantes sans arrêt, les hommes utilisant des drogues spéciales, qu’on ne trouverait pas chez un dealer classique. Le Grand Maître avait fourni ces drogues, et elles venaient tout droit de l’Enfer, conçues par des alchimistes infernaux. Elles contenaient du sang de succube ou d’Incube, et rendaient les personnes complètement accroc au sexe. Elles se faisaient régulièrement prendre depuis plus d’une quinzaine d’heures, maintenant. Le Grand Maître les laissait faire, inhalant avec plaisir l’odeur permanente de sexe qui flottait dans la pièce.

Au bout d’un moment, le glyphe fut prêt, et il fit signe d’arrêter.

« Enfilez vos tenues de cérémonies, mes enfants… L’heure est venue. »

Épuisés, les hommes obtempérèrent, après quelques ultimes orgasmes, laissant des femmes totalement sonnées, pendouillant le long de leurs chaînes et de leurs bandeaux. Chacun enfila des robes noires en velours avec un capuchon triangulaire, et se glissèrent dedans. Les robes étaient ouvertes, permettant de voir leurs torses glabres et musclés, et leurs sexes. Le Grand Maître les laissa s’agenouiller tout autour du grand glyphe d’invocation, et lui prononça la mélopée figurant dans le livre.

Il n’avait pas été écrit en japonais, mais dans une langue antique, et, quand il se mit à parler, les lignes magiques tracées par la craie se mirent à s’illuminer, émettant une lueur rose agréable, chaude et vive. Du vent s’éleva alors, un vent chargé de luxure. La mélopée du Grand Maître monta, alors qu’il répétait les mêmes mots, encore et encore. Les minutes passèrent, et les hommes sentirent leurs érections revenir en force. Ils serrèrent les dents, bien conscients qu’ils allaient enfin avoir ce qu’ils voulaient, ce qu’ils désiraient tant, et qui les avaient amenés à suivre le Grand Maître.

La lumière explosa brutalement, et, dans un écran de fumée, une fine silhouette féminine apparut. Le Grand Maître soupira lentement, et fléchit les genoux, avant d’abaisser son capuchon, en voyant, peu à peu, les formes de la femme apparaître.

« Digne Succube… Nous cherchons à t’invoquer depuis des semaines… Nous avons réuni suffisamment de perversion et de Luxure ici pour que tu puisses sentir notre appel. »

Il s’éclaircit la gorge, avant de reprendre :

« Tous ces hommes ici sont des pervers… Des exhibitionnistes, des violeurs patentés… Ou de simples gigolos… Je les ai réunis ici pour qu’ils puissent tous goûter au corps des plus parfaites courtisanes de l’Enfer : les Succubes du clan Magoa ! »

Restait à voir si la Succube allait accepter cette invocation, maintenant… Même s’il était rarissime qu’un démon refuse de pouvoir se rendre dans les Plans Intermédiaires.

Le sexe… Cette endroit empestait le sexe et la lubricité à plein nez ! Et dieu que cela lui plaisait… Cela faisait prêt d'une semaine qu'un groupe de petits humains avait dans la tête de l'attirer ici, capturant et violant de pauvre jeunes femmes innocentes sans relâche, ne leur laissant aucun répit et ce, tout en ne cessant de les droguer encore, encore et encore. Il y avait là tous ce qu'il fallait pour réussir l'invocation, la glyphe, les inscription, le livre… Ils avaient tout préparés très soigneusement, ne loupant aucune étapes sous peine de foirer l'invocation.

Et oui, car invoquer une démon (ou une démone) n'était pas toujours aussi simple que ce que les films et autres série montrais à la télé. Pire encore, une mauvaise invocation pouvant très facilement ce retourner contre son prêcheur, attirant alors un malédiction sur ce dernier ou le bien tuant, tout simplement. Un exemple concret étant les messes noires dites de « sang ». Ces dernières étant plus pour une invocation (ou l'offrande) d'un démon « guerrier » alors que les messes roses, comme c'était la cas là, avait-elles comme but d'invoquer (ou encore « d 'honorer ») une succube, un incube ou tout autre créature liée à la luxure et à la lubricité.

Enfin, toujours est il que le but de cet attroupement de pervers était d'attirer une succube, mais pas n'importe qu'elle succube… Une succube de la lignée des Magoa ! Une noble famille Démonique qui avait la farouche réputation de pondre de beaux et belles démones emplis de lubricité, des succubes et des incubes de premier choix et qui plus est, de sang noble.

Finalement, le but de tout cette perversité réunie vint à pointer le bout de son petit nez et ce, dans une grand flash suivit d'un mur de fumée qui dans sa dispersion laissa apparaître le corps de la jeune démone, fruit de tout ceci, fruit de la lubricité elle même, ils voulait une enfant de la luxure… Ils aller êtres servis !
La jeune démone était là, au centre de la Glyphe, les mains posées sur ses hanches, le regard espiègle dans lequel une lueur d'amusement briller. Finalement, ce fut l'un de ces hommes qui vint a parler au nom de tout les autres, expliquant à la succube pourquoi  ils avaient fait tous ceci.

« Tous ces hommes ici sont des pervers… Des exhibitionnistes, des violeurs patentés… Ou de simples gigolos… Je les ai réunis ici pour qu’ils puissent tous goûter au corps des plus parfaites courtisanes de l’Enfer : les Succubes du clan Magoa ! »

La petite démone esquissa un petit sourire en coin, avant de longuement regarder l'attroupement d'hommes en rut qui s'offrait à elle. Doux jésus… Tout l'air était emplis d'un odeur de musc et de sexe qui fit légèrement frissonner la démone, avant que cette dernière, après quelque seconde de silence, ne vienne enfin prendre la parole.

« Hmmmmm… Je vois que ces messieurs ont bon goût en matière de succubes, j’ignorais que de simples humains connaissait le nom des Magoa et surtout, j’ignorais qu'il y en aillent de suffisamment capable pour mobiliser tant de moyen pour seulement, afin s'offrir le plaisir de goûter à la noble chair de mon clan… »

La jeune démone poussât un petit gloussement, avant de finalement ce présenter.

« Je suis Bafamelle Magoa, fille de Onixiane Magoa, grande matriarche des enfers et de Salabog XIII, Archiprêtre et proche conseillé de Lucifer… lachat elle alors avec une pointe de supériorité toute relative a son rang de démone. Mais… vous savez… »

La jeune démone s'avança alors lentement vers le gouroux, puis, du bout de sa queue elle vint à lui titiller le menton d'un air joueur.

« Invoquer ainsi une succube de mon rang a un prix, fuhu ! J’espère ne pas être déçue, mon bon monsieur, je suis du genre très gourmande en matière de paiement. » Finit elle part dire en ce reculant légèrement, reprenant sa place au centre de la glyphe, lançant au passage plusieurs coup d'oeil au membres qui l'entouraient. De beaux membres turgescents et avide de sexe, tous prêt à la prendre… Voilà ce qui l'avait attirée… Un jolie Gang-Bang, rien que pour elle ~♥

Bafamelle était espiègle, joueuse et un assez prétentieuse, elle avait sa petite fierté et était du genre chipie avec certaine de ses consœurs succubes, un peu comme une petite princesse que l'on aurait un peu trop gâtée. Enfin bon… La dite petite princesse, toujours au centre de la glyphe vint alors à lentement ce pencher, en faisant glisser ses mains sur ses cuisses, prenant appuie sur ses genoux tout en fouettant l'air avec sa queue.

« Mais… Peut être me suis-je trompée, peut être n'y a-t-il là qu'une bande faux mâles, un ramassis d'éjaculateurs précoces sous viagra… tsihihi ! ♥ »

Elle jouait avec eux, elle savait qu'elle aller prendre cher mais… C'était son petit caractère et aussi ce qui la rendait si… Hmmm… excitante !

Le Grand Maître préparait ce plan depuis si longtemps… On aurait pu se demander si une telle stratégie, ayant uniquement pour but de coucher avec une succube, n’était pas un peu disproportionné. Pour le comprendre, il fallait comprendre la stratégie à long terme du Grand Maître. Il ne voulait pas juste que coucher avec une succube, même si, en l’état, il se satisfaisait pleinement de ce moment. Après tout, elle était une Succube, d’une beauté incroyable, et, maintenant qu’il était face à elle, l’homme ne pouvait que le reconnaître. Plus personne n’osait parler ni bouger, et, mis à part les gémissements assoupis des jeunes femmes prisonnières, le silence était d’or ici. La Succube était maîtresse en ces lieux, et, quand le Grand Maître sentit la queue caudale de la femme s’enrouler autour de son cou, il eut un long frisson, et sa verge l’élança à nouveau, douloureusement. Son membre tendu se redressait, et il ne cherchait nullement à le cacher. Bafamelle Magoa le relâcha ensuite, sa peau douce s’échappant de son corps, et elle se retourna, allant au milieu du glyphe, palpant son corps en fléchissant les genoux, et en narguant les hommes présents alentours.

« Mais… Peut être me suis-je trompée, peut être n'y a-t-il là qu'une bande faux mâles, un ramassis d'éjaculateurs précoces sous viagra… tsihihi ! »

Bafamelle semblait joueuse, et le Grand Maître, lentement, se redressa. Son objectif dépassait le simple cadre de cette soirée. Pourquoi tant d’investissement ? C’était simple…. Ce qu’il voulait, c’était arriver à devenir l’un des Disciples du clan, à marquer suffisamment les puissantes succubes du clan Magoa pour qu’elles consentent à autoriser l’homme à devenir un Disciple. Et, ma foi, à choisir entre tous les clans peuplant les Enfers, il n’y avait pas vraiment de meilleurs clans à servir que ceux des succubes. Depuis son adolescence, il se renseignait sur les démons, et, depuis son adolescence, l’homme était un pervers… Du genre à glisser une caméra cachée dans les toilettes d’une fille, à diffuser sur les réseaux sociaux qui couchait avec qui, ou à devenir particulièrement jaloux et mauvais quand les filles qu’il voulait se taper lui échappaient. Il aurait pu devenir un tueur en série, à massacrer les filles avec une tronçonneuse… Au lieu de ça, il était devenu un violeur et un sataniste. Tout avait commencé par de simples agressions sexuelles, banales, croissant progressivement. Vol de culottes, tags, messages anonymes sur les réseaux sociaux… Sa virginité, il l’avait perdu avec une prostituée. Le Grand Maître avait passé son adolescence dans les maids coffees, payant pour avoir de multiples fellations. C’était avec l’une de ces maids qu’il avait perdu sa virginité, en la violant à la sortie de l’établissement où elle travaillait. Il s’en rappelait encore avec délice… Cette jeune femme était une étudiante qui travaillait ici pour financer ses études, en enchaînant les masturbations. Un visage de belle petite fée, une fille d’une grande beauté, pleine d’innocence, comme un Ange, avec sa bouille angélique. Il l’avait donc pisté dans une impasse. Elle portait encore sa tenue de maid sous un long manteau, et se retournait fréquemment, convaincue qu’on la suivait. Il l’avait pisté jusque dans une impasse, et l’avait pénétré entre deux poubelles, avec une cagoule sur la tête. Il l’avait prise par le devant, et avait été tellement excité qu’il avait joui très rapidement.

Maintenant, ce joyeux souvenir n’en était qu’un parmi tant d’autres, et, en voyant Bafamelle ainsi, à les aguicher, il esquissa un léger sourire. Sa verge lui faisait mal, et il se releva. Ses apprentis ne feraient rien avant lui, et il s’avança vers la femme.

« Vous allez avoir l’occasion de le vérifier par vous-mêmes… »

Il se rapprocha d’elle, et défit sa longue robe cérémoniale, révélant son corps musclé, glabre. Ses cheveux avaient été rasés, et de multiples tatouages ornaient son torse, filant jusqu’à son nombril, ainsi que d’autres le long d’un bras.

« J’ai entendu parler de votre clan lors de mes recherches, Bafamelle… D’Onyxian Magoa. J’ai cherché à invoquer une puissante Succube du clan, afin de vous montrer à quel point je vous suis respectueux. »

Pour les démons, l’honneur était une chose centrale, ce que le Grand Maître savait. Il rejoignit le glyphe, et approcha son sexe de la bouche de la femme. Il posa ses mains sur le visage de la femme, et, sans plus attendre, enfonça sa grosse queue dans sa bouche, ne tardant pas à donner des coups de reins, d’avant en arrière. Il savait ce qu’on disait  sur les succubes : des trésors aux mortels interdits. S’il n’arrivait pas à la satisfaire, elle avait le droit de manger son âme. Il s’efforça donc d’enchaîner les gorges profondes, ses mains s’appuyant sur ses cheveux, sa queue s’enfonçant lourdement en elle, remuant d’avant en arrière. Plus le temps passait, et plus l’homme était brutal et agressif, grognant et gémissant. Sa première Succube… Quelle bouche ! Quel corps ! Ah, putain, ce qu’il pouvait aimer ça ! Il remuait en elle, encore et encore, ses mains se crispant à ses cheveux, les serrant.

« Là, là, suce… Suce, ma petite pute infernale, hum… Suce, et sens mon foutre… Je vais te gicler dans la bouche, et nous allons ensuite tous te prendre… Encore et encore, sans relâcher, pour honorer l’incroyable belle salope que tu es ! »

Il grogna à nouveau, ses doigts se crispant encore à sa longue chevelure noire.

La jeune Bafamelle avait la farouche réputation d'être une succube particulièrement espiègle et hautaine, à la fois joyeuse compagne de jeux et véritable petite chipie infernale, jouant volontiers de de sa noblesse pour ce débarrasser d'autres petites succubes et démones un peu trop fières à son goût. Oui… Quand elle le voulait, Bafamelle pouvait être une charmante petite peste. Mais pour l'heure, la jeune succube avait bien d'autres projets en vue et plus particulièrement une vingtaine de beaux chibres turgescents et fiers, tous prêt à la besogner avec respect. Finallement, le chef de ce groupes de bonhommes vint à se dévêtir devant la démone, exhibant alors fièrement sa verge au proportions plus que convenable pour un simple humains, ce qui ammena d'ailleurs notre succube à discrètement ce pourlécher la lèvres supérieur avec toujours ce brin d’espièglerie et d'amusement au fond des yeux.

L'homme approcha ensuite son gland de la bouche pulpeuse de Bafamelle, avant de s'y enfoncer avec délice, en emplissant tout l'espace qui s'y trouvait puis de ce mettre à y aller et venir de manière assez forte. La jeune succube pouvait sentir les mains de l’homme sur sa tête, offrant à ce dernier un formidable point d’appui afin de baiser profondément sa gorge de démone gourmande et avide de sexe.

« Là, là, suce… Suce, ma petite pute infernale, hum… Suce, et sens mon foutre… Je vais te gicler dans la bouche, et nous allons ensuite tous te prendre… Encore et encore, sans relâcher, pour honorer l’incroyable belle salope que tu es ! »

Bafamelle, suite à cette charmante tirade, leva lentement les yeux vers ceux de l'homme tout en ce mettant a genoux afin d'être plus à l'aise. Le regard de notre Succube était toujours empli de lubricité et d'amusement, comme ci tous ceci n'était qu'un jeu, un divertissement… Ce que c'était dans un sens. La jeune démone, toujours entrain de ce faire baiser la gueule, ce mit a faire travailler les muscles de sa gorge tout en creusant ses joue, afin de bien englober la verge chaude et suave de ce mâle en rut, passant par moment sa langue d'un noir luisant sur la gland et dans tout les interstices de cette belles queue.

« HmMmMgmMMmaaann… Ssshlllrrrp ! »

Gentiment, alternant entre les phases de sucions et de léchage, la démone continuait de regarder l'homme avec un regard espiègle, ses yeux ne quittant ceux de ce « Maître » seulement pour observer les autres mâles de la pièces ou alors pour simplement fermer les paupières l'espaces de quelques secondes. Sentir ce bon chibres dans sa bouche commencer petit a petit a réveiller ses hormones, les légendaires phéromones de succube ! L'un des plus puissant aphrodisiaque connue, si ce n'est le plus puissant avec les fluides corporels de ces dernières. Le jeune femme à la peau rouge transpirait légèrement et l'odeur épicée de ses hormones commençait petit à petit à emplir le centre de la Glyphe, tendis que la cyprine de Bafamelle commençait à elle aussi légèrement ce faire sentir.

« HMMmMM… »

Lentement, la démone entreprit de malaxer les bourses joufflues de ce belle hommes d'une mains, tendis que son autre mains, elle, s'affairait à caresser son intimité au travers de sa culottes en résilles fines.
Autant Onyxian et les autres frères et soeurs de Bafamelle ce fichait plutôt bien de cette débauche propre au statut de la jeune femme, autant son père… N'aimais pas vraiment qu'elle passe son temps à courir les plans-culs toute la journée. Salabog XIII est un démon très respecté et, bien qu'étant parfaitement conscient de la nature de sa jeune fille, il n'aime pas vraiment sa boulimie de débauche. Au plus profond de lui, il aimerais qu'elle devienne un jour une grande prêtresse infernale, tout comme lui… Mais bon, le démon prend toujours sa fille avec beaucoup de recule, tolérant du mieux qu'il le peut ses écart de conduite et sa vie emplie de frivolité.


Pour l'heure, la démone prenait son pied en gobant cette verge dur et violente et c'était bien là la seule chose importante,

Le Grand Maître était heureux, heureux comme il ne l’avait jamais été. L’accomplissement de toute une vie se trouvait ici, dans la bouche de cette femme, dans cette queue qu’il remuait en elle. Une vie à travailler sur des drogues spéciales pour améliorer les performances sexuelles, une vie à se renseigner sur les Enfers, et à trouver un moyen de se rapprocher des clans. Sa queue était grosse, longue, et bien dure, s’enfonçant en elle. Bien loin d’être vierge, le Grand Maître avait eu l’occasion de travailler ses pulsions sexuelles, dans l’attente de ce moment. Honorer une succube, et, qui plus est, l’une des succubes du clan Magoa. Le Grand Maître savait que ce clan était un clan assez influent en Enfer, et que leur Matriarche, Onyxian, ne se déplaçait plus pour de simples invocations, ou, quand elle le faisait, tuait très souvent ses amants. Une salope, aussi cruelle que belle, qui n’offrait ses cuisses que pour les membres de sa famille, ou pour les personnalités infernales influentes dans le monde rouge. Il y avait, dans le comportement de l’homme, une ambition démesurée, mais aussi, de manière plus modeste, la simple envie de se taper une succube. Son fantasme était en train de se réaliser, et ses mains se déplaçaient sur la tête de la femme.

Sa queue tapait contre sa gorge, s’enfonçant profondément et lourdement en elle. Elle avait une bonne bouche, une bouche faite pour recevoir sa queue, faite pour l’avaler, faite pour le sexe. Il s’enfonçait en elle, et ses doigts se déplacèrent, remontant le long de ses cheveux pour caresser ses petites cornes. Son corps ondulait d’avant en arrière, ses testicules venant peu à peu se plaquer contre les lèvres et contre le menton de la femme.

« Haaaa.. Haaaa ! »

Il ne comptait pas jouir trop vite, et, quand il vit Bafamelle se caresser, il sentit une onde de plaisir supplémentaire le traverse, l’amenant à soupirer davantage. Ce petit geste anodin voulait dire qu’elle prenait son pied, que la succube appréciait ce qu’on lui faisait… Et qu’il ne risquait donc pas de finir mort sur le sol quand elle avalerait son âme après son orgasme. Tout autour du couple, les hommes de la secte observaient en silence, leurs queues tendues pointées vers le duo. Ils avaient envie de baiser Bafamelle, et chacun de ces hommes n’était ici qu’un atome de sexe et de frustration, même ceux qui avaient eu l’occasion de se soulager sur leurs captives. Peu importe ce qu’ils avaient pu être jadis, ils ne regrettaient rien. Leur esprit était embrumé par les drogues et les potions du Grand Maître, les transformant en pervers… Mais obéissants envers le Grand Maître. Ils attendaient patiemment leur tour, et le Grand Maître, au bout de longues minutes, finit par jouir.

L’homme enchaînait alors de grosses gorges profondes, enfonçant son mandrin en elle, tapant contre sa peau chaude et humide, à l’intérieur de sa peau. Son vit se perdait en elle, ses mains s’enfonçaient dans ses cheveux, et il remuait d’avant en arrière, longuement, lourdement, ses bourses claquant contre son visage, lui violant sa belle petite gueule d’amour.

« Hummm… Ah, tu aimes ça, HEIN ?! Petite pute… Salope, haa !! C’est si bon de te défoncer la GUEULE ! Et ce n’est qu’un début, haaa… Suce, suce, SUCE, SUCE MA QUEUE, HAAAAA… !! »

Il devenait violent, agressif, dominateur, ses mains se crispant davantage sur les cheveux de la femme. Il la baisait depuis maintenant un bon quart d’heure, confirmant son statut d’homme doué et talentueux, en phase avec la magie rose, cette délicieuse magie qui permettait de faire durer l’acte sexuel pendant des heures. Le chef de la secte, dont le nom était sans importance, car il l’avait renié en abandonnant ses parents et sa famille, la prenait donc, longuement, violemment… Et c’est dans ce contexte qu’il jouit donc en elle.

Une jouissance explosive et intense, où il passa, pendant plusieurs minutes, des filaments de foutre en elle, claquant dans sa bouche chaude son sperme, jouissant profondément dans sa gorge, le plus loin possible, avant de se reculer, pour balancer sa crème dans sa bouche, entre ses belles et pulpeuses lèvres rouges. Il soupira longuement, et se retira ensuite, son vit recouvert de salive et de sperme, et il relâcha la femme. Son corps était en sueur, sa respiration longue et profonde. Il s’écarta de quelques mètres, et, pour les autres hommes, ce fut le signal.

Leurs robes de cérémonie tombèrent au sol, et ils s’avancèrent lentement vers la femme, l’encerclant, formant un cercle qui se rapprochait, un cercle de torses glabres, de tatouages, de cheveux rasés, d’hommes musclés et bien bâtis, et d’épées de chair pointées vers elle. Des mains la saisirent, la soulevèrent, et des sexes rentrèrent en elle. Un sexe s’enfonça dans ses cuisses, heurtant sa fleur, butinant son bourgeon, et, dans son dos, une autre queue se perdit dans ses fesses, des torses venant se plaquer contre son corps, des soupirs dans ses oreilles et des baisers âpres sur ses lèvres.

*Ma brave petite sœur, toujours à déchaîner les passions…*

Depuis un pont en hauteur, bras croisés et adossé contre le mur, un démon aux yeux bleus observait la scène avec un léger sourire sur le coin des lèvres. Il espérait bien qu’ils baiseraient bien Bafamelle… Car c’était tout ce qu’elle voulait en répondant à cette invocation.

Il fallut un peu moins d'un petit quart d'heure à notre homme pour finalement jouir abondement dans l'orifice buccale de la jeune succube, une belle performance pour un humains au vue de l’expérience et de la perversité de Bafamelle qui, bien qu'étant jeune pour une démone avait tout de même un long parcours lubrique derrière elle. Toutefois, le fait que tous ces messieurs présent ici ais usés de drogues démonique n'avait nullement échappé au sens affûtés de la belle succube qui choisie toutefois de ne rien dire à ce sujet, préférant une foule d'hommes dopés, qu'un ramassis d’impotents.

HmmMm !!!

Bafamelle sentie alors la jouissance laiteuse et blanchâtre de ce gourou exploser dans sa gorge, filant directement dan son estomac et ce, pour son plus grand plaisir, un plaisir gourmand et pervers que notre succubes ne se cachait pas de montrer, avalant avec délice ce doux nectar chaud et gluant dont elle était folle. Une fois que l'homme eu finit d'abondement juter en Bafamelle, il se retira, laissant ainsi à ses disciples le corps de la jeune succube. Cette dernière put alors voir venir vers elle de beaux monts de chair turgescent, s’attroupant tous autour de sa tendre personne.
Bafamelle sentie alors le gland de plusieurs d'entre eux glisser sur sa peau, tendis que l'un de ces « disciple » vint à lentement la soulever pour finalement venir l'empaler sur son vit tendis que de l'autre cotés, un autre homme vint quand à lui à enfuir sa grosse verge dans les fesses de la démone.

« HmMmnnn ! Haaaan… »

Bafamelle remua légèrement son bassin en sentant ses deux mat l'enfiler avec rudesse, tendis qu'autour d'elle et plus particulièrement de son visage, un attroupement de glands se disputait la bouche de la succube, tendis qu'elle br   anler la verge de deux hommes en même temps.

« Allez… y… Hmmpff… Sucez moi noble succube ! »
« Oh oui et moi aussi ! »

La jeune démone ouvrit alors la bouche afin d'y faire entrer deux glands en son seins, passant avec gourmandise sa langue dessous et dessus tout en regardant les hommes avec un regard toujours aussi espiègle et lubrique. Un regard qui était d'ailleurs entrain de légèrement luire et ce, à cause de toute la luxure qui s'échappait de cet attroupement de verges tendues, offrant à la démone une grande bouffée d'énergie qui la fit redoubler d'effort quand l'un des deux homme dont elle était entrain de lécher le gland vint à attraper deux de ses cornes afin de profondément lui baiser la gorge ;

« hMMMGmMm !! »
« Allez… Hmm oui ! »


Pendant ce temps, les deux hommes qui pénétraient simultanément son cul et sa chatte s'activèrent de plus belle, accélérant leurs coup de reins afin d'offrir à la noble succube qu'était Bafamelle une baise mémorable. La démone était à présent prise de toute part, les autres verges se frottant alors contre ses sein, son visage, ses fesses, en attente de baiser avec fougue l'une de ses délicieuses entrées. L'odeur de toutes ces grosse queue en aurait presque fait tourner la tête de Bafamelle, cependant, la démone n'était pas n'importe quelle démone, c'était une succube du clan magoa, elle se devait donc d'honorer son clan en baisant avec tous ses hommes qui l'encerclaient, ce masturbant volontiers au dessus de son visage et de son corps.

Et tous ceci, sous les yeux d'une personne qu'elle connaissais très bien ♥ Mais dont elle ignorais la présence.

Alastar n’avait pas œuvré dans l’ombre pour organiser cette secte. S’il en avait été le gérant, il n’aurait jamais admis qu’on puisse violer et droguer de belles femmes, tout simplement parce qu’il avait trop de respect pour le beau sexe pour les traiter comme de vulgaires marchandises. Il savait que cette secte se composait de violeurs et de pervers en tout genre, allant de ceux ayant des casiers judiciaires à ceux qui s’étaient contentés de surfer sur le Net pour regarder des vidéos pornographiques et se masturber. Le Grand Maître, en retrait, était celui qui leur avait fourni des drogues spéciales, reposant sur le sang de succubes. Comment avait-il fait pour les récupérer, voilà bien la question qu’Alastar se posait, car les succubes n’avaient pas pour habitude de les offrir… De fait, ce qu’il faisait était une sorte de vol, mais le Diablotin savait que ce minable ne pouvait pas être le voleur. Il était plutôt le receleur. Alastar, de fait, enquêtait sur ces drogues. Le sang de succube était une arme dangereuse chez les humains, qui pouvait les faire sombrer dans la folie la plus profonde. Face à ce sang, toutes leurs pulsions hormonales se réveillaient totalement, pouvant amener à une réduction ou à une diminution de leurs capacités cérébrales. Alastar enquêtait donc, et, alors qu’il enquêtait, il avait senti la présence de Bafamelle, qu’il considérait comme sa petite sœur, alors même que, techniquement, elle était sa nièce. Elle était la fille de sa grande sœur, après tout, mais, Onyxian n’ayant jamais véritablement songé à éduquer Bafamelle, Alastar s’était chargée de ce beau bébé à la peau rouge et douce. C’était lui qui l’avait bordé, et qui, quand elle avait atteint l’âge requis, lui avait fait l’amour.

Bafamelle sautait sur toutes les occasions de sentir des verges en elle. Elle participait donc à une magnifique orgie, et, depuis les hauteurs de l’entrepôt, où Alastar s’était rendu pour se renseigner dans le bureau du Grand Maître, il en profitait pour observer le spectacle. Un homme, couché sur le sol, avait laissé la succube s’empaler sur lui, et, dans son dos, un autre s’était assis sur ses genoux, et son sexe était niché dans le cul de la femme. La succube avait un corps parfait et une peau incroyable. La toucher, c’était comme caresser et sentir la douce peau d’un tendre bébé. Naturellement, ils ne furent pas que deux à la prendre. D’autres hommes se rapprochaient, des mains s’agrippèrent sur les cheveux de la femme, et deux verges s’enfoncèrent dans sa bouche, les queues se croisant en elle. Deux autres verges se nichèrent dans le creux de ses mains, et, ainsi, Bafamelle se retrouva au cœur d’une véritable orgie. Chaque centimètre carré possible était exploité par des corps et par des sexes se frottant contre sa peau. Depuis sa position, Alastar voyait ainsi un cercle rapproché autour de Bafamelle, le corps de sa succube disparaissant sous celui de tous ses hommes.

*Elle a hérité de tout l’appétit d’Onyxian…*

Alastar continua à les regarder. Ils soupiraient et gémissaient, heureux de pouvoir se taper une succube, de pouvoir s’enfoncer en elle, de la faire jouir longuement… Des hommes en rut, gras et forts, qui la griffaient, crispaient leurs mains contre son corps. Les queues remuaient en elle, provoquant des claquements de chair et des soupirs. C’était un film porno’ sauvage qui se déroulait sous ses yeux. Il l’observait donc, en oubliant ses recherches. L’homme pilonnant le cul de Bafamelle mordait sa nuque, ou l’insultait dans le creux de l’oreille :

« Petite salope… Ton cul est parfait pour recevoir ma queue… »

Les hommes que Bafamelle masturbait soupiraient longuement en sentant les ongles très pointues de la succube meurtrir leurs saucisses. Tout n’était qu’une débauche de sexe, et, au bout de plusieurs minutes, les érections fusèrent, le sperme jaillit, remplissant les mains de Bafamelle, ainsi que sa bouche. Les adeptes de cette secte de pervers hors-normes se soulageaient dans son corps, et ce n’était qu’un début. Alastar l’espérait pour eux… Une succube du clan Magoa était une femme insatiable, le Diablotin était bien placé pour le savoir.

Avec tant d’hommes autour d’elle, Bafamelle risquait de passer par toutes les positions sexuelles connues et possibles…

Après plusieurs longues minutes de sexe intense, les premiers jet de foutre fusèrent sur et dans notre jeune succube, cette dernière ce cambrant et ce contorsionnant sous tout ce plaisir, sentant affluer en elle de belles quantités de foutre chaud lui emplissant copieusement le derrière, la bouche et le vagin d'une manière délicieuse, tendis que d'autres jets vinrent à éclabousser son dos et son visage.
Bafamelle avait quand à elle les paupières closes et la bouche ouverte, sa langue de serpent noirâtre pendouillant alors à l'air libre, un long fil de sperme dégoulinant de cette dernière pour finalement atterrir dans le creux de sa poitrine pas encore mis à nue. 

« Haaa… Hannn… »

La jeune succube aimait ça, sentir tout ce foutre sur elle, sentir son goût sur sa langue, humer son odeur mélanger à l'odeur de toutes ses belles queues autour de son visage venant se ressuyer contre ses joue et ses cheveux. La démone était, si l'on puis dire, au anges avec tout cela et, à peine les hommes avaient ils fini de juter, que la démone sentie les mains fortes d'un homme l'attraper afin de l'asseoir sur son mandrin, ce dernier s'enfonçant alors dans son cul béant et dégoulinant de foutre tendis qu'une autre queue vint à ce frotter contre le latex de son corset, avant de s’enfoncer entre les deux monts de chair rouge de la démone au aboie sous toute cette délicieuse lubricité.

« Haaaannn… Li-libère les et prend les en m-main si tu le désire ! HmmMMgmmm ! »


A peine avait elle bredouillée ses mots qu'une grosse verge vint à s'enfouir dans sa bouche. L'homme qui était entrain de baiser les seins de la démone ayant quand à lui exécuté à la lettre les mots de notre noble succube, extirpant de son délicieux corset les deux seins ronds de Bafamelle, les attrapant ensuite avec fermeté afin de ce branler dedans avec fougue. La démone put à nouveau sentir les verges de ces messieurs ce coller à son visage déjà copieusement arrosé de sperme.

« HmMMm ! Votre rond-rondelle est délicieuse noble succube ! »

Bafamelle, bien que rendue muette à cause de la lourde bite qui obstruait sa bouche, répondit à l'homme en dessous d'elle en bougeant le bassin de haut en bas, c'était un bien délicieux moment pour notre succube, tout ce sexe, tout ça là… C'était rien que pour elle ! Mais voyant que personne ne s'occupait de sa fleur, Bafamelle prit la libre initiative de s’enfoncer le bout de sa queue caudale dans le vagin, décuplant alors son propre plaisir et son appétit sexuel. Pendant ce temps, plusieurs des hommes autour d'elle c'était empressés d'enrouler leur grosse verge dans des mèches de cheveux de la démone, ce branlant alors avec tout en contemplant de la jeune succube entrain de ce faire baiser les seins par leur comparse. Ce dernier s'amusait à tirer et à pincer les jolie mamelons noirs de Bafamelle, mamelons que la démone avait joliment décorée avec des piercings style barbell.  L'homme prenait un malin plaisir à maltraiter les nichons de la démone qui, bien entendue, trouvait ça plus délicieux encore, alors que l'homme qui lui baisait la bouche avait maintenant les deux mains sur ses cornes.

« HmMMGmmm… Ghhaammnnmm ! Sllrpgmm… »
« Ha… Avale la ma grosse bite ! Hmmmpff ! »
« HmmmPPff… M-Moi je vais lui prendre sa petite chatte bordel ! » S’exclamât alors l'homme qui ce branler dans les seins de Bafamelle, avant de retirer de là sa verge gonflée de désir puis de s'accroupir en retirant délicatement la queue caudale de la démone de son antre baveuse, remplaçant de-suite la dite queue par sa verge afin de baiser sans vergogne la petite succube.

Oui… Là, Bafamelle était divinement entrain de prendre son pied ! Et, alors qu'elle ce faisait une seconde fois troncher de toute part, elle ouvrit les yeux afin de regarder tout ces hommes autour d'elle, exhibant à la vue de ses dernier, deux pupilles rosées et luisantes tel deux joyaux dans la nuit.
Entre temps, la démone avait sue tirer partie de ses pieds, utilisant ces dernier afin de branler deux autres verges ainsi qu'une autre autour de laquelle elle avait habilement enroulée sa queue caudale.

Elle avait à présent tout les membres d'occupés et il en était de même pour les trous, les hommes ce partageant toutefois sa bouche, entrant dedans à tour de rôle.

La belle Bafamelle était au cœur d’une véritable et interminable orgie de sexe et de luxure. Disparaissant au milieu d’une forêt de queues et de verges tendues, en érection, elle était prise de partout, dans tous les trous, par des hommes assoiffés et impatients, qui, au fur et à mesure que le temps passait, gagnaient en nervosité et en agressivité. Ils devenaient de plus en plus incontrôlables, de plus en plus bestiaux. S’ils voyaient au début la Succube comme un don providentiel, ils la voyaient maintenant plus comme un morceau de viande royale, impossible à user, et qui ne demandait qu’à se faire baiser et défoncer. Autant dire qu’ils comptaient largement en profiter. Leurs qu’eues s’enfonçaient en elle, dans les tréfonds de sa gorge, et, à peine un homme avait-il inondé sa bouche en la remplissant de foutre qu’une autre queue apparaissait, s’enfonçant dans ce sperme, ramonant sa gorge, s’agrippant à ses cornes pour faire remuer la tête de Bafamelle, d’avant en arrière, rapidement et douloureusement. Aucun ne cherchait à la ménager, tous y allaient franchement, avec une envie dévorante et croissante au fur et à mesure que le temps s’écoulait. Les vits tapaient contre sa gorge, s’enfonçaient en elle, et il allait de même pour les chibres plantés dans son cul et dans son con.

Tous ces hommes remuaient autour d’elle, et la position de Bafamelle ne tarda pas à évoluer. Il s’écoula bien une bonne demi-heure dans cette position, à sentir des queues glisser en elle, avant que les hommes ne la changent de position. Elle se retrouva à quatre pattes, des mains râpeuses toujours en appui sur ses cornes, une queue lui bouffant la gorge en remuant d’avant en arrière. De longs soupirs gutturaux s’échappaient des gorges de l’homme, qui se masturbaient à côté d’elle, formant un cercle de queues dressées et de mains en sueur glissant sur des sexes gros et gras. Dans son dos, des gifles sèches s’abattirent sur ses fesses, et une main lui ôta sa robe, en tirant dans son dos, jetant la tenue au loin.

« Ouais...
 -  Ce qu’elle est bonne...
 -  Suce ma queue, salope ! »

Un sexe s’enfonça à nouveau dans son cul, se plantant jusqu’à la garde, s’enfonçant dans son rectum. Ils avaient totalement déformé son anatomie interne, et continuaient à remuer en elle. Sous le corps de Bafamelle, un autre homme s’allongea, et planta sa verge dans son vagin, le corps de la Succube s’abaissant vers le sol, sa tête redressée, afin de pouvoir réussir ce prodige. Et, tout autour, un bukkake s’organisait dans les règles de l’art, avec filaments de foutre, sperme à outrance, et explosions de plaisir. Les hommes étaient en train de jouir sur le corps de Bafamelle, invitant sa queue caudale à venir masturber certaines queues. Tous ne pensaient qu’à la Succube, et à cette peau rouge se recouvrant, ici et là, de foutre.

Grâce aux injections magiques qu’ils avaient prises, ces hommes étaient de véritables océans de foutre, balançant à chaque giclée des foutres et des foutres. Cette drogue galvanisait leurs hormones à un stade surnaturel. Ils pouvaient mourir d’épuisement en appuyant trop sur leurs corps, mais ça, ils s’en moquaient. Le désir sexuel occultait peu à peu toute la raison qui se trouvait en eux, n’en faisant rien de plus que des animaux assoiffés de sexe...

...Des animaux qui jouissaient généreusement sur le corps de Bafamelle.

Une pluie de laitence… Voilà en somme ce que Bafamelle était entrain de subir, un délicieux bal de foutre et de verges tendues et pulsantes que ne cessaient de la prendre et de lui donner du plaisir. Car oui ! Bafamelle sentait au fond d'elle l'orgasme pointer le bout de son nez, alors qu'une fois encore deux pieux de chair lui pilonner simultanément le cul et la chatte. La belle petite succube au teint rougeoyant gémissait et couinait de plaisir sous cette avalanche de luxure décadente. Mais, le plus affolant dans tout ça, c'était que l'excitation de Bafamelle faisait croître celle de cet attroupement de pervers, libérant ainsi des hormones aphrodisiaque puissantes qui ne manquèrent pas de piquer le nez de ces messieurs, faisant alors pulsait leur grosse queues joufflues de plus belle, queue qui semblaient d'ailleurs pouvoir cracher des litres de sperme sur la démone, recouvrant sa belle peau rouge d'un liquide blanchâtre et fortement odorant.

« Plus… Plus ! Haaaa... Donnait m'en plus ! » S’exclamât alors la jeune succube avec  une lueur de gourmandise au fond des yeux… Avant qu'un autre sexe vienne lui baiser la gorge
« Hhgmmmmnnn !!! Bordel ! »
« Haaaaan ! Haa… Haaaa ! Je vais…. J-JOUIR !!!!  Haaaa-hmmmgmggg !! »
« Tais toi et suce ! »

Et hop ! D'un coup, tout le corps de Bafamelle ce mit à trembler, explosant alors en une onde de plaisir gigantesque. Mais la pauvre était littéralement prise dans tout les sens et elle n'avait pas la possibilité de bouger beaucoup, n'étant ainsi réduit qu' a un simple sac à foutre que ces hommes remplissait sans relâche, écartant sans aucune pitié son cul et sa chatte, utilisant chaque parcelle de son corps comme cible pour éjaculer, certain allant même jusqu'à lui uriner dessus dans la foulé.Mais la jolie Bafamelle n'avait que faire de tous cela, seul le sexe comptait pour l'instant et dieu sais qu'elle allait être plus que comblée avec cette vingtaines de bites en rut se collant à elle, l'enfouissant sous une rivière de foutre collant.

« HmMmhaaaa !  Haaaaa ! Hmmggmmgg !!! »

Toutefois, elle avait beau être encore « jeune », Bafamelle démontrait un bel appétit  sexuel, la rendant bien plus vorace que certaines de ses consœur et ce gang bang était pour elle une sorte d'épreuve, un petit défi qu'elle c'était lancée à elle même, quoi qu'elle savait pertinemment qu'elle le remporterais haut la mains. Elle pourrait ainsi aller ce vanter de son petit exploit.

Dans le hangars, c'était donc un véritable concert de râles et de gémissement, entrecoupé de bruit de succion et de pénétration, formant une sorte de sinistre bruit de fond pervers qui allait de paire avec l'odeur de sexe de plus en plus présente, une odeur forte qui petit à petit faisait tourner la jolie tête brune de bafamelle dont les yeux ce révulsaient par moment sous cette avalanche de plaisir. La démone avait donc jouit, accroissant à chaque fois la libido de ces messieurs dont les chibres étaient  maintenant rouges à cause de la chaleur et de l'effort, chibres qu'il continuait d'insidieusement glisser sur et dans Bafamelle, quand il ne ce branler pas au dessus d'elle pour lui envoyer une énième rasade de sperme sur sa tendre et belle peau rouge. Un homme vint ensuite à s'allonger par terre, enfouissant sa queue dans la bouche de la démone, tendis qu'un autre vint à la prendre en levrette, gratifiant la belle succube d'une bonne dizaines de fessées qui claquèrent bien comme il faut dans le hangar.

« HmmmMMM ! Qu'elle adorable petit cul bordel ! Les anges eux même ne pourraient y résister, pour sur ! »

L’orgasme de Bafamelle devait sonner comme une libération pour eux. Alastar, qui connaissait mieux que personne sa petite sœur, savait qu’elle avait joui... Même sans la voir visuellement, il le sentit, aussi certainement qu’une personne en fuite pouvait sentir que voir tris fourgons de police s’arrêter devant le motel où il était risquait d’être problématique pour lui. Le Diablotin la sentit jouir, et, si c’était une bonne nouvelle pour ses hommes, c’est parce qu’ils avaient honoré leur part du contrat. Satisfaire la succube en lui offrant un orgasme. Une Invocation obéissait à certaines règles, et, si on arrivait à faire la jouir la succube, cette dernière ne pouvait pas, ensuite, vouloir prendre vos âmes. Bien sûr, avec un gang-bang, les choses étaient différentes, et on pouvait tout à fait imaginer une succube qui soit plus exigeante, et demande bien plus d’un seul orgasme, vu qu’elle est prise par toute une tripotée de mâles en rut...

Son orgasme, cependant, accrut encore l’excitation des mâles, en diffusant de puissants aphrodisiaques. Ils continuaient donc à la prendre, Bafamelle à quatre pattes, et certains de ses amants en profitaient pour exprimer des paraphilies plus osées, plus... Tendancieuses. Dans la bouche de la succube, un homme urina pendant plusieurs secondes, avant de remuer son corps, d’avant en arrière. Le cul de Bafamelle était défoncé par le sexe d’un homme, et tous soupiraient, gémissaient, grognaient. Les minutes défilaient à toute allure, et les hommes continuaient donc à la prendre.

Bafamelle était une succube terriblement belle, qui déchaînait l’imagination des hommes. Si elle fut à quatre pattes pendant longtemps, des mains finirent par la soulever, la redressant. L’homme qui avait sa verge plantée dans son cul s’assit sur le sol, avec Bafamelle qui la suivait. Autrement dit, la succube se retrouva assise sur lui, et des hommes se placèrent devant elle, pour qu’elle continue à les sucer, comme si la fellation et les gorges profondes étaient le plaisir unique et récurrent de ces hommes excités et assoiffés.

« Baise-nous, salope !
 -  Baise-nous bien... »

Ils continuaient encore à s’agglutiner autour d’elle, et, dans son dos, l’homme qui la sodomisait, et qui était aux anges (pour ainsi dire) lui léchait et lui mordillait le cou. Même la peau de Bafamelle était magnifique, emplie de douceur, comme celle d’une peau de bébé. Il s’y frottait généreusement, tout en sentant le corps de la succube remuer d’avant en arrière, sous les verges des hommes venant remuer en elle.

Les positions se multipliaient, et, plus le temps passait, et plus tout puait autour d’eux. Le sexe remontait, et on pouvait le sentir...

Quelle chanceuse, cette Bafamelle !

Le plaisir… Encore et toujours le plaisir, Bafamelle avait jouis, certes, mais… C'était bien mal la connaître que de croire qu'elle serait satisfaite d'un seul et unique orgasme, oh grand non ! La jeune succube était gourmande et si c'est messieurs voulaient tous garder leur âme, ils avait plutôt intérêt à y mettre du leur. Tous continuèrent à s'agglutiner autour de la démone, faisant coulisser leur queues collantes sur sa douce peau rougeâtre, tendis que son cul était une nouvelle fois entrain de ce faire prendre par un homme alors que dans sa bouche, les sexes d'autres hommes ce succédait les un après les autres et, bien évidement, le grand frère de Bafamelle, sans qu'elle ne le sache, ne perdait pas une miette de ce délicieux spectacle lubrique.
Alastar et Bafamelle avait toujours étaient très proches l'un de l'autre et, au fond, quoi de plus normal sachant que c'était Alastar qui avait prit sous son aile la jolie succube à l'époque où cette dernière n'était encore qu'un petit bébé gazouillant à la peau rouge. L'incube l'avait par la suite éduqué et protégé, avant de finalement être le premier à l'avoir déflorée, un moment dont la démone ce souvenait avec délice.

« HmMmGmmmm ! »

Mais pour l'heure, Bafamelle était encore entrain de sauvagement se faire prendre par ces mâles en rut qui semblait ne jamais s'épuiser. Enfin… Jamais… Voilà maintenant deux bonnes heures que ces hommes enchaînaient les coïts multiples et les éjaculations sur la démones et, bien qu'ils ais tous prient des drogues infernales, Bafamelle sentie chez certains d’entre eux un légère épuisement. Toutefois, la démone ne comptait pas les laisser filer ainsi, au grand non ! Ils avait décidés de l'invoquer pour jouer avec elle, alors ils aller jouer, quitte à ce retrouver avec des raisin de Corinthe à la place des couilles ! Cet alors que l'homme qui enculer sèchement la démone vint à ce mettre debout, soulevant la belle succube à la seul force de ses bras, tendis que l'un de ses comparses vint à  ce mettre face à Bafamelle afin d'enfouir son vit dans la fleur humide et dégoulinante de la démone. Cette dernière ce faisant alors prendre par deux hommes à un mètre du sol, ses seins rebondissant au grès des coups de reins de ces messieurs, messieurs qui (pour celui de devant du moins) prenait par moment un malin plaisir à téter le délicieux lait aphrodisiaque de bafamelle, suçant et tirant sur son mamelons noire avec délice, tendis que les autres ce branler sur cette scène oh combien stimulante.

« HmmmmMm aaaah ! Aah ! Oui ! Oui ! »

Pendant ce temps, l'un des homme vint à ce rapprocher de la queue caudale de la succube, avant de s'en saisir pour que cette dernière le masturbe avec, ce qu'elle fit sans broncher, embrassant à tour de rôle les trois hommes qui furent ensuite rejoins par d'autres, décidant ensuite de ce partager le cul e la chatte de bafamelle sans que cette dernière ne touche le sol, jouissant à tour de rôle en elle comme celle n'était qu'une vulgaire poupée.
Bafamelle, elle en tout cas était, si l'on puis dire, comblée ! Tout ce sexe brutale était si bon et sentir tout ses torse viril ce frotter à elle c'était.. rrrrRR ! Elle en frissonnait, Embrassant tout ces messieurs tant qu'elle le pouvait, enfouissant dans leur bouche sa délicieuse langue serpentine.

Leur joyeux gang bang se poursuivit dans le vice et dans la luxure. Les heures se succédaient aux minutes, les soupirs se mélangeaient aux hurlements, et, silencieux, Alastar observait ce spectacle avec délice. Ah, comme sa petite Bafamelle était douée ! Ça, il ne pouvait que le reconnaître. Elle se retrouvait maintenant suspendue au-dessus du sol, coincée entre deux hommes, au torse viril, qui la prenaient en sandwich. Des corps en sueur, des chairs claquant les unes contre les autres. Oh, que c’était beau à voir ! Alastar était sorti du bureau, et, adossé contre le mur, il ne pouvait qu’observer ce spectacle, avec une lueur malicieuse dans les yeux. Les deux corps remuaient devant et derrière Bafamelle, et celui devant avait la chance infinie de pouvoir l’embrasser, de fourrer sa langue dans sa bouche, et de sentir, en retour, celle de la belle succube. Elle se tortillait contre eux, leurs grosses queues venant la pilonner joyeusement, la faisant hurler et couiner. Les mains de l’homme glissaient le long de ses côtes, venant ensuite se poser sur ses seins, qu’il se mit à empoigner et à malaxer fermement. Sa bouche, elle se déplaçait parfois sur le cou de la succube, venant lécher et mordre sa peau. Il était alors rejoint en ce sens par le partenaire dans son dos, celui qui enfonçait sa verge dans son cul, et qui, parfois, remontait ses mains pour empoigner ses seins, pinçant ses tétons et les malaxant vigoureusement. Ces deux hommes étaient intenses, ardents, soupirant dans les oreilles de la magnifique succube. Leurs verges s’enfonçaient longuement en elle, et, parfois, ils étaient tous les deux plantés dans son corps en même temps.

« Hmmmm… Hnnnn !!
 -  Haaaaa… Haaaa !! »

Celui dans son dos posa sa main sur le menton de la succube, et tourna sa tête, afin de pouvoir l’embrasser, et, surtout, de sentir sa langue en lui. La langue serpentine d’une succube, sa salive… Ou tout simplement le goût de ses lèvres. Le Diablotin les regardait faire. Le trio se faisait longuement l’amour, et, quand celui de devant finit par jouir, un autre le remplaça bien vite, embrassa Bafamelle, et planta son bâton en elle, remuant en elle, son membre turgescent s’enfonçant dans un ensemble de mouille et de foutre. Bafamelle, pour autant, n’était pas réduite à un simple rôle de réservoir à foutre, car sa queue caudale se devait de masturber des vits et des queues. Ces derniers soupiraient, et leurs mains caressaient cette longue queue rouge et douce. Chaude et douce, elle les masturbait bien, et, à plusieurs reprises, la queue de Bafamelle était tachetée de sperme.

Ils continuaient donc à la prendre, sans relâche. Le temps se poursuivait, encore et encore, et Alastar pouvait clairement entendre ces hommes soupirer de plus en plus, sous l’effet de la fatigue. Pour autant, ils savaient toute la chance qu’ils avaient en couchant avec cette femme, et, en aucun cas, ils ne tenaient à la gaspiller. Ils se dévouaient à fond, oubliant totalement les femmes qu’ils avaient capturé, se concentrant sur Bafamelle, l’embrassant parfois de longues minutes. Ils se mordaient entre eux, tirant sur les lèvres de Bafamelle, jouant avec leurs langues, jouissant en elle, encore et encore…

*Ma pauvre petite Bafamelle…*

Toujours aussi silencieux et inactif, Alastar observait ce spectacle, et décida de se rappeler à la présence de Bafamelle. Se concentrant, l’Incube ferma les yeux, et envoya un message télépathique vers elle :

*[MT] Tu es vraiment la Reine des putes, ma Bafamelle adorée… [/MT]*

C’était une bonne entrée en matière, selon lui.

Et voilà, Bafamelle était une fois encore prisent de tout les cotés, les hommes ce succédant tous les un après les autres afin de copieusement lui remplir les orifices sans jamais la laisser toucher terre. Mais… Notre petite succube aimait beaucoup ça ! Le fait de sentir toutes ces mains moites et fortes la tenir par les cuisses pour la baiser, alors que toutes une tripoté d'autres paires de paluches s'empressaient de la caresser rien que pour sentir sa belle peau douce, une peau a laquelle encore une fois de nombreux gland venaient ce frotter, avant de finalement venir combler l'un des deux potentiel trous laissait vaquant. L'appétit de bafamelle semblait sans limite et… Dans tout ce déluge de coup de verge, la démone revint à s’abandonner une seconde fois, son corps venant alors à ce crisper d'un coup, avant d'expulser sur le sol un long filin de cyprine. Malheureusement, Bafamelle commençait à s'ennuyer un peu, bien qu'ayant jouis deux fois, elle trouvait ce manège de bites de plus en plus redondant et ce, malgré le plaisir qu'il continuait à lui apporter…. Paradoxale comme réactions, non ?

« Hmmm… Haaaaa ! Haaaannn… »

La petite succube embrassait sans compter tout ces hommes tendis que son petit cul ce trémoussait sans discontinuer sur les imposants chibres qu'on venait lui enfoncer profondément dans ses orifices. Tous ces hommes en rûte avait beau commencer à fatiguer, ils semblait ne pas vouloir lâcher le morceau, enfouissant leur sexe jusqu'à la garde dans le cul et le vagin de Bafamelle, claquant avec force sur ses belles petites fesses, pendant que d'autre hommes empoignaient avec fermeté ses seins, afin d'en boire le délicieux lait, comme pour ce donner un peu plus de courage afin de baiser encore un fois la belle succube.

Mais bientôt, dans ce dédale de sexe à outrance, dans cette boulimie de luxure, la jeune succube vint à entendre une voix des plus familière résonner dans sa tête…

*Tu es vraiment la Reine des putes, ma Bafamelle adorée… *

A ces mots, la démone vint à légèrement sursauter, avant de discrètement bouger ses jolies oreille pointues… Elle n'avait pas rêvée !? C'était lui, son frère ?! Mais que pouvait il bien faire ici ? Et diantre pourquoi la regardait il ? Enfin… Ça à la rigueur… Ça ne la gênait pas vraiment, au contraire, maintenant qu'elle savait qu'il la regardait, la petite succube trouvait la situation encore plus érotique. En y songeant, Bafamelle vint à fermer les yeux en ce mordant les lèvres puis, ne voulant pas paraît être impolie, tachât de ce concentrer afin de répondre à son grand frère adoré.

*Hmmm… Al' Que… Que fais tu là... tu t'es Hmmm-mit au Voyeurishmmmaa ! *

Oui… Malheureusement, la jeune succube avait un peu de mal à ce concentrer avec toute ces verges   en elle et autours d'elle.

Initialement, Alastar ne voulait pas se faire repérer. Ce moment était celui de Bafamelle, pas le sien. C’était elle qui avait été invoquée, et qui se faisait tringler dans tous les sens. Depuis des heures, Alastar voyait son corps être l’objet de multiples assauts fougueux émanant de la part de mâles en rut, dopés par des stimulants issus des Enfers. Loin de le lasser, ce spectacle était pour lui une grande fierté, car il voyait que son éducation avait été efficace. Bafamelle tenait le choc, voyant les hommes se succéder les uns aux autres. Mais il connaissait sa petite sœur, et il savait qu’elle allait se lasser rapidement... Il ne fallait pas oublier qu’elle tenait d’Onyxian, même si la Matriarche l’avait assez peu éduqué. Or, Onyxian n’était pas réputée pour sa patience légendaire. Il était donc logique que ce soit aussi le cas pour Bafamelle.

En sentant la présence de son grand-frère et mentor, Bafamelle paniqua, avant de se calmer, et de réussir à lui envoyer un autre message télépathique, qui fit sourire le Diablotin. Il décida de noyer le poisson, et de ne pas dire que sa véritable raison était dans le cadre d’une enquête diligentée par Onyxian... Car il n’avait rien obtenu de concret en fouillant le bureau du Grand Maître. Il devrait mener des enquêtes plus approfondies afin de retrouver son fournisseur, et, si cet élément justifiait sa présence initiale ici, qu’il choisisse de rester ne s’expliquait que parce que Bafamelle était là.

*[MT] J’ai toujours aimé le voyeurisme, ma chère... Mais, pour être honnête, je voulais voir comment ma protégée chérie s’en sortait, avec une bande d’abrutis décérébrés avec des queues énormes. [/MT]*

L’amour et l’affection, c’était Alastar qui l’avait insufflé à Bafamelle. Onyxian n’était pas très maternelle, et c’était lui qui s’était chargé de lui faire des câlins affectueux quand elle était encore aussi petite qu’un gobelin. Un démon grandissait en soi comme n’importe quelle espèce : il était petit, puis grandissait... Ce n’était qu’une fois arrivé à l’âge adulte que les choses différaient, car, contrairement aux êtres humains, les cellules d’un démon ne dépérissaient pas rapidement sous l’effet du temps. Le vieillissement était quelque chose de pratiquement inexistant chez les démons, ce qui expliquait pourquoi, à ses 83 ans, Bafamelle était encore considérée comme une jeune Succube.

Et elle s’ennuyait, pauvre petite chose... Alastar se concentra donc, et utilisa sa propre magie rose sur les hommes prenant soin de Bafamelle. La tâche ne fut pas difficile, car ils étaient déjà très excités, et il insuffla en eux de nouvelles idées, plus perverses, plus... Violentes. Il aurait aussi pu tous les neutraliser, mais c’était toujours son désir de ne pas gâcher la première Invocation de Bafamelle qui le motivait en ce sens.

*[MT] Permets que je change un peu les règles, ma belle... [/MT]*

On poussa Bafamelle, et on ouvrit des placards. Les hommes grognaient et éructaient, et, assez rapidement, Bafamelle se retrouva dans une autre grande pièce, une pièce sombre, sans fenêtres, avec différents instruments de tortures dédiés à un usage SM. Il y avait notamment un chevalet, sur lequel on installa la Succube, en attachant ses poignets et ses chevilles, avant de lui donner de grosses claques, et de lui mettre un bandeau noir autour des yeux.

« Ouais...
 -  Traitons-là comme une pute, mes frères ! »

Alastar était toujours là, et, surtout, le cercle d’Invocation aussi. Tandis que des coups de fouet s’abattaient sur le corps de Bafamelle, et qu’on retournait la sucer ou lui défoncer le cul, notre homme se rapprocha du cercle, et le caressa avec ses doigts.

*Il y a beaucoup d’énergie sexuelle résiduelle dans l’air...*

Le cercle était rempli de foutre et de mouille. Alastar posa sa main sur un glyphe, et le cercle d’Invocation ne tarda pas à s’illuminer de nouveau, la magie vibrant au bout de ses doigts. Il rentra directement en contact avec le clan Magoa, bien décidé à offrir à Bafamelle une belle surprise, qui ferait un peu office de clou de la soirée pour elle. Il ne tarda pas à rentrer en contact avec la personne qu’il recherchait au sein du clan, et lui envoya ses propres souvenirs de la soirée, afin de l’inciter à venir... Mais de préférence sous une forme d’emprunt.

Quelques minutes de battement filèrent, avant que le cercle ne se mette à vibrer dans tous les sens. De fortes bourrasques d’air annonçaient la présence d’une Succube très puissante, le genre de démone que ce cercle d’Invocation minable ne pourrait pas retenir. Une silhouette ne tarda pas à émerger... Une redoutable femme blonde dans une tenue noire en cuir qui était comme un appel au sexe sauvage.

« Je n’aurais loupé ça pour rien au monde... » glissa la mystérieuse femme.

Pour ainsi dire, c’est un peu comme si c’était la première fois de Bafamelle...