Le Grand Maître était heureux, heureux comme il ne l’avait jamais été. L’accomplissement de toute une vie se trouvait ici, dans la bouche de cette femme, dans cette queue qu’il remuait en elle. Une vie à travailler sur des drogues spéciales pour améliorer les performances sexuelles, une vie à se renseigner sur les Enfers, et à trouver un moyen de se rapprocher des clans. Sa queue était grosse, longue, et bien dure, s’enfonçant en elle. Bien loin d’être vierge, le Grand Maître avait eu l’occasion de travailler ses pulsions sexuelles, dans l’attente de ce moment. Honorer une succube, et, qui plus est, l’une des succubes du clan Magoa. Le Grand Maître savait que ce clan était un clan assez influent en Enfer, et que leur Matriarche, Onyxian, ne se déplaçait plus pour de simples invocations, ou, quand elle le faisait, tuait très souvent ses amants. Une salope, aussi cruelle que belle, qui n’offrait ses cuisses que pour les membres de sa famille, ou pour les personnalités infernales influentes dans le monde rouge. Il y avait, dans le comportement de l’homme, une ambition démesurée, mais aussi, de manière plus modeste, la simple envie de se taper une succube. Son fantasme était en train de se réaliser, et ses mains se déplaçaient sur la tête de la femme.
Sa queue tapait contre sa gorge, s’enfonçant profondément et lourdement en elle. Elle avait une bonne bouche, une bouche faite pour recevoir sa queue, faite pour l’avaler, faite pour le sexe. Il s’enfonçait en elle, et ses doigts se déplacèrent, remontant le long de ses cheveux pour caresser ses petites cornes. Son corps ondulait d’avant en arrière, ses testicules venant peu à peu se plaquer contre les lèvres et contre le menton de la femme.
« Haaaa.. Haaaa ! »
Il ne comptait pas jouir trop vite, et, quand il vit Bafamelle se caresser, il sentit une onde de plaisir supplémentaire le traverse, l’amenant à soupirer davantage. Ce petit geste anodin voulait dire qu’elle prenait son pied, que la succube appréciait ce qu’on lui faisait… Et qu’il ne risquait donc pas de finir mort sur le sol quand elle avalerait son âme après son orgasme. Tout autour du couple, les hommes de la secte observaient en silence, leurs queues tendues pointées vers le duo. Ils avaient envie de baiser Bafamelle, et chacun de ces hommes n’était ici qu’un atome de sexe et de frustration, même ceux qui avaient eu l’occasion de se soulager sur leurs captives. Peu importe ce qu’ils avaient pu être jadis, ils ne regrettaient rien. Leur esprit était embrumé par les drogues et les potions du Grand Maître, les transformant en pervers… Mais obéissants envers le Grand Maître. Ils attendaient patiemment leur tour, et le Grand Maître, au bout de longues minutes, finit par jouir.
L’homme enchaînait alors de grosses gorges profondes, enfonçant son mandrin en elle, tapant contre sa peau chaude et humide, à l’intérieur de sa peau. Son vit se perdait en elle, ses mains s’enfonçaient dans ses cheveux, et il remuait d’avant en arrière, longuement, lourdement, ses bourses claquant contre son visage, lui violant sa belle petite gueule d’amour.
« Hummm… Ah, tu aimes ça, HEIN ?! Petite pute… Salope, haa !! C’est si bon de te défoncer la GUEULE ! Et ce n’est qu’un début, haaa… Suce, suce, SUCE, SUCE MA QUEUE, HAAAAA… !! »
Il devenait violent, agressif, dominateur, ses mains se crispant davantage sur les cheveux de la femme. Il la baisait depuis maintenant un bon quart d’heure, confirmant son statut d’homme doué et talentueux, en phase avec la magie rose, cette délicieuse magie qui permettait de faire durer l’acte sexuel pendant des heures. Le chef de la secte, dont le nom était sans importance, car il l’avait renié en abandonnant ses parents et sa famille, la prenait donc, longuement, violemment… Et c’est dans ce contexte qu’il jouit donc en elle.
Une jouissance explosive et intense, où il passa, pendant plusieurs minutes, des filaments de foutre en elle, claquant dans sa bouche chaude son sperme, jouissant profondément dans sa gorge, le plus loin possible, avant de se reculer, pour balancer sa crème dans sa bouche, entre ses belles et pulpeuses lèvres rouges. Il soupira longuement, et se retira ensuite, son vit recouvert de salive et de sperme, et il relâcha la femme. Son corps était en sueur, sa respiration longue et profonde. Il s’écarta de quelques mètres, et, pour les autres hommes, ce fut le signal.
Leurs robes de cérémonie tombèrent au sol, et ils s’avancèrent lentement vers la femme, l’encerclant, formant un cercle qui se rapprochait, un cercle de torses glabres, de tatouages, de cheveux rasés, d’hommes musclés et bien bâtis, et d’épées de chair pointées vers elle. Des mains la saisirent, la soulevèrent, et des sexes rentrèrent en elle. Un sexe s’enfonça dans ses cuisses, heurtant sa fleur, butinant son bourgeon, et, dans son dos, une autre queue se perdit dans ses fesses, des torses venant se plaquer contre son corps, des soupirs dans ses oreilles et des baisers âpres sur ses lèvres.
*Ma brave petite sœur, toujours à déchaîner les passions…*
Depuis un pont en hauteur, bras croisés et adossé contre le mur, un démon aux yeux bleus observait la scène avec un léger sourire sur le coin des lèvres. Il espérait bien qu’ils baiseraient bien Bafamelle… Car c’était tout ce qu’elle voulait en répondant à cette invocation.